Oui, mais comme c'est aussi une constante pour les logiciels libres, le rapport de cause à effet n'est pas du tout évident. Le concept de progrès technique existe aussi, et il s'applique dans les deux cas.
La différence, c'est qu'un logiciel libre n'a aucun intérêt à retenir une nouvelle fonctionnalité ou une correction de bug exprès pour garder version suivante compétitive.
D'un autre côté, il n'a pas non plus d'obligation de proposer de nouvelle fonctionnalité ou de corriger un bug...
D'un autre cote si il refuse sans raison valable de proposer une nouvelle fonctionnalite que beaucoup de monde reclame, le fork est toujours possible. Si Microsoft dit "pas de support de tel logiciel sur autre chose que Vista" ben c'est "pas pas de support de tel logiciel sur autre chose que Vista" meme si c'est tout a fait faisable techniquement (mais pas avantageux commercialement pour Microsoft).
On 2007-09-09, Jerome Lambert <jerome.lambert@swing.be> wrote:
Richard Delorme , dans le message
Oui, mais comme c'est aussi une constante pour les logiciels libres, le
rapport de cause à effet n'est pas du tout évident. Le concept de progrès
technique existe aussi, et il s'applique dans les deux cas.
La différence, c'est qu'un logiciel libre n'a aucun intérêt à retenir une
nouvelle fonctionnalité ou une correction de bug exprès pour garder version
suivante compétitive.
D'un autre côté, il n'a pas non plus d'obligation de proposer de
nouvelle fonctionnalité ou de corriger un bug...
D'un autre cote si il refuse sans raison valable de proposer une nouvelle
fonctionnalite que beaucoup de monde reclame, le fork est toujours possible.
Si Microsoft dit "pas de support de tel logiciel sur autre chose que
Vista" ben c'est "pas pas de support de tel logiciel sur autre chose
que Vista" meme si c'est tout a fait faisable techniquement (mais pas
avantageux commercialement pour Microsoft).
Oui, mais comme c'est aussi une constante pour les logiciels libres, le rapport de cause à effet n'est pas du tout évident. Le concept de progrès technique existe aussi, et il s'applique dans les deux cas.
La différence, c'est qu'un logiciel libre n'a aucun intérêt à retenir une nouvelle fonctionnalité ou une correction de bug exprès pour garder version suivante compétitive.
D'un autre côté, il n'a pas non plus d'obligation de proposer de nouvelle fonctionnalité ou de corriger un bug...
D'un autre cote si il refuse sans raison valable de proposer une nouvelle fonctionnalite que beaucoup de monde reclame, le fork est toujours possible. Si Microsoft dit "pas de support de tel logiciel sur autre chose que Vista" ben c'est "pas pas de support de tel logiciel sur autre chose que Vista" meme si c'est tout a fait faisable techniquement (mais pas avantageux commercialement pour Microsoft).
sansflotusspam
Nicolas George a commis :
sansflotusspam , dans le message <46e3ac82$0$18296$, a écrit :
Si tu diminues la qualité, tu diminues les coûts de production ce qui te permets d'investir dans la pub. il me semblait que lorsqu'on améliore la qualité d'une ligne de
production, on diminue fortement les rebuts, donc les coûts directs.
« d'une ligne de production »
Évidemment, si tu changes les termes de l'hypothèse, tu changes la conclusion.
non, je ne change en rien les termes de l'hypothèse, j'essaye de faire concret et précis, c'est tout.
on parle bien de "coûts de production", semble-t-il ?
Nicolas George a commis :
sansflotusspam , dans le message
<46e3ac82$0$18296$426a74cc@news.free.fr>, a écrit :
Si tu diminues la qualité, tu diminues les coûts de production ce
qui te permets d'investir dans la pub.
il me semblait que lorsqu'on améliore la qualité d'une ligne de
production, on diminue fortement les rebuts, donc les coûts directs.
