Bon, les gars, vous qui êtes linuxiens comme moi, est-il normal que je
n'arrive pas à dénicher de linuxien compétent depuis presque 6 mois ? Je
ne sais pas, il me semble que c'est la crise, tout ça, et qu'il devrait y
avoir des gens qui cherchent du boulot. Au lieu de quoi, je ne reçois que
des CV de "Java drones" (pour les développeurs) et "certification
MCSE" (pour les administrateurs). Comment se fait-ce?
Il y a deux/trois ans j'ai l'impression qu'il y avait plein monde et là,
pfuit....
--
The fact that a believer is happier than a sceptic is no more to the
point than the fact that a drunken man is happier than a sober one.
The happiness of credulity is a cheap and dangerous quality.
George Bernard Shaw
L'intérêt des langages interprétés est qu'ils sont rapides à écrire, c'est tout.
Pas uniquement. Il y a des langages qui ne sont pas compilables (sauf erreur de ma part) et surtout il existe des langages interprétés qui sont proches de l'optimalité (voir le FORTH et en particulier l'implantation gforth).
Il ne faut oublier non plus qu'il y a interprète et interprète et qu'il existe toute une palanquée de mécanisme entre l'interprète bête et méchant façon Basic qui doit tenir dans 16 Ko de ROM et le langage interprété qui a plusieurs centaines de Mo pour lui tout seul.
Sans doute, mais quel est l'intérêt, pour le programmeur, de tout ça ?
-- Richard
Le 20/10/2009 13:59, JKB a écrit :
L'intérêt des langages interprétés est qu'ils sont rapides à écrire,
c'est tout.
Pas uniquement. Il y a des langages qui ne sont pas compilables
(sauf erreur de ma part) et surtout il existe des langages
interprétés qui sont proches de l'optimalité (voir le FORTH et en
particulier l'implantation gforth).
Il ne faut oublier non plus qu'il y a interprète et interprète et
qu'il existe toute une palanquée de mécanisme entre l'interprète
bête et méchant façon Basic qui doit tenir dans 16 Ko de ROM et le
langage interprété qui a plusieurs centaines de Mo pour lui tout
seul.
Sans doute, mais quel est l'intérêt, pour le programmeur, de tout ça ?
L'intérêt des langages interprétés est qu'ils sont rapides à écrire, c'est tout.
Pas uniquement. Il y a des langages qui ne sont pas compilables (sauf erreur de ma part) et surtout il existe des langages interprétés qui sont proches de l'optimalité (voir le FORTH et en particulier l'implantation gforth).
Il ne faut oublier non plus qu'il y a interprète et interprète et qu'il existe toute une palanquée de mécanisme entre l'interprète bête et méchant façon Basic qui doit tenir dans 16 Ko de ROM et le langage interprété qui a plusieurs centaines de Mo pour lui tout seul.
Sans doute, mais quel est l'intérêt, pour le programmeur, de tout ça ?
-- Richard
Mihamina Rakotomandimby
10/20/2009 02:42 PM, Michel Talon:
C'est essentiellement l'argument majeur que l'on donne en faveur de Windows, en fait. Mais dans ce cas il y a d'excellentes raisons de ne pas vouloir de Windows, alors que dans le choix des langages rien de tel.
Un peu quand meme. Sun a été (il y a longtemps peut-etre) un "méchant".
10/20/2009 02:42 PM, Michel Talon:
C'est essentiellement l'argument majeur que l'on donne en faveur de
Windows, en fait. Mais dans ce cas il y a d'excellentes raisons de ne
pas vouloir de Windows, alors que dans le choix des langages rien de
tel.
Un peu quand meme. Sun a été (il y a longtemps peut-etre) un "méchant".
C'est essentiellement l'argument majeur que l'on donne en faveur de Windows, en fait. Mais dans ce cas il y a d'excellentes raisons de ne pas vouloir de Windows, alors que dans le choix des langages rien de tel.
