Legalisons un P2P quelconque (par exemple emule puisqu'il parait que ca fonctionne),
Hypocrite, la légalisation du p2p.
La loi a donc prévu 28¤ d'amende pour les contrevenants particuliers. Vu les sanctions encourues, on n'ose envisager de mobiliser des journées entières d'enquêteurs spécialisés pour cela, ni de déranger les FAI.
Il s'agit donc bien d'une dépénalisation de fait du P2P, bien que le gouvernement n'ait pas voulu le reconnaître ni en assumer les conséquences. Les apparences sont sauves, mais tout continuera comme avant.
Du point de vue des producteurs, la solution retenue sera sans doute pire que la licence globale.
-- des conneries j'en ai dites oui oui je vous assure... mais elles n'engagent que votre perception remy
Thierry Boudet écrivait :
Legalisons un P2P quelconque (par exemple emule puisqu'il parait que
ca fonctionne),
Hypocrite, la légalisation du p2p.
La loi a donc prévu 28¤ d'amende pour les contrevenants particuliers.
Vu les sanctions encourues, on n'ose envisager de mobiliser des journées
entières d'enquêteurs spécialisés pour cela, ni de déranger les FAI.
Il s'agit donc bien d'une dépénalisation de fait du P2P, bien que le
gouvernement n'ait pas voulu le reconnaître ni en assumer les
conséquences. Les apparences sont sauves, mais tout continuera comme
avant.
Du point de vue des producteurs, la solution retenue sera sans doute pire
que la licence globale.
Legalisons un P2P quelconque (par exemple emule puisqu'il parait que ca fonctionne),
Hypocrite, la légalisation du p2p.
La loi a donc prévu 28¤ d'amende pour les contrevenants particuliers. Vu les sanctions encourues, on n'ose envisager de mobiliser des journées entières d'enquêteurs spécialisés pour cela, ni de déranger les FAI.
Il s'agit donc bien d'une dépénalisation de fait du P2P, bien que le gouvernement n'ait pas voulu le reconnaître ni en assumer les conséquences. Les apparences sont sauves, mais tout continuera comme avant.
Du point de vue des producteurs, la solution retenue sera sans doute pire que la licence globale.
-- des conneries j'en ai dites oui oui je vous assure... mais elles n'engagent que votre perception remy
talon
olive wrote:
Il s'agit donc bien d'une dépénalisation de fait du P2P, bien que le gouvernement n'ait pas voulu le reconnaître ni en assumer les conséquences. Les apparences sont sauves, mais tout continuera comme avant.
Sauf pour les programmeurs qui risquent, s'ils sont accusés par un malade, et jugés par un fou furieux du genre dont a eu l'exemple récemment, de la prison et des amendes énormes.
--
Michel TALON
olive <oloc@alussinan.org> wrote:
Il s'agit donc bien d'une dépénalisation de fait du P2P, bien que le
gouvernement n'ait pas voulu le reconnaître ni en assumer les
conséquences. Les apparences sont sauves, mais tout continuera comme
avant.
Sauf pour les programmeurs qui risquent, s'ils sont accusés par un malade,
et jugés par un fou furieux du genre dont a eu l'exemple récemment, de la
prison et des amendes énormes.
Il s'agit donc bien d'une dépénalisation de fait du P2P, bien que le gouvernement n'ait pas voulu le reconnaître ni en assumer les conséquences. Les apparences sont sauves, mais tout continuera comme avant.
Sauf pour les programmeurs qui risquent, s'ils sont accusés par un malade, et jugés par un fou furieux du genre dont a eu l'exemple récemment, de la prison et des amendes énormes.
--
Michel TALON
remy
Thierry Boudet écrivait :
Legalisons un P2P quelconque (par exemple emule puisqu'il parait que ca fonctionne),
Hypocrite, la légalisation du p2p.
La loi a donc prévu 28€ d'amende pour les contrevenants particuliers. Vu les sanctions encourues, on n'ose envisager de mobiliser des journées entières d'enquêteurs spécialisés pour cela, ni de déranger les FAI.
Il s'agit donc bien d'une dépénalisation de fait du P2P, bien que le gouvernement n'ait pas voulu le reconnaître ni en assumer les conséquences. Les apparences sont sauves, mais tout continuera comme avant.
Du point de vue des producteurs, la solution retenue sera sans doute pire que la licence globale.
