Ce cher mammifère du nom de Gerald nous susurrait, le samedi
les doux mélismes suivants :Et quand je m'occupe d'audio, je m'intéresse à ce qu'ont utilisé CEUX
qui ont créé les documents sonores que j'envisage d'écouter [...]
Je crois l'avoir déjà dit...
J'ai (assez bien) connu deux preneurs de son reconnus et réputés [...]
Ce cher mammifère du nom de Gerald nous susurrait, le samedi
les doux mélismes suivants :
> Et quand je m'occupe d'audio, je m'intéresse à ce qu'ont utilisé CEUX
> qui ont créé les documents sonores que j'envisage d'écouter [...]
Je crois l'avoir déjà dit...
J'ai (assez bien) connu deux preneurs de son reconnus et réputés [...]
Ce cher mammifère du nom de Gerald nous susurrait, le samedi
les doux mélismes suivants :Et quand je m'occupe d'audio, je m'intéresse à ce qu'ont utilisé CEUX
qui ont créé les documents sonores que j'envisage d'écouter [...]
Je crois l'avoir déjà dit...
J'ai (assez bien) connu deux preneurs de son reconnus et réputés [...]
Faut arrêter le délire : aucune salle de concert ne permet de "profiter"
de 120dB de dynamique. Même une chambre sourde standard ne le permet pas.
Tu fais la même erreur que Melmoth : la sensibilité d'une enceinte n'a
strictement rien à voir avec une quelconque dynamique.
Il n'y a pas grand-chose à débattre, toutes ces questions sont connues
depuis longtemps. Il faut appliquer une compression dynamique aux
enregistrements pour tenir compte des conditions d'écoute, qui ne sont
pour l'essentiel pas celles d'un studio insonorisé.
Faut arrêter le délire : aucune salle de concert ne permet de "profiter"
de 120dB de dynamique. Même une chambre sourde standard ne le permet pas.
Tu fais la même erreur que Melmoth : la sensibilité d'une enceinte n'a
strictement rien à voir avec une quelconque dynamique.
Il n'y a pas grand-chose à débattre, toutes ces questions sont connues
depuis longtemps. Il faut appliquer une compression dynamique aux
enregistrements pour tenir compte des conditions d'écoute, qui ne sont
pour l'essentiel pas celles d'un studio insonorisé.
Faut arrêter le délire : aucune salle de concert ne permet de "profiter"
de 120dB de dynamique. Même une chambre sourde standard ne le permet pas.
Tu fais la même erreur que Melmoth : la sensibilité d'une enceinte n'a
strictement rien à voir avec une quelconque dynamique.
Il n'y a pas grand-chose à débattre, toutes ces questions sont connues
depuis longtemps. Il faut appliquer une compression dynamique aux
enregistrements pour tenir compte des conditions d'écoute, qui ne sont
pour l'essentiel pas celles d'un studio insonorisé.
pehache wrote:Faut arrêter le délire : aucune salle de concert ne permet de "profiter"
de 120dB de dynamique. Même une chambre sourde standard ne le permet pas.
Tu confirmes simplement la qualité du trait d'humour du dirigeant
(d'alors) de la DGG face aux dirigeants nippons de Yamaha dans l'exemple
historique que je proposais : effectivement cette performance nouvelle
du matériel est restée parfaitement théorique ...et des matériels qui
ont suivi aussi d'ailleurs car ça s'est étendu ensuite à tout ce qui est
numérique dans la chaîne de production (les effets en particulier), pour
toutes les marques, à telle enseigne que dans les salons professionnels,
au tournant des années 2000, les constructeurs ne proposaient PLUS
d'écouter leur matériel mais de *regarder* les courbes et les chiffres !Tu fais la même erreur que Melmoth : la sensibilité d'une enceinte n'a
strictement rien à voir avec une quelconque dynamique.
C'est vrai, mais une enceinte a bien, aussi, une amplitude dynamique
effective, qui reste malheureusement et en l'état actuel de la
technologie, très inférieure à celle des matériels en amont.
Il n'y a pas grand-chose à débattre, toutes ces questions sont connues
depuis longtemps. Il faut appliquer une compression dynamique aux
enregistrements pour tenir compte des conditions d'écoute, qui ne sont
pour l'essentiel pas celles d'un studio insonorisé.
On est toujours d'accord, mais appliqué à ce forum, ce que tu dis là
relativise quand même les prétentions des audiophiles en général,
...OU
BIEN pourrait leur ouvrir des pistes vers la recherche de VÉRITABLES
meilleures conditions d'écoute (pour le cas où ce serait vraiment leur
ambition).
pehache <pehache.7@gmail.com> wrote:
Faut arrêter le délire : aucune salle de concert ne permet de "profiter"
de 120dB de dynamique. Même une chambre sourde standard ne le permet pas.
Tu confirmes simplement la qualité du trait d'humour du dirigeant
(d'alors) de la DGG face aux dirigeants nippons de Yamaha dans l'exemple
historique que je proposais : effectivement cette performance nouvelle
du matériel est restée parfaitement théorique ...et des matériels qui
ont suivi aussi d'ailleurs car ça s'est étendu ensuite à tout ce qui est
numérique dans la chaîne de production (les effets en particulier), pour
toutes les marques, à telle enseigne que dans les salons professionnels,
au tournant des années 2000, les constructeurs ne proposaient PLUS
d'écouter leur matériel mais de *regarder* les courbes et les chiffres !
