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Culture du viol au CHU

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dmkgbt
Et ce sont ces gens là qui nous demandent de leur faire confiance quand
ils nous endorment pour nous opérer?

Visiblement l'avocat est en phase avec cette culture du viol :
"D'après Jean-Sébastien Laloy, avocat du syndicat des internes de
Clermont-Ferrand interrogé par La Montagne, le dessin existe depuis des
années, seules les bulles de BD sont apparues au cours du week-end, dans
"le but de sensibiliser par une image choc, dans un cadre strictement
privé, aux conséquences de la loi santé ". Il ajoute: "L'image a été
détournée de manière déloyale et choquante. Le président du syndicat des
internes de Clermont-Ferrand regrette l'image dégradante qui est donné
de l'internat et assure que l'intention n'était pas de représenter la
ministre de la Santé"."

Comme si la représentation d'un viol n'était choquante que lorsqu'elle
était dévoilée aux patients et visait une ministre :-(

<http://www.lesinrocks.com/2015/01/19/actualite/une-fresque-representant-un-viol-collectif-met-le-chu-de-clermont-ferrand-dans-la-tourmente-11548639/>


--
Tout est pardonné.
Je suis Charlie
Signé Mahomet.

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Colonial2015
Dominique G. avait écrit le 05/02/2015 :
(supersedes pour faute de frappe)

Colonial2015 wrote:

(supersedes )

Marc Lepetit a présenté l'énoncé suivant :



Dominique est une fille.



Quoique... aurait Devos.

Disons que ça parait probable. Mais j'ai déjà dit qu'un de mes amis
caldoches aurait dit: c'est un gros mâle!



Vous auriez dû lui demander la signification exacte de cette expression
avant de nous la sortir ( deux fois, en plus!)
Un gros mâle, c'est un cerf, mâle bien sûr, en principe imposant par sa
taille.
Les chasseurs broussards, quand ils parlent de leurs coups de chasse,
ont toujours tendance à dire qu'ils ont tué un gros mâle...sauf si
c'était une biche bien entendu.
Et si ce sont les autres chasseurs qui racontent, c'est un gadin ( un
cerf de taille normale voire un petit cerf)

Bref, vous avez pris un gadin avec votre blague :-D



Pas vraiment: j'ai vécu longtemps en Nouvelle -Calédonie, et comme tout
le monde, j'ai chassé le cerf sur la cote Ouest, du côté de
Boulouparis/La Foa. L'ami chasseur s'y connaisssait en gros mâles.
Quand il disait d'une fille que c'était un gros mâle, c'est qu'elle
n'était pas vraiment mettable et/ou qu'elle avait des moustaches...

--
"Il n'y a pas de vérités moyennes". (Georges Bernanos)
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jr
Le 05/02/2015 09:45, Dominique G. a écrit :
jr wrote:

Le 04/02/2015 10:55, Dominique G. a écrit :
S'il s'agissait du nez ou de l'oreille, ça
ne ferait pas le buzz. Le patient ne sent rien, les étudiants étudient,
il n'y a pas de séquelle, il y a le secret médical qui couvre la
découverte d'une petite bite, quel est le préjudice exactement?



La notion de consentement vous échappe-t-elle à ce point?



Il s'agit d'opérations dans des CHRU avec U comme universitaire, ou des
établissements habilités à recevoir des étudiants en formation.



Vous occultez le fait que les patients - les malades donc - sont venus
là pour le H, pas pour le U.



Je n'occulte rien du tout, et je ne vous apprend pas j'espère que le U
est ce qui donne du prestige au CHU.

Il y a statutairement des gens qui ne sont là que pour s'exercer sous le
contrôle de gens qui savent. Aller là-dedans, c'est consentir à la
présence d'étudiants actifs.



Quand on va se faire opérer c'est parce qu'on est malade, pas pour
servir de cobayes.



Il ne s'agit pas de servir de cobaye; les mots ont un sens. De toutes
façons la présence d'enseignement clinique est signalée partout et
probablement aussi sur les documents qu'on fait signer. Ne pas oublier
que si le patient a le choix de son médecin et de son service
hospitalier, l'inverse est vrai aussi sauf urgence et discrimination.
R4127-47 code santé publique.

Chacun d'eux va forcément y faire ses premières fois, premières ponctions
lombaires, premières palpations de seins, premiers touchers. S'il y a une
belle grosseur dans le sein, ou un beau click à l'auscultation, c'est pas
plus mal pour les malades suivants que l'étudiant passe après le patron
(ou lui fasse vérifier).



