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Culture du viol au CHU

320 réponses
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dmkgbt
Et ce sont ces gens là qui nous demandent de leur faire confiance quand
ils nous endorment pour nous opérer?

Visiblement l'avocat est en phase avec cette culture du viol :
"D'après Jean-Sébastien Laloy, avocat du syndicat des internes de
Clermont-Ferrand interrogé par La Montagne, le dessin existe depuis des
années, seules les bulles de BD sont apparues au cours du week-end, dans
"le but de sensibiliser par une image choc, dans un cadre strictement
privé, aux conséquences de la loi santé ". Il ajoute: "L'image a été
détournée de manière déloyale et choquante. Le président du syndicat des
internes de Clermont-Ferrand regrette l'image dégradante qui est donné
de l'internat et assure que l'intention n'était pas de représenter la
ministre de la Santé"."

Comme si la représentation d'un viol n'était choquante que lorsqu'elle
était dévoilée aux patients et visait une ministre :-(

<http://www.lesinrocks.com/2015/01/19/actualite/une-fresque-representant-un-viol-collectif-met-le-chu-de-clermont-ferrand-dans-la-tourmente-11548639/>


--
Tout est pardonné.
Je suis Charlie
Signé Mahomet.

10 réponses

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patrick.1200RTcazaux
Cl.Massé wrote:

Essaye un livre qu'on ne peut pas soupçonner d'être pollué par des
bondieuseries: "De l'Origine des Espèces" de Charles Darwin. C'est lui qui a
généré le nazisme et encore aujourd'hui une bonne partie de la pire idéologie
capitaliste. Comme germes on fait pas mieux.



les mesures de sécurité dans les HP ne sont plus ce qu'elles étaient.
--
Tardigradus
e^iπ=-1 c'est magnifique
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dmkgbt
wrote:

On 04/02/2015 08:28, Dominique G. wrote:
> Les uns après les autres, les externes ont donc examiné la prostate du
> patient endormi grâce à un toucher rectal, raconte Julie.
>
> <Des-medecins-pratiquent-des-touchers-vaginaux-a-l-insu-des-patientes.html>

Quand le vagin devient un rectum.



Quand le trou du cul de service se sent concerné.

--
Blanc-seing
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dmkgbt
jr wrote:

Le 04/02/2015 08:28, Dominique G. a écrit :
> Thomas wrote:
>
>> Dominique G. a formulé la demande :
>>
>>> Je ne suis pas bégueule mais j'avais une amie qui
>>
>> C'est fou comme c'est pratique, l'expression "j'ai une amie qui" pour
>> faire passer des idées incongrues.
>>
>>
>>> bossait comme
>>> infirmière au CHU de Clermont-Ferrand et ce qu'elle m'avait raconté sur
>>> les pratiques de certains médecins en salle d'op', sur des jeunes femmes
>>> ou des mineures endormies (comme de vérifier leur virginité avec un
>>> doigt, pour rigoler) ou le fait qu'une infirmière _devait_ coucher pour
>>> ne pas se retrouver en gériatrie à torcher les grabataires (ma copine
>>> s'est retrouvée un an dans ce service alors qu'elle avait une spécialité
>>> en chirurgie) m'avait particulièrement écœurée.
>>
>> Et c'est cette même pétasse de Dominique qui traite ensuite autrui de
>> parano.
>
> Vous aimez les touchers rectaux, vous?
>
> "On est venu nous chercher et on nous a dit : 'ce patient a une grosse
> prostate, on la sent bien au touché ; c'est l'occasion'. Nous y sommes
> tous passés ».
>
> Les uns après les autres, les externes ont donc examiné la prostate du
> patient endormi grâce à un toucher rectal, raconte Julie. « Je n'ai pas
> osé refuser, car c'était mon premier stage d'externat, et il y a une
> telle hiérarchie… J'ai dit que je n'étais pas à l'aise, on m'a répondu :
> 'ne t'en fais pas, il ne sent rien'. Je me sentais vraiment mal, j'avais
> l'impression que nous violions tous, à la chaine, l'intimité et le corps
> du patient."

