Oui. Le seul algo de chiffrement qui soit (à ma connaissance) prouvé
incassable est un bête XOR avec une clé de la longueur du clair.
Oui. Le seul algo de chiffrement qui soit (à ma connaissance) prouvé
incassable est un bête XOR avec une clé de la longueur du clair.
Oui. Le seul algo de chiffrement qui soit (à ma connaissance) prouvé
incassable est un bête XOR avec une clé de la longueur du clair.
Tu m'as juste enlevé la possibilité d'en tirer un revenu.
En effet, ça peut être un programme de société, où l'information
n'est plus une valeur marchande. C'est complètement contradictoire avec
notre société : ce n'est donc pas un point technique, comme est
présentée la licence globale, mais un programme politique
révolutionnaire.
Tout ça n'est absolument pas la question. ce n'est pas la loi qui va
décider qui mérite de gagner de l'argent, s'il y a trop ou trop peu
d'artistes, quelle est la rémunération juste, fixée autoritairement,
etc. C'est le marché. Et, je dois dire, je préfère que ce soit lui...
De ce point de vue, c'est toujours défendable, mais ça ne servait à
rien d'attendre autre chose de cette Assemblée bourgeoise.
Tu m'as juste enlevé la possibilité d'en tirer un revenu.
En effet, ça peut être un programme de société, où l'information
n'est plus une valeur marchande. C'est complètement contradictoire avec
notre société : ce n'est donc pas un point technique, comme est
présentée la licence globale, mais un programme politique
révolutionnaire.
Tout ça n'est absolument pas la question. ce n'est pas la loi qui va
décider qui mérite de gagner de l'argent, s'il y a trop ou trop peu
d'artistes, quelle est la rémunération juste, fixée autoritairement,
etc. C'est le marché. Et, je dois dire, je préfère que ce soit lui...
De ce point de vue, c'est toujours défendable, mais ça ne servait à
rien d'attendre autre chose de cette Assemblée bourgeoise.
Tu m'as juste enlevé la possibilité d'en tirer un revenu.
En effet, ça peut être un programme de société, où l'information
n'est plus une valeur marchande. C'est complètement contradictoire avec
notre société : ce n'est donc pas un point technique, comme est
présentée la licence globale, mais un programme politique
révolutionnaire.
Tout ça n'est absolument pas la question. ce n'est pas la loi qui va
décider qui mérite de gagner de l'argent, s'il y a trop ou trop peu
d'artistes, quelle est la rémunération juste, fixée autoritairement,
etc. C'est le marché. Et, je dois dire, je préfère que ce soit lui...
De ce point de vue, c'est toujours défendable, mais ça ne servait à
rien d'attendre autre chose de cette Assemblée bourgeoise.
Un brevet, c'est une propriété matérielle, ou immatérielle ?
Parce que moi, dans mon bilan, les idées sont *nulle part* : elles
n'ont pas de valeur comptable, justement parce que je ne peux pas me
rémunérer avec ; tandis que les brevets et autres monopoles accordés,
eux, sont classées en actifs immatériels.
Et ils sont là avec une valeur qui représente la valeur que je peux en
tirer pour me PRIVER de leur propriété.
[...] la possibilité et la manière de
diffuser ces informations largement (et de l'utiliser comme levier pour
commercialiser leurs autres services, en l'occurence la publicité).
Mouais. Peut-être pour certains qui ont atteint un certain nirvanâ ;
et aussi pour la petite proportion (genre l'omniprésent Goldmann, ou
Mozart dans le passé) qui de toute manière vivent de leur art, quel
que soit la forme de le rémunérer.
Mais pour une partie importante des artistes (cf. la discussion des
intermittents du spectacle), ils cherchent quand même à avoir des
revenus minimum pour vivre et pouvoir voir venir.
Ils sont sûrement
relativement indifférents au modèle économique, à condition qu'ils
en bénéficient « suffisament » pour éviter de devoir s'occuper des
contingences matérielles et se consacrer à la création (qui est ce
que la société leur demande, en fin de compte).
Pas d'accord. Là tu es en train de vouloir réduire l'Art à un truc
industriel, qui plus est restreint à ce qui considéré (par qui ? par
quelle académie ?) comme « beau ».
Un brevet, c'est une propriété matérielle, ou immatérielle ?
Parce que moi, dans mon bilan, les idées sont *nulle part* : elles
n'ont pas de valeur comptable, justement parce que je ne peux pas me
rémunérer avec ; tandis que les brevets et autres monopoles accordés,
eux, sont classées en actifs immatériels.
Et ils sont là avec une valeur qui représente la valeur que je peux en
tirer pour me PRIVER de leur propriété.
[...] la possibilité et la manière de
diffuser ces informations largement (et de l'utiliser comme levier pour
commercialiser leurs autres services, en l'occurence la publicité).
