Ah non, pour w2k, ça s'arrêtera le 13 juillet 2010, concernant les
mises à jour de sécurité.
http://support.microsoft.com/lifecycle/?p1071
Ah non, pour w2k, ça s'arrêtera le 13 juillet 2010, concernant les
mises à jour de sécurité.
http://support.microsoft.com/lifecycle/?p1071
Ah non, pour w2k, ça s'arrêtera le 13 juillet 2010, concernant les
mises à jour de sécurité.
http://support.microsoft.com/lifecycle/?p1071
sansflotusspam , dans le message
<46e4009e$0$27690$, a écrit :non, je ne change en rien les termes de l'hypothèse, j'essaye de
faire concret et précis, c'est tout.
Si, tu changes les termes. On parlait de la qualité du produit, pas de
la qualité de la chaîne de production.on parle bien de "coûts de production", semble-t-il ?
Et alors ?
Si j'ai bien compris, pour vendre plus, il faut diminuer la qualité
du produit vendu ? C'est un bien curieux argument.
Si tu diminues la qualité, tu diminues les coûts de production ce qui
te permets d'investir dans la pub.
sansflotusspam , dans le message
<46e4009e$0$27690$426a74cc@news.free.fr>, a écrit :
non, je ne change en rien les termes de l'hypothèse, j'essaye de
faire concret et précis, c'est tout.
Si, tu changes les termes. On parlait de la qualité du produit, pas de
la qualité de la chaîne de production.
on parle bien de "coûts de production", semble-t-il ?
Et alors ?
Si j'ai bien compris, pour vendre plus, il faut diminuer la qualité
du produit vendu ? C'est un bien curieux argument.
Si tu diminues la qualité, tu diminues les coûts de production ce qui
te permets d'investir dans la pub.
sansflotusspam , dans le message
<46e4009e$0$27690$, a écrit :non, je ne change en rien les termes de l'hypothèse, j'essaye de
faire concret et précis, c'est tout.
Si, tu changes les termes. On parlait de la qualité du produit, pas de
la qualité de la chaîne de production.on parle bien de "coûts de production", semble-t-il ?
Et alors ?
Si j'ai bien compris, pour vendre plus, il faut diminuer la qualité
du produit vendu ? C'est un bien curieux argument.
Si tu diminues la qualité, tu diminues les coûts de production ce qui
te permets d'investir dans la pub.
la mauvaise qualité de la chaîne de production fait de mauvais produits,
qui en plus vont coûter cher en garanties et SAV,
la mauvaise qualité de la chaîne de production fait de mauvais produits,
qui en plus vont coûter cher en garanties et SAV,
la mauvaise qualité de la chaîne de production fait de mauvais produits,
qui en plus vont coûter cher en garanties et SAV,
Jerome Lambert , dans le messagePas sûr du tout: des logiciels comme OpenOffice.org ou Gimp existent
car ils répondent à une demande, mais comportent toujours des
lacunes que les développeurs ne semblent pas fort pressés de
combler.
Ton raisonnement est contradictoire : si la demande pour l'existence
est suffisante pour provoquer leur existence, une demande équivalente
pour combler les lacunes aurait le même effet. Quand elles ne le sont
pas, c'est essentiellement parce que c'est difficile.
Non, parce que justement la demande n'est pas équivalente.
Simple
exemple avec OO.org: la gestion des listes pointées est une
catastrophe sans nom, et cet état dure depuis la version 1.0.
En gros, si je crée une liste de 1 à 10, celui-ci applique d'office un
retrait. Si je diminue ce retrait avec l'outil idoine, je retrouve ma
numérotation dans la marge...
Si j'applique un retrait à l'une des entrées, celle-ci conserve son
numéro alors qu'elle doit diminuer de niveau pour devenir p.ex. a), et
le reste de la numérotation doit s'adapter automatiquement.
Mais sur les x millions d'utilisateurs d'OO.org, combien sont gênés
par cette gestion catastrophique?
Et c'est justement là que ton
raisonnement coince: passé une masse critique de fonctionnalités, les
améliorations portent sur des points de détails, et d'une part ce sont
justement ces points de détails qui sont "vendeurs" pour les logiciels
proprios, d'autre part la demande est trop faible par rapport au total
que pour que le programmeur libre ne "s'y colle".
