l'année dernière, j'ai lancé ici (frp) un fil sur la calibration et les
sondes "matérielles"... J'ai dû reporter mon investissement à cet été,
j'envisage maintenant l'achat d'une spectrophotomètre EyeOne Photo, avec
un écran LaCie 19"... A l'époque Arnaud Frich m'avait dissuadé de la
solution "tout LaCie", et là, j'attend avec impatience son test du
matériel GretagMacBeth...
Côté impression, je compte acquérir une Epson 2100 pour les tirages
30x40 et panoramiques (21x60 et 30x100), mais j'espère aussi pouvoir
caractériser le frontier de mon photographe local (en faisant imprimer
la mire EyeOne en Direct Print) pour du 24x30...
La question que je me pose est la suivante, mais le titre vous a mis sur
la piste... :) Est-ce que l'on connait la durabilité des tirages faits
sur un frontier ? Il me semble que c'est un procédé mixte, peut-être
plus fiable dans le temps que du jet d'encre, même à pigment ? Je ne
connais que le site "indépendant" Wilhelm Ìmaging Research, qui ne parle
pas de la tireuse Fuji, et me parait de toute façon très (suspectement)
optimiste.
Le but, comme tout le monde ici j'imagine, c'est de pouvoir proposer des
tirages de qualité, garantis au moins 30 ans en exposition sous verre
(et plus en stockage "archival")...
Ma crainte en fait : qu'il n'existe pas vraiment de solution pérenne en
chaine numérique accessible... Et qu'il faille se rabattre sur des
tirages UltraStable Colour à 5000 balles... :)) Ou plus réalistement,
retourner aux chaudes et vaporeuses ambiances inactiniques... :)
Dans tout ce que je lis, cette question de la durabilité est rarement
évoquée, et lorsqu'on sort de ce qui a tout l'air d'un tabou, on tombe
le plus souvent dans le subjectif, voir l'auto-persuasion...
Note : je ne traine pas de souche d'arbre en guise de massue, je n'ai
pas la peau verte et vérolée, bref, je ne suis pas un troll... :)
Merci de vos avis, idées, opinions ! C'est un sujet qui devrait
intéresser tout le monde ?!
l'independance a un prix,la recherche a un prix plus important encore il faut le payer... donc WR est finance par des industriel des institutions, etc... en echange (? ou a la demande des contributeurs) une partie de l'info est diffusee GRATUITEMENT Je te rappelle qu'il y a aussi des chercheurs, qui bossent la dessus en France, que ce soit dans le publique (CNRS)
si je prends pour exemple l'INRA, que je connais mieux que le CNRS et qui me semble comparable, organisme de recherche public, j'en conlus que public n'est pas synonyme d'indépendance. cela fait belle lurette que l'INRA travaille sur commande, pour le privée. et dans ce cas, il est très probable que l'indépendance n'y est plus vraiment. je ne pense pas que le CNRS fonctionne différement
On ne peut absolument pas raisonner établissement par établissement, mais projet par projet. En effet chaque équipe s'occupe de son financement, et suivant les besoins aura ou pas des partenariats avec le privé ou pas.
FiLH
-- Le fondement du constat bougeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
fred bleu11 <fred.bleu11@laposte.net> wrote:
l'independance a un prix,la recherche a un prix plus important encore
il faut le payer... donc WR est finance par des industriel des
institutions, etc... en echange (? ou a la demande des contributeurs)
une partie de l'info est diffusee GRATUITEMENT
Je te rappelle qu'il y a aussi des chercheurs, qui bossent la dessus
en France, que ce soit dans le publique (CNRS)
si je prends pour exemple l'INRA, que je connais mieux que le CNRS et
qui me semble comparable, organisme de recherche public, j'en conlus
que public n'est pas synonyme d'indépendance.
cela fait belle lurette que l'INRA travaille sur commande, pour le privée.
et dans ce cas, il est très probable que l'indépendance n'y est plus
vraiment.
je ne pense pas que le CNRS fonctionne différement
On ne peut absolument pas raisonner établissement par établissement,
mais projet par projet. En effet chaque équipe s'occupe de son
financement, et suivant les besoins aura ou pas des partenariats avec le
privé ou pas.
