Et ce sont ces gens là qui nous demandent de leur faire confiance quand
ils nous endorment pour nous opérer?
Visiblement l'avocat est en phase avec cette culture du viol :
"D'après Jean-Sébastien Laloy, avocat du syndicat des internes de
Clermont-Ferrand interrogé par La Montagne, le dessin existe depuis des
années, seules les bulles de BD sont apparues au cours du week-end, dans
"le but de sensibiliser par une image choc, dans un cadre strictement
privé, aux conséquences de la loi santé ". Il ajoute: "L'image a été
détournée de manière déloyale et choquante. Le président du syndicat des
internes de Clermont-Ferrand regrette l'image dégradante qui est donné
de l'internat et assure que l'intention n'était pas de représenter la
ministre de la Santé"."
Comme si la représentation d'un viol n'était choquante que lorsqu'elle
était dévoilée aux patients et visait une ministre :-(
"jr" a écrit dans le message de groupe de discussion : 54d46075$0$2993$
Plus personne ne prête officiellement le serment d'Hippocrate depuis des lustres.
Officiellement ça veut dire quoi? Bien sûr que les médecins ont toujours une déontologie. C'est plus important que le numéraire.
-- ~~~~ clmasse chez libre Hexagone Liberté, Egalité, Sale assisté.
Olivier B.
On Fri, 6 Feb 2015 14:41:46 +0100, (Gerald) wrote:
Tout simplement parce qu'apprendre la médecine consiste non pas à prendre contact avec des résultats d'examen, des radios et des comptes-rendus, mais avec le corps humain de monsieur ou madame tout-le-monde.
Du moment que la personne est d'accord.
-- pas de turlututu. apres l'@robase
On Fri, 6 Feb 2015 14:41:46 +0100,
voir_le_reply-to@car_cette_adresse_est_invalide.com (Gerald) wrote:
Tout simplement parce qu'apprendre la médecine consiste non pas à
prendre contact avec des résultats d'examen, des radios et des
comptes-rendus, mais avec le corps humain de monsieur ou madame
tout-le-monde.
On Fri, 6 Feb 2015 14:41:46 +0100, (Gerald) wrote:
Tout simplement parce qu'apprendre la médecine consiste non pas à prendre contact avec des résultats d'examen, des radios et des comptes-rendus, mais avec le corps humain de monsieur ou madame tout-le-monde.
Du moment que la personne est d'accord.
-- pas de turlututu. apres l'@robase
voir_le_reply-to
Dominique G. wrote:
> Je vais t'expliquer (sans gland espoir !)
Voilà, tout est dit :-D
Oui, si tu t'en arrêtes là, tu prouves l'étendue de tes capacités de lecture et d'analyse.
Je suppose que, dans le même ordre d'idée, tu es sûr qu'il y a une faute d'orthographe dans le titre du dernier opus du Canard Enchaîné ! :-)
-- Gérald
Dominique G. <dmkgbt@free.invalid> wrote:
> Je vais t'expliquer (sans gland espoir !)
Voilà, tout est dit :-D
Oui, si tu t'en arrêtes là, tu prouves l'étendue de tes capacités de
lecture et d'analyse.
Je suppose que, dans le même ordre d'idée, tu es sûr qu'il y a une faute
d'orthographe dans le titre du dernier opus du Canard Enchaîné ! :-)
Oui, si tu t'en arrêtes là, tu prouves l'étendue de tes capacités de lecture et d'analyse.
Je suppose que, dans le même ordre d'idée, tu es sûr qu'il y a une faute d'orthographe dans le titre du dernier opus du Canard Enchaîné ! :-)
-- Gérald
voir_le_reply-to
Olivier B. wrote:
>Tout simplement parce qu'apprendre la médecine consiste non pas à >prendre contact avec des résultats d'examen, des radios et des >comptes-rendus, mais avec le corps humain de monsieur ou madame >tout-le-monde. > Du moment que la personne est d'accord.
Je ne comprends absolument pas cette réponse, ni par rapport au post initial ni par rapport à ce que je viens d'écrire.
Je parlais des corps humains peu académiques, qui constituent le quotidien de tous les médecins : déformés, tordus, limités, douloureux, vieux, souvent obèses, souvent sales et sentant fort (sacrée discipline que l'anatomie *comparée* !)... et qui n'incitent vraiment pas à la gaudriole...
