Faut bien que quelque chose soit valide dans cette affaire.
Donc aucune nouvelle de cette citation promise et re-promise. C'est comme
la fois où vous m'annonciez une plainte. C'est très décevant.
Faut bien que quelque chose soit valide dans cette affaire.
Donc aucune nouvelle de cette citation promise et re-promise. C'est comme
la fois où vous m'annonciez une plainte. C'est très décevant.
Faut bien que quelque chose soit valide dans cette affaire.
Donc aucune nouvelle de cette citation promise et re-promise. C'est comme
la fois où vous m'annonciez une plainte. C'est très décevant.
Le 05/02/2015 20:42, Dominique G. a écrit :
>>> Vous occultez le fait que les patients - les malades donc - sont venus
>>> là pour le H, pas pour le U.
>>
>> Je n'occulte rien du tout, et je ne vous apprend pas j'espère que le U
>> est ce qui donne du prestige au CHU.
>
> Et vous allez vous faire tripoter la prostate pour le prestige, vous?
Je réponds à votre assertion. Les gens viennent aussi là pour le U.
> Moi, tout ce que je demande à un CH, qu'il soit simple, U ou RU, c'est
> d'avoir de bons médecins, de bons chirurgiens, des infirmières
> compétentes
Il est plus difficile pour un médecin d'être en CHU que de poser sa
plaque en Corse Inférieure.
> Jusqu'alors, ça ne c'est pas trop mal passé entre les hôpitaux publics
> et moi, et j'aimerais bien que ça continue.
Bref, tout ce bazar est un non-événement basé sur des on-dits
d'étudiants répétés par des magazines parce qu'il y a cul dans le sujet.
Pas de plainte, pas de signalement, pas d'affaire.
Mais demain, des gens inquiets qui vont faire monter la sauce, des
règlements à la con, les psys qui vont s'en mêler, et des
correspondants-toucher-rectal dans chaque équipe. On attend l'avis de
l'archevêque de Paris.
> Apparemment, si le problème a été signalé
Quoi, où, qui?
>>>> En tous cas je ne vois pas comment il peut apprendre autrement. Et comme
>>>> beaucoup je suppose, moi je préfère être opéré par quelqu'un qui a de
>>>> l'expérience in vivo plutôt que sur mannequin.
>>>
>>> On peut envisager de payer des volontaires pour servir aux testeurs aux
>>> gestes médicaux.
>>> Ce serait in vivo et coûterait ainsi bien moins cher que des mannequins.
>>> Et on serait sûr du consentement éclairé des testés.
>>
>> Il s'agit de malades tous différents.
>
> Comme les donneurs de sang ou d'organes :-)
On m'a parlé d'un cas de lèpre diagnostiqué dans un CHU de province.
Imaginez-vous qu'on aurait eu du mal à trouver un volontaire à montrer
aux étudiants locaux, qui, soyez-en certaine, ont défilé pour participer
aux visites et aux soins de ce rare cas.
>>> Je vous parle de consentement à un acte sur un être humain.
>>> Que ce soit pour une opération du cœur, un frottis vaginal, une séance
>>> de bondage ou une partie de jambes en l'air, il faut que le consentement
>>> soit clairement exprimé
>>
>> Ah oui, consentement clairement exprimé pour une partie de jambes en
>> l'air, c'est super romantique.
>
> Il y a des mecs à qui il faut répéter 20 fois par soirée que "non, je
> veux pas", je vous signale.
Des nanas aussi. Il n'empêche que la base du cul joyeux, c'est le
trouble. Voyez ma signature. Le consentement explicite obligatoire,
hormis le cas de la prostitution, c'est l'assurance de faire une
génération de puceaux. Ou plus probablement de hors-la-loi.
> Et qu'un simple silence dû à une alcoolémie prononcée ou à une
> anesthésie est pris par ces types là pour un acquiescement enthousiaste.
Faites-moi penser à demander un consentement écrit à mes invités la
prochaine fois que je leur fais la surprise d'une choucroute. Des fois
qu'ils se sentent obligés de manger.
>>> Il y a eu longtemps des chirurgiens qui ont opérés les enfants
>>
>> Les bébés.
>
> Les enfants aussi.
> Ma sœur aînée avait 8 ans quand on lui a enlevé les amygdales au scalpel
> sans anesthésie (pas même un coup de spray anesthésiant, ça n'existait
> pas à l'époque) et qu'elle a eu en tout et pour tout des glaçons à sucer
> contre la douleur, après.
Quand l'anesthésie est dangereuse, on pèse le pour et le contre.
Notez en passant qu'on revient au "sans anesthésie générale" avec le
laser.
