bonjour,
j'ai l'intention d'acheter de nouvelles enceintes acoustiques
merci de vos conseils
budget 3000 eiros max
j'ai un ampli Marantz de 2x100 watts
j'=C3=A9coute rock, pop et classique
merci
D'ailleurs l'ampli n'est pas important dans une chaïne, ce qui compte c'est le début et la fin.
C'est