Le Fri, 01 Jul 2011 05:36:06 +0000, Helena a écrit:
C'est assez con de la faire à fond perdu, s'il doit y avoir un circuit de contrôle et de certification complexe autour, les coûts intermédiaire seront loin d'être anodins.
Ça n'est pas du tout con de le faire à fonds perdus, parce que comme les expériences britanniques et suisses l'ont montré, le nombre de junkies chuterait drastiquement, et induirait de grosses économies en santé publique (sans compter les économies liées à la disparition de la criminalité cela va de soit).
Oui, dans un monde de contes de fées où l'état à l'expertise nécesaire et les finances pour internaliser toute la filière, et où la criminalité disparaît en intégralité d'un claquement de doigts.
-- helena
On 2011-07-01, Emmanuel Florac <eflorac@imaginet.fr> wrote:
Le Fri, 01 Jul 2011 05:36:06 +0000, Helena a écrit:
C'est assez con de la faire à fond perdu, s'il doit y avoir un circuit
de contrôle et de certification complexe autour, les coûts intermédiaire
seront loin d'être anodins.
Ça n'est pas du tout con de le faire à fonds perdus, parce que comme les
expériences britanniques et suisses l'ont montré, le nombre de junkies
chuterait drastiquement, et induirait de grosses économies en santé
publique (sans compter les économies liées à la disparition de la
criminalité cela va de soit).
Oui, dans un monde de contes de fées où l'état à l'expertise nécesaire
et les finances pour internaliser toute la filière, et où la criminalité
disparaît en intégralité d'un claquement de doigts.
Le Fri, 01 Jul 2011 05:36:06 +0000, Helena a écrit:
C'est assez con de la faire à fond perdu, s'il doit y avoir un circuit de contrôle et de certification complexe autour, les coûts intermédiaire seront loin d'être anodins.
Ça n'est pas du tout con de le faire à fonds perdus, parce que comme les expériences britanniques et suisses l'ont montré, le nombre de junkies chuterait drastiquement, et induirait de grosses économies en santé publique (sans compter les économies liées à la disparition de la criminalité cela va de soit).
Oui, dans un monde de contes de fées où l'état à l'expertise nécesaire et les finances pour internaliser toute la filière, et où la criminalité disparaît en intégralité d'un claquement de doigts.
-- helena
Emmanuel Florac
Le Fri, 01 Jul 2011 07:03:07 +0000, Helena a écrit:
Oui, dans un monde de contes de fées où l'état à l'expertise nécesaire et les finances pour internaliser toute la filière, et où la criminalité disparaît en intégralité d'un claquement de doigts.
Renseigne toi sur la Suisse avant de dire des âneries. Autant que je sache ce n'est pas un pays de contes de fées, pourtant on y distribue de l'héro aux junkies.
-- Toutes les organisations ont leur règles, et les Femmes Algériennes doivent avoir aussi leurs règles. Kaid Ahmed.
Le Fri, 01 Jul 2011 07:03:07 +0000, Helena a écrit:
Oui, dans un monde de contes de fées où l'état à l'expertise nécesaire
et les finances pour internaliser toute la filière, et où la criminalité
disparaît en intégralité d'un claquement de doigts.
Renseigne toi sur la Suisse avant de dire des âneries. Autant que je
sache ce n'est pas un pays de contes de fées, pourtant on y distribue de
l'héro aux junkies.
--
Toutes les organisations ont leur règles, et les Femmes Algériennes
doivent avoir aussi leurs règles.
Kaid Ahmed.
Le Fri, 01 Jul 2011 07:03:07 +0000, Helena a écrit:
Oui, dans un monde de contes de fées où l'état à l'expertise nécesaire et les finances pour internaliser toute la filière, et où la criminalité disparaît en intégralité d'un claquement de doigts.
Renseigne toi sur la Suisse avant de dire des âneries. Autant que je sache ce n'est pas un pays de contes de fées, pourtant on y distribue de l'héro aux junkies.
-- Toutes les organisations ont leur règles, et les Femmes Algériennes doivent avoir aussi leurs règles. Kaid Ahmed.
Kevin Denis
Le 01-07-2011, Emmanuel Florac a écrit :
Ça n'est pas du tout con de le faire à fonds perdus, parce que comme les expériences britanniques et suisses l'ont montré, le nombre de junkies chuterait drastiquement, et induirait de grosses économies en santé publique (sans compter les économies liées à la disparition de la criminalité cela va de soit).