>>> sans anesthésie parce que - prétendaient-ils - ils ne souffraient pas.
>>
>> Et ils avaient peut-être bien raison. En ce temps-là l'anesthésie était
>> faite par une infirmière sans qualifications avec un robinet on/off sur
>> le gaz hilarant, ou au chloroforme, et était dangereuse pour les bébés.
>> Et le système nerveux de bébé qui ne maîtrise pas ses mouvements n'est
>> pas vraiment au point, on peut bien se demander si.
>
> Paul-Louis-Benoit Guersant qui écrit en 1864,
Oui, j'ai aussi Google.
> date à laquelle
> l'anesthésie existait depuis 24 ans : « Il est une foule de
> circonstances où le chloroforme nous paraît très indiqué et nous devons
> dire que l'ayant mis en usage chez plus de 6 000 enfants, nous ne
> redoutons jamais d'anesthésier et le très jeune âge n'est pas une contre
> indication. »
En, ce temps-là la mortalité infantile n'était pas non plus une
contre-indication majeure.
(Wikipedia)
"Vient alors la GHB découverte par le professeur Henri Laborit en 1961
qui a ouvert la voie aux molécules complexes qui assurent aujourd'hui un
taux d'échec largement minimisé par rapport aux procédés antérieurs qui
laissaient jusqu'à 2 % de patients « non-réanimés »."
>> Aujourd'hui la technique permet de couper court à la discussion.
>
> Regardez les dates de ce que je cite au-dessus...Lisez le billet
> complétement.
La spécialité est _très_ récente et demandez-vous pourquoi on a joint
anesthésie et réanimation. Avant ça se faisait à la bonne franquette.
>>> Vous croyez que si un chirurgien essaie encore de faire ça, il ne va pas
>>> se prendre une plainte?
>>
>> Les chirurgiens opèrent des fœtus viables in utero, sans anesthésie
>> (autre que celle de la femme). Avec exactement les mêmes motivations
>> qu'autrefois. Quand on pourra anesthésier un fœtus facilement, on le
>> fera -à tout hasard.
>
> Lisez ça, à tout hasard :
>
J'ai Google aussi. Je vous parle de ce qui se fait sur des fœtus viables
donc qui vivraient dehors.
>>> Donc je reviens au sujet principal : a t-on le droit, en France, de
>>> faire subir à un patient endormi des manipulations sans but
>>> thérapeutique direct et sans son consentement préalable?
>>
>
>> La réponse est non, et le corolaire c'est que le toubib et/ou l'hosto a
>> parfaitement le droit de vous envoyer paître hors urgence.
>
> Ben tiens.
> L'ordre des médecins n'est pas d'accord avec vous :-)
Il dit la même chose que moi.
Le 05/02/2015 20:42, Dominique G. a écrit :
>>> Vous occultez le fait que les patients - les malades donc - sont venus
>>> là pour le H, pas pour le U.
>>
>> Je n'occulte rien du tout, et je ne vous apprend pas j'espère que le U
>> est ce qui donne du prestige au CHU.
>
> Et vous allez vous faire tripoter la prostate pour le prestige, vous?
Je réponds à votre assertion. Les gens viennent aussi là pour le U.
> Moi, tout ce que je demande à un CH, qu'il soit simple, U ou RU, c'est
> d'avoir de bons médecins, de bons chirurgiens, des infirmières
> compétentes
Il est plus difficile pour un médecin d'être en CHU que de poser sa
plaque en Corse Inférieure.
> Jusqu'alors, ça ne c'est pas trop mal passé entre les hôpitaux publics
> et moi, et j'aimerais bien que ça continue.
Bref, tout ce bazar est un non-événement basé sur des on-dits
d'étudiants répétés par des magazines parce qu'il y a cul dans le sujet.
Pas de plainte, pas de signalement, pas d'affaire.
Mais demain, des gens inquiets qui vont faire monter la sauce, des
règlements à la con, les psys qui vont s'en mêler, et des
correspondants-toucher-rectal dans chaque équipe. On attend l'avis de
l'archevêque de Paris.
> Apparemment, si le problème a été signalé
Quoi, où, qui?
>>>> En tous cas je ne vois pas comment il peut apprendre autrement. Et comme
>>>> beaucoup je suppose, moi je préfère être opéré par quelqu'un qui a de
>>>> l'expérience in vivo plutôt que sur mannequin.
>>>
>>> On peut envisager de payer des volontaires pour servir aux testeurs aux
>>> gestes médicaux.
>>> Ce serait in vivo et coûterait ainsi bien moins cher que des mannequins.
>>> Et on serait sûr du consentement éclairé des testés.
>>
>> Il s'agit de malades tous différents.