Tu fais la même erreur que Melmoth : la sensibilité d'une enceinte n'a
strictement rien à voir avec une quelconque dynamique.
C'est vrai, mais une enceinte a bien, aussi, une amplitude dynamique
effective, qui reste malheureusement et en l'état actuel de la
technologie, très inférieure à celle des matériels en amont.
Il n'y a pas grand-chose à débattre, toutes ces questions sont connues
depuis longtemps. Il faut appliquer une compression dynamique aux
enregistrements pour tenir compte des conditions d'écoute, qui ne sont
pour l'essentiel pas celles d'un studio insonorisé.
On est toujours d'accord, mais appliqué à ce forum, ce que tu dis là
relativise quand même les prétentions des audiophiles en général,
...OU
BIEN pourrait leur ouvrir des pistes vers la recherche de VÉRITABLES
meilleures conditions d'écoute (pour le cas où ce serait vraiment leur
ambition).
pehache wrote:Faut arrêter le délire : aucune salle de concert ne permet de "profiter"
de 120dB de dynamique. Même une chambre sourde standard ne le permet pas.
Tu confirmes simplement la qualité du trait d'humour du dirigeant
(d'alors) de la DGG face aux dirigeants nippons de Yamaha dans l'exemple
historique que je proposais : effectivement cette performance nouvelle
du matériel est restée parfaitement théorique ...et des matériels qui
ont suivi aussi d'ailleurs car ça s'est étendu ensuite à tout ce qui est
numérique dans la chaîne de production (les effets en particulier), pour
toutes les marques, à telle enseigne que dans les salons professionnels,
au tournant des années 2000, les constructeurs ne proposaient PLUS
d'écouter leur matériel mais de *regarder* les courbes et les chiffres !Tu fais la même erreur que Melmoth : la sensibilité d'une enceinte n'a
strictement rien à voir avec une quelconque dynamique.
C'est vrai, mais une enceinte a bien, aussi, une amplitude dynamique
effective, qui reste malheureusement et en l'état actuel de la
technologie, très inférieure à celle des matériels en amont.
Il n'y a pas grand-chose à débattre, toutes ces questions sont connues
depuis longtemps. Il faut appliquer une compression dynamique aux
enregistrements pour tenir compte des conditions d'écoute, qui ne sont
pour l'essentiel pas celles d'un studio insonorisé.
On est toujours d'accord, mais appliqué à ce forum, ce que tu dis là
relativise quand même les prétentions des audiophiles en général,
...OU
BIEN pourrait leur ouvrir des pistes vers la recherche de VÉRITABLES
meilleures conditions d'écoute (pour le cas où ce serait vraiment leur
ambition).
...OU
BIEN pourrait leur ouvrir des pistes vers la recherche de VÉRITABLES
meilleures conditions d'écoute (pour le cas où ce serait vraiment leur
ambition).
Encore faudrait-il avoir accès à des enregistrements non compressés, ou
bien moins compressés qu'actuellement. Donc il faudrait que chaque
enregistrement soit disponible en 2 ou 3 versions, adaptées à des
conditions d'écoutes différentes. Mais ça multiplierait les coûts de
production, sur des projets qui ne sont déjà pas forcément très rentables.
> ...OU
> BIEN pourrait leur ouvrir des pistes vers la recherche de VÉRITABLES
> meilleures conditions d'écoute (pour le cas où ce serait vraiment leur
> ambition).
Encore faudrait-il avoir accès à des enregistrements non compressés, ou
bien moins compressés qu'actuellement. Donc il faudrait que chaque
enregistrement soit disponible en 2 ou 3 versions, adaptées à des
conditions d'écoutes différentes. Mais ça multiplierait les coûts de
production, sur des projets qui ne sont déjà pas forcément très rentables.
...OU
BIEN pourrait leur ouvrir des pistes vers la recherche de VÉRITABLES
meilleures conditions d'écoute (pour le cas où ce serait vraiment leur
ambition).
Encore faudrait-il avoir accès à des enregistrements non compressés, ou
bien moins compressés qu'actuellement. Donc il faudrait que chaque
enregistrement soit disponible en 2 ou 3 versions, adaptées à des
conditions d'écoutes différentes. Mais ça multiplierait les coûts de
production, sur des projets qui ne sont déjà pas forcément très rentables.
Tu restes sur les sources commerciales comme unique possibilité (comme
la quasi-totalité des participants de ce forum) mais amha c'est un
manque d'ambition et de largeur de vue ! Avec la démocratisation des
moyens actuels de grande qualité (micros et enregistreurs numériques),
l'attitude "chasseurs de son" devrait être très liée, *par définition* à
la hifi ! Qu'il s'agisse du chant des oiseaux, du bruit des vagues
ou
d'un enregistrement "live" d'événement musical ! (voir de la capture,
dans son salon, d'une amie violoncelliste !)
Pour parler concrètement, déjà, (de matériel que je connais pour en
posséder un) un simple Zoom H1 à 100 ? donne des résultats très
sympathiques (enregistrement en 24/96), avec une autonomie allant
jusqu'à 10 heures. Bonnette "fury" indispensable !
<https://www.zoom-na.com/fr>. Franchement, pour ce qui est de qualité de
son et de "haute fidélité", là, il y a de quoi motiver du monde !
Après, on peut gagner en qualité en investissant dans la directivité
cardioïde. Un simple Rode VideoMic Me à 50 ? qui se branche sur mon
smartphone a changé du tout au tout mes captures vidéo de concerts !