Quand à la difficulté d'implémentation, ça me fait rigoler parce
qu'OO.org est le seul à fonctionner de cette manière. Même des
sharewares à deux balles fonctionnent mieux sur ce point.
Jerome Lambert , dans le message
Pas sûr du tout: des logiciels comme OpenOffice.org ou Gimp existent
car ils répondent à une demande, mais comportent toujours des
lacunes que les développeurs ne semblent pas fort pressés de
combler.
Ton raisonnement est contradictoire : si la demande pour l'existence
est suffisante pour provoquer leur existence, une demande équivalente
pour combler les lacunes aurait le même effet. Quand elles ne le sont
pas, c'est essentiellement parce que c'est difficile.
Non, parce que justement la demande n'est pas équivalente.
Simple
exemple avec OO.org: la gestion des listes pointées est une
catastrophe sans nom, et cet état dure depuis la version 1.0.
En gros, si je crée une liste de 1 à 10, celui-ci applique d'office un
retrait. Si je diminue ce retrait avec l'outil idoine, je retrouve ma
numérotation dans la marge...
Si j'applique un retrait à l'une des entrées, celle-ci conserve son
numéro alors qu'elle doit diminuer de niveau pour devenir p.ex. a), et
le reste de la numérotation doit s'adapter automatiquement.
Mais sur les x millions d'utilisateurs d'OO.org, combien sont gênés
par cette gestion catastrophique?
Et c'est justement là que ton
raisonnement coince: passé une masse critique de fonctionnalités, les
améliorations portent sur des points de détails, et d'une part ce sont
justement ces points de détails qui sont "vendeurs" pour les logiciels
proprios, d'autre part la demande est trop faible par rapport au total
que pour que le programmeur libre ne "s'y colle".
Quand à la difficulté d'implémentation, ça me fait rigoler parce
qu'OO.org est le seul à fonctionner de cette manière. Même des
sharewares à deux balles fonctionnent mieux sur ce point.
Jerome Lambert , dans le messagePas sûr du tout: des logiciels comme OpenOffice.org ou Gimp existent
car ils répondent à une demande, mais comportent toujours des
lacunes que les développeurs ne semblent pas fort pressés de
combler.
Ton raisonnement est contradictoire : si la demande pour l'existence
est suffisante pour provoquer leur existence, une demande équivalente
pour combler les lacunes aurait le même effet. Quand elles ne le sont
pas, c'est essentiellement parce que c'est difficile.
Non, parce que justement la demande n'est pas équivalente.
Simple
exemple avec OO.org: la gestion des listes pointées est une
catastrophe sans nom, et cet état dure depuis la version 1.0.
En gros, si je crée une liste de 1 à 10, celui-ci applique d'office un
retrait. Si je diminue ce retrait avec l'outil idoine, je retrouve ma
numérotation dans la marge...
Si j'applique un retrait à l'une des entrées, celle-ci conserve son
numéro alors qu'elle doit diminuer de niveau pour devenir p.ex. a), et
le reste de la numérotation doit s'adapter automatiquement.
Mais sur les x millions d'utilisateurs d'OO.org, combien sont gênés
par cette gestion catastrophique?
Et c'est justement là que ton
raisonnement coince: passé une masse critique de fonctionnalités, les
améliorations portent sur des points de détails, et d'une part ce sont
justement ces points de détails qui sont "vendeurs" pour les logiciels
proprios, d'autre part la demande est trop faible par rapport au total
que pour que le programmeur libre ne "s'y colle".
Quand à la difficulté d'implémentation, ça me fait rigoler parce
qu'OO.org est le seul à fonctionner de cette manière. Même des
sharewares à deux balles fonctionnent mieux sur ce point.
En revanche, ton observation portait peut'être au niveau de la
conception du produit ?
En revanche, ton observation portait peut'être au niveau de la
conception du produit ?
En revanche, ton observation portait peut'être au niveau de la
conception du produit ?
Pas sûr du tout: des logiciels comme OpenOffice.org ou Gimp existent car
ils répondent à une demande, mais comportent toujours des lacunes que
les développeurs ne semblent pas fort pressés de combler.
