je sais que le sujet a déjà été abordé récemment, mais j'ai
vu ces jours-ci des articles donnant les meilleures
appareils argentiques pour 150 000 déclanchements.
Cette valeur est très élevée pour un amateur en argentique
(environ 5000 pellicules), mais quand on passe en numérique...
Dave nous disait avoir fait 1000 photos en un mois, au moins
dans les débuts, quand l'appareil est tout nouveau, ça ne
m'étonne pas.
mais du coup, le chiffre ci-dessus ne donne plus que 150 mois.
sur, ca fait quand même 15 ans, mais il s'agit de MTBF, et
du meilleur.
Y a-t-il des gens, ici, qui aient dépassé les 20-30 000
images en numérique (sans ennuis)?
merci
jdd
NB:
MTBF en anglais: Mean Time Before Failure (Temps moyen avant
la panne)
TMBF en français: Temps Moyen de Bon Fonctionnement
cherchez l'erreur :-)
--
pour m'écrire, aller sur:
http://www.dodin.net
http://valerie.dodin.net
http://arvamip.free.fr
On Wed, 26 Oct 2005 20:17:46 +0200, Pierre Pallier wrote:
quel utilité de mettre un obturateur pour exploiter un capteur ccd ?
Tout bêtement pour éviter le smearing... Parce qu'un capteur, c'est un peu neuneu, ça intègre la lumière même quand la pose est finie :) Donc, pendant les transfers, ça baaaaaaave... D'où l'utilité d'un obtu en numérique.
bizare, je pensais que c'etait comme en video, sur nos cam pros lorsque l'on met du shutter en fait on expose moins mais sans l'aide d'un obturateur, c'est un simpletransfert de charge qui se fait dans le capteur vers le buffer(juste avant le transfert serie) qui determine la fin d'exposition. Je pensais que c'etait ce type de chois qui etait fait.
Merci. ---
moto photo electro http://olivier.2a.free.fr
On Wed, 26 Oct 2005 20:17:46 +0200, Pierre Pallier
<mon_reply_to@nest-pas.invalid> wrote:
quel utilité de mettre un obturateur pour exploiter un capteur ccd ?
Tout bêtement pour éviter le smearing...
Parce qu'un capteur, c'est un peu neuneu, ça intègre la lumière même quand
la pose est finie :) Donc, pendant les transfers, ça baaaaaaave...
D'où l'utilité d'un obtu en numérique.
bizare, je pensais que c'etait comme en video, sur nos cam pros
lorsque l'on met du shutter en fait on expose moins mais sans l'aide
d'un obturateur, c'est un simpletransfert de charge qui se fait dans
le capteur vers le buffer(juste avant le transfert serie) qui
determine la fin d'exposition. Je pensais que c'etait ce type de chois
qui etait fait.
On Wed, 26 Oct 2005 20:17:46 +0200, Pierre Pallier wrote:
quel utilité de mettre un obturateur pour exploiter un capteur ccd ?
Tout bêtement pour éviter le smearing... Parce qu'un capteur, c'est un peu neuneu, ça intègre la lumière même quand la pose est finie :) Donc, pendant les transfers, ça baaaaaaave... D'où l'utilité d'un obtu en numérique.
bizare, je pensais que c'etait comme en video, sur nos cam pros lorsque l'on met du shutter en fait on expose moins mais sans l'aide d'un obturateur, c'est un simpletransfert de charge qui se fait dans le capteur vers le buffer(juste avant le transfert serie) qui determine la fin d'exposition. Je pensais que c'etait ce type de chois qui etait fait.
Merci. ---
moto photo electro http://olivier.2a.free.fr
Denis Vanneste
quand un élément technique important change, il est normal que le comportement change...
Ce qui me paraît normal, c'est que chacun décide de changer son comportement ou de ne pas le changer. Ce que le numérique m'a permis de changer, c'est le traitement de mes photos : maintenant, je les retouche et je les tire moi-même. Ce n'est pas à mes yeux un changement de comportement, mais une activité supplémentaire à laquelle je rêvais de m'adonner depuis longtemps. La fréquence de mes prises de vues, quant à elle, change quand cela m'est nécessaire, c'est tout, et ce n'est pas lié à l'appareil que j'ai en mains.
