Ce matin j'écoutais la 4ème symphonie de Brahms avec le casque
(Sennheiser HD-650) et j'ai découvert une mélodie dans la voie droite
que je n'avais même jamais soupçonnée avec les enceintes acoustiques et
pourtant je l'avais écoutée une bonne dizaine de fois... Cette petite
mélodie est très discrète et dans les aigus. Avec le casque, elle est
parfaitement audible et bien détachée du reste. Là on entend vraiment la
différence ! Les enceintes sont correctes (B&W DM 580).
Ce matin j'écoutais la 4ème symphonie de Brahms avec le casque
(Sennheiser HD-650) et j'ai découvert une mélodie dans la voie droite
que je n'avais même jamais soupçonnée avec les enceintes acoustiques et
pourtant je l'avais écoutée une bonne dizaine de fois... Cette petite
mélodie est très discrète et dans les aigus. Avec le casque, elle est
parfaitement audible et bien détachée du reste. Là on entend vraiment la
différence ! Les enceintes sont correctes (B&W DM 580).
Ce matin j'écoutais la 4ème symphonie de Brahms avec le casque
(Sennheiser HD-650) et j'ai découvert une mélodie dans la voie droite
que je n'avais même jamais soupçonnée avec les enceintes acoustiques et
pourtant je l'avais écoutée une bonne dizaine de fois... Cette petite
mélodie est très discrète et dans les aigus. Avec le casque, elle est
parfaitement audible et bien détachée du reste. Là on entend vraiment la
différence ! Les enceintes sont correctes (B&W DM 580).
grenault wrote:
> Ce matin j'écoutais la 4ème symphonie de Brahms avec le casque
> (Sennheiser HD-650) et j'ai découvert une mélodie dans la voie droite
> que je n'avais même jamais soupçonnée avec les enceintes acoustiques et
> pourtant je l'avais écoutée une bonne dizaine de fois... Cette petite
> mélodie est très discrète et dans les aigus. Avec le casque, elle est
> parfaitement audible et bien détachée du reste. Là on entend vraiment la
> différence ! Les enceintes sont correctes (B&W DM 580).
Ça c'est quelque chose qui n'arrive *jamais* quand on a pris la
précaution de lire la partition avant d'écouter l'oeuvre :-)
Découvrir une voix ! juste un détail !
Toujours ce problème avec la hifi, de penser pouvoir ignorer la
musique...
grenault <contact@guy-renault.com> wrote:
> Ce matin j'écoutais la 4ème symphonie de Brahms avec le casque
> (Sennheiser HD-650) et j'ai découvert une mélodie dans la voie droite
> que je n'avais même jamais soupçonnée avec les enceintes acoustiques et
> pourtant je l'avais écoutée une bonne dizaine de fois... Cette petite
> mélodie est très discrète et dans les aigus. Avec le casque, elle est
> parfaitement audible et bien détachée du reste. Là on entend vraiment la
> différence ! Les enceintes sont correctes (B&W DM 580).
Ça c'est quelque chose qui n'arrive *jamais* quand on a pris la
précaution de lire la partition avant d'écouter l'oeuvre :-)
Découvrir une voix ! juste un détail !
Toujours ce problème avec la hifi, de penser pouvoir ignorer la
musique...
grenault wrote:
> Ce matin j'écoutais la 4ème symphonie de Brahms avec le casque
> (Sennheiser HD-650) et j'ai découvert une mélodie dans la voie droite
> que je n'avais même jamais soupçonnée avec les enceintes acoustiques et
> pourtant je l'avais écoutée une bonne dizaine de fois... Cette petite
> mélodie est très discrète et dans les aigus. Avec le casque, elle est
> parfaitement audible et bien détachée du reste. Là on entend vraiment la
> différence ! Les enceintes sont correctes (B&W DM 580).
Ça c'est quelque chose qui n'arrive *jamais* quand on a pris la
précaution de lire la partition avant d'écouter l'oeuvre :-)
Découvrir une voix ! juste un détail !
Toujours ce problème avec la hifi, de penser pouvoir ignorer la
musique...
- je ne suis pas sûr qu'on s'affranchisse vraiment de l'environnement
avec un casque non clos, ni même avec un casque clos dont j'estime qu'il
s'agit d'un "autre" environnement. Pour les mêmes raisons qu'une chambre
sourde n'a rien de naturelle alors qu'elle est par définition "neutre" !