L'expérience de la prohibition montre le contraire: -on prohibe. Chute drastique du nombre de morts liées à l'alcool. Sont classées les morts liées directement (coma éthylique puis mort), les accidents, les "drames" familiaux ou le fusil sort, etc.. (pas vu de stat pour les accidents de la route, mébon en 1920 y'avait sans doute pas des masses de voitures). S'ensuit une hausse drastique quelques années après de morts très violentes liées à la criminalisation de la vente d'alcool. Les gangs défendent leur terrain.
-On légalise de nouveau, plus de criminalités, (donc plus de mort criminelle), mais le nombre de mort liées à l'alcool remonte...
Donc pour la santé publique, je ne sais pas ce qui est le mieux. -- Kevin
Le 01-07-2011, Emmanuel Florac <eflorac@imaginet.fr> a écrit :
Ça n'est pas du tout con de le faire à fonds perdus, parce que comme les
expériences britanniques et suisses l'ont montré, le nombre de junkies
chuterait drastiquement, et induirait de grosses économies en santé
publique (sans compter les économies liées à la disparition de la
criminalité cela va de soit).
L'expérience de la prohibition montre le contraire:
-on prohibe. Chute drastique du nombre de morts liées à l'alcool. Sont
classées les morts liées directement (coma éthylique puis mort), les
accidents, les "drames" familiaux ou le fusil sort, etc.. (pas vu de
stat pour les accidents de la route, mébon en 1920 y'avait sans doute pas
des masses de voitures).
S'ensuit une hausse drastique quelques années après de morts très violentes
liées à la criminalisation de la vente d'alcool. Les gangs défendent leur
terrain.
-On légalise de nouveau, plus de criminalités, (donc plus de mort
criminelle), mais le nombre de mort liées à l'alcool remonte...
Donc pour la santé publique, je ne sais pas ce qui est le mieux.
--
Kevin
Ça n'est pas du tout con de le faire à fonds perdus, parce que comme les expériences britanniques et suisses l'ont montré, le nombre de junkies chuterait drastiquement, et induirait de grosses économies en santé publique (sans compter les économies liées à la disparition de la criminalité cela va de soit).
L'expérience de la prohibition montre le contraire: -on prohibe. Chute drastique du nombre de morts liées à l'alcool. Sont classées les morts liées directement (coma éthylique puis mort), les accidents, les "drames" familiaux ou le fusil sort, etc.. (pas vu de stat pour les accidents de la route, mébon en 1920 y'avait sans doute pas des masses de voitures). S'ensuit une hausse drastique quelques années après de morts très violentes liées à la criminalisation de la vente d'alcool. Les gangs défendent leur terrain.
-On légalise de nouveau, plus de criminalités, (donc plus de mort criminelle), mais le nombre de mort liées à l'alcool remonte...
Donc pour la santé publique, je ne sais pas ce qui est le mieux. -- Kevin
Helena
On 2011-07-01, Emmanuel Florac wrote:
Le Fri, 01 Jul 2011 07:03:07 +0000, Helena a écrit:
Oui, dans un monde de contes de fées où l'état à l'expertise nécesaire et les finances pour internaliser toute la filière, et où la criminalité disparaît en intégralité d'un claquement de doigts.
Renseigne toi sur la Suisse avant de dire des âneries. Autant que je sache ce n'est pas un pays de contes de fées, pourtant on y distribue de l'héro aux junkies.
Mais oui, le modèle Suisse va fonctionner aussi bien en France, vu qu'ils ont la même densité de population que nous et le même système d'immigration, d'ailleurs il suffit aussi de comparer les statistiques de revenus et de pauvreté pour voir que c'est tout pareil.
Et puis c'est pas comme si le nombre d'infractions concernant les stupéfiants avait augmenté en Suisse. Non vraiment la Suisse, c'est féérique.
-- helena
On 2011-07-01, Emmanuel Florac <eflorac@imaginet.fr> wrote:
Le Fri, 01 Jul 2011 07:03:07 +0000, Helena a écrit:
Oui, dans un monde de contes de fées où l'état à l'expertise nécesaire
et les finances pour internaliser toute la filière, et où la criminalité
disparaît en intégralité d'un claquement de doigts.