Ca a été le cas quand on est passé de la pose à l'instantané, du grand format au 35mm, puis au réflexe, maintenant à l'argentique.
les bases sont les mêmes, mais les possibilités évoluent...
Bien sûr. Mais si telle possibilité offerte par mon matériel ne m'est pas utile, je ne vois pas pourquoi je devrais m'obliger à m'en servir. La plupart du temps, je ne ressens absolument pas le besoin de mitrailler. Il y a même des jours, ô hérésie suprême, où je ne ressens pas le besoin de faire des photos.
-- Denis Vanneste
quand un élément technique important change, il est normal
que le comportement change...
Ce qui me paraît normal, c'est que chacun décide de changer son
comportement ou de ne pas le changer. Ce que le numérique m'a permis de
changer, c'est le traitement de mes photos : maintenant, je les
retouche et je les tire moi-même. Ce n'est pas à mes yeux un changement
de comportement, mais une activité supplémentaire à laquelle je rêvais
de m'adonner depuis longtemps. La fréquence de mes prises de vues,
quant à elle, change quand cela m'est nécessaire, c'est tout, et ce
n'est pas lié à l'appareil que j'ai en mains.
Ca a été le cas quand on est passé de la pose à
l'instantané, du grand format au 35mm, puis au réflexe,
maintenant à l'argentique.
les bases sont les mêmes, mais les possibilités évoluent...
Bien sûr. Mais si telle possibilité offerte par mon matériel ne m'est
pas utile, je ne vois pas pourquoi je devrais m'obliger à m'en servir.
La plupart du temps, je ne ressens absolument pas le besoin de
mitrailler. Il y a même des jours, ô hérésie suprême, où je ne ressens
pas le besoin de faire des photos.
quand un élément technique important change, il est normal que le comportement change...
Ce qui me paraît normal, c'est que chacun décide de changer son comportement ou de ne pas le changer. Ce que le numérique m'a permis de changer, c'est le traitement de mes photos : maintenant, je les retouche et je les tire moi-même. Ce n'est pas à mes yeux un changement de comportement, mais une activité supplémentaire à laquelle je rêvais de m'adonner depuis longtemps. La fréquence de mes prises de vues, quant à elle, change quand cela m'est nécessaire, c'est tout, et ce n'est pas lié à l'appareil que j'ai en mains.
Ca a été le cas quand on est passé de la pose à l'instantané, du grand format au 35mm, puis au réflexe, maintenant à l'argentique.
les bases sont les mêmes, mais les possibilités évoluent...
Bien sûr. Mais si telle possibilité offerte par mon matériel ne m'est pas utile, je ne vois pas pourquoi je devrais m'obliger à m'en servir. La plupart du temps, je ne ressens absolument pas le besoin de mitrailler. Il y a même des jours, ô hérésie suprême, où je ne ressens pas le besoin de faire des photos.
-- Denis Vanneste
jean-daniel dodin
Denis Vanneste wrote:
Bien sûr. Mais si telle possibilité offerte par mon matériel ne m'est pas utile,
qui sait de quoi demain sera fait. J'ai bien entendu des gens dire que la couleur n'était pas utile aux photos...
jdd -- pour m'écrire, aller sur: http://www.dodin.net
Denis Vanneste wrote:
Bien sûr. Mais si telle possibilité offerte par mon matériel ne m'est
pas utile,
qui sait de quoi demain sera fait. J'ai bien entendu des
gens dire que la couleur n'était pas utile aux photos...
jdd
--
pour m'écrire, aller sur:
http://www.dodin.net
Bien sûr. Mais si telle possibilité offerte par mon matériel ne m'est pas utile,
qui sait de quoi demain sera fait. J'ai bien entendu des gens dire que la couleur n'était pas utile aux photos...
jdd -- pour m'écrire, aller sur: http://www.dodin.net
Denis Vanneste
Denis Vanneste wrote:
Bien sûr. Mais si telle possibilité offerte par mon matériel ne m'est pas utile,
qui sait de quoi demain sera fait. J'ai bien entendu des gens dire que la couleur n'était pas utile aux photos...
