Par contre, si tu souhaites que ton patch soit adopté par le
mainteneur du logiciel, et donc présent dans la prochaine
version, tu dois lui accorder le droit de l'utiliser sous
licence GPL, car c'est la seule façon par laquelle il pourra
_distribuer_ cette version incorporant ton patch.
Hein ? Puisque le code BSD peut être repris sous forme
propriétaire, pourquoi ne pourrait-il pas l'être sous GPL ?
Par contre, si tu souhaites que ton patch soit adopté par le
mainteneur du logiciel, et donc présent dans la prochaine
version, tu dois lui accorder le droit de l'utiliser sous
licence GPL, car c'est la seule façon par laquelle il pourra
_distribuer_ cette version incorporant ton patch.
Hein ? Puisque le code BSD peut être repris sous forme
propriétaire, pourquoi ne pourrait-il pas l'être sous GPL ?
Par contre, si tu souhaites que ton patch soit adopté par le
mainteneur du logiciel, et donc présent dans la prochaine
version, tu dois lui accorder le droit de l'utiliser sous
licence GPL, car c'est la seule façon par laquelle il pourra
_distribuer_ cette version incorporant ton patch.
Hein ? Puisque le code BSD peut être repris sous forme
propriétaire, pourquoi ne pourrait-il pas l'être sous GPL ?
Hein ? Puisque le code BSD peut être repris sous forme
propriétaire, pourquoi ne pourrait-il pas l'être sous GPL ?
Ce n'est probablement pas la question. Si le patch est transmis
sous BSD et incorporé comme tel, il faut du coup respecter la
licence BSD. Ce qui implique de reproduire "the above copyright
notice, this list of conditions and the following disclaimer".
Ce n'est pas méchant, mais peut être que le distributeur
préfère se simplifier la vie avec une licence unique.
Hein ? Puisque le code BSD peut être repris sous forme
propriétaire, pourquoi ne pourrait-il pas l'être sous GPL ?
Ce n'est probablement pas la question. Si le patch est transmis
sous BSD et incorporé comme tel, il faut du coup respecter la
licence BSD. Ce qui implique de reproduire "the above copyright
notice, this list of conditions and the following disclaimer".
Ce n'est pas méchant, mais peut être que le distributeur
préfère se simplifier la vie avec une licence unique.
Hein ? Puisque le code BSD peut être repris sous forme
propriétaire, pourquoi ne pourrait-il pas l'être sous GPL ?
Ce n'est probablement pas la question. Si le patch est transmis
sous BSD et incorporé comme tel, il faut du coup respecter la
licence BSD. Ce qui implique de reproduire "the above copyright
notice, this list of conditions and the following disclaimer".
Ce n'est pas méchant, mais peut être que le distributeur
préfère se simplifier la vie avec une licence unique.
Par contre, si tu souhaites que ton patch soit adopté par le mainteneur
du logiciel, et donc présent dans la prochaine version, tu dois lui
accorder le droit de l'utiliser sous licence GPL, car c'est la seule
façon par laquelle il pourra _distribuer_ cette version incorporant ton
patch.
Hein ? Puisque le code BSD peut être repris sous forme propriétaire,
pourquoi ne pourrait-il pas l'être sous GPL ?
Par contre, si tu souhaites que ton patch soit adopté par le mainteneur
du logiciel, et donc présent dans la prochaine version, tu dois lui
accorder le droit de l'utiliser sous licence GPL, car c'est la seule
façon par laquelle il pourra _distribuer_ cette version incorporant ton
patch.
Hein ? Puisque le code BSD peut être repris sous forme propriétaire,
pourquoi ne pourrait-il pas l'être sous GPL ?
Par contre, si tu souhaites que ton patch soit adopté par le mainteneur
du logiciel, et donc présent dans la prochaine version, tu dois lui
accorder le droit de l'utiliser sous licence GPL, car c'est la seule
façon par laquelle il pourra _distribuer_ cette version incorporant ton
patch.
Hein ? Puisque le code BSD peut être repris sous forme propriétaire,
pourquoi ne pourrait-il pas l'être sous GPL ?
Ce n'est probablement pas la question. Si le patch est transmis
sous BSD et incorporé comme tel, il faut du coup respecter la
licence BSD. Ce qui implique de reproduire "the above copyright
notice, this list of conditions and the following disclaimer".
Ce n'est pas méchant, mais peut être que le distributeur
préfère se simplifier la vie avec une licence unique.
hmmm... Moi j'ai 292 licences présentes dans un répertoire de ma
distribution linux (gentoo). Il s'agit de toutes les licences des logiciels
installables, donc le truc de la licence unique... je n'arrive pas à y
croire.
Ce n'est probablement pas la question. Si le patch est transmis
sous BSD et incorporé comme tel, il faut du coup respecter la
licence BSD. Ce qui implique de reproduire "the above copyright
notice, this list of conditions and the following disclaimer".
Ce n'est pas méchant, mais peut être que le distributeur
préfère se simplifier la vie avec une licence unique.
hmmm... Moi j'ai 292 licences présentes dans un répertoire de ma
distribution linux (gentoo). Il s'agit de toutes les licences des logiciels
installables, donc le truc de la licence unique... je n'arrive pas à y
croire.