En ce sens ils existent (et d'ailleurs rencontrent un vif succès), mais
sur certains points ils ne s'améliorent pas.
La différence entre les logiciels libres et les logiciels commerciaux, c'est
que les utilisateurs finaux n'ont pas le même poids dans l'évolution du
logiciel.
Les développeurs des produits commerciaux font évoluer le produit parce que
l'évolution correspond (ou peut correspondre) à une demande des
utilisateurs finaux.
Les développeurs des logiciels libres font évoluer le produit parce que la
fonctionnalité les intéresse.
Pas sûr du tout: des logiciels comme OpenOffice.org ou Gimp existent car
ils répondent à une demande, mais comportent toujours des lacunes que
les développeurs ne semblent pas fort pressés de combler.
En ce sens ils existent (et d'ailleurs rencontrent un vif succès), mais
sur certains points ils ne s'améliorent pas.
La différence entre les logiciels libres et les logiciels commerciaux, c'est
que les utilisateurs finaux n'ont pas le même poids dans l'évolution du
logiciel.
Les développeurs des produits commerciaux font évoluer le produit parce que
l'évolution correspond (ou peut correspondre) à une demande des
utilisateurs finaux.
Les développeurs des logiciels libres font évoluer le produit parce que la
fonctionnalité les intéresse.
Pas sûr du tout: des logiciels comme OpenOffice.org ou Gimp existent car
ils répondent à une demande, mais comportent toujours des lacunes que
les développeurs ne semblent pas fort pressés de combler.
En ce sens ils existent (et d'ailleurs rencontrent un vif succès), mais
sur certains points ils ne s'améliorent pas.
La différence entre les logiciels libres et les logiciels commerciaux, c'est
que les utilisateurs finaux n'ont pas le même poids dans l'évolution du
logiciel.
Les développeurs des produits commerciaux font évoluer le produit parce que
l'évolution correspond (ou peut correspondre) à une demande des
utilisateurs finaux.
Les développeurs des logiciels libres font évoluer le produit parce que la
fonctionnalité les intéresse.
Pas sûr du tout: des logiciels comme OpenOffice.org ou Gimp existent car
ils répondent à une demande, mais comportent toujours des lacunes que
les développeurs ne semblent pas fort pressés de combler.
En ce sens ils existent (et d'ailleurs rencontrent un vif succès), mais
sur certains points ils ne s'améliorent pas.
La différence entre les logiciels libres et les logiciels commerciaux, c'est
que les utilisateurs finaux n'ont pas le même poids dans l'évolution du
logiciel.
Les développeurs des produits commerciaux font évoluer le produit parce que
l'évolution correspond (ou peut correspondre) à une demande des
utilisateurs finaux.
Les développeurs des logiciels libres font évoluer le produit parce que la
fonctionnalité les intéresse.
Pas sûr du tout: des logiciels comme OpenOffice.org ou Gimp existent car
ils répondent à une demande, mais comportent toujours des lacunes que
les développeurs ne semblent pas fort pressés de combler.
En ce sens ils existent (et d'ailleurs rencontrent un vif succès), mais
sur certains points ils ne s'améliorent pas.
La différence entre les logiciels libres et les logiciels commerciaux, c'est
que les utilisateurs finaux n'ont pas le même poids dans l'évolution du
logiciel.
Les développeurs des produits commerciaux font évoluer le produit parce que
l'évolution correspond (ou peut correspondre) à une demande des
utilisateurs finaux.
Les développeurs des logiciels libres font évoluer le produit parce que la
fonctionnalité les intéresse.
Pas sûr du tout: des logiciels comme OpenOffice.org ou Gimp existent car
ils répondent à une demande, mais comportent toujours des lacunes que
les développeurs ne semblent pas fort pressés de combler.
En ce sens ils existent (et d'ailleurs rencontrent un vif succès), mais
sur certains points ils ne s'améliorent pas.
La différence entre les logiciels libres et les logiciels commerciaux, c'est
que les utilisateurs finaux n'ont pas le même poids dans l'évolution du
logiciel.