Renseigne toi sur la Suisse avant de dire des âneries. Autant que je
sache ce n'est pas un pays de contes de fées, pourtant on y distribue de
l'héro aux junkies.
Mais oui, le modèle Suisse va fonctionner aussi bien en France, vu
qu'ils ont la même densité de population que nous et le même système
d'immigration, d'ailleurs il suffit aussi de comparer les statistiques
de revenus et de pauvreté pour voir que c'est tout pareil.
Et puis c'est pas comme si le nombre d'infractions concernant les
stupéfiants avait augmenté en Suisse. Non vraiment la Suisse, c'est
féérique.
Le Fri, 01 Jul 2011 07:03:07 +0000, Helena a écrit:
Oui, dans un monde de contes de fées où l'état à l'expertise nécesaire et les finances pour internaliser toute la filière, et où la criminalité disparaît en intégralité d'un claquement de doigts.
Renseigne toi sur la Suisse avant de dire des âneries. Autant que je sache ce n'est pas un pays de contes de fées, pourtant on y distribue de l'héro aux junkies.
Mais oui, le modèle Suisse va fonctionner aussi bien en France, vu qu'ils ont la même densité de population que nous et le même système d'immigration, d'ailleurs il suffit aussi de comparer les statistiques de revenus et de pauvreté pour voir que c'est tout pareil.
Et puis c'est pas comme si le nombre d'infractions concernant les stupéfiants avait augmenté en Suisse. Non vraiment la Suisse, c'est féérique.
-- helena
Helena
On 2011-07-01, Kevin Denis wrote:
Le 01-07-2011, Emmanuel Florac a écrit :
Ça n'est pas du tout con de le faire à fonds perdus, parce que comme les expériences britanniques et suisses l'ont montré, le nombre de junkies chuterait drastiquement, et induirait de grosses économies en santé publique (sans compter les économies liées à la disparition de la criminalité cela va de soit).
L'expérience de la prohibition montre le contraire: -on prohibe. Chute drastique du nombre de morts liées à l'alcool. Sont classées les morts liées directement (coma éthylique puis mort), les accidents, les "drames" familiaux ou le fusil sort, etc.. (pas vu de stat pour les accidents de la route, mébon en 1920 y'avait sans doute pas des masses de voitures). S'ensuit une hausse drastique quelques années après de morts très violentes liées à la criminalisation de la vente d'alcool. Les gangs défendent leur terrain.
-On légalise de nouveau, plus de criminalités, (donc plus de mort criminelle), mais le nombre de mort liées à l'alcool remonte...
Donc pour la santé publique, je ne sais pas ce qui est le mieux.
Relis-moi, je suis tout à fait pour un système de vente encadré, mais je ne vois pas pourquoi tout devrait être financé par l'état.
-- helena
On 2011-07-01, Kevin Denis <kevin@nowhere.invalid> wrote:
Le 01-07-2011, Emmanuel Florac <eflorac@imaginet.fr> a écrit :
Ça n'est pas du tout con de le faire à fonds perdus, parce que comme les
expériences britanniques et suisses l'ont montré, le nombre de junkies
chuterait drastiquement, et induirait de grosses économies en santé
publique (sans compter les économies liées à la disparition de la
criminalité cela va de soit).
L'expérience de la prohibition montre le contraire:
-on prohibe. Chute drastique du nombre de morts liées à l'alcool. Sont
classées les morts liées directement (coma éthylique puis mort), les
accidents, les "drames" familiaux ou le fusil sort, etc.. (pas vu de
stat pour les accidents de la route, mébon en 1920 y'avait sans doute pas
des masses de voitures).
S'ensuit une hausse drastique quelques années après de morts très violentes
liées à la criminalisation de la vente d'alcool. Les gangs défendent leur
terrain.
-On légalise de nouveau, plus de criminalités, (donc plus de mort
criminelle), mais le nombre de mort liées à l'alcool remonte...
Donc pour la santé publique, je ne sais pas ce qui est le mieux.
Relis-moi, je suis tout à fait pour un système de vente encadré, mais je
ne vois pas pourquoi tout devrait être financé par l'état.