- je ne suis pas sûr qu'on s'affranchisse vraiment de l'environnement
avec un casque non clos, ni même avec un casque clos dont j'estime qu'il
s'agit d'un "autre" environnement. Pour les mêmes raisons qu'une chambre
sourde n'a rien de naturelle alors qu'elle est par définition "neutre" !
- je ne suis pas sûr qu'on s'affranchisse vraiment de l'environnement
avec un casque non clos, ni même avec un casque clos dont j'estime qu'il
s'agit d'un "autre" environnement. Pour les mêmes raisons qu'une chambre
sourde n'a rien de naturelle alors qu'elle est par définition "neutre" !
Ce matin j'écoutais la 4ème symphonie de Brahms avec le casque
(Sennheiser HD-650) et j'ai découvert une mélodie dans la voie droite
que je n'avais même jamais soupçonnée avec les enceintes acoustiques
et pourtant je l'avais écoutée une bonne dizaine de fois... Cette
petite mélodie est très discrète et dans les aigus. Avec le casque,
elle est parfaitement audible et bien détachée du reste. Là on entend
vraiment la différence ! Les enceintes sont correctes (B&W DM 580)
Ce matin j'écoutais la 4ème symphonie de Brahms avec le casque
(Sennheiser HD-650) et j'ai découvert une mélodie dans la voie droite
que je n'avais même jamais soupçonnée avec les enceintes acoustiques
et pourtant je l'avais écoutée une bonne dizaine de fois... Cette
petite mélodie est très discrète et dans les aigus. Avec le casque,
elle est parfaitement audible et bien détachée du reste. Là on entend
vraiment la différence ! Les enceintes sont correctes (B&W DM 580)
Ce matin j'écoutais la 4ème symphonie de Brahms avec le casque
(Sennheiser HD-650) et j'ai découvert une mélodie dans la voie droite
que je n'avais même jamais soupçonnée avec les enceintes acoustiques
et pourtant je l'avais écoutée une bonne dizaine de fois... Cette
petite mélodie est très discrète et dans les aigus. Avec le casque,
elle est parfaitement audible et bien détachée du reste. Là on entend
vraiment la différence ! Les enceintes sont correctes (B&W DM 580)
Ce matin j'écoutais la 4ème symphonie de Brahms avec le casque
(Sennheiser HD-650) et j'ai découvert une mélodie dans la voie
droite que je n'avais même jamais soupçonnée avec les enceintes
acoustiques et pourtant je l'avais écoutée une bonne dizaine de
fois... Cette petite mélodie est très discrète et dans les aigus.
Avec le casque, elle est parfaitement audible et bien détachée du
reste. Là on entend vraiment la différence ! Les enceintes sont
correctes (B&W DM 580)
Ce matin j'écoutais la 4ème symphonie de Brahms avec le casque
(Sennheiser HD-650) et j'ai découvert une mélodie dans la voie
droite que je n'avais même jamais soupçonnée avec les enceintes
acoustiques et pourtant je l'avais écoutée une bonne dizaine de
fois... Cette petite mélodie est très discrète et dans les aigus.
Avec le casque, elle est parfaitement audible et bien détachée du
reste. Là on entend vraiment la différence ! Les enceintes sont
correctes (B&W DM 580)
Ce matin j'écoutais la 4ème symphonie de Brahms avec le casque
(Sennheiser HD-650) et j'ai découvert une mélodie dans la voie
droite que je n'avais même jamais soupçonnée avec les enceintes
acoustiques et pourtant je l'avais écoutée une bonne dizaine de
fois... Cette petite mélodie est très discrète et dans les aigus.
Avec le casque, elle est parfaitement audible et bien détachée du
reste. Là on entend vraiment la différence ! Les enceintes sont
correctes (B&W DM 580)
xcomm wrote:Bonne journée, en espérant que cela vous aide à mieux comprendre.
En tout cas merci pour le réel effort pédagogique.
Quelques remarques liminaires :
- je ne suis pas sûr qu'on s'affranchisse vraiment de l'environnement
avec un casque non clos, ni même avec un casque clos dont j'estime qu'il
s'agit d'un "autre" environnement. Pour les mêmes raisons qu'une chambre
sourde n'a rien de naturelle alors qu'elle est par définition "neutre" !
