Essaye un livre qu'on ne peut pas soupçonner d'être pollué par des
bondieuseries: "De l'Origine des Espèces" de Charles Darwin. C'est lui qui a
généré le nazisme et encore aujourd'hui une bonne partie de la pire idéologie
capitaliste. Comme germes on fait pas mieux.
Essaye un livre qu'on ne peut pas soupçonner d'être pollué par des
bondieuseries: "De l'Origine des Espèces" de Charles Darwin. C'est lui qui a
généré le nazisme et encore aujourd'hui une bonne partie de la pire idéologie
capitaliste. Comme germes on fait pas mieux.
Essaye un livre qu'on ne peut pas soupçonner d'être pollué par des
bondieuseries: "De l'Origine des Espèces" de Charles Darwin. C'est lui qui a
généré le nazisme et encore aujourd'hui une bonne partie de la pire idéologie
capitaliste. Comme germes on fait pas mieux.
On 04/02/2015 08:28, Dominique G. wrote:
> Les uns après les autres, les externes ont donc examiné la prostate du
> patient endormi grâce à un toucher rectal, raconte Julie.
>
> <Des-medecins-pratiquent-des-touchers-vaginaux-a-l-insu-des-patientes.html>
Quand le vagin devient un rectum.
On 04/02/2015 08:28, Dominique G. wrote:
> Les uns après les autres, les externes ont donc examiné la prostate du
> patient endormi grâce à un toucher rectal, raconte Julie.
>
> <Des-medecins-pratiquent-des-touchers-vaginaux-a-l-insu-des-patientes.html>
Quand le vagin devient un rectum.
On 04/02/2015 08:28, Dominique G. wrote:
> Les uns après les autres, les externes ont donc examiné la prostate du
> patient endormi grâce à un toucher rectal, raconte Julie.
>
> <Des-medecins-pratiquent-des-touchers-vaginaux-a-l-insu-des-patientes.html>
Quand le vagin devient un rectum.
Le 04/02/2015 08:28, Dominique G. a écrit :
> Thomas wrote:
>
>> Dominique G. a formulé la demande :
>>
>>> Je ne suis pas bégueule mais j'avais une amie qui
>>
>> C'est fou comme c'est pratique, l'expression "j'ai une amie qui" pour
>> faire passer des idées incongrues.
>>
>>
>>> bossait comme
>>> infirmière au CHU de Clermont-Ferrand et ce qu'elle m'avait raconté sur
>>> les pratiques de certains médecins en salle d'op', sur des jeunes femmes
>>> ou des mineures endormies (comme de vérifier leur virginité avec un
>>> doigt, pour rigoler) ou le fait qu'une infirmière _devait_ coucher pour
>>> ne pas se retrouver en gériatrie à torcher les grabataires (ma copine
>>> s'est retrouvée un an dans ce service alors qu'elle avait une spécialité
>>> en chirurgie) m'avait particulièrement écœurée.
>>
>> Et c'est cette même pétasse de Dominique qui traite ensuite autrui de
>> parano.
>
> Vous aimez les touchers rectaux, vous?
>
> "On est venu nous chercher et on nous a dit : 'ce patient a une grosse
> prostate, on la sent bien au touché ; c'est l'occasion'. Nous y sommes
> tous passés ».
>
> Les uns après les autres, les externes ont donc examiné la prostate du
> patient endormi grâce à un toucher rectal, raconte Julie. « Je n'ai pas
> osé refuser, car c'était mon premier stage d'externat, et il y a une
> telle hiérarchie… J'ai dit que je n'étais pas à l'aise, on m'a répondu :
> 'ne t'en fais pas, il ne sent rien'. Je me sentais vraiment mal, j'avais
> l'impression que nous violions tous, à la chaine, l'intimité et le corps
> du patient."
Bof bof bof. Quelle affaire.
S'il s'agissait du nez ou de l'oreille, ça
ne ferait pas le buzz. Le patient ne sent rien, les étudiants étudient,
il n'y a pas de séquelle, il y a le secret médical qui couvre la
découverte d'une petite bite, quel est le préjudice exactement?
Quant au "viol", c'est encore la magie des mots. Si, comme dit
l'article, "certains parlent de viol au sens juridique du terme", qu'ils
le dénoncent au commissariat. C'est un délit de ne pas le faire. Ils ne
le font pas.
Total délire encore.
