"Thierry Castagnet" a écrit dans le message
de news:c8fps9$1r5$
> Tout dépend précisément du caractère légitime du refus de communication
que
> j'ai du mal à imaginer.
Sebastien s'est peut être engagé dans une simple discussion de pur
?
"Thierry Castagnet" <Thierry.Castagnet@wanadoo.fr> a écrit dans le message
de news:c8fps9$1r5$1@news-reader5.wanadoo.fr...
> Tout dépend précisément du caractère légitime du refus de communication
que
> j'ai du mal à imaginer.
Sebastien s'est peut être engagé dans une simple discussion de pur
?
"Thierry Castagnet" a écrit dans le message
de news:c8fps9$1r5$
> Tout dépend précisément du caractère légitime du refus de communication
que
> j'ai du mal à imaginer.
Sebastien s'est peut être engagé dans une simple discussion de pur
?
"www.juristprudence.fr.st" a écrit dans le
message news: c8g74o$47p$"Thierry Castagnet" a écrit dans le message
de news:c8fps9$1r5$
> Tout dépend précisément du caractère légitime du refus de communication
que
> j'ai du mal à imaginer.
Sebastien s'est peut être engagé dans une simple discussion de pur
principe?
Oui mais précsimént le droit n'est que rarement question de PURE principe.
"www.juristprudence.fr.st" <juristprudence@online.fr> a écrit dans le
message news: c8g74o$47p$1@aphrodite.grec.isp.9tel.net...
"Thierry Castagnet" <Thierry.Castagnet@wanadoo.fr> a écrit dans le message
de news:c8fps9$1r5$1@news-reader5.wanadoo.fr...
> Tout dépend précisément du caractère légitime du refus de communication
que
> j'ai du mal à imaginer.
Sebastien s'est peut être engagé dans une simple discussion de pur
principe
?
Oui mais précsimént le droit n'est que rarement question de PURE principe.
"www.juristprudence.fr.st" a écrit dans le
message news: c8g74o$47p$"Thierry Castagnet" a écrit dans le message
de news:c8fps9$1r5$
> Tout dépend précisément du caractère légitime du refus de communication
que
> j'ai du mal à imaginer.
Sebastien s'est peut être engagé dans une simple discussion de pur
principe?
Oui mais précsimént le droit n'est que rarement question de PURE principe.
"Thierry Castagnet" a écrit dans le message
de news:c8fps9$1r5$Tout dépend précisément du caractère légitime du refus de communication
quej'ai du mal à imaginer.
Sebastien s'est peut être engagé dans une simple discussion de pur principe
?
du genre : devoir à rendre ? ? ?
"Thierry Castagnet" <Thierry.Castagnet@wanadoo.fr> a écrit dans le message
de news:c8fps9$1r5$1@news-reader5.wanadoo.fr...
Tout dépend précisément du caractère légitime du refus de communication
que
j'ai du mal à imaginer.
Sebastien s'est peut être engagé dans une simple discussion de pur principe
?
du genre : devoir à rendre ? ? ?
"Thierry Castagnet" a écrit dans le message
de news:c8fps9$1r5$Tout dépend précisément du caractère légitime du refus de communication
quej'ai du mal à imaginer.
Sebastien s'est peut être engagé dans une simple discussion de pur principe
?
du genre : devoir à rendre ? ? ?
"Sébastien Delpeuch" a écrit dans le message news:On Wed, 19 May 2004 13:31:49 +0200, "www.juristprudence.fr.st"
wrote:
>le problème n'est pas : est ce que le document est fiable ou pas ;
>admettons qu'il soit parfait, indicytable, important, etc.
>
>il reste que l'adversaire peut invoquer l'article 135 du ncpc
>et obtenir alors le rejet de la pièce
Là on rivient à l'histoire de l'oralité. Et il me semble que
l'adversaire ne peut pas évoquer l'article 135 puisque je met à sa
disposition le document en version originale en cours de l'audience.
Me diriez vous : il faut communiquer le pièce "en temps utile",
Ben vous voyez quand vous voulez....je
vous répond que c'est également un sujet à débat, car cette question
de "temps utile" est trop subjective :
Je ne vois pas grand chose de subjectif la dedans. Pas plus tard que la
semaine dernière j'étais devant un TI qui a refusé de prendre une pièce qui
était communiquée à l'audience par l'une des parties considérant qu'elle
n'avait pas été communiquée en temps utile.