FiLH
--
Le fondement du constat bougeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
l'independance a un prix,la recherche a un prix plus important encore il faut le payer... donc WR est finance par des industriel des institutions, etc... en echange (? ou a la demande des contributeurs) une partie de l'info est diffusee GRATUITEMENT Je te rappelle qu'il y a aussi des chercheurs, qui bossent la dessus en France, que ce soit dans le publique (CNRS)
si je prends pour exemple l'INRA, que je connais mieux que le CNRS et qui me semble comparable, organisme de recherche public, j'en conlus que public n'est pas synonyme d'indépendance. cela fait belle lurette que l'INRA travaille sur commande, pour le privée. et dans ce cas, il est très probable que l'indépendance n'y est plus vraiment. je ne pense pas que le CNRS fonctionne différement
On ne peut absolument pas raisonner établissement par établissement, mais projet par projet. En effet chaque équipe s'occupe de son financement, et suivant les besoins aura ou pas des partenariats avec le privé ou pas.
FiLH
-- Le fondement du constat bougeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
fred bleu11
On ne peut absolument pas raisonner établissement par établissement, mais projet par projet. En effet chaque équipe s'occupe de son financement, et suivant les besoins aura ou pas des partenariats avec le privé ou pas.
de toute manière, un organisme public qui ne travaille pas pour le privé n'est pas forcement indépendant dans ses communications: pouvoir politique, espérance de carrière d'un chef,....... il ya des tas d'exemples ou un organisme public a tromper les gens qu'il devait informer (voir canicule l'été dernier, explosion tchernobyl,...)
-- "http://motments.free.fr/"
On ne peut absolument pas raisonner établissement par établissement,
mais projet par projet. En effet chaque équipe s'occupe de son
financement, et suivant les besoins aura ou pas des partenariats avec le
privé ou pas.
de toute manière, un organisme public qui ne travaille pas pour le privé
n'est pas forcement indépendant dans ses communications: pouvoir
politique, espérance de carrière d'un chef,.......
il ya des tas d'exemples ou un organisme public a tromper les gens qu'il
devait informer (voir canicule l'été dernier, explosion tchernobyl,...)
On ne peut absolument pas raisonner établissement par établissement, mais projet par projet. En effet chaque équipe s'occupe de son financement, et suivant les besoins aura ou pas des partenariats avec le privé ou pas.
de toute manière, un organisme public qui ne travaille pas pour le privé n'est pas forcement indépendant dans ses communications: pouvoir politique, espérance de carrière d'un chef,....... il ya des tas d'exemples ou un organisme public a tromper les gens qu'il devait informer (voir canicule l'été dernier, explosion tchernobyl,...)
-- "http://motments.free.fr/"
François Jouve
fred bleu11 wrote:
On ne peut absolument pas raisonner établissement par établissement, mais projet par projet. En effet chaque équipe s'occupe de son financement, et suivant les besoins aura ou pas des partenariats avec le privé ou pas.
de toute manière, un organisme public qui ne travaille pas pour le privé n'est pas forcement indépendant dans ses communications: pouvoir politique, espérance de carrière d'un chef,.......
Impressionnant comme les gens peuvent parler de choses dont ils n'ont pas la moindre idée ! fredbleu, tu as tout pour devenir journaliste.
-- F.J.
fred bleu11 wrote:
On ne peut absolument pas raisonner établissement par établissement,
mais projet par projet. En effet chaque équipe s'occupe de son
financement, et suivant les besoins aura ou pas des partenariats avec le
privé ou pas.
de toute manière, un organisme public qui ne travaille pas pour le privé
n'est pas forcement indépendant dans ses communications: pouvoir
politique, espérance de carrière d'un chef,.......