Ça n'est pas du tout con de le faire à fonds perdus, parce que comme les expériences britanniques et suisses l'ont montré, le nombre de junkies chuterait drastiquement, et induirait de grosses économies en santé publique (sans compter les économies liées à la disparition de la criminalité cela va de soit).
L'expérience de la prohibition montre le contraire: -on prohibe. Chute drastique du nombre de morts liées à l'alcool. Sont classées les morts liées directement (coma éthylique puis mort), les accidents, les "drames" familiaux ou le fusil sort, etc.. (pas vu de stat pour les accidents de la route, mébon en 1920 y'avait sans doute pas des masses de voitures). S'ensuit une hausse drastique quelques années après de morts très violentes liées à la criminalisation de la vente d'alcool. Les gangs défendent leur terrain.
-On légalise de nouveau, plus de criminalités, (donc plus de mort criminelle), mais le nombre de mort liées à l'alcool remonte...
Donc pour la santé publique, je ne sais pas ce qui est le mieux.
Relis-moi, je suis tout à fait pour un système de vente encadré, mais je ne vois pas pourquoi tout devrait être financé par l'état.
-- helena
Hugolino
Le 01-07-2011, Helena a écrit :
Relis-moi, je suis tout à fait pour un système de vente encadré, mais je ne vois pas pourquoi tout devrait être financé par l'état.
Parce que "la main invisible du marché", en matière de narcotraffic, on peut avoir des doutes légitimes ?
Autre question ?
-- L'esprit est comme un parachute, s'il reste fermé on s'écrase. Hugo (né il y a 1 488 962 961 secondes)
Le 01-07-2011, Helena <lna57005@gmail.com> a écrit :
Relis-moi, je suis tout à fait pour un système de vente encadré, mais je
ne vois pas pourquoi tout devrait être financé par l'état.
Parce que "la main invisible du marché", en matière de narcotraffic, on
peut avoir des doutes légitimes ?
Autre question ?
--
L'esprit est comme un parachute, s'il reste fermé on s'écrase.
Hugo (né il y a 1 488 962 961 secondes)
Relis-moi, je suis tout à fait pour un système de vente encadré, mais je ne vois pas pourquoi tout devrait être financé par l'état.
Parce que "la main invisible du marché", en matière de narcotraffic, on peut avoir des doutes légitimes ?
Autre question ?
-- L'esprit est comme un parachute, s'il reste fermé on s'écrase. Hugo (né il y a 1 488 962 961 secondes)
Helena
On 2011-07-01, Hugolino wrote:
Le 01-07-2011, Helena a écrit :
Relis-moi, je suis tout à fait pour un système de vente encadré, mais je ne vois pas pourquoi tout devrait être financé par l'état.
Parce que "la main invisible du marché", en matière de narcotraffic, on peut avoir des doutes légitimes ?
Autre question ?
Toute activité économique si sensible soit-elle peut-être encadrée, même si ça t'enlèvera pas tes doutes (le doute n'est pas malsain en soi).
Autant je peux comprendre que sortir les gens de l'addiction est un problème de santé publique qui peut-être pris en charge (en partie) par la collectivité, autant le choix de certaines personnes de rester dans l'addiction n'a pas a être financé par l'état.
-- helena
On 2011-07-01, Hugolino <hugolino@free.fr> wrote:
Le 01-07-2011, Helena <lna57005@gmail.com> a écrit :
Relis-moi, je suis tout à fait pour un système de vente encadré, mais je
ne vois pas pourquoi tout devrait être financé par l'état.
Parce que "la main invisible du marché", en matière de narcotraffic, on
peut avoir des doutes légitimes ?
Autre question ?
Toute activité économique si sensible soit-elle peut-être encadrée, même
si ça t'enlèvera pas tes doutes (le doute n'est pas malsain en soi).
Autant je peux comprendre que sortir les gens de l'addiction est un
problème de santé publique qui peut-être pris en charge (en partie) par
la collectivité, autant le choix de certaines personnes de rester dans
l'addiction n'a pas a être financé par l'état.
Relis-moi, je suis tout à fait pour un système de vente encadré, mais je ne vois pas pourquoi tout devrait être financé par l'état.
Parce que "la main invisible du marché", en matière de narcotraffic, on peut avoir des doutes légitimes ?
Autre question ?