>
> Comme les donneurs de sang ou d'organes :-)
On m'a parlé d'un cas de lèpre diagnostiqué dans un CHU de province.
Imaginez-vous qu'on aurait eu du mal à trouver un volontaire à montrer
aux étudiants locaux, qui, soyez-en certaine, ont défilé pour participer
aux visites et aux soins de ce rare cas.
>>> Je vous parle de consentement à un acte sur un être humain.
>>> Que ce soit pour une opération du cœur, un frottis vaginal, une séance
>>> de bondage ou une partie de jambes en l'air, il faut que le consentement
>>> soit clairement exprimé
>>
>> Ah oui, consentement clairement exprimé pour une partie de jambes en
>> l'air, c'est super romantique.
>
> Il y a des mecs à qui il faut répéter 20 fois par soirée que "non, je
> veux pas", je vous signale.
Des nanas aussi. Il n'empêche que la base du cul joyeux, c'est le
trouble. Voyez ma signature. Le consentement explicite obligatoire,
hormis le cas de la prostitution, c'est l'assurance de faire une
génération de puceaux. Ou plus probablement de hors-la-loi.
> Et qu'un simple silence dû à une alcoolémie prononcée ou à une
> anesthésie est pris par ces types là pour un acquiescement enthousiaste.
Faites-moi penser à demander un consentement écrit à mes invités la
prochaine fois que je leur fais la surprise d'une choucroute. Des fois
qu'ils se sentent obligés de manger.
>>> Il y a eu longtemps des chirurgiens qui ont opérés les enfants
>>
>> Les bébés.
>
> Les enfants aussi.
> Ma sœur aînée avait 8 ans quand on lui a enlevé les amygdales au scalpel
> sans anesthésie (pas même un coup de spray anesthésiant, ça n'existait
> pas à l'époque) et qu'elle a eu en tout et pour tout des glaçons à sucer
> contre la douleur, après.
Quand l'anesthésie est dangereuse, on pèse le pour et le contre.
Notez en passant qu'on revient au "sans anesthésie générale" avec le
laser.
>>> sans anesthésie parce que - prétendaient-ils - ils ne souffraient pas.
>>
>> Et ils avaient peut-être bien raison. En ce temps-là l'anesthésie était
>> faite par une infirmière sans qualifications avec un robinet on/off sur
>> le gaz hilarant, ou au chloroforme, et était dangereuse pour les bébés.
>> Et le système nerveux de bébé qui ne maîtrise pas ses mouvements n'est
>> pas vraiment au point, on peut bien se demander si.
>
> Paul-Louis-Benoit Guersant qui écrit en 1864,
Oui, j'ai aussi Google.
> date à laquelle
> l'anesthésie existait depuis 24 ans : « Il est une foule de
> circonstances où le chloroforme nous paraît très indiqué et nous devons
> dire que l'ayant mis en usage chez plus de 6 000 enfants, nous ne
> redoutons jamais d'anesthésier et le très jeune âge n'est pas une contre
> indication. »
En, ce temps-là la mortalité infantile n'était pas non plus une
contre-indication majeure.
(Wikipedia)
"Vient alors la GHB découverte par le professeur Henri Laborit en 1961
qui a ouvert la voie aux molécules complexes qui assurent aujourd'hui un
taux d'échec largement minimisé par rapport aux procédés antérieurs qui
laissaient jusqu'à 2 % de patients « non-réanimés »."
>> Aujourd'hui la technique permet de couper court à la discussion.
>
> Regardez les dates de ce que je cite au-dessus...Lisez le billet
> complétement.
La spécialité est _très_ récente et demandez-vous pourquoi on a joint
anesthésie et réanimation. Avant ça se faisait à la bonne franquette.
>>> Vous croyez que si un chirurgien essaie encore de faire ça, il ne va pas
>>> se prendre une plainte?
>>
>> Les chirurgiens opèrent des fœtus viables in utero, sans anesthésie
>> (autre que celle de la femme). Avec exactement les mêmes motivations
>> qu'autrefois. Quand on pourra anesthésier un fœtus facilement, on le
>> fera -à tout hasard.
>
> Lisez ça, à tout hasard :
>
J'ai Google aussi. Je vous parle de ce qui se fait sur des fœtus viables
donc qui vivraient dehors.
>>> Donc je reviens au sujet principal : a t-on le droit, en France, de
>>> faire subir à un patient endormi des manipulations sans but
>>> thérapeutique direct et sans son consentement préalable?
>>
>
>> La réponse est non, et le corolaire c'est que le toubib et/ou l'hosto a
>> parfaitement le droit de vous envoyer paître hors urgence.
>
> Ben tiens.
