Ben forcément en externe, vous en avez beaucoup de Pcs de base avec 7
connecteurs Sata ?
Ben forcément en externe, vous en avez beaucoup de Pcs de base avec 7
connecteurs Sata ?
Ben forcément en externe, vous en avez beaucoup de Pcs de base avec 7
connecteurs Sata ?
J'ai dit PC pas processeur...
Heu... je ne sais pas ce que tu entends par conituinté.
Mais prenons un exemple [...]
J'ai dit PC pas processeur...
Heu... je ne sais pas ce que tu entends par conituinté.
Mais prenons un exemple [...]
J'ai dit PC pas processeur...
Heu... je ne sais pas ce que tu entends par conituinté.
Mais prenons un exemple [...]
FiLH wrote:
de la *nature* de ces besoins spécifiques.
On a déjà répondu qu'on laissait de côté l'aspect esthétique pur
incluant composants hors de prix, etc. et qu'on rangeait tout ça dans la
hifi "ésotérique" qui n'est pas en soi hors-charte mais qui n'a pas
besoin d'autre légitimité que la passion abstraite (assimilable au
tuning auto etc.)
Reste donc un goût pour la "pureté" du son. Et là on en revient à
disqualifier la finesse des oreilles du "pro", son degré d'exigence, et
à devoir aussi définir cette pureté par rapport à une *source* dans
laquelle, peu ou prou, le "professionnel" fait forcément sa réapparition
via l'instrumentiste, le luthier, l'architecte-acousticien, le preneur
de son... et pourquoi pas le public ! Et où aussi il devient difficile
de faire la part entre l'objectif et le subjectif.
J'admets que je comprends mieux, mais je persiste à ne pas être
totalement satisfait.
FiLH <filh@filh.orgie> wrote:
de la *nature* de ces besoins spécifiques.
On a déjà répondu qu'on laissait de côté l'aspect esthétique pur
incluant composants hors de prix, etc. et qu'on rangeait tout ça dans la
hifi "ésotérique" qui n'est pas en soi hors-charte mais qui n'a pas
besoin d'autre légitimité que la passion abstraite (assimilable au
tuning auto etc.)
Reste donc un goût pour la "pureté" du son. Et là on en revient à
disqualifier la finesse des oreilles du "pro", son degré d'exigence, et
à devoir aussi définir cette pureté par rapport à une *source* dans
laquelle, peu ou prou, le "professionnel" fait forcément sa réapparition
via l'instrumentiste, le luthier, l'architecte-acousticien, le preneur
de son... et pourquoi pas le public ! Et où aussi il devient difficile
de faire la part entre l'objectif et le subjectif.
J'admets que je comprends mieux, mais je persiste à ne pas être
totalement satisfait.
FiLH wrote:
de la *nature* de ces besoins spécifiques.
On a déjà répondu qu'on laissait de côté l'aspect esthétique pur
incluant composants hors de prix, etc. et qu'on rangeait tout ça dans la
hifi "ésotérique" qui n'est pas en soi hors-charte mais qui n'a pas
besoin d'autre légitimité que la passion abstraite (assimilable au
tuning auto etc.)
Reste donc un goût pour la "pureté" du son. Et là on en revient à
disqualifier la finesse des oreilles du "pro", son degré d'exigence, et
à devoir aussi définir cette pureté par rapport à une *source* dans
laquelle, peu ou prou, le "professionnel" fait forcément sa réapparition
via l'instrumentiste, le luthier, l'architecte-acousticien, le preneur
de son... et pourquoi pas le public ! Et où aussi il devient difficile
de faire la part entre l'objectif et le subjectif.
J'admets que je comprends mieux, mais je persiste à ne pas être
totalement satisfait.
Et, traive de blabalabla, mais discs conseillé, vous zy songé un peu
dite donc???
Et, traive de blabalabla, mais discs conseillé, vous zy songé un peu
dite donc???
Et, traive de blabalabla, mais discs conseillé, vous zy songé un peu
dite donc???
Michel HONORRE wrote:Et, traive de blabalabla, mais discs conseillé, vous zy songé un peu
dite donc???
Tiens, tu me donnes envie de lancer un autre thème :
Initialement, pour moi, l'image associée à la musique est une hérésie.
La perversion ultime en étant le clip vidéo, où la musique n'est plus
qu'un faire-valoir de l'image voire d'un égo démesuré de star.
La musique est faite pour être écoutée, dans de bonnes conditions (sujet
en charte ;-)) à partir de bonnes sources, dont je laisse à toi et à
d'autres le soin de débattre.