Le 04/02/2015 08:28, Dominique G. a écrit :
> Thomas <ThxxxGr@gmail.com> wrote:
>
>> Dominique G. a formulé la demande :
>>
>>> Je ne suis pas bégueule mais j'avais une amie qui
>>
>> C'est fou comme c'est pratique, l'expression "j'ai une amie qui" pour
>> faire passer des idées incongrues.
>>
>>
>>> bossait comme
>>> infirmière au CHU de Clermont-Ferrand et ce qu'elle m'avait raconté sur
>>> les pratiques de certains médecins en salle d'op', sur des jeunes femmes
>>> ou des mineures endormies (comme de vérifier leur virginité avec un
>>> doigt, pour rigoler) ou le fait qu'une infirmière _devait_ coucher pour
>>> ne pas se retrouver en gériatrie à torcher les grabataires (ma copine
>>> s'est retrouvée un an dans ce service alors qu'elle avait une spécialité
>>> en chirurgie) m'avait particulièrement écœurée.
>>
>> Et c'est cette même pétasse de Dominique qui traite ensuite autrui de
>> parano.
>
> Vous aimez les touchers rectaux, vous?
>
> "On est venu nous chercher et on nous a dit : 'ce patient a une grosse
> prostate, on la sent bien au touché ; c'est l'occasion'. Nous y sommes
> tous passés ».
>
> Les uns après les autres, les externes ont donc examiné la prostate du
> patient endormi grâce à un toucher rectal, raconte Julie. « Je n'ai pas
> osé refuser, car c'était mon premier stage d'externat, et il y a une
> telle hiérarchie… J'ai dit que je n'étais pas à l'aise, on m'a répondu :
> 'ne t'en fais pas, il ne sent rien'. Je me sentais vraiment mal, j'avais
> l'impression que nous violions tous, à la chaine, l'intimité et le corps
> du patient."
Bof bof bof. Quelle affaire.
S'il s'agissait du nez ou de l'oreille, ça
ne ferait pas le buzz. Le patient ne sent rien, les étudiants étudient,
il n'y a pas de séquelle, il y a le secret médical qui couvre la
découverte d'une petite bite, quel est le préjudice exactement?
Quant au "viol", c'est encore la magie des mots. Si, comme dit
l'article, "certains parlent de viol au sens juridique du terme", qu'ils
le dénoncent au commissariat. C'est un délit de ne pas le faire. Ils ne
le font pas.
Total délire encore.
Le 04/02/2015 08:28, Dominique G. a écrit :
> Thomas wrote:
>
>> Dominique G. a formulé la demande :
>>
>>> Je ne suis pas bégueule mais j'avais une amie qui
>>
>> C'est fou comme c'est pratique, l'expression "j'ai une amie qui" pour
>> faire passer des idées incongrues.
>>
>>
>>> bossait comme
>>> infirmière au CHU de Clermont-Ferrand et ce qu'elle m'avait raconté sur
>>> les pratiques de certains médecins en salle d'op', sur des jeunes femmes
>>> ou des mineures endormies (comme de vérifier leur virginité avec un
>>> doigt, pour rigoler) ou le fait qu'une infirmière _devait_ coucher pour
>>> ne pas se retrouver en gériatrie à torcher les grabataires (ma copine
>>> s'est retrouvée un an dans ce service alors qu'elle avait une spécialité
>>> en chirurgie) m'avait particulièrement écœurée.
>>
>> Et c'est cette même pétasse de Dominique qui traite ensuite autrui de
>> parano.
>
> Vous aimez les touchers rectaux, vous?
>
> "On est venu nous chercher et on nous a dit : 'ce patient a une grosse
> prostate, on la sent bien au touché ; c'est l'occasion'. Nous y sommes
> tous passés ».
>
> Les uns après les autres, les externes ont donc examiné la prostate du
> patient endormi grâce à un toucher rectal, raconte Julie. « Je n'ai pas
> osé refuser, car c'était mon premier stage d'externat, et il y a une
> telle hiérarchie… J'ai dit que je n'étais pas à l'aise, on m'a répondu :
> 'ne t'en fais pas, il ne sent rien'. Je me sentais vraiment mal, j'avais
> l'impression que nous violions tous, à la chaine, l'intimité et le corps
> du patient."
Bof bof bof. Quelle affaire.
