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Disques conseillées

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Michel HONORRE
je viens de m'acheté une big chaine hIFI: enceintes Tannoy et
amplificateur mac intosh pour 10000 euros à peu prêt. J'aime surtout la
variété française, un peu le hard metal et un peu la musique classique
(Rieu, clayderman et vivaldi). j'ai une trentaine de cd et je veux m'ena
acheté d'autres maintenant pour aller avec la chaine. Quel albums vous
me conseiller?

10 réponses

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Le Forgeron
Le 02/09/2012 21:03, FiLH nous fit lire :
Ben forcément en externe, vous en avez beaucoup de Pcs de base avec 7
connecteurs Sata ?



En choisissant correctement sa carte mère, on tourne facilement à 10
connecteurs Sata, sans se ruiner. Et si on s'est raté, il y a des cartes
4 ports en PCIe 1x... tant qu'on a des connecteurs.

Et pas besoin d'un 7eme sata pour un lecteur CD/DVD sur un serveur: un
lecteur USB volant suffit à faire les installs.
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Gerald
FiLH wrote:

J'ai dit PC pas processeur...



J'entends bien mais est-ce le cas ? Dans les domaines que tu décris
(hard-gameur ou gestionnaire de serveurs), achète-t-on un "PC" ou pas
plutôt un "assemblage" ciblé ?

Heu... je ne sais pas ce que tu entends par conituinté.



Euh... par "conituinté" j'entends pas grand chose :-) (t'as fait fort
dans le mélange des lettres ! Mais j'aime, c'est beau !)

Mais prenons un exemple [...]



Bon, je comprends ton exemple. Il a pour but de démontrer qu'il y aurait
discontinuïté *aussi* dans ce domaine, et que la hifi ne ferait pas
exception.

Si tu reprends la liste des domaines que je citais (non limitative, je
le rappelle), je ne sais pas comment ça se transposerait. Pas plus que
pour l'exemple (plus proche de la charte) des amplis du Stade de France.

Tu défends, en gros, qu'à besoins spécifiques on peut avoir un matériel
spécifique. À besoins de hifi-ste (audiophile) correspondrait un
matériel propre qui pourrait légitimement ne rien avoir à voir avec le
matériel audio pro.

Admettons (à la limite on progresse). J'ai alors le droit de poser la
question de la *nature* de ces besoins spécifiques.

On a déjà répondu qu'on laissait de côté l'aspect esthétique pur
incluant composants hors de prix, etc. et qu'on rangeait tout ça dans la
hifi "ésotérique" qui n'est pas en soi hors-charte mais qui n'a pas
besoin d'autre légitimité que la passion abstraite (assimilable au
tuning auto etc.)

Reste donc un goût pour la "pureté" du son. Et là on en revient à
disqualifier la finesse des oreilles du "pro", son degré d'exigence, et
à devoir aussi définir cette pureté par rapport à une *source* dans
laquelle, peu ou prou, le "professionnel" fait forcément sa réapparition
via l'instrumentiste, le luthier, l'architecte-acousticien, le preneur
de son... et pourquoi pas le public ! Et où aussi il devient difficile
de faire la part entre l'objectif et le subjectif.

J'admets que je comprends mieux, mais je persiste à ne pas être
totalement satisfait.

--
Gérald
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Michel HONORRE
Le 03/09/2012 04:47, Gerald a écrit :
FiLH wrote:
de la *nature* de ces besoins spécifiques.

On a déjà répondu qu'on laissait de côté l'aspect esthétique pur
incluant composants hors de prix, etc. et qu'on rangeait tout ça dans la
hifi "ésotérique" qui n'est pas en soi hors-charte mais qui n'a pas
besoin d'autre légitimité que la passion abstraite (assimilable au
tuning auto etc.)

Reste donc un goût pour la "pureté" du son. Et là on en revient à
disqualifier la finesse des oreilles du "pro", son degré d'exigence, et
à devoir aussi définir cette pureté par rapport à une *source* dans
laquelle, peu ou prou, le "professionnel" fait forcément sa réapparition
via l'instrumentiste, le luthier, l'architecte-acousticien, le preneur
de son... et pourquoi pas le public ! Et où aussi il devient difficile
de faire la part entre l'objectif et le subjectif.

J'admets que je comprends mieux, mais je persiste à ne pas être
totalement satisfait.



Et, traive de blabalabla, mais discs conseillé, vous zy songé un peu
dite donc???
Avatar
Gerald
Michel HONORRE wrote:

Et, traive de blabalabla, mais discs conseillé, vous zy songé un peu
dite donc???



Tiens, tu me donnes envie de lancer un autre thème :

Initialement, pour moi, l'image associée à la musique est une hérésie.
La perversion ultime en étant le clip vidéo, où la musique n'est plus
qu'un faire-valoir de l'image voire d'un égo démesuré de star.

La musique est faite pour être écoutée, dans de bonnes conditions (sujet
en charte ;-)) à partir de bonnes sources, dont je laisse à toi et à
d'autres le soin de débattre.