Un peu quand meme. Sun a été (il y a longtemps peut-etre) un "méchant".
Mihamina Rakotomandimby
10/20/2009 12:06 PM, Michel Talon:
3°) Pourquoi, mais pourquoi donc Java?
Raison N°1: il y a beaucoup de programmeurs Java, donc pour une longue période prévisible il n'y aura pas de mal à en trouver.
Oui, coté employeur, ça roule. Et quand je serais un jour un vrai chef d'entreprise, j'y penserais certainement. Coté chomeur, c'est celui qui baissera sa culotte le plus bas qui trouvera.
Mon contexte: je ne suis pas chef d'enterprise. Je prefère "faire la queue" là ou il y a un peu moins de monde. C'est une des raisons pour lesquelles j'ai touché à Linux.
10/20/2009 12:06 PM, Michel Talon:
3°) Pourquoi, mais pourquoi donc Java?
Raison N°1: il y a beaucoup de programmeurs Java, donc pour une longue
période prévisible il n'y aura pas de mal à en trouver.
Oui, coté employeur, ça roule. Et quand je serais un jour un vrai chef d'entreprise,
j'y penserais certainement.
Coté chomeur, c'est celui qui baissera sa culotte le plus bas qui trouvera.
Mon contexte: je ne suis pas chef d'enterprise.
Je prefère "faire la queue" là ou il y a un peu moins de monde.
C'est une des raisons pour lesquelles j'ai touché à Linux.
Raison N°1: il y a beaucoup de programmeurs Java, donc pour une longue période prévisible il n'y aura pas de mal à en trouver.
Oui, coté employeur, ça roule. Et quand je serais un jour un vrai chef d'entreprise, j'y penserais certainement. Coté chomeur, c'est celui qui baissera sa culotte le plus bas qui trouvera.
Mon contexte: je ne suis pas chef d'enterprise. Je prefère "faire la queue" là ou il y a un peu moins de monde. C'est une des raisons pour lesquelles j'ai touché à Linux.
JKB
Le 20-10-2009, ? propos de Re: De la difficulté à trouver des linuxiens professionnels, Richard Delorme ?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :
Le 20/10/2009 13:59, JKB a écrit :
L'intérêt des langages interprétés est qu'ils sont rapides à écrire, c'est tout.
Pas uniquement. Il y a des langages qui ne sont pas compilables (sauf erreur de ma part) et surtout il existe des langages interprétés qui sont proches de l'optimalité (voir le FORTH et en particulier l'implantation gforth).
Il ne faut oublier non plus qu'il y a interprète et interprète et qu'il existe toute une palanquée de mécanisme entre l'interprète bête et méchant façon Basic qui doit tenir dans 16 Ko de ROM et le langage interprété qui a plusieurs centaines de Mo pour lui tout seul.
Sans doute, mais quel est l'intérêt, pour le programmeur, de tout ça ?
Une fois qu'on a viré les interprètes historiques (principalement Basic, mais j'ai déjà vu un interprète C...), on arrive à trouver des trucs sérieux. Ces langages sont intéressants et leurs caractéristiques sont différentes de celles des langages compilés.
En particulier, on peut faire des choses amusantes lors de l'exécution des fonctions (modification des routines). On peut évaluer des fonctions entrées par l'utilisateur si l'interprète n'est pas mauvais. Essaye de modifier lors de l'exécution un bout de fonction dans un code compilé, c'est assez casse-gueule. Essaye d'exécuter des fonctions entrées par l'utilisateur avec un langage compilé comme le C.
JKB
-- Le cerveau, c'est un véritable scandale écologique. Il représente 2% de notre masse corporelle, mais disperse à lui seul 25% de l'énergie que nous consommons tous les jours.
Le 20-10-2009, ? propos de
Re: De la difficulté à trouver des linuxiens professionnels,
Richard Delorme ?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :
Le 20/10/2009 13:59, JKB a écrit :
L'intérêt des langages interprétés est qu'ils sont rapides à écrire,
c'est tout.