Et le "consentement éclairé" du patient, on s'assied dessus?



Pour un examen? Si le malade est conscient, on lui explique poliment.
Sinon, il a signé plein de papiers indiquant la présence d'étudiants qui
étudient.

En tous cas je ne vois pas comment il peut apprendre autrement. Et comme
beaucoup je suppose, moi je préfère être opéré par quelqu'un qui a de
l'expérience in vivo plutôt que sur mannequin.



On peut envisager de payer des volontaires pour servir aux testeurs aux
gestes médicaux.
Ce serait in vivo et coûterait ainsi bien moins cher que des mannequins.
Et on serait sûr du consentement éclairé des testés.



Il s'agit de malades tous différents.

Si je suis sur la table, c'est pour subir un acte thérapeutique, pas
pour servir de cobaye ou de sparring partner à des étudiants en cours
d'apprentissage.



Personne n'est obligé de vous opérer, sauf urgence. La liasse qu'on vous
fait signer n'est en général pas une option.

Je vous parle de consentement à un acte sur un être humain.
Que ce soit pour une opération du c½ur, un frottis vaginal, une séance
de bondage ou une partie de jambes en l'air, il faut que le consentement
soit clairement exprimé



Ah oui, consentement clairement exprimé pour une partie de jambes en
l'air, c'est super romantique.

Il y a eu longtemps des chirurgiens qui ont opérés les enfants



Les bébés.

sans anesthésie parce que - prétendaient-ils - ils ne souffraient pas.



Et ils avaient peut-être bien raison. En ce temps-là l'anesthésie était
faite par une infirmière sans qualifications avec un robinet on/off sur
le gaz hilarant, ou au chloroforme, et était dangereuse pour les bébés.
Et le système nerveux de bébé qui ne maîtrise pas ses mouvements n'est
pas vraiment au point, on peut bien se demander si.
Aujourd'hui la technique permet de couper court à la discussion.

Vous croyez que si un chirurgien essaie encore de faire ça, il ne va pas
se prendre une plainte?



Les chirurgiens opèrent des f½tus viables in utero, sans anesthésie
(autre que celle de la femme). Avec exactement les mêmes motivations
qu'autrefois. Quand on pourra anesthésier un f½tus facilement, on le
fera -à tout hasard.

A l'avant-dernier siècle, on se permettait encore de mettre des
Africains dans des cages au zoo, sous prétexte qu'on ne demande pas leur
consentement à des sous-humains.



On le faisait, c'était très laid, mais on leur avait demandé,
figurez-vous. Au moins au chef. Il ne s'agissait pas de cages au zoo,
d'ailleurs, mais de pseudo-villages transplantés et exhibés dans les
expositions universelles ou autres.
http://www.deshumanisation.com/images/stories/zoos-humains-nogent-sur-marne-1907.jpg

En cage dans un zoo, c'était
http://www.zoo-palmyre.fr/sites/default/files/historique/georges_de_caunes.jpg

Donc je reviens au sujet principal : a t-on le droit, en France, de
faire subir à un patient endormi des manipulations sans but
thérapeutique direct et sans son consentement préalable?



La réponse est non, et le corolaire c'est que le toubib et/ou l'hosto a
parfaitement le droit de vous envoyer paître hors urgence.


--
http://rouillard.org/bd.jpg
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dmkgbt
jr wrote:

Le 05/02/2015 13:28, Dominique G. a écrit :

> Oui et d'ailleurs, à ce propos, il y a une audience intéressante mardi
> prochain à la cour d'appel d'Aix-en-Provence.

Un taré voulait m'y citer comme témoin, il y a quelque temps.



Votre attestation est toujours présentée par la défense, mon bon.
Et la défense peut toujours vous faire citer à la barre pour l'appuyer
de votre témoignage direct.
Surtout que vous n'êtes pas loin...

Je suis très déçu, j'aurais mis un pantalon.



Venez comme vous êtes, comme chez MacDo.


--
Blanc-seing
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dmkgbt
jr wrote:

Le 05/02/2015 09:45, Dominique G. a écrit :

>>> La notion de consentement vous échappe-t-elle à ce point?
>>
>> Il s'agit d'opérations dans des CHRU avec U comme universitaire, ou des
>> établissements habilités à recevoir des étudiants en formation.
>
> Vous occultez le fait que les patients - les malades donc - sont venus
> là pour le H, pas pour le U.