Les développeurs des produits commerciaux font évoluer le produit parce que
l'évolution correspond (ou peut correspondre) à une demande des
utilisateurs finaux.
Les développeurs des logiciels libres font évoluer le produit parce que la
fonctionnalité les intéresse.
Jerome Lambert a commis :Jerome Lambert , dans le messagePas sûr du tout: des logiciels comme OpenOffice.org ou Gimp existent
car ils répondent à une demande, mais comportent toujours des
lacunes que les développeurs ne semblent pas fort pressés de
combler.
Ton raisonnement est contradictoire : si la demande pour l'existence
est suffisante pour provoquer leur existence, une demande équivalente
pour combler les lacunes aurait le même effet. Quand elles ne le sont
pas, c'est essentiellement parce que c'est difficile.
Non, parce que justement la demande n'est pas équivalente.Simple
exemple avec OO.org: la gestion des listes pointées est une
catastrophe sans nom, et cet état dure depuis la version 1.0.
Sans discuter le fond de ta contribution, tu choisis un mauvais
exemple !
J'utilise abondamment OpenOffice.org depuis ses débuts (StarOffice 2
sous OS/2, c'est dire), et ce que tu expose est inexact ; c'est ta
connaissance insuffisante de l'outil qui est en cause, pas l'outil.
En gros, si je crée une liste de 1 à 10, celui-ci applique d'office un
retrait. Si je diminue ce retrait avec l'outil idoine, je retrouve ma
numérotation dans la marge...
non, pas d'office, c'est un paramètre qu'on règle comme on veut
(Format / Numérotation )Si j'applique un retrait à l'une des entrées, celle-ci conserve son
numéro alors qu'elle doit diminuer de niveau pour devenir p.ex. a), et
le reste de la numérotation doit s'adapter automatiquement.
là encore, c'est TON paramétrage que tu n'as pas adapté à ton souhait
Mais sur les x millions d'utilisateurs d'OO.org, combien sont gênés
par cette gestion catastrophique?
aucun de ceux qui paramètrent leurs styles de numérotation à leur goût
Et c'est justement là que ton
raisonnement coince: passé une masse critique de fonctionnalités, les
améliorations portent sur des points de détails, et d'une part ce sont
justement ces points de détails qui sont "vendeurs" pour les logiciels
proprios, d'autre part la demande est trop faible par rapport au total
que pour que le programmeur libre ne "s'y colle".
Quand à la difficulté d'implémentation, ça me fait rigoler parce
qu'OO.org est le seul à fonctionner de cette manière. Même des
sharewares à deux balles fonctionnent mieux sur ce point.
mais non, tous les texteurs fonctionnent en gros sous les mêmes
principes, ce sont les facilités de paramétrage qui changent d'un outil
à l'autre. c'est justement ce que j'ai toujours apprécié dans
StarOffice et OpenOffice, sa formidable capacité d'adaptation aux
souhaits de l'utilisateur, alors que j'ai toujours trouvé Word
imbittable en ce domaine.
comme quoi des goûts et des couleurs .....
Jerome Lambert a commis :
Jerome Lambert , dans le message
Pas sûr du tout: des logiciels comme OpenOffice.org ou Gimp existent
car ils répondent à une demande, mais comportent toujours des
lacunes que les développeurs ne semblent pas fort pressés de
combler.
Ton raisonnement est contradictoire : si la demande pour l'existence
est suffisante pour provoquer leur existence, une demande équivalente
pour combler les lacunes aurait le même effet. Quand elles ne le sont
pas, c'est essentiellement parce que c'est difficile.
Non, parce que justement la demande n'est pas équivalente.
Simple
exemple avec OO.org: la gestion des listes pointées est une
catastrophe sans nom, et cet état dure depuis la version 1.0.
Sans discuter le fond de ta contribution, tu choisis un mauvais
exemple !
J'utilise abondamment OpenOffice.org depuis ses débuts (StarOffice 2
sous OS/2, c'est dire), et ce que tu expose est inexact ; c'est ta
connaissance insuffisante de l'outil qui est en cause, pas l'outil.