<http://fr.rode.com/microphones/
Tu restes sur les sources commerciales comme unique possibilité (comme
la quasi-totalité des participants de ce forum) mais amha c'est un
manque d'ambition et de largeur de vue ! Avec la démocratisation des
moyens actuels de grande qualité (micros et enregistreurs numériques),
l'attitude "chasseurs de son" devrait être très liée, *par définition* à
la hifi ! Qu'il s'agisse du chant des oiseaux, du bruit des vagues
ou
d'un enregistrement "live" d'événement musical ! (voir de la capture,
dans son salon, d'une amie violoncelliste !)
Pour parler concrètement, déjà, (de matériel que je connais pour en
posséder un) un simple Zoom H1 à 100 ? donne des résultats très
sympathiques (enregistrement en 24/96), avec une autonomie allant
jusqu'à 10 heures. Bonnette "fury" indispensable !
<https://www.zoom-na.com/fr>. Franchement, pour ce qui est de qualité de
son et de "haute fidélité", là, il y a de quoi motiver du monde !
Après, on peut gagner en qualité en investissant dans la directivité
cardioïde. Un simple Rode VideoMic Me à 50 ? qui se branche sur mon
smartphone a changé du tout au tout mes captures vidéo de concerts !
<http://fr.rode.com/microphones/
Tu restes sur les sources commerciales comme unique possibilité (comme
la quasi-totalité des participants de ce forum) mais amha c'est un
manque d'ambition et de largeur de vue ! Avec la démocratisation des
moyens actuels de grande qualité (micros et enregistreurs numériques),
l'attitude "chasseurs de son" devrait être très liée, *par définition* à
la hifi ! Qu'il s'agisse du chant des oiseaux, du bruit des vagues
ou
d'un enregistrement "live" d'événement musical ! (voir de la capture,
dans son salon, d'une amie violoncelliste !)
Pour parler concrètement, déjà, (de matériel que je connais pour en
posséder un) un simple Zoom H1 à 100 ? donne des résultats très
sympathiques (enregistrement en 24/96), avec une autonomie allant
jusqu'à 10 heures. Bonnette "fury" indispensable !
<https://www.zoom-na.com/fr>. Franchement, pour ce qui est de qualité de
son et de "haute fidélité", là, il y a de quoi motiver du monde !
Après, on peut gagner en qualité en investissant dans la directivité
cardioïde. Un simple Rode VideoMic Me à 50 ? qui se branche sur mon
smartphone a changé du tout au tout mes captures vidéo de concerts !
<http://fr.rode.com/microphones/
Ah, ben non, tu le crois !
Ça me rappelle une époque où quelques idiophiles croyaient détenir
le graal [...]
Ah, ben non, tu le crois !
Ça me rappelle une époque où quelques idiophiles croyaient détenir
le graal [...]
Ah, ben non, tu le crois !
Ça me rappelle une époque où quelques idiophiles croyaient détenir
le graal [...]
Les capacités techniques des smartphones d'aujourd'hui, en photo, audio
(sous réserves de micros additionnels) et vidéo, CHANGENT complètement
la donne dans la démarche de "capture" d'événements et d'instants : pour
la raison première qu'on les a toujours sur soi, et que ça ne pèse rien
(y compris d'avoir un Rode ou un Shure et sa bonette dans sa poche).
Autrefois, vouloir faire de la photo amateur (ou professionnelle
d'ailleurs !) nécessitait un PROJET préalable : de se munir de
l'appareil ad hoc.
En audio, même quand ils avaient les moyens d'un
Nagra, les chasseurs de son devaient partir avec la sacoche sur
l'épaule. Et s'ils ne l'avaient pas prévu : tant pis pour l'événement
inattendu.
MAIS intervient alors un autre
paramètre : les conditions
d'écoute potentielles des documents ainsi capturés.
Et là, désolé, mais avec les matériels qui sont discutés ici (on est
parfaitement en charte !), J'AFFIRME qu'une capture par mes soins en
24/96 d'un concert où j'ai pu positionner mon micro de manière optimale,
sur une perche en hauteur, face à la scène, représente effectivement le
Graal en matière de source pour nos audiophiles.
Dans "tes" studios,
la donne est évidemment différente, mais comme il
n'en sort RIEN qui soit matériellement d'une résolution ou fréquence
d'échantillonnage équivalent à ce que je propose... j'appelle juste à la
modération. J'admets que tes matériels sont essentiels pour obtenir le
meilleur de ce qui est possible comme matériau de base. La manière dont
il arrive ensuite à l'auditeur, hors de ton contrôle, oblige, hélas, à
un peu plus de modestie...
Les capacités techniques des smartphones d'aujourd'hui, en photo, audio
(sous réserves de micros additionnels) et vidéo, CHANGENT complètement
la donne dans la démarche de "capture" d'événements et d'instants : pour
la raison première qu'on les a toujours sur soi, et que ça ne pèse rien
(y compris d'avoir un Rode ou un Shure et sa bonette dans sa poche).
Autrefois, vouloir faire de la photo amateur (ou professionnelle
d'ailleurs !) nécessitait un PROJET préalable : de se munir de
l'appareil ad hoc.
En audio, même quand ils avaient les moyens d'un
Nagra, les chasseurs de son devaient partir avec la sacoche sur
l'épaule. Et s'ils ne l'avaient pas prévu : tant pis pour l'événement
inattendu.
MAIS intervient alors un autre
paramètre : les conditions
d'écoute potentielles des documents ainsi capturés.