Et du besoin, après avoir assumé sa part de misère de longues heures dans n'importe quel service d'urgences, avec des cas qui vous resteront parfois dans la tête pour l'éternité... de décompresser, de prendre de la distance avec la vie, la souffrance, la mort... Qu'avez-vous besoin d'aller les faire chier dans leur salle de repos ?
Si le médecin avait pour mission d'empêcher de mourir, il échouerait tout le temps... déprimant ! Mais trop jeune, trop douloureux, trop injuste, trop... tout ce qu'on voudra, il est quand même des morts qu'on encaisse moins bien que d'autres... et le besoin induit de se redonner le goût de la vie... en chantant (entre autres) et jadis à plusieurs voix que c'en était un régal... À qui cela nuit-il ?
-- Gérald
Olivier B. <olivier.2a@free.fr> wrote:
>Tout simplement parce qu'apprendre la médecine consiste non pas à
>prendre contact avec des résultats d'examen, des radios et des
>comptes-rendus, mais avec le corps humain de monsieur ou madame
>tout-le-monde.
>
Du moment que la personne est d'accord.
Je ne comprends absolument pas cette réponse, ni par rapport au post
initial ni par rapport à ce que je viens d'écrire.
Je parlais des corps humains peu académiques, qui constituent le
quotidien de tous les médecins : déformés, tordus, limités, douloureux,
vieux, souvent obèses, souvent sales et sentant fort (sacrée discipline
que l'anatomie *comparée* !)... et qui n'incitent vraiment pas à la
gaudriole...
Et du besoin, après avoir assumé sa part de misère de longues heures
dans n'importe quel service d'urgences, avec des cas qui vous resteront
parfois dans la tête pour l'éternité... de décompresser, de prendre de
la distance avec la vie, la souffrance, la mort... Qu'avez-vous besoin
d'aller les faire chier dans leur salle de repos ?
Si le médecin avait pour mission d'empêcher de mourir, il échouerait
tout le temps... déprimant ! Mais trop jeune, trop douloureux, trop
injuste, trop... tout ce qu'on voudra, il est quand même des morts qu'on
encaisse moins bien que d'autres... et le besoin induit de se redonner
le goût de la vie... en chantant (entre autres) et jadis à plusieurs
voix que c'en était un régal... À qui cela nuit-il ?
>Tout simplement parce qu'apprendre la médecine consiste non pas à >prendre contact avec des résultats d'examen, des radios et des >comptes-rendus, mais avec le corps humain de monsieur ou madame >tout-le-monde. > Du moment que la personne est d'accord.
Je ne comprends absolument pas cette réponse, ni par rapport au post initial ni par rapport à ce que je viens d'écrire.
Je parlais des corps humains peu académiques, qui constituent le quotidien de tous les médecins : déformés, tordus, limités, douloureux, vieux, souvent obèses, souvent sales et sentant fort (sacrée discipline que l'anatomie *comparée* !)... et qui n'incitent vraiment pas à la gaudriole...
Et du besoin, après avoir assumé sa part de misère de longues heures dans n'importe quel service d'urgences, avec des cas qui vous resteront parfois dans la tête pour l'éternité... de décompresser, de prendre de la distance avec la vie, la souffrance, la mort... Qu'avez-vous besoin d'aller les faire chier dans leur salle de repos ?
Si le médecin avait pour mission d'empêcher de mourir, il échouerait tout le temps... déprimant ! Mais trop jeune, trop douloureux, trop injuste, trop... tout ce qu'on voudra, il est quand même des morts qu'on encaisse moins bien que d'autres... et le besoin induit de se redonner le goût de la vie... en chantant (entre autres) et jadis à plusieurs voix que c'en était un régal... À qui cela nuit-il ?
-- Gérald
jr
"Cl.Massé" wrote:
"jr" a écrit dans le message de groupe de discussion : 54d46075$0$2993$
Plus personne ne prête officiellement le serment d'Hippocrate depuis des lustres.
Officiellement ça veut dire quoi?
Ça veut dire que cela n'est en rien nécessaire. Ceux qui récitent quelque chose le font entre potes et entre deux verres, et ce qu'ils récitent est un baratin aménagé.
Bien sûr que les médecins ont toujours une déontologie.
Qui n'a plus rien à voir avec le serment.
-- Naturellement trouble.
"Cl.Massé" <contact@nospam.invalid> wrote:
"jr" a écrit dans le message de groupe de discussion :
54d46075$0$2993$426a74cc@news.free.fr...