Ce n'est probablement pas la question. Si le patch est transmis
sous BSD et incorporé comme tel, il faut du coup respecter la
licence BSD. Ce qui implique de reproduire "the above copyright
notice, this list of conditions and the following disclaimer".
Ce n'est pas méchant, mais peut être que le distributeur
préfère se simplifier la vie avec une licence unique.
hmmm... Moi j'ai 292 licences présentes dans un répertoire de ma
distribution linux (gentoo). Il s'agit de toutes les licences des logiciels
installables, donc le truc de la licence unique... je n'arrive pas à y
croire.
Maintenant, si tu n'as _toujours_ pas compris, je peux te le
faire en version sous-titrée : choisir de donner à tous, y
compris à ceux qui ne donneront rien en échange, ce n'est
pas de la flaibardise philosophique ou du je m'en foutisme.
Maintenant, si tu n'as _toujours_ pas compris, je peux te le
faire en version sous-titrée : choisir de donner à tous, y
compris à ceux qui ne donneront rien en échange, ce n'est
pas de la flaibardise philosophique ou du je m'en foutisme.
Maintenant, si tu n'as _toujours_ pas compris, je peux te le
faire en version sous-titrée : choisir de donner à tous, y
compris à ceux qui ne donneront rien en échange, ce n'est
pas de la flaibardise philosophique ou du je m'en foutisme.
Manuel Leclerc wrote:Il n'y a pas de débats possibles à propos de la GPL et une
phrase dans une page du site de la FSF, parce que grep ne
trouve pas les mots de cette phrase dans le texte de la GPL ?
Tu me fais marcher ?
Non, la GPL est un moyen, rien de plus et rien de moins. La FSF [...]
Prendre n'importe quelle phrase d'une personne n'importe ou, la
sortir de son contexte et la mettre en relation avec un acte du
meme auteur est une demarche qui ne mene a rien en soit.
Si tu veux debattre d'une phrase de la GPL, de sa validite juridique,
philosophique ou sociale, defendre ou attaquer ce qu'elle permet et
ne permet pas, je veux bien en discuter. Si tu veux debattre de
phrases ou d'actes de RMS ou d'un membre important de la FSF,
defendre ou attaquer sa position, je veux bien en discuter avec toi.
Si tu veux mettre en relation les deux en voyant je ne sais quel
rapport comme une interpretation absolue de Manuel Leclerc, alors je
ne te suis plus.
Mais c'est dingue ! Je fais le contraire ! Je place cette phrase
dans SON contexte, qui est celui de la FSF, qui EXPLIQUE POURQUOI
il est préférable de choisir une licence copyleft (la GPL !)
plutôt qu'une licence sans copyleft.
Tu places cette phrase dans UN contexte, rien ne dit que c'est le
sien puisque dans la pratique elle n'y est pas.
Oui, donc si tu ne veux pas que ton code soit sous une licence
compatible avec la GPL, tu ne le linkes pas a une librairie GPL
et on n'en parle plus.
Tout à fait. Et le rapport avec la choucroute, c'est quoi ?
Que c'est la tout la difference entre un travail que tu as entierement
realise et un travail que tu as partiellement realise.
Je t'explique en quoi la clause héréditaire de la GPL est une
conséquence de l'idée que POUVOIR choisir une licence non libre
n'est PAS, d'après la FSF, une liberté méritant qu'on la respecte.
Commencons par definir la notion de "Liberte". La Liberte n'est pas
la garantie d'un Libre choix, que tu puisses faire ce que tu veux.
La Liberte c'est la marge de manoeuvre que tu as pour evoluer dans
une societe, elle commence la ou s'arrete celle de l'autre. La
Liberte c'est une contrainte, tu n'en as que parce que celle des
autres est limitee par la tienne et vice versa.
Si tu veux un rayon d'action commun a d'autres personnes, tu dois
respecter leur liberte, ceci au detriment de la tienne. Apres, tu
as le droit de ne pas interferer dans leur rayon d'action, c'est a
dire de ne pas utiliser leur travail pour completer le tien et dans
ce cas, tu as le Libre choix d'une licence pour ton travail.
Je crois que je commence à comprendre certaines idées de M. Talon,
que j'ai peut être lu un peu trop vite. Effectivement, d'une
certaine façon, celui qui place sa librairie sous GPL essaye
d'abuser de MON code si jamais je me linke à sa librairie. C'est
bien à la base un problème idéologique, et je n'aime décidément
pas et l'idéologie et ses méthodes.
C'est l'interpration inversee la plus culotee que j'ai pu lire. C'est
presque comique et je ris de cette interpratation pour ne pas pleurer
que des gens pensent avec si peu de respect au travail d'autrui.
Manuel Leclerc wrote:
Il n'y a pas de débats possibles à propos de la GPL et une
phrase dans une page du site de la FSF, parce que grep ne
trouve pas les mots de cette phrase dans le texte de la GPL ?
Tu me fais marcher ?
Non, la GPL est un moyen, rien de plus et rien de moins. La FSF [...]
Prendre n'importe quelle phrase d'une personne n'importe ou, la
sortir de son contexte et la mettre en relation avec un acte du
meme auteur est une demarche qui ne mene a rien en soit.