Toute activité économique si sensible soit-elle peut-être encadrée, même si ça t'enlèvera pas tes doutes (le doute n'est pas malsain en soi).
Autant je peux comprendre que sortir les gens de l'addiction est un problème de santé publique qui peut-être pris en charge (en partie) par la collectivité, autant le choix de certaines personnes de rester dans l'addiction n'a pas a être financé par l'état.
-- helena
Hugolino
Le 01-07-2011, Helena a écrit :
On 2011-07-01, Hugolino wrote: > Le 01-07-2011, Helena a écrit : >> >> Relis-moi, je suis tout à fait pour un système de vente encadré, >> mais je ne vois pas pourquoi tout devrait être financé par l'état. > > Parce que "la main invisible du marché", en matière de narcotraffic, on > peut avoir des doutes légitimes ? > > Autre question ?
Toute activité économique si sensible soit-elle peut-être encadrée, même si ça t'enlèvera pas tes doutes (le doute n'est pas malsain en soi).
Tu devrais alors me fournir des éléments me permettant de lever ces doutes (dès que tu auras réussi à me faire croire que tu les connais ;-)
Autant je peux comprendre que sortir les gens de l'addiction est un problème de santé publique qui peut-être pris en charge (en partie) par la collectivité, autant le choix de certaines personnes de rester dans l'addiction n'a pas a être financé par l'état.
Puisque ceux qui feraient le choix de se laisser soumettre à l'addiction font tout de même partie de la société (à moins que tu aies un plan secret pour les en exclure ;-), autant faire en sorte que leur consommation coûte le moins possible à cette société. La politique, c'est justement d'être capable de choisir entre les principes moraux et le réel.
Parce que la drogue est un poison mortel, pour les camés bien sûr, mais aussi pour les sociétés, voire les états. Ça ne touche pas encore vraiment l'occident au sens strict du terme, mais ça se rapproche.
Dans les narco-états (Pérou, Colombie, Birmanie, voire Maroc), la vie est dangeureuse, même pour les personnes qui ne sont pas impliquées dans le traffic.
--
It looks as if noone with a 64 bit machine has gotten bitten by this yet
Well, in order to get bitten by this you have to have a 2-terabyte IDE disk, so we don't have to worry about it for another few months.. -+- Linus in Guide du linuxien pervers - J'ai déjà entendu ça quelque part"
Le 01-07-2011, Helena <lna57005@gmail.com> a écrit :
On 2011-07-01, Hugolino <hugolino@free.fr> wrote:
> Le 01-07-2011, Helena <lna57005@gmail.com> a écrit :
>>
>> Relis-moi, je suis tout à fait pour un système de vente encadré,
>> mais je ne vois pas pourquoi tout devrait être financé par l'état.
>
> Parce que "la main invisible du marché", en matière de narcotraffic, on
> peut avoir des doutes légitimes ?
>
> Autre question ?
Toute activité économique si sensible soit-elle peut-être encadrée, même
si ça t'enlèvera pas tes doutes (le doute n'est pas malsain en soi).
Tu devrais alors me fournir des éléments me permettant de lever ces
doutes (dès que tu auras réussi à me faire croire que tu les connais ;-)
Autant je peux comprendre que sortir les gens de l'addiction est un
problème de santé publique qui peut-être pris en charge (en partie) par
la collectivité, autant le choix de certaines personnes de rester dans
l'addiction n'a pas a être financé par l'état.
Puisque ceux qui feraient le choix de se laisser soumettre à l'addiction
font tout de même partie de la société (à moins que tu aies un plan
secret pour les en exclure ;-), autant faire en sorte que leur
consommation coûte le moins possible à cette société.
La politique, c'est justement d'être capable de choisir entre les
principes moraux et le réel.
Parce que la drogue est un poison mortel, pour les camés bien sûr, mais
aussi pour les sociétés, voire les états. Ça ne touche pas encore
vraiment l'occident au sens strict du terme, mais ça se rapproche.
Dans les narco-états (Pérou, Colombie, Birmanie, voire Maroc), la vie
est dangeureuse, même pour les personnes qui ne sont pas impliquées dans
le traffic.
--
It looks as if noone with a 64 bit machine has gotten bitten by this yet
Well, in order to get bitten by this you have to have a 2-terabyte IDE
disk, so we don't have to worry about it for another few months..