Soit cette pièce et sans importance et sa production est sans intérêt, soit
elle présente un caractère déterminant et ele doit être communiquée de façon
préalable.il suffit parfois de quelques
minutes pour répliquer à un document, surtout uand le document ne fait
que 3 lignes...
Tout dépend de l'importance de ces trois lignes...
"Sébastien Delpeuch" <delpeuch@free.fr> a écrit dans le message news:
aqhma0l0qtd7k81i6f4el3jhpt20m8mkkh@4ax.com...
On Wed, 19 May 2004 13:31:49 +0200, "www.juristprudence.fr.st"
<juristprudence@online.fr> wrote:
>le problème n'est pas : est ce que le document est fiable ou pas ;
>admettons qu'il soit parfait, indicytable, important, etc.
>
>il reste que l'adversaire peut invoquer l'article 135 du ncpc
>et obtenir alors le rejet de la pièce
Là on rivient à l'histoire de l'oralité. Et il me semble que
l'adversaire ne peut pas évoquer l'article 135 puisque je met à sa
disposition le document en version originale en cours de l'audience.
Me diriez vous : il faut communiquer le pièce "en temps utile",
Ben vous voyez quand vous voulez....
je
vous répond que c'est également un sujet à débat, car cette question
de "temps utile" est trop subjective :
Je ne vois pas grand chose de subjectif la dedans. Pas plus tard que la
semaine dernière j'étais devant un TI qui a refusé de prendre une pièce qui
était communiquée à l'audience par l'une des parties considérant qu'elle
n'avait pas été communiquée en temps utile.
Soit cette pièce et sans importance et sa production est sans intérêt, soit
elle présente un caractère déterminant et ele doit être communiquée de façon
préalable.
il suffit parfois de quelques
minutes pour répliquer à un document, surtout uand le document ne fait
que 3 lignes...
Tout dépend de l'importance de ces trois lignes...
"Sébastien Delpeuch" a écrit dans le message news:On Wed, 19 May 2004 13:31:49 +0200, "www.juristprudence.fr.st"
wrote:
>le problème n'est pas : est ce que le document est fiable ou pas ;
>admettons qu'il soit parfait, indicytable, important, etc.
>
>il reste que l'adversaire peut invoquer l'article 135 du ncpc
>et obtenir alors le rejet de la pièce
Là on rivient à l'histoire de l'oralité. Et il me semble que
l'adversaire ne peut pas évoquer l'article 135 puisque je met à sa
disposition le document en version originale en cours de l'audience.
Me diriez vous : il faut communiquer le pièce "en temps utile",
Ben vous voyez quand vous voulez....je
vous répond que c'est également un sujet à débat, car cette question
de "temps utile" est trop subjective :
Je ne vois pas grand chose de subjectif la dedans. Pas plus tard que la
semaine dernière j'étais devant un TI qui a refusé de prendre une pièce qui
était communiquée à l'audience par l'une des parties considérant qu'elle
n'avait pas été communiquée en temps utile.
Soit cette pièce et sans importance et sa production est sans intérêt, soit
elle présente un caractère déterminant et ele doit être communiquée de façon
préalable.il suffit parfois de quelques
minutes pour répliquer à un document, surtout uand le document ne fait
que 3 lignes...
Tout dépend de l'importance de ces trois lignes...
Sébastien Delpeuch wrote:On Wed, 19 May 2004 11:33:01 +0200, (Bruno) wrote:
>Sébastien Delpeuch wrote:
>
>> On Wed, 19 May 2004 10:24:41 +0200, "JP" wrote:
>>
>> >
>> >"Sébastien Delpeuch" a écrit dans le message de
>> >news: > > Je connais
>> >bien. Mais la question ici n'est pas de communiquer les > pièces ou
>> >pas, c'est comment faire connaître le contenu d'un document >
>> >"oralement" et "visuellement" lors d'une audience sans forcément le >
>> >communiquer !
>> >
>> >Je suis un béotien en procédure civile aussi je vous prie de m'excuser
>> >pour la naïveté de mes questions.
>> >
>> >Ce document ne constitue-t-il pas, de fait, "une pièce" du dossier ?
>>
>> Oui et Non. Le document ne faisait pas partie des pièces déjà
>> communiquées depuis bien longtemps à l'adversaire, mais j'aimerais
>> maintenant que mon adversaire et surtout le juge en prennent
>> connaissance (MAIS SANS LEUR EN LAISSER COPIE !).