Impressionnant comme les gens peuvent parler de choses
dont ils n'ont pas la moindre idée !
fredbleu, tu as tout pour devenir journaliste.
On ne peut absolument pas raisonner établissement par établissement, mais projet par projet. En effet chaque équipe s'occupe de son financement, et suivant les besoins aura ou pas des partenariats avec le privé ou pas.
de toute manière, un organisme public qui ne travaille pas pour le privé n'est pas forcement indépendant dans ses communications: pouvoir politique, espérance de carrière d'un chef,.......
Impressionnant comme les gens peuvent parler de choses dont ils n'ont pas la moindre idée ! fredbleu, tu as tout pour devenir journaliste.
-- F.J.
fred bleu11
Impressionnant comme les gens peuvent parler de choses dont ils n'ont pas la moindre idée ! fredbleu, tu as tout pour devenir journaliste.
mrd, qu'en savez vous à la fin ? -- "http://motments.free.fr/"
Impressionnant comme les gens peuvent parler de choses
dont ils n'ont pas la moindre idée !
fredbleu, tu as tout pour devenir journaliste.
mrd, qu'en savez vous à la fin ?
--
"http://motments.free.fr/"
Impressionnant comme les gens peuvent parler de choses dont ils n'ont pas la moindre idée ! fredbleu, tu as tout pour devenir journaliste.
mrd, qu'en savez vous à la fin ? -- "http://motments.free.fr/"
François Jouve
fred bleu11 wrote:
Impressionnant comme les gens peuvent parler de choses dont ils n'ont pas la moindre idée ! fredbleu, tu as tout pour devenir journaliste.
mrd, qu'en savez vous à la fin ?
Ce que vous racontez montre que vous ne connaissez pas grand chose au fonctionnement de la recherche publique en France. Ce n'est pas une tare, mais inutile dans ce cas d'en parler publiquement.
-- F.J.
fred bleu11 wrote:
Impressionnant comme les gens peuvent parler de choses
dont ils n'ont pas la moindre idée !
fredbleu, tu as tout pour devenir journaliste.
mrd, qu'en savez vous à la fin ?
Ce que vous racontez montre que vous ne connaissez pas grand chose
au fonctionnement de la recherche publique en France.
Ce n'est pas une tare, mais inutile dans ce cas d'en parler
publiquement.
Impressionnant comme les gens peuvent parler de choses dont ils n'ont pas la moindre idée ! fredbleu, tu as tout pour devenir journaliste.
mrd, qu'en savez vous à la fin ?
Ce que vous racontez montre que vous ne connaissez pas grand chose au fonctionnement de la recherche publique en France. Ce n'est pas une tare, mais inutile dans ce cas d'en parler publiquement.
-- F.J.
fred bleu11
fred bleu11 wrote:
Impressionnant comme les gens peuvent parler de choses dont ils n'ont pas la moindre idée ! fredbleu, tu as tout pour devenir journaliste.
mrd, qu'en savez vous à la fin ?
Ce que vous racontez montre que vous ne connaissez pas grand chose au fonctionnement de la recherche publique en France. Ce n'est pas une tare, mais inutile dans ce cas d'en parler publiquement.
j'ai fait 2 remarques :
1 sur l'INRA, ayant déjà travaillé à l'INRA 2 en tant que citoyen, et ayant été trompé, plusieurs fois, comme d'autres par la communication de certains organismes publics.
dans tout les cas, vous m'attaquez sans aucun argument et avec tort. donc reflechissez, avant d'écrire -- "http://motments.free.fr/"
fred bleu11 wrote:
Impressionnant comme les gens peuvent parler de choses
dont ils n'ont pas la moindre idée !
fredbleu, tu as tout pour devenir journaliste.
mrd, qu'en savez vous à la fin ?
Ce que vous racontez montre que vous ne connaissez pas grand chose
au fonctionnement de la recherche publique en France.
