L'anthropocentrisme n'est pas mort, merci Albert pour ce retour en
fanfare.
L'anthropocentrisme n'est pas mort, merci Albert pour ce retour en
fanfare.
L'anthropocentrisme n'est pas mort, merci Albert pour ce retour en
fanfare.
"Madame Bérange" a écrit :L'anthropocentrisme n'est pas mort, merci Albert pour ce retour en
fanfare.
Tu as raison de souligner le problème de l'anthropomorphisme.
"Processus premier et originaire de la pensée". Si il existe d'autres
formes de connaissance qui ne soient pas anthropomorphiques, elles
échapperont forcément, elles et leur objet, à notre propre connaissance.
Nous sommes donc doublement ignorants, de ce qui peut exister avant que
nous puissions en avoir connaissance, et de ce qui existe au delà et en
dehors de toute forme de connaissance. La rose n'a pas de "pourquoi"
pour nous, ce qui est effectivement réducteur selon qu'on se place en
dehors de l'anthropomorphisme. Alors finalement notre "pourquoi" à nous
n'est peut-être pas si essentiel que cela.
"Madame Bérange" <bu.jean-pierre@neuf.fr> a écrit :
L'anthropocentrisme n'est pas mort, merci Albert pour ce retour en
fanfare.
Tu as raison de souligner le problème de l'anthropomorphisme.
"Processus premier et originaire de la pensée". Si il existe d'autres
formes de connaissance qui ne soient pas anthropomorphiques, elles
échapperont forcément, elles et leur objet, à notre propre connaissance.
Nous sommes donc doublement ignorants, de ce qui peut exister avant que
nous puissions en avoir connaissance, et de ce qui existe au delà et en
dehors de toute forme de connaissance. La rose n'a pas de "pourquoi"
pour nous, ce qui est effectivement réducteur selon qu'on se place en
dehors de l'anthropomorphisme. Alors finalement notre "pourquoi" à nous
n'est peut-être pas si essentiel que cela.
"Madame Bérange" a écrit :L'anthropocentrisme n'est pas mort, merci Albert pour ce retour en
fanfare.
Tu as raison de souligner le problème de l'anthropomorphisme.
"Processus premier et originaire de la pensée". Si il existe d'autres
formes de connaissance qui ne soient pas anthropomorphiques, elles
échapperont forcément, elles et leur objet, à notre propre connaissance.
Nous sommes donc doublement ignorants, de ce qui peut exister avant que
nous puissions en avoir connaissance, et de ce qui existe au delà et en
dehors de toute forme de connaissance. La rose n'a pas de "pourquoi"
pour nous, ce qui est effectivement réducteur selon qu'on se place en
dehors de l'anthropomorphisme. Alors finalement notre "pourquoi" à nous
n'est peut-être pas si essentiel que cela.
Le 02/01/2014 13:50, albert a écrit :"Madame Bérange" a écrit :
L'anthropomorphisme est le fondement de notre réflexion. Comment pense un
mammifère évolué ? Comme il ne pense pas comme nous, au seul motif que
nous ne savons pas le comprendre, alors nous déduisons de cette ignorance
l'absence de réflexion. Difficile aussi de penser « dauphin » ou «
gorille ». C'est ce même anthropomorphisme qui rend si difficile l'idée
d'une vie qui ne serait pas biologique, qui ne serait pas composée de
carbone et d'oxygène. Existe-t-il une vie éthérée, en métal, en 2
dimensions ?
L'anthropomorphisme bride notre faculté de nous projeter en dehors de
notre sphère d'évolution.
Mais elle forge aussi notre cadre de réflexion. C'est notre
expérimentation de la vie.