Si tu veux debattre d'une phrase de la GPL, de sa validite juridique,
philosophique ou sociale, defendre ou attaquer ce qu'elle permet et
ne permet pas, je veux bien en discuter. Si tu veux debattre de
phrases ou d'actes de RMS ou d'un membre important de la FSF,
defendre ou attaquer sa position, je veux bien en discuter avec toi.
Si tu veux mettre en relation les deux en voyant je ne sais quel
rapport comme une interpretation absolue de Manuel Leclerc, alors je
ne te suis plus.
Mais c'est dingue ! Je fais le contraire ! Je place cette phrase
dans SON contexte, qui est celui de la FSF, qui EXPLIQUE POURQUOI
il est préférable de choisir une licence copyleft (la GPL !)
plutôt qu'une licence sans copyleft.
Tu places cette phrase dans UN contexte, rien ne dit que c'est le
sien puisque dans la pratique elle n'y est pas.
Oui, donc si tu ne veux pas que ton code soit sous une licence
compatible avec la GPL, tu ne le linkes pas a une librairie GPL
et on n'en parle plus.
Tout à fait. Et le rapport avec la choucroute, c'est quoi ?
Que c'est la tout la difference entre un travail que tu as entierement
realise et un travail que tu as partiellement realise.
Je t'explique en quoi la clause héréditaire de la GPL est une
conséquence de l'idée que POUVOIR choisir une licence non libre
n'est PAS, d'après la FSF, une liberté méritant qu'on la respecte.
Commencons par definir la notion de "Liberte". La Liberte n'est pas
la garantie d'un Libre choix, que tu puisses faire ce que tu veux.
La Liberte c'est la marge de manoeuvre que tu as pour evoluer dans
une societe, elle commence la ou s'arrete celle de l'autre. La
Liberte c'est une contrainte, tu n'en as que parce que celle des
autres est limitee par la tienne et vice versa.
Si tu veux un rayon d'action commun a d'autres personnes, tu dois
respecter leur liberte, ceci au detriment de la tienne. Apres, tu
as le droit de ne pas interferer dans leur rayon d'action, c'est a
dire de ne pas utiliser leur travail pour completer le tien et dans
ce cas, tu as le Libre choix d'une licence pour ton travail.
Je crois que je commence à comprendre certaines idées de M. Talon,
que j'ai peut être lu un peu trop vite. Effectivement, d'une
certaine façon, celui qui place sa librairie sous GPL essaye
d'abuser de MON code si jamais je me linke à sa librairie. C'est
bien à la base un problème idéologique, et je n'aime décidément
pas et l'idéologie et ses méthodes.
C'est l'interpration inversee la plus culotee que j'ai pu lire. C'est
presque comique et je ris de cette interpratation pour ne pas pleurer
que des gens pensent avec si peu de respect au travail d'autrui.
Manuel Leclerc wrote:Il n'y a pas de débats possibles à propos de la GPL et une
phrase dans une page du site de la FSF, parce que grep ne
trouve pas les mots de cette phrase dans le texte de la GPL ?
Tu me fais marcher ?
Non, la GPL est un moyen, rien de plus et rien de moins. La FSF [...]
Prendre n'importe quelle phrase d'une personne n'importe ou, la
sortir de son contexte et la mettre en relation avec un acte du
meme auteur est une demarche qui ne mene a rien en soit.
Si tu veux debattre d'une phrase de la GPL, de sa validite juridique,
philosophique ou sociale, defendre ou attaquer ce qu'elle permet et
ne permet pas, je veux bien en discuter. Si tu veux debattre de
phrases ou d'actes de RMS ou d'un membre important de la FSF,
defendre ou attaquer sa position, je veux bien en discuter avec toi.
Si tu veux mettre en relation les deux en voyant je ne sais quel
rapport comme une interpretation absolue de Manuel Leclerc, alors je
ne te suis plus.
Mais c'est dingue ! Je fais le contraire ! Je place cette phrase
dans SON contexte, qui est celui de la FSF, qui EXPLIQUE POURQUOI
il est préférable de choisir une licence copyleft (la GPL !)
plutôt qu'une licence sans copyleft.
Tu places cette phrase dans UN contexte, rien ne dit que c'est le
sien puisque dans la pratique elle n'y est pas.
Oui, donc si tu ne veux pas que ton code soit sous une licence
compatible avec la GPL, tu ne le linkes pas a une librairie GPL
et on n'en parle plus.
Tout à fait. Et le rapport avec la choucroute, c'est quoi ?
Que c'est la tout la difference entre un travail que tu as entierement
realise et un travail que tu as partiellement realise.
Je t'explique en quoi la clause héréditaire de la GPL est une
conséquence de l'idée que POUVOIR choisir une licence non libre
n'est PAS, d'après la FSF, une liberté méritant qu'on la respecte.
Commencons par definir la notion de "Liberte". La Liberte n'est pas
la garantie d'un Libre choix, que tu puisses faire ce que tu veux.
La Liberte c'est la marge de manoeuvre que tu as pour evoluer dans
une societe, elle commence la ou s'arrete celle de l'autre. La
Liberte c'est une contrainte, tu n'en as que parce que celle des
autres est limitee par la tienne et vice versa.