>
>C'est impossible, et vous le savez bien.
>
>Enfin, si, il reste la solution de dire "j'ai un document qui dit que".
>Mais ça ne sera à ce moment là pas une preuve, et on vous demandera
>inévitablement une copie du document, voire le document original.
>
>Vous pourrez alors expliquer au juge pourquoi vous ne souhaitez pas qu'il
>en ait une copie.
Beh voilà... Vous avez bien compris le problème!!
Et je vous dis tout de suite que "voir le document original" en cours de
l'audience : IL n'Y A AUCUN PROBLEME. Qu'il soit lu (à haute voix) par
l'avocat, le juge, le greffier en cours de l'audience : IL N'Y A PAS DE
PROBLEME. Qou soit vu (en cours d'audience) par l'avocat adverse ou les
magistrats, greffiers : IL N'Y A ABSOLUMENT PAS DE PROBLEME.
Mais laisser une copie de ce document entre les mains des juges et encore
moins celles de l'avocat adverse : c'est là où IL YA TOUT LE PROBLEME.
D'où le "comment" de ma question initiale.
Cela ne répond pas à mon interrogation : avez-vous une justification à
donner au juge sur le pouquoi vous ne pouvez pas lui laisser le document
(et encore moins à la partie adverse) plus que quelques minutes.
Sébastien Delpeuch <delpeuch@free.fr> wrote:
On Wed, 19 May 2004 11:33:01 +0200, blbl@blbl.com (Bruno) wrote:
>Sébastien Delpeuch <delpeuch@free.fr> wrote:
>
>> On Wed, 19 May 2004 10:24:41 +0200, "JP" <jp@tilt.fr> wrote:
>>
>> >
>> >"Sébastien Delpeuch" <delpeuch@free.fr> a écrit dans le message de
>> >news:ue4ma0tsablaoh4nfoslkknmkvaddguf55@4ax.com... > > Je connais
>> >bien. Mais la question ici n'est pas de communiquer les > pièces ou
>> >pas, c'est comment faire connaître le contenu d'un document >
>> >"oralement" et "visuellement" lors d'une audience sans forcément le >
>> >communiquer !
>> >
>> >Je suis un béotien en procédure civile aussi je vous prie de m'excuser
>> >pour la naïveté de mes questions.
>> >
>> >Ce document ne constitue-t-il pas, de fait, "une pièce" du dossier ?
>>
>> Oui et Non. Le document ne faisait pas partie des pièces déjà
>> communiquées depuis bien longtemps à l'adversaire, mais j'aimerais
>> maintenant que mon adversaire et surtout le juge en prennent
>> connaissance (MAIS SANS LEUR EN LAISSER COPIE !).
>
>C'est impossible, et vous le savez bien.
>
>Enfin, si, il reste la solution de dire "j'ai un document qui dit que".
>Mais ça ne sera à ce moment là pas une preuve, et on vous demandera
>inévitablement une copie du document, voire le document original.
>
>Vous pourrez alors expliquer au juge pourquoi vous ne souhaitez pas qu'il
>en ait une copie.
Beh voilà... Vous avez bien compris le problème!!
Et je vous dis tout de suite que "voir le document original" en cours de
l'audience : IL n'Y A AUCUN PROBLEME. Qu'il soit lu (à haute voix) par
l'avocat, le juge, le greffier en cours de l'audience : IL N'Y A PAS DE
PROBLEME. Qou soit vu (en cours d'audience) par l'avocat adverse ou les
magistrats, greffiers : IL N'Y A ABSOLUMENT PAS DE PROBLEME.
Mais laisser une copie de ce document entre les mains des juges et encore
moins celles de l'avocat adverse : c'est là où IL YA TOUT LE PROBLEME.
D'où le "comment" de ma question initiale.
Cela ne répond pas à mon interrogation : avez-vous une justification à
donner au juge sur le pouquoi vous ne pouvez pas lui laisser le document
(et encore moins à la partie adverse) plus que quelques minutes.
Sébastien Delpeuch wrote:On Wed, 19 May 2004 11:33:01 +0200, (Bruno) wrote:
>Sébastien Delpeuch wrote:
>
>> On Wed, 19 May 2004 10:24:41 +0200, "JP" wrote:
>>
>> >
>> >"Sébastien Delpeuch" a écrit dans le message de
>> >news: > > Je connais
>> >bien. Mais la question ici n'est pas de communiquer les > pièces ou
>> >pas, c'est comment faire connaître le contenu d'un document >
>> >"oralement" et "visuellement" lors d'une audience sans forcément le >
>> >communiquer !