--
Dominique
Courriel : dominique point sextant ate orange en France
Esto quod es
Le 02/01/2014 13:50, albert a écrit :
"Madame Bérange" <bu.jean-pierre@neuf.fr> a écrit :
L'anthropomorphisme est le fondement de notre réflexion. Comment pense un
mammifère évolué ? Comme il ne pense pas comme nous, au seul motif que
nous ne savons pas le comprendre, alors nous déduisons de cette ignorance
l'absence de réflexion. Difficile aussi de penser « dauphin » ou «
gorille ». C'est ce même anthropomorphisme qui rend si difficile l'idée
d'une vie qui ne serait pas biologique, qui ne serait pas composée de
carbone et d'oxygène. Existe-t-il une vie éthérée, en métal, en 2
dimensions ?
L'anthropomorphisme bride notre faculté de nous projeter en dehors de
notre sphère d'évolution.
Mais elle forge aussi notre cadre de réflexion. C'est notre
expérimentation de la vie.
--
Dominique
Courriel : dominique point sextant ate orange en France
Esto quod es
Le 02/01/2014 13:50, albert a écrit :"Madame Bérange" a écrit :
L'anthropomorphisme est le fondement de notre réflexion. Comment pense un
mammifère évolué ? Comme il ne pense pas comme nous, au seul motif que
nous ne savons pas le comprendre, alors nous déduisons de cette ignorance
l'absence de réflexion. Difficile aussi de penser « dauphin » ou «
gorille ». C'est ce même anthropomorphisme qui rend si difficile l'idée
d'une vie qui ne serait pas biologique, qui ne serait pas composée de
carbone et d'oxygène. Existe-t-il une vie éthérée, en métal, en 2
dimensions ?
L'anthropomorphisme bride notre faculté de nous projeter en dehors de
notre sphère d'évolution.
Mais elle forge aussi notre cadre de réflexion. C'est notre
expérimentation de la vie.
--
Dominique
Courriel : dominique point sextant ate orange en France
Esto quod es
: si nous ne connaissons jamais aucune autre vie intelligente (de quelle
intelligence parlons-nous ?), une autre vie existe-t-elle ? Non, je
suppose, si elle reste en dehors du champs des connaissances humaines.
L'anthropomorphisme est le fondement de notre réflexion. Comment pense
un mammifère évolué ? Comme il ne pense pas comme nous, au seul motif
que nous ne savons pas le comprendre, alors nous déduisons de cette
ignorance l'absence de réflexion. Difficile aussi de penser « dauphin »
ou « gorille ».
C'est ce même anthropomorphisme qui rend si difficile
l'idée d'une vie qui ne serait pas biologique, qui ne serait pas
composée de carbone et d'oxygène. Existe-t-il une vie éthérée, en métal,
en 2 dimensions ?
L'anthropomorphisme bride notre faculté de nous projeter en dehors de
notre sphère d'évolution.
Mais elle forge aussi notre cadre de réflexion. C'est notre
expérimentation de la vie.
: si nous ne connaissons jamais aucune autre vie intelligente (de quelle
intelligence parlons-nous ?), une autre vie existe-t-elle ? Non, je
suppose, si elle reste en dehors du champs des connaissances humaines.
L'anthropomorphisme est le fondement de notre réflexion. Comment pense
un mammifère évolué ? Comme il ne pense pas comme nous, au seul motif
que nous ne savons pas le comprendre, alors nous déduisons de cette
ignorance l'absence de réflexion. Difficile aussi de penser « dauphin »
ou « gorille ».
C'est ce même anthropomorphisme qui rend si difficile
l'idée d'une vie qui ne serait pas biologique, qui ne serait pas
composée de carbone et d'oxygène. Existe-t-il une vie éthérée, en métal,
en 2 dimensions ?
L'anthropomorphisme bride notre faculté de nous projeter en dehors de
notre sphère d'évolution.
Mais elle forge aussi notre cadre de réflexion. C'est notre
expérimentation de la vie.
: si nous ne connaissons jamais aucune autre vie intelligente (de quelle
intelligence parlons-nous ?), une autre vie existe-t-elle ? Non, je
suppose, si elle reste en dehors du champs des connaissances humaines.