Je n'occulte rien du tout, et je ne vous apprend pas j'espère que le U
est ce qui donne du prestige au CHU.



Et vous allez vous faire tripoter la prostate pour le prestige, vous?

Moi, tout ce que je demande à un CH, qu'il soit simple, U ou RU, c'est
d'avoir de bons médecins, de bons chirurgiens, des infirmières
compétentes et suffisamment de personnel et de moyens matériels pour que
je ne me chope pas une maladie nosocomiale ou une septicémie faute
d'asepsie.
Et que personne ne me parle à la troisième personne ("elle" a bien fait
son pipi, la p'tite dame?), qu'on ne me prenne pas pour une débile
mentale en évitant de me dire des mots qui fâchent (genre cancer, stade
terminal, invalidité et mort) et en "oubliant" de me signaler des trucs
qui vont se passer pendant que je ronfle.

Jusqu'alors, ça ne c'est pas trop mal passé entre les hôpitaux publics
et moi, et j'aimerais bien que ça continue.

>> Il y a statutairement des gens qui ne sont là que pour s'exercer sous le
>> contrôle de gens qui savent. Aller là-dedans, c'est consentir à la
>> présence d'étudiants actifs.
>
> Quand on va se faire opérer c'est parce qu'on est malade, pas pour
> servir de cobayes.

Il ne s'agit pas de servir de cobaye; les mots ont un sens.



Alors disons ne pas servir de mannequin de crash-test pour étudiants en
médecine acnéiques et maladroits.

De toutes façons la présence d'enseignement clinique est signalée partout
et probablement aussi sur les documents qu'on fait signer.



Apparemment, si le problème a été signalé c'est qu'on n'avait rien fait
signer à la belle au bois dormant avant de lui malaxer le point G ni au
prince charmant avant de lui titiller la glande.
Parce que sinon, l'hôpital se serait fait un plaisir de brandir la
signature sous le nez des journalistes ébaubis si non esbaudis.

Ne pas oublier que si le patient a le choix de son médecin et de son
service hospitalier, l'inverse est vrai aussi sauf urgence et
discrimination. R4127-47 code santé publique.



Blabla...

>> Chacun d'eux va forcément y faire ses premières fois, premières ponctions
>> lombaires, premières palpations de seins, premiers touchers. S'il y a une
>> belle grosseur dans le sein, ou un beau click à l'auscultation, c'est pas
>> plus mal pour les malades suivants que l'étudiant passe après le patron
>> (ou lui fasse vérifier).
>
> Et le "consentement éclairé" du patient, on s'assied dessus?

Pour un examen? Si le malade est conscient, on lui explique poliment.
Sinon, il a signé plein de papiers indiquant la présence d'étudiants qui
étudient.



Ça vous dérange que j'exige ce que ferait tout magistrat saisi d'une
plainte, à savoir _une preuve_ ?

D'ailleurs, la dernière fois que je suis allée à l'hosto pour un examen,
il y a trois ans, j'ai eu droit à la Charte et à signer un document
disant qu'on me l'avais bien remise et que je l'avais lue (et c'est vrai
que j'ai lue attentivement), c'est donc que c'est possible et même
obligatoire.


>> En tous cas je ne vois pas comment il peut apprendre autrement. Et comme
>> beaucoup je suppose, moi je préfère être opéré par quelqu'un qui a de
>> l'expérience in vivo plutôt que sur mannequin.
>
> On peut envisager de payer des volontaires pour servir aux testeurs aux
> gestes médicaux.
> Ce serait in vivo et coûterait ainsi bien moins cher que des mannequins.
> Et on serait sûr du consentement éclairé des testés.

Il s'agit de malades tous différents.



Comme les donneurs de sang ou d'organes :-)

> Si je suis sur la table, c'est pour subir un acte thérapeutique, pas
> pour servir de cobaye ou de sparring partner à des étudiants en cours
> d'apprentissage.

Personne n'est obligé de vous opérer, sauf urgence. La liasse qu'on vous
fait signer n'est en général pas une option.



Qui a parlé de refuser de signer? Tout ce que je demande c'est que le
document que je signe soit l'expression de la vérité, toute la vérité.
Et que si on a l'intention de me faire mettre un doigt dans le cul par
toute une promotion d'universitaires, je sois au courant, avant.