Si tu veux un rayon d'action commun a d'autres personnes, tu dois
respecter leur liberte, ceci au detriment de la tienne. Apres, tu
as le droit de ne pas interferer dans leur rayon d'action, c'est a
dire de ne pas utiliser leur travail pour completer le tien et dans
ce cas, tu as le Libre choix d'une licence pour ton travail.
Je crois que je commence à comprendre certaines idées de M. Talon,
que j'ai peut être lu un peu trop vite. Effectivement, d'une
certaine façon, celui qui place sa librairie sous GPL essaye
d'abuser de MON code si jamais je me linke à sa librairie. C'est
bien à la base un problème idéologique, et je n'aime décidément
pas et l'idéologie et ses méthodes.
C'est l'interpration inversee la plus culotee que j'ai pu lire. C'est
presque comique et je ris de cette interpratation pour ne pas pleurer
que des gens pensent avec si peu de respect au travail d'autrui.
Ce moyen est une licence libre est il y a une quarantaine de licences
libres différentes. C'est donc un moyen particulier et il y a débat
possible autour de la question de savoir pourquoi ce moyen là et pas
un des 39 autres. Qu'a-t-il de spécifique ?
Je pourrais être d'accord si la phrase en question était tiré
de la homepage de RMS et concernait le problème israélo-palestinien.
Ce n'est pas le cas. C'est une phrase de la FSF à propos des libertés
et des licences. On est en plein dans le sujet.
Je ne comprends pas comment tu peux en arriver à dire qu'on ne peut
pas mettre en relation la GPL avec les idées de la FSF sur la liberté
et les licences. Ca me dépasse. Vraiment.
Oui ou non la GPL est-elle la licence libre recommandée par la FSF ?
Oui ou non la GPL est-elle une licence libre avec effet copyleft ?
Oui ou non l'effet copyleft se justifie-il car empêchant une oeuvre
dérivée non libre ?
Oui ou non la phrase en question ne dit elle pas que choisir une
licence non libre n'est pas une liberté ?
Non. Le travail que j'ai réalisé, je l'ai entierement réalisé. Point.
Le programme résultant de ce travail repose pour une part sur mon
code, et pour une autre part sur du code de quelqu'un d'autre. Nous
parlons des possibilités qui s'offrent à moi au moment où je dois
choisir la licence de MON code. Nous parlons du fait que ces
possibilités sont réduites à UNE, si l'auteur de la librairie que
j'utilise l'a placée sous GPL.
Et tu reponds quoi, en substance ? : "oui, mais si tu n'es pas content,
tu n'as qu'à utiliser une autre librairie" !!!
Donc, je répète : "Et le rapport avec la choucroute, c'est quoi ?"
Je crois que tu ne comprends pas de quoi je parle. Les idéaux de la
FSF reposent sur la notion de liberté. Toute forme de limitation de
la liberté d'un individu doit se justifier par un impératif
d'intérêt général. Si tu ne peux pas exhiber un intérêt général qui
commande évidement que certaines libertés individuelles ne soient
pas permises, alors tes interdictions ne sont plus justifiables.
Voilà ce que je n'aime pas dans l'idéologie qui vient avec la GPL :
elle suppose que tu as vu un intérêt supérieur, une sorte d'objectif
moral à atteindre : qu'il n'y ait plus la domination de l'Homme (qui
programme en proprio) sur l'Homme (qui se retrouve avec des binaires).
Si tu acceptes cette vision, alors la liberté de faire du proprio
n'en est pas une, pas plus que la "liberté" d'avoir des esclaves. Il
devient alors légitime d'imposer une interdiction, au nom de la liberté.
Mais si je te demande pourquoi moi je ne peux pas choisir la licence
de mon code utilisant la librairie GPL, tu ne pourras me répondre
qu'une seule chose : "car l'auteur ne veut pas que tu puisses faire
un programme propriétaire utilisant son code". C'est une forme de
chantage : "tu veux utiliser mon code ? Penses comme moi !" et que
cela provoque des "réactions" comme celle de Michel ou la mienne
ne devrait étonner personne.
Ce moyen est une licence libre est il y a une quarantaine de licences
libres différentes. C'est donc un moyen particulier et il y a débat
possible autour de la question de savoir pourquoi ce moyen là et pas
un des 39 autres. Qu'a-t-il de spécifique ?
Je pourrais être d'accord si la phrase en question était tiré
de la homepage de RMS et concernait le problème israélo-palestinien.
Ce n'est pas le cas. C'est une phrase de la FSF à propos des libertés
et des licences. On est en plein dans le sujet.
Je ne comprends pas comment tu peux en arriver à dire qu'on ne peut
pas mettre en relation la GPL avec les idées de la FSF sur la liberté
et les licences. Ca me dépasse. Vraiment.
Oui ou non la GPL est-elle la licence libre recommandée par la FSF ?
Oui ou non la GPL est-elle une licence libre avec effet copyleft ?
Oui ou non l'effet copyleft se justifie-il car empêchant une oeuvre
dérivée non libre ?
Oui ou non la phrase en question ne dit elle pas que choisir une
licence non libre n'est pas une liberté ?