Mouais. Peut-être pour certains qui ont atteint un certain nirvanâ ;
et aussi pour la petite proportion (genre l'omniprésent Goldmann, ou
Mozart dans le passé) qui de toute manière vivent de leur art, quel
que soit la forme de le rémunérer.
Mais pour une partie importante des artistes (cf. la discussion des
intermittents du spectacle), ils cherchent quand même à avoir des
revenus minimum pour vivre et pouvoir voir venir.
Ils sont sûrement
relativement indifférents au modèle économique, à condition qu'ils
en bénéficient « suffisament » pour éviter de devoir s'occuper des
contingences matérielles et se consacrer à la création (qui est ce
que la société leur demande, en fin de compte).
Pas d'accord. Là tu es en train de vouloir réduire l'Art à un truc
industriel, qui plus est restreint à ce qui considéré (par qui ? par
quelle académie ?) comme « beau ».
Un brevet, c'est une propriété matérielle, ou immatérielle ?
Parce que moi, dans mon bilan, les idées sont *nulle part* : elles
n'ont pas de valeur comptable, justement parce que je ne peux pas me
rémunérer avec ; tandis que les brevets et autres monopoles accordés,
eux, sont classées en actifs immatériels.
Et ils sont là avec une valeur qui représente la valeur que je peux en
tirer pour me PRIVER de leur propriété.
[...] la possibilité et la manière de
diffuser ces informations largement (et de l'utiliser comme levier pour
commercialiser leurs autres services, en l'occurence la publicité).
Mouais. Peut-être pour certains qui ont atteint un certain nirvanâ ;
et aussi pour la petite proportion (genre l'omniprésent Goldmann, ou
Mozart dans le passé) qui de toute manière vivent de leur art, quel
que soit la forme de le rémunérer.
Mais pour une partie importante des artistes (cf. la discussion des
intermittents du spectacle), ils cherchent quand même à avoir des
revenus minimum pour vivre et pouvoir voir venir.
Ils sont sûrement
relativement indifférents au modèle économique, à condition qu'ils
en bénéficient « suffisament » pour éviter de devoir s'occuper des
contingences matérielles et se consacrer à la création (qui est ce
que la société leur demande, en fin de compte).
Pas d'accord. Là tu es en train de vouloir réduire l'Art à un truc
industriel, qui plus est restreint à ce qui considéré (par qui ? par
quelle académie ?) comme « beau ».
Mozart n'a jamais vécu de son art, et JJG n'est pas si omniprésent
que ça malgré ses concerts dans les villages des fin fonds des
campagnes françaises. Deux bons contre-exemples, donc.
Mais pour une partie importante des artistes (cf. la discussion des
intermittents du spectacle),
Un éclairagiste chez TF1 n'est pas un intermittent du spectacle.
Mozart n'a jamais vécu de son art, et JJG n'est pas si omniprésent
que ça malgré ses concerts dans les villages des fin fonds des
campagnes françaises. Deux bons contre-exemples, donc.
Mais pour une partie importante des artistes (cf. la discussion des
intermittents du spectacle),
Un éclairagiste chez TF1 n'est pas un intermittent du spectacle.
Mozart n'a jamais vécu de son art, et JJG n'est pas si omniprésent
que ça malgré ses concerts dans les villages des fin fonds des
campagnes françaises. Deux bons contre-exemples, donc.
Mais pour une partie importante des artistes (cf. la discussion des
intermittents du spectacle),
Un éclairagiste chez TF1 n'est pas un intermittent du spectacle.
Pour être plus clair : si la /majorité/ des gens qui relèvent du
régime des intermittents du spectacle sont par ailleurs des techniciens
employés par des sociétés du CAC40, il y a effectivement une
justification à corriger l'aberration
Pour être plus clair : si la /majorité/ des gens qui relèvent du
régime des intermittents du spectacle sont par ailleurs des techniciens
employés par des sociétés du CAC40, il y a effectivement une
justification à corriger l'aberration
Pour être plus clair : si la /majorité/ des gens qui relèvent du
régime des intermittents du spectacle sont par ailleurs des techniciens
employés par des sociétés du CAC40, il y a effectivement une
justification à corriger l'aberration
Du point de vue des producteurs, la solution retenue sera sans doute pire
que la licence globale.
Du point de vue des producteurs, la solution retenue sera sans doute pire
que la licence globale.
Du point de vue des producteurs, la solution retenue sera sans doute pire
que la licence globale.
Le Thu, 16 Mar 2006 12:10:36 +0100, SL a écrit :Tu m'as juste enlevé la possibilité d'en tirer un revenu.
Foutaises. Les gens dépensent des sommes folles en biens culturels, ils
paient même 2 euros pour des sonneries de téléphone !
