OVH Cloud OVH Cloud

Culture du viol au CHU

320 réponses
Avatar
dmkgbt
Et ce sont ces gens là qui nous demandent de leur faire confiance quand
ils nous endorment pour nous opérer?

Visiblement l'avocat est en phase avec cette culture du viol :
"D'après Jean-Sébastien Laloy, avocat du syndicat des internes de
Clermont-Ferrand interrogé par La Montagne, le dessin existe depuis des
années, seules les bulles de BD sont apparues au cours du week-end, dans
"le but de sensibiliser par une image choc, dans un cadre strictement
privé, aux conséquences de la loi santé ". Il ajoute: "L'image a été
détournée de manière déloyale et choquante. Le président du syndicat des
internes de Clermont-Ferrand regrette l'image dégradante qui est donné
de l'internat et assure que l'intention n'était pas de représenter la
ministre de la Santé"."

Comme si la représentation d'un viol n'était choquante que lorsqu'elle
était dévoilée aux patients et visait une ministre :-(

<http://www.lesinrocks.com/2015/01/19/actualite/une-fresque-representant-un-viol-collectif-met-le-chu-de-clermont-ferrand-dans-la-tourmente-11548639/>


--
Tout est pardonné.
Je suis Charlie
Signé Mahomet.

10 réponses

Avatar
jr
Le 07/02/2015 14:56, Gerald a écrit :
wrote:

Par contre on va quand même continuer
d'éviter de te demander de diagnostiquer quoi que ce soit pour cette
pauvre nana.



Surtout que, c'est l'occasion de le rappeler, l'exercice illégal de la
médecine ne réside pas dans la prescription mais dans le *diagnostic* !



"l'établissement d'un diagnostic ou au traitement de maladies"


--
jr
Avatar
foo
On 07/02/2015 15:22, Dominique G. wrote:
Moi j'ai un homme de mon âge,



J'espère pour toi qu'il est plus médecin que tu n'es juriste, garçon.

Corse.



Pourquoi cette précision ? Serais-tu *aussi* raciste au point de refuser
de te faire soigner par un médecin étranger ?
Avatar
foo
On 08/02/2015 06:13, jr wrote:
Le 07/02/2015 14:56, Gerald a écrit :
wrote:

Par contre on va quand même continuer
d'éviter de te demander de diagnostiquer quoi que ce soit pour cette
pauvre nana.



Surtout que, c'est l'occasion de le rappeler, l'exercice illégal de la
médecine ne réside pas dans la prescription mais dans le *diagnostic* !



"l'établissement d'un diagnostic ou au traitement de maladies"




Ne pas faire se déshabiller cette femme en dehors de ses moufles c'est
déjà avoir posé un diagnostique, ce qu'ignore bien sûr le garçon dominique.
Avatar
foo
On 07/02/2015 15:22, Dominique G. wrote:
Moi j'ai un homme de mon âge,



J'espère pour toi qu'il est plus médecin que tu n'es juriste, garçon.

Corse.



Pourquoi cette précision ? Serais-tu *aussi* raciste au point de refuser
de te faire soigner par un médecin étranger ?
Avatar
Ericetrac
Dans son message précédent, jr a écrit :
Le 07/02/2015 19:05, Dominique G. a écrit :

jr wrote:

Dominique G. wrote:



Que maintenant la grande presse s'occupe à tirer des leçons de morale,
avec bientôt des lois, à propos de rien.



C'est juste faux.

Le consentement est aussi vieux que le Code Civil.



Rien à voir.



Parce que vous ne voulez pas voir (1), homme têtu.

Code civil
Livre Ier : Des personnes
Titre Ier : Des droits civils
Chapitre II : Du respect du corps humain




Rien à voir donc avec le texte que vous citiez sur le consentement, livre
III, acquisition de la propriété/contrats.


Article 16-3
Modifié par Loi n°2004-800 du 6 août 2004 - art. 9 JORF 7 août 2004

Il ne peut être porté atteinte à l'intégrité du corps humain qu'en cas
de nécessité médicale pour la personne ou à titre exceptionnel dans
l'intérêt thérapeutique d'autrui.



Qui parle de porter atteinte à l'intégrité?



Peut-être qu'à partir d'un certain âge, certains orifices ont du mal à
se refermer.

(1) "Ils ont des yeux et ne voient point"
Jérémie, 5,21
"Vous regarderez de vos yeux, et vous ne verrez point."
Mathieu, 13,14
Etc



"Si je ne vois dans ses mains la marque des clous, et si je ne mets mon doigt
à la place des clous et ma main dans son côté, je ne croirai point."


Déjà on parlait de mettre le doigt.



Sans préciser lequel !
(voir ta signature)
Avatar
foo
On 07/02/2015 18:22, Armand wrote:
a écrit dans le message de news: mb50op$mqm$
On 06/02/2015 18:30, Dominique G. wrote:
Rien compris.



Pour un garçon qui a écrit "Culture du viol au CHU" c'est normal, tu ne
comprends rien à rien.



de toute façon, on se demande bien ce
qu'elle vient foutre suer usenet !!!!




Tu le dis toi-même, il vient suer.
Avatar
Armand
a écrit dans le message de news: mb785s$8c0$
On 07/02/2015 15:22, Dominique G. wrote:
Moi j'ai un homme de mon âge,



J'espère pour toi qu'il est plus médecin que tu n'es juriste, garçon.

Corse.