Comme toute règle, celle-ci a des exceptions et c'est donc l'occasion de
donner deux références (peut-être déjà citées ? Désolé si c'est le cas).
- Le coffret du Don Giovanni de Losey dans l'édition "luxe" 3 DVD (avec
en particulier le bonus de l'Odyssée Sonore).
<http://www.amazon.fr/Don-Giovanni-Edition-Deluxe-DVD/dp/B0014JKM72/ref > sr_1_6?ie=UTF8&qid46648220&sr=8-6>
- Le DVD de la Messe en Si de Bach, par le Thomanerchor de Leipzig.
<http://www.amazon.fr/Bach-Messe-Mineur-Lieipzig-Live/dp/B000F6YWLM/ref > sr_1_fkmr0_3?s=dvd&ie=UTF8&qid46648347&sr=1-3-fkmr0>
Dans les deux cas à écouter avec une installation 5.1 (donc pas hifi !)
de qualité, et à visionner sur un écran convenable.
Il est en effet des cas où le choix (parti-pris) esthétique, comme dans
le cas de la *création* de Joseph Losey, ou la simple captation des
images d'un concert public comme dans le cas de la Messe en Si,
apportent un "plus" indiscutable, surtout quand, dans un cas comme dans
l'autre, la bande-son est exceptionnelle.
Dans le deuxième cas, par rapport à une écoute strictement audio, les
images de la disposition du public par rapport à l'orchestre et au
choeur (ou l'inverse), le contraste entre le caractère désincarné et de
pureté absolue de cette musique et la nature infiniment vivante des
chanteurs et instrumentiste augmentent la perception qu'on peut avoir de
son caractère à la fois fragile (du crystal ?) et éphémère (une
sculpture de glace ?).
Naturellement, dans les deux cas, un suivi et surtout une lecture/étude
préalable du livret et de la partition sont vivement conseillés !
hth,
Michel HONORRE <honore@clone.fr> wrote:
Et, traive de blabalabla, mais discs conseillé, vous zy songé un peu
dite donc???
Tiens, tu me donnes envie de lancer un autre thème :
Initialement, pour moi, l'image associée à la musique est une hérésie.
La perversion ultime en étant le clip vidéo, où la musique n'est plus
qu'un faire-valoir de l'image voire d'un égo démesuré de star.
La musique est faite pour être écoutée, dans de bonnes conditions (sujet
en charte ;-)) à partir de bonnes sources, dont je laisse à toi et à
d'autres le soin de débattre.
Comme toute règle, celle-ci a des exceptions et c'est donc l'occasion de
donner deux références (peut-être déjà citées ? Désolé si c'est le cas).
- Le coffret du Don Giovanni de Losey dans l'édition "luxe" 3 DVD (avec
en particulier le bonus de l'Odyssée Sonore).
<http://www.amazon.fr/Don-Giovanni-Edition-Deluxe-DVD/dp/B0014JKM72/ref > sr_1_6?ie=UTF8&qid46648220&sr=8-6>
- Le DVD de la Messe en Si de Bach, par le Thomanerchor de Leipzig.
<http://www.amazon.fr/Bach-Messe-Mineur-Lieipzig-Live/dp/B000F6YWLM/ref > sr_1_fkmr0_3?s=dvd&ie=UTF8&qid46648347&sr=1-3-fkmr0>
Dans les deux cas à écouter avec une installation 5.1 (donc pas hifi !)
de qualité, et à visionner sur un écran convenable.
Il est en effet des cas où le choix (parti-pris) esthétique, comme dans
le cas de la *création* de Joseph Losey, ou la simple captation des
images d'un concert public comme dans le cas de la Messe en Si,
apportent un "plus" indiscutable, surtout quand, dans un cas comme dans
l'autre, la bande-son est exceptionnelle.
Dans le deuxième cas, par rapport à une écoute strictement audio, les
images de la disposition du public par rapport à l'orchestre et au
choeur (ou l'inverse), le contraste entre le caractère désincarné et de
pureté absolue de cette musique et la nature infiniment vivante des
chanteurs et instrumentiste augmentent la perception qu'on peut avoir de
son caractère à la fois fragile (du crystal ?) et éphémère (une
sculpture de glace ?).
Naturellement, dans les deux cas, un suivi et surtout une lecture/étude
préalable du livret et de la partition sont vivement conseillés !
hth,
Michel HONORRE wrote:Et, traive de blabalabla, mais discs conseillé, vous zy songé un peu
dite donc???