S'il s'agissait du nez ou de l'oreille, ça
ne ferait pas le buzz. Le patient ne sent rien, les étudiants étudient,
il n'y a pas de séquelle, il y a le secret médical qui couvre la
découverte d'une petite bite, quel est le préjudice exactement?
Quant au "viol", c'est encore la magie des mots. Si, comme dit
l'article, "certains parlent de viol au sens juridique du terme", qu'ils
le dénoncent au commissariat. C'est un délit de ne pas le faire. Ils ne
le font pas.
Total délire encore.
wrote:On 04/02/2015 08:28, Dominique G. wrote:
> Les uns après les autres, les externes ont donc examiné la prostate du
> patient endormi grâce à un toucher rectal, raconte Julie.
>
> <Des-medecins-pratiquent-des-touchers-vaginaux-a-l-insu-des-patientes.html>
Quand le vagin devient un rectum.
Quand le trou du cul de service se sent concerné.
<foo@foo.oof> wrote:
On 04/02/2015 08:28, Dominique G. wrote:
> Les uns après les autres, les externes ont donc examiné la prostate du
> patient endormi grâce à un toucher rectal, raconte Julie.
>
> <Des-medecins-pratiquent-des-touchers-vaginaux-a-l-insu-des-patientes.html>
Quand le vagin devient un rectum.
Quand le trou du cul de service se sent concerné.
wrote:On 04/02/2015 08:28, Dominique G. wrote:
> Les uns après les autres, les externes ont donc examiné la prostate du
> patient endormi grâce à un toucher rectal, raconte Julie.
>
> <Des-medecins-pratiquent-des-touchers-vaginaux-a-l-insu-des-patientes.html>
Quand le vagin devient un rectum.
Quand le trou du cul de service se sent concerné.
Pour les petits trous du cul
Pour les petits trous du cul
Pour les petits trous du cul
S'il s'agissait du nez ou de l'oreille, ça
ne ferait pas le buzz. Le patient ne sent rien, les étudiants étudient,
il n'y a pas de séquelle, il y a le secret médical qui couvre la
découverte d'une petite bite, quel est le préjudice exactement?
La notion de consentement vous échappe-t-elle à ce point?
(snip souvenirs)Quant au "viol", c'est encore la magie des mots. Si, comme dit
l'article, "certains parlent de viol au sens juridique du terme", qu'ils
le dénoncent au commissariat. C'est un délit de ne pas le faire. Ils ne
le font pas.
Peut-être que, maintenant, ils le feront.
S'il s'agissait du nez ou de l'oreille, ça
ne ferait pas le buzz. Le patient ne sent rien, les étudiants étudient,
il n'y a pas de séquelle, il y a le secret médical qui couvre la
découverte d'une petite bite, quel est le préjudice exactement?
La notion de consentement vous échappe-t-elle à ce point?
(snip souvenirs)
Quant au "viol", c'est encore la magie des mots. Si, comme dit
l'article, "certains parlent de viol au sens juridique du terme", qu'ils
le dénoncent au commissariat. C'est un délit de ne pas le faire. Ils ne
le font pas.
Peut-être que, maintenant, ils le feront.
S'il s'agissait du nez ou de l'oreille, ça
ne ferait pas le buzz. Le patient ne sent rien, les étudiants étudient,
il n'y a pas de séquelle, il y a le secret médical qui couvre la
découverte d'une petite bite, quel est le préjudice exactement?
La notion de consentement vous échappe-t-elle à ce point?
(snip souvenirs)Quant au "viol", c'est encore la magie des mots. Si, comme dit
l'article, "certains parlent de viol au sens juridique du terme", qu'ils
le dénoncent au commissariat. C'est un délit de ne pas le faire. Ils ne
le font pas.
Peut-être que, maintenant, ils le feront.
Pour les petits trous du cul que ça ne dérange pas quand c'est un vagin,
et qui mettent leur orifice anal dans la catégorie " touche pas ou tu
prends mon poing dans la gueule", c'est une grosse affaire, justement.
On touche au saint des saints, voyons... :-D
Pour les petits trous du cul que ça ne dérange pas quand c'est un vagin,
et qui mettent leur orifice anal dans la catégorie " touche pas ou tu
prends mon poing dans la gueule", c'est une grosse affaire, justement.