C'est bien ce que je disais : si j'ai besoin de mitrailler, je mitraille (ça m'est arrivé deux ou trois fois, pour des besoins bien précis). Mais je ne vais pas mitrailler systématiquement parce que d'autres ont décidé que numérique est synonyme de jetable. De toute façon, je ne jette *rien*. Même pas quand je mitraille, d'autant que quand je le fais, c'est l'accumulation qui m'intéresse.
-- Denis Vanneste
Denis Vanneste wrote:
Bien sûr. Mais si telle possibilité offerte par mon matériel ne
m'est pas utile,
qui sait de quoi demain sera fait. J'ai bien entendu des
gens dire que la couleur n'était pas utile aux photos...
C'est bien ce que je disais : si j'ai besoin de mitrailler, je
mitraille (ça m'est arrivé deux ou trois fois, pour des besoins bien
précis). Mais je ne vais pas mitrailler systématiquement parce que
d'autres ont décidé que numérique est synonyme de jetable. De toute
façon, je ne jette *rien*. Même pas quand je mitraille, d'autant que
quand je le fais, c'est l'accumulation qui m'intéresse.
Bien sûr. Mais si telle possibilité offerte par mon matériel ne m'est pas utile,
qui sait de quoi demain sera fait. J'ai bien entendu des gens dire que la couleur n'était pas utile aux photos...
C'est bien ce que je disais : si j'ai besoin de mitrailler, je mitraille (ça m'est arrivé deux ou trois fois, pour des besoins bien précis). Mais je ne vais pas mitrailler systématiquement parce que d'autres ont décidé que numérique est synonyme de jetable. De toute façon, je ne jette *rien*. Même pas quand je mitraille, d'autant que quand je le fais, c'est l'accumulation qui m'intéresse.
-- Denis Vanneste
Alf92
Denis Vanneste a dit ça :
(...) De toute façon, je ne jette *rien*. Même pas quand je mitraille, d'autant que quand je le fais, c'est l'accumulation qui m'intéresse.
trop d'information tue l'information. ta démarche dévalorise le meilleur de ton travail. comment fais tu pour t'y retrouver ?
-- Cordialement, Alf92 http://frpn.online.fr
Denis Vanneste a dit ça :
(...) De toute
façon, je ne jette *rien*. Même pas quand je mitraille, d'autant que
quand je le fais, c'est l'accumulation qui m'intéresse.
trop d'information tue l'information.
ta démarche dévalorise le meilleur de ton travail.
comment fais tu pour t'y retrouver ?
(...) De toute façon, je ne jette *rien*. Même pas quand je mitraille, d'autant que quand je le fais, c'est l'accumulation qui m'intéresse.
trop d'information tue l'information. ta démarche dévalorise le meilleur de ton travail. comment fais tu pour t'y retrouver ?
-- Cordialement, Alf92 http://frpn.online.fr
Denis Vanneste
trop d'information tue l'information.
De quelle information parles-tu ? Je ne suis pas reporter.
ta démarche dévalorise le meilleur de ton travail.
Je ne vois vraiment pas ce qu'il y a de dévalorisant à conserver toutes les photos qu'on a faites : ne rien jeter, ça ne signifie pas tout montrer, hein. Par contre, le meilleur de mon travail, c'est peut-être en bidouillant de vieilles images délaissées que je l'obtiendrai, va savoir.
comment fais tu pour t'y retrouver ?
Comme tout le monde, je pense. Entre celui qui fait 1000 photos et qui en jette 900, et celui qui en fait 100 mais n'en jette aucune, quelque chose me dit que le problème du classement se pose exactement de la même manière.
-- Denis Vanneste
trop d'information tue l'information.
De quelle information parles-tu ? Je ne suis pas reporter.
ta démarche dévalorise le meilleur de ton travail.
Je ne vois vraiment pas ce qu'il y a de dévalorisant à conserver toutes
les photos qu'on a faites : ne rien jeter, ça ne signifie pas tout
montrer, hein. Par contre, le meilleur de mon travail, c'est peut-être
en bidouillant de vieilles images délaissées que je l'obtiendrai, va
savoir.
comment fais tu pour t'y retrouver ?