>> >
>> >Je suis un béotien en procédure civile aussi je vous prie de m'excuser
>> >pour la naïveté de mes questions.
>> >
>> >Ce document ne constitue-t-il pas, de fait, "une pièce" du dossier ?
>>
>> Oui et Non. Le document ne faisait pas partie des pièces déjà
>> communiquées depuis bien longtemps à l'adversaire, mais j'aimerais
>> maintenant que mon adversaire et surtout le juge en prennent
>> connaissance (MAIS SANS LEUR EN LAISSER COPIE !).
>
>C'est impossible, et vous le savez bien.
>
>Enfin, si, il reste la solution de dire "j'ai un document qui dit que".
>Mais ça ne sera à ce moment là pas une preuve, et on vous demandera
>inévitablement une copie du document, voire le document original.
>
>Vous pourrez alors expliquer au juge pourquoi vous ne souhaitez pas qu'il
>en ait une copie.
Beh voilà... Vous avez bien compris le problème!!
Et je vous dis tout de suite que "voir le document original" en cours de
l'audience : IL n'Y A AUCUN PROBLEME. Qu'il soit lu (à haute voix) par
l'avocat, le juge, le greffier en cours de l'audience : IL N'Y A PAS DE
PROBLEME. Qou soit vu (en cours d'audience) par l'avocat adverse ou les
magistrats, greffiers : IL N'Y A ABSOLUMENT PAS DE PROBLEME.
Mais laisser une copie de ce document entre les mains des juges et encore
moins celles de l'avocat adverse : c'est là où IL YA TOUT LE PROBLEME.
D'où le "comment" de ma question initiale.
Cela ne répond pas à mon interrogation : avez-vous une justification à
donner au juge sur le pouquoi vous ne pouvez pas lui laisser le document
(et encore moins à la partie adverse) plus que quelques minutes.
"Sébastien Delpeuch" a écrit dans le message news:On Wed, 19 May 2004 13:31:49 +0200, "www.juristprudence.fr.st"
wrote:
>le problème n'est pas : est ce que le document est fiable ou pas ;
>admettons qu'il soit parfait, indicytable, important, etc.
>
>il reste que l'adversaire peut invoquer l'article 135 du ncpc
>et obtenir alors le rejet de la pièce
Là on rivient à l'histoire de l'oralité. Et il me semble que
l'adversaire ne peut pas évoquer l'article 135 puisque je met à sa
disposition le document en version originale en cours de l'audience.
Me diriez vous : il faut communiquer le pièce "en temps utile",
Ben vous voyez quand vous voulez....je
vous répond que c'est également un sujet à débat, car cette question
de "temps utile" est trop subjective :
Je ne vois pas grand chose de subjectif la dedans. Pas plus tard que la
semaine dernière j'étais devant un TI qui a refusé de prendre une pièce qui
était communiquée à l'audience par l'une des parties considérant qu'elle
n'avait pas été communiquée en temps utile.
"Sébastien Delpeuch" <delpeuch@free.fr> a écrit dans le message news:
aqhma0l0qtd7k81i6f4el3jhpt20m8mkkh@4ax.com...
On Wed, 19 May 2004 13:31:49 +0200, "www.juristprudence.fr.st"
<juristprudence@online.fr> wrote:
>le problème n'est pas : est ce que le document est fiable ou pas ;
>admettons qu'il soit parfait, indicytable, important, etc.
>
>il reste que l'adversaire peut invoquer l'article 135 du ncpc
>et obtenir alors le rejet de la pièce
Là on rivient à l'histoire de l'oralité. Et il me semble que
l'adversaire ne peut pas évoquer l'article 135 puisque je met à sa
disposition le document en version originale en cours de l'audience.
Me diriez vous : il faut communiquer le pièce "en temps utile",
Ben vous voyez quand vous voulez....
je
vous répond que c'est également un sujet à débat, car cette question
de "temps utile" est trop subjective :
Je ne vois pas grand chose de subjectif la dedans. Pas plus tard que la
semaine dernière j'étais devant un TI qui a refusé de prendre une pièce qui
était communiquée à l'audience par l'une des parties considérant qu'elle
n'avait pas été communiquée en temps utile.
