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Debian vs PCLOS

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Bon, au Québec, la St-Jean, c'est la fête de notre très cher saint
patron, donc, le temps de sortir de l'ornière, de voir neuf. Alors,
après mure réflexion, ayant quelques DD à ma disposition, j'ai voulu
savoir de quoi avaient l'air Debian et PCLinuxOS.

Hé, super Debian, après bientôt 14 ans de développement! D'abord. lors
de l'installation, pas de vérification des bad blocks. Bah, je suppose
qu'il n'y a qu'à ouvrir une autre console et, comme on connaît le man
page par coeur, no problemo. Seulement, comme, moi, je ne le connais pas
par coeur, j'ai dû passer tout droit. (Bizarre, le correcteur ne reconna
ît pas le mot coeur!)

C'est pas grave, le bit manquant va certainement tomber sur un bit
couleur de KDE, pas dans ssh. Après tout, on a affaire à une
distribution professionnelle: il faut s'y fier! Il y a juste les distros
amateur comme PCLinuxOS pour offrir ça. (Option advanced... ou expert,
mais c'est même pas en français.)

Ensuite, si vous avez téléchargé 21 CDs: erreur! L'installation ne
demande que le premier. Ensuite, elle se fait du net... sauf pour
shorewall, si je me souviens bien: là, il faut avoir le CD... le CD1,

Reste ensuite À installer synaptic, parce que, chez Debian, ils ne sont
pas encore branchés, ils ont installé aptitude au lieu de synaptic.
Qu'importe, on connaît la commande, apt-get install synaptic.

Va bene! Sauf que, lors de l'ouverture de Synaptic, on reçoit le
message: "Xlib: connection to ":0.0" refused by server" etc., etc.

Google is your friend. Il y a des dizaines de milliers de discussions
là-dessus chez Google... qui ne correspondent pas exactment au problème,
qui n'apportent pas de solution, qui sont décrites comme dangereuses,
etc. Des heures de plaisir en perspective sur lists.debian.org et
people.debian.org .

Bon. On se dit que si le problème est si commun, il doit y avoir la
solution sur www.debian.org -- évidemment, il ne fallait pas compter
avoir doc.debian,org , techniquement, www.debian,org/doc, aide
tellement la recherche. De toute façon, L'affaire est vite dite, il n'y
a rien, selon Google en tout cas. Hé! On en parle assez, ils n'étaient
pas pour remettre ça dans la doc!

Bon, bon. Il y avait bien les news, mais là le serveur de mon
fournisseur ne fonctionnait pas, et j'en aurais probablement eu comme
tout le monde pour deux semaines de discussions avant d'en arriver
peut-être à une solution.

Bon, bon, bon. Chez Gentoo, on finit par trouver un message qui dit que
lorsque si root veut se servir d'une application X, il faut faire sux.
Sauf que, évidemment. sux n'est pas installé. apt-get install.
Évidemment, comme il n'y a pas de firewall instalé par défaut, la
plupart des gens vont connecter quelques fois à l'internet sans
firewall. Peu imnporte, les crackers (biscuits?) aiment Linux!

Etc., etc. etc. Tout est à l'avenant, un truc de marioles prétentieux.
On entre dans Thunderbird, et "Don't import anything" est noté par un
radio button. UN. Pas de choix. J'avais pourtant tout sur un CD!

Une fois, dans le boot "single use" -- c'est celui à choisir, je suppose
-- ça passe tout droit à "Give root password for maintenance" (mais
qu'est-ce ça fout là!) et ça bloque à Debian IPv6 over IPv4 tunneling
driver. L'autre fois, ça arrête, on presse CTRL+D -- que c'est anusant
de devoir rester près de son cher ordi lors du boot! -- et ça continue.
Lors d'un reboot -- peut-être le premier -- l'heure s'est déréglée. J'ai
4 heures de retard. Je dois être en plein milieu du Pacifique!

14 ans de développement pour en arriver à ce désastre, c'est pas un peu
incroyable?

PCLinuxOS... L'outil pour le partitionnement manuel fonctionne... une
fois que vous avez compris ce qu'il est prêt à accepter. Les partitions
swap au début, il a pas l'air de trop aimer, malgré que ce soit ce qui
est suggéré par défaut.