Plus personne ne prête officiellement le serment d'Hippocrate depuis des
lustres.
Officiellement ça veut dire quoi?
Ça veut dire que cela n'est en rien nécessaire. Ceux qui récitent quelque
chose le font entre potes et entre deux verres, et ce qu'ils récitent est
un baratin aménagé.
Bien sûr que les médecins ont toujours une
déontologie.
"jr" a écrit dans le message de groupe de discussion : 54d46075$0$2993$
Plus personne ne prête officiellement le serment d'Hippocrate depuis des lustres.
Officiellement ça veut dire quoi?
Ça veut dire que cela n'est en rien nécessaire. Ceux qui récitent quelque chose le font entre potes et entre deux verres, et ce qu'ils récitent est un baratin aménagé.
Bien sûr que les médecins ont toujours une déontologie.
Qui n'a plus rien à voir avec le serment.
-- Naturellement trouble.
Olivier B.
On Sat, 7 Feb 2015 00:08:04 +0100, (Gerald) wrote:
Olivier B. wrote:
>Tout simplement parce qu'apprendre la médecine consiste non pas à >prendre contact avec des résultats d'examen, des radios et des >comptes-rendus, mais avec le corps humain de monsieur ou madame >tout-le-monde. > Du moment que la personne est d'accord.
Je ne comprends absolument pas cette réponse, ni par rapport au post initial
le post initial parle du viol au chu
ni par rapport à ce que je viens d'écrire.
Je parlais des corps humains peu académiques, qui constituent le quotidien de tous les médecins
je n'avais pas compris ça, et quand bien même je ne vois pas en quoi ça leur donne le droit de s'approprier le corps de leur patient durant leur someil.
-- pas de turlututu. apres l'@robase
On Sat, 7 Feb 2015 00:08:04 +0100,
voir_le_reply-to@car_cette_adresse_est_invalide.com (Gerald) wrote:
Olivier B. <olivier.2a@free.fr> wrote:
>Tout simplement parce qu'apprendre la médecine consiste non pas à
>prendre contact avec des résultats d'examen, des radios et des
>comptes-rendus, mais avec le corps humain de monsieur ou madame
>tout-le-monde.
>
Du moment que la personne est d'accord.
Je ne comprends absolument pas cette réponse, ni par rapport au post
initial
le post initial parle du viol au chu
ni par rapport à ce que je viens d'écrire.
Je parlais des corps humains peu académiques, qui constituent le
quotidien de tous les médecins
je n'avais pas compris ça, et quand bien même je ne vois pas en quoi
ça leur donne le droit de s'approprier le corps de leur patient durant
leur someil.
On Sat, 7 Feb 2015 00:08:04 +0100, (Gerald) wrote:
Olivier B. wrote:
>Tout simplement parce qu'apprendre la médecine consiste non pas à >prendre contact avec des résultats d'examen, des radios et des >comptes-rendus, mais avec le corps humain de monsieur ou madame >tout-le-monde. > Du moment que la personne est d'accord.
Je ne comprends absolument pas cette réponse, ni par rapport au post initial
le post initial parle du viol au chu
ni par rapport à ce que je viens d'écrire.
Je parlais des corps humains peu académiques, qui constituent le quotidien de tous les médecins
je n'avais pas compris ça, et quand bien même je ne vois pas en quoi ça leur donne le droit de s'approprier le corps de leur patient durant leur someil.
-- pas de turlututu. apres l'@robase
dmkgbt
jr wrote:
Dominique G. wrote: > Colonial2015 wrote: > >> Chacun assume sa libido comme il l'entend, à >> condition, toutefois, qu'il ne fasse pas de prosélytisme. > > Ha. > Il y a des prosélytes en libido?
Le prosélyte c'est l'élève.
Je sais, pépère.
Voir un dico.
C'est quoi un "dico"?
-- Blanc-seing
jr <jqs@froc.net> wrote:
Dominique G. <dmkgbt@free.invalid> wrote:
> Colonial2015 <jacqueschaumond@gmail.com> wrote:
>
>> Chacun assume sa libido comme il l'entend, à
>> condition, toutefois, qu'il ne fasse pas de prosélytisme.
>
> Ha.
> Il y a des prosélytes en libido?
Dominique G. wrote: > Colonial2015 wrote: > >> Chacun assume sa libido comme il l'entend, à >> condition, toutefois, qu'il ne fasse pas de prosélytisme. > > Ha. > Il y a des prosélytes en libido?