Ce n'est pas une tare, mais inutile dans ce cas d'en parler
publiquement.
j'ai fait 2 remarques :
1 sur l'INRA, ayant déjà travaillé à l'INRA
2 en tant que citoyen, et ayant été trompé, plusieurs fois, comme
d'autres par la communication de certains organismes publics.
dans tout les cas, vous m'attaquez sans aucun argument et avec tort.
donc reflechissez, avant d'écrire
--
"http://motments.free.fr/"
Impressionnant comme les gens peuvent parler de choses dont ils n'ont pas la moindre idée ! fredbleu, tu as tout pour devenir journaliste.
mrd, qu'en savez vous à la fin ?
Ce que vous racontez montre que vous ne connaissez pas grand chose au fonctionnement de la recherche publique en France. Ce n'est pas une tare, mais inutile dans ce cas d'en parler publiquement.
j'ai fait 2 remarques :
1 sur l'INRA, ayant déjà travaillé à l'INRA 2 en tant que citoyen, et ayant été trompé, plusieurs fois, comme d'autres par la communication de certains organismes publics.
dans tout les cas, vous m'attaquez sans aucun argument et avec tort. donc reflechissez, avant d'écrire -- "http://motments.free.fr/"
François Jouve
fred bleu11 wrote:
j'ai fait 2 remarques : 1 sur l'INRA, ayant déjà travaillé à l'INRA 2 en tant que citoyen, et ayant été trompé, plusieurs fois, comme d'autres par la communication de certains organismes publics.
dans tout les cas, vous m'attaquez sans aucun argument et avec tort.
En gros vous soupçonnez les scientifiques de tel ou tel organisme de bidonner des résultats pour obtenir des contrats privés. Sans faire d'angélisme sur la communauté scientifique, qui compte autant de gredins que le reste de la société, il est peu probable que cela se passe de cette façon car le discrédit scientifique qui en découlerait pour le chercheur véreux serait beaucoup plus domageable à sa carrière que les faibles avantages qu'il pourrait en tirer (qui ne vont pas dans sa poche en général).
Mais si vous avez des exemples précis à me soumettre, je suis tout ouie.
donc reflechissez, avant d'écrire
J'essaye, j'essaye :)
-- F.J.
fred bleu11 wrote:
j'ai fait 2 remarques :
1 sur l'INRA, ayant déjà travaillé à l'INRA
2 en tant que citoyen, et ayant été trompé, plusieurs fois, comme
d'autres par la communication de certains organismes publics.
dans tout les cas, vous m'attaquez sans aucun argument et avec tort.
En gros vous soupçonnez les scientifiques de tel ou tel organisme
de bidonner des résultats pour obtenir des contrats privés.
Sans faire d'angélisme sur la communauté scientifique, qui compte
autant de gredins que le reste de la société, il est peu probable que cela
se passe de cette façon car le discrédit scientifique qui en découlerait
pour le chercheur véreux serait beaucoup plus domageable à sa carrière que
les faibles avantages qu'il pourrait en tirer (qui ne vont pas dans sa poche
en général).
Mais si vous avez des exemples précis à me soumettre, je suis tout ouie.
j'ai fait 2 remarques : 1 sur l'INRA, ayant déjà travaillé à l'INRA 2 en tant que citoyen, et ayant été trompé, plusieurs fois, comme d'autres par la communication de certains organismes publics.
dans tout les cas, vous m'attaquez sans aucun argument et avec tort.
En gros vous soupçonnez les scientifiques de tel ou tel organisme de bidonner des résultats pour obtenir des contrats privés. Sans faire d'angélisme sur la communauté scientifique, qui compte autant de gredins que le reste de la société, il est peu probable que cela se passe de cette façon car le discrédit scientifique qui en découlerait pour le chercheur véreux serait beaucoup plus domageable à sa carrière que les faibles avantages qu'il pourrait en tirer (qui ne vont pas dans sa poche en général).