- dans ce contexte artificiel, le casque augmente la séparation stéréo
et la proximité du son et a donc une utilité évidente dans un travail de
relevé ou d'isolement d'un signal. Il a pour moi à peu près la même
destination qu'une loupe dans le domaine de l'optique et de la lecture :
strictement ponctuelle et utilitaire. Sinon je m'en passe.
- j'ai toujours un doute persistant (et globalement assez anti-hifi) sur
des notions comme "redécouvrir sa discothèque", "accéder à la très haute
fidélité"... mais je n'oblige absolument personne à me suivre. À la
limite on peut le recevoir ici comme un doute constructif ? Quand vous
dites "je prends un immense plaisir à écouter mon Ultrasone [...]", ça
me laisse tout autant perplexe que dans mon précédent message : peut-on
"écouter" un casque ?
De mon point de vue de musicien, il y a encore plusieurs étapes à suivre
(au-delà des transducteurs...).
Une première qui est de recevoir un signal, un son, présentant ou pas
certaines qualité techniques, qui est si j'ai bien compris partagé avec
moi par les tenants de la hifi.
Au-delà il y a la musique enregistrée (avec ses paradoxes fort bien
décrits et mis en évidence par Glenn Gould dans les émissions de
Monsaingeon de 1981), sur laquelle on commence sans doute à diverger...
...et où ça s'accentue au point exact où mon cerveau l'analyse avec les
outils du musicien (harmonie, contrepoint, formes, orchestration,
contextes historiques...et les différents traités qui vont avec : Rimsky
Korsakov, Dubois, Schoenberg... et les partitions avec, souvent)
puis la musique qu'on crée, à quoi est destinée principalement mon
installation audio. On atterrit alors dans le domaine de l'audio pro,
qui est à la hifi ce que la bicyclette est au poisson rouge.
Sans vouloir être le moins du monde blessant, juste interrogateur, je me
demande si on ne se trouve pas parfois dans un équivalent de
collectionneur de beaux livres qui n'aurait aucun bagage littéraire,
linguistique ou historique (voire technique) susceptible de lui
permettre d'en apprécier le contenu, ...ou d'amoureux du théatre qui ne
saurait pas lire... Dans les deux cas on peut... mais...
J'admets d'ailleurs que ça s'applique à moi dans bien des domaines et en
particulier dans celui du chant grégorien. Voilà une musique qu'on a
pratiquée sans évolution vraiment majeure pendant mille ans dans
l'europe entière ! Si une discothèque devait être "temporellement" ou
géographiquement équilibrée, je ne vous raconte pas le changement que ça
lui ferait ! Certains amis prétendent que l'écouter sans connaître le
latin et surtout sans avoir le bagage religieux sous-jacent (voire
l'expérience ou la pratique monastique liée !) m'en fait perdre la
majeure partie.
C'est possible. Musicalement je suis effectivement beaucoup plus
"retourné" par la démarche de l'Ars Nova qui lui a succédé et en
particulier de l'école de Notre-Dame. Quelle explosion ! Quel
foisonnement ! Quel enthousiasme ! Et quelle humilité !
oups ! j'ai divergé ! :-)
xcomm<xcomm@club-internet.fr> wrote:
Bonne journée, en espérant que cela vous aide à mieux comprendre.
En tout cas merci pour le réel effort pédagogique.
Quelques remarques liminaires :
- je ne suis pas sûr qu'on s'affranchisse vraiment de l'environnement
avec un casque non clos, ni même avec un casque clos dont j'estime qu'il
s'agit d'un "autre" environnement. Pour les mêmes raisons qu'une chambre
sourde n'a rien de naturelle alors qu'elle est par définition "neutre" !
- dans ce contexte artificiel, le casque augmente la séparation stéréo
et la proximité du son et a donc une utilité évidente dans un travail de
relevé ou d'isolement d'un signal. Il a pour moi à peu près la même
destination qu'une loupe dans le domaine de l'optique et de la lecture :
strictement ponctuelle et utilitaire. Sinon je m'en passe.
- j'ai toujours un doute persistant (et globalement assez anti-hifi) sur
des notions comme "redécouvrir sa discothèque", "accéder à la très haute
fidélité"... mais je n'oblige absolument personne à me suivre. À la
limite on peut le recevoir ici comme un doute constructif ? Quand vous
dites "je prends un immense plaisir à écouter mon Ultrasone [...]", ça
me laisse tout autant perplexe que dans mon précédent message : peut-on
"écouter" un casque ?