L'anthropomorphisme est le fondement de notre réflexion. Comment pense
un mammifère évolué ? Comme il ne pense pas comme nous, au seul motif
que nous ne savons pas le comprendre, alors nous déduisons de cette
ignorance l'absence de réflexion. Difficile aussi de penser « dauphin »
ou « gorille ».
C'est ce même anthropomorphisme qui rend si difficile
l'idée d'une vie qui ne serait pas biologique, qui ne serait pas
composée de carbone et d'oxygène. Existe-t-il une vie éthérée, en métal,
en 2 dimensions ?
L'anthropomorphisme bride notre faculté de nous projeter en dehors de
notre sphère d'évolution.
Mais elle forge aussi notre cadre de réflexion. C'est notre
expérimentation de la vie.
Le 02/01/2014 20:04, Dominique a écrit :: si nous ne connaissons jamais aucune autre vie intelligente (de quelle
intelligence parlons-nous ?), une autre vie existe-t-elle ? Non, je
suppose, si elle reste en dehors du champs des connaissances humaines.
Je ne suis pas d'accord avec cette déclaration qui suppose que
l'existence dépend de la connaissance d'un tiers pensant.
Car il n'y a qu'une seule réalité physique que nous approfondissons peu
à peu, mais qui n'est jamais contraire à ce qui était précédemment connu.
Einstein approfondit Newton, mais ne l'annule pas.
Toujours pas d'accord. Je pense "cheval" sans problème. Je comprends
fort bien son mode de pensée : manger, boire, dormir, faire gaffe aux
chiens qui mordent, baiser, obéir au cavalier pour ne pas se faire
engueuler... Il est facile de savoir ce qu'il pense, son comportement en
est le reflet.
Il faut d'abord définir la vie. Des cristaux qui se combinent ne sont
pas vivants. La vie, c'est la reproduction sexuée et l'éternité des
cellules.
Le 02/01/2014 20:04, Dominique a écrit :
: si nous ne connaissons jamais aucune autre vie intelligente (de quelle
intelligence parlons-nous ?), une autre vie existe-t-elle ? Non, je
suppose, si elle reste en dehors du champs des connaissances humaines.
Je ne suis pas d'accord avec cette déclaration qui suppose que
l'existence dépend de la connaissance d'un tiers pensant.
Car il n'y a qu'une seule réalité physique que nous approfondissons peu
à peu, mais qui n'est jamais contraire à ce qui était précédemment connu.
Einstein approfondit Newton, mais ne l'annule pas.
Toujours pas d'accord. Je pense "cheval" sans problème. Je comprends
fort bien son mode de pensée : manger, boire, dormir, faire gaffe aux
chiens qui mordent, baiser, obéir au cavalier pour ne pas se faire
engueuler... Il est facile de savoir ce qu'il pense, son comportement en
est le reflet.
Il faut d'abord définir la vie. Des cristaux qui se combinent ne sont
pas vivants. La vie, c'est la reproduction sexuée et l'éternité des
cellules.
Le 02/01/2014 20:04, Dominique a écrit :: si nous ne connaissons jamais aucune autre vie intelligente (de quelle
intelligence parlons-nous ?), une autre vie existe-t-elle ? Non, je
suppose, si elle reste en dehors du champs des connaissances humaines.
Je ne suis pas d'accord avec cette déclaration qui suppose que
l'existence dépend de la connaissance d'un tiers pensant.
Car il n'y a qu'une seule réalité physique que nous approfondissons peu
à peu, mais qui n'est jamais contraire à ce qui était précédemment connu.
Einstein approfondit Newton, mais ne l'annule pas.
Toujours pas d'accord. Je pense "cheval" sans problème. Je comprends
fort bien son mode de pensée : manger, boire, dormir, faire gaffe aux
chiens qui mordent, baiser, obéir au cavalier pour ne pas se faire
engueuler... Il est facile de savoir ce qu'il pense, son comportement en
est le reflet.