« d'une ligne de production »
Évidemment, si tu changes les termes de l'hypothèse, tu changes la
conclusion.
non, je ne change en rien les termes de l'hypothèse, j'essaye de faire
concret et précis, c'est tout.
on parle bien de "coûts de production", semble-t-il ?
sansflotusspam , dans le message <46e3ac82$0$18296$, a écrit :
Si tu diminues la qualité, tu diminues les coûts de production ce qui te permets d'investir dans la pub. il me semblait que lorsqu'on améliore la qualité d'une ligne de
production, on diminue fortement les rebuts, donc les coûts directs.
« d'une ligne de production »
Évidemment, si tu changes les termes de l'hypothèse, tu changes la conclusion.
non, je ne change en rien les termes de l'hypothèse, j'essaye de faire concret et précis, c'est tout.
on parle bien de "coûts de production", semble-t-il ?
Jerome Lambert
Jerome Lambert , dans le message
D'un autre côté, il n'a pas non plus d'obligation de proposer de nouvelle fonctionnalité ou de corriger un bug...
Un logiciel commercial non plus n'a pas de telle obligation, donc tu ne fais pas avancer les choses.
Ben si, sans nouvelle fonctionnalité, pas de nouvelle version donc pas de *vente* de nouvelle version, donc faillite à terme, procédé que ne connaît pas le LL.
Jerome Lambert , dans le message
D'un autre côté, il n'a pas non plus d'obligation de proposer de
nouvelle fonctionnalité ou de corriger un bug...
Un logiciel commercial non plus n'a pas de telle obligation, donc tu ne fais
pas avancer les choses.
Ben si, sans nouvelle fonctionnalité, pas de nouvelle version donc pas
de *vente* de nouvelle version, donc faillite à terme, procédé que ne
connaît pas le LL.
D'un autre côté, il n'a pas non plus d'obligation de proposer de nouvelle fonctionnalité ou de corriger un bug...
Un logiciel commercial non plus n'a pas de telle obligation, donc tu ne fais pas avancer les choses.
Ben si, sans nouvelle fonctionnalité, pas de nouvelle version donc pas de *vente* de nouvelle version, donc faillite à terme, procédé que ne connaît pas le LL.
Nicolas George
sansflotusspam , dans le message <46e4009e$0$27690$, a écrit :
non, je ne change en rien les termes de l'hypothèse, j'essaye de faire concret et précis, c'est tout.
Si, tu changes les termes. On parlait de la qualité du produit, pas de la qualité de la chaîne de production.
on parle bien de "coûts de production", semble-t-il ?
Et alors ?
sansflotusspam , dans le message
<46e4009e$0$27690$426a74cc@news.free.fr>, a écrit :
non, je ne change en rien les termes de l'hypothèse, j'essaye de faire
concret et précis, c'est tout.
Si, tu changes les termes. On parlait de la qualité du produit, pas de la
qualité de la chaîne de production.
on parle bien de "coûts de production", semble-t-il ?
sansflotusspam , dans le message <46e4009e$0$27690$, a écrit :
non, je ne change en rien les termes de l'hypothèse, j'essaye de faire concret et précis, c'est tout.
Si, tu changes les termes. On parlait de la qualité du produit, pas de la qualité de la chaîne de production.
on parle bien de "coûts de production", semble-t-il ?
Et alors ?
Nicolas George
Jerome Lambert , dans le message <46e401a1$0$14230$, a écrit :
Ben si, sans nouvelle fonctionnalité, pas de nouvelle version donc pas de *vente* de nouvelle version, donc faillite à terme, procédé que ne connaît pas le LL.
L'erreur, c'est de considérer que « nouvelle version » soit synonyme d'amélioration. Si la première version est parfaite, il n'y a pas besoin de nouvelle version.
À part ça, on a quand même le fait que le logiciel libre existe, c'est une donnée, donc tu ne peux pas supposer qu'il n'existe pas, ce qui est en gros ce que tu fais.
Jerome Lambert , dans le message
<46e401a1$0$14230$ba620e4c@news.skynet.be>, a écrit :
Ben si, sans nouvelle fonctionnalité, pas de nouvelle version donc pas
de *vente* de nouvelle version, donc faillite à terme, procédé que ne
connaît pas le LL.