En gros, si je crée une liste de 1 à 10, celui-ci applique d'office un
retrait. Si je diminue ce retrait avec l'outil idoine, je retrouve ma
numérotation dans la marge...
non, pas d'office, c'est un paramètre qu'on règle comme on veut
(Format / Numérotation )
Si j'applique un retrait à l'une des entrées, celle-ci conserve son
numéro alors qu'elle doit diminuer de niveau pour devenir p.ex. a), et
le reste de la numérotation doit s'adapter automatiquement.
là encore, c'est TON paramétrage que tu n'as pas adapté à ton souhait
Mais sur les x millions d'utilisateurs d'OO.org, combien sont gênés
par cette gestion catastrophique?
aucun de ceux qui paramètrent leurs styles de numérotation à leur goût
Et c'est justement là que ton
raisonnement coince: passé une masse critique de fonctionnalités, les
améliorations portent sur des points de détails, et d'une part ce sont
justement ces points de détails qui sont "vendeurs" pour les logiciels
proprios, d'autre part la demande est trop faible par rapport au total
que pour que le programmeur libre ne "s'y colle".
Quand à la difficulté d'implémentation, ça me fait rigoler parce
qu'OO.org est le seul à fonctionner de cette manière. Même des
sharewares à deux balles fonctionnent mieux sur ce point.
mais non, tous les texteurs fonctionnent en gros sous les mêmes
principes, ce sont les facilités de paramétrage qui changent d'un outil
à l'autre. c'est justement ce que j'ai toujours apprécié dans
StarOffice et OpenOffice, sa formidable capacité d'adaptation aux
souhaits de l'utilisateur, alors que j'ai toujours trouvé Word
imbittable en ce domaine.
comme quoi des goûts et des couleurs .....
Jerome Lambert a commis :Jerome Lambert , dans le messagePas sûr du tout: des logiciels comme OpenOffice.org ou Gimp existent
car ils répondent à une demande, mais comportent toujours des
lacunes que les développeurs ne semblent pas fort pressés de
combler.
Ton raisonnement est contradictoire : si la demande pour l'existence
est suffisante pour provoquer leur existence, une demande équivalente
pour combler les lacunes aurait le même effet. Quand elles ne le sont
pas, c'est essentiellement parce que c'est difficile.
Non, parce que justement la demande n'est pas équivalente.Simple
exemple avec OO.org: la gestion des listes pointées est une
catastrophe sans nom, et cet état dure depuis la version 1.0.
Sans discuter le fond de ta contribution, tu choisis un mauvais
exemple !
J'utilise abondamment OpenOffice.org depuis ses débuts (StarOffice 2
sous OS/2, c'est dire), et ce que tu expose est inexact ; c'est ta
connaissance insuffisante de l'outil qui est en cause, pas l'outil.
En gros, si je crée une liste de 1 à 10, celui-ci applique d'office un
retrait. Si je diminue ce retrait avec l'outil idoine, je retrouve ma
numérotation dans la marge...
non, pas d'office, c'est un paramètre qu'on règle comme on veut
(Format / Numérotation )Si j'applique un retrait à l'une des entrées, celle-ci conserve son
numéro alors qu'elle doit diminuer de niveau pour devenir p.ex. a), et
le reste de la numérotation doit s'adapter automatiquement.
là encore, c'est TON paramétrage que tu n'as pas adapté à ton souhait
Mais sur les x millions d'utilisateurs d'OO.org, combien sont gênés
par cette gestion catastrophique?
aucun de ceux qui paramètrent leurs styles de numérotation à leur goût
Et c'est justement là que ton
raisonnement coince: passé une masse critique de fonctionnalités, les
améliorations portent sur des points de détails, et d'une part ce sont
justement ces points de détails qui sont "vendeurs" pour les logiciels
proprios, d'autre part la demande est trop faible par rapport au total
que pour que le programmeur libre ne "s'y colle".
Quand à la difficulté d'implémentation, ça me fait rigoler parce
qu'OO.org est le seul à fonctionner de cette manière. Même des
sharewares à deux balles fonctionnent mieux sur ce point.
mais non, tous les texteurs fonctionnent en gros sous les mêmes
principes, ce sont les facilités de paramétrage qui changent d'un outil
à l'autre. c'est justement ce que j'ai toujours apprécié dans
StarOffice et OpenOffice, sa formidable capacité d'adaptation aux
souhaits de l'utilisateur, alors que j'ai toujours trouvé Word
imbittable en ce domaine.
comme quoi des goûts et des couleurs .....