Il faut d'abord définir la vie. Des cristaux qui se combinent ne sont
pas vivants. La vie, c'est la reproduction sexuée et l'éternité des
cellules.
Le 02/01/2014 20:57, Ghost-Raider a écrit :Le 02/01/2014 20:04, Dominique a écrit :: si nous ne connaissons jamais aucune autre vie intelligente (de quelle
intelligence parlons-nous ?), une autre vie existe-t-elle ? Non, je
suppose, si elle reste en dehors du champs des connaissances humaines.
Je ne suis pas d'accord avec cette déclaration qui suppose que
l'existence dépend de la connaissance d'un tiers pensant.
Car il n'y a qu'une seule réalité physique que nous approfondissons peu
à peu, mais qui n'est jamais contraire à ce qui était précédemment connu.
Einstein approfondit Newton, mais ne l'annule pas.
Pour qu'une chose existe, il faut effectivement un être pensant qui «
l'invente ». Tant que cette invention, ou découverte, n'est pas faite
alors la chose n'existe pas.
Newton et Einstein travaillaient sur les mêmes questions relativistes.
Einstein a conceptualisé le tout pour en tirer des théories qui décrivent
correctement le monde existant. Mais avant tous ces physiciens, Newton et
Einstein étant les plus emblématiques, qui pouvaient imaginer une seule
seconde que le temps et l'espace étaient élastiques ?Toujours pas d'accord. Je pense "cheval" sans problème. Je comprends
fort bien son mode de pensée : manger, boire, dormir, faire gaffe aux
chiens qui mordent, baiser, obéir au cavalier pour ne pas se faire
engueuler... Il est facile de savoir ce qu'il pense, son comportement en
est le reflet.
Tu penses comme un homme pense que le cheval pense. Tu es en plein
anthropomorphisme. Que sais-tu de la pensée du cheval si ce n'est « le
reflet » que tu en vois ? Peut-être as-tu raison, peut-être as-tu tort.
Mais au seul motif que tu n'entends pas la « parole » du cheval (qui
pouvait penser, avant l'invention du SONAR, que les cétacés « parlaient »
dans l'eau ?), tu en déduis que le cheval a un comportement uniquement
conditionné par son environnement extérieur et ses gonades. Bon, quand on
entend certains types, au 4e Pastis, qui devisent au café des sports, on
n'est pas loin de ce concept :-)Il faut d'abord définir la vie. Des cristaux qui se combinent ne sont
pas vivants. La vie, c'est la reproduction sexuée et l'éternité des
cellules.
Tu définis ici la vie à l'image de celles qu'on connaît. La reproduction
de la paramécie est tout sauf sexuée.
La paramécie ne serait donc pas vivante ? La vie ne peut pas se déduire de
l'existence d'une sexualité. Vercors a posé la question de la définition de
l'Homme dans 3 ouvrages : « Les animaux dénaturés » et, par un biais un peu
différent, avec « Les armes de la nuit » puis « La puissance du jour ». La
vie, tout comme l'Homme, ne peuvent pas se satisfaire d'une définition
simpliste.
Que veux-tu dire quand tu parles de l'éternité des cellules ? Là, j'ai une
panne d'inspiration...
Le 02/01/2014 20:57, Ghost-Raider a écrit :
Le 02/01/2014 20:04, Dominique a écrit :
: si nous ne connaissons jamais aucune autre vie intelligente (de quelle
intelligence parlons-nous ?), une autre vie existe-t-elle ? Non, je
suppose, si elle reste en dehors du champs des connaissances humaines.
Je ne suis pas d'accord avec cette déclaration qui suppose que
l'existence dépend de la connaissance d'un tiers pensant.
Car il n'y a qu'une seule réalité physique que nous approfondissons peu
à peu, mais qui n'est jamais contraire à ce qui était précédemment connu.
Einstein approfondit Newton, mais ne l'annule pas.