De mon point de vue de musicien, il y a encore plusieurs étapes à suivre
(au-delà des transducteurs...).
Une première qui est de recevoir un signal, un son, présentant ou pas
certaines qualité techniques, qui est si j'ai bien compris partagé avec
moi par les tenants de la hifi.
Au-delà il y a la musique enregistrée (avec ses paradoxes fort bien
décrits et mis en évidence par Glenn Gould dans les émissions de
Monsaingeon de 1981), sur laquelle on commence sans doute à diverger...
...et où ça s'accentue au point exact où mon cerveau l'analyse avec les
outils du musicien (harmonie, contrepoint, formes, orchestration,
contextes historiques...et les différents traités qui vont avec : Rimsky
Korsakov, Dubois, Schoenberg... et les partitions avec, souvent)
puis la musique qu'on crée, à quoi est destinée principalement mon
installation audio. On atterrit alors dans le domaine de l'audio pro,
qui est à la hifi ce que la bicyclette est au poisson rouge.
Sans vouloir être le moins du monde blessant, juste interrogateur, je me
demande si on ne se trouve pas parfois dans un équivalent de
collectionneur de beaux livres qui n'aurait aucun bagage littéraire,
linguistique ou historique (voire technique) susceptible de lui
permettre d'en apprécier le contenu, ...ou d'amoureux du théatre qui ne
saurait pas lire... Dans les deux cas on peut... mais...
J'admets d'ailleurs que ça s'applique à moi dans bien des domaines et en
particulier dans celui du chant grégorien. Voilà une musique qu'on a
pratiquée sans évolution vraiment majeure pendant mille ans dans
l'europe entière ! Si une discothèque devait être "temporellement" ou
géographiquement équilibrée, je ne vous raconte pas le changement que ça
lui ferait ! Certains amis prétendent que l'écouter sans connaître le
latin et surtout sans avoir le bagage religieux sous-jacent (voire
l'expérience ou la pratique monastique liée !) m'en fait perdre la
majeure partie.
C'est possible. Musicalement je suis effectivement beaucoup plus
"retourné" par la démarche de l'Ars Nova qui lui a succédé et en
particulier de l'école de Notre-Dame. Quelle explosion ! Quel
foisonnement ! Quel enthousiasme ! Et quelle humilité !
oups ! j'ai divergé ! :-)
xcomm wrote:Bonne journée, en espérant que cela vous aide à mieux comprendre.
En tout cas merci pour le réel effort pédagogique.
Quelques remarques liminaires :
- je ne suis pas sûr qu'on s'affranchisse vraiment de l'environnement
avec un casque non clos, ni même avec un casque clos dont j'estime qu'il
s'agit d'un "autre" environnement. Pour les mêmes raisons qu'une chambre
sourde n'a rien de naturelle alors qu'elle est par définition "neutre" !
- dans ce contexte artificiel, le casque augmente la séparation stéréo
et la proximité du son et a donc une utilité évidente dans un travail de
relevé ou d'isolement d'un signal. Il a pour moi à peu près la même
destination qu'une loupe dans le domaine de l'optique et de la lecture :
strictement ponctuelle et utilitaire. Sinon je m'en passe.
- j'ai toujours un doute persistant (et globalement assez anti-hifi) sur
des notions comme "redécouvrir sa discothèque", "accéder à la très haute
fidélité"... mais je n'oblige absolument personne à me suivre. À la
limite on peut le recevoir ici comme un doute constructif ? Quand vous
dites "je prends un immense plaisir à écouter mon Ultrasone [...]", ça
me laisse tout autant perplexe que dans mon précédent message : peut-on
"écouter" un casque ?
De mon point de vue de musicien, il y a encore plusieurs étapes à suivre
(au-delà des transducteurs...).
Une première qui est de recevoir un signal, un son, présentant ou pas
certaines qualité techniques, qui est si j'ai bien compris partagé avec
moi par les tenants de la hifi.
Au-delà il y a la musique enregistrée (avec ses paradoxes fort bien
décrits et mis en évidence par Glenn Gould dans les émissions de
Monsaingeon de 1981), sur laquelle on commence sans doute à diverger...