-+- Linus in Guide du linuxien pervers - J'ai déjà entendu ça quelque part"
On 2011-07-01, Hugolino wrote: > Le 01-07-2011, Helena a écrit : >> >> Relis-moi, je suis tout à fait pour un système de vente encadré, >> mais je ne vois pas pourquoi tout devrait être financé par l'état. > > Parce que "la main invisible du marché", en matière de narcotraffic, on > peut avoir des doutes légitimes ? > > Autre question ?
Toute activité économique si sensible soit-elle peut-être encadrée, même si ça t'enlèvera pas tes doutes (le doute n'est pas malsain en soi).
Tu devrais alors me fournir des éléments me permettant de lever ces doutes (dès que tu auras réussi à me faire croire que tu les connais ;-)
Autant je peux comprendre que sortir les gens de l'addiction est un problème de santé publique qui peut-être pris en charge (en partie) par la collectivité, autant le choix de certaines personnes de rester dans l'addiction n'a pas a être financé par l'état.
Puisque ceux qui feraient le choix de se laisser soumettre à l'addiction font tout de même partie de la société (à moins que tu aies un plan secret pour les en exclure ;-), autant faire en sorte que leur consommation coûte le moins possible à cette société. La politique, c'est justement d'être capable de choisir entre les principes moraux et le réel.
Parce que la drogue est un poison mortel, pour les camés bien sûr, mais aussi pour les sociétés, voire les états. Ça ne touche pas encore vraiment l'occident au sens strict du terme, mais ça se rapproche.
Dans les narco-états (Pérou, Colombie, Birmanie, voire Maroc), la vie est dangeureuse, même pour les personnes qui ne sont pas impliquées dans le traffic.
--
It looks as if noone with a 64 bit machine has gotten bitten by this yet
Well, in order to get bitten by this you have to have a 2-terabyte IDE disk, so we don't have to worry about it for another few months.. -+- Linus in Guide du linuxien pervers - J'ai déjà entendu ça quelque part"
ST
On 7/1/11 8:51 PM, Hugolino wrote:
Tu devrais alors me fournir des éléments me permettant de lever ces doutes (dès que tu auras réussi à me faire croire que tu les connais ;-)
...
Puisque ceux qui feraient le choix de se laisser soumettre à l'addiction font tout de même partie de la société (à moins que tu aies un plan secret pour les en exclure ;-), autant faire en sorte que leur consommation coûte le moins possible à cette société. La politique, c'est justement d'être capable de choisir entre les principes moraux et le réel.
Parce que la drogue est un poison mortel, pour les camés bien sûr, mais aussi pour les sociétés, voire les états. Ça ne touche pas encore vraiment l'occident au sens strict du terme, mais ça se rapproche.
Dans les narco-états (Pérou, Colombie, Birmanie, voire Maroc), la vie est dangeureuse, même pour les personnes qui ne sont pas impliquées dans le traffic.
Je pense que ça mérite d'être noté, Hugolino vient de faire un article sans insulter personne et sans parler de ses passions sodomites.
Je réponds pas sur le fond, mais la forme est assez exceptionnelle au vu de qui en est l'auteur pour que cela mérite qu'on le souligne.
-- http://www.unices.org
On 7/1/11 8:51 PM, Hugolino wrote:
Tu devrais alors me fournir des éléments me permettant de lever ces
doutes (dès que tu auras réussi à me faire croire que tu les connais ;-)
...
Puisque ceux qui feraient le choix de se laisser soumettre à l'addiction
font tout de même partie de la société (à moins que tu aies un plan
secret pour les en exclure ;-), autant faire en sorte que leur
consommation coûte le moins possible à cette société.
La politique, c'est justement d'être capable de choisir entre les
principes moraux et le réel.
Parce que la drogue est un poison mortel, pour les camés bien sûr, mais
aussi pour les sociétés, voire les états. Ça ne touche pas encore
vraiment l'occident au sens strict du terme, mais ça se rapproche.
Dans les narco-états (Pérou, Colombie, Birmanie, voire Maroc), la vie
est dangeureuse, même pour les personnes qui ne sont pas impliquées dans
le traffic.
Je pense que ça mérite d'être noté, Hugolino vient de faire un article
sans insulter personne et sans parler de ses passions sodomites.