> L'ordre des médecins n'est pas d'accord avec vous :-)
Il dit la même chose que moi.
Le 05/02/2015 20:42, Dominique G. a écrit :
>>> Vous occultez le fait que les patients - les malades donc - sont venus
>>> là pour le H, pas pour le U.
>>
>> Je n'occulte rien du tout, et je ne vous apprend pas j'espère que le U
>> est ce qui donne du prestige au CHU.
>
> Et vous allez vous faire tripoter la prostate pour le prestige, vous?
Je réponds à votre assertion. Les gens viennent aussi là pour le U.
> Moi, tout ce que je demande à un CH, qu'il soit simple, U ou RU, c'est
> d'avoir de bons médecins, de bons chirurgiens, des infirmières
> compétentes
Il est plus difficile pour un médecin d'être en CHU que de poser sa
plaque en Corse Inférieure.
> Jusqu'alors, ça ne c'est pas trop mal passé entre les hôpitaux publics
> et moi, et j'aimerais bien que ça continue.
Bref, tout ce bazar est un non-événement basé sur des on-dits
d'étudiants répétés par des magazines parce qu'il y a cul dans le sujet.
Pas de plainte, pas de signalement, pas d'affaire.
Mais demain, des gens inquiets qui vont faire monter la sauce, des
règlements à la con, les psys qui vont s'en mêler, et des
correspondants-toucher-rectal dans chaque équipe. On attend l'avis de
l'archevêque de Paris.
> Apparemment, si le problème a été signalé
Quoi, où, qui?
>>>> En tous cas je ne vois pas comment il peut apprendre autrement. Et comme
>>>> beaucoup je suppose, moi je préfère être opéré par quelqu'un qui a de
>>>> l'expérience in vivo plutôt que sur mannequin.
>>>
>>> On peut envisager de payer des volontaires pour servir aux testeurs aux
>>> gestes médicaux.
>>> Ce serait in vivo et coûterait ainsi bien moins cher que des mannequins.
>>> Et on serait sûr du consentement éclairé des testés.
>>
>> Il s'agit de malades tous différents.
>
> Comme les donneurs de sang ou d'organes :-)
On m'a parlé d'un cas de lèpre diagnostiqué dans un CHU de province.
Imaginez-vous qu'on aurait eu du mal à trouver un volontaire à montrer
aux étudiants locaux, qui, soyez-en certaine, ont défilé pour participer
aux visites et aux soins de ce rare cas.
>>> Je vous parle de consentement à un acte sur un être humain.
>>> Que ce soit pour une opération du cœur, un frottis vaginal, une séance
>>> de bondage ou une partie de jambes en l'air, il faut que le consentement
>>> soit clairement exprimé
>>
>> Ah oui, consentement clairement exprimé pour une partie de jambes en
>> l'air, c'est super romantique.
>
> Il y a des mecs à qui il faut répéter 20 fois par soirée que "non, je
> veux pas", je vous signale.
Des nanas aussi. Il n'empêche que la base du cul joyeux, c'est le
trouble. Voyez ma signature. Le consentement explicite obligatoire,
hormis le cas de la prostitution, c'est l'assurance de faire une
génération de puceaux. Ou plus probablement de hors-la-loi.
> Et qu'un simple silence dû à une alcoolémie prononcée ou à une
> anesthésie est pris par ces types là pour un acquiescement enthousiaste.
Faites-moi penser à demander un consentement écrit à mes invités la
prochaine fois que je leur fais la surprise d'une choucroute. Des fois
qu'ils se sentent obligés de manger.
>>> Il y a eu longtemps des chirurgiens qui ont opérés les enfants
>>
>> Les bébés.
>
> Les enfants aussi.
> Ma sœur aînée avait 8 ans quand on lui a enlevé les amygdales au scalpel
> sans anesthésie (pas même un coup de spray anesthésiant, ça n'existait
> pas à l'époque) et qu'elle a eu en tout et pour tout des glaçons à sucer
> contre la douleur, après.
Quand l'anesthésie est dangereuse, on pèse le pour et le contre.
Notez en passant qu'on revient au "sans anesthésie générale" avec le
laser.
>>> sans anesthésie parce que - prétendaient-ils - ils ne souffraient pas.
>>
>> Et ils avaient peut-être bien raison. En ce temps-là l'anesthésie était
>> faite par une infirmière sans qualifications avec un robinet on/off sur
>> le gaz hilarant, ou au chloroforme, et était dangereuse pour les bébés.
>> Et le système nerveux de bébé qui ne maîtrise pas ses mouvements n'est
>> pas vraiment au point, on peut bien se demander si.
>
> Paul-Louis-Benoit Guersant qui écrit en 1864,
Oui, j'ai aussi Google.