Dans la note DCI (p.5) il est précisé : ..... delà, un régime de dérogation permet aux fournisseurs d’accès de proposer des services d’échanges à prix libre, si ceux-ci s’engagent à contrôler la licéité des échanges.
en gros une derogation de police cela m'avais énerver a l'epoque
-- des conneries j'en ai dites oui oui je vous assure... mais elles n'engagent que votre perception remy
Thierry Boudet écrivait :
Legalisons un P2P quelconque (par exemple emule puisqu'il parait que
ca fonctionne),
Hypocrite, la légalisation du p2p.
La loi a donc prévu 28€ d'amende pour les contrevenants particuliers.
Vu les sanctions encourues, on n'ose envisager de mobiliser des journées
entières d'enquêteurs spécialisés pour cela, ni de déranger les FAI.
Il s'agit donc bien d'une dépénalisation de fait du P2P, bien que le
gouvernement n'ait pas voulu le reconnaître ni en assumer les
conséquences. Les apparences sont sauves, mais tout continuera comme
avant.
Du point de vue des producteurs, la solution retenue sera sans doute pire
que la licence globale.
Dans la note DCI (p.5) il est précisé :
.....
delà, un régime de dérogation permet aux fournisseurs d’accès de
proposer des services d’échanges à prix libre, si ceux-ci s’engagent à
contrôler la licéité des échanges.
en gros une derogation de police cela m'avais énerver a l'epoque
--
des conneries j'en ai dites oui oui je vous assure...
mais elles n'engagent que votre perception
remy
Legalisons un P2P quelconque (par exemple emule puisqu'il parait que ca fonctionne),
Hypocrite, la légalisation du p2p.
La loi a donc prévu 28€ d'amende pour les contrevenants particuliers. Vu les sanctions encourues, on n'ose envisager de mobiliser des journées entières d'enquêteurs spécialisés pour cela, ni de déranger les FAI.
Il s'agit donc bien d'une dépénalisation de fait du P2P, bien que le gouvernement n'ait pas voulu le reconnaître ni en assumer les conséquences. Les apparences sont sauves, mais tout continuera comme avant.
Du point de vue des producteurs, la solution retenue sera sans doute pire que la licence globale.
Dans la note DCI (p.5) il est précisé : ..... delà, un régime de dérogation permet aux fournisseurs d’accès de proposer des services d’échanges à prix libre, si ceux-ci s’engagent à contrôler la licéité des échanges.
en gros une derogation de police cela m'avais énerver a l'epoque
-- des conneries j'en ai dites oui oui je vous assure... mais elles n'engagent que votre perception remy
Antoine Leca
Thierry Boudet wrote:
Mozart n'a jamais vécu de son art,
Il en est mort, soit (c'est pas drôle).
Mais affirmer qu'il n'en a pas vécu, quand tu jettes un oil à ses revenus, non seulement il en a très bien vécu (au sens classique de l'expression), dès son adolescence, et en plus il en a fait vivre sa famille.
S'il est mort en laissant sa femme ruinée ou presque, c'est parce qu'il avait aussi un train de vie TRÈS fastueux.
J'ai mis « omniprésent » à propos de M. Goldmann parce que son nom ressort très souvent dans les fils sur ce sujet, rien à voir avec ses propres prestations.
Mais pour une partie importante des artistes (cf. la discussion des intermittents du spectacle),
Un éclairagiste chez TF1 n'est pas un intermittent du spectacle.
Désolé (je ne vis pas en France), mais je ne vois pas le rapport.
Pour être plus clair : si la /majorité/ des gens qui relèvent du régime des intermittents du spectacle sont par ailleurs des techniciens employés par des sociétés du CAC40, il y a effectivement une justification à corriger l'aberration ; si par contre c'est un cas particulier qui sert d'épouvantail (genre les plombiers slaves), cela me rappelle un article du Canard enchaîné de 1933, sur les lampistes.
Antoine
Thierry Boudet wrote:
Mozart n'a jamais vécu de son art,
Il en est mort, soit (c'est pas drôle).
Mais affirmer qu'il n'en a pas vécu, quand tu jettes un oil à ses revenus,
non seulement il en a très bien vécu (au sens classique de l'expression),
dès son adolescence, et en plus il en a fait vivre sa famille.
