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Culture du viol au CHU

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dmkgbt
Et ce sont ces gens là qui nous demandent de leur faire confiance quand
ils nous endorment pour nous opérer?

Visiblement l'avocat est en phase avec cette culture du viol :
"D'après Jean-Sébastien Laloy, avocat du syndicat des internes de
Clermont-Ferrand interrogé par La Montagne, le dessin existe depuis des
années, seules les bulles de BD sont apparues au cours du week-end, dans
"le but de sensibiliser par une image choc, dans un cadre strictement
privé, aux conséquences de la loi santé ". Il ajoute: "L'image a été
détournée de manière déloyale et choquante. Le président du syndicat des
internes de Clermont-Ferrand regrette l'image dégradante qui est donné
de l'internat et assure que l'intention n'était pas de représenter la
ministre de la Santé"."

Comme si la représentation d'un viol n'était choquante que lorsqu'elle
était dévoilée aux patients et visait une ministre :-(

<http://www.lesinrocks.com/2015/01/19/actualite/une-fresque-representant-un-viol-collectif-met-le-chu-de-clermont-ferrand-dans-la-tourmente-11548639/>


--
Tout est pardonné.
Je suis Charlie
Signé Mahomet.

10 réponses

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Armand
"Dominique G." a écrit dans le message de news:
1lzgxuf.1uwwxx11629pgiN%

Je sais, pépère.



hahahahahaha, la vieille croute se croit au Lido, maintenant !!!!

C'est quoi un "dico"?



c'est DTC, la pouf !..................
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voir_le_reply-to
Olivier B. wrote:

le post initial parle du viol au chu



Pas exactement : le post initial parle de décoration de salles de garde
et assimile cela à une "culture du viol", ce que ça n'est absolument
pas.

je n'avais pas compris ça, et quand bien même je ne vois pas en quoi
ça leur donne le droit de s'approprier le corps de leur patient durant
leur someil.



Il n'est nullement question de cela non plus dans le post initial auquel
je me référais. La discussion a *ensuite* dérivé vers des allégations
dont il resterait à vérifier la réalité et le contexte.

Pour nuancer le propos sur le "consentement" du patient, un exemple
alternatif hors sphère génitale : quand on apprends les "gestes"
invasifs infirmiers ou chirurgicaux, il est d'usage de tester ses
premières intra-musculaires sur un bout de bifteck et ses premières
prises de sang entre collègues, sans parler des faux "plâtres" qu'on se
fait volontiers en décoration ou des sutures sur pieds de cochons...,
mais dès qu'on arrive à des gestes plus risqués ou plus invasifs il va
bien falloir qu'il y ait UNE PREMIÈRE FOIS, ...sur un patient. Sous
contrôle, évidemment, du chef de clinique, des infirmière etc. mais
quand même seul à bord, pour une ponction lombaire, avec une aiguille
mastock de 12 cm, et la moelle épinière et le LCR du patient au bout (de
mémoire on a une tolérance d'angle de moins de 2°, hors scolioses !). On
peut prendre toutes les précautions qu'on veut, regarder vingt fois les
radios, avoir vu faire cent fois les "pros", relu et relu les
protocoles, il y aura UNE PREMIÈRE FOIS. Question : faut-il prévenir le
patient, arriver en tremblant, ...ou pas plutôt se le garder pour soi,
arriver sûr de soi, le mettre en confiance, et faire cet acte avec tout
le sérieux et la rigueur dont on est capable ?

Pour revenir au TR c'est un peu pareil, on ne se le teste pas entre
collègues... :-) Étonnant ? Et c'est comme pour le piano, certains qui
ont les doigts plus longs sont avantagés... Les autres... font comme ils
peuvent.

Dans les années 70 il faisait partie de l'examen somatique normal, au
même titre que la recherche du signe de Babinsky et autres hippocratisme
digital. Réservé aux jeunes externes, pour les aguerrir. En salles
communes de trente lits, c'était moins un problème technique que de
trouver le moyen de respecter la discrétion et la pudeur du patient...
et de ne pas en faire des gorges chaudes si, à l'occasion, le geste
venait à déclencher une érection... Un sourire, la concentration sur le
professionnalisme du geste, et terminer aussi rapidement qu'on peut. Et
motus.