Mais si vous avez des exemples précis à me soumettre, je suis tout ouie.
donc reflechissez, avant d'écrire
J'essaye, j'essaye :)
-- F.J.
fred bleu11
En gros vous soupçonnez les scientifiques de tel ou tel organisme de bidonner des résultats pour obtenir des contrats privés.
vous avez la main lourde. j'ai simplement dit que l'INRA, organisme de recherche public, travaillait pour le privée (en tout cas ce que j'ai vécu d'équipe de recherche. ce n'est donc pas différent, sur ce point, avec un organisme de test et de recherche tel que le Wilhem
Sans faire d'angélisme sur la communauté scientifique, qui compte autant de gredins que le reste de la société, il est peu probable que cela se passe de cette façon car le discrédit scientifique qui en découlerait pour le chercheur véreux
vous m'excuserez de vous rappeler que dans bien des cas, l'auréole qu'on attribuait aux chercheur n'est plus. la faute à certains, le dommage pour tous
serait beaucoup plus domageable à sa carrière que
les faibles avantages qu'il pourrait en tirer (qui ne vont pas dans sa poche en général).
Mais si vous avez des exemples précis à me soumettre, je suis tout ouie.
ben le nuage de tchernobyl, l'autorisation de certains insecticides, l'inocuité des graines transgéniques..... c'est souvent un scientifique qui passe à la télé, pour dire que tout va bien, ya pas de risque...
-- "http://motments.free.fr/"
En gros vous soupçonnez les scientifiques de tel ou tel organisme
de bidonner des résultats pour obtenir des contrats privés.
vous avez la main lourde.
j'ai simplement dit que l'INRA, organisme de recherche public,
travaillait pour le privée (en tout cas ce que j'ai vécu d'équipe de
recherche.
ce n'est donc pas différent, sur ce point, avec un organisme de test et
de recherche tel que le Wilhem
Sans faire d'angélisme sur la communauté scientifique, qui compte
autant de gredins que le reste de la société, il est peu probable que cela
se passe de cette façon car le discrédit scientifique qui en découlerait
pour le chercheur véreux
vous m'excuserez de vous rappeler que dans bien des cas, l'auréole qu'on
attribuait aux chercheur n'est plus.
la faute à certains, le dommage pour tous
serait beaucoup plus domageable à sa carrière que
les faibles avantages qu'il pourrait en tirer (qui ne vont pas dans sa
poche
en général).
Mais si vous avez des exemples précis à me soumettre, je suis tout ouie.
ben le nuage de tchernobyl, l'autorisation de certains insecticides,
l'inocuité des graines transgéniques.....
c'est souvent un scientifique qui passe à la télé, pour dire que tout va
bien, ya pas de risque...
En gros vous soupçonnez les scientifiques de tel ou tel organisme de bidonner des résultats pour obtenir des contrats privés.
vous avez la main lourde. j'ai simplement dit que l'INRA, organisme de recherche public, travaillait pour le privée (en tout cas ce que j'ai vécu d'équipe de recherche. ce n'est donc pas différent, sur ce point, avec un organisme de test et de recherche tel que le Wilhem
Sans faire d'angélisme sur la communauté scientifique, qui compte autant de gredins que le reste de la société, il est peu probable que cela se passe de cette façon car le discrédit scientifique qui en découlerait pour le chercheur véreux
vous m'excuserez de vous rappeler que dans bien des cas, l'auréole qu'on attribuait aux chercheur n'est plus. la faute à certains, le dommage pour tous
serait beaucoup plus domageable à sa carrière que
les faibles avantages qu'il pourrait en tirer (qui ne vont pas dans sa poche en général).
Mais si vous avez des exemples précis à me soumettre, je suis tout ouie.
ben le nuage de tchernobyl, l'autorisation de certains insecticides, l'inocuité des graines transgéniques..... c'est souvent un scientifique qui passe à la télé, pour dire que tout va bien, ya pas de risque...