Pas uniquement. Il y a des langages qui ne sont pas compilables
(sauf erreur de ma part) et surtout il existe des langages
interprétés qui sont proches de l'optimalité (voir le FORTH et en
particulier l'implantation gforth).
Il ne faut oublier non plus qu'il y a interprète et interprète et
qu'il existe toute une palanquée de mécanisme entre l'interprète
bête et méchant façon Basic qui doit tenir dans 16 Ko de ROM et le
langage interprété qui a plusieurs centaines de Mo pour lui tout
seul.
Sans doute, mais quel est l'intérêt, pour le programmeur, de tout ça ?
Une fois qu'on a viré les interprètes historiques (principalement
Basic, mais j'ai déjà vu un interprète C...), on arrive à trouver
des trucs sérieux. Ces langages sont intéressants et leurs
caractéristiques sont différentes de celles des langages compilés.
En particulier, on peut faire des choses amusantes lors de
l'exécution des fonctions (modification des routines). On peut
évaluer des fonctions entrées par l'utilisateur si l'interprète
n'est pas mauvais. Essaye de modifier lors de
l'exécution un bout de fonction dans un code compilé, c'est assez
casse-gueule. Essaye d'exécuter des fonctions entrées par
l'utilisateur avec un langage compilé comme le C.
JKB
--
Le cerveau, c'est un véritable scandale écologique. Il représente 2% de notre
masse corporelle, mais disperse à lui seul 25% de l'énergie que nous
consommons tous les jours.
Le 20-10-2009, ? propos de Re: De la difficulté à trouver des linuxiens professionnels, Richard Delorme ?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :
Le 20/10/2009 13:59, JKB a écrit :
L'intérêt des langages interprétés est qu'ils sont rapides à écrire, c'est tout.
Pas uniquement. Il y a des langages qui ne sont pas compilables (sauf erreur de ma part) et surtout il existe des langages interprétés qui sont proches de l'optimalité (voir le FORTH et en particulier l'implantation gforth).
Il ne faut oublier non plus qu'il y a interprète et interprète et qu'il existe toute une palanquée de mécanisme entre l'interprète bête et méchant façon Basic qui doit tenir dans 16 Ko de ROM et le langage interprété qui a plusieurs centaines de Mo pour lui tout seul.
Sans doute, mais quel est l'intérêt, pour le programmeur, de tout ça ?
Une fois qu'on a viré les interprètes historiques (principalement Basic, mais j'ai déjà vu un interprète C...), on arrive à trouver des trucs sérieux. Ces langages sont intéressants et leurs caractéristiques sont différentes de celles des langages compilés.
En particulier, on peut faire des choses amusantes lors de l'exécution des fonctions (modification des routines). On peut évaluer des fonctions entrées par l'utilisateur si l'interprète n'est pas mauvais. Essaye de modifier lors de l'exécution un bout de fonction dans un code compilé, c'est assez casse-gueule. Essaye d'exécuter des fonctions entrées par l'utilisateur avec un langage compilé comme le C.
JKB
-- Le cerveau, c'est un véritable scandale écologique. Il représente 2% de notre masse corporelle, mais disperse à lui seul 25% de l'énergie que nous consommons tous les jours.
Nicolas George
Richard Delorme , dans le message <4adda2be$0$965$, a écrit :
L'intérêt des langages interprétés est qu'ils sont rapides à écrire, c'est tout.
On peut compiler du python et interpréter du C.
Richard Delorme , dans le message
<4adda2be$0$965$ba4acef3@news.orange.fr>, a écrit :
L'intérêt des langages interprétés est qu'ils sont rapides à écrire,
c'est tout.
Richard Delorme , dans le message <4adda2be$0$965$, a écrit :
L'intérêt des langages interprétés est qu'ils sont rapides à écrire, c'est tout.
On peut compiler du python et interpréter du C.
talon
Stephane TOUGARD wrote:
La difference entre mon inculture et ta culture. C'est que la mienne est le fruit d'une experience de la vraie vie et des imperatifs de productions. Pas des theories fumeuses d'universitaires.