Et là, désolé, mais avec les matériels qui sont discutés ici (on est
parfaitement en charte !), J'AFFIRME qu'une capture par mes soins en
24/96 d'un concert où j'ai pu positionner mon micro de manière optimale,
sur une perche en hauteur, face à la scène, représente effectivement le
Graal en matière de source pour nos audiophiles.
Dans "tes" studios,
la donne est évidemment différente, mais comme il
n'en sort RIEN qui soit matériellement d'une résolution ou fréquence
d'échantillonnage équivalent à ce que je propose... j'appelle juste à la
modération. J'admets que tes matériels sont essentiels pour obtenir le
meilleur de ce qui est possible comme matériau de base. La manière dont
il arrive ensuite à l'auditeur, hors de ton contrôle, oblige, hélas, à
un peu plus de modestie...
Les capacités techniques des smartphones d'aujourd'hui, en photo, audio
(sous réserves de micros additionnels) et vidéo, CHANGENT complètement
la donne dans la démarche de "capture" d'événements et d'instants : pour
la raison première qu'on les a toujours sur soi, et que ça ne pèse rien
(y compris d'avoir un Rode ou un Shure et sa bonette dans sa poche).
Autrefois, vouloir faire de la photo amateur (ou professionnelle
d'ailleurs !) nécessitait un PROJET préalable : de se munir de
l'appareil ad hoc.
En audio, même quand ils avaient les moyens d'un
Nagra, les chasseurs de son devaient partir avec la sacoche sur
l'épaule. Et s'ils ne l'avaient pas prévu : tant pis pour l'événement
inattendu.
MAIS intervient alors un autre
paramètre : les conditions
d'écoute potentielles des documents ainsi capturés.
Et là, désolé, mais avec les matériels qui sont discutés ici (on est
parfaitement en charte !), J'AFFIRME qu'une capture par mes soins en
24/96 d'un concert où j'ai pu positionner mon micro de manière optimale,
sur une perche en hauteur, face à la scène, représente effectivement le
Graal en matière de source pour nos audiophiles.
Dans "tes" studios,
la donne est évidemment différente, mais comme il
n'en sort RIEN qui soit matériellement d'une résolution ou fréquence
d'échantillonnage équivalent à ce que je propose... j'appelle juste à la
modération. J'admets que tes matériels sont essentiels pour obtenir le
meilleur de ce qui est possible comme matériau de base. La manière dont
il arrive ensuite à l'auditeur, hors de ton contrôle, oblige, hélas, à
un peu plus de modestie...
(Gerald) Wrote
in message:Les capacités techniques des smartphones d'aujourd'hui, en photo, audio
(sous réserves de micros additionnels) et vidéo, CHANGENT complètement
la donne dans la démarche de "capture" d'événements et d'instants : pour
la raison première qu'on les a toujours sur soi, et que ça ne pèse rien
(y compris d'avoir un Rode ou un Shure et sa bonette dans sa poche).
C'est sûr, pour la photo du dimanche de papy allumant le barbecue,
c'est plus pratique que l'instantané Kodak ou Polaroïd.Autrefois, vouloir faire de la photo amateur (ou professionnelle
d'ailleurs !) nécessitait un PROJET préalable : de se munir de
l'appareil ad hoc.
Toujours, cher ami. Toujours.
L'Iphone c'est la photo à la portée des caniches (j'adore Céline)
mais un Hasselblad (j'en ai pas) ou un Leica (j'en ai deux), un
Contax etc. c'est toujours utiles.En audio, même quand ils avaient les moyens d'un
Nagra, les chasseurs de son devaient partir avec la sacoche sur
l'épaule. Et s'ils ne l'avaient pas prévu : tant pis pour l'événement
inattendu.
C'est un métier, pas un loisir improvisé.MAIS intervient alors un autre
paramètre : les conditions
d'écoute potentielles des documents ainsi capturés.
Et là, désolé, mais avec les matériels qui sont discutés ici (on est
parfaitement en charte !), J'AFFIRME qu'une capture par mes soins en
24/96 d'un concert où j'ai pu positionner mon micro de manière optimale,
sur une perche en hauteur, face à la scène, représente effectivement le
Graal en matière de source pour nos audiophiles.
Avec un Zoom H1 ? La t'es pas sérieux !Dans "tes" studios,
Bon, c'est pas à moi tout ça. J'aimerais mais je n'en possède
qu'une partie.la donne est évidemment différente, mais comme il
n'en sort RIEN qui soit matériellement d'une résolution ou fréquence
d'échantillonnage équivalent à ce que je propose... j'appelle juste à la
modération. J'admets que tes matériels sont essentiels pour obtenir le
meilleur de ce qui est possible comme matériau de base. La manière dont
il arrive ensuite à l'auditeur, hors de ton contrôle, oblige, hélas, à
un peu plus de modestie...
Oui, mais non. Ce n'est pas hors de contrôle. Toute une chaîne, du
producteur aux interprètes, en passant par les ingés son, les
ingés quoi font le mastering, sont de bonne fées qui contrôlent
la conception d'un produit cohérent, quand même.
Au regard au matériel hifi d'un mélomane averti (il en vaut deux),
tiens prenons MELMOTH (il les vaut tous :D) la résolution et/ou
l'échantillonnage proposé est cohérent. Par rapport à l'audition
humaine aussi, je pense.