Non. Le travail que j'ai réalisé, je l'ai entierement réalisé. Point.
Le programme résultant de ce travail repose pour une part sur mon
code, et pour une autre part sur du code de quelqu'un d'autre. Nous
parlons des possibilités qui s'offrent à moi au moment où je dois
choisir la licence de MON code. Nous parlons du fait que ces
possibilités sont réduites à UNE, si l'auteur de la librairie que
j'utilise l'a placée sous GPL.
Et tu reponds quoi, en substance ? : "oui, mais si tu n'es pas content,
tu n'as qu'à utiliser une autre librairie" !!!
Donc, je répète : "Et le rapport avec la choucroute, c'est quoi ?"
Je crois que tu ne comprends pas de quoi je parle. Les idéaux de la
FSF reposent sur la notion de liberté. Toute forme de limitation de
la liberté d'un individu doit se justifier par un impératif
d'intérêt général. Si tu ne peux pas exhiber un intérêt général qui
commande évidement que certaines libertés individuelles ne soient
pas permises, alors tes interdictions ne sont plus justifiables.
Voilà ce que je n'aime pas dans l'idéologie qui vient avec la GPL :
elle suppose que tu as vu un intérêt supérieur, une sorte d'objectif
moral à atteindre : qu'il n'y ait plus la domination de l'Homme (qui
programme en proprio) sur l'Homme (qui se retrouve avec des binaires).
Si tu acceptes cette vision, alors la liberté de faire du proprio
n'en est pas une, pas plus que la "liberté" d'avoir des esclaves. Il
devient alors légitime d'imposer une interdiction, au nom de la liberté.
Mais si je te demande pourquoi moi je ne peux pas choisir la licence
de mon code utilisant la librairie GPL, tu ne pourras me répondre
qu'une seule chose : "car l'auteur ne veut pas que tu puisses faire
un programme propriétaire utilisant son code". C'est une forme de
chantage : "tu veux utiliser mon code ? Penses comme moi !" et que
cela provoque des "réactions" comme celle de Michel ou la mienne
ne devrait étonner personne.
Ce moyen est une licence libre est il y a une quarantaine de licences
libres différentes. C'est donc un moyen particulier et il y a débat
possible autour de la question de savoir pourquoi ce moyen là et pas
un des 39 autres. Qu'a-t-il de spécifique ?
Je pourrais être d'accord si la phrase en question était tiré
de la homepage de RMS et concernait le problème israélo-palestinien.
Ce n'est pas le cas. C'est une phrase de la FSF à propos des libertés
et des licences. On est en plein dans le sujet.
Je ne comprends pas comment tu peux en arriver à dire qu'on ne peut
pas mettre en relation la GPL avec les idées de la FSF sur la liberté
et les licences. Ca me dépasse. Vraiment.
Oui ou non la GPL est-elle la licence libre recommandée par la FSF ?
Oui ou non la GPL est-elle une licence libre avec effet copyleft ?
Oui ou non l'effet copyleft se justifie-il car empêchant une oeuvre
dérivée non libre ?
Oui ou non la phrase en question ne dit elle pas que choisir une
licence non libre n'est pas une liberté ?
Non. Le travail que j'ai réalisé, je l'ai entierement réalisé. Point.
Le programme résultant de ce travail repose pour une part sur mon
code, et pour une autre part sur du code de quelqu'un d'autre. Nous
parlons des possibilités qui s'offrent à moi au moment où je dois
choisir la licence de MON code. Nous parlons du fait que ces
possibilités sont réduites à UNE, si l'auteur de la librairie que
j'utilise l'a placée sous GPL.
Et tu reponds quoi, en substance ? : "oui, mais si tu n'es pas content,
tu n'as qu'à utiliser une autre librairie" !!!
Donc, je répète : "Et le rapport avec la choucroute, c'est quoi ?"
Je crois que tu ne comprends pas de quoi je parle. Les idéaux de la
FSF reposent sur la notion de liberté. Toute forme de limitation de
la liberté d'un individu doit se justifier par un impératif
d'intérêt général. Si tu ne peux pas exhiber un intérêt général qui
commande évidement que certaines libertés individuelles ne soient
pas permises, alors tes interdictions ne sont plus justifiables.
Voilà ce que je n'aime pas dans l'idéologie qui vient avec la GPL :
elle suppose que tu as vu un intérêt supérieur, une sorte d'objectif
moral à atteindre : qu'il n'y ait plus la domination de l'Homme (qui
programme en proprio) sur l'Homme (qui se retrouve avec des binaires).
Si tu acceptes cette vision, alors la liberté de faire du proprio
n'en est pas une, pas plus que la "liberté" d'avoir des esclaves. Il
devient alors légitime d'imposer une interdiction, au nom de la liberté.
Mais si je te demande pourquoi moi je ne peux pas choisir la licence
de mon code utilisant la librairie GPL, tu ne pourras me répondre
qu'une seule chose : "car l'auteur ne veut pas que tu puisses faire
un programme propriétaire utilisant son code". C'est une forme de
chantage : "tu veux utiliser mon code ? Penses comme moi !" et que
cela provoque des "réactions" comme celle de Michel ou la mienne
ne devrait étonner personne.