-- "http://motments.free.fr/"
François Jouve
fred bleu11 wrote:
En gros vous soupçonnez les scientifiques de tel ou tel organisme de bidonner des résultats pour obtenir des contrats privés.
vous avez la main lourde. j'ai simplement dit que l'INRA, organisme de recherche public, travaillait pour le privée (en tout cas ce que j'ai vécu d'équipe de recherche. ce n'est donc pas différent, sur ce point, avec un organisme de test et de recherche tel que le Wilhem
Disons que travailler pour le privé ne suppose pas d'être inféodé aux intérêts privés.
Sans faire d'angélisme sur la communauté scientifique, qui compte autant de gredins que le reste de la société, il est peu probable que cela se passe de cette façon car le discrédit scientifique qui en découlerait pour le chercheur véreux
vous m'excuserez de vous rappeler que dans bien des cas, l'auréole qu'on attribuait aux chercheur n'est plus. la faute à certains, le dommage pour tous
C'est exact (grand sujet de débat d'ailleur dans les états généraux de la recherche qui ont lieu en ce moment à la suite du mouvement de cet hiver). Mais je ne parlais pas de l'image du chercheur dans le grand public, mais plutôt auprès de ses pairs qui conditionnent sa carrière.
serait beaucoup plus domageable à sa carrière que
les faibles avantages qu'il pourrait en tirer (qui ne vont pas dans sa poche en général).
Mais si vous avez des exemples précis à me soumettre, je suis tout ouie.
ben le nuage de tchernobyl,
Bon exemple, mais il ne s'agissait pas d'un scientifique disant après mure reflection "j'ai fait une étude prouvant que le nuage..." mais d'un responsable de l'agence de sécurité nucléaire (ou un truc de ce genre) réagissant à chaud. Une sorte de politique donc, ou un homme de paille faisant le sale boulot.
l'autorisation de certains insecticides,
Gaucho ? Dans ce cas c'est plutôt l'action des scientifiques qui a mené à l'interdiction.
l'inocuité des graines transgéniques.....
Ca c'est plus compliqué. L'inocuité n'est pas prouvée, pas plus qu'une quelconque dangerosité. Cela nécessite donc des recherches supplémentaires et indépendantes (donc venant d'organismes publics), ce que ne veulent ni les lobbys privés ni les intégristes anti-OGM. Quant aux decisions, elles sont prises par des politiques ou des technocrates qui n'ont qu'une culture scientifique succinte et entendent mieux les appels de lobbys que les conclusions complexes des études scientifiques sérieuses.
c'est souvent un scientifique qui passe à la télé, pour dire que tout va bien, ya pas de risque...
Ou pour dire qu'on va droit à la catastrophe si on continue de rejeter autant de gaz carbonique dans l'atmosphère.
-- F.J.
fred bleu11 wrote:
En gros vous soupçonnez les scientifiques de tel ou tel organisme
de bidonner des résultats pour obtenir des contrats privés.
vous avez la main lourde.
j'ai simplement dit que l'INRA, organisme de recherche public,
travaillait pour le privée (en tout cas ce que j'ai vécu d'équipe de
recherche.
ce n'est donc pas différent, sur ce point, avec un organisme de test et
de recherche tel que le Wilhem
Disons que travailler pour le privé ne suppose pas d'être inféodé
aux intérêts privés.
Sans faire d'angélisme sur la communauté scientifique, qui compte
autant de gredins que le reste de la société, il est peu probable que
cela
se passe de cette façon car le discrédit scientifique qui en découlerait
pour le chercheur véreux
vous m'excuserez de vous rappeler que dans bien des cas, l'auréole qu'on
attribuait aux chercheur n'est plus.
la faute à certains, le dommage pour tous
C'est exact (grand sujet de débat d'ailleur dans les états généraux de la
recherche qui ont lieu en ce moment à la suite du mouvement de cet hiver).
Mais je ne parlais pas de l'image du chercheur dans le grand public, mais
plutôt auprès de ses pairs qui conditionnent sa carrière.
serait beaucoup plus domageable à sa carrière que
les faibles avantages qu'il pourrait en tirer (qui ne vont pas dans sa
poche
en général).