S'il est mort en laissant sa femme ruinée ou presque, c'est parce qu'il
avait aussi un train de vie TRÈS fastueux.
J'ai mis « omniprésent » à propos de M. Goldmann parce que son nom ressort
très souvent dans les fils sur ce sujet, rien à voir avec ses propres
prestations.
Mais pour une partie importante des artistes (cf. la discussion des
intermittents du spectacle),
Un éclairagiste chez TF1 n'est pas un intermittent du spectacle.
Désolé (je ne vis pas en France), mais je ne vois pas le rapport.
Pour être plus clair : si la /majorité/ des gens qui relèvent du régime des
intermittents du spectacle sont par ailleurs des techniciens employés par
des sociétés du CAC40, il y a effectivement une justification à corriger
l'aberration ; si par contre c'est un cas particulier qui sert d'épouvantail
(genre les plombiers slaves), cela me rappelle un article du Canard enchaîné
de 1933, sur les lampistes.
Mais affirmer qu'il n'en a pas vécu, quand tu jettes un oil à ses revenus, non seulement il en a très bien vécu (au sens classique de l'expression), dès son adolescence, et en plus il en a fait vivre sa famille.
S'il est mort en laissant sa femme ruinée ou presque, c'est parce qu'il avait aussi un train de vie TRÈS fastueux.
J'ai mis « omniprésent » à propos de M. Goldmann parce que son nom ressort très souvent dans les fils sur ce sujet, rien à voir avec ses propres prestations.
Mais pour une partie importante des artistes (cf. la discussion des intermittents du spectacle),
Un éclairagiste chez TF1 n'est pas un intermittent du spectacle.
Désolé (je ne vis pas en France), mais je ne vois pas le rapport.
Pour être plus clair : si la /majorité/ des gens qui relèvent du régime des intermittents du spectacle sont par ailleurs des techniciens employés par des sociétés du CAC40, il y a effectivement une justification à corriger l'aberration ; si par contre c'est un cas particulier qui sert d'épouvantail (genre les plombiers slaves), cela me rappelle un article du Canard enchaîné de 1933, sur les lampistes.
Antoine
Gilles-Claude Rajaobelina
Benjamin FRANCOIS wrote:
Nicolas George s'est exprimé en ces termes:
Et le jusqu'au-boutisme des majors, il n'y est pour rien, non ?
Pas la peine de s'étriper là-dessus, les deux sont en tort. [...] quand on aime une oeuvre, le minimum c'est quand même de rétribuer son auteur.
Me déplaçant dans un autre contexte, je me dis que tout ce qu'on raconte jusqu'ici n'est peut-être qu'arguties déblatérées en martien par des nantis plus soucieux du maintien du droit au superflu, que de celui du simple accès au nécessaire insuffisant dispensé au plus grand nombre.
En vertu de *quoi*, un pauvre n'a pas le droit d'écouter l'ensemble de l'oeuvre d'un Goldman (au hasard), ou d'un autre ?
Caricaturons.
Où est son droit de ne pas subir au quotidien toutes ces provocations sous forme de supplices de Tantale ? Mais un peu de patience avant de hurler et faire des bonds.
Considérons un instant la soi-disante spoliation d'un ACI(¹). Si l'on ne peut qu'être d'accord sur "toute peine mérite rétribution", alors la peine en question a été effectuée *une fois pour toutes* lors de représentations en public ou de séances d'enregistrement (l' ACI est of course en droit d'estimer à la hauteur qu'il veut, sa performance, et à une hauteur incontestable, les frais qu'il a engagés).
L'oeuvre d'un peintre est payée *une fois pour toutes* (du moins ne devrait l'être autrement), lors de la vente de son tableau. Ses prestations intellectuelles et physiques ne cède en rien à celles de rimailleurs et pousseurs de scies etc. Alors pourquoi cette discrimination ?
Je voulais en venir où ? Très simple. J'aimerais juste la mise en application d'une acception courante de la démocratie à tout moment, par exemple: "tout le monde a le droit d'écouter Goldman". Qui ose être contre, dans l'absolu (je balaie tout de suite les pleurnicheries habituelles) ? Quand j'évoque démocratie, je fais allusion au droit du plus grand nombre, d'accéder aux seuls moyens d'excercer le leur.
Ok, ok, tout ça c'est pour rigoler, bien sûr ;)
(¹)Combinaison adéquate de Auteur/Compositeur/Interprète
Et le jusqu'au-boutisme des majors, il n'y est pour rien, non ?