La différence c'est que toi tu ne vois toujours que *ton type de production* alors que moi j'ai idée qu'il existe non seulement *ton* type de production, mais aussi des tas d'autres où les entrées sorties ne sont pas le facteur dominant du temps d'exécution et où les performances intrinsèques jouent donc un rôle capital. Par exemple le calcul graphique ou scientifique que j'ai déjà mentionnés.
Si tu parles des "impératifs de production" l'un d'entre eux est aussi la "maintenabilité". Bonne chance avec Perl pour ça, Emmanuel est en train d'en faire l'expérience.
--
Michel TALON
Stephane TOUGARD <stephane@unices.org> wrote:
La difference entre mon inculture et ta culture. C'est que la mienne est
le fruit d'une experience de la vraie vie et des imperatifs de
productions. Pas des theories fumeuses d'universitaires.
La différence c'est que toi tu ne vois toujours que *ton type de
production* alors que moi j'ai idée qu'il existe non seulement *ton*
type de production, mais aussi des tas d'autres où les entrées sorties
ne sont pas le facteur dominant du temps d'exécution et où les
performances intrinsèques jouent donc un rôle capital. Par exemple
le calcul graphique ou scientifique que j'ai déjà mentionnés.
Si tu parles des "impératifs de production" l'un d'entre eux est aussi
la "maintenabilité". Bonne chance avec Perl pour ça, Emmanuel est en
train d'en faire l'expérience.
La difference entre mon inculture et ta culture. C'est que la mienne est le fruit d'une experience de la vraie vie et des imperatifs de productions. Pas des theories fumeuses d'universitaires.
La différence c'est que toi tu ne vois toujours que *ton type de production* alors que moi j'ai idée qu'il existe non seulement *ton* type de production, mais aussi des tas d'autres où les entrées sorties ne sont pas le facteur dominant du temps d'exécution et où les performances intrinsèques jouent donc un rôle capital. Par exemple le calcul graphique ou scientifique que j'ai déjà mentionnés.
Si tu parles des "impératifs de production" l'un d'entre eux est aussi la "maintenabilité". Bonne chance avec Perl pour ça, Emmanuel est en train d'en faire l'expérience.
--
Michel TALON
Julien BLACHE
JKB wrote:
Non. Je ne réponds pas tant que ce n'est pas écrit correctement. Ça ne me coûte strictement rien. Et je te prie de me croire, les demandes de congés sont écrites correctement ;-)
Tu tapes là où ça fait mal, faut avouer :P
JB.
-- BOFH excuse #282: High altitude condensation from U.S.A.F prototype aircraft has contaminated the primary subnet mask. Turn off your computer for 9 days to avoid damaging it.
JKB <knatschke@koenigsberg.fr> wrote:
Non. Je ne réponds pas tant que ce n'est pas écrit correctement. Ça
ne me coûte strictement rien. Et je te prie de me croire, les
demandes de congés sont écrites correctement ;-)
Tu tapes là où ça fait mal, faut avouer :P
JB.
--
BOFH excuse #282:
High altitude condensation from U.S.A.F prototype aircraft has
contaminated the primary subnet mask. Turn off your computer for 9
days to avoid damaging it.
Non. Je ne réponds pas tant que ce n'est pas écrit correctement. Ça ne me coûte strictement rien. Et je te prie de me croire, les demandes de congés sont écrites correctement ;-)
Tu tapes là où ça fait mal, faut avouer :P
JB.
-- BOFH excuse #282: High altitude condensation from U.S.A.F prototype aircraft has contaminated the primary subnet mask. Turn off your computer for 9 days to avoid damaging it.
Julien BLACHE
Emmanuel Florac wrote:
Tout ça c'est de la légende totale, mis à part quelques prologues assez exaspérants, le corps du programme est typiquement exactement le même y compris de longueur similaire, entre Python et Java.