Comme je le disais, après ces moments inconfortables, et de tension
personnelle, avoir un lieu de défouloir me semble sain. C'est se faire
des films sur la question qui est malsain.

--
Gérald
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foo
On 07/02/2015 10:47, Gerald wrote:
Olivier B. wrote:

le post initial parle du viol au chu



Pas exactement : le post initial parle de décoration de salles de garde
et assimile cela à une "culture du viol", ce que ça n'est absolument
pas.

je n'avais pas compris ça, et quand bien même je ne vois pas en quoi
ça leur donne le droit de s'approprier le corps de leur patient durant
leur someil.



Il n'est nullement question de cela non plus dans le post initial auquel
je me référais. La discussion a *ensuite* dérivé vers des allégations
dont il resterait à vérifier la réalité et le contexte.

Pour nuancer le propos sur le "consentement" du patient, un exemple
alternatif hors sphère génitale : quand on apprends les "gestes"
invasifs infirmiers ou chirurgicaux, il est d'usage de tester ses
premières intra-musculaires sur un bout de bifteck et ses premières
prises de sang entre collègues, sans parler des faux "plâtres" qu'on se
fait volontiers en décoration ou des sutures sur pieds de cochons...,
mais dès qu'on arrive à des gestes plus risqués ou plus invasifs il va
bien falloir qu'il y ait UNE PREMIÈRE FOIS, ...sur un patient. Sous
contrôle, évidemment, du chef de clinique, des infirmière etc. mais
quand même seul à bord, pour une ponction lombaire, avec une aiguille
mastock de 12 cm, et la moelle épinière et le LCR du patient au bout (de
mémoire on a une tolérance d'angle de moins de 2°, hors scolioses !). On
peut prendre toutes les précautions qu'on veut, regarder vingt fois les
radios, avoir vu faire cent fois les "pros", relu et relu les
protocoles, il y aura UNE PREMIÈRE FOIS. Question : faut-il prévenir le
patient, arriver en tremblant, ...ou pas plutôt se le garder pour soi,
arriver sûr de soi, le mettre en confiance, et faire cet acte avec tout
le sérieux et la rigueur dont on est capable ?

Pour revenir au TR c'est un peu pareil, on ne se le teste pas entre
collègues... :-) Étonnant ? Et c'est comme pour le piano, certains qui
ont les doigts plus longs sont avantagés... Les autres... font comme ils
peuvent.

Dans les années 70 il faisait partie de l'examen somatique normal, au
même titre que la recherche du signe de Babinsky et autres hippocratisme
digital. Réservé aux jeunes externes, pour les aguerrir. En salles
communes de trente lits, c'était moins un problème technique que de
trouver le moyen de respecter la discrétion et la pudeur du patient...
et de ne pas en faire des gorges chaudes si, à l'occasion, le geste
venait à déclencher une érection... Un sourire, la concentration sur le
professionnalisme du geste, et terminer aussi rapidement qu'on peut. Et
motus.

Comme je le disais, après ces moments inconfortables, et de tension
personnelle, avoir un lieu de défouloir me semble sain. C'est se faire
des films sur la question qui est malsain.




Quel plaisir, certainement même plus, quelle satisfaction pour moi que
de lire l'intelligence, l'expérience et l'humanisme en guise de réponse
au(x) message(s) de l'obscurantiste garçon Dominique qui même après lui
avoir ouvert les yeux ne verra que son nombril sale et malodorant.
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foo
On 06/02/2015 18:30, Dominique G. wrote:
Rien compris.



Pour un garçon qui a écrit "Culture du viol au CHU" c'est normal, tu ne
comprends rien à rien.
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foo
On 07/02/2015 10:18, Dominique G. wrote:
C'est quoi un "dico"?



Un nom masculin :
http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/dico/25336
et une abréviation :
<Citation http://www.cnrtl.fr/definition/dictionnaire >
Rem. Dans ce sens A, dictionnaire est abrégé en dico dans le lang. des
écoles. Cf. Esn. 1948 et Aragon cité par Rob. Suppl. 1970.
<Citation http://www.cnrtl.fr/definition/dictionnaire >
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foo
On 06/02/2015 18:30, Dominique G. wrote:
Colonial2015 wrote:

> Dominique G. avait soumis l'idée :
> >>>> Quand il disait d'une fille que c'était un gros mâle, c'est qu'elle
> >>>> n'était pas vraiment mettable et/ou qu'elle avait des moustaches...