Pour qu'une chose existe, il faut effectivement un être pensant qui «
l'invente ». Tant que cette invention, ou découverte, n'est pas faite
alors la chose n'existe pas.
Newton et Einstein travaillaient sur les mêmes questions relativistes.
Einstein a conceptualisé le tout pour en tirer des théories qui décrivent
correctement le monde existant. Mais avant tous ces physiciens, Newton et
Einstein étant les plus emblématiques, qui pouvaient imaginer une seule
seconde que le temps et l'espace étaient élastiques ?
Toujours pas d'accord. Je pense "cheval" sans problème. Je comprends
fort bien son mode de pensée : manger, boire, dormir, faire gaffe aux
chiens qui mordent, baiser, obéir au cavalier pour ne pas se faire
engueuler... Il est facile de savoir ce qu'il pense, son comportement en
est le reflet.
Tu penses comme un homme pense que le cheval pense. Tu es en plein
anthropomorphisme. Que sais-tu de la pensée du cheval si ce n'est « le
reflet » que tu en vois ? Peut-être as-tu raison, peut-être as-tu tort.
Mais au seul motif que tu n'entends pas la « parole » du cheval (qui
pouvait penser, avant l'invention du SONAR, que les cétacés « parlaient »
dans l'eau ?), tu en déduis que le cheval a un comportement uniquement
conditionné par son environnement extérieur et ses gonades. Bon, quand on
entend certains types, au 4e Pastis, qui devisent au café des sports, on
n'est pas loin de ce concept :-)
Il faut d'abord définir la vie. Des cristaux qui se combinent ne sont
pas vivants. La vie, c'est la reproduction sexuée et l'éternité des
cellules.
Tu définis ici la vie à l'image de celles qu'on connaît. La reproduction
de la paramécie est tout sauf sexuée.
La paramécie ne serait donc pas vivante ? La vie ne peut pas se déduire de
l'existence d'une sexualité. Vercors a posé la question de la définition de
l'Homme dans 3 ouvrages : « Les animaux dénaturés » et, par un biais un peu
différent, avec « Les armes de la nuit » puis « La puissance du jour ». La
vie, tout comme l'Homme, ne peuvent pas se satisfaire d'une définition
simpliste.
Que veux-tu dire quand tu parles de l'éternité des cellules ? Là, j'ai une
panne d'inspiration...
Le 02/01/2014 20:57, Ghost-Raider a écrit :Le 02/01/2014 20:04, Dominique a écrit :: si nous ne connaissons jamais aucune autre vie intelligente (de quelle
intelligence parlons-nous ?), une autre vie existe-t-elle ? Non, je
suppose, si elle reste en dehors du champs des connaissances humaines.
Je ne suis pas d'accord avec cette déclaration qui suppose que
l'existence dépend de la connaissance d'un tiers pensant.
Car il n'y a qu'une seule réalité physique que nous approfondissons peu
à peu, mais qui n'est jamais contraire à ce qui était précédemment connu.
Einstein approfondit Newton, mais ne l'annule pas.
Pour qu'une chose existe, il faut effectivement un être pensant qui «
l'invente ». Tant que cette invention, ou découverte, n'est pas faite
alors la chose n'existe pas.
Newton et Einstein travaillaient sur les mêmes questions relativistes.
Einstein a conceptualisé le tout pour en tirer des théories qui décrivent
correctement le monde existant. Mais avant tous ces physiciens, Newton et
Einstein étant les plus emblématiques, qui pouvaient imaginer une seule
seconde que le temps et l'espace étaient élastiques ?Toujours pas d'accord. Je pense "cheval" sans problème. Je comprends
fort bien son mode de pensée : manger, boire, dormir, faire gaffe aux
chiens qui mordent, baiser, obéir au cavalier pour ne pas se faire
engueuler... Il est facile de savoir ce qu'il pense, son comportement en
est le reflet.
Tu penses comme un homme pense que le cheval pense. Tu es en plein
anthropomorphisme. Que sais-tu de la pensée du cheval si ce n'est « le
reflet » que tu en vois ? Peut-être as-tu raison, peut-être as-tu tort.