Bien sûr il est toujours épatant de chercher à aller plus loin
plus haut, quelques uns défrichent des terres où l'oreille de
l'homme n'a pas encore mis le pied :D
C'est lorsque ces temps d'expérience appartiendront au passé
qu'on verra s'ils étaient autre chose qu'un hobby
agréable.
En attendant l'amateur peut encore trouver des pressages, vinyles,
CD voire streaming de haute facture et, je pense, d'une qualité
technique et auditive nettement au delà de ce que le matériel
cité peut fournir. D'ailleurs il n'est pas proposé pour ça.
Les matos de studio, si. Manipulés par de vrais professionnels,
ils peuvent toujours enchanter nos oreilles. Et faire croire que
les énormes, certes, progrès du numérique permettent au passant
d'égaler ce professionnalisme est se tromper soi même. C'est que
vois tu le matériel pro évolue aussi, dans le même sens et en
premier ;)
Et gardons nous bien de croire que la multiplicité de l'offre
produit une hausse de la qualité attendue. Bien au contraire.
L'abatardissement des produits proposés (je crois me souvenir que
tu évoquais la misère des années FM) produit la contingence de
nos attentes à la médiocrité. Il n'y a jamais eu autant de
bibliothèques, et d'illettrés.
voir_le_reply-to@car_cette_adresse_est_invalide.com (Gerald) Wrote
in message:
Les capacités techniques des smartphones d'aujourd'hui, en photo, audio
(sous réserves de micros additionnels) et vidéo, CHANGENT complètement
la donne dans la démarche de "capture" d'événements et d'instants : pour
la raison première qu'on les a toujours sur soi, et que ça ne pèse rien
(y compris d'avoir un Rode ou un Shure et sa bonette dans sa poche).
C'est sûr, pour la photo du dimanche de papy allumant le barbecue,
c'est plus pratique que l'instantané Kodak ou Polaroïd.
Autrefois, vouloir faire de la photo amateur (ou professionnelle
d'ailleurs !) nécessitait un PROJET préalable : de se munir de
l'appareil ad hoc.
Toujours, cher ami. Toujours.
L'Iphone c'est la photo à la portée des caniches (j'adore Céline)
mais un Hasselblad (j'en ai pas) ou un Leica (j'en ai deux), un
Contax etc. c'est toujours utiles.
En audio, même quand ils avaient les moyens d'un
Nagra, les chasseurs de son devaient partir avec la sacoche sur
l'épaule. Et s'ils ne l'avaient pas prévu : tant pis pour l'événement
inattendu.
C'est un métier, pas un loisir improvisé.
MAIS intervient alors un autre
paramètre : les conditions
d'écoute potentielles des documents ainsi capturés.
Et là, désolé, mais avec les matériels qui sont discutés ici (on est
parfaitement en charte !), J'AFFIRME qu'une capture par mes soins en
24/96 d'un concert où j'ai pu positionner mon micro de manière optimale,
sur une perche en hauteur, face à la scène, représente effectivement le
Graal en matière de source pour nos audiophiles.
Avec un Zoom H1 ? La t'es pas sérieux !
Dans "tes" studios,
Bon, c'est pas à moi tout ça. J'aimerais mais je n'en possède
qu'une partie.
la donne est évidemment différente, mais comme il
n'en sort RIEN qui soit matériellement d'une résolution ou fréquence
d'échantillonnage équivalent à ce que je propose... j'appelle juste à la
modération. J'admets que tes matériels sont essentiels pour obtenir le
meilleur de ce qui est possible comme matériau de base. La manière dont
il arrive ensuite à l'auditeur, hors de ton contrôle, oblige, hélas, à
un peu plus de modestie...
Oui, mais non. Ce n'est pas hors de contrôle. Toute une chaîne, du
producteur aux interprètes, en passant par les ingés son, les
ingés quoi font le mastering, sont de bonne fées qui contrôlent
la conception d'un produit cohérent, quand même.
Au regard au matériel hifi d'un mélomane averti (il en vaut deux),
tiens prenons MELMOTH (il les vaut tous :D) la résolution et/ou
l'échantillonnage proposé est cohérent. Par rapport à l'audition
humaine aussi, je pense.
Bien sûr il est toujours épatant de chercher à aller plus loin
plus haut, quelques uns défrichent des terres où l'oreille de
l'homme n'a pas encore mis le pied :D
C'est lorsque ces temps d'expérience appartiendront au passé
qu'on verra s'ils étaient autre chose qu'un hobby
agréable.
En attendant l'amateur peut encore trouver des pressages, vinyles,
CD voire streaming de haute facture et, je pense, d'une qualité
technique et auditive nettement au delà de ce que le matériel
cité peut fournir. D'ailleurs il n'est pas proposé pour ça.
Les matos de studio, si. Manipulés par de vrais professionnels,
ils peuvent toujours enchanter nos oreilles. Et faire croire que
les énormes, certes, progrès du numérique permettent au passant
d'égaler ce professionnalisme est se tromper soi même. C'est que
vois tu le matériel pro évolue aussi, dans le même sens et en
premier ;)
Et gardons nous bien de croire que la multiplicité de l'offre
produit une hausse de la qualité attendue. Bien au contraire.
L'abatardissement des produits proposés (je crois me souvenir que
tu évoquais la misère des années FM) produit la contingence de
nos attentes à la médiocrité. Il n'y a jamais eu autant de
bibliothèques, et d'illettrés.