> >>>
> >>> Lui même se considérant comme un irrésistible séducteur et un super bon
> >>> coup.


> >>
> >> Il avait, c'est vrai, une réputation non usurpée de chaud lapin.


> >
> > Hé, bé, c'est pas un compliment, ça.
> > Vous avez déjà vu un lapin baiser?


>
> Non, pas vraiment. C'est une expression toute faite.


Faut se méfier de ces trucs là.
On croit faire un compliment et paf, on traite son meilleur copain
d'éjaculateur _très_ précoce :



Ah oui garçon, quel talent d'analyste une nouvelle fois. Pour que tu
comprennes *bien* cette expression qui t'est complétement étrangère il
faut que tu trouves la même science qui va t'expliquer combien de fois
dans sa vie un lapin mâle copule et combien de fois un homme fait la
même chose. Rapportée à la durée moyenne de leur existence respective tu
verras que l'éjaculateur précoce n'est pas celui que tu crois ...
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voir_le_reply-to
wrote:

Rapportée à la durée moyenne de leur existence respective tu
verras que l'éjaculateur précoce n'est pas celui que tu crois ...



Je n'ai plus la source, mais je suis sûr d'avoir lu que la durée moyenne
du coït chez l'homme (hors simagrées liées au plaisir) est de TROIS
MINUTES. Et ça semble assez raisonnable si on prend en compte les
nécessités biologiques, l'instinct de survie et autre babioles
cro-magnonesques, et si on se réfère au comportement de certains
primates haut de gamme.

Au niveau de l'espèce, l'éjaculation rapide (et non "précoce", jugement
de valeur !) est un signe de bonne santé et d'efficacité. :-)

--
Gérald
Avatar
foo
On 07/02/2015 13:59, Gerald wrote:
wrote:

Rapportée à la durée moyenne de leur existence respective tu
verras que l'éjaculateur précoce n'est pas celui que tu crois ...



Je n'ai plus la source, mais je suis sûr d'avoir lu que la durée moyenne
du coït chez l'homme (hors simagrées liées au plaisir) est de TROIS
MINUTES. Et ça semble assez raisonnable si on prend en compte les
nécessités biologiques, l'instinct de survie et autre babioles
cro-magnonesques, et si on se réfère au comportement de certains
primates haut de gamme.

Au niveau de l'espèce, l'éjaculation rapide (et non "précoce", jugement
de valeur !) est un signe de bonne santé et d'efficacité. :-)




Deux concepts indispensables à la survie qui doivent échapper au garçon
Dominique.
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foo
On 06/02/2015 18:30, Dominique G. wrote:
Notez que la nana qui vient pour une coupure au doigt et à qui le toubib
demande de se déshabiller entièrement peut commencer à s'inquiéter...



Hé garçon, je te savais pseudo juriste mais pas pseudo médecin, une
nouvelle corde à ton arc ! Par contre on va quand même continuer
d'éviter de te demander de diagnostiquer quoi que ce soit pour cette
pauvre nana.
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voir_le_reply-to
wrote:

Deux concepts indispensables à la survie qui doivent échapper au garçon
Dominique.



Je ne sais pas si on a levé le doute : est-il bien un garçon ?

Mais en admettant, j'ai connu au moins UN militant de la même mouvance
que lui, qui parlait "hardyment" de "chevaucher" sa femelle ou de la
"gamahucher", et pour lequel les "temps de passages" étaient (d'après
ses dires) respectés et dignes du livre des records (en termes de
rapidité) :-)

Je pense qu'il faut plutôt rechercher les "peine-à-jouir" dans la
tradition des acteurs pronos qui "liment", qui "liment"... sans "envoyer
la purée" et de ceux qui n'ont d'autre vocation que de tenter de les
imiter... jusque dans la bandaison molle quasi systématique.

J'admets que sous les projos, à la commande, avec les techniciens
autour, ça ne soit peut-être pas facile, mais c'est surtout affaire de
savoir, à un moment donné, ce qui vous fait bander ! Si on ne le sait
pas, ça ne marche pas (ah ! Fernande...). Et je ne suis pas bien sûr que
cette coterie le sache tant que ça...

--
Gérald