Une question qui peut paraitre idiote : comment savoir si le volume
d'écoute est trop élevé pour ses oreilles sans risques pour elles (les
noreilles) ?
Ce n'est pas évident de trouver le bon niveau. Comment faites-vous ?
Trop faible, ce n'est pas assez enveloppant et trop élevé, bonjour les
dégâts ! J'écoute du classique, du Jazz et un peu de variétés. C'est
surtout difficile avec le classique et la dynamique très importante.
Quant au grégorien, j'ai passé mon DUT avec comme sujet (dans la cadre d'enquête pratique ou je sais plus quoi...) "Le champ grégorien à l'abbaye de Solesmes..."
Un DUT agricole ? ;-)
;-) Pas vraiment, je me souviens maintenant cela s'appelait "Étude du Milieu", à l'époque.
Quant au grégorien, j'ai passé mon DUT avec comme sujet (dans la cadre
d'enquête pratique ou je sais plus quoi...) "Le champ grégorien à
l'abbaye de Solesmes..."
Un DUT agricole ? ;-)
;-) Pas vraiment, je me souviens maintenant cela s'appelait "Étude du
Milieu", à l'époque.
Quant au grégorien, j'ai passé mon DUT avec comme sujet (dans la cadre d'enquête pratique ou je sais plus quoi...) "Le champ grégorien à l'abbaye de Solesmes..."
Un DUT agricole ? ;-)
;-) Pas vraiment, je me souviens maintenant cela s'appelait "Étude du Milieu", à l'époque.
Ce cher mammifère du nom de Gerald nous susurrait, le lundi 05/12/2011, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et dans le message <1kbsp9u.pck902199j8jkN%, les doux mélismes suivants :
Je ne savais pas qu'il était obligatoire de savoir lire la musique pour l'écouter...
J'ai pas dit ça.
Quand même...À te lire depuis si longtemps, tu le laisses plus que _fortemennt_...entendre, hein !...
Je Me souviendrai toujours d'un des festivals (Hélas disparu depuis des lustres) de Musique de chambre de l'Hermitage (La Baule...Du grand René Martin himself)...WE de trois jours exceptionnels... J'étais assis à côté d'un "critique" [sic] (dont Je préfère taire le nom...Hé oui...Il M'arrive à Moi aussi d'être courtois) de Télérama ...Qui, durant _tous_ les concerts auxquels il participa, écouta (?) /tout en lisant la partition/ (Oh...Ce n'est pas le seul, hein...À tous les concerts, il y en a toujours, de ce genre de primates...Ça fait tellement chicos, n'est-ce pas)...Et n'applaudit _jamais_ aux moindres prestations (qui, Je le répète, furent d'un niveau exceptionnel), arborant une moue de dégoût HIÉ...Je l'aurais bouffé, ce connard... Je Me suis permis de l'aborder...Pour lui dire qu'il aurait auusi bien pu rester chez lui à lire ses putains de partoches...Il Me regarda sans comprendre et tourna le dos... Et des exemples de ce genre, Je ai des centaines...
Dans une salle de concert de 300 ou 12 000 places, #98% des auditeurs/spectateurs ne savent foutrement pas lire la musique...Et une majorité d'entre eux sont (il faut le reconnaître bien souvent à tort !) "en extase" (n'ayons pas peur des mots !) à la fin du concert...Même si nombreux sont ceux qui ont roupillé durant une grande partie du concert !...
Il y a cent manières d'*AIMER* les *MUSIQUES*, n'est-ce pas...[Je ne parle évidemment pas des #90% d'abrutis gavés du matin au soir de muzaks ALC]...Et tu connais Mon amour des *SONS*, dans la Musique...Sons dont tu sembles (trois fois hélas) t'évertuer à "nier" l'importance...
-- Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui accroît sa science accroît sa douleur. [Ecclésiaste, 1-18] MELMOTH - souffrant
Ce cher mammifère du nom de Gerald nous susurrait, le lundi 05/12/2011,
dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et
dans le message <1kbsp9u.pck902199j8jkN%Gerald@alussinan.org>, les doux
mélismes suivants :
Je ne savais pas qu'il était obligatoire de savoir lire la musique
pour l'écouter...
J'ai pas dit ça.
Quand même...À te lire depuis si longtemps, tu le laisses plus que
_fortemennt_...entendre, hein !...
Je Me souviendrai toujours d'un des festivals (Hélas disparu depuis des
lustres) de Musique de chambre de l'Hermitage (La Baule...Du grand René
Martin himself)...WE de trois jours exceptionnels...
J'étais assis à côté d'un "critique" [sic] (dont Je préfère taire le
nom...Hé oui...Il M'arrive à Moi aussi d'être courtois) de Télérama
...Qui, durant _tous_ les concerts auxquels il participa, écouta (?)
/tout en lisant la partition/ (Oh...Ce n'est pas le seul, hein...À tous
les concerts, il y en a toujours, de ce genre de primates...Ça fait
tellement chicos, n'est-ce pas)...Et n'applaudit _jamais_ aux moindres
prestations (qui, Je le répète, furent d'un niveau exceptionnel),
arborant une moue de dégoût HIÉ...Je l'aurais bouffé, ce connard...
Je Me suis permis de l'aborder...Pour lui dire qu'il aurait auusi bien
pu rester chez lui à lire ses putains de partoches...Il Me regarda sans
comprendre et tourna le dos...
Et des exemples de ce genre, Je ai des centaines...
Dans une salle de concert de 300 ou 12 000 places, #98% des
auditeurs/spectateurs ne savent foutrement pas lire la musique...Et une
majorité d'entre eux sont (il faut le reconnaître bien souvent à tort
!) "en extase" (n'ayons pas peur des mots !) à la fin du concert...Même
si nombreux sont ceux qui ont roupillé durant une grande partie du
concert !...
Il y a cent manières d'*AIMER* les *MUSIQUES*, n'est-ce pas...[Je ne
parle évidemment pas des #90% d'abrutis gavés du matin au soir de
muzaks ALC]...Et tu connais Mon amour des *SONS*, dans la
Musique...Sons dont tu sembles (trois fois hélas) t'évertuer à "nier"
l'importance...
--
Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui
accroît sa science accroît sa douleur.
[Ecclésiaste, 1-18]
MELMOTH - souffrant
Ce cher mammifère du nom de Gerald nous susurrait, le lundi 05/12/2011, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et dans le message <1kbsp9u.pck902199j8jkN%, les doux mélismes suivants :
Je ne savais pas qu'il était obligatoire de savoir lire la musique pour l'écouter...
J'ai pas dit ça.
Quand même...À te lire depuis si longtemps, tu le laisses plus que _fortemennt_...entendre, hein !...
Je Me souviendrai toujours d'un des festivals (Hélas disparu depuis des lustres) de Musique de chambre de l'Hermitage (La Baule...Du grand René Martin himself)...WE de trois jours exceptionnels... J'étais assis à côté d'un "critique" [sic] (dont Je préfère taire le nom...Hé oui...Il M'arrive à Moi aussi d'être courtois) de Télérama ...Qui, durant _tous_ les concerts auxquels il participa, écouta (?) /tout en lisant la partition/ (Oh...Ce n'est pas le seul, hein...À tous les concerts, il y en a toujours, de ce genre de primates...Ça fait tellement chicos, n'est-ce pas)...Et n'applaudit _jamais_ aux moindres prestations (qui, Je le répète, furent d'un niveau exceptionnel), arborant une moue de dégoût HIÉ...Je l'aurais bouffé, ce connard... Je Me suis permis de l'aborder...Pour lui dire qu'il aurait auusi bien pu rester chez lui à lire ses putains de partoches...Il Me regarda sans comprendre et tourna le dos... Et des exemples de ce genre, Je ai des centaines...
Dans une salle de concert de 300 ou 12 000 places, #98% des auditeurs/spectateurs ne savent foutrement pas lire la musique...Et une majorité d'entre eux sont (il faut le reconnaître bien souvent à tort !) "en extase" (n'ayons pas peur des mots !) à la fin du concert...Même si nombreux sont ceux qui ont roupillé durant une grande partie du concert !...
Il y a cent manières d'*AIMER* les *MUSIQUES*, n'est-ce pas...[Je ne parle évidemment pas des #90% d'abrutis gavés du matin au soir de muzaks ALC]...Et tu connais Mon amour des *SONS*, dans la Musique...Sons dont tu sembles (trois fois hélas) t'évertuer à "nier" l'importance...
-- Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui accroît sa science accroît sa douleur. [Ecclésiaste, 1-18] MELMOTH - souffrant
Gerald
MELMOTH wrote:
Quand même...À te lire depuis si longtemps, tu le laisses plus que _fortemennt_...entendre, hein !...
On peut parler de différences de points de vue sans nécessairement hiérarchiser et encore moins obliger. Proposer ?
Je Me suis permis de l'aborder...Pour lui dire qu'il aurait auusi bien pu rester chez lui à lire ses putains de partoches...Il Me regarda sans comprendre et tourna le dos...
Je ne me serais pas plus comporté comme lui que comme toi. Ça ne me viendrait pas à l'idée d'emmener des partoches à un concert, mais je ne me permettrais pas de commenter : au nom de quoi ? De mon point de vue, la partoche c'est avant ou après. À la rigueur en deuxième intention sur un enregistrement, pour vérifier, affiner.
Et tu connais Mon amour des *SONS*, dans la Musique...Sons dont tu sembles (trois fois hélas) t'évertuer à "nier" l'importance...
Pas exactement. Trois notions : bruit, son, note, pour des réalités qui se recoupent largement... Si je dois choisir, je prends la note :-) Parce qu'elle a des qualités que n'ont pas les deux autres.
Et c'est quelque chose que j'aimerais bien partager : il y a des rapports d'affinités entre les notes. De proximité, de mouvements des unes par rapport aux autres... des associations prévisibles, d'autres qui étonnent, presque sacrilèges... Certaines qu'on prépare à l'avance, d'autre qu'on sert dans l'instant...
La musique est, _AVANT TOUT_, composée pour /ÊTRE ENTENDUE/ !
Puisque tu appelles les musiciens à la rescousse, je veux bien prendre les paris : du fin fond de la brousse africaine (si elle existe encore) aux sommets de l'Himalaya en passant par le Japon traditionnel, l'Amérique du Sud ou la Laponie, ils te diront plutôt qu'elle est faite avant tout pour /ÊTRE JOUÉE/ !
-- Gérald
MELMOTH <theo@free.fr> wrote:
Quand même...À te lire depuis si longtemps, tu le laisses plus que
_fortemennt_...entendre, hein !...
On peut parler de différences de points de vue sans nécessairement
hiérarchiser et encore moins obliger. Proposer ?
Je Me suis permis de l'aborder...Pour lui dire qu'il aurait auusi bien
pu rester chez lui à lire ses putains de partoches...Il Me regarda sans
comprendre et tourna le dos...
Je ne me serais pas plus comporté comme lui que comme toi. Ça ne me
viendrait pas à l'idée d'emmener des partoches à un concert, mais je ne
me permettrais pas de commenter : au nom de quoi ? De mon point de vue,
la partoche c'est avant ou après. À la rigueur en deuxième intention sur
un enregistrement, pour vérifier, affiner.
Et tu connais Mon amour des *SONS*, dans la
Musique...Sons dont tu sembles (trois fois hélas) t'évertuer à "nier"
l'importance...
Pas exactement. Trois notions : bruit, son, note, pour des réalités qui
se recoupent largement... Si je dois choisir, je prends la note :-)
Parce qu'elle a des qualités que n'ont pas les deux autres.
Et c'est quelque chose que j'aimerais bien partager : il y a des
rapports d'affinités entre les notes. De proximité, de mouvements des
unes par rapport aux autres... des associations prévisibles, d'autres
qui étonnent, presque sacrilèges... Certaines qu'on prépare à l'avance,
d'autre qu'on sert dans l'instant...
La musique est,
_AVANT TOUT_, composée pour /ÊTRE ENTENDUE/ !
Puisque tu appelles les musiciens à la rescousse, je veux bien prendre
les paris : du fin fond de la brousse africaine (si elle existe encore)
aux sommets de l'Himalaya en passant par le Japon traditionnel,
l'Amérique du Sud ou la Laponie, ils te diront plutôt qu'elle est faite
avant tout pour /ÊTRE JOUÉE/ !
Quand même...À te lire depuis si longtemps, tu le laisses plus que _fortemennt_...entendre, hein !...
On peut parler de différences de points de vue sans nécessairement hiérarchiser et encore moins obliger. Proposer ?
Je Me suis permis de l'aborder...Pour lui dire qu'il aurait auusi bien pu rester chez lui à lire ses putains de partoches...Il Me regarda sans comprendre et tourna le dos...
Je ne me serais pas plus comporté comme lui que comme toi. Ça ne me viendrait pas à l'idée d'emmener des partoches à un concert, mais je ne me permettrais pas de commenter : au nom de quoi ? De mon point de vue, la partoche c'est avant ou après. À la rigueur en deuxième intention sur un enregistrement, pour vérifier, affiner.
Et tu connais Mon amour des *SONS*, dans la Musique...Sons dont tu sembles (trois fois hélas) t'évertuer à "nier" l'importance...
Pas exactement. Trois notions : bruit, son, note, pour des réalités qui se recoupent largement... Si je dois choisir, je prends la note :-) Parce qu'elle a des qualités que n'ont pas les deux autres.
Et c'est quelque chose que j'aimerais bien partager : il y a des rapports d'affinités entre les notes. De proximité, de mouvements des unes par rapport aux autres... des associations prévisibles, d'autres qui étonnent, presque sacrilèges... Certaines qu'on prépare à l'avance, d'autre qu'on sert dans l'instant...
La musique est, _AVANT TOUT_, composée pour /ÊTRE ENTENDUE/ !
Puisque tu appelles les musiciens à la rescousse, je veux bien prendre les paris : du fin fond de la brousse africaine (si elle existe encore) aux sommets de l'Himalaya en passant par le Japon traditionnel, l'Amérique du Sud ou la Laponie, ils te diront plutôt qu'elle est faite avant tout pour /ÊTRE JOUÉE/ !
-- Gérald
MELMOTH
Ce cher mammifère du nom de Gerald nous susurrait, le lundi 05/12/2011, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et dans le message <1kbtaeo.1h7sh0q1kccszkN%, les doux mélismes suivants :
ils te diront plutôt qu'elle est faite avant tout pour /ÊTRE JOUÉE/ !
...Et /ENTENDUE/ ne serait-ce que par ceux qui la jouent...
-- Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui accroît sa science accroît sa douleur. [Ecclésiaste, 1-18] MELMOTH - souffrant
Ce cher mammifère du nom de Gerald nous susurrait, le lundi 05/12/2011,
dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et
dans le message <1kbtaeo.1h7sh0q1kccszkN%Gerald@alussinan.org>, les
doux mélismes suivants :
ils te diront plutôt qu'elle est faite avant tout pour /ÊTRE JOUÉE/ !
...Et /ENTENDUE/ ne serait-ce que par ceux qui la jouent...
--
Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui
accroît sa science accroît sa douleur.
[Ecclésiaste, 1-18]
MELMOTH - souffrant
Ce cher mammifère du nom de Gerald nous susurrait, le lundi 05/12/2011, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et dans le message <1kbtaeo.1h7sh0q1kccszkN%, les doux mélismes suivants :
ils te diront plutôt qu'elle est faite avant tout pour /ÊTRE JOUÉE/ !
...Et /ENTENDUE/ ne serait-ce que par ceux qui la jouent...
-- Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui accroît sa science accroît sa douleur. [Ecclésiaste, 1-18] MELMOTH - souffrant
grenault
Le 05/12/2011 17:31, MELMOTH a écrit :
Ce cher mammifère du nom de Gerald nous susurrait, le lundi 05/12/2011, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et dans le message <1kbtaeo.1h7sh0q1kccszkN%, les doux mélismes suivants :
ils te diront plutôt qu'elle est faite avant tout pour /ÊTRE JOUÉE/ !
...Et /ENTENDUE/ ne serait-ce que par ceux qui la jouent...
Le plaisir des musiciens est d'être écouté... En tout cas c'était comme ça pour moi quand je jouais dans une petite formation d'étudiants (c'était hier...). Il y avait aussi les filles qui attendaient la fin des petites sauteries... (des risques collatéraux).
Ce cher mammifère du nom de Gerald nous susurrait, le lundi 05/12/2011,
dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et
dans le message <1kbtaeo.1h7sh0q1kccszkN%Gerald@alussinan.org>, les doux
mélismes suivants :
ils te diront plutôt qu'elle est faite avant tout pour /ÊTRE JOUÉE/ !
...Et /ENTENDUE/ ne serait-ce que par ceux qui la jouent...
Le plaisir des musiciens est d'être écouté... En tout cas c'était comme
ça pour moi quand je jouais dans une petite formation d'étudiants
(c'était hier...). Il y avait aussi les filles qui attendaient la fin
des petites sauteries... (des risques collatéraux).
Ce cher mammifère du nom de Gerald nous susurrait, le lundi 05/12/2011, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et dans le message <1kbtaeo.1h7sh0q1kccszkN%, les doux mélismes suivants :
ils te diront plutôt qu'elle est faite avant tout pour /ÊTRE JOUÉE/ !
...Et /ENTENDUE/ ne serait-ce que par ceux qui la jouent...
Le plaisir des musiciens est d'être écouté... En tout cas c'était comme ça pour moi quand je jouais dans une petite formation d'étudiants (c'était hier...). Il y avait aussi les filles qui attendaient la fin des petites sauteries... (des risques collatéraux).
Le plaisir des musiciens est d'être écouté... En tout cas c'était comme ça pour moi quand je jouais dans une petite formation d'étudiants (c'était hier...).
Pas forcément : l'histoire de la musique est pleine d'exemples de créateurs parfaitement incompris du public et dont les créations sont historiquement une valeur immense. Deux exemples : Parker et Gillespie (ou Miles) se réunissant le soir en petit comité pour créer le bebop, alors qu'ils gagnaient leur croûte en big bands de danse... Les concerts gratuits de l'Ircam le mardi soir, où il y a foule quand on est quinze, alors que les compositeurs qui s'y produisent sont des tronches fabuleuses et des légendes de demain...
Il y avait aussi les filles qui attendaient la fin des petites sauteries... (des risques collatéraux).
Je ne dirais pas cela : ça situe exactement la limite (le fossé !) entre ceux qui sont sur scène pour jouer de la musique pour la musique (pour eux d'abord, pour qui veut entendre éventuellement) et ceux qui y sont pour se montrer et séduire.
Who's side are you on ?
-- Gérald
grenault <contact@guy-renault.com> wrote:
Le plaisir des musiciens est d'être écouté... En tout cas c'était comme
ça pour moi quand je jouais dans une petite formation d'étudiants
(c'était hier...).
Pas forcément : l'histoire de la musique est pleine d'exemples de
créateurs parfaitement incompris du public et dont les créations sont
historiquement une valeur immense. Deux exemples : Parker et Gillespie
(ou Miles) se réunissant le soir en petit comité pour créer le bebop,
alors qu'ils gagnaient leur croûte en big bands de danse... Les concerts
gratuits de l'Ircam le mardi soir, où il y a foule quand on est quinze,
alors que les compositeurs qui s'y produisent sont des tronches
fabuleuses et des légendes de demain...
Il y avait aussi les filles qui attendaient la fin
des petites sauteries... (des risques collatéraux).
Je ne dirais pas cela : ça situe exactement la limite (le fossé !) entre
ceux qui sont sur scène pour jouer de la musique pour la musique (pour
eux d'abord, pour qui veut entendre éventuellement) et ceux qui y sont
pour se montrer et séduire.
Le plaisir des musiciens est d'être écouté... En tout cas c'était comme ça pour moi quand je jouais dans une petite formation d'étudiants (c'était hier...).
Pas forcément : l'histoire de la musique est pleine d'exemples de créateurs parfaitement incompris du public et dont les créations sont historiquement une valeur immense. Deux exemples : Parker et Gillespie (ou Miles) se réunissant le soir en petit comité pour créer le bebop, alors qu'ils gagnaient leur croûte en big bands de danse... Les concerts gratuits de l'Ircam le mardi soir, où il y a foule quand on est quinze, alors que les compositeurs qui s'y produisent sont des tronches fabuleuses et des légendes de demain...
Il y avait aussi les filles qui attendaient la fin des petites sauteries... (des risques collatéraux).
Je ne dirais pas cela : ça situe exactement la limite (le fossé !) entre ceux qui sont sur scène pour jouer de la musique pour la musique (pour eux d'abord, pour qui veut entendre éventuellement) et ceux qui y sont pour se montrer et séduire.
Who's side are you on ?
-- Gérald
grenault
Le 05/12/2011 18:03, Gerald a écrit :
grenault wrote:
Le plaisir des musiciens est d'être écouté... En tout cas c'était comme ça pour moi quand je jouais dans une petite formation d'étudiants (c'était hier...).
Pas forcément : l'histoire de la musique est pleine d'exemples de créateurs parfaitement incompris du public et dont les créations sont historiquement une valeur immense. Deux exemples : Parker et Gillespie (ou Miles) se réunissant le soir en petit comité pour créer le bebop, alors qu'ils gagnaient leur croûte en big bands de danse... Les concerts gratuits de l'Ircam le mardi soir, où il y a foule quand on est quinze, alors que les compositeurs qui s'y produisent sont des tronches fabuleuses et des légendes de demain...
Il y avait aussi les filles qui attendaient la fin des petites sauteries... (des risques collatéraux).
Je ne dirais pas cela : ça situe exactement la limite (le fossé !) entre ceux qui sont sur scène pour jouer de la musique pour la musique (pour eux d'abord, pour qui veut entendre éventuellement) et ceux qui y sont pour se montrer et séduire.
Who's side are you on ?
Les deux mon capitaine ;-) On se faisait plaisir aussi en s'entrainant dans le sous-sol de la fac (en tout bien, tout honneur, bien sur).
Tu as oublié Coltrane et bien d'autres. Une autre époque fabuleuse de la musique.
Maintenant la musique je l'écoute en me disant que je ne pourrais même pas les imiter...
Le plaisir des musiciens est d'être écouté... En tout cas c'était comme
ça pour moi quand je jouais dans une petite formation d'étudiants
(c'était hier...).
Pas forcément : l'histoire de la musique est pleine d'exemples de
créateurs parfaitement incompris du public et dont les créations sont
historiquement une valeur immense. Deux exemples : Parker et Gillespie
(ou Miles) se réunissant le soir en petit comité pour créer le bebop,
alors qu'ils gagnaient leur croûte en big bands de danse... Les concerts
gratuits de l'Ircam le mardi soir, où il y a foule quand on est quinze,
alors que les compositeurs qui s'y produisent sont des tronches
fabuleuses et des légendes de demain...
Il y avait aussi les filles qui attendaient la fin
des petites sauteries... (des risques collatéraux).
Je ne dirais pas cela : ça situe exactement la limite (le fossé !) entre
ceux qui sont sur scène pour jouer de la musique pour la musique (pour
eux d'abord, pour qui veut entendre éventuellement) et ceux qui y sont
pour se montrer et séduire.
Who's side are you on ?
Les deux mon capitaine ;-) On se faisait plaisir aussi en s'entrainant
dans le sous-sol de la fac (en tout bien, tout honneur, bien sur).
Tu as oublié Coltrane et bien d'autres. Une autre époque fabuleuse de la
musique.
Maintenant la musique je l'écoute en me disant que je ne pourrais même
pas les imiter...
Le plaisir des musiciens est d'être écouté... En tout cas c'était comme ça pour moi quand je jouais dans une petite formation d'étudiants (c'était hier...).
Pas forcément : l'histoire de la musique est pleine d'exemples de créateurs parfaitement incompris du public et dont les créations sont historiquement une valeur immense. Deux exemples : Parker et Gillespie (ou Miles) se réunissant le soir en petit comité pour créer le bebop, alors qu'ils gagnaient leur croûte en big bands de danse... Les concerts gratuits de l'Ircam le mardi soir, où il y a foule quand on est quinze, alors que les compositeurs qui s'y produisent sont des tronches fabuleuses et des légendes de demain...
Il y avait aussi les filles qui attendaient la fin des petites sauteries... (des risques collatéraux).
Je ne dirais pas cela : ça situe exactement la limite (le fossé !) entre ceux qui sont sur scène pour jouer de la musique pour la musique (pour eux d'abord, pour qui veut entendre éventuellement) et ceux qui y sont pour se montrer et séduire.
Who's side are you on ?
Les deux mon capitaine ;-) On se faisait plaisir aussi en s'entrainant dans le sous-sol de la fac (en tout bien, tout honneur, bien sur).
Tu as oublié Coltrane et bien d'autres. Une autre époque fabuleuse de la musique.
Maintenant la musique je l'écoute en me disant que je ne pourrais même pas les imiter...
"SbM" a écrit dans le message de groupe de discussion : 1kbrl0h.u86zoa1laslvkN%
Toujours ce problème avec la hifi, de penser pouvoir ignorer la musique...
Je ne savais pas qu'il était obligatoire de savoir lire la musique pour l'écouter...
De connaitre l'histoire et les techniques de la peinture pour aller aux musées, de connaitre l'art culinaire pour apprécier un plat, etc, etc Le débat a déjà eu lieu ici.
Dans ces conditions monsieur doit se priver de bien des plaisirs artistiques !
"SbM" a écrit dans le message de groupe de discussion :
1kbrl0h.u86zoa1laslvkN%sebastienmarty@yahoo.fr...
Toujours ce problème avec la hifi, de penser pouvoir ignorer la
musique...
Je ne savais pas qu'il était obligatoire de savoir lire la musique pour
l'écouter...
De connaitre l'histoire et les techniques de la peinture pour aller aux
musées, de connaitre l'art culinaire pour apprécier un plat, etc, etc Le
débat a déjà eu lieu ici.
Dans ces conditions monsieur doit se priver de bien des plaisirs artistiques
!
"SbM" a écrit dans le message de groupe de discussion : 1kbrl0h.u86zoa1laslvkN%
Toujours ce problème avec la hifi, de penser pouvoir ignorer la musique...
Je ne savais pas qu'il était obligatoire de savoir lire la musique pour l'écouter...
De connaitre l'histoire et les techniques de la peinture pour aller aux musées, de connaitre l'art culinaire pour apprécier un plat, etc, etc Le débat a déjà eu lieu ici.
Dans ces conditions monsieur doit se priver de bien des plaisirs artistiques !
Dominique Bourdeau
"Gerald" a écrit dans le message de groupe de discussion : 1kbtaeo.1h7sh0q1kccszkN%
Puisque tu appelles les musiciens à la rescousse, je veux bien prendre les paris : du fin fond de la brousse africaine (si elle existe encore) aux sommets de l'Himalaya en passant par le Japon traditionnel, l'Amérique du Sud ou la Laponie, ils te diront plutôt qu'elle est faite avant tout pour /ÊTRE JOUÉE/ !
Pourquoi la jouer si elle ne doit pas être écoutée ???? Très contradictoire. Le musicien n'a qu'à lire les partitions. Pour les autres, sauf à s'en priver ce qui serait dommage, ils écoutent et autant le faire dans les meilleures conditions !
"Gerald" a écrit dans le message de groupe de discussion :
1kbtaeo.1h7sh0q1kccszkN%Gerald@alussinan.org...
Puisque tu appelles les musiciens à la rescousse, je veux bien prendre
les paris : du fin fond de la brousse africaine (si elle existe encore)
aux sommets de l'Himalaya en passant par le Japon traditionnel,
l'Amérique du Sud ou la Laponie, ils te diront plutôt qu'elle est faite
avant tout pour /ÊTRE JOUÉE/ !
Pourquoi la jouer si elle ne doit pas être écoutée ???? Très contradictoire.
Le musicien n'a qu'à lire les partitions. Pour les autres, sauf à s'en
priver ce qui serait dommage, ils écoutent et autant le faire dans les
meilleures conditions !
"Gerald" a écrit dans le message de groupe de discussion : 1kbtaeo.1h7sh0q1kccszkN%
Puisque tu appelles les musiciens à la rescousse, je veux bien prendre les paris : du fin fond de la brousse africaine (si elle existe encore) aux sommets de l'Himalaya en passant par le Japon traditionnel, l'Amérique du Sud ou la Laponie, ils te diront plutôt qu'elle est faite avant tout pour /ÊTRE JOUÉE/ !
Pourquoi la jouer si elle ne doit pas être écoutée ???? Très contradictoire. Le musicien n'a qu'à lire les partitions. Pour les autres, sauf à s'en priver ce qui serait dommage, ils écoutent et autant le faire dans les meilleures conditions !
MELMOTH
Ce cher mammifère du nom de Dominique Bourdeau nous susurrait, le mardi 06/12/2011, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et dans le message <4eddc7f0$0$5659$, les doux mélismes suivants :
Pourquoi la jouer si elle ne doit pas être écoutée ???? Très contradictoire. Le musicien n'a qu'à lire les partitions. Pour les autres, sauf à s'en priver ce qui serait dommage, ils écoutent et autant le faire dans les meilleures conditions !
Il faut reconnaître que les "théories" [sic] de GTerald sur la Musique sont pour le moins incohérentes et pour tout dire difficilement acceptables... Ce bloquage contre le *SON*, sa quasi _aversion_ vis à vis d'icelui (et, conséquemment, pour tout ce qui touche à la haute fidélité) et de son /ÉCOUTE/ par des auditeurs qui n'ont _pas composé_ les musiques qu'ils prennent *PLAISIR* à entendre/écouter Me semble plus que cosmiquement...Oh oui alors...
-- Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui accroît sa science accroît sa douleur. [Ecclésiaste, 1-18] MELMOTH - souffrant
Ce cher mammifère du nom de Dominique Bourdeau nous susurrait, le mardi
06/12/2011, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout
de même, et dans le message
<4eddc7f0$0$5659$ba4acef3@reader.news.orange.fr>, les doux mélismes
suivants :
Pourquoi la jouer si elle ne doit pas être écoutée ???? Très
contradictoire. Le musicien n'a qu'à lire les partitions. Pour les
autres, sauf à s'en priver ce qui serait dommage, ils écoutent et
autant le faire dans les meilleures conditions !
Il faut reconnaître que les "théories" [sic] de GTerald sur la Musique
sont pour le moins incohérentes et pour tout dire difficilement
acceptables...
Ce bloquage contre le *SON*, sa quasi _aversion_ vis à vis d'icelui
(et, conséquemment, pour tout ce qui touche à la haute fidélité) et de
son /ÉCOUTE/ par des auditeurs qui n'ont _pas composé_ les musiques
qu'ils prennent *PLAISIR* à entendre/écouter Me semble plus que
cosmiquement...Oh oui alors...
--
Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui
accroît sa science accroît sa douleur.
[Ecclésiaste, 1-18]
MELMOTH - souffrant
Ce cher mammifère du nom de Dominique Bourdeau nous susurrait, le mardi 06/12/2011, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et dans le message <4eddc7f0$0$5659$, les doux mélismes suivants :
Pourquoi la jouer si elle ne doit pas être écoutée ???? Très contradictoire. Le musicien n'a qu'à lire les partitions. Pour les autres, sauf à s'en priver ce qui serait dommage, ils écoutent et autant le faire dans les meilleures conditions !
Il faut reconnaître que les "théories" [sic] de GTerald sur la Musique sont pour le moins incohérentes et pour tout dire difficilement acceptables... Ce bloquage contre le *SON*, sa quasi _aversion_ vis à vis d'icelui (et, conséquemment, pour tout ce qui touche à la haute fidélité) et de son /ÉCOUTE/ par des auditeurs qui n'ont _pas composé_ les musiques qu'ils prennent *PLAISIR* à entendre/écouter Me semble plus que cosmiquement...Oh oui alors...
-- Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui accroît sa science accroît sa douleur. [Ecclésiaste, 1-18] MELMOTH - souffrant