Manuel Leclerc wrote:Je trouve cette histoire de respects de la marque un peu tiré par
les cheveux. Il me semble qu'un logiciel libre, on peut le copier
et le distribuer comme on veut, point. C'est un des points qui me
pose problème quand on discute modèle économique. Si la réponse,
c'est qu'en fait on ne peut pas compier et distribuer comme on
veut parce qu'il y a des (c)(r)(tm) dans le logiciel, alors tout
va bien.
Mais est-ce encore un logiciel libre ?
Ben tu prends n'importe quel logiciel de la RedHat, tu le distribue
sous sa forme binaire ou sous sa forme de source et personne ne te
dira rien. Par contre, tu ne peux pas le faire en utilisant la
marque RedHat.
Ca te va mieux comme ca ?
Mais si tu "souscrits" à un exemplaire de RHEL-WS et que le fait de
le copier sur une deuxième machine sans payer rend caduque ton
"abonnement" aux services de mise à jour, je n'appelle pas ça un
logiciel libre. Explique moi en quoi c'est différent du système
"vache à lait" ?
Qui t'a dit que l'abonnement etait libre ?
Je ne vois pas ce que le domaine public vient faire dans une
discussion à propos de RHEL.
Tout simplement parce que tu n'as pas l'air d'accepter qu'un produit
peut etre a la fois Libre ET commercial.
Tout dépends de ce que tu appelles "support". Si le support c'est
la mise à disposition de "correctifs" qui sont les _mêmes_ pour
n'importe quel _autre client_ qui a acheté le logiciel et si ces
correctifs sont facturés au nombre de CPU, tu vends un droit
d'usage. C'est en contradiction flagrante avec les principes du
logiciel libre, amha.
Ce n'est pas en contradiction du tout, le client est Libre de prendre
une machine et d'installer ce qu'il veut dessus,
toujours est il que si j'infogere une machine, le client me paye pour
cette machine et pour aucune autre et que [...]
Si quelqu'un met sur un FTP public les ISOs de RHEL et les
correctifs quand ils arriveront, ce quelqu'un va-t-il recevoir
un courrier des avocats de RedHat ?
Bien sur, puisqu'ils mettront sur un FTP un produit RedHat avec les
logos et la marque RedHat. Ceux ci ne sont pas librement utilisables.
Donc n'importe quel "acheteur" de ce logiciel "gratuit" peut le
donner à qui il veut et il pourra faire de même avec n'importe
quel correctifs publié par RedHat ?
Il perdra sans doute son contrat avec RedHat qui n'appreciera pas.
Mais si le correctif est GPL (ou compatible), RedHat n'a d'autre
choix que celui la.
Par contre, s'il est BSD, peut etre l'auront ils proprietarisé
entre les deux
et la c'est tout benef pour eux et complete perte de droits pour
le client qui n'a plus qu'a fermer sa gueule et a payer.
Attention, encore une fois, a ne pas le faire sous la marque RedHat
et de bien avoir enleve du produit toute documentation ou partie
qui pourrait ne pas etre Libre et propriete de RedHat (car la GPL
n'oblige pas que toutes les parties d'un meme package soient sous
la meme licence).
Manuel Leclerc wrote:
Je trouve cette histoire de respects de la marque un peu tiré par
les cheveux. Il me semble qu'un logiciel libre, on peut le copier
et le distribuer comme on veut, point. C'est un des points qui me
pose problème quand on discute modèle économique. Si la réponse,
c'est qu'en fait on ne peut pas compier et distribuer comme on
veut parce qu'il y a des (c)(r)(tm) dans le logiciel, alors tout
va bien.
Mais est-ce encore un logiciel libre ?
Ben tu prends n'importe quel logiciel de la RedHat, tu le distribue
sous sa forme binaire ou sous sa forme de source et personne ne te
dira rien. Par contre, tu ne peux pas le faire en utilisant la
marque RedHat.
Ca te va mieux comme ca ?
Mais si tu "souscrits" à un exemplaire de RHEL-WS et que le fait de
le copier sur une deuxième machine sans payer rend caduque ton
"abonnement" aux services de mise à jour, je n'appelle pas ça un
logiciel libre. Explique moi en quoi c'est différent du système
"vache à lait" ?
Qui t'a dit que l'abonnement etait libre ?
Je ne vois pas ce que le domaine public vient faire dans une
discussion à propos de RHEL.
Tout simplement parce que tu n'as pas l'air d'accepter qu'un produit
peut etre a la fois Libre ET commercial.
Tout dépends de ce que tu appelles "support". Si le support c'est
la mise à disposition de "correctifs" qui sont les _mêmes_ pour
n'importe quel _autre client_ qui a acheté le logiciel et si ces
correctifs sont facturés au nombre de CPU, tu vends un droit
d'usage. C'est en contradiction flagrante avec les principes du
logiciel libre, amha.
Ce n'est pas en contradiction du tout, le client est Libre de prendre
une machine et d'installer ce qu'il veut dessus,
toujours est il que si j'infogere une machine, le client me paye pour
cette machine et pour aucune autre et que [...]