(Gerald) Wrote
in message:Les capacités techniques des smartphones d'aujourd'hui, en photo, audio
(sous réserves de micros additionnels) et vidéo, CHANGENT complètement
la donne dans la démarche de "capture" d'événements et d'instants : pour
la raison première qu'on les a toujours sur soi, et que ça ne pèse rien
(y compris d'avoir un Rode ou un Shure et sa bonette dans sa poche).
C'est sûr, pour la photo du dimanche de papy allumant le barbecue,
c'est plus pratique que l'instantané Kodak ou Polaroïd.Autrefois, vouloir faire de la photo amateur (ou professionnelle
d'ailleurs !) nécessitait un PROJET préalable : de se munir de
l'appareil ad hoc.
Toujours, cher ami. Toujours.
L'Iphone c'est la photo à la portée des caniches (j'adore Céline)
mais un Hasselblad (j'en ai pas) ou un Leica (j'en ai deux), un
Contax etc. c'est toujours utiles.En audio, même quand ils avaient les moyens d'un
Nagra, les chasseurs de son devaient partir avec la sacoche sur
l'épaule. Et s'ils ne l'avaient pas prévu : tant pis pour l'événement
inattendu.
C'est un métier, pas un loisir improvisé.MAIS intervient alors un autre
paramètre : les conditions
d'écoute potentielles des documents ainsi capturés.
Et là, désolé, mais avec les matériels qui sont discutés ici (on est
parfaitement en charte !), J'AFFIRME qu'une capture par mes soins en
24/96 d'un concert où j'ai pu positionner mon micro de manière optimale,
sur une perche en hauteur, face à la scène, représente effectivement le
Graal en matière de source pour nos audiophiles.
Avec un Zoom H1 ? La t'es pas sérieux !Dans "tes" studios,
Bon, c'est pas à moi tout ça. J'aimerais mais je n'en possède
qu'une partie.la donne est évidemment différente, mais comme il
n'en sort RIEN qui soit matériellement d'une résolution ou fréquence
d'échantillonnage équivalent à ce que je propose... j'appelle juste à la
modération. J'admets que tes matériels sont essentiels pour obtenir le
meilleur de ce qui est possible comme matériau de base. La manière dont
il arrive ensuite à l'auditeur, hors de ton contrôle, oblige, hélas, à
un peu plus de modestie...
Oui, mais non. Ce n'est pas hors de contrôle. Toute une chaîne, du
producteur aux interprètes, en passant par les ingés son, les
ingés quoi font le mastering, sont de bonne fées qui contrôlent
la conception d'un produit cohérent, quand même.
Au regard au matériel hifi d'un mélomane averti (il en vaut deux),
tiens prenons MELMOTH (il les vaut tous :D) la résolution et/ou
l'échantillonnage proposé est cohérent. Par rapport à l'audition
humaine aussi, je pense.
Bien sûr il est toujours épatant de chercher à aller plus loin
plus haut, quelques uns défrichent des terres où l'oreille de
l'homme n'a pas encore mis le pied :D
C'est lorsque ces temps d'expérience appartiendront au passé
qu'on verra s'ils étaient autre chose qu'un hobby
agréable.
En attendant l'amateur peut encore trouver des pressages, vinyles,
CD voire streaming de haute facture et, je pense, d'une qualité
technique et auditive nettement au delà de ce que le matériel
cité peut fournir. D'ailleurs il n'est pas proposé pour ça.
Les matos de studio, si. Manipulés par de vrais professionnels,
ils peuvent toujours enchanter nos oreilles. Et faire croire que
les énormes, certes, progrès du numérique permettent au passant
d'égaler ce professionnalisme est se tromper soi même. C'est que
vois tu le matériel pro évolue aussi, dans le même sens et en
premier ;)
Et gardons nous bien de croire que la multiplicité de l'offre
produit une hausse de la qualité attendue. Bien au contraire.
L'abatardissement des produits proposés (je crois me souvenir que
tu évoquais la misère des années FM) produit la contingence de
nos attentes à la médiocrité. Il n'y a jamais eu autant de
bibliothèques, et d'illettrés.
(Gerald) Wrote
in message:Les capacités techniques des smartphones d'aujourd'hui, en photo, audio
(sous réserves de micros additionnels) et vidéo, CHANGENT complètement
la donne dans la démarche de "capture" d'événements et d'instants : pour
la raison première qu'on les a toujours sur soi, et que ça ne pèse rien
(y compris d'avoir un Rode ou un Shure et sa bonette dans sa poche).
C'est sûr, pour la photo du dimanche de papy allumant le barbecue,
c'est plus pratique que l'instantané Kodak ou Polaroïd.Autrefois, vouloir faire de la photo amateur (ou professionnelle
d'ailleurs !) nécessitait un PROJET préalable : de se munir de
l'appareil ad hoc.
Toujours, cher ami. Toujours.
L'Iphone c'est la photo à la portée des caniches (j'adore Céline)
mais un Hasselblad (j'en ai pas) ou un Leica (j'en ai deux), un
Contax etc. c'est toujours utiles.En audio, même quand ils avaient les moyens d'un
Nagra, les chasseurs de son devaient partir avec la sacoche sur
l'épaule. Et s'ils ne l'avaient pas prévu : tant pis pour l'événement
inattendu.
C'est un métier, pas un loisir improvisé.MAIS intervient alors un autre
paramètre : les conditions
d'écoute potentielles des documents ainsi capturés.
Et là, désolé, mais avec les matériels qui sont discutés ici (on est
parfaitement en charte !), J'AFFIRME qu'une capture par mes soins en
24/96 d'un concert où j'ai pu positionner mon micro de manière optimale,
sur une perche en hauteur, face à la scène, représente effectivement le
Graal en matière de source pour nos audiophiles.