Comme tout le monde, je pense. Entre celui qui fait 1000 photos et qui
en jette 900, et celui qui en fait 100 mais n'en jette aucune, quelque
chose me dit que le problème du classement se pose exactement de la
même manière.
De quelle information parles-tu ? Je ne suis pas reporter.
ta démarche dévalorise le meilleur de ton travail.
Je ne vois vraiment pas ce qu'il y a de dévalorisant à conserver toutes les photos qu'on a faites : ne rien jeter, ça ne signifie pas tout montrer, hein. Par contre, le meilleur de mon travail, c'est peut-être en bidouillant de vieilles images délaissées que je l'obtiendrai, va savoir.
comment fais tu pour t'y retrouver ?
Comme tout le monde, je pense. Entre celui qui fait 1000 photos et qui en jette 900, et celui qui en fait 100 mais n'en jette aucune, quelque chose me dit que le problème du classement se pose exactement de la même manière.
-- Denis Vanneste
jean-daniel dodin
Alf92 wrote:
Denis Vanneste a dit ça :
(...) De toute façon, je ne jette *rien*. Même pas quand je mitraille, d'autant que quand je le fais, c'est l'accumulation qui m'intéresse.
trop d'information tue l'information. ta démarche dévalorise le meilleur de ton travail. comment fais tu pour t'y retrouver ?
si je lis bien ce qu'il a écrit et que tu cite, "c'est
l'accumulation qui l'intéresse", il fait des "séries"...
jdd
-- pour m'écrire, aller sur: http://www.dodin.net
Alf92 wrote:
Denis Vanneste a dit ça :
(...) De toute
façon, je ne jette *rien*. Même pas quand je mitraille, d'autant que
quand je le fais, c'est l'accumulation qui m'intéresse.
trop d'information tue l'information.
ta démarche dévalorise le meilleur de ton travail.
comment fais tu pour t'y retrouver ?
si je lis bien ce qu'il a écrit et que tu cite, "c'est
l'accumulation qui l'intéresse", il fait des "séries"...
(...) De toute façon, je ne jette *rien*. Même pas quand je mitraille, d'autant que quand je le fais, c'est l'accumulation qui m'intéresse.
trop d'information tue l'information. ta démarche dévalorise le meilleur de ton travail. comment fais tu pour t'y retrouver ?
si je lis bien ce qu'il a écrit et que tu cite, "c'est
l'accumulation qui l'intéresse", il fait des "séries"...
jdd
-- pour m'écrire, aller sur: http://www.dodin.net
Alf92
Denis Vanneste a dit ça :
trop d'information tue l'information.
De quelle information parles-tu ? Je ne suis pas reporter.
tes photos n'ont de valeur que par ce qu'elles représentent ; le papier, le film ou les fichiers n'ont pas de valeur en soit. c'est l'information contenus dans l'image qui a de la valeur.
l'expression "trop d'information tue l'information" signifie qu'une information, quelqu'elle soit, n'est perceptible que si elle n'est pas noyée dans la surabondance d'informations.
ta démarche dévalorise le meilleur de ton travail.
Je ne vois vraiment pas ce qu'il y a de dévalorisant à conserver toutes les photos qu'on a faites
je n'ai pas dis ça. ce n'est pas dévalorisant en soit. c'est dévalorisant pour la part la meilleure de ton travail. cette part devenant moins accessible du fait du volume.
: ne rien jeter, ça ne signifie pas tout montrer, hein.
heureusement ! :)
Par contre, le meilleur de mon travail, c'est peut-être en bidouillant de vieilles images délaissées que je l'obtiendrai, va savoir.
pourquoi pas.
comment fais tu pour t'y retrouver ?
Comme tout le monde, je pense. Entre celui qui fait 1000 photos et qui en jette 900, et celui qui en fait 100 mais n'en jette aucune, quelque chose me dit que le problème du classement se pose exactement de la même manière.
biensur. mais celui qui en fait 100 et en jette 90 ? il n'aura plus la même problématique en matière de classement. :)
-- Cordialement, Alf92 http://frpn.online.fr
Denis Vanneste a dit ça :
trop d'information tue l'information.