Si quelqu'un met sur un FTP public les ISOs de RHEL et les
correctifs quand ils arriveront, ce quelqu'un va-t-il recevoir
un courrier des avocats de RedHat ?
Bien sur, puisqu'ils mettront sur un FTP un produit RedHat avec les
logos et la marque RedHat. Ceux ci ne sont pas librement utilisables.
Donc n'importe quel "acheteur" de ce logiciel "gratuit" peut le
donner à qui il veut et il pourra faire de même avec n'importe
quel correctifs publié par RedHat ?
Il perdra sans doute son contrat avec RedHat qui n'appreciera pas.
Mais si le correctif est GPL (ou compatible), RedHat n'a d'autre
choix que celui la.
Par contre, s'il est BSD, peut etre l'auront ils proprietarisé
entre les deux
et la c'est tout benef pour eux et complete perte de droits pour
le client qui n'a plus qu'a fermer sa gueule et a payer.
Attention, encore une fois, a ne pas le faire sous la marque RedHat
et de bien avoir enleve du produit toute documentation ou partie
qui pourrait ne pas etre Libre et propriete de RedHat (car la GPL
n'oblige pas que toutes les parties d'un meme package soient sous
la meme licence).
Manuel Leclerc wrote:Je trouve cette histoire de respects de la marque un peu tiré par
les cheveux. Il me semble qu'un logiciel libre, on peut le copier
et le distribuer comme on veut, point. C'est un des points qui me
pose problème quand on discute modèle économique. Si la réponse,
c'est qu'en fait on ne peut pas compier et distribuer comme on
veut parce qu'il y a des (c)(r)(tm) dans le logiciel, alors tout
va bien.
Mais est-ce encore un logiciel libre ?
Ben tu prends n'importe quel logiciel de la RedHat, tu le distribue
sous sa forme binaire ou sous sa forme de source et personne ne te
dira rien. Par contre, tu ne peux pas le faire en utilisant la
marque RedHat.
Ca te va mieux comme ca ?
Mais si tu "souscrits" à un exemplaire de RHEL-WS et que le fait de
le copier sur une deuxième machine sans payer rend caduque ton
"abonnement" aux services de mise à jour, je n'appelle pas ça un
logiciel libre. Explique moi en quoi c'est différent du système
"vache à lait" ?
Qui t'a dit que l'abonnement etait libre ?
Je ne vois pas ce que le domaine public vient faire dans une
discussion à propos de RHEL.
Tout simplement parce que tu n'as pas l'air d'accepter qu'un produit
peut etre a la fois Libre ET commercial.
Tout dépends de ce que tu appelles "support". Si le support c'est
la mise à disposition de "correctifs" qui sont les _mêmes_ pour
n'importe quel _autre client_ qui a acheté le logiciel et si ces
correctifs sont facturés au nombre de CPU, tu vends un droit
d'usage. C'est en contradiction flagrante avec les principes du
logiciel libre, amha.
Ce n'est pas en contradiction du tout, le client est Libre de prendre
une machine et d'installer ce qu'il veut dessus,
toujours est il que si j'infogere une machine, le client me paye pour
cette machine et pour aucune autre et que [...]
Si quelqu'un met sur un FTP public les ISOs de RHEL et les
correctifs quand ils arriveront, ce quelqu'un va-t-il recevoir
un courrier des avocats de RedHat ?
Bien sur, puisqu'ils mettront sur un FTP un produit RedHat avec les
logos et la marque RedHat. Ceux ci ne sont pas librement utilisables.
Donc n'importe quel "acheteur" de ce logiciel "gratuit" peut le
donner à qui il veut et il pourra faire de même avec n'importe
quel correctifs publié par RedHat ?
Il perdra sans doute son contrat avec RedHat qui n'appreciera pas.
Mais si le correctif est GPL (ou compatible), RedHat n'a d'autre
choix que celui la.
Par contre, s'il est BSD, peut etre l'auront ils proprietarisé
entre les deux
et la c'est tout benef pour eux et complete perte de droits pour
le client qui n'a plus qu'a fermer sa gueule et a payer.
Attention, encore une fois, a ne pas le faire sous la marque RedHat
et de bien avoir enleve du produit toute documentation ou partie
qui pourrait ne pas etre Libre et propriete de RedHat (car la GPL
n'oblige pas que toutes les parties d'un meme package soient sous
la meme licence).
Manuel Leclerc wrote:tu sais combien d'accord tu devrais obtenir pour mettre une iso
linux sous une licence ?
0, si je respecte par ailleurs toutes les licences individuelles.
une licence du genre redistribuable a conditions de respecter les
licences individuelles des différents parties de l'ISO ?
A mon humble avis : perdu toi même. Va relire la GPL. Je crois
que tu ne peux pas distribuer un truc sous GPL en imposant une
condition pour la redistribution.
c'est l'argument que je te sors depuis plusieurs poste...
Je te repose donc la question : quel est le programme sous GPL
dont RedHat viole la licence ? Merci de répondre.
RedHat ne viole pas la GPL
je parlais d'une possibilité
Si RedHat tient absolument à distribuer un machin en disant
"nous plaçons machin sous GPL", alors RedHat doit distribuer
machin SANS "les référence a RedHat ou anaconda". Faut choisir.
les logos sont sous GPL ?