Avec un Zoom H1 ? La t'es pas sérieux !Dans "tes" studios,
Bon, c'est pas à moi tout ça. J'aimerais mais je n'en possède
qu'une partie.la donne est évidemment différente, mais comme il
n'en sort RIEN qui soit matériellement d'une résolution ou fréquence
d'échantillonnage équivalent à ce que je propose... j'appelle juste à la
modération. J'admets que tes matériels sont essentiels pour obtenir le
meilleur de ce qui est possible comme matériau de base. La manière dont
il arrive ensuite à l'auditeur, hors de ton contrôle, oblige, hélas, à
un peu plus de modestie...
Oui, mais non. Ce n'est pas hors de contrôle. Toute une chaîne, du
producteur aux interprètes, en passant par les ingés son, les
ingés quoi font le mastering, sont de bonne fées qui contrôlent
la conception d'un produit cohérent, quand même.
Au regard au matériel hifi d'un mélomane averti (il en vaut deux),
tiens prenons MELMOTH (il les vaut tous :D) la résolution et/ou
l'échantillonnage proposé est cohérent. Par rapport à l'audition
humaine aussi, je pense.
Bien sûr il est toujours épatant de chercher à aller plus loin
plus haut, quelques uns défrichent des terres où l'oreille de
l'homme n'a pas encore mis le pied :D
C'est lorsque ces temps d'expérience appartiendront au passé
qu'on verra s'ils étaient autre chose qu'un hobby
agréable.
En attendant l'amateur peut encore trouver des pressages, vinyles,
CD voire streaming de haute facture et, je pense, d'une qualité
technique et auditive nettement au delà de ce que le matériel
cité peut fournir. D'ailleurs il n'est pas proposé pour ça.
Les matos de studio, si. Manipulés par de vrais professionnels,
ils peuvent toujours enchanter nos oreilles. Et faire croire que
les énormes, certes, progrès du numérique permettent au passant
d'égaler ce professionnalisme est se tromper soi même. C'est que
vois tu le matériel pro évolue aussi, dans le même sens et en
premier ;)
Et gardons nous bien de croire que la multiplicité de l'offre
produit une hausse de la qualité attendue. Bien au contraire.
L'abatardissement des produits proposés (je crois me souvenir que
tu évoquais la misère des années FM) produit la contingence de
nos attentes à la médiocrité. Il n'y a jamais eu autant de
bibliothèques, et d'illettrés.
voir_le_reply-to@car_cette_adresse_est_invalide.com (Gerald) Wrote
in message:
Les capacités techniques des smartphones d'aujourd'hui, en photo, audio
(sous réserves de micros additionnels) et vidéo, CHANGENT complètement
la donne dans la démarche de "capture" d'événements et d'instants : pour
la raison première qu'on les a toujours sur soi, et que ça ne pèse rien
(y compris d'avoir un Rode ou un Shure et sa bonette dans sa poche).
C'est sûr, pour la photo du dimanche de papy allumant le barbecue,
c'est plus pratique que l'instantané Kodak ou Polaroïd.
Autrefois, vouloir faire de la photo amateur (ou professionnelle
d'ailleurs !) nécessitait un PROJET préalable : de se munir de
l'appareil ad hoc.
Toujours, cher ami. Toujours.
L'Iphone c'est la photo à la portée des caniches (j'adore Céline)
mais un Hasselblad (j'en ai pas) ou un Leica (j'en ai deux), un
Contax etc. c'est toujours utiles.
En audio, même quand ils avaient les moyens d'un
Nagra, les chasseurs de son devaient partir avec la sacoche sur
l'épaule. Et s'ils ne l'avaient pas prévu : tant pis pour l'événement
inattendu.
C'est un métier, pas un loisir improvisé.
MAIS intervient alors un autre
paramètre : les conditions
d'écoute potentielles des documents ainsi capturés.
Et là, désolé, mais avec les matériels qui sont discutés ici (on est
parfaitement en charte !), J'AFFIRME qu'une capture par mes soins en
24/96 d'un concert où j'ai pu positionner mon micro de manière optimale,
sur une perche en hauteur, face à la scène, représente effectivement le
Graal en matière de source pour nos audiophiles.
Avec un Zoom H1 ? La t'es pas sérieux !
Dans "tes" studios,
Bon, c'est pas à moi tout ça. J'aimerais mais je n'en possède
qu'une partie.
la donne est évidemment différente, mais comme il
n'en sort RIEN qui soit matériellement d'une résolution ou fréquence
d'échantillonnage équivalent à ce que je propose... j'appelle juste à la
modération. J'admets que tes matériels sont essentiels pour obtenir le
meilleur de ce qui est possible comme matériau de base. La manière dont
il arrive ensuite à l'auditeur, hors de ton contrôle, oblige, hélas, à
un peu plus de modestie...
Oui, mais non. Ce n'est pas hors de contrôle. Toute une chaîne, du
producteur aux interprètes, en passant par les ingés son, les
ingés quoi font le mastering, sont de bonne fées qui contrôlent
la conception d'un produit cohérent, quand même.
Au regard au matériel hifi d'un mélomane averti (il en vaut deux),
tiens prenons MELMOTH (il les vaut tous :D) la résolution et/ou
l'échantillonnage proposé est cohérent. Par rapport à l'audition
humaine aussi, je pense.
Bien sûr il est toujours épatant de chercher à aller plus loin
plus haut, quelques uns défrichent des terres où l'oreille de
l'homme n'a pas encore mis le pied :D
C'est lorsque ces temps d'expérience appartiendront au passé
qu'on verra s'ils étaient autre chose qu'un hobby
agréable.
En attendant l'amateur peut encore trouver des pressages, vinyles,
CD voire streaming de haute facture et, je pense, d'une qualité
technique et auditive nettement au delà de ce que le matériel
cité peut fournir. D'ailleurs il n'est pas proposé pour ça.
Les matos de studio, si. Manipulés par de vrais professionnels,
ils peuvent toujours enchanter nos oreilles. Et faire croire que
les énormes, certes, progrès du numérique permettent au passant
d'égaler ce professionnalisme est se tromper soi même. C'est que
vois tu le matériel pro évolue aussi, dans le même sens et en
premier ;)
Et gardons nous bien de croire que la multiplicité de l'offre
produit une hausse de la qualité attendue. Bien au contraire.
L'abatardissement des produits proposés (je crois me souvenir que
tu évoquais la misère des années FM) produit la contingence de
nos attentes à la médiocrité. Il n'y a jamais eu autant de
bibliothèques, et d'illettrés.
(Gerald) Wrote
in message:Les capacités techniques des smartphones d'aujourd'hui, en photo, audio
(sous réserves de micros additionnels) et vidéo, CHANGENT complètement
la donne dans la démarche de "capture" d'événements et d'instants : pour
la raison première qu'on les a toujours sur soi, et que ça ne pèse rien
(y compris d'avoir un Rode ou un Shure et sa bonette dans sa poche).
C'est sûr, pour la photo du dimanche de papy allumant le barbecue,
c'est plus pratique que l'instantané Kodak ou Polaroïd.Autrefois, vouloir faire de la photo amateur (ou professionnelle
d'ailleurs !) nécessitait un PROJET préalable : de se munir de
l'appareil ad hoc.
Toujours, cher ami. Toujours.
L'Iphone c'est la photo à la portée des caniches (j'adore Céline)
mais un Hasselblad (j'en ai pas) ou un Leica (j'en ai deux), un
Contax etc. c'est toujours utiles.En audio, même quand ils avaient les moyens d'un
Nagra, les chasseurs de son devaient partir avec la sacoche sur
l'épaule. Et s'ils ne l'avaient pas prévu : tant pis pour l'événement
inattendu.
C'est un métier, pas un loisir improvisé.MAIS intervient alors un autre
paramètre : les conditions
d'écoute potentielles des documents ainsi capturés.
Et là, désolé, mais avec les matériels qui sont discutés ici (on est
parfaitement en charte !), J'AFFIRME qu'une capture par mes soins en
24/96 d'un concert où j'ai pu positionner mon micro de manière optimale,
sur une perche en hauteur, face à la scène, représente effectivement le
Graal en matière de source pour nos audiophiles.
Avec un Zoom H1 ? La t'es pas sérieux !Dans "tes" studios,
Bon, c'est pas à moi tout ça. J'aimerais mais je n'en possède
qu'une partie.la donne est évidemment différente, mais comme il
n'en sort RIEN qui soit matériellement d'une résolution ou fréquence
d'échantillonnage équivalent à ce que je propose... j'appelle juste à la
modération. J'admets que tes matériels sont essentiels pour obtenir le
meilleur de ce qui est possible comme matériau de base. La manière dont
il arrive ensuite à l'auditeur, hors de ton contrôle, oblige, hélas, à
un peu plus de modestie...
Oui, mais non. Ce n'est pas hors de contrôle. Toute une chaîne, du
producteur aux interprètes, en passant par les ingés son, les
ingés quoi font le mastering, sont de bonne fées qui contrôlent
la conception d'un produit cohérent, quand même.
Au regard au matériel hifi d'un mélomane averti (il en vaut deux),
tiens prenons MELMOTH (il les vaut tous :D) la résolution et/ou
l'échantillonnage proposé est cohérent. Par rapport à l'audition
humaine aussi, je pense.
Bien sûr il est toujours épatant de chercher à aller plus loin
plus haut, quelques uns défrichent des terres où l'oreille de
l'homme n'a pas encore mis le pied :D
C'est lorsque ces temps d'expérience appartiendront au passé
qu'on verra s'ils étaient autre chose qu'un hobby
agréable.
En attendant l'amateur peut encore trouver des pressages, vinyles,
CD voire streaming de haute facture et, je pense, d'une qualité
technique et auditive nettement au delà de ce que le matériel
cité peut fournir. D'ailleurs il n'est pas proposé pour ça.
Les matos de studio, si. Manipulés par de vrais professionnels,
ils peuvent toujours enchanter nos oreilles. Et faire croire que
les énormes, certes, progrès du numérique permettent au passant
d'égaler ce professionnalisme est se tromper soi même. C'est que
vois tu le matériel pro évolue aussi, dans le même sens et en
premier ;)
Et gardons nous bien de croire que la multiplicité de l'offre
produit une hausse de la qualité attendue. Bien au contraire.
L'abatardissement des produits proposés (je crois me souvenir que
tu évoquais la misère des années FM) produit la contingence de
nos attentes à la médiocrité. Il n'y a jamais eu autant de
bibliothèques, et d'illettrés.
Bien prététentieux, ces discours.
Bien prététentieux, ces discours.
Bien prététentieux, ces discours.