En effet, ça peut être un programme de société, où l'information
n'est plus une valeur marchande. C'est complètement contradictoire
avec notre société : ce n'est donc pas un point technique, comme
est présentée la licence globale, mais un programme politique
révolutionnaire.
De toute façon notre modèle de société ne durera pas toujours.
Comme nous vivons sur une planète limitée, ily a déjà un principe de
base qui veut qu'une croissance économique continue est impossible,
par exemple. Il y a donc des tas de choses insupportables et même
mortelles dans notre modèle, et dans ce cadre là d'une façon ou
d'une autre je suis pour la révolution, parce que c'est la SEULE
SOLUTION.
Tout ça n'est absolument pas la question. ce n'est pas la loi qui
va décider qui mérite de gagner de l'argent, s'il y a trop ou trop
peu d'artistes, quelle est la rémunération juste, fixée
autoritairement, etc. C'est le marché. Et, je dois dire, je préfère
que ce soit lui...
Moi pas. Ces histoires de marché, ça me tue. C'est tellement con que
je voudrais hurler. Ces conneries de "libre concurrence" et tout,
c'est totalement débile, ce sont des mots creux. La libre
concurrence ne mène qu'aux monopoles ou la loi de la jungle.
Pour la juguler, on est obligé d'inventer des arsenaux
invraisemblables de lois, d'autorité de surveillance des cartels, de
règles financières, on finit par avoir plus de bureaucratie que dans
une économie planifiée. QUe tous ces GROS CONS DE LIBÉRAUX ne le
voient pas me rend positivement dingue. Tu ne le vois pas, dis, tu
as de la merde dans les yeux ???
Le Thu, 16 Mar 2006 12:10:36 +0100, SL a écrit :
Tu m'as juste enlevé la possibilité d'en tirer un revenu.
Foutaises. Les gens dépensent des sommes folles en biens culturels, ils
paient même 2 euros pour des sonneries de téléphone !
En effet, ça peut être un programme de société, où l'information
n'est plus une valeur marchande. C'est complètement contradictoire
avec notre société : ce n'est donc pas un point technique, comme
est présentée la licence globale, mais un programme politique
révolutionnaire.
De toute façon notre modèle de société ne durera pas toujours.
Comme nous vivons sur une planète limitée, ily a déjà un principe de
base qui veut qu'une croissance économique continue est impossible,
par exemple. Il y a donc des tas de choses insupportables et même
mortelles dans notre modèle, et dans ce cadre là d'une façon ou
d'une autre je suis pour la révolution, parce que c'est la SEULE
SOLUTION.
Tout ça n'est absolument pas la question. ce n'est pas la loi qui
va décider qui mérite de gagner de l'argent, s'il y a trop ou trop
peu d'artistes, quelle est la rémunération juste, fixée
autoritairement, etc. C'est le marché. Et, je dois dire, je préfère
que ce soit lui...
Moi pas. Ces histoires de marché, ça me tue. C'est tellement con que
je voudrais hurler. Ces conneries de "libre concurrence" et tout,
c'est totalement débile, ce sont des mots creux. La libre
concurrence ne mène qu'aux monopoles ou la loi de la jungle.
Pour la juguler, on est obligé d'inventer des arsenaux
invraisemblables de lois, d'autorité de surveillance des cartels, de
règles financières, on finit par avoir plus de bureaucratie que dans
une économie planifiée. QUe tous ces GROS CONS DE LIBÉRAUX ne le
voient pas me rend positivement dingue. Tu ne le vois pas, dis, tu
as de la merde dans les yeux ???
Le Thu, 16 Mar 2006 12:10:36 +0100, SL a écrit :Tu m'as juste enlevé la possibilité d'en tirer un revenu.
Foutaises. Les gens dépensent des sommes folles en biens culturels, ils
paient même 2 euros pour des sonneries de téléphone !
En effet, ça peut être un programme de société, où l'information
n'est plus une valeur marchande. C'est complètement contradictoire
avec notre société : ce n'est donc pas un point technique, comme
est présentée la licence globale, mais un programme politique
révolutionnaire.
De toute façon notre modèle de société ne durera pas toujours.
Comme nous vivons sur une planète limitée, ily a déjà un principe de
base qui veut qu'une croissance économique continue est impossible,
par exemple. Il y a donc des tas de choses insupportables et même
mortelles dans notre modèle, et dans ce cadre là d'une façon ou
d'une autre je suis pour la révolution, parce que c'est la SEULE
SOLUTION.
Tout ça n'est absolument pas la question. ce n'est pas la loi qui
va décider qui mérite de gagner de l'argent, s'il y a trop ou trop
peu d'artistes, quelle est la rémunération juste, fixée
autoritairement, etc. C'est le marché. Et, je dois dire, je préfère
que ce soit lui...