Pourquoi cette précision ? Serais-tu *aussi* raciste au point de refuser
de te faire soigner par un médecin étranger ?



c'est surtout qu'elle fait parti des cons qui se la jouent avec des
plaques minéralogiques avec l'emblème Corse ; elle en a
tellement la trouille qu'elle le dit !!!!
Avatar
dmkgbt
jr wrote:

Le 07/02/2015 19:05, Dominique G. a écrit :

> jr wrote:
>
>> Dominique G. wrote:
>
>>>> Que maintenant la grande presse s'occupe à tirer des leçons de morale,
>>>> avec bientôt des lois, à propos de rien.
>>>
>>> C'est juste faux.
>>>
>>> Le consentement est aussi vieux que le Code Civil.
>>
>> Rien à voir.
>
> Parce que vous ne voulez pas voir (1), homme têtu.
>
> Code civil
> Livre Ier : Des personnes
> Titre Ier : Des droits civils
> Chapitre II : Du respect du corps humain


Rien à voir donc avec le texte que vous citiez sur le consentement,
livre III, acquisition de la propriété/contrats.



Le consentement est une des bases du Code Civil, vous dis-je.
Vous le retrouvez en premier lieu dans le droit des contrats mais aussi
dans le mariage, la filiation adoptive, les donations, les
successions...


> Article 16-3
> Modifié par Loi n°2004-800 du 6 août 2004 - art. 9 JORF 7 août 2004
>
> Il ne peut être porté atteinte à l'intégrité du corps humain qu'en cas
> de nécessité médicale pour la personne ou à titre exceptionnel dans
> l'intérêt thérapeutique d'autrui.

Qui parle de porter atteinte à l'intégrité?



La justice et donc vous, moi, les gens.

"Droit de chacun à ne pas subir des interventions affectant son aspect
physique ou psychologique."
<http://www.objectif-justice.fr/inviolabilite-du-corps-humain/>


L'aspect _psychologique_ est relevé, dont vous réfutez la pertinence
mais qui existe bel et bien en matière de trucs introduits dans les
orifices du corps, même s'il n'y a pas de blessure _physique_


D'ailleurs, même quand vous êtes mort, votre cadavre doit être respecté
(on a eu une discussion là dessus, il y a peu, d'ailleurs)

"le respect dû au corps humain ne cesse pas avec la mort"
<http://www.legifrance.gouv.fr/affichJuriJudi.do?oldAction=rechJuriJudi&idTexte=JURITEXT000029681249&fastReqId30931172&fastPos=2>

Et voici une application récente de ce principe qui découle également de
l'article 16 du Code civil :
<http://www.legifrance.gouv.fr/affichJuriJudi.do?idTexte=JURITEXT000007042067&dateTexte=>

"PROTECTION DES DROITS DE LA PERSONNE - Dignité de la personne humaine -
Atteinte - Publication de photographies - Photographies d'une dépouille
mortelle - Condition .
Justifie légalement sa décision au regard des exigences tant de
l'article 10 de la Convention européenne des droits de l'homme que de
l'article 16 du Code civil la cour d'appel qui juge illicite la
publication de la photographie de la dépouille mortelle d'un préfet de
la République, assassiné sur la voie publique, dès lors qu'elle retient
que la photographie représentait distinctement le corps et le visage de
la victime, retenant ainsi que cette image était attentatoire à la
dignité de la personne humaine..."

Il s'agissait de la dépouille du préfet Erignac, vous l'aviez sans doute
deviné.

(ce qui revient à dire, que, dans la dernière discussion que nous avons
eu sur la notion de "personne humaine" après la mort, notre
contradicteur avait raison au plan du droit)


> (1) "Ils ont des yeux et ne voient point"
> Jérémie, 5,21
> "Vous regarderez de vos yeux, et vous ne verrez point."
> Mathieu, 13,14
> Etc

"Si je ne vois dans ses mains la marque des clous, et si je ne mets mon
doigt à la place des clous et ma main dans son côté, je ne croirai point."


Déjà on parlait de mettre le doigt.



Oui, mais pas dans le cul :-)

--
Blanc-seing
Avatar
Romain
"Dominique G." a écrit dans le message de news:
1lzje6m.d2ni0c5tg0ekN%

Oui, mais pas dans le cul



quelle grossieretté, la pouf !!!!
tu es vulgaire, en fait, tu te retenais avant,
mais la nature est vite revenue au galop........
il est évident que cela reflette le gros problème
que tu vis actuellement, et usenet est un défouloir
pour ta gueule..........
(quand je dis avant, pour celles et ceusses qui ne
sont pas au courant, lire les posts qu'elle faisait
sur fr.rec.photo par exemple)
....... ha oui, elle avait le pseudo de merde de
"dominique de corse", c'est dire !........
Avatar
foo
On 08/02/2015 18:52, Dominique G. wrote:
Le consentement est une des bases du Code Civil, vous dis-je.



Et de *la loi* :

http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000227015

« Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le
consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut
être retiré à tout moment.
« Lorsque la personne est hors d'état d'exprimer sa volonté, aucune
intervention ou investigation ne peut être réalisée, sauf urgence ou
impossibilité, sans que la personne de confiance prévue à l'article L.
1111-6, ou la famille, ou à défaut, un de ses proches ait été consulté.
« Le consentement du mineur ou du majeur sous tutelle doit être
systématiquement recherché s'il est apte à exprimer sa volonté et à
participer à la décision. Dans le cas où le refus d'un traitement par la
personne titulaire de l'autorité parentale ou par le tuteur risque
d'entraîner des conséquences graves pour la santé du mineur ou du majeur
sous tutelle, le médecin délivre les soins indispensables.
« L'examen d'une personne malade dans le cadre d'un enseignement
clinique requiert son consentement préalable. Les étudiants qui
reçoivent cet enseignement doivent être au préalable informés de la
nécessité de respecter les droits des malades énoncés au présent titre.
« Les dispositions du présent article s'appliquent sans préjudice des
dispositions particulières relatives au consentement de la personne pour
certaines catégories de soins ou d'interventions.