L'erreur, c'est de considérer que « nouvelle version » soit synonyme
d'amélioration. Si la première version est parfaite, il n'y a pas besoin de
nouvelle version.
À part ça, on a quand même le fait que le logiciel libre existe, c'est une
donnée, donc tu ne peux pas supposer qu'il n'existe pas, ce qui est en gros
ce que tu fais.
Jerome Lambert , dans le message <46e401a1$0$14230$, a écrit :
Ben si, sans nouvelle fonctionnalité, pas de nouvelle version donc pas de *vente* de nouvelle version, donc faillite à terme, procédé que ne connaît pas le LL.
L'erreur, c'est de considérer que « nouvelle version » soit synonyme d'amélioration. Si la première version est parfaite, il n'y a pas besoin de nouvelle version.
À part ça, on a quand même le fait que le logiciel libre existe, c'est une donnée, donc tu ne peux pas supposer qu'il n'existe pas, ce qui est en gros ce que tu fais.
Jerome Lambert
Jerome Lambert , dans le message
Ben si, sans nouvelle fonctionnalité, pas de nouvelle version donc pas de *vente* de nouvelle version, donc faillite à terme, procédé que ne connaît pas le LL.
L'erreur, c'est de considérer que « nouvelle version » soit synonyme d'amélioration.
De manière générale, ça l'est. Le monde du logiciel propriétaire ne se limite pas à ce que produit Microsoft, bien heureusement d'ailleurs.
Si la première version est parfaite, il n'y a pas besoin de nouvelle version.
Ben tiens... Tu n'as jamais râlé parce que telle ou telle fonctionnalité d'un logiciel, même libre, n'existait pas ou fonctionnait mal? J'ai de gros doute à ce sujet...
À part ça, on a quand même le fait que le logiciel libre existe, c'est une donnée, donc tu ne peux pas supposer qu'il n'existe pas, ce qui est en gros ce que tu fais.
Non, tu devrais mieux me lire. Je dis que le logiciel propriétaire a un impératif de constante amélioration pour pouvoir pousser les utilisateurs à acheter les nouvelles versions, contrainte que n'a pas le logiciel libre.
Jerome Lambert , dans le message
Ben si, sans nouvelle fonctionnalité, pas de nouvelle version donc pas
de *vente* de nouvelle version, donc faillite à terme, procédé que ne
connaît pas le LL.
L'erreur, c'est de considérer que « nouvelle version » soit synonyme
d'amélioration.
De manière générale, ça l'est. Le monde du logiciel propriétaire ne se
limite pas à ce que produit Microsoft, bien heureusement d'ailleurs.
Si la première version est parfaite, il n'y a pas besoin de
nouvelle version.
Ben tiens... Tu n'as jamais râlé parce que telle ou telle fonctionnalité
d'un logiciel, même libre, n'existait pas ou fonctionnait mal? J'ai de
gros doute à ce sujet...
À part ça, on a quand même le fait que le logiciel libre existe, c'est une
donnée, donc tu ne peux pas supposer qu'il n'existe pas, ce qui est en gros
ce que tu fais.
Non, tu devrais mieux me lire. Je dis que le logiciel propriétaire a un
impératif de constante amélioration pour pouvoir pousser les
utilisateurs à acheter les nouvelles versions, contrainte que n'a pas le
logiciel libre.
Ben si, sans nouvelle fonctionnalité, pas de nouvelle version donc pas de *vente* de nouvelle version, donc faillite à terme, procédé que ne connaît pas le LL.
L'erreur, c'est de considérer que « nouvelle version » soit synonyme d'amélioration.
De manière générale, ça l'est. Le monde du logiciel propriétaire ne se limite pas à ce que produit Microsoft, bien heureusement d'ailleurs.
Si la première version est parfaite, il n'y a pas besoin de nouvelle version.
Ben tiens... Tu n'as jamais râlé parce que telle ou telle fonctionnalité d'un logiciel, même libre, n'existait pas ou fonctionnait mal? J'ai de gros doute à ce sujet...
À part ça, on a quand même le fait que le logiciel libre existe, c'est une donnée, donc tu ne peux pas supposer qu'il n'existe pas, ce qui est en gros ce que tu fais.