"Sébastien Delpeuch" a écrit dans le message news:On Wed, 19 May 2004 13:31:49 +0200, "www.juristprudence.fr.st"
wrote:
>le problème n'est pas : est ce que le document est fiable ou pas ;
>admettons qu'il soit parfait, indicytable, important, etc.
>
>il reste que l'adversaire peut invoquer l'article 135 du ncpc
>et obtenir alors le rejet de la pièce
Là on rivient à l'histoire de l'oralité. Et il me semble que
l'adversaire ne peut pas évoquer l'article 135 puisque je met à sa
disposition le document en version originale en cours de l'audience.
Me diriez vous : il faut communiquer le pièce "en temps utile",
Ben vous voyez quand vous voulez....je
vous répond que c'est également un sujet à débat, car cette question
de "temps utile" est trop subjective :
Je ne vois pas grand chose de subjectif la dedans. Pas plus tard que la
semaine dernière j'étais devant un TI qui a refusé de prendre une pièce qui
était communiquée à l'audience par l'une des parties considérant qu'elle
n'avait pas été communiquée en temps utile.
Bonjour à tous et merci pour vos contributions.
Je tiens à préciser : que la question porte sur un cas bien réel et
qu'en plus : je me bousille les nerfs à force d'y réfléchir et d'y
rechercher une issue. C'est donc un vrai problème, loin d'être un
troll ou un devoir à rendre !
Enfin, ce n'est pas par "pure principe" que j'ai posé ma question,
même s'il me semble utile de connaître la solution dans l'absolu.
Quand au document en question, une chose est sûr: aucun juge ne pourra
m'obliger à le produire et encore moins d'en communiquer copie à
quiconque. Désolé, je ne peux pas en dire plus comme je l'ai souligné
dès le départ...
Mais indépendamment de la "nature" du document : n'est-il pas utile de
savoir ce que peut bien faire un juge se trouvant face à un document
X, non communicable en dehors de l'audience, que la partie lui demande
d'en prendre connaissance et invite son adversaire à faire de même; en
dehors de : 1) rejeter le document, 2) renvoyer l'audience (ce qui ne
servira strictement à rien puisque le document restera dans tous les
cas non communicable !).
Bonjour à tous et merci pour vos contributions.
Je tiens à préciser : que la question porte sur un cas bien réel et
qu'en plus : je me bousille les nerfs à force d'y réfléchir et d'y
rechercher une issue. C'est donc un vrai problème, loin d'être un
troll ou un devoir à rendre !
Enfin, ce n'est pas par "pure principe" que j'ai posé ma question,
même s'il me semble utile de connaître la solution dans l'absolu.
Quand au document en question, une chose est sûr: aucun juge ne pourra
m'obliger à le produire et encore moins d'en communiquer copie à
quiconque. Désolé, je ne peux pas en dire plus comme je l'ai souligné
dès le départ...
Mais indépendamment de la "nature" du document : n'est-il pas utile de
savoir ce que peut bien faire un juge se trouvant face à un document
X, non communicable en dehors de l'audience, que la partie lui demande
d'en prendre connaissance et invite son adversaire à faire de même; en
dehors de : 1) rejeter le document, 2) renvoyer l'audience (ce qui ne
servira strictement à rien puisque le document restera dans tous les
cas non communicable !).
Bonjour à tous et merci pour vos contributions.
Je tiens à préciser : que la question porte sur un cas bien réel et
qu'en plus : je me bousille les nerfs à force d'y réfléchir et d'y
rechercher une issue. C'est donc un vrai problème, loin d'être un
troll ou un devoir à rendre !
Enfin, ce n'est pas par "pure principe" que j'ai posé ma question,
même s'il me semble utile de connaître la solution dans l'absolu.
Quand au document en question, une chose est sûr: aucun juge ne pourra
m'obliger à le produire et encore moins d'en communiquer copie à
quiconque. Désolé, je ne peux pas en dire plus comme je l'ai souligné
dès le départ...
Mais indépendamment de la "nature" du document : n'est-il pas utile de
savoir ce que peut bien faire un juge se trouvant face à un document
X, non communicable en dehors de l'audience, que la partie lui demande
d'en prendre connaissance et invite son adversaire à faire de même; en
dehors de : 1) rejeter le document, 2) renvoyer l'audience (ce qui ne
servira strictement à rien puisque le document restera dans tous les
cas non communicable !).