Je réponds pas sur le fond, mais la forme est assez exceptionnelle au vu
de qui en est l'auteur pour que cela mérite qu'on le souligne.
Tu devrais alors me fournir des éléments me permettant de lever ces doutes (dès que tu auras réussi à me faire croire que tu les connais ;-)
...
Puisque ceux qui feraient le choix de se laisser soumettre à l'addiction font tout de même partie de la société (à moins que tu aies un plan secret pour les en exclure ;-), autant faire en sorte que leur consommation coûte le moins possible à cette société. La politique, c'est justement d'être capable de choisir entre les principes moraux et le réel.
Parce que la drogue est un poison mortel, pour les camés bien sûr, mais aussi pour les sociétés, voire les états. Ça ne touche pas encore vraiment l'occident au sens strict du terme, mais ça se rapproche.
Dans les narco-états (Pérou, Colombie, Birmanie, voire Maroc), la vie est dangeureuse, même pour les personnes qui ne sont pas impliquées dans le traffic.
Je pense que ça mérite d'être noté, Hugolino vient de faire un article sans insulter personne et sans parler de ses passions sodomites.
Je réponds pas sur le fond, mais la forme est assez exceptionnelle au vu de qui en est l'auteur pour que cela mérite qu'on le souligne.
-- http://www.unices.org
totof01
On 29 juin, 14:23, Helena wrote:
On 2011-06-29, Hugolino wrote:
> Le 29-06-2011, Helena a écrit : >> On 2011-06-29, Tonton Th wrote: >> > On 06/28/2011 06:27 PM, Emmanuel Florac wrote:
>> >>> Je ne vois pas derrière cela de logique de liberté, de santé publique ou >> >>> quoi que ce soit, c'est juste du clientellisme plus ou moins dég uisé.
>> >> Non, en fait c'est juste l'idéologie judéo-chrétienne en acti on. La >> >> plupart des gens ne vont pas plus loin que "la drogue, c'est mal".
>> > BSD, LSD, toussa ?
>> LSD je vois bien c'était un groupde de crackers des temps anciens (de >> Belin aussi ?), mais BSD... Non je vois pas.
> Poster sur fcold et ne même pas lire ses propres entêtes... ><pipolin> > ste misere ></pipolin>
> User-Agent: slrn/0.9.9p1 (OpenBSD)
Wow, tu sais lire les en-tête et pas moi.
<pipolin> chui verte </pipolin>
En slip ?
On 29 juin, 14:23, Helena <lna57...@gmail.com> wrote:
On 2011-06-29, Hugolino <hugol...@free.fr> wrote:
> Le 29-06-2011, Helena <lna57...@gmail.com> a écrit :
>> On 2011-06-29, Tonton Th <t...@la.bas.invalid> wrote:
>> > On 06/28/2011 06:27 PM, Emmanuel Florac wrote:
>> >>> Je ne vois pas derrière cela de logique de liberté, de santé publique ou
>> >>> quoi que ce soit, c'est juste du clientellisme plus ou moins dég uisé.
>> >> Non, en fait c'est juste l'idéologie judéo-chrétienne en acti on. La
>> >> plupart des gens ne vont pas plus loin que "la drogue, c'est mal".
>> > BSD, LSD, toussa ?
>> LSD je vois bien c'était un groupde de crackers des temps anciens (de
>> Belin aussi ?), mais BSD... Non je vois pas.
> Poster sur fcold et ne même pas lire ses propres entêtes...
><pipolin>
> ste misere
></pipolin>
> Le 29-06-2011, Helena a écrit : >> On 2011-06-29, Tonton Th wrote: >> > On 06/28/2011 06:27 PM, Emmanuel Florac wrote:
>> >>> Je ne vois pas derrière cela de logique de liberté, de santé publique ou >> >>> quoi que ce soit, c'est juste du clientellisme plus ou moins dég uisé.
>> >> Non, en fait c'est juste l'idéologie judéo-chrétienne en acti on. La >> >> plupart des gens ne vont pas plus loin que "la drogue, c'est mal".
>> > BSD, LSD, toussa ?
>> LSD je vois bien c'était un groupde de crackers des temps anciens (de >> Belin aussi ?), mais BSD... Non je vois pas.
> Poster sur fcold et ne même pas lire ses propres entêtes... ><pipolin> > ste misere ></pipolin>