Pas la peine de s'étriper là-dessus, les deux sont en tort. [...]
quand on aime une oeuvre, le minimum c'est quand même de rétribuer son
auteur.
Me déplaçant dans un autre contexte, je me dis que tout ce qu'on raconte
jusqu'ici n'est peut-être qu'arguties déblatérées en martien par des
nantis plus soucieux du maintien du droit au superflu, que de celui du
simple accès au nécessaire insuffisant dispensé au plus grand nombre.
En vertu de *quoi*, un pauvre n'a pas le droit d'écouter l'ensemble de
l'oeuvre d'un Goldman (au hasard), ou d'un autre ?
Caricaturons.
Où est son droit de ne pas subir au quotidien toutes ces provocations
sous forme de supplices de Tantale ? Mais un peu de patience avant de
hurler et faire des bonds.
Considérons un instant la soi-disante spoliation d'un ACI(¹). Si l'on
ne peut qu'être d'accord sur "toute peine mérite rétribution", alors
la peine en question a été effectuée *une fois pour toutes* lors de
représentations en public ou de séances d'enregistrement (l' ACI est of
course en droit d'estimer à la hauteur qu'il veut, sa performance, et à
une hauteur incontestable, les frais qu'il a engagés).
L'oeuvre d'un peintre est payée *une fois pour toutes* (du moins
ne devrait l'être autrement), lors de la vente de son tableau. Ses
prestations intellectuelles et physiques ne cède en rien à celles
de rimailleurs et pousseurs de scies etc. Alors pourquoi cette
discrimination ?
Je voulais en venir où ? Très simple. J'aimerais juste la mise en
application d'une acception courante de la démocratie à tout moment, par
exemple: "tout le monde a le droit d'écouter Goldman". Qui ose être
contre, dans l'absolu (je balaie tout de suite les pleurnicheries
habituelles) ? Quand j'évoque démocratie, je fais allusion au droit du
plus grand nombre, d'accéder aux seuls moyens d'excercer le leur.
Ok, ok, tout ça c'est pour rigoler, bien sûr ;)
(¹)Combinaison adéquate de Auteur/Compositeur/Interprète
Et le jusqu'au-boutisme des majors, il n'y est pour rien, non ?
Pas la peine de s'étriper là-dessus, les deux sont en tort. [...] quand on aime une oeuvre, le minimum c'est quand même de rétribuer son auteur.
Me déplaçant dans un autre contexte, je me dis que tout ce qu'on raconte jusqu'ici n'est peut-être qu'arguties déblatérées en martien par des nantis plus soucieux du maintien du droit au superflu, que de celui du simple accès au nécessaire insuffisant dispensé au plus grand nombre.
En vertu de *quoi*, un pauvre n'a pas le droit d'écouter l'ensemble de l'oeuvre d'un Goldman (au hasard), ou d'un autre ?
Caricaturons.
Où est son droit de ne pas subir au quotidien toutes ces provocations sous forme de supplices de Tantale ? Mais un peu de patience avant de hurler et faire des bonds.
Considérons un instant la soi-disante spoliation d'un ACI(¹). Si l'on ne peut qu'être d'accord sur "toute peine mérite rétribution", alors la peine en question a été effectuée *une fois pour toutes* lors de représentations en public ou de séances d'enregistrement (l' ACI est of course en droit d'estimer à la hauteur qu'il veut, sa performance, et à une hauteur incontestable, les frais qu'il a engagés).
L'oeuvre d'un peintre est payée *une fois pour toutes* (du moins ne devrait l'être autrement), lors de la vente de son tableau. Ses prestations intellectuelles et physiques ne cède en rien à celles de rimailleurs et pousseurs de scies etc. Alors pourquoi cette discrimination ?
Je voulais en venir où ? Très simple. J'aimerais juste la mise en application d'une acception courante de la démocratie à tout moment, par exemple: "tout le monde a le droit d'écouter Goldman". Qui ose être contre, dans l'absolu (je balaie tout de suite les pleurnicheries habituelles) ? Quand j'évoque démocratie, je fais allusion au droit du plus grand nombre, d'accéder aux seuls moyens d'excercer le leur.