Non, tu devrais mieux me lire. Je dis que le logiciel propriétaire a un impératif de constante amélioration pour pouvoir pousser les utilisateurs à acheter les nouvelles versions, contrainte que n'a pas le logiciel libre.
Nicolas George
Jerome Lambert , dans le message <46e42ae0$0$13851$, a écrit :
Non, tu devrais mieux me lire. Je dis que le logiciel propriétaire a un impératif de constante amélioration pour pouvoir pousser les utilisateurs à acheter les nouvelles versions,
Et dire ça, c'est supposer que les utilisateurs sont attirés par la qualité, ce qui est complètement déconnecté de la réalité.
contrainte que n'a pas le logiciel libre.
En poussant très légèrement le raisonnement, tu arrives à la conclusion que le logiciel libre n'existe pas. Donc il y a quelque chose qui cloche dans ton hypothèse.
Jerome Lambert , dans le message
<46e42ae0$0$13851$ba620e4c@news.skynet.be>, a écrit :
Non, tu devrais mieux me lire. Je dis que le logiciel propriétaire a un
impératif de constante amélioration pour pouvoir pousser les
utilisateurs à acheter les nouvelles versions,
Et dire ça, c'est supposer que les utilisateurs sont attirés par la qualité,
ce qui est complètement déconnecté de la réalité.
contrainte que n'a pas le
logiciel libre.
En poussant très légèrement le raisonnement, tu arrives à la conclusion que
le logiciel libre n'existe pas. Donc il y a quelque chose qui cloche dans
ton hypothèse.
Jerome Lambert , dans le message <46e42ae0$0$13851$, a écrit :
Non, tu devrais mieux me lire. Je dis que le logiciel propriétaire a un impératif de constante amélioration pour pouvoir pousser les utilisateurs à acheter les nouvelles versions,
Et dire ça, c'est supposer que les utilisateurs sont attirés par la qualité, ce qui est complètement déconnecté de la réalité.
contrainte que n'a pas le logiciel libre.
En poussant très légèrement le raisonnement, tu arrives à la conclusion que le logiciel libre n'existe pas. Donc il y a quelque chose qui cloche dans ton hypothèse.
Mihamina (R12y) Rakotomandimby
Nicolas George wrote:
Jerome Lambert , dans le message
Non, tu devrais mieux me lire. Je dis que le logiciel propriétaire a un impératif de constante amélioration pour pouvoir pousser les utilisateurs à acheter les nouvelles versions, Et dire ça, c'est supposer que les utilisateurs sont attirés par la qualité,
ce qui est complètement déconnecté de la réalité.
Ah bon? Il parait que Vista est en bonne voie pour etre un flop. C'est entre autre à cause de sa piètre "qualité". L'utilisateur fuit quand même la mauvaise qualité. On peut en conclure qu'ils sont attirés par la qualité.
Nicolas George wrote:
Jerome Lambert , dans le message
Non, tu devrais mieux me lire. Je dis que le logiciel propriétaire a un
impératif de constante amélioration pour pouvoir pousser les
utilisateurs à acheter les nouvelles versions,
Et dire ça, c'est supposer que les utilisateurs sont attirés par la qualité,
ce qui est complètement déconnecté de la réalité.
Ah bon? Il parait que Vista est en bonne voie pour etre un flop. C'est
entre autre à cause de sa piètre "qualité". L'utilisateur fuit quand
même la mauvaise qualité. On peut en conclure qu'ils sont attirés par la
qualité.
Non, tu devrais mieux me lire. Je dis que le logiciel propriétaire a un impératif de constante amélioration pour pouvoir pousser les utilisateurs à acheter les nouvelles versions, Et dire ça, c'est supposer que les utilisateurs sont attirés par la qualité,
ce qui est complètement déconnecté de la réalité.
Ah bon? Il parait que Vista est en bonne voie pour etre un flop. C'est entre autre à cause de sa piètre "qualité". L'utilisateur fuit quand même la mauvaise qualité. On peut en conclure qu'ils sont attirés par la qualité.