Une fois, après avoir rebooté après le partitionnement -- oui, parce
qu'il faut rebooter! -- il ne reconnaissait qu'une partition à
formatter. (Pourtant, il y avait un bouton Format dans l'interface avant
le reboot, mais ce format ne formattait pas.)

Je me suis dit "Allez, vogue la galère!" Je suis allé à la cuisine et,
quand je suis revenu, l'installation semblait terminée. En fait, elle
avait avorté, probablement parce qu'elle s'était faite dans la partition
/home et qu'il n'y avait pas assez d'espace. (DD de 3.3 G pour essais.)
En d'autres mots, il n'y a aucun contrôle d'erreurs.

Dire que cfdisk et, quant à moi fdisk, fonctionnement tellement bien!

Selon ce que j'ai lu, l'apt-get de PCLOS n'enlève pas les dépendances
qui ne sont plus nécessaires comme celui de Debian. Mais si les rpm
étaient des deb, PCLOS serait Debian! Bah, qu'importe tout le monde a
des disques de 250 GB de nos jours.

J'ai dit que PCLOS avait un outil pour configurer un firewall. Le petit
problème, c'est que, par défault, il est tout grand ouvert. Faudrait pas
que les sysadmins se demandent pourquoi Apache ne fonctionne pas si le
port est pas ouvert, hein! Et puis, bon, va-t-on donner une instruction
aux dummies pour passer par là quand on ne le fait pas pour les
sysadmins? Qu'importe que les 3/4 d'entre eux se promènent sur le net
les fesses à l'air. Et puis, bon, Debian n'a même pas de fichier
rc.firewall au départ, il ne faudrait pas prendre trop d'avance.

Autrement, ça va. Même pas besoin de se fendre en quatre pour le
multimedia: c'est sur les miroirs de PCLOS. Ça va tellement bien qu'on
finit par se demander si c'est pas Microsoft qui se cache derrière tous
ces pseudonymes.

Évidemment, pas plus cette distro que n'importe quelle autre nouvelle,
n'offre le clavier CA. Il n'y a que le CF, que PCLOS nomme correctement,
si je me souviens bien. (Les autres distros l'ont renommé CA et ont fait
disparaître CA.) C'est pas grave, il n'y a qu'à réapprendre à taper. Je
me demande si Microsoft offre toujours les deux...

Allez, allez, il ne faut pas désespérer! Linux est encore jeune, surtout
quand on sait que Microsoft a fait ses premiers pas en 1881! Et puis,
Linux, c'est le kernel, et il fonctionne bien le kernel... sur le
desktop, en tout cas.

Finalement, je suis content de ne pas avoir perdu ma fin de semaine
là-dessus. Vu que j'ai téléchargé trois CDs -- deux pour Debian --, et
qu'on compte au moins dix nouveaux utilisateurs pour chaque CD
téléchargé, c'est certain que j'ai fait grimper les stats d'au moins 30.
Avec tous les CD que j'ai téléchargés depuis cinq ans, ça doit faire au
moins 1000!

Il s'agit seulement de ne pas désespérer. Je suis certain que, d'ici 50
ans, Debian devrait sortir une distro utilisable sans casse-tête,
surtout avec notre bon ami Sam Hicevar à sa tête(1). Donnons en 20 à
PCLOS. À moins que les choses n'aillent en empirant, ce qui est bien
possible: cf. fdisk, cfdisk, le nouveau outil de partitionnement de PCLOS.

(1) Ne manquez pas le fil où il explique combien il a perdu de temps
pour garder chez Debian quelqu'un qui l'accusait de l'avoir mis à la
porte. C'est sublime! Surtout quand Julien Blache vole à son secours. On
constate tout de suite tout le travail qui s'accomplit chaque jour chez
Debian.

De toute façon, si jamais, dans 20 ans, Linux n'a pas disparu de la
carte, ce sera moi. "Alleluia, alleluia, pourrez vous crier, un ranter
de moins."

Longue vie à Linux, c'eest magnifique!