> date à laquelle
> l'anesthésie existait depuis 24 ans : « Il est une foule de
> circonstances où le chloroforme nous paraît très indiqué et nous devons
> dire que l'ayant mis en usage chez plus de 6 000 enfants, nous ne
> redoutons jamais d'anesthésier et le très jeune âge n'est pas une contre
> indication. »
En, ce temps-là la mortalité infantile n'était pas non plus une
contre-indication majeure.
(Wikipedia)
"Vient alors la GHB découverte par le professeur Henri Laborit en 1961
qui a ouvert la voie aux molécules complexes qui assurent aujourd'hui un
taux d'échec largement minimisé par rapport aux procédés antérieurs qui
laissaient jusqu'à 2 % de patients « non-réanimés »."
>> Aujourd'hui la technique permet de couper court à la discussion.
>
> Regardez les dates de ce que je cite au-dessus...Lisez le billet
> complétement.
La spécialité est _très_ récente et demandez-vous pourquoi on a joint
anesthésie et réanimation. Avant ça se faisait à la bonne franquette.
>>> Vous croyez que si un chirurgien essaie encore de faire ça, il ne va pas
>>> se prendre une plainte?
>>
>> Les chirurgiens opèrent des fœtus viables in utero, sans anesthésie
>> (autre que celle de la femme). Avec exactement les mêmes motivations
>> qu'autrefois. Quand on pourra anesthésier un fœtus facilement, on le
>> fera -à tout hasard.
>
> Lisez ça, à tout hasard :
>
J'ai Google aussi. Je vous parle de ce qui se fait sur des fœtus viables
donc qui vivraient dehors.
>>> Donc je reviens au sujet principal : a t-on le droit, en France, de
>>> faire subir à un patient endormi des manipulations sans but
>>> thérapeutique direct et sans son consentement préalable?
>>
>
>> La réponse est non, et le corolaire c'est que le toubib et/ou l'hosto a
>> parfaitement le droit de vous envoyer paître hors urgence.
>
> Ben tiens.
> L'ordre des médecins n'est pas d'accord avec vous :-)
Il dit la même chose que moi.
Le 06/02/2015 05:35, Colonial2015 a écrit :
> Après mûre réflexion, Dominique G. a écrit :
>> Colonial2015 wrote:
>>
>>> Quand il disait d'une fille que c'était un gros mâle, c'est qu'elle
>>> n'était pas vraiment mettable et/ou qu'elle avait des moustaches...
>>
>> Lui même se considérant comme un irrésistible séducteur et un super bon
>> coup.
>
> Il avait, c'est vrai, une réputation non usurpée de chaud lapin. De
> plus, il joue toujours au tennis (vétéran) à un niveau national.
> Un physique à la John Wayne. Il t'aurait plu...
John Wayne était homo.
Le 06/02/2015 05:35, Colonial2015 a écrit :
> Après mûre réflexion, Dominique G. a écrit :
>> Colonial2015 <jacqueschaumond@gmail.com> wrote:
>>
>>> Quand il disait d'une fille que c'était un gros mâle, c'est qu'elle
>>> n'était pas vraiment mettable et/ou qu'elle avait des moustaches...
>>
>> Lui même se considérant comme un irrésistible séducteur et un super bon
>> coup.
>
> Il avait, c'est vrai, une réputation non usurpée de chaud lapin. De
> plus, il joue toujours au tennis (vétéran) à un niveau national.
> Un physique à la John Wayne. Il t'aurait plu...
John Wayne était homo.
Le 06/02/2015 05:35, Colonial2015 a écrit :
> Après mûre réflexion, Dominique G. a écrit :
>> Colonial2015 wrote:
>>
>>> Quand il disait d'une fille que c'était un gros mâle, c'est qu'elle
>>> n'était pas vraiment mettable et/ou qu'elle avait des moustaches...
>>
>> Lui même se considérant comme un irrésistible séducteur et un super bon
>> coup.
>
> Il avait, c'est vrai, une réputation non usurpée de chaud lapin. De
> plus, il joue toujours au tennis (vétéran) à un niveau national.
> Un physique à la John Wayne. Il t'aurait plu...
John Wayne était homo.
Après mûre réflexion, Dominique G. a écrit :
> Colonial2015 wrote:
>
>> Quand il disait d'une fille que c'était un gros mâle, c'est qu'elle
>> n'était pas vraiment mettable et/ou qu'elle avait des moustaches...
>
> Lui même se considérant comme un irrésistible séducteur et un super bon
> coup.
Il avait, c'est vrai, une réputation non usurpée de chaud lapin.