Mais au seul motif que tu n'entends pas la « parole » du cheval (qui
pouvait penser, avant l'invention du SONAR, que les cétacés « parlaient »
dans l'eau ?), tu en déduis que le cheval a un comportement uniquement
conditionné par son environnement extérieur et ses gonades. Bon, quand on
entend certains types, au 4e Pastis, qui devisent au café des sports, on
n'est pas loin de ce concept :-)Il faut d'abord définir la vie. Des cristaux qui se combinent ne sont
pas vivants. La vie, c'est la reproduction sexuée et l'éternité des
cellules.
Tu définis ici la vie à l'image de celles qu'on connaît. La reproduction
de la paramécie est tout sauf sexuée.
La paramécie ne serait donc pas vivante ? La vie ne peut pas se déduire de
l'existence d'une sexualité. Vercors a posé la question de la définition de
l'Homme dans 3 ouvrages : « Les animaux dénaturés » et, par un biais un peu
différent, avec « Les armes de la nuit » puis « La puissance du jour ». La
vie, tout comme l'Homme, ne peuvent pas se satisfaire d'une définition
simpliste.
Que veux-tu dire quand tu parles de l'éternité des cellules ? Là, j'ai une
panne d'inspiration...
l'idée d'une vie qui ne serait pas biologique, qui ne serait pas composée
de carbone et d'oxygène. Existe-t-il une vie éthérée, en métal, en 2
dimensions ?
L'anthropomorphisme bride notre faculté de nous projeter en dehors de
notre sphère d'évolution.
Mais elle forge aussi notre cadre de réflexion. C'est notre
expérimentation de la vie.
Je doute que l'imagination puisse être l'expression de la réalité.
l'idée d'une vie qui ne serait pas biologique, qui ne serait pas composée
de carbone et d'oxygène. Existe-t-il une vie éthérée, en métal, en 2
dimensions ?
L'anthropomorphisme bride notre faculté de nous projeter en dehors de
notre sphère d'évolution.
Mais elle forge aussi notre cadre de réflexion. C'est notre
expérimentation de la vie.
Je doute que l'imagination puisse être l'expression de la réalité.
l'idée d'une vie qui ne serait pas biologique, qui ne serait pas composée
de carbone et d'oxygène. Existe-t-il une vie éthérée, en métal, en 2
dimensions ?
L'anthropomorphisme bride notre faculté de nous projeter en dehors de
notre sphère d'évolution.
Mais elle forge aussi notre cadre de réflexion. C'est notre
expérimentation de la vie.
Je doute que l'imagination puisse être l'expression de la réalité.
Le 02/01/2014 20:57, Ghost-Raider a écrit :
Pour qu'une chose existe, il faut effectivement un être pensant qui «
l'invente ». Tant que cette invention, ou découverte, n'est pas faite
alors la chose n'existe pas.
Newton et Einstein travaillaient sur les mêmes questions relativistes.
Einstein a conceptualisé le tout pour en tirer des théories qui
décrivent correctement le monde existant.
Mais avant tous ces
physiciens, Newton et Einstein étant les plus emblématiques, qui
pouvaient imaginer une seule seconde que le temps et l'espace étaient
élastiques ?
Tu penses comme un homme pense que le cheval pense. Tu es en plein
anthropomorphisme. Que sais-tu de la pensée du cheval si ce n'est « le
reflet » que tu en vois ? Peut-être as-tu raison, peut-être as-tu tort.
Mais au seul motif que tu n'entends pas la « parole » du cheval (qui
pouvait penser, avant l'invention du SONAR, que les cétacés « parlaient
» dans l'eau ?),
tu en déduis que le cheval a un comportement uniquement
conditionné par son environnement extérieur et ses gonades. Bon, quand
on entend certains types, au 4e Pastis, qui devisent au café des sports,
on n'est pas loin de ce concept :-)
Il faut d'abord définir la vie. Des cristaux qui se combinent ne sont
pas vivants. La vie, c'est la reproduction sexuée et l'éternité des
cellules.