Mais si vous avez des exemples précis à me soumettre, je suis tout ouie.
ben le nuage de tchernobyl,
Bon exemple, mais il ne s'agissait pas d'un scientifique disant après mure
reflection "j'ai fait une étude prouvant que le nuage..." mais d'un responsable
de l'agence de sécurité nucléaire (ou un truc de ce genre) réagissant à chaud.
Une sorte de politique donc, ou un homme de paille faisant le sale boulot.
l'autorisation de certains insecticides,
Gaucho ? Dans ce cas c'est plutôt l'action des scientifiques qui a mené à
l'interdiction.
l'inocuité des graines transgéniques.....
Ca c'est plus compliqué. L'inocuité n'est pas prouvée, pas plus qu'une
quelconque dangerosité. Cela nécessite donc des recherches supplémentaires
et indépendantes (donc venant d'organismes publics), ce que ne veulent ni
les lobbys privés ni les intégristes anti-OGM.
Quant aux decisions, elles sont prises par des politiques ou des technocrates
qui n'ont qu'une culture scientifique succinte et entendent mieux les
appels de lobbys que les conclusions complexes des études scientifiques
sérieuses.
c'est souvent un scientifique qui passe à la télé, pour dire que tout va
bien, ya pas de risque...
Ou pour dire qu'on va droit à la catastrophe si on continue de rejeter
autant de gaz carbonique dans l'atmosphère.
En gros vous soupçonnez les scientifiques de tel ou tel organisme de bidonner des résultats pour obtenir des contrats privés.
vous avez la main lourde. j'ai simplement dit que l'INRA, organisme de recherche public, travaillait pour le privée (en tout cas ce que j'ai vécu d'équipe de recherche. ce n'est donc pas différent, sur ce point, avec un organisme de test et de recherche tel que le Wilhem
Disons que travailler pour le privé ne suppose pas d'être inféodé aux intérêts privés.
Sans faire d'angélisme sur la communauté scientifique, qui compte autant de gredins que le reste de la société, il est peu probable que cela se passe de cette façon car le discrédit scientifique qui en découlerait pour le chercheur véreux
vous m'excuserez de vous rappeler que dans bien des cas, l'auréole qu'on attribuait aux chercheur n'est plus. la faute à certains, le dommage pour tous
C'est exact (grand sujet de débat d'ailleur dans les états généraux de la recherche qui ont lieu en ce moment à la suite du mouvement de cet hiver). Mais je ne parlais pas de l'image du chercheur dans le grand public, mais plutôt auprès de ses pairs qui conditionnent sa carrière.
serait beaucoup plus domageable à sa carrière que
les faibles avantages qu'il pourrait en tirer (qui ne vont pas dans sa poche en général).
Mais si vous avez des exemples précis à me soumettre, je suis tout ouie.
ben le nuage de tchernobyl,
Bon exemple, mais il ne s'agissait pas d'un scientifique disant après mure reflection "j'ai fait une étude prouvant que le nuage..." mais d'un responsable de l'agence de sécurité nucléaire (ou un truc de ce genre) réagissant à chaud. Une sorte de politique donc, ou un homme de paille faisant le sale boulot.
l'autorisation de certains insecticides,
Gaucho ? Dans ce cas c'est plutôt l'action des scientifiques qui a mené à l'interdiction.
l'inocuité des graines transgéniques.....
Ca c'est plus compliqué. L'inocuité n'est pas prouvée, pas plus qu'une quelconque dangerosité. Cela nécessite donc des recherches supplémentaires et indépendantes (donc venant d'organismes publics), ce que ne veulent ni les lobbys privés ni les intégristes anti-OGM. Quant aux decisions, elles sont prises par des politiques ou des technocrates qui n'ont qu'une culture scientifique succinte et entendent mieux les appels de lobbys que les conclusions complexes des études scientifiques sérieuses.
c'est souvent un scientifique qui passe à la télé, pour dire que tout va bien, ya pas de risque...