De plus, il joue toujours au tennis (vétéran) à un niveau national. Un
physique à la John Wayne. Il t'aurait plu...
> Il arrivait à baiser autre chose que son gibier, votre beauf local?
Après mûre réflexion, Dominique G. a écrit :
> Colonial2015 <jacqueschaumond@gmail.com> wrote:
>
>> Quand il disait d'une fille que c'était un gros mâle, c'est qu'elle
>> n'était pas vraiment mettable et/ou qu'elle avait des moustaches...
>
> Lui même se considérant comme un irrésistible séducteur et un super bon
> coup.
Il avait, c'est vrai, une réputation non usurpée de chaud lapin.
De plus, il joue toujours au tennis (vétéran) à un niveau national. Un
physique à la John Wayne. Il t'aurait plu...
> Il arrivait à baiser autre chose que son gibier, votre beauf local?
Après mûre réflexion, Dominique G. a écrit :
> Colonial2015 wrote:
>
>> Quand il disait d'une fille que c'était un gros mâle, c'est qu'elle
>> n'était pas vraiment mettable et/ou qu'elle avait des moustaches...
>
> Lui même se considérant comme un irrésistible séducteur et un super bon
> coup.
Il avait, c'est vrai, une réputation non usurpée de chaud lapin.
De plus, il joue toujours au tennis (vétéran) à un niveau national. Un
physique à la John Wayne. Il t'aurait plu...
> Il arrivait à baiser autre chose que son gibier, votre beauf local?
Le 06/02/2015 07:40, Dominique G. a écrit :
> jr wrote:
>
>> Dominique G. wrote:
>>> jr wrote:
>>>
>>>> Le 05/02/2015 13:28, Dominique G. a écrit :
>>>
>>>>> Oui et d'ailleurs, à ce propos, il y a une audience intéressante mardi
>>>>> prochain à la cour d'appel d'Aix-en-Provence.
>>>>
>>>> Un taré voulait m'y citer comme témoin, il y a quelque temps.
>>>
>>> Votre attestation est toujours présentée par la défense, mon bon.
>>> Et la défense peut toujours vous faire citer à la barre pour l'appuyer
>>> de votre témoignage direct.
>>> Surtout que vous n'êtes pas loin...
>>
>> Rien compris.
>
> Votre adresse est valide?
Faut bien que quelque chose soit valide dans cette affaire.
Donc aucune nouvelle de cette citation promise et re-promise.
C'est comme la fois où vous m'annonciez une plainte.
C'est très décevant.
Le 06/02/2015 07:40, Dominique G. a écrit :
> jr <jqs@froc.net> wrote:
>
>> Dominique G. <dmkgbt@free.invalid> wrote:
>>> jr <jqs@froc.net> wrote:
>>>
>>>> Le 05/02/2015 13:28, Dominique G. a écrit :
>>>
>>>>> Oui et d'ailleurs, à ce propos, il y a une audience intéressante mardi
>>>>> prochain à la cour d'appel d'Aix-en-Provence.
>>>>
>>>> Un taré voulait m'y citer comme témoin, il y a quelque temps.
>>>
>>> Votre attestation est toujours présentée par la défense, mon bon.
>>> Et la défense peut toujours vous faire citer à la barre pour l'appuyer
>>> de votre témoignage direct.
>>> Surtout que vous n'êtes pas loin...
>>
>> Rien compris.
>
> Votre adresse est valide?
Faut bien que quelque chose soit valide dans cette affaire.
Donc aucune nouvelle de cette citation promise et re-promise.
C'est comme la fois où vous m'annonciez une plainte.
C'est très décevant.
Le 06/02/2015 07:40, Dominique G. a écrit :
> jr wrote:
>
>> Dominique G. wrote:
>>> jr wrote:
>>>
>>>> Le 05/02/2015 13:28, Dominique G. a écrit :
>>>
>>>>> Oui et d'ailleurs, à ce propos, il y a une audience intéressante mardi
>>>>> prochain à la cour d'appel d'Aix-en-Provence.
>>>>
>>>> Un taré voulait m'y citer comme témoin, il y a quelque temps.
>>>
>>> Votre attestation est toujours présentée par la défense, mon bon.
>>> Et la défense peut toujours vous faire citer à la barre pour l'appuyer
>>> de votre témoignage direct.
>>> Surtout que vous n'êtes pas loin...
>>
>> Rien compris.
>
> Votre adresse est valide?
Faut bien que quelque chose soit valide dans cette affaire.
Donc aucune nouvelle de cette citation promise et re-promise.
C'est comme la fois où vous m'annonciez une plainte.
C'est très décevant.