Jerome Lambert , dans le messageNon, parce que justement la demande n'est pas équivalente.
Ton exemple ne prouve en rien cette affirmation.
Jerome Lambert , dans le message
Non, parce que justement la demande n'est pas équivalente.
Ton exemple ne prouve en rien cette affirmation.
Jerome Lambert , dans le messageNon, parce que justement la demande n'est pas équivalente.
Ton exemple ne prouve en rien cette affirmation.
Pas sûr du tout: des logiciels comme OpenOffice.org ou Gimp existent car
ils répondent à une demande, mais comportent toujours des lacunes que
les développeurs ne semblent pas fort pressés de combler.
En ce sens ils existent (et d'ailleurs rencontrent un vif succès), mais
sur certains points ils ne s'améliorent pas.
La différence entre les logiciels libres et les logiciels commerciaux, c'est
que les utilisateurs finaux n'ont pas le même poids dans l'évolution du
logiciel.
Les développeurs des produits commerciaux font évoluer le produit parce que
l'évolution correspond (ou peut correspondre) à une demande des
utilisateurs finaux.
Les développeurs des logiciels libres font évoluer le produit parce que la
fonctionnalité les intéresse.
Si l'utilisateur final a vraiment besoin d'une évolution qui n'intéresse pas
les développeurs, il a toujours le droit de faire cette évolution lui même
ou d'utiliser autre chose, le développeur s'en cogne. Dans le cas d'un
logiciel commercial, si le développeur (ou le chef de projet/commercial/pdg
ou autre) s'en cogne, il risque d'y avoir une perte de clients.
Pas sûr du tout: des logiciels comme OpenOffice.org ou Gimp existent car
ils répondent à une demande, mais comportent toujours des lacunes que
les développeurs ne semblent pas fort pressés de combler.
En ce sens ils existent (et d'ailleurs rencontrent un vif succès), mais
sur certains points ils ne s'améliorent pas.
La différence entre les logiciels libres et les logiciels commerciaux, c'est
que les utilisateurs finaux n'ont pas le même poids dans l'évolution du
logiciel.
Les développeurs des produits commerciaux font évoluer le produit parce que
l'évolution correspond (ou peut correspondre) à une demande des
utilisateurs finaux.
Les développeurs des logiciels libres font évoluer le produit parce que la
fonctionnalité les intéresse.
Si l'utilisateur final a vraiment besoin d'une évolution qui n'intéresse pas
les développeurs, il a toujours le droit de faire cette évolution lui même
ou d'utiliser autre chose, le développeur s'en cogne. Dans le cas d'un
logiciel commercial, si le développeur (ou le chef de projet/commercial/pdg
ou autre) s'en cogne, il risque d'y avoir une perte de clients.
Pas sûr du tout: des logiciels comme OpenOffice.org ou Gimp existent car
ils répondent à une demande, mais comportent toujours des lacunes que
les développeurs ne semblent pas fort pressés de combler.
En ce sens ils existent (et d'ailleurs rencontrent un vif succès), mais
sur certains points ils ne s'améliorent pas.
La différence entre les logiciels libres et les logiciels commerciaux, c'est
que les utilisateurs finaux n'ont pas le même poids dans l'évolution du
logiciel.
Les développeurs des produits commerciaux font évoluer le produit parce que
l'évolution correspond (ou peut correspondre) à une demande des
utilisateurs finaux.
Les développeurs des logiciels libres font évoluer le produit parce que la
fonctionnalité les intéresse.
Si l'utilisateur final a vraiment besoin d'une évolution qui n'intéresse pas
les développeurs, il a toujours le droit de faire cette évolution lui même
ou d'utiliser autre chose, le développeur s'en cogne. Dans le cas d'un
logiciel commercial, si le développeur (ou le chef de projet/commercial/pdg
ou autre) s'en cogne, il risque d'y avoir une perte de clients.