Tiens, tu me donnes envie de lancer un autre thème :
Initialement, pour moi, l'image associée à la musique est une hérésie.
La perversion ultime en étant le clip vidéo, où la musique n'est plus
qu'un faire-valoir de l'image voire d'un égo démesuré de star.
La musique est faite pour être écoutée, dans de bonnes conditions (sujet
en charte ;-)) à partir de bonnes sources, dont je laisse à toi et à
d'autres le soin de débattre.
Comme toute règle, celle-ci a des exceptions et c'est donc l'occasion de
donner deux références (peut-être déjà citées ? Désolé si c'est le cas).
- Le coffret du Don Giovanni de Losey dans l'édition "luxe" 3 DVD (avec
en particulier le bonus de l'Odyssée Sonore).
<http://www.amazon.fr/Don-Giovanni-Edition-Deluxe-DVD/dp/B0014JKM72/ref > sr_1_6?ie=UTF8&qid46648220&sr=8-6>
- Le DVD de la Messe en Si de Bach, par le Thomanerchor de Leipzig.
<http://www.amazon.fr/Bach-Messe-Mineur-Lieipzig-Live/dp/B000F6YWLM/ref > sr_1_fkmr0_3?s=dvd&ie=UTF8&qid46648347&sr=1-3-fkmr0>
Dans les deux cas à écouter avec une installation 5.1 (donc pas hifi !)
de qualité, et à visionner sur un écran convenable.
Il est en effet des cas où le choix (parti-pris) esthétique, comme dans
le cas de la *création* de Joseph Losey, ou la simple captation des
images d'un concert public comme dans le cas de la Messe en Si,
apportent un "plus" indiscutable, surtout quand, dans un cas comme dans
l'autre, la bande-son est exceptionnelle.
Dans le deuxième cas, par rapport à une écoute strictement audio, les
images de la disposition du public par rapport à l'orchestre et au
choeur (ou l'inverse), le contraste entre le caractère désincarné et de
pureté absolue de cette musique et la nature infiniment vivante des
chanteurs et instrumentiste augmentent la perception qu'on peut avoir de
son caractère à la fois fragile (du crystal ?) et éphémère (une
sculpture de glace ?).
Naturellement, dans les deux cas, un suivi et surtout une lecture/étude
préalable du livret et de la partition sont vivement conseillés !
hth,
une seule tête à deux micros comme M. Charlin nous a appris à le faire.
une seule tête à deux micros comme M. Charlin nous a appris à le faire.
une seule tête à deux micros comme M. Charlin nous a appris à le faire.
Michel HONORRE wrote:une seule tête à deux micros comme M. Charlin nous a appris à le faire.
En tout cas il est clair que seuls les enregistrements réalisés ainsi
peuvent permettre ultérieurement des "traitements" de reconstitution
d'espace sonore fort intéressants, et qui étaient disponibles sur
certains amplis Yamaha "hifi" du commerce au milieu des années 80 (en
quadriphonie), déduits des recherches en acoustique qui étaient
conduites à Hammamatsu (où j'ai vu, concrètement, un ingénieur saisir à
l'écran les plans du Carnegie Hall pour en étudier les réflexions via 16
REV1 customisées).
Ces démarches ont sans doute été abandonnées par la suite à cause des
sources issues à partir du milieu des années 90 exclusivement de prises
de son et de mixages multicanals si pas en enregistrement différé ou
séquentiel.
Je peux témoigner que c'était bluffant !
--
Gérald
Michel HONORRE <honore@clone.fr> wrote:
une seule tête à deux micros comme M. Charlin nous a appris à le faire.
En tout cas il est clair que seuls les enregistrements réalisés ainsi
peuvent permettre ultérieurement des "traitements" de reconstitution
d'espace sonore fort intéressants, et qui étaient disponibles sur
certains amplis Yamaha "hifi" du commerce au milieu des années 80 (en
quadriphonie), déduits des recherches en acoustique qui étaient
conduites à Hammamatsu (où j'ai vu, concrètement, un ingénieur saisir à
l'écran les plans du Carnegie Hall pour en étudier les réflexions via 16
REV1 customisées).
Ces démarches ont sans doute été abandonnées par la suite à cause des
sources issues à partir du milieu des années 90 exclusivement de prises
de son et de mixages multicanals si pas en enregistrement différé ou
séquentiel.
Je peux témoigner que c'était bluffant !
--
Gérald
Michel HONORRE wrote:une seule tête à deux micros comme M. Charlin nous a appris à le faire.