Dominique G. a exprimé avec précision :
> Jusqu'alors, ça ne c'est pas trop mal passé entre les hôpitaux publics
> et moi, et j'aimerais bien que ça continue.
Quand on voit le résultat, mémère, on peut en douter.
Dominique G. a exprimé avec précision :
> Jusqu'alors, ça ne c'est pas trop mal passé entre les hôpitaux publics
> et moi, et j'aimerais bien que ça continue.
Quand on voit le résultat, mémère, on peut en douter.
Dominique G. a exprimé avec précision :
> Jusqu'alors, ça ne c'est pas trop mal passé entre les hôpitaux publics
> et moi, et j'aimerais bien que ça continue.
Quand on voit le résultat, mémère, on peut en douter.
Et que si on a l'intention de me faire mettre un doigt dans le cul par
toute une promotion d'universitaires, je sois au courant, avant.
Et que si on a l'intention de me faire mettre un doigt dans le cul par
toute une promotion d'universitaires, je sois au courant, avant.
Et que si on a l'intention de me faire mettre un doigt dans le cul par
toute une promotion d'universitaires, je sois au courant, avant.
Dominique G. wrote:
> Et que si on a l'intention de me faire mettre un doigt dans le cul par
> toute une promotion d'universitaires, je sois au courant, avant.
Tu dis ça comme si c'était un acte ayant une portée particulière, comme
par exemple de t'ouvrir la poitrine pour accéder à tes organes internes.
Alors que techniquement, quelle est la différence entre ça et l'examen
du l'intérieur de l'oreille ou de la bouche, mis à part la charge
symbolique ? Aucune.
Surtout que présenté comme tu le présentes, il y a une certaine
malhonnêteté : il ne s'agit pas de "mettre un doigt dans le cul" mais de
procéder à un examen médical.
Ça se ressemble peut-être au premier
abord, mais dans ce cas-là, non seulement ce n'est ni un jeu ni un viol
mais un acte sérieux, pensé, requis par une procédure éprouvée et pour
le bien non seulement du patient qui en est l'objet mais de pas mal
d'autres dans le futur.
Je ne suis pas en train de dire qu'il faut simplement accepter ça et
s'en moquer. Je dis que la charge symbolique est un parasite
considérable et qu'il faut l'évacuer, et considérer qu'on doit donner
son consentement à ça selon le même niveau d'importance que l'on accorde
au consentement à subir des examens jugés ordinaires (prise de la
tension, usage du stéthoscope, etc.)
Les gens qui y voient quelque chose d'attentatoire à leur intégrité ont
un problème avec le sens des mots, la confiance qu'ils accordent aux
autres, le rôle et l'utilité du lieu où ils se trouvent, et finalement
la place de l'individu dans la société, à mon avis.
Dominique G. <dmkgbt@free.invalid> wrote:
> Et que si on a l'intention de me faire mettre un doigt dans le cul par
> toute une promotion d'universitaires, je sois au courant, avant.
Tu dis ça comme si c'était un acte ayant une portée particulière, comme
par exemple de t'ouvrir la poitrine pour accéder à tes organes internes.
Alors que techniquement, quelle est la différence entre ça et l'examen
du l'intérieur de l'oreille ou de la bouche, mis à part la charge
symbolique ? Aucune.
Surtout que présenté comme tu le présentes, il y a une certaine
malhonnêteté : il ne s'agit pas de "mettre un doigt dans le cul" mais de
procéder à un examen médical.
Ça se ressemble peut-être au premier
abord, mais dans ce cas-là, non seulement ce n'est ni un jeu ni un viol
mais un acte sérieux, pensé, requis par une procédure éprouvée et pour
le bien non seulement du patient qui en est l'objet mais de pas mal
d'autres dans le futur.
Je ne suis pas en train de dire qu'il faut simplement accepter ça et
s'en moquer. Je dis que la charge symbolique est un parasite
considérable et qu'il faut l'évacuer, et considérer qu'on doit donner
son consentement à ça selon le même niveau d'importance que l'on accorde
au consentement à subir des examens jugés ordinaires (prise de la
tension, usage du stéthoscope, etc.)
Les gens qui y voient quelque chose d'attentatoire à leur intégrité ont
un problème avec le sens des mots, la confiance qu'ils accordent aux
autres, le rôle et l'utilité du lieu où ils se trouvent, et finalement
la place de l'individu dans la société, à mon avis.
Dominique G. wrote:
> Et que si on a l'intention de me faire mettre un doigt dans le cul par
> toute une promotion d'universitaires, je sois au courant, avant.
Tu dis ça comme si c'était un acte ayant une portée particulière, comme
par exemple de t'ouvrir la poitrine pour accéder à tes organes internes.