Comme toute règle, celle-ci a des exceptions et c'est donc l'occasion de
donner deux références (peut-être déjà citées ? Désolé si c'est le cas).

- Le coffret du Don Giovanni de Losey dans l'édition "luxe" 3 DVD (avec
en particulier le bonus de l'Odyssée Sonore).
<http://www.amazon.fr/Don-Giovanni-Edition-Deluxe-DVD/dp/B0014JKM72/ref sr_1_6?ie=UTF8&qid46648220&sr=8-6>

- Le DVD de la Messe en Si de Bach, par le Thomanerchor de Leipzig.
<http://www.amazon.fr/Bach-Messe-Mineur-Lieipzig-Live/dp/B000F6YWLM/ref sr_1_fkmr0_3?s=dvd&ie=UTF8&qid46648347&sr=1-3-fkmr0>

Dans les deux cas à écouter avec une installation 5.1 (donc pas hifi !)
de qualité, et à visionner sur un écran convenable.

Il est en effet des cas où le choix (parti-pris) esthétique, comme dans
le cas de la *création* de Joseph Losey, ou la simple captation des
images d'un concert public comme dans le cas de la Messe en Si,
apportent un "plus" indiscutable, surtout quand, dans un cas comme dans
l'autre, la bande-son est exceptionnelle.

Dans le deuxième cas, par rapport à une écoute strictement audio, les
images de la disposition du public par rapport à l'orchestre et au
choeur (ou l'inverse), le contraste entre le caractère désincarné et de
pureté absolue de cette musique et la nature infiniment vivante des
chanteurs et instrumentiste augmentent la perception qu'on peut avoir de
son caractère à la fois fragile (du crystal ?) et éphémère (une
sculpture de glace ?).

Naturellement, dans les deux cas, un suivi et surtout une lecture/étude
préalable du livret et de la partition sont vivement conseillés !

hth,

--
Gérald
Avatar
Michel HONORRE
Le 03/09/2012 07:12, Gerald a écrit :
Michel HONORRE wrote:

Et, traive de blabalabla, mais discs conseillé, vous zy songé un peu
dite donc???



Tiens, tu me donnes envie de lancer un autre thème :

Initialement, pour moi, l'image associée à la musique est une hérésie.
La perversion ultime en étant le clip vidéo, où la musique n'est plus
qu'un faire-valoir de l'image voire d'un égo démesuré de star.

La musique est faite pour être écoutée, dans de bonnes conditions (sujet
en charte ;-)) à partir de bonnes sources, dont je laisse à toi et à
d'autres le soin de débattre.

Comme toute règle, celle-ci a des exceptions et c'est donc l'occasion de
donner deux références (peut-être déjà citées ? Désolé si c'est le cas).

- Le coffret du Don Giovanni de Losey dans l'édition "luxe" 3 DVD (avec
en particulier le bonus de l'Odyssée Sonore).
<http://www.amazon.fr/Don-Giovanni-Edition-Deluxe-DVD/dp/B0014JKM72/ref > sr_1_6?ie=UTF8&qid46648220&sr=8-6>

- Le DVD de la Messe en Si de Bach, par le Thomanerchor de Leipzig.
<http://www.amazon.fr/Bach-Messe-Mineur-Lieipzig-Live/dp/B000F6YWLM/ref > sr_1_fkmr0_3?s=dvd&ie=UTF8&qid46648347&sr=1-3-fkmr0>

Dans les deux cas à écouter avec une installation 5.1 (donc pas hifi !)
de qualité, et à visionner sur un écran convenable.

Il est en effet des cas où le choix (parti-pris) esthétique, comme dans
le cas de la *création* de Joseph Losey, ou la simple captation des
images d'un concert public comme dans le cas de la Messe en Si,
apportent un "plus" indiscutable, surtout quand, dans un cas comme dans
l'autre, la bande-son est exceptionnelle.

Dans le deuxième cas, par rapport à une écoute strictement audio, les
images de la disposition du public par rapport à l'orchestre et au
choeur (ou l'inverse), le contraste entre le caractère désincarné et de
pureté absolue de cette musique et la nature infiniment vivante des
chanteurs et instrumentiste augmentent la perception qu'on peut avoir de
son caractère à la fois fragile (du crystal ?) et éphémère (une
sculpture de glace ?).

Naturellement, dans les deux cas, un suivi et surtout une lecture/étude
préalable du livret et de la partition sont vivement conseillés !

hth,




Pour moi aussi, c'est une hérésie. Ces deux références, y comprises. A
la limite, un concert pourrait être filmé mais en plan fixe pour tenter
de reproduire ce que voit(et entend) un auditeur /spectateur dans les
conditions "in vivo". Mais je crains que cela ne soit très populaire.
D'où les multiples changements de plans, gros plans sur le visage de la
violoniste (encore si elle est jolie, le mal est moindre mais quand
même...) ou d'autres moins avenants , toutes joyeusetés désolantes que
la télévision multiplie même Arte.
De la rigueur vous dis-je et même de l'austérité: un seul plan fixe et
une seule tête à deux micros comme M. Charlin nous a appris à le faire.
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Gerald
Michel HONORRE wrote:

une seule tête à deux micros comme M. Charlin nous a appris à le faire.