En tout cas il est clair que seuls les enregistrements réalisés ainsi
peuvent permettre ultérieurement des "traitements" de reconstitution
d'espace sonore fort intéressants, et qui étaient disponibles sur
certains amplis Yamaha "hifi" du commerce au milieu des années 80 (en
quadriphonie), déduits des recherches en acoustique qui étaient
conduites à Hammamatsu (où j'ai vu, concrètement, un ingénieur saisir à
l'écran les plans du Carnegie Hall pour en étudier les réflexions via 16
REV1 customisées).
Ces démarches ont sans doute été abandonnées par la suite à cause des
sources issues à partir du milieu des années 90 exclusivement de prises
de son et de mixages multicanals si pas en enregistrement différé ou
séquentiel.
Je peux témoigner que c'était bluffant !
--
Gérald
En quoi le travail d'un technicien du son en studio cesse-t-il d'être de
l'art ? (et du Directeur artistique, donc !)
1)là non plus pas de mystère, c'est surtout une question de moyens mis
en oeuvre, un peu comme la F1 par rapport à une voiture de base.
On est d'accord que, selon toi, dans cette comparaison, la hifi serait
la F1 et le matériel utilisé en studio "une voiture de base" ?
La hifi serait-elle comparable aux voitures de luxe type Lamborghini,
qui n'ont rien à voir ni avec une F1 ni avec la bagnole de Sébastien
Loeb ?
En quoi le travail d'un technicien du son en studio cesse-t-il d'être de
l'art ? (et du Directeur artistique, donc !)
1)là non plus pas de mystère, c'est surtout une question de moyens mis
en oeuvre, un peu comme la F1 par rapport à une voiture de base.
On est d'accord que, selon toi, dans cette comparaison, la hifi serait
la F1 et le matériel utilisé en studio "une voiture de base" ?
La hifi serait-elle comparable aux voitures de luxe type Lamborghini,
qui n'ont rien à voir ni avec une F1 ni avec la bagnole de Sébastien
Loeb ?
En quoi le travail d'un technicien du son en studio cesse-t-il d'être de
l'art ? (et du Directeur artistique, donc !)
1)là non plus pas de mystère, c'est surtout une question de moyens mis
en oeuvre, un peu comme la F1 par rapport à une voiture de base.
On est d'accord que, selon toi, dans cette comparaison, la hifi serait
la F1 et le matériel utilisé en studio "une voiture de base" ?
La hifi serait-elle comparable aux voitures de luxe type Lamborghini,
qui n'ont rien à voir ni avec une F1 ni avec la bagnole de Sébastien
Loeb ?
Si tu reprends la liste des domaines que je citais (non limitative, je
le rappelle), je ne sais pas comment ça se transposerait. Pas plus que
pour l'exemple (plus proche de la charte) des amplis du Stade de France.
Tu défends, en gros, qu'à besoins spécifiques on peut avoir un matériel
spécifique. À besoins de hifi-ste (audiophile) correspondrait un
matériel propre qui pourrait légitimement ne rien avoir à voir avec le
matériel audio pro.
Si tu reprends la liste des domaines que je citais (non limitative, je
le rappelle), je ne sais pas comment ça se transposerait. Pas plus que
pour l'exemple (plus proche de la charte) des amplis du Stade de France.
Tu défends, en gros, qu'à besoins spécifiques on peut avoir un matériel
spécifique. À besoins de hifi-ste (audiophile) correspondrait un
matériel propre qui pourrait légitimement ne rien avoir à voir avec le
matériel audio pro.
Si tu reprends la liste des domaines que je citais (non limitative, je
le rappelle), je ne sais pas comment ça se transposerait. Pas plus que
pour l'exemple (plus proche de la charte) des amplis du Stade de France.
Tu défends, en gros, qu'à besoins spécifiques on peut avoir un matériel
spécifique. À besoins de hifi-ste (audiophile) correspondrait un
matériel propre qui pourrait légitimement ne rien avoir à voir avec le
matériel audio pro.
Le 02/09/2012 21:03, FiLH nous fit lire :
> Ben forcément en externe, vous en avez beaucoup de Pcs de base avec 7
> connecteurs Sata ?
En choisissant correctement sa carte mère,
Le 02/09/2012 21:03, FiLH nous fit lire :
> Ben forcément en externe, vous en avez beaucoup de Pcs de base avec 7
> connecteurs Sata ?
En choisissant correctement sa carte mère,
Le 02/09/2012 21:03, FiLH nous fit lire :
> Ben forcément en externe, vous en avez beaucoup de Pcs de base avec 7
> connecteurs Sata ?
En choisissant correctement sa carte mère,