Tu définis ici la vie à l'image de celles qu'on connaît. La reproduction
de la paramécie est tout sauf sexuée. La paramécie ne serait donc pas
vivante ? La vie ne peut pas se déduire de l'existence d'une sexualité.
Vercors a posé la question de la définition de l'Homme dans 3 ouvrages :
« Les animaux dénaturés » et, par un biais un peu différent, avec « Les
armes de la nuit » puis « La puissance du jour ». La vie, tout comme
l'Homme, ne peuvent pas se satisfaire d'une définition simpliste.
Que veux-tu dire quand tu parles de l'éternité des cellules ? Là, j'ai
une panne d'inspiration...
Le 02/01/2014 20:57, Ghost-Raider a écrit :
Pour qu'une chose existe, il faut effectivement un être pensant qui «
l'invente ». Tant que cette invention, ou découverte, n'est pas faite
alors la chose n'existe pas.
Newton et Einstein travaillaient sur les mêmes questions relativistes.
Einstein a conceptualisé le tout pour en tirer des théories qui
décrivent correctement le monde existant.
Mais avant tous ces
physiciens, Newton et Einstein étant les plus emblématiques, qui
pouvaient imaginer une seule seconde que le temps et l'espace étaient
élastiques ?
Tu penses comme un homme pense que le cheval pense. Tu es en plein
anthropomorphisme. Que sais-tu de la pensée du cheval si ce n'est « le
reflet » que tu en vois ? Peut-être as-tu raison, peut-être as-tu tort.
Mais au seul motif que tu n'entends pas la « parole » du cheval (qui
pouvait penser, avant l'invention du SONAR, que les cétacés « parlaient
» dans l'eau ?),
tu en déduis que le cheval a un comportement uniquement
conditionné par son environnement extérieur et ses gonades. Bon, quand
on entend certains types, au 4e Pastis, qui devisent au café des sports,
on n'est pas loin de ce concept :-)
Il faut d'abord définir la vie. Des cristaux qui se combinent ne sont
pas vivants. La vie, c'est la reproduction sexuée et l'éternité des
cellules.
Tu définis ici la vie à l'image de celles qu'on connaît. La reproduction
de la paramécie est tout sauf sexuée. La paramécie ne serait donc pas
vivante ? La vie ne peut pas se déduire de l'existence d'une sexualité.
Vercors a posé la question de la définition de l'Homme dans 3 ouvrages :
« Les animaux dénaturés » et, par un biais un peu différent, avec « Les
armes de la nuit » puis « La puissance du jour ». La vie, tout comme
l'Homme, ne peuvent pas se satisfaire d'une définition simpliste.
Que veux-tu dire quand tu parles de l'éternité des cellules ? Là, j'ai
une panne d'inspiration...
Le 02/01/2014 20:57, Ghost-Raider a écrit :
Pour qu'une chose existe, il faut effectivement un être pensant qui «
l'invente ». Tant que cette invention, ou découverte, n'est pas faite
alors la chose n'existe pas.
Newton et Einstein travaillaient sur les mêmes questions relativistes.
Einstein a conceptualisé le tout pour en tirer des théories qui
décrivent correctement le monde existant.
Mais avant tous ces
physiciens, Newton et Einstein étant les plus emblématiques, qui
pouvaient imaginer une seule seconde que le temps et l'espace étaient
élastiques ?
Tu penses comme un homme pense que le cheval pense. Tu es en plein
anthropomorphisme. Que sais-tu de la pensée du cheval si ce n'est « le
reflet » que tu en vois ? Peut-être as-tu raison, peut-être as-tu tort.