On touche au saint des saints, voyons... :-D
Pour les petits trous du cul que ça ne dérange pas quand c'est un vagin,
et qui mettent leur orifice anal dans la catégorie " touche pas ou tu
prends mon poing dans la gueule", c'est une grosse affaire, justement.
On touche au saint des saints, voyons... :-D
wrote:On 04/02/2015 08:28, Dominique G. wrote:Les uns après les autres, les externes ont donc examiné la prostate du
patient endormi grâce à un toucher rectal, raconte Julie.
<Des-medecins-pratiquent-des-touchers-vaginaux-a-l-insu-des-patientes.html>
Quand le vagin devient un rectum.
Quand le trou du cul de service se sent concerné.
<foo@foo.oof> wrote:
On 04/02/2015 08:28, Dominique G. wrote:
Les uns après les autres, les externes ont donc examiné la prostate du
patient endormi grâce à un toucher rectal, raconte Julie.
<Des-medecins-pratiquent-des-touchers-vaginaux-a-l-insu-des-patientes.html>
Quand le vagin devient un rectum.
Quand le trou du cul de service se sent concerné.
wrote:On 04/02/2015 08:28, Dominique G. wrote:Les uns après les autres, les externes ont donc examiné la prostate du
patient endormi grâce à un toucher rectal, raconte Julie.
<Des-medecins-pratiquent-des-touchers-vaginaux-a-l-insu-des-patientes.html>
Quand le vagin devient un rectum.
Quand le trou du cul de service se sent concerné.
Dominique G. a pensé très fort :Pour les petits trous du cul que ça ne dérange pas quand c'est un vagin,
et qui mettent leur orifice anal dans la catégorie " touche pas ou tu
prends mon poing dans la gueule", c'est une grosse affaire, justement.
On touche au saint des saints, voyons... :-D
D'après des médecins qui ont accepté de briser l'omerta, cette pratique
concerne autant les touchers vaginaux que rectaux, uniquement
lorsqu'ils
sont corrélés à une intervention chirurgicale proche, en précisant que
80% des externes en gynéco sont des femmes.
D'autres ajoutent qu'une intervention acceptée implique nécessairement
des intrusions intimes.
Ceci dit, dans un monde idéal où les hôpitaux recevraient les dotations
qu'ils demandent, on pourrait utiliser des mannequins réalistes
reproduisant les caractéristiques anatomiques et physiologiques H et F.
Ainsi serait respectée à la lettre la loi Kouchner de 2002 sur les
droits des patients qui oblige à les informer de toute action
prévisible
et à recueillir leur accord.
Maintenant, si l'on se place au niveau du droit pénal, je me demande si
une juridiction (il n'y a pas jurisprudence en la matière) retiendrait
l'élément "moral" de l'infraction, co-constitutif de celle-ci.
Amha tout dépendrait de la pertinence de "l'intrusion" mais comment
le juge pourrait-il évaluer les conclusions des experts ?
À l'heure actuelle, le Conseil National de l'Ordre affirme qu'il y
aurait manquement grave à la déontologie si des actions sans intérêt
thérapeutique étaient avérées sur des patients anesthésiés.
Mais des chirurgiens répliquent que ce n'est pas systématique,
et que les carabine n'effectuent un toucher que s’il y a un intérêt
thérapeutique et pédagogique, si cancer des ovaires ou de la prostate,
kyste, tumeur, grosseur suspecte, risque de complication...
Il me semble qu'on pourrait esquiver toute cette polémique en incluant
dans la liasse de documents que signe le patient une clause l'informant
qu'il est susceptible de subir des touchers liés à sa pathologie,
lorsqu'il sera anesthésié, si le chirurgien l'estime nécessaire,
et qu'il accepte d'avance que ceux-ci soient effectués par tout membre
de l'équipe chirurgicale.
Dominique G. a pensé très fort :
Pour les petits trous du cul que ça ne dérange pas quand c'est un vagin,
et qui mettent leur orifice anal dans la catégorie " touche pas ou tu
prends mon poing dans la gueule", c'est une grosse affaire, justement.
On touche au saint des saints, voyons... :-D
D'après des médecins qui ont accepté de briser l'omerta, cette pratique
concerne autant les touchers vaginaux que rectaux, uniquement
lorsqu'ils
sont corrélés à une intervention chirurgicale proche, en précisant que
80% des externes en gynéco sont des femmes.
D'autres ajoutent qu'une intervention acceptée implique nécessairement
des intrusions intimes.