Bof bof bof. Quelle affaire.



Pour les petits trous du cul que ça ne dérange pas quand c'est un vagin,
et qui mettent leur orifice anal dans la catégorie " touche pas ou tu
prends mon poing dans la gueule", c'est une grosse affaire, justement.
On touche au saint des saints, voyons... :-D

S'il s'agissait du nez ou de l'oreille, ça
ne ferait pas le buzz. Le patient ne sent rien, les étudiants étudient,
il n'y a pas de séquelle, il y a le secret médical qui couvre la
découverte d'une petite bite, quel est le préjudice exactement?



La notion de consentement vous échappe-t-elle à ce point?

(snip souvenirs)

Quant au "viol", c'est encore la magie des mots. Si, comme dit
l'article, "certains parlent de viol au sens juridique du terme", qu'ils
le dénoncent au commissariat. C'est un délit de ne pas le faire. Ils ne
le font pas.



Peut-être que, maintenant, ils le feront.

Total délire encore.



Comme les "violences conjugales", brocardées par les humoristes et
requalifiées "scènes de ménage" par les pandores mâles?


--
Blanc-seing
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Eudes
"Dominique G." a écrit dans le message de news:
1lzbfn4.z05yo4gz7r40N%
wrote:

On 04/02/2015 08:28, Dominique G. wrote:
> Les uns après les autres, les externes ont donc examiné la prostate du
> patient endormi grâce à un toucher rectal, raconte Julie.
>
> <Des-medecins-pratiquent-des-touchers-vaginaux-a-l-insu-des-patientes.html>

Quand le vagin devient un rectum.



Quand le trou du cul de service se sent concerné.



ta gueule la pouf, va te faire foutre ailleurs !!!!
on s'en fout de tes branlettes de foufoune !!!!
Avatar
Eudes
"Dominique G." a écrit dans le message de news:
1lzbfau.14cv2v81o0gx7gN%

Pour les petits trous du cul



t'es vulgaire à un point, la pouf !!!!
on dirai bien que t'as envie de te faire enfler !.......
Avatar
jr
Le 04/02/2015 10:55, Dominique G. a écrit :
S'il s'agissait du nez ou de l'oreille, ça
ne ferait pas le buzz. Le patient ne sent rien, les étudiants étudient,
il n'y a pas de séquelle, il y a le secret médical qui couvre la
découverte d'une petite bite, quel est le préjudice exactement?



La notion de consentement vous échappe-t-elle à ce point?



Il s'agit d'opérations dans des CHRU avec U comme universitaire, ou des
établissements habilités à recevoir des étudiants en formation. Il y a
statutairement des gens qui ne sont là que pour s'exercer sous le
contrôle de gens qui savent. Aller là-dedans, c'est consentir à la
présence d'étudiants actifs. Chacun d'eux va forcément y faire ses
premières fois, premières ponctions lombaires, premières palpations de
seins, premiers touchers. S'il y a une belle grosseur dans le sein, ou
un beau click à l'auscultation, c'est pas plus mal pour les malades
suivants que l'étudiant passe après le patron (ou lui fasse vérifier).
En tous cas je ne vois pas comment il peut apprendre autrement. Et comme
beaucoup je suppose, moi je préfère être opéré par quelqu'un qui a de
l'expérience in vivo plutôt que sur mannequin.

Mais je sens bien que, quand ça se passe sous la ceinture, la gestion du
buzz va créer plus de complications que quand il s'agit de tumeurs du
coude. Rien que l'idée qu'on puisse toucher aux
lieux-sacrés-dont-le-nom-seul-est-un-gros-mot est en soi une agression,
que dis-je, un viol. Aggravé. En réunion, personne ayant autorité, tout
ça. Faudrait prévoir des caméras face au cul pour filmer ce qui s'y
passe quand on est endormi. S'assurer que tout est fait par des gens de
même sexe et de même sexualité. Prévoir un correspondant
éthique-sexuelle dans chaque équipe qui opère. Pouvoir porter plainte 20
ans après la majorité quand on a été opéré bébé.