Ok, ok, tout ça c'est pour rigoler, bien sûr ;)
(¹)Combinaison adéquate de Auteur/Compositeur/Interprète
Faut pas déprimer! qu'est-ce que ça va être si ta femme te plaque,
Il pourrait toujours écrire un blues.
-- You're a ha-a-a-ard man, McGee!
Manuel Leclerc
L'oeuvre d'un peintre est payée *une fois pour toutes* (du moins ne devrait l'être autrement), lors de la vente de son tableau. Ses prestations intellectuelles et physiques ne cède en rien à celles de rimailleurs et pousseurs de scies etc. Alors pourquoi cette discrimination ?
Le jour ou Mark Shuttleworth passera commande d'un nouvel album de son groupe préféré, tu seras heureux.
-- You (don't) get what you (don't) pay for. --W. Jason Gilmore
L'oeuvre d'un peintre est payée *une fois pour toutes*
(du moins ne devrait l'être autrement), lors de la vente
de son tableau. Ses prestations intellectuelles et physiques
ne cède en rien à celles de rimailleurs et pousseurs de
scies etc. Alors pourquoi cette discrimination ?
Le jour ou Mark Shuttleworth passera commande d'un
nouvel album de son groupe préféré, tu seras heureux.
--
You (don't) get what you (don't) pay for.
--W. Jason Gilmore
L'oeuvre d'un peintre est payée *une fois pour toutes* (du moins ne devrait l'être autrement), lors de la vente de son tableau. Ses prestations intellectuelles et physiques ne cède en rien à celles de rimailleurs et pousseurs de scies etc. Alors pourquoi cette discrimination ?
Le jour ou Mark Shuttleworth passera commande d'un nouvel album de son groupe préféré, tu seras heureux.
-- You (don't) get what you (don't) pay for. --W. Jason Gilmore
Emmanuel Florac
Le Fri, 17 Mar 2006 11:50:08 +0000, Thierry Boudet a écrit :
1) J'apprecie ce que fait cette jeune fille. 2) Jamais le p2p ne m'aurait permis de la découvrir.
Pourquoi le P2p ne t'aurait pas permis de l'écouter ? C'est sûrement disponible pourtant...
-- Si ça a l'air facile, c'est difficile. Si ça a l'air difficile, c'est carrément impossible. Si ça a l'air impossible, c'est un compilateur Ada. Théorème de Stockmayer.
Le Fri, 17 Mar 2006 11:50:08 +0000, Thierry Boudet a écrit :
1) J'apprecie ce que fait cette jeune fille. 2) Jamais le p2p ne
m'aurait permis de la découvrir.
Pourquoi le P2p ne t'aurait pas permis de l'écouter ? C'est sûrement
disponible pourtant...
--
Si ça a l'air facile, c'est difficile. Si ça a l'air difficile, c'est
carrément impossible. Si ça a l'air impossible, c'est un compilateur
Ada.
Théorème de Stockmayer.
Le Fri, 17 Mar 2006 11:50:08 +0000, Thierry Boudet a écrit :
1) J'apprecie ce que fait cette jeune fille. 2) Jamais le p2p ne m'aurait permis de la découvrir.
Pourquoi le P2p ne t'aurait pas permis de l'écouter ? C'est sûrement disponible pourtant...
-- Si ça a l'air facile, c'est difficile. Si ça a l'air difficile, c'est carrément impossible. Si ça a l'air impossible, c'est un compilateur Ada. Théorème de Stockmayer.
Emmanuel Florac
Le Fri, 17 Mar 2006 12:40:03 +0100, Antoine Leca a écrit :
Par ailleurs, pour revenir à ta question initiale (les différences), il y en a une autre d'envergure : la diffusion radio maintient en partie la fiction de la responsabilité de l'auteur dans la diffusion (puisqu'il choisit les médias sur lesquels il est diffusé),
Jamais de la vie. Une radio diffuse ce qui lui chante.
Revenant à ton point ci-dessus, je ne suis pas sûr que les auteurs seraient tous d'accord pour avoir leurs ½uvres diffusées sous forme de MP3 à 128 kbps...
Ils sont pourtant d'accord pour le diffuser à la radio.
Mais à partir du moment où ils mettent un CD en circulation, c'est ce qui se passe en pratique.
En effet. Et ce n'est pas une ridicule amende de 38 euros, dont ils ne toucheront pas un centime, qui y changera quoi que ce soit.