Alors que techniquement, quelle est la différence entre ça et l'examen
du l'intérieur de l'oreille ou de la bouche, mis à part la charge
symbolique ? Aucune.
Surtout que présenté comme tu le présentes, il y a une certaine
malhonnêteté : il ne s'agit pas de "mettre un doigt dans le cul" mais de
procéder à un examen médical.
Ça se ressemble peut-être au premier
abord, mais dans ce cas-là, non seulement ce n'est ni un jeu ni un viol
mais un acte sérieux, pensé, requis par une procédure éprouvée et pour
le bien non seulement du patient qui en est l'objet mais de pas mal
d'autres dans le futur.
Je ne suis pas en train de dire qu'il faut simplement accepter ça et
s'en moquer. Je dis que la charge symbolique est un parasite
considérable et qu'il faut l'évacuer, et considérer qu'on doit donner
son consentement à ça selon le même niveau d'importance que l'on accorde
au consentement à subir des examens jugés ordinaires (prise de la
tension, usage du stéthoscope, etc.)
Les gens qui y voient quelque chose d'attentatoire à leur intégrité ont
un problème avec le sens des mots, la confiance qu'ils accordent aux
autres, le rôle et l'utilité du lieu où ils se trouvent, et finalement
la place de l'individu dans la société, à mon avis.
Le 06/02/2015 05:35, Colonial2015 a écrit :Après mûre réflexion, Dominique G. a écrit :Colonial2015 wrote:Quand il disait d'une fille que c'était un gros mâle, c'est qu'elle
n'était pas vraiment mettable et/ou qu'elle avait des moustaches...
Lui même se considérant comme un irrésistible séducteur et un super bon
coup.
Il avait, c'est vrai, une réputation non usurpée de chaud lapin. De
plus, il joue toujours au tennis (vétéran) à un niveau national.
Un physique à la John Wayne. Il t'aurait plu...
John Wayne était homo.
Le 06/02/2015 05:35, Colonial2015 a écrit :
Après mûre réflexion, Dominique G. a écrit :
Colonial2015 <jacqueschaumond@gmail.com> wrote:
Quand il disait d'une fille que c'était un gros mâle, c'est qu'elle
n'était pas vraiment mettable et/ou qu'elle avait des moustaches...
Lui même se considérant comme un irrésistible séducteur et un super bon
coup.
Il avait, c'est vrai, une réputation non usurpée de chaud lapin. De
plus, il joue toujours au tennis (vétéran) à un niveau national.
Un physique à la John Wayne. Il t'aurait plu...
John Wayne était homo.
Le 06/02/2015 05:35, Colonial2015 a écrit :Après mûre réflexion, Dominique G. a écrit :Colonial2015 wrote:Quand il disait d'une fille que c'était un gros mâle, c'est qu'elle
n'était pas vraiment mettable et/ou qu'elle avait des moustaches...
Lui même se considérant comme un irrésistible séducteur et un super bon
coup.
Il avait, c'est vrai, une réputation non usurpée de chaud lapin. De
plus, il joue toujours au tennis (vétéran) à un niveau national.
Un physique à la John Wayne. Il t'aurait plu...
John Wayne était homo.
Ericetrac wrote:Dominique G. a exprimé avec précision :Jusqu'alors, ça ne c'est pas trop mal passé entre les hôpitaux publics
et moi, et j'aimerais bien que ça continue.
Quand on voit le résultat, mémère, on peut en douter.
Sans l'hôpital, j'aurais été orpheline à la naissance, handicapée d'une
main à 6 ans, morte de septicémie à 11, morte de septicémie encore à 26,
morte d'une crise d'éclampsie à 40, avec mon bébé.
Ericetrac <bienudefree@free.fr> wrote:
Dominique G. a exprimé avec précision :
Jusqu'alors, ça ne c'est pas trop mal passé entre les hôpitaux publics
et moi, et j'aimerais bien que ça continue.
Quand on voit le résultat, mémère, on peut en douter.
Sans l'hôpital, j'aurais été orpheline à la naissance, handicapée d'une
main à 6 ans, morte de septicémie à 11, morte de septicémie encore à 26,
morte d'une crise d'éclampsie à 40, avec mon bébé.
Ericetrac wrote:Dominique G. a exprimé avec précision :Jusqu'alors, ça ne c'est pas trop mal passé entre les hôpitaux publics
et moi, et j'aimerais bien que ça continue.
Quand on voit le résultat, mémère, on peut en douter.
Sans l'hôpital, j'aurais été orpheline à la naissance, handicapée d'une
main à 6 ans, morte de septicémie à 11, morte de septicémie encore à 26,
morte d'une crise d'éclampsie à 40, avec mon bébé.