10 réponses

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Yugo
Kevin Denis wrote:

Ce serait bien si c'était toujours comme ça mais, chez Debian, ce
n'est certainement pas le cas. Il se sentent apparemment obligés de
tout foutre sur la même page. Et, plus c'est long et alambiqué, plus
c'est apparemment complet.




Mais si, c'est complet, quelle mauvaise foi. Tiens, un essai. Mettons
que je veuille installer par des disquettes.
lien http://www.debian.org/index.fr.html, ca demarre bien, a gauche,
un lien "obtenir debian". Pas de disquettes. Cliquons quand meme.
Le mot "disquette" apparait dans la page. C'est un "netinst".
Cliquons. ca m'emmene a: http://www.debian.org/distrib/netinst ,
et j'apprends que je peux installer ma debian a partir de disquettes.
Ah, mais il faut que j'aille voir ailleurs:
http://www.debian.org/distrib/floppyinst, qui me demande de cliquer
ailleurs. Allons-y gaiement.
http://www.debian.org/releases/stable/installmanual , c'est le guide
d'installation. Bon. et mes disquettes alors? Bon, je clique
sur http://www.debian.org/releases/stable/i386/ pour mon x86. Dans la
page, il y a encore le mot "disquette". Cliquons une fois de plus.
Je vous copie colle la partie de doc:
*****
2.2.1. Les disquettes
Dans certains cas, vous devrez effectuer votre premier amorçage depuis
un lecteur de disquettes. En général vous avez besoin d'une disquette
haute densité (1440 kilo-octets) de 3,5 pouces.
*****
rhah. Bon. Demi tour. Ah, il y a en 2.2 "comment obtenir un support
d'installation". Cliquons.
http://www.debian.org/releases/stable/i386/ch02s02.html.fr qui me dit
qu'il faut aller a:
http://www.debian.org/releases/stable/i386/ch04.html.fr et la, un lien:
est-ce le graal?
4.3. Comment créer des disquettes depuis des images disque ? Ah!!!
je clique.
*****
Il existe différentes méthodes pour créer des disquettes à partir d'images
disque. Cette partie décrit comment le faire sur les différentes plateformes.
*****
Merci, mais elles sont ou, ces disquettes?!!!
*****
Avant de créer les disquettes, vous devez d'abord télécharger les images
sur l'un des miroirs Debian, comme expliqué dans Section 4.2, « Télécharger
les fichiers depuis les miroirs Debian ». Si vous possédez un CD ou un
DVD d'installation, les images sont incluses sur le CD/DVD./
*****
Comme je ne vais pas telecharger le DVD, allons dans la section 4.2
http://www.debian.org/releases/stable/i386/ch04s02.html.fr
Enfin, un lien?
http://ftp.egr.msu.edu/debian/dists/etch/main/installer-i386/current//images/
un repertoire s'appelle floppy. Quelqu'un de mauvaise foi pourrait dire
qu'il est heureux d'avoir appris l'anglais pour trouver ses disquettes
mais je ne m'abaisserai pas a cette facilite.
Et la, 5 fichiers boot.img, cd-drivers.img, net-drivers-1.img,
net-drivers-2.img, root.img. Chouette! Maintenant, je fais quoi avec mes
disquettes?


Si tout cela est juste, mais tout le monde reconnaît le genre, je
pense, c'est à garder comme pièce d'anthologie.

Oui mais, avec le nouveau DPL, le Dunk-Bank Project Leader, ça va
aller beaucoup mieux. Dans les discussions interminables sur son
compte sur les listes, veux-je dire.



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Nina Popravka
On Wed, 27 Jun 2007 11:43:13 -0400, Yugo
wrote:

Si tout cela est juste, mais tout le monde reconnaît le genre, je
pense, c'est à garder comme pièce d'anthologie.


D'un autre côté, ils peuvent être sobres sur les sujets qui fâchent.
Le support wifi, par exemple :
<http://www.us.debian.org/doc/manuals/reference/ch-gateway.en.html#s-low-wifi>
--
Nina

Avatar
Thierry B.
--{ Yugo a plopé ceci: }--

Plus un systeme est democratique, plus il est merdique.


Comme je le disais, à première vue, à part le partitionnement, PCLOS
ne m'a pas semblé trop merdique.