Après il y a la narration de l'histoire. "Nous y sommes tous passés [au
toucher rectal]" Ooooh, ça fait abattage. Ils étaient "trois ou quatre"
Booof.
Et, à part les souvenir de Julie 23 ans qui ne sont en fait pas
scandaleux, personne n'a entendu parler d'abus de ce côté là. Ni
plaintes, ni remontées dans les comités d'éthique, ni rien au conseil de
l'Ordre. Juste une enquête dans pourquoidocteur qui nous informe aussi
sur les bienfaits du régime méditerranéen.

(snip souvenirs)

Quant au "viol", c'est encore la magie des mots. Si, comme dit
l'article, "certains parlent de viol au sens juridique du terme", qu'ils
le dénoncent au commissariat. C'est un délit de ne pas le faire. Ils ne
le font pas.



Peut-être que, maintenant, ils le feront.



Les "certains" sont des internautes. M'est avis que leur signalement sur
la base d'interviews de Julie se retournerait contre eux.

--
http://rouillard.org/bd.jpg
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Christian Navis
Dominique G. a pensé très fort :

Pour les petits trous du cul que ça ne dérange pas quand c'est un vagin,
et qui mettent leur orifice anal dans la catégorie " touche pas ou tu
prends mon poing dans la gueule", c'est une grosse affaire, justement.
On touche au saint des saints, voyons... :-D



D'après des médecins qui ont accepté de briser l'omerta, cette pratique
concerne autant les touchers vaginaux que rectaux, uniquement
lorsqu'ils
sont corrélés à une intervention chirurgicale proche, en précisant que
80% des externes en gynéco sont des femmes.
D'autres ajoutent qu'une intervention acceptée implique nécessairement
des intrusions intimes.

Ceci dit, dans un monde idéal où les hôpitaux recevraient les dotations
qu'ils demandent, on pourrait utiliser des mannequins réalistes
reproduisant les caractéristiques anatomiques et physiologiques H et F.
Ainsi serait respectée à la lettre la loi Kouchner de 2002 sur les
droits des patients qui oblige à les informer de toute action
prévisible
et à recueillir leur accord.

Maintenant, si l'on se place au niveau du droit pénal, je me demande si
une juridiction (il n'y a pas jurisprudence en la matière) retiendrait
l'élément "moral" de l'infraction, co-constitutif de celle-ci.
Amha tout dépendrait de la pertinence de "l'intrusion" mais comment
le juge pourrait-il évaluer les conclusions des experts ?

À l'heure actuelle, le Conseil National de l'Ordre affirme qu'il y
aurait manquement grave à la déontologie si des actions sans intérêt
thérapeutique étaient avérées sur des patients anesthésiés.
Mais des chirurgiens répliquent que ce n'est pas systématique,
et que les carabine n'effectuent un toucher que s’il y a un intérêt
thérapeutique et pédagogique, si cancer des ovaires ou de la prostate,
kyste, tumeur, grosseur suspecte, risque de complication...

Il me semble qu'on pourrait esquiver toute cette polémique en incluant
dans la liasse de documents que signe le patient une clause l'informant
qu'il est susceptible de subir des touchers liés à sa pathologie,
lorsqu'il sera anesthésié, si le chirurgien l'estime nécessaire,
et qu'il accepte d'avance que ceux-ci soient effectués par tout membre
de l'équipe chirurgicale.