> Je vous parle de consentement à un acte sur un être humain.
> Que ce soit pour une opération du cœur, un frottis vaginal, une séance
> de bondage ou une partie de jambes en l'air, il faut que le consentement
> soit clairement exprimé

Ah oui, consentement clairement exprimé pour une partie de jambes en
l'air, c'est super romantique.



Il y a des mecs à qui il faut répéter 20 fois par soirée que "non, je
veux pas", je vous signale.
Et qu'un simple silence dû à une alcoolémie prononcée ou à une
anesthésie est pris par ces types là pour un acquiescement enthousiaste.

> Il y a eu longtemps des chirurgiens qui ont opérés les enfants

Les bébés.



Les enfants aussi.
Ma sœur aînée avait 8 ans quand on lui a enlevé les amygdales au scalpel
sans anesthésie (pas même un coup de spray anesthésiant, ça n'existait
pas à l'époque) et qu'elle a eu en tout et pour tout des glaçons à sucer
contre la douleur, après.

> sans anesthésie parce que - prétendaient-ils - ils ne souffraient pas.

Et ils avaient peut-être bien raison. En ce temps-là l'anesthésie était
faite par une infirmière sans qualifications avec un robinet on/off sur
le gaz hilarant, ou au chloroforme, et était dangereuse pour les bébés.
Et le système nerveux de bébé qui ne maîtrise pas ses mouvements n'est
pas vraiment au point, on peut bien se demander si.



Paul-Louis-Benoit Guersant qui écrit en 1864, date à laquelle
l'anesthésie existait depuis 24 ans : « Il est une foule de
circonstances où le chloroforme nous paraît très indiqué et nous devons
dire que l'ayant mis en usage chez plus de 6 000 enfants, nous ne
redoutons jamais d'anesthésier et le très jeune âge n'est pas une contre
indication. »

(le) docteur Daniel Alagille, patron de pédiatrie, qui écrivait en
1992 : « Les bébés ne souffrent pas. Lorsqu'ils crient, c'est de colère,
de faim, de soif, ou bien encore pour rien."

"Pierre Petit, qui fut le premier en France à opérer avec succès, en
1949, des atrésies de l'œsophage, incompatibles avec la vie, et très
délicates à opérer. Il rapporte son expérience. Au début, les opérations
étaient mal faites et les enfants mouraient souvent. Puis les opérations
se sont perfectionnées, les anesthésies également : « Nous avons eu une
vingtaine d'opérations avec quatre échecs »… « L'anesthésie est un
facteur important du succès. Elle doit créer l'insensibilité qui
s'oppose au développement de réflexes nocifs »

"le Dr Bernard Glorion, chirurgien pédiatrique, président du Conseil de
l'Ordre des chirurgiens pédiatriques de 1993 à 2001, qui dit
froidement : « Je n'ai jamais eu de carnet à souches » (carnet spécial
qui servait à prescrire de la morphine et qui a disparu aujourd'hui)
« Qu'est-ce que j'en aurais fait ? Je suis chirurgien pédiatrique ».
Son problème n'était pas de prescrire de la morphine."

"Toutes ces réserves étant faites, il est vrai que la douleur des bébés
et des enfants a été fortement négligée et considérée comme un problème
de peu d'importance, ou simplement comme un signe diagnostique
n'appelant pas une attitude thérapeutique particulière sur le symptôme
particulier de la douleur.
C'était la réalité jusqu'à mon entrée dans le service d'ORL de Trousseau
en 1986, où j'ai été confronté aux opérations des végétations chez les
petits enfants pratiquées sans anesthésie. En interrogeant les soignants
du service, j'ai découvert qu'avant les opérations des végétations des
moins de 2 ans sans anesthésie, toutes les végétations étaient opérées
ainsi, et même, dans les années 60, les amygdales."

<http://www.societe-histoire-naissance.fr/spip.php?article48>

Aujourd'hui la technique permet de couper court à la discussion.



Regardez les dates de ce que je cite au-dessus...Lisez le billet
complétement.

> Vous croyez que si un chirurgien essaie encore de faire ça, il ne va pas
> se prendre une plainte?

Les chirurgiens opèrent des fœtus viables in utero, sans anesthésie
(autre que celle de la femme). Avec exactement les mêmes motivations
qu'autrefois. Quand on pourra anesthésier un fœtus facilement, on le
fera -à tout hasard.