De quelle information parles-tu ? Je ne suis pas reporter.
tes photos n'ont de valeur que par ce qu'elles représentent ; le papier, le
film ou les fichiers n'ont pas de valeur en soit.
c'est l'information contenus dans l'image qui a de la valeur.
l'expression "trop d'information tue l'information" signifie qu'une
information, quelqu'elle soit, n'est perceptible que si elle n'est pas noyée
dans la surabondance d'informations.
ta démarche dévalorise le meilleur de ton travail.
Je ne vois vraiment pas ce qu'il y a de dévalorisant à conserver
toutes les photos qu'on a faites
je n'ai pas dis ça.
ce n'est pas dévalorisant en soit.
c'est dévalorisant pour la part la meilleure de ton travail.
cette part devenant moins accessible du fait du volume.
: ne rien jeter, ça ne signifie pas
tout montrer, hein.
heureusement ! :)
Par contre, le meilleur de mon travail, c'est
peut-être en bidouillant de vieilles images délaissées que je
l'obtiendrai, va savoir.
pourquoi pas.
comment fais tu pour t'y retrouver ?
Comme tout le monde, je pense. Entre celui qui fait 1000 photos et qui
en jette 900, et celui qui en fait 100 mais n'en jette aucune, quelque
chose me dit que le problème du classement se pose exactement de la
même manière.
biensur.
mais celui qui en fait 100 et en jette 90 ?
il n'aura plus la même problématique en matière de classement. :)
De quelle information parles-tu ? Je ne suis pas reporter.
tes photos n'ont de valeur que par ce qu'elles représentent ; le papier, le film ou les fichiers n'ont pas de valeur en soit. c'est l'information contenus dans l'image qui a de la valeur.
l'expression "trop d'information tue l'information" signifie qu'une information, quelqu'elle soit, n'est perceptible que si elle n'est pas noyée dans la surabondance d'informations.
ta démarche dévalorise le meilleur de ton travail.
Je ne vois vraiment pas ce qu'il y a de dévalorisant à conserver toutes les photos qu'on a faites
je n'ai pas dis ça. ce n'est pas dévalorisant en soit. c'est dévalorisant pour la part la meilleure de ton travail. cette part devenant moins accessible du fait du volume.
: ne rien jeter, ça ne signifie pas tout montrer, hein.
heureusement ! :)
Par contre, le meilleur de mon travail, c'est peut-être en bidouillant de vieilles images délaissées que je l'obtiendrai, va savoir.
pourquoi pas.
comment fais tu pour t'y retrouver ?
Comme tout le monde, je pense. Entre celui qui fait 1000 photos et qui en jette 900, et celui qui en fait 100 mais n'en jette aucune, quelque chose me dit que le problème du classement se pose exactement de la même manière.
biensur. mais celui qui en fait 100 et en jette 90 ? il n'aura plus la même problématique en matière de classement. :)
-- Cordialement, Alf92 http://frpn.online.fr
Denis Vanneste
tes photos n'ont de valeur que par ce qu'elles représentent ; le papier, le film ou les fichiers n'ont pas de valeur en soit. c'est l'information contenus dans l'image qui a de la valeur.
Le papier, le film et les fichiers sont pour moi des matériaux. S'ils ont une valeur à mes yeux, c'est parce qu'aujourd'hui, demain ou dans un an, j'en tirerai peut-être quelque chose. C'est pour ça que je garde tout.
l'expression "trop d'information tue l'information" signifie qu'une information, quelqu'elle soit, n'est perceptible que si elle n'est pas noyée dans la surabondance d'informations.
Et quand l'information que l'on souhaite donner réside justement dans la surabondance ? Lorsque je parle d'accumulation, c'est cela dont il s'agit : j'assemble un grand nombre d'images, et c'est l'ensemble qui fait sens (ou du moins qui essaie).
Mais comme je le disais, j'ai fait ça deux ou trois fois, pas plus. Globalement, je ne dois pas faire plus de 1000 photos par an...
je n'ai pas dis ça. ce n'est pas dévalorisant en soit. c'est dévalorisant pour la part la meilleure de ton travail. cette part devenant moins accessible du fait du volume.