On Wed, 19 May 2004 22:19:29 +0200, "Thierry Castagnet"
wrote:
>
>"www.juristprudence.fr.st" a écrit dans le
>message news: c8g74o$47p$
>> "Thierry Castagnet" a écrit dans le
>> de news:c8fps9$1r5$
>> > Tout dépend précisément du caractère légitime du refus de
>> que
>> > j'ai du mal à imaginer.
>>
>> Sebastien s'est peut être engagé dans une simple discussion de pur
>principe
>> ?
>
>Oui mais précsimént le droit n'est que rarement question de PURE
Ah..ah..., à votre place, je serais beaucoup plus nuancé que cela car
le droit est SOUVENT question de Pure principe. Je fais appel à un
spécialiste de l'histoire du Droit...
On Wed, 19 May 2004 22:19:29 +0200, "Thierry Castagnet"
<Thierry.Castagnet@wanadoo.fr> wrote:
>
>"www.juristprudence.fr.st" <juristprudence@online.fr> a écrit dans le
>message news: c8g74o$47p$1@aphrodite.grec.isp.9tel.net...
>> "Thierry Castagnet" <Thierry.Castagnet@wanadoo.fr> a écrit dans le
>> de news:c8fps9$1r5$1@news-reader5.wanadoo.fr...
>> > Tout dépend précisément du caractère légitime du refus de
>> que
>> > j'ai du mal à imaginer.
>>
>> Sebastien s'est peut être engagé dans une simple discussion de pur
>principe
>> ?
>
>Oui mais précsimént le droit n'est que rarement question de PURE
Ah..ah..., à votre place, je serais beaucoup plus nuancé que cela car
le droit est SOUVENT question de Pure principe. Je fais appel à un
spécialiste de l'histoire du Droit...
On Wed, 19 May 2004 22:19:29 +0200, "Thierry Castagnet"
wrote:
>
>"www.juristprudence.fr.st" a écrit dans le
>message news: c8g74o$47p$
>> "Thierry Castagnet" a écrit dans le
>> de news:c8fps9$1r5$
>> > Tout dépend précisément du caractère légitime du refus de
>> que
>> > j'ai du mal à imaginer.
>>
>> Sebastien s'est peut être engagé dans une simple discussion de pur
>principe
>> ?
>
>Oui mais précsimént le droit n'est que rarement question de PURE
Ah..ah..., à votre place, je serais beaucoup plus nuancé que cela car
le droit est SOUVENT question de Pure principe. Je fais appel à un
spécialiste de l'histoire du Droit...
>Cela ne répond pas à mon interrogation : avez-vous une justification à
>donner au juge sur le pouquoi vous ne pouvez pas lui laisser le document
>(et encore moins à la partie adverse) plus que quelques minutes.
OUI. Effectivement.
Mais cela ne répond pas à l'interrogation principale. Que peut bien
faire un juge : si la partie n'avait aucun justificatif à lui donner,
si un quart d'heure suffisait à l'autre partie pour apporter sa
contradiction en cours d'audience; est-ce dans ces conditions, le juge
doit FORCEMENT renvoyer l'audience, rejeter le document ? Si oui,
comment motivera-t-il sa décision ?
>Cela ne répond pas à mon interrogation : avez-vous une justification à
>donner au juge sur le pouquoi vous ne pouvez pas lui laisser le document
>(et encore moins à la partie adverse) plus que quelques minutes.
OUI. Effectivement.
Mais cela ne répond pas à l'interrogation principale. Que peut bien
faire un juge : si la partie n'avait aucun justificatif à lui donner,
si un quart d'heure suffisait à l'autre partie pour apporter sa
contradiction en cours d'audience; est-ce dans ces conditions, le juge
doit FORCEMENT renvoyer l'audience, rejeter le document ? Si oui,
comment motivera-t-il sa décision ?
>Cela ne répond pas à mon interrogation : avez-vous une justification à
>donner au juge sur le pouquoi vous ne pouvez pas lui laisser le document
>(et encore moins à la partie adverse) plus que quelques minutes.
OUI. Effectivement.
Mais cela ne répond pas à l'interrogation principale. Que peut bien
faire un juge : si la partie n'avait aucun justificatif à lui donner,
si un quart d'heure suffisait à l'autre partie pour apporter sa
contradiction en cours d'audience; est-ce dans ces conditions, le juge
doit FORCEMENT renvoyer l'audience, rejeter le document ? Si oui,
comment motivera-t-il sa décision ?