Lisez ça, à tout hasard :

"Techniques d'anesthésie pour des gestes in utero
anesthésie générale avec morphiniques
sédation avec morphiniques
anesthésie péridurale maternelle et sédation
But :
Analgésie fœtale
Immobilisme fœtal lors des gestes in utero
Stabilité hémodunamique maternelle
Confort et sécurité de la mère

<http://spiralconnect.univ-lyon1.fr/spiral-files/download?mode=inline&data11676>

(...)

> Donc je reviens au sujet principal : a t-on le droit, en France, de
> faire subir à un patient endormi des manipulations sans but
> thérapeutique direct et sans son consentement préalable?


La réponse est non, et le corolaire c'est que le toubib et/ou l'hosto a
parfaitement le droit de vous envoyer paître hors urgence.



Ben tiens.
L'ordre des médecins n'est pas d'accord avec vous :-)

"Les actes médicaux justifiant ce consentement doivent être entendus au
sens large : en commençant par l'examen clinique habituel dont certains
gestes peuvent être désagréables, comprenant des investigations
complémentaires non-invasives ou non-sensibles (par exemple sérologie
virale), différents traitements, la surveillance du traitement et de ses
suites ; il porte également sur la participation éventuelle du patient à
la formation d'étudiants ou de professionnels de santé (article
L.1111-4, 7ème alinéa du code de la santé publique), à des publications
qui permettraient une identification.
Le fait d'intervenir sur un patient contre son consentement est pour un
médecin une faute qui engage sa responsabilité civile et l'expose à une
sanction disciplinaire."

<http://www.conseil-national.medecin.fr/article/article-36-consentement-du-malade-260>


--
Blanc-seing
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dmkgbt
Colonial2015 wrote:

Quand il disait d'une fille que c'était un gros mâle, c'est qu'elle
n'était pas vraiment mettable et/ou qu'elle avait des moustaches...



Lui même se considérant comme un irrésistible séducteur et un super bon
coup.
Il arrivait à baiser autre chose que son gibier, votre beauf local?

--
Blanc-seing
Avatar
Ericetrac
Dominique G. a exprimé avec précision :
Jusqu'alors, ça ne c'est pas trop mal passé entre les hôpitaux publics
et moi, et j'aimerais bien que ça continue.



Quand on voit le résultat, mémère, on peut en douter.
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Francky
"Dominique G." a écrit dans le message de news:
1lzdxxw.9xjzfe1dugaxsN%

Venez comme vous êtes, comme chez MacDo.



putain, la pouf qui prêche sur d'autres forums pour
les écolos, les petits oiseaux, tout ça tout ça, hein ?!!!!
mais elle bouffe du mc do parce qu'elle retourne sa
veste à tous les coins de rue, la pétoche au cul !!!!
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Francky
"Dominique G." a écrit dans le message de news:
1lzdybo.17q9k5o1pnbtmkN%

Et vous allez vous faire tripoter la prostate



et toi, c'est pour quand ?
t'as fais la biopsie avant, la pouf ?
hahahahahahaha, chui mort de rire,
mais bien vivant !!!!
Avatar
Francky
"Dominique G." a écrit dans le message de news:
1lzdy4l.16tooca1rxqo3kN%
Colonial2015 wrote:

Quand il disait d'une fille que c'était un gros mâle, c'est qu'elle
n'était pas vraiment mettable et/ou qu'elle avait des moustaches...



Lui même se considérant comme un irrésistible séducteur et un super bon
coup.
Il arrivait à baiser autre chose que son gibier, votre beauf local?



tu parles d'enculades profondes à sec ou en mouillée, la pouf ?
je te trouve pleine d'envies de parler de cul en ce moment ......
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Jesus Hans Hubert FORM
Le 05/02/2015 21:23, Francky a écrit :
"Dominique G." a écrit dans le message de news:
1lzdy4l.16tooca1rxqo3kN%
Colonial2015 wrote:

Quand il disait d'une fille que c'était un gros mâle, c'est qu'elle
n'était pas vraiment mettable et/ou qu'elle avait des moustaches...



Lui même se considérant comme un irrésistible séducteur et un super bon
coup.
Il arrivait à baiser autre chose que son gibier, votre beauf local?



tu parles d'enculades profondes à sec ou en mouillée, la pouf ?
je te trouve pleine d'envies de parler de cul en ce moment ......




C'est l'effet DSK