Moins accessible à qui ? Je sais où sont mes images, celles qui peuvent être montrées et celles qui me serviront un jour ou l'autre.
biensur. mais celui qui en fait 100 et en jette 90 ? il n'aura plus la même problématique en matière de classement. :)
Ah ça, c'est évident. Mais pour prendre un exemple personnel, dans cette animation :
<http://chienflou.free.fr/nuage.html>
toutes les images employées sont des « laissées-pour-compte », des photos que je n'aurais pas conservées si j'étais un obsédé de la corbeille. Mais comme je suis un obsédé de l'archivage, j'ai fini par en faire quelque chose. Ça vaut ce que ça vaut, mais je suis content d'avoir pu le faire.
-- Denis Vanneste
tes photos n'ont de valeur que par ce qu'elles représentent ; le
papier, le film ou les fichiers n'ont pas de valeur en soit.
c'est l'information contenus dans l'image qui a de la valeur.
Le papier, le film et les fichiers sont pour moi des matériaux. S'ils
ont une valeur à mes yeux, c'est parce qu'aujourd'hui, demain ou dans
un an, j'en tirerai peut-être quelque chose. C'est pour ça que je garde
tout.
l'expression "trop d'information tue l'information" signifie
qu'une information, quelqu'elle soit, n'est perceptible que si
elle n'est pas noyée dans la surabondance d'informations.
Et quand l'information que l'on souhaite donner réside justement dans
la surabondance ? Lorsque je parle d'accumulation, c'est cela dont il
s'agit : j'assemble un grand nombre d'images, et c'est l'ensemble qui
fait sens (ou du moins qui essaie).
Mais comme je le disais, j'ai fait ça deux ou trois fois, pas plus.
Globalement, je ne dois pas faire plus de 1000 photos par an...
je n'ai pas dis ça.
ce n'est pas dévalorisant en soit.
c'est dévalorisant pour la part la meilleure de ton travail.
cette part devenant moins accessible du fait du volume.
Moins accessible à qui ? Je sais où sont mes images, celles qui peuvent
être montrées et celles qui me serviront un jour ou l'autre.
biensur.
mais celui qui en fait 100 et en jette 90 ?
il n'aura plus la même problématique en matière de classement. :)
Ah ça, c'est évident. Mais pour prendre un exemple personnel, dans
cette animation :
<http://chienflou.free.fr/nuage.html>
toutes les images employées sont des « laissées-pour-compte », des
photos que je n'aurais pas conservées si j'étais un obsédé de la
corbeille. Mais comme je suis un obsédé de l'archivage, j'ai fini par
en faire quelque chose. Ça vaut ce que ça vaut, mais je suis content
d'avoir pu le faire.
tes photos n'ont de valeur que par ce qu'elles représentent ; le papier, le film ou les fichiers n'ont pas de valeur en soit. c'est l'information contenus dans l'image qui a de la valeur.
Le papier, le film et les fichiers sont pour moi des matériaux. S'ils ont une valeur à mes yeux, c'est parce qu'aujourd'hui, demain ou dans un an, j'en tirerai peut-être quelque chose. C'est pour ça que je garde tout.
l'expression "trop d'information tue l'information" signifie qu'une information, quelqu'elle soit, n'est perceptible que si elle n'est pas noyée dans la surabondance d'informations.
Et quand l'information que l'on souhaite donner réside justement dans la surabondance ? Lorsque je parle d'accumulation, c'est cela dont il s'agit : j'assemble un grand nombre d'images, et c'est l'ensemble qui fait sens (ou du moins qui essaie).
Mais comme je le disais, j'ai fait ça deux ou trois fois, pas plus. Globalement, je ne dois pas faire plus de 1000 photos par an...
je n'ai pas dis ça. ce n'est pas dévalorisant en soit. c'est dévalorisant pour la part la meilleure de ton travail. cette part devenant moins accessible du fait du volume.
Moins accessible à qui ? Je sais où sont mes images, celles qui peuvent être montrées et celles qui me serviront un jour ou l'autre.
biensur. mais celui qui en fait 100 et en jette 90 ? il n'aura plus la même problématique en matière de classement. :)
Ah ça, c'est évident. Mais pour prendre un exemple personnel, dans cette animation :
<http://chienflou.free.fr/nuage.html>
toutes les images employées sont des « laissées-pour-compte », des photos que je n'aurais pas conservées si j'étais un obsédé de la corbeille. Mais comme je suis un obsédé de l'archivage, j'ai fini par en faire quelque chose. Ça vaut ce que ça vaut, mais je suis content d'avoir pu le faire.