Jerome Lambert
Jerome Lambert , dans le message
Non, tu devrais mieux me lire. Je dis que le logiciel propriétaire a un impératif de constante amélioration pour pouvoir pousser les utilisateurs à acheter les nouvelles versions,
Et dire ça, c'est supposer que les utilisateurs sont attirés par la qualité, ce qui est complètement déconnecté de la réalité.
Non, car tu présupposes que l'amélioration ne concerne que la qualité, alors que les améliorations majeures viennent en terme de fonctionnalités, ce qui est fondamentalement différent.
contrainte que n'a pas le logiciel libre.
En poussant très légèrement le raisonnement, tu arrives à la conclusion que le logiciel libre n'existe pas. Donc il y a quelque chose qui cloche dans ton hypothèse.
Je ne comprends pas comment tu arrives à cette conclusion. Je dis simplement que le logiciel libre n'a pas d'impératif d'amélioration constante, rien de plus.
Jerome Lambert , dans le message
Non, tu devrais mieux me lire. Je dis que le logiciel propriétaire a un
impératif de constante amélioration pour pouvoir pousser les
utilisateurs à acheter les nouvelles versions,
Et dire ça, c'est supposer que les utilisateurs sont attirés par la qualité,
ce qui est complètement déconnecté de la réalité.
Non, car tu présupposes que l'amélioration ne concerne que la qualité,
alors que les améliorations majeures viennent en terme de
fonctionnalités, ce qui est fondamentalement différent.
contrainte que n'a pas le
logiciel libre.
En poussant très légèrement le raisonnement, tu arrives à la conclusion que
le logiciel libre n'existe pas. Donc il y a quelque chose qui cloche dans
ton hypothèse.
Je ne comprends pas comment tu arrives à cette conclusion. Je dis
simplement que le logiciel libre n'a pas d'impératif d'amélioration
constante, rien de plus.
Non, tu devrais mieux me lire. Je dis que le logiciel propriétaire a un impératif de constante amélioration pour pouvoir pousser les utilisateurs à acheter les nouvelles versions,
Et dire ça, c'est supposer que les utilisateurs sont attirés par la qualité, ce qui est complètement déconnecté de la réalité.
Non, car tu présupposes que l'amélioration ne concerne que la qualité, alors que les améliorations majeures viennent en terme de fonctionnalités, ce qui est fondamentalement différent.
contrainte que n'a pas le logiciel libre.
En poussant très légèrement le raisonnement, tu arrives à la conclusion que le logiciel libre n'existe pas. Donc il y a quelque chose qui cloche dans ton hypothèse.
Je ne comprends pas comment tu arrives à cette conclusion. Je dis simplement que le logiciel libre n'a pas d'impératif d'amélioration constante, rien de plus.
Nicolas George
Jerome Lambert , dans le message <46e44008$0$14242$, a écrit :
Je ne comprends pas comment tu arrives à cette conclusion. Je dis simplement que le logiciel libre n'a pas d'impératif d'amélioration constante, rien de plus.
Les impératifs d'amélioration sont exactement les mêmes que les impératifs d'existence : si rien n'impose à un logiciel libre de s'améliorer, rien ne lui impose d'exister en premier lieu. Et pourtant il existe
Jerome Lambert , dans le message
<46e44008$0$14242$ba620e4c@news.skynet.be>, a écrit :
Je ne comprends pas comment tu arrives à cette conclusion. Je dis
simplement que le logiciel libre n'a pas d'impératif d'amélioration
constante, rien de plus.
Les impératifs d'amélioration sont exactement les mêmes que les impératifs
d'existence : si rien n'impose à un logiciel libre de s'améliorer, rien ne
lui impose d'exister en premier lieu. Et pourtant il existe
Jerome Lambert , dans le message <46e44008$0$14242$, a écrit :
Je ne comprends pas comment tu arrives à cette conclusion. Je dis simplement que le logiciel libre n'a pas d'impératif d'amélioration constante, rien de plus.
Les impératifs d'amélioration sont exactement les mêmes que les impératifs d'existence : si rien n'impose à un logiciel libre de s'améliorer, rien ne lui impose d'exister en premier lieu. Et pourtant il existe