Mais au seul motif que tu n'entends pas la « parole » du cheval (qui
pouvait penser, avant l'invention du SONAR, que les cétacés « parlaient
» dans l'eau ?),
tu en déduis que le cheval a un comportement uniquement
conditionné par son environnement extérieur et ses gonades. Bon, quand
on entend certains types, au 4e Pastis, qui devisent au café des sports,
on n'est pas loin de ce concept :-)
Il faut d'abord définir la vie. Des cristaux qui se combinent ne sont
pas vivants. La vie, c'est la reproduction sexuée et l'éternité des
cellules.
Tu définis ici la vie à l'image de celles qu'on connaît. La reproduction
de la paramécie est tout sauf sexuée. La paramécie ne serait donc pas
vivante ? La vie ne peut pas se déduire de l'existence d'une sexualité.
Vercors a posé la question de la définition de l'Homme dans 3 ouvrages :
« Les animaux dénaturés » et, par un biais un peu différent, avec « Les
armes de la nuit » puis « La puissance du jour ». La vie, tout comme
l'Homme, ne peuvent pas se satisfaire d'une définition simpliste.
Que veux-tu dire quand tu parles de l'éternité des cellules ? Là, j'ai
une panne d'inspiration...
Le 31/12/2013 21:29, albert a écrit :Celui-là, il aurait mieux fait de se taire.
Avec une photo à l'appui, ce serait mieux.
Bonne année à tous,
François
Le 31/12/2013 21:29, albert a écrit :
Celui-là, il aurait mieux fait de se taire.
Avec une photo à l'appui, ce serait mieux.
Bonne année à tous,
François
Le 31/12/2013 21:29, albert a écrit :Celui-là, il aurait mieux fait de se taire.
Avec une photo à l'appui, ce serait mieux.
Bonne année à tous,
François
Le 02/01/2014 21:41, Dominique a écrit :Le 02/01/2014 20:57, Ghost-Raider a écrit :Pour qu'une chose existe, il faut effectivement un être pensant qui «
l'invente ». Tant que cette invention, ou découverte, n'est pas faite
alors la chose n'existe pas.
Mais bien sûr que si. Tu sembles vouloir confondre existence physique et
philosophique. Ça n'a rien à voir. L'univers existe depuis 14 milliards
d'année, la vie depuis 1 milliard seulement et l'homme qui réfléchit à
l'univers depuis moins d'1 million d'années. l'univers n'est pas né il y a
un million d'années.
Newton et Einstein travaillaient sur les mêmes questions relativistes.
Pas Newton. Sa mécanique était déterministe.
Le 02/01/2014 21:41, Dominique a écrit :
Le 02/01/2014 20:57, Ghost-Raider a écrit :
Pour qu'une chose existe, il faut effectivement un être pensant qui «
l'invente ». Tant que cette invention, ou découverte, n'est pas faite
alors la chose n'existe pas.
Mais bien sûr que si. Tu sembles vouloir confondre existence physique et
philosophique. Ça n'a rien à voir. L'univers existe depuis 14 milliards
d'année, la vie depuis 1 milliard seulement et l'homme qui réfléchit à
l'univers depuis moins d'1 million d'années. l'univers n'est pas né il y a
un million d'années.
Newton et Einstein travaillaient sur les mêmes questions relativistes.
Pas Newton. Sa mécanique était déterministe.
Le 02/01/2014 21:41, Dominique a écrit :Le 02/01/2014 20:57, Ghost-Raider a écrit :Pour qu'une chose existe, il faut effectivement un être pensant qui «
l'invente ». Tant que cette invention, ou découverte, n'est pas faite
alors la chose n'existe pas.
Mais bien sûr que si. Tu sembles vouloir confondre existence physique et
philosophique. Ça n'a rien à voir. L'univers existe depuis 14 milliards
d'année, la vie depuis 1 milliard seulement et l'homme qui réfléchit à
l'univers depuis moins d'1 million d'années. l'univers n'est pas né il y a
un million d'années.
Newton et Einstein travaillaient sur les mêmes questions relativistes.
Pas Newton. Sa mécanique était déterministe.