Ou pour dire qu'on va droit à la catastrophe si on continue de rejeter autant de gaz carbonique dans l'atmosphère.
-- F.J.
Pierre Pallier
Hello, François Jouve a écrit dans <news:40ca20cc$0$31595$
Bon exemple, mais il ne s'agissait pas d'un scientifique disant après mure reflection "j'ai fait une étude prouvant que le nuage..." mais d'un responsable de l'agence de sécurité nucléaire (ou un truc de ce genre) réagissant à chaud. Une sorte de politique donc, ou un homme de paille faisant le sale boulot.
De mémoire, c'était le Professeur Pellerin, directeur à l'époque du SCPRI Service Central de Protection contre les Rayonnements Ionisants, normalement (maintenant ça se nomme OPRI). C'était pourtant un sacré coupeur de Césium 137 en quatre, cet homme. Il suffisait d'une rature dans un rapport renvoyé au SCPRI par les services de surveillance d'environnement pour que le rapport soit retourné, avec une lettre peu aimable au chef de service. Il a donc, à mon avis, dit ce qu'on lui avait demandé de dire. -- Pierre. Mes photographies : <URL:http://perso.wanadoo.fr/pierre.pallier> La FAQ de frp : <URL:http://frp.parisv.com> Les news avec 40tude Dialog : http://perso.wanadoo.fr/pierre.pallier/Dialog
Hello, François Jouve a écrit dans
<news:40ca20cc$0$31595$79c14f64@nan-newsreader-05.noos.net>
Bon exemple, mais il ne s'agissait pas d'un scientifique disant après mure
reflection "j'ai fait une étude prouvant que le nuage..." mais d'un responsable
de l'agence de sécurité nucléaire (ou un truc de ce genre) réagissant à chaud.
Une sorte de politique donc, ou un homme de paille faisant le sale boulot.
De mémoire, c'était le Professeur Pellerin, directeur à l'époque du SCPRI
Service Central de Protection contre les Rayonnements Ionisants, normalement
(maintenant ça se nomme OPRI).
C'était pourtant un sacré coupeur de Césium 137 en quatre, cet homme.
Il suffisait d'une rature dans un rapport renvoyé au SCPRI par les services
de surveillance d'environnement pour que le rapport soit retourné, avec une
lettre peu aimable au chef de service.
Il a donc, à mon avis, dit ce qu'on lui avait demandé de dire.
--
Pierre.
Mes photographies : <URL:http://perso.wanadoo.fr/pierre.pallier>
La FAQ de frp : <URL:http://frp.parisv.com>
Les news avec 40tude Dialog : http://perso.wanadoo.fr/pierre.pallier/Dialog
Hello, François Jouve a écrit dans <news:40ca20cc$0$31595$
Bon exemple, mais il ne s'agissait pas d'un scientifique disant après mure reflection "j'ai fait une étude prouvant que le nuage..." mais d'un responsable de l'agence de sécurité nucléaire (ou un truc de ce genre) réagissant à chaud. Une sorte de politique donc, ou un homme de paille faisant le sale boulot.
De mémoire, c'était le Professeur Pellerin, directeur à l'époque du SCPRI Service Central de Protection contre les Rayonnements Ionisants, normalement (maintenant ça se nomme OPRI). C'était pourtant un sacré coupeur de Césium 137 en quatre, cet homme. Il suffisait d'une rature dans un rapport renvoyé au SCPRI par les services de surveillance d'environnement pour que le rapport soit retourné, avec une lettre peu aimable au chef de service. Il a donc, à mon avis, dit ce qu'on lui avait demandé de dire. -- Pierre. Mes photographies : <URL:http://perso.wanadoo.fr/pierre.pallier> La FAQ de frp : <URL:http://frp.parisv.com> Les news avec 40tude Dialog : http://perso.wanadoo.fr/pierre.pallier/Dialog