Moi pas. Ces histoires de marché, ça me tue. C'est tellement con que
je voudrais hurler. Ces conneries de "libre concurrence" et tout,
c'est totalement débile, ce sont des mots creux. La libre
concurrence ne mène qu'aux monopoles ou la loi de la jungle.
Pour la juguler, on est obligé d'inventer des arsenaux
invraisemblables de lois, d'autorité de surveillance des cartels, de
règles financières, on finit par avoir plus de bureaucratie que dans
une économie planifiée. QUe tous ces GROS CONS DE LIBÉRAUX ne le
voient pas me rend positivement dingue. Tu ne le vois pas, dis, tu
as de la merde dans les yeux ???
Si, je suis assez d'accord, le libéralisme est une forme de bureaucratie.
Cela dit, dans le cas de l'art, je préfère encore que ce soit le marché
qui produise indirectement une "sélection", d'une façon ou d'une autre,
plutôt qu'une instance élue ou nommée ou je sais pas quoi.
Si, je suis assez d'accord, le libéralisme est une forme de bureaucratie.
Cela dit, dans le cas de l'art, je préfère encore que ce soit le marché
qui produise indirectement une "sélection", d'une façon ou d'une autre,
plutôt qu'une instance élue ou nommée ou je sais pas quoi.
Si, je suis assez d'accord, le libéralisme est une forme de bureaucratie.
Cela dit, dans le cas de l'art, je préfère encore que ce soit le marché
qui produise indirectement une "sélection", d'une façon ou d'une autre,
plutôt qu'une instance élue ou nommée ou je sais pas quoi.
Le Fri, 17 Mar 2006 23:03:14 +0100, SL a écrit :
Si, je suis assez d'accord, le libéralisme est une forme de bureaucratie.
Cela dit, dans le cas de l'art, je préfère encore que ce soit le marché
qui produise indirectement une "sélection", d'une façon ou d'une autre,
plutôt qu'une instance élue ou nommée ou je sais pas quoi.
Si tu veux. Mais dans ce cas pourquoi se plaindre si le marché ne veut
pas acheter ce qu'on lui vend (des disques)? Soyons cohérents.
Le Fri, 17 Mar 2006 23:03:14 +0100, SL a écrit :
Si, je suis assez d'accord, le libéralisme est une forme de bureaucratie.
Cela dit, dans le cas de l'art, je préfère encore que ce soit le marché
qui produise indirectement une "sélection", d'une façon ou d'une autre,
plutôt qu'une instance élue ou nommée ou je sais pas quoi.
Si tu veux. Mais dans ce cas pourquoi se plaindre si le marché ne veut
pas acheter ce qu'on lui vend (des disques)? Soyons cohérents.
Le Fri, 17 Mar 2006 23:03:14 +0100, SL a écrit :
Si, je suis assez d'accord, le libéralisme est une forme de bureaucratie.
Cela dit, dans le cas de l'art, je préfère encore que ce soit le marché
qui produise indirectement une "sélection", d'une façon ou d'une autre,
plutôt qu'une instance élue ou nommée ou je sais pas quoi.
Si tu veux. Mais dans ce cas pourquoi se plaindre si le marché ne veut
pas acheter ce qu'on lui vend (des disques)? Soyons cohérents.
Le Fri, 17 Mar 2006 23:03:14 +0100, SL a écrit :Si, je suis assez d'accord, le libéralisme est une forme de
bureaucratie. Cela dit, dans le cas de l'art, je préfère encore
que ce soit le marché qui produise indirectement une "sélection",
d'une façon ou d'une autre, plutôt qu'une instance élue ou nommée
ou je sais pas quoi.
Si tu veux. Mais dans ce cas pourquoi se plaindre si le marché ne
veut pas acheter ce qu'on lui vend (des disques)? Soyons cohérents.
Le Fri, 17 Mar 2006 23:03:14 +0100, SL a écrit :
Si, je suis assez d'accord, le libéralisme est une forme de
bureaucratie. Cela dit, dans le cas de l'art, je préfère encore
que ce soit le marché qui produise indirectement une "sélection",
d'une façon ou d'une autre, plutôt qu'une instance élue ou nommée
ou je sais pas quoi.
Si tu veux. Mais dans ce cas pourquoi se plaindre si le marché ne
veut pas acheter ce qu'on lui vend (des disques)? Soyons cohérents.
Le Fri, 17 Mar 2006 23:03:14 +0100, SL a écrit :Si, je suis assez d'accord, le libéralisme est une forme de
bureaucratie. Cela dit, dans le cas de l'art, je préfère encore
que ce soit le marché qui produise indirectement une "sélection",
d'une façon ou d'une autre, plutôt qu'une instance élue ou nommée
ou je sais pas quoi.
Si tu veux. Mais dans ce cas pourquoi se plaindre si le marché ne
veut pas acheter ce qu'on lui vend (des disques)? Soyons cohérents.