Les diffuseurs sont cons comme des enclumes : les gens sont manifestement prêts à payer cher pour un peu n'importe quoi (ils paient un prix fou des sonneries de téléphones), et ils n'arrivent pas à s'entendre pour fournir un produit correct. Soyons clair : le p2p ne fait AUCUN mal à la musique, mais la connerie des maisons de disques par contre...
-- Ne pas savoir de quoi on parle est un avantage dont il ne faut pas abuser. R.Debray
Le Fri, 17 Mar 2006 12:40:03 +0100, Antoine Leca a écrit :
Par ailleurs, pour revenir à ta question initiale (les différences), il
y en a une autre d'envergure : la diffusion radio maintient en partie la
fiction de la responsabilité de l'auteur dans la diffusion (puisqu'il
choisit les médias sur lesquels il est diffusé),
Jamais de la vie. Une radio diffuse ce qui lui chante.
Revenant à ton point ci-dessus, je ne suis pas sûr que les auteurs
seraient tous d'accord pour avoir leurs ½uvres diffusées sous forme de
MP3 à 128 kbps...
Ils sont pourtant d'accord pour le diffuser à la radio.
Mais à partir du moment où ils mettent un CD en
circulation, c'est ce qui se passe en pratique.
En effet. Et ce n'est pas une ridicule amende de 38 euros, dont ils ne
toucheront pas un centime, qui y changera quoi que ce soit.
Les diffuseurs sont cons comme des enclumes : les gens sont manifestement
prêts à payer cher pour un peu n'importe quoi (ils paient un prix fou
des sonneries de téléphones), et ils n'arrivent pas à s'entendre pour
fournir un produit correct. Soyons clair : le p2p ne fait AUCUN mal à la
musique, mais la connerie des maisons de disques par contre...
--
Ne pas savoir de quoi on parle est un avantage dont il ne faut pas
abuser.
R.Debray
Le Fri, 17 Mar 2006 12:40:03 +0100, Antoine Leca a écrit :
Par ailleurs, pour revenir à ta question initiale (les différences), il y en a une autre d'envergure : la diffusion radio maintient en partie la fiction de la responsabilité de l'auteur dans la diffusion (puisqu'il choisit les médias sur lesquels il est diffusé),
Jamais de la vie. Une radio diffuse ce qui lui chante.
Revenant à ton point ci-dessus, je ne suis pas sûr que les auteurs seraient tous d'accord pour avoir leurs ½uvres diffusées sous forme de MP3 à 128 kbps...
Ils sont pourtant d'accord pour le diffuser à la radio.
Mais à partir du moment où ils mettent un CD en circulation, c'est ce qui se passe en pratique.
En effet. Et ce n'est pas une ridicule amende de 38 euros, dont ils ne toucheront pas un centime, qui y changera quoi que ce soit.
Les diffuseurs sont cons comme des enclumes : les gens sont manifestement prêts à payer cher pour un peu n'importe quoi (ils paient un prix fou des sonneries de téléphones), et ils n'arrivent pas à s'entendre pour fournir un produit correct. Soyons clair : le p2p ne fait AUCUN mal à la musique, mais la connerie des maisons de disques par contre...
-- Ne pas savoir de quoi on parle est un avantage dont il ne faut pas abuser. R.Debray
Emmanuel Florac
Le Fri, 17 Mar 2006 13:10:48 +0000, Thierry Boudet a écrit :
Non, juste une bande de bouffons.
Pourquoi pas.
-- Si ça a l'air facile, c'est difficile. Si ça a l'air difficile, c'est carrément impossible. Si ça a l'air impossible, c'est un compilateur Ada. Théorème de Stockmayer.
Le Fri, 17 Mar 2006 13:10:48 +0000, Thierry Boudet a écrit :
Non, juste une bande de bouffons.
Pourquoi pas.
--
Si ça a l'air facile, c'est difficile. Si ça a l'air difficile, c'est
carrément impossible. Si ça a l'air impossible, c'est un compilateur
Ada.
Théorème de Stockmayer.
Le Fri, 17 Mar 2006 13:10:48 +0000, Thierry Boudet a écrit :
Non, juste une bande de bouffons.
Pourquoi pas.
-- Si ça a l'air facile, c'est difficile. Si ça a l'air difficile, c'est carrément impossible. Si ça a l'air impossible, c'est un compilateur Ada. Théorème de Stockmayer.