--
« Très peu de gens savent réfléchir, mais tous ont des opinions.
Celles des autres dont ils deviennent des défenseurs intolérants.
Car ce qu'ils détestent le plus chez ceux qui pensent autrement,
C'est l'outrecuidance de prétendre penser par eux-mêmes. »
Arthur Schopenhauer
Avatar
foo
On 04/02/2015 10:55, Dominique G. wrote:
wrote:

On 04/02/2015 08:28, Dominique G. wrote:
Les uns après les autres, les externes ont donc examiné la prostate du
patient endormi grâce à un toucher rectal, raconte Julie.

<Des-medecins-pratiquent-des-touchers-vaginaux-a-l-insu-des-patientes.html>



Quand le vagin devient un rectum.



Quand le trou du cul de service se sent concerné.




Écoute garçon, ce n'est pas parce que tu as été violé dans une caravane
qui a été détruite par quelqu'un qui téléphonait qu'il faut te sentir
obligé de reporter ta souffrance sur les autres.
Avatar
foo
On 04/02/2015 13:15, Christian Navis wrote:
Dominique G. a pensé très fort :

Pour les petits trous du cul que ça ne dérange pas quand c'est un vagin,
et qui mettent leur orifice anal dans la catégorie " touche pas ou tu
prends mon poing dans la gueule", c'est une grosse affaire, justement.
On touche au saint des saints, voyons... :-D



D'après des médecins qui ont accepté de briser l'omerta, cette pratique
concerne autant les touchers vaginaux que rectaux, uniquement
lorsqu'ils
sont corrélés à une intervention chirurgicale proche, en précisant que
80% des externes en gynéco sont des femmes.
D'autres ajoutent qu'une intervention acceptée implique nécessairement
des intrusions intimes.

Ceci dit, dans un monde idéal où les hôpitaux recevraient les dotations
qu'ils demandent, on pourrait utiliser des mannequins réalistes
reproduisant les caractéristiques anatomiques et physiologiques H et F.
Ainsi serait respectée à la lettre la loi Kouchner de 2002 sur les
droits des patients qui oblige à les informer de toute action
prévisible
et à recueillir leur accord.



C'est vrai mais ça coûte cher :
http://www.themarysue.com/robot-butt-simulator/
http://static02.mediaite.com/themarysue/uploads//2013/11/prostate-simulator-640x478.jpg



Maintenant, si l'on se place au niveau du droit pénal, je me demande si
une juridiction (il n'y a pas jurisprudence en la matière) retiendrait
l'élément "moral" de l'infraction, co-constitutif de celle-ci.
Amha tout dépendrait de la pertinence de "l'intrusion" mais comment
le juge pourrait-il évaluer les conclusions des experts ?

À l'heure actuelle, le Conseil National de l'Ordre affirme qu'il y
aurait manquement grave à la déontologie si des actions sans intérêt
thérapeutique étaient avérées sur des patients anesthésiés.
Mais des chirurgiens répliquent que ce n'est pas systématique,
et que les carabine n'effectuent un toucher que s’il y a un intérêt
thérapeutique et pédagogique, si cancer des ovaires ou de la prostate,
kyste, tumeur, grosseur suspecte, risque de complication...

Il me semble qu'on pourrait esquiver toute cette polémique en incluant
dans la liasse de documents que signe le patient une clause l'informant
qu'il est susceptible de subir des touchers liés à sa pathologie,
lorsqu'il sera anesthésié, si le chirurgien l'estime nécessaire,
et qu'il accepte d'avance que ceux-ci soient effectués par tout membre
de l'équipe chirurgicale.




Dominique nique nique est un taré obsessionnel qui voit des viols de
partout, sur une image de partouze/orgie et dans les touchers
rectaux-vaginaux. C'est à croire que quand il va chez le dentiste il
voit une bite entrer dans sa bouche en lieu et place d'une fraise.
Avatar
Titou
Christian Navis a présenté l'énoncé suivant :
Dominique G. a pensé très fort :

et qu'il accepte d'avance que ceux-ci soient effectués par tout membre
de l'équipe chirurgicale.



soupir...