Done, elle est démocratique. Mais qu'est-ce donc qu'une

distribution Linux démocratique ? Un "machin"[1] où le
vote des yusers tire à hu et à dia ? Je préfère de loin
quelque chose qui repose sur des bases saines: un contrat
social ou la pensée unique d'un Saint Patrick. Plus je
progresse dans ma modeste connaissance de Linux, plus
je pense que ces deux routes sont les bonnes... Dans les
deux cas, ça marche depuis longtemps.

Il n'y a pas trente-six[2] façons de faire une édition
de Linux, et ces deux là ont prouvées, chacune à leur
manière, qu'elles fonctionnent plutôt bien.


[1] (cTMr) Charles de Gaulle.
[2] j'ai pas osé mettre la Réponse.

--
Ya pas pire vieux con, qu'un vieux con qui s'y connais, car non
seulement il râle, mais en plus il a raison.
--{ LC (connaisseur) in f.m.b.l }--


Avatar
Yugo
Thierry B. wrote:
--{ Yugo a plopé ceci: }--


Plus un systeme est democratique, plus il est merdique.


Comme je le disais, à première vue, à part le partitionnement, PCLOS
ne m'a pas semblé trop merdique.


Donc, elle est démocratique.


Non, elle est démocratique parce que la configuration et les mises à
jour sont faciles à faire et qu'elle n'est pas buggée.



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Yugo
Nina Popravka wrote:
On Wed, 27 Jun 2007 11:43:13 -0400, Yugo
wrote:


Si tout cela est juste, mais tout le monde reconnaît le genre, je
pense, c'est à garder comme pièce d'anthologie.



D'un autre côté, ils peuvent être sobres sur les sujets qui fâchent.
Le support wifi, par exemple :
<http://www.us.debian.org/doc/manuals/reference/ch-gateway.en.html#s-low-wifi>


Les nouvelles technologies, c'est des solutions cas par cas, mon
vieux, il y a les listes et tous les newbies qui veulent aider là-bas!
Mais attend que le Dunk-Bank Project Leader s'emmêle, tu vas voir ce
que tu vas voir.


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Mihamina (R12y) Rakotomandimby
Thierry B. - :

1% du marché.
"soupir" le retour de la branlette


C'est ce qui fait grandir le "1".

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Stephane TOUGARD
Yugo wrote:
Il y a des avantages à ne pas tout chambarder mais, de ce point de
vue, je ne pense pas que les BSD pêchent particulièrement.


Non plus, d'ailleurs j'aime bien utiliser les BSD sur les serveurs. Mais
pour un poste de travail, le choix logiciel et le support de materiels
est souvent meilleur sous Linux.

Il ne s'agit pas de changer tes habitudes de travail :)


Tres bien, dans ce cas, la Slack est tres bien pour moi.

Comme je le disais, à première vue, à part le partitionnement, PCLOS
ne m'a pas semblé trop merdique.


Absolument rien a f..., si il faut tester toutes les distribs quand
elles sortent, on finit par plus rien faire avec son systeme.

Comme ça va là, il semble qu'elle sera de plus en plus pour toi :)


T'inquiete pas, elle reste une distrib tres appreciee et suffisament
utilisee pour etre maintenue. C'est a dire qu'elle a trouve un rythme de
croisiere et chose etonnante mais vraie, elle n'en bouge pas et ca
convient a tout le monde.

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Stephane TOUGARD
Yugo wrote:

Non, elle est démocratique parce que la configuration et les mises à
jour sont faciles à faire et qu'elle n'est pas buggée.


Je vois pas le rapport entre la democratie et le fait qu'une distrib ne
soit pas buggee.

Avatar
Yugo
Stephane TOUGARD wrote:
Yugo wrote:

Il y a des avantages à ne pas tout chambarder mais, de ce point de
vue, je ne pense pas que les BSD pêchent particulièrement.



Non plus, d'ailleurs j'aime bien utiliser les BSD sur les serveurs. Mais
pour un poste de travail, le choix logiciel et le support de materiels
est souvent meilleur sous Linux.


Il ne s'agit pas de changer tes habitudes de travail :)


Tres bien, dans ce cas, la Slack est tres bien pour moi.