Ceci dit, dans un monde idéal où les hôpitaux recevraient les dotations
qu'ils demandent, on pourrait utiliser des mannequins réalistes
reproduisant les caractéristiques anatomiques et physiologiques H et F.
Ainsi serait respectée à la lettre la loi Kouchner de 2002 sur les
droits des patients qui oblige à les informer de toute action
prévisible
et à recueillir leur accord.
Maintenant, si l'on se place au niveau du droit pénal, je me demande si
une juridiction (il n'y a pas jurisprudence en la matière) retiendrait
l'élément "moral" de l'infraction, co-constitutif de celle-ci.
Amha tout dépendrait de la pertinence de "l'intrusion" mais comment
le juge pourrait-il évaluer les conclusions des experts ?
À l'heure actuelle, le Conseil National de l'Ordre affirme qu'il y
aurait manquement grave à la déontologie si des actions sans intérêt
thérapeutique étaient avérées sur des patients anesthésiés.
Mais des chirurgiens répliquent que ce n'est pas systématique,
et que les carabine n'effectuent un toucher que s’il y a un intérêt
thérapeutique et pédagogique, si cancer des ovaires ou de la prostate,
kyste, tumeur, grosseur suspecte, risque de complication...
Il me semble qu'on pourrait esquiver toute cette polémique en incluant
dans la liasse de documents que signe le patient une clause l'informant
qu'il est susceptible de subir des touchers liés à sa pathologie,
lorsqu'il sera anesthésié, si le chirurgien l'estime nécessaire,
et qu'il accepte d'avance que ceux-ci soient effectués par tout membre
de l'équipe chirurgicale.
Dominique G. a pensé très fort :Pour les petits trous du cul que ça ne dérange pas quand c'est un vagin,
et qui mettent leur orifice anal dans la catégorie " touche pas ou tu
prends mon poing dans la gueule", c'est une grosse affaire, justement.
On touche au saint des saints, voyons... :-D
D'après des médecins qui ont accepté de briser l'omerta, cette pratique
concerne autant les touchers vaginaux que rectaux, uniquement
lorsqu'ils
sont corrélés à une intervention chirurgicale proche, en précisant que
80% des externes en gynéco sont des femmes.
D'autres ajoutent qu'une intervention acceptée implique nécessairement
des intrusions intimes.
Ceci dit, dans un monde idéal où les hôpitaux recevraient les dotations
qu'ils demandent, on pourrait utiliser des mannequins réalistes
reproduisant les caractéristiques anatomiques et physiologiques H et F.
Ainsi serait respectée à la lettre la loi Kouchner de 2002 sur les
droits des patients qui oblige à les informer de toute action
prévisible
et à recueillir leur accord.
Maintenant, si l'on se place au niveau du droit pénal, je me demande si
une juridiction (il n'y a pas jurisprudence en la matière) retiendrait
l'élément "moral" de l'infraction, co-constitutif de celle-ci.
Amha tout dépendrait de la pertinence de "l'intrusion" mais comment
le juge pourrait-il évaluer les conclusions des experts ?
À l'heure actuelle, le Conseil National de l'Ordre affirme qu'il y
aurait manquement grave à la déontologie si des actions sans intérêt
thérapeutique étaient avérées sur des patients anesthésiés.
Mais des chirurgiens répliquent que ce n'est pas systématique,
et que les carabine n'effectuent un toucher que s’il y a un intérêt
thérapeutique et pédagogique, si cancer des ovaires ou de la prostate,
kyste, tumeur, grosseur suspecte, risque de complication...
Il me semble qu'on pourrait esquiver toute cette polémique en incluant
dans la liasse de documents que signe le patient une clause l'informant
qu'il est susceptible de subir des touchers liés à sa pathologie,
lorsqu'il sera anesthésié, si le chirurgien l'estime nécessaire,
et qu'il accepte d'avance que ceux-ci soient effectués par tout membre
de l'équipe chirurgicale.
Dominique G. a pensé très fort :
et qu'il accepte d'avance que ceux-ci soient effectués par tout membre
de l'équipe chirurgicale.
Dominique G. a pensé très fort :
et qu'il accepte d'avance que ceux-ci soient effectués par tout membre
de l'équipe chirurgicale.
Dominique G. a pensé très fort :
et qu'il accepte d'avance que ceux-ci soient effectués par tout membre
de l'équipe chirurgicale.