Permets moi d'être surpris. Ce n'est pas très représentatif des comparatifs habituels.
Tout dépend de la façon de développer ... si tu développes en Java comme en Python, le résultat de Michel n'est pas étonnant. En revanche, si tu développes façon Python d'un côté et Java de l'autre (avec design patterns et autres conneries OO), ça donne les choses qu'on connaît.
JB.
-- BOFH excuse #283: Lawn mower blade in your fan need sharpening
Emmanuel Florac <eflorac@imaginet.fr> wrote:
Tout ça c'est de la légende totale, mis à part quelques prologues assez
exaspérants, le corps du programme est typiquement exactement le même y
compris de longueur similaire, entre Python et Java.
Permets moi d'être surpris. Ce n'est pas très représentatif des
comparatifs habituels.
Tout dépend de la façon de développer ... si tu développes en Java
comme en Python, le résultat de Michel n'est pas étonnant. En
revanche, si tu développes façon Python d'un côté et Java de l'autre
(avec design patterns et autres conneries OO), ça donne les choses
qu'on connaît.
JB.
--
BOFH excuse #283:
Lawn mower blade in your fan need sharpening
Tout ça c'est de la légende totale, mis à part quelques prologues assez exaspérants, le corps du programme est typiquement exactement le même y compris de longueur similaire, entre Python et Java.
Permets moi d'être surpris. Ce n'est pas très représentatif des comparatifs habituels.
Tout dépend de la façon de développer ... si tu développes en Java comme en Python, le résultat de Michel n'est pas étonnant. En revanche, si tu développes façon Python d'un côté et Java de l'autre (avec design patterns et autres conneries OO), ça donne les choses qu'on connaît.
JB.
-- BOFH excuse #283: Lawn mower blade in your fan need sharpening
Julien BLACHE
Emmanuel Florac wrote:
Une certification RH me ferait plutôt fuir en courant.
Je n'en connais pas le contenu, mais beaucoup de ce genre de certificats ne valent pas tripette, en effet. Cependant il paraît que RedHat fait ça assez sérieusement, qui sait?
Pour connaître 2-3 personnes qui ont passé la certif RH, vu le déroulement des choses, euh, "non".
JB.
-- BOFH excuse #284: Electrons on a bender
Emmanuel Florac <eflorac@imaginet.fr> wrote:
Une certification RH me ferait plutôt fuir en courant.
Je n'en connais pas le contenu, mais beaucoup de ce genre de certificats
ne valent pas tripette, en effet. Cependant il paraît que RedHat fait ça
assez sérieusement, qui sait?
Pour connaître 2-3 personnes qui ont passé la certif RH, vu le
déroulement des choses, euh, "non".
Une certification RH me ferait plutôt fuir en courant.
Je n'en connais pas le contenu, mais beaucoup de ce genre de certificats ne valent pas tripette, en effet. Cependant il paraît que RedHat fait ça assez sérieusement, qui sait?
Pour connaître 2-3 personnes qui ont passé la certif RH, vu le déroulement des choses, euh, "non".
JB.
-- BOFH excuse #284: Electrons on a bender
Mihamina Rakotomandimby
10/20/2009 06:07 PM, Michel Talon:
Si tu parles des "impératifs de production" l'un d'entre eux est aussi la "maintenabilité". Bonne chance avec Perl pour ça, Emmanuel est en train d'en faire l'expérience.
Mais rien ne dit qu'elle est négative, son expérience.
10/20/2009 06:07 PM, Michel Talon:
Si tu parles des "impératifs de production" l'un d'entre eux est aussi
la "maintenabilité". Bonne chance avec Perl pour ça, Emmanuel est en
train d'en faire l'expérience.
Mais rien ne dit qu'elle est négative, son expérience.
Si tu parles des "impératifs de production" l'un d'entre eux est aussi la "maintenabilité". Bonne chance avec Perl pour ça, Emmanuel est en train d'en faire l'expérience.
Mais rien ne dit qu'elle est négative, son expérience.