Tu vas prendre tes softs MM chez MPlayer, tu compiles le tout, tu
vérifies les dépendances, tu surveilles les patches de sécurité. Juste
pour ça, c'est déjà un casse-tête pour le newbie moyen.

Tu vois un peu tous les softs qu'il faut aller chercher à gauche et à
droite pour avoir un ordi qui correspond aux normes du jour? Si ton
trip, ce n'est que d'écrire sur les groupes de discussion et d'envoyer
des emails, je comprends que tu dises que c'est un bon OS pour un
administrateur Unix. Autrement, c'est complètement nul.

Comme je le disais, à première vue, à part le partitionnement, PCLOS
ne m'a pas semblé trop merdique.


Absolument rien a f..., si il faut tester toutes les distribs quand
elles sortent, on finit par plus rien faire avec son systeme.


J'ai pas dit toutes, j'ai dit une.

Comme ça va là, il semble qu'elle sera de plus en plus pour toi :)


T'inquiete pas, elle reste une distrib tres appreciee et suffisament
utilisee pour etre maintenue.


Tu sais, la grande majorité des gens qui utilisent Slackware n'ont
jamais envoyé un sou à Volkerding. Certains se disent que s'il crève
demain, ils sont capables de compiler eux-mêmes. D'autres ont été
tellement échaudés par le manque de support, par tout le temps qu'ils
ont perdu à résoudre des problèmes qui ont volontairement été laissés
dans la distro(1), d'autres sont tellement écourés du manque d'outils
d'administration, etc. que, à part quelques vieux de la vieille comme
toi, Slackware n'intéresse plus personne. La clientèle ne se
renouvelle pas. La base est vide, ça tient sur rien. Les newbies
cliquent sur le lien de Distowatch pour avoir une leçon d'histoire,
mais ils ne voient pas Slackware dans leur futur.

(1) Je pense, par exemple, au lien manquant entre /dev/scd0 et
/dev/cdrom avec le kernel 2.4 alors que fstab montait bien /mnt/cdrom
sur /dev/cdrom et qui a perduré pendant deux versions alors que, de
toute évidence, il était impossible de faire fonctionner le CD sans ce
lien. Et, une fois qu'il avait trouvé la solution, on expliquait au
newbie qu'elle était facile à trouver au milieu d'un CD *writing*
HOWTO de 70k. Merde, il ne se lisait même pas, le CD: c'était du bois
mort.

(1a) Fallait-il être taré pour penser récolter du blé de cette
façon-là! Ben, tu vois, ça, comme l'épisode de Swaret, c'est du
Volkerding tout craché. Ton héros qui tient le fort, si ce n'était de
l'aide de son papa dentiste pour l'hospitaliser à la clinique Mayo
parce qu'il avait oublié de se brosser les dents, il serait six pieds
sous terre aujourd'hui.

-------------

Et c'est une bonne chose parce que Slackware, contrairement à ce qu'on
prétend souvent, ce n'est pas une façon d'apprendre, mais de perdre
son temps à chercher inutilement. Si le newbie veut apprendre, il fait
mieux de commencer chez linuxcommand.org. Son apprentissage va
progresser mauditement plus vite qu'avec Slackware. Il y a des idées
reçues qui ne tiennent pas la route.

Mais bon, si tu aimes Slackware, si elle répond à tes besoins, tant
mieux, hein. J'ai rien contre. Mais moi, ça fait belle lurette que je
ne crois plus au projet de ce lunatique obsessionnel.


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Yugo
Stephane TOUGARD wrote:
Yugo wrote:


Non, elle est démocratique parce que la configuration et les mises à
jour sont faciles à faire et qu'elle n'est pas buggée.



Je vois pas le rapport entre la democratie et le fait qu'une distrib ne
soit pas buggee.


Tu fais un effort pour ne pas comprendre ou quoi?

À quoi servirait-il qu'une distro offre un bon choix de logiciels,
qu'il ne faille pas télécharger 36 CDs pour l'installer (comme Suse,
Fedora et Red Hat, par exemple), que la configuration et les mises à
jour soient faciles à exécuter, etc. si elle était buggée? À
strictement rien, évidemment.