En tout cas il est clair que seuls les enregistrements réalisés ainsi
peuvent permettre ultérieurement des "traitements" de reconstitution
d'espace sonore fort intéressants, et qui étaient disponibles sur
certains amplis Yamaha "hifi" du commerce au milieu des années 80 (en
quadriphonie), déduits des recherches en acoustique qui étaient
conduites à Hammamatsu (où j'ai vu, concrètement, un ingénieur saisir à
l'écran les plans du Carnegie Hall pour en étudier les réflexions via 16
REV1 customisées).

Ces démarches ont sans doute été abandonnées par la suite à cause des
sources issues à partir du milieu des années 90 exclusivement de prises
de son et de mixages multicanals si pas en enregistrement différé ou
séquentiel.

Je peux témoigner que c'était bluffant !

--
Gérald
Avatar
VSOP
"Gerald" a écrit dans le message de
news:1kpuu03.12pvso9ghjpayN%
Michel HONORRE wrote:

une seule tête à deux micros comme M. Charlin nous a appris à le faire.



En tout cas il est clair que seuls les enregistrements réalisés ainsi
peuvent permettre ultérieurement des "traitements" de reconstitution
d'espace sonore fort intéressants, et qui étaient disponibles sur
certains amplis Yamaha "hifi" du commerce au milieu des années 80 (en
quadriphonie), déduits des recherches en acoustique qui étaient
conduites à Hammamatsu (où j'ai vu, concrètement, un ingénieur saisir à
l'écran les plans du Carnegie Hall pour en étudier les réflexions via 16
REV1 customisées).

Ces démarches ont sans doute été abandonnées par la suite à cause des
sources issues à partir du milieu des années 90 exclusivement de prises
de son et de mixages multicanals si pas en enregistrement différé ou
séquentiel.

Je peux témoigner que c'était bluffant !

--
Gérald




multicanals


Canaletto doit être content !

nn


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jfc
Le 01/09/2012 02:28, Gerald a écrit :
En quoi le travail d'un technicien du son en studio cesse-t-il d'être de
l'art ? (et du Directeur artistique, donc !)



Le technicien du son ne fait pas de l'art, il applique les techniques du
son (ce qui n'est pas rien). L'art est ce qui se passe devant son micro.
Si c'est bien fait, il est de coutume de dire que c'est "de l'art".

1)là non plus pas de mystère, c'est surtout une question de moyens mis
en oeuvre, un peu comme la F1 par rapport à une voiture de base.



On est d'accord que, selon toi, dans cette comparaison, la hifi serait
la F1 et le matériel utilisé en studio "une voiture de base" ?



malentendu sur ce qu'est un pro.
Que ce soit de la hifi cheap ou ésotérique, le professionnel est le même
et applique la même connaissance scientifique, les mêmes calculs, les
mêmes techniques du son. Bien entendu ça ne veut pas dire que tous les
ingénieurs se valent, ou qu'ils aboutissent au même résultat.
Si le cahier des charges est de faire cheap alors il fera cheap, si le
cahier des charges est de faire de l'ésotérique alors il fera de
l'ésotérique. dans les deux cas les "moyens mis en oeuvre" ne sont pas
les mêmes.

La hifi serait-elle comparable aux voitures de luxe type Lamborghini,
qui n'ont rien à voir ni avec une F1 ni avec la bagnole de Sébastien
Loeb ?



La hifi c'est le genre, comme l'est "l'automobile" dans lequel on trouve
aussi bien la 2CV que la Ferrari. Ce n'est donc pas la "hifi" qui peut
se comparer à certaines automobiles de prestige, mais "certains systèmes
audio d'exceptions".
Avatar
filh
Gerald wrote:


Si tu reprends la liste des domaines que je citais (non limitative, je
le rappelle), je ne sais pas comment ça se transposerait. Pas plus que
pour l'exemple (plus proche de la charte) des amplis du Stade de France.



On est vraiment sur d'autre problématique, entre une pièce dans une
maison, et un stade, ne serait-ce que la distance de transmission du
signal... les pb de délais dûs à la propagation du son.


Tu défends, en gros, qu'à besoins spécifiques on peut avoir un matériel
spécifique. À besoins de hifi-ste (audiophile) correspondrait un
matériel propre qui pourrait légitimement ne rien avoir à voir avec le
matériel audio pro.



Non je défends que la hifi n'est probablement pas le seul domaine où il
y a discontinuité.

FiLH

--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
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filh
Le Forgeron wrote:

Le 02/09/2012 21:03, FiLH nous fit lire :
> Ben forcément en externe, vous en avez beaucoup de Pcs de base avec 7
> connecteurs Sata ?

En choisissant correctement sa carte mère,



C'est « PC de base » que vous ne comprenez pas ?

FiLH

--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
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