-- Denis Vanneste
Alf92
Denis Vanneste a dit ça :
tes photos n'ont de valeur que par ce qu'elles représentent ; le papier, le film ou les fichiers n'ont pas de valeur en soit. c'est l'information contenus dans l'image qui a de la valeur.
Le papier, le film et les fichiers sont pour moi des matériaux. S'ils ont une valeur à mes yeux, c'est parce qu'aujourd'hui, demain ou dans un an, j'en tirerai peut-être quelque chose. C'est pour ça que je garde tout.
nuance : c'est de l'info qu'ils contienent que tu pourras tirer profit.
l'expression "trop d'information tue l'information" signifie qu'une information, quelqu'elle soit, n'est perceptible que si elle n'est pas noyée dans la surabondance d'informations.
Et quand l'information que l'on souhaite donner réside justement dans la surabondance ?
dans ce cas précis c'est le phénomène de surabondance qui constitue en soit la qualité de l'information ?
j'ai du mal à suivre... :)
Lorsque je parle d'accumulation, c'est cela dont il s'agit : j'assemble un grand nombre d'images, et c'est l'ensemble qui fait sens (ou du moins qui essaie).
dans ce cas l'information change de nature. le "tas" constitué devient une nouvelle information à part entière. et une fois que le "tas" contitué, tu le gardes ?
ça me rappelle un truc : http://grant.robinson.name/projects/montage-a-google/
Mais comme je le disais, j'ai fait ça deux ou trois fois, pas plus. Globalement, je ne dois pas faire plus de 1000 photos par an...
en effet dans ces volumes, ça reste gérable.
je n'ai pas dis ça. ce n'est pas dévalorisant en soit. c'est dévalorisant pour la part la meilleure de ton travail. cette part devenant moins accessible du fait du volume.
Moins accessible à qui ? Je sais où sont mes images, celles qui peuvent être montrées et celles qui me serviront un jour ou l'autre.
à toi et accessoirement aux autres. mais sur un millier d'images, la gestion c'est du gateau. :)
biensur. mais celui qui en fait 100 et en jette 90 ? il n'aura plus la même problématique en matière de classement. :)
Ah ça, c'est évident. Mais pour prendre un exemple personnel, dans cette animation :
<http://chienflou.free.fr/nuage.html>
toutes les images employées sont des « laissées-pour-compte », des photos que je n'aurais pas conservées si j'étais un obsédé de la corbeille. Mais comme je suis un obsédé de l'archivage, j'ai fini par en faire quelque chose. Ça vaut ce que ça vaut, mais je suis content d'avoir pu le faire.
la récup aussi c'est mon truc. et pas qu'en photo... au grand damne de ma femme. :)
-- Cordialement, Alf92 http://frpn.online.fr
Denis Vanneste a dit ça :
tes photos n'ont de valeur que par ce qu'elles représentent ; le
papier, le film ou les fichiers n'ont pas de valeur en soit.
c'est l'information contenus dans l'image qui a de la valeur.
Le papier, le film et les fichiers sont pour moi des matériaux. S'ils
ont une valeur à mes yeux, c'est parce qu'aujourd'hui, demain ou dans
un an, j'en tirerai peut-être quelque chose. C'est pour ça que je
garde tout.
nuance : c'est de l'info qu'ils contienent que tu pourras tirer profit.
l'expression "trop d'information tue l'information" signifie
qu'une information, quelqu'elle soit, n'est perceptible que si
elle n'est pas noyée dans la surabondance d'informations.
Et quand l'information que l'on souhaite donner réside justement dans
la surabondance ?
dans ce cas précis c'est le phénomène de surabondance qui constitue en soit
la qualité de l'information ?
j'ai du mal à suivre... :)
Lorsque je parle d'accumulation, c'est cela dont il
s'agit : j'assemble un grand nombre d'images, et c'est l'ensemble qui
fait sens (ou du moins qui essaie).
dans ce cas l'information change de nature.
le "tas" constitué devient une nouvelle information à part entière.
et une fois que le "tas" contitué, tu le gardes ?
ça me rappelle un truc :
http://grant.robinson.name/projects/montage-a-google/
Mais comme je le disais, j'ai fait ça deux ou trois fois, pas plus.
Globalement, je ne dois pas faire plus de 1000 photos par an...
en effet dans ces volumes, ça reste gérable.
je n'ai pas dis ça.
ce n'est pas dévalorisant en soit.
c'est dévalorisant pour la part la meilleure de ton travail.
cette part devenant moins accessible du fait du volume.
Moins accessible à qui ? Je sais où sont mes images, celles qui
peuvent être montrées et celles qui me serviront un jour ou l'autre.
à toi et accessoirement aux autres.
mais sur un millier d'images, la gestion c'est du gateau. :)
biensur.
mais celui qui en fait 100 et en jette 90 ?
il n'aura plus la même problématique en matière de classement. :)
Ah ça, c'est évident. Mais pour prendre un exemple personnel, dans
cette animation :
<http://chienflou.free.fr/nuage.html>
toutes les images employées sont des « laissées-pour-compte », des
photos que je n'aurais pas conservées si j'étais un obsédé de la
corbeille. Mais comme je suis un obsédé de l'archivage, j'ai fini par
en faire quelque chose. Ça vaut ce que ça vaut, mais je suis content
d'avoir pu le faire.
la récup aussi c'est mon truc.
et pas qu'en photo... au grand damne de ma femme. :)
tes photos n'ont de valeur que par ce qu'elles représentent ; le papier, le film ou les fichiers n'ont pas de valeur en soit. c'est l'information contenus dans l'image qui a de la valeur.
Le papier, le film et les fichiers sont pour moi des matériaux. S'ils ont une valeur à mes yeux, c'est parce qu'aujourd'hui, demain ou dans un an, j'en tirerai peut-être quelque chose. C'est pour ça que je garde tout.
nuance : c'est de l'info qu'ils contienent que tu pourras tirer profit.
l'expression "trop d'information tue l'information" signifie qu'une information, quelqu'elle soit, n'est perceptible que si elle n'est pas noyée dans la surabondance d'informations.
Et quand l'information que l'on souhaite donner réside justement dans la surabondance ?
dans ce cas précis c'est le phénomène de surabondance qui constitue en soit la qualité de l'information ?
j'ai du mal à suivre... :)
Lorsque je parle d'accumulation, c'est cela dont il s'agit : j'assemble un grand nombre d'images, et c'est l'ensemble qui fait sens (ou du moins qui essaie).
dans ce cas l'information change de nature. le "tas" constitué devient une nouvelle information à part entière. et une fois que le "tas" contitué, tu le gardes ?
ça me rappelle un truc : http://grant.robinson.name/projects/montage-a-google/
Mais comme je le disais, j'ai fait ça deux ou trois fois, pas plus. Globalement, je ne dois pas faire plus de 1000 photos par an...
en effet dans ces volumes, ça reste gérable.
je n'ai pas dis ça. ce n'est pas dévalorisant en soit. c'est dévalorisant pour la part la meilleure de ton travail. cette part devenant moins accessible du fait du volume.
Moins accessible à qui ? Je sais où sont mes images, celles qui peuvent être montrées et celles qui me serviront un jour ou l'autre.
à toi et accessoirement aux autres. mais sur un millier d'images, la gestion c'est du gateau. :)
biensur. mais celui qui en fait 100 et en jette 90 ? il n'aura plus la même problématique en matière de classement. :)
Ah ça, c'est évident. Mais pour prendre un exemple personnel, dans cette animation :
<http://chienflou.free.fr/nuage.html>
toutes les images employées sont des « laissées-pour-compte », des photos que je n'aurais pas conservées si j'étais un obsédé de la corbeille. Mais comme je suis un obsédé de l'archivage, j'ai fini par en faire quelque chose. Ça vaut ce que ça vaut, mais je suis content d'avoir pu le faire.
la récup aussi c'est mon truc. et pas qu'en photo... au grand damne de ma femme. :)