Je ne sais pas. Pourquoi ?
la RHEL ne viole pas la GPL, c'est tout.
Manuel Leclerc wrote:
tu sais combien d'accord tu devrais obtenir pour mettre une iso
linux sous une licence ?
0, si je respecte par ailleurs toutes les licences individuelles.
une licence du genre redistribuable a conditions de respecter les
licences individuelles des différents parties de l'ISO ?
A mon humble avis : perdu toi même. Va relire la GPL. Je crois
que tu ne peux pas distribuer un truc sous GPL en imposant une
condition pour la redistribution.
c'est l'argument que je te sors depuis plusieurs poste...
Je te repose donc la question : quel est le programme sous GPL
dont RedHat viole la licence ? Merci de répondre.
RedHat ne viole pas la GPL
je parlais d'une possibilité
Si RedHat tient absolument à distribuer un machin en disant
"nous plaçons machin sous GPL", alors RedHat doit distribuer
machin SANS "les référence a RedHat ou anaconda". Faut choisir.
les logos sont sous GPL ?
Je ne sais pas. Pourquoi ?
la RHEL ne viole pas la GPL, c'est tout.
Manuel Leclerc wrote:tu sais combien d'accord tu devrais obtenir pour mettre une iso
linux sous une licence ?
0, si je respecte par ailleurs toutes les licences individuelles.
une licence du genre redistribuable a conditions de respecter les
licences individuelles des différents parties de l'ISO ?
A mon humble avis : perdu toi même. Va relire la GPL. Je crois
que tu ne peux pas distribuer un truc sous GPL en imposant une
condition pour la redistribution.
c'est l'argument que je te sors depuis plusieurs poste...
Je te repose donc la question : quel est le programme sous GPL
dont RedHat viole la licence ? Merci de répondre.
RedHat ne viole pas la GPL
je parlais d'une possibilité
Si RedHat tient absolument à distribuer un machin en disant
"nous plaçons machin sous GPL", alors RedHat doit distribuer
machin SANS "les référence a RedHat ou anaconda". Faut choisir.
les logos sont sous GPL ?
Je ne sais pas. Pourquoi ?
la RHEL ne viole pas la GPL, c'est tout.
Je ne parle pas "des" logiciels, je parle de la distribution elle même.
Donc pour faire un logiciel "libre" payable à l'usage par cpu et
par année, c'est très simple : réunir 2743 logiciels sous licences
diverses et variées mais un bon paquet sous GPL. Compiler le tout,
mélanger avec un installeur, des scripts, des logos, de la marque
déposée, plus tout ce qui fait que chaque distribution est différente
d'une autre. Placer un joli copyright global sur le tout. Interdire
la distribution de l'ensemble à l'identique. Vendre.
"Avec le logiciel libre, les utilisateurs n'ont pas à payer la
distribution [pas au sens ditro] pour utiliser le logiciel.
Ils peuvent copier le programme à partir de la copie d'un ami,
ou avec son aide s'il a accès au réseau. Plusieurs utilisateurs
peuvent également se cotiser pour acheter un CD-ROM et installer
le logiciel chacun à son tour. Un prix élevé n'est pas un
obstacle majeur si le logiciel est libre."
Je ne parle pas "des" logiciels, je parle de la distribution elle même.
Donc pour faire un logiciel "libre" payable à l'usage par cpu et
par année, c'est très simple : réunir 2743 logiciels sous licences
diverses et variées mais un bon paquet sous GPL. Compiler le tout,
mélanger avec un installeur, des scripts, des logos, de la marque
déposée, plus tout ce qui fait que chaque distribution est différente
d'une autre. Placer un joli copyright global sur le tout. Interdire
la distribution de l'ensemble à l'identique. Vendre.
"Avec le logiciel libre, les utilisateurs n'ont pas à payer la
distribution [pas au sens ditro] pour utiliser le logiciel.
Ils peuvent copier le programme à partir de la copie d'un ami,
ou avec son aide s'il a accès au réseau. Plusieurs utilisateurs
peuvent également se cotiser pour acheter un CD-ROM et installer
le logiciel chacun à son tour. Un prix élevé n'est pas un
obstacle majeur si le logiciel est libre."
Je ne parle pas "des" logiciels, je parle de la distribution elle même.
Donc pour faire un logiciel "libre" payable à l'usage par cpu et
par année, c'est très simple : réunir 2743 logiciels sous licences
diverses et variées mais un bon paquet sous GPL. Compiler le tout,
mélanger avec un installeur, des scripts, des logos, de la marque
déposée, plus tout ce qui fait que chaque distribution est différente
d'une autre. Placer un joli copyright global sur le tout. Interdire
la distribution de l'ensemble à l'identique. Vendre.
"Avec le logiciel libre, les utilisateurs n'ont pas à payer la
distribution [pas au sens ditro] pour utiliser le logiciel.
Ils peuvent copier le programme à partir de la copie d'un ami,
ou avec son aide s'il a accès au réseau. Plusieurs utilisateurs
peuvent également se cotiser pour acheter un CD-ROM et installer
le logiciel chacun à son tour. Un prix élevé n'est pas un
obstacle majeur si le logiciel est libre."