...et où ça s'accentue au point exact où mon cerveau l'analyse avec les
outils du musicien (harmonie, contrepoint, formes, orchestration,
contextes historiques...et les différents traités qui vont avec : Rimsky
Korsakov, Dubois, Schoenberg... et les partitions avec, souvent)
puis la musique qu'on crée, à quoi est destinée principalement mon
installation audio. On atterrit alors dans le domaine de l'audio pro,
qui est à la hifi ce que la bicyclette est au poisson rouge.
Sans vouloir être le moins du monde blessant, juste interrogateur, je me
demande si on ne se trouve pas parfois dans un équivalent de
collectionneur de beaux livres qui n'aurait aucun bagage littéraire,
linguistique ou historique (voire technique) susceptible de lui
permettre d'en apprécier le contenu, ...ou d'amoureux du théatre qui ne
saurait pas lire... Dans les deux cas on peut... mais...
J'admets d'ailleurs que ça s'applique à moi dans bien des domaines et en
particulier dans celui du chant grégorien. Voilà une musique qu'on a
pratiquée sans évolution vraiment majeure pendant mille ans dans
l'europe entière ! Si une discothèque devait être "temporellement" ou
géographiquement équilibrée, je ne vous raconte pas le changement que ça
lui ferait ! Certains amis prétendent que l'écouter sans connaître le
latin et surtout sans avoir le bagage religieux sous-jacent (voire
l'expérience ou la pratique monastique liée !) m'en fait perdre la
majeure partie.
C'est possible. Musicalement je suis effectivement beaucoup plus
"retourné" par la démarche de l'Ars Nova qui lui a succédé et en
particulier de l'école de Notre-Dame. Quelle explosion ! Quel
foisonnement ! Quel enthousiasme ! Et quelle humilité !
oups ! j'ai divergé ! :-)
Non, tu n'as pas divergé mais pour moi tout est bien plus simple et
cela se résume à cela : j'entends des sons avec le casque que je
soupçonne à peine avec les enceintes acoustiques dans le bruit
ambiant
Non, tu n'as pas divergé mais pour moi tout est bien plus simple et
cela se résume à cela : j'entends des sons avec le casque que je
soupçonne à peine avec les enceintes acoustiques dans le bruit
ambiant
Non, tu n'as pas divergé mais pour moi tout est bien plus simple et
cela se résume à cela : j'entends des sons avec le casque que je
soupçonne à peine avec les enceintes acoustiques dans le bruit
ambiant
Je ne savais pas qu'il était obligatoire de savoir lire la musique pour
l'écouter...
Je ne savais pas qu'il était obligatoire de savoir lire la musique pour
l'écouter...
Je ne savais pas qu'il était obligatoire de savoir lire la musique pour
l'écouter...
Quant au grégorien, j'ai passé mon DUT avec comme sujet (dans la cadre
d'enquête pratique ou je sais plus quoi...) "Le champ grégorien à
l'abbaye de Solesmes..."
Quant au grégorien, j'ai passé mon DUT avec comme sujet (dans la cadre
d'enquête pratique ou je sais plus quoi...) "Le champ grégorien à
l'abbaye de Solesmes..."
Quant au grégorien, j'ai passé mon DUT avec comme sujet (dans la cadre
d'enquête pratique ou je sais plus quoi...) "Le champ grégorien à
l'abbaye de Solesmes..."
La raison en est
simple, c'est le souhait de recréer au plus proche le concert à la
maison, avec l'acoustique du lieu de l'enregistrement recréé de manière
plus subtile avec les enceintes latérales situées au niveau de
l'auditeur, pour en gros recréer la meilleur place du concert au 3ème ou
5ème rang par exemple à la maison.
La raison en est
simple, c'est le souhait de recréer au plus proche le concert à la
maison, avec l'acoustique du lieu de l'enregistrement recréé de manière
plus subtile avec les enceintes latérales situées au niveau de
l'auditeur, pour en gros recréer la meilleur place du concert au 3ème ou
5ème rang par exemple à la maison.
La raison en est
simple, c'est le souhait de recréer au plus proche le concert à la
maison, avec l'acoustique du lieu de l'enregistrement recréé de manière
plus subtile avec les enceintes latérales situées au niveau de
l'auditeur, pour en gros recréer la meilleur place du concert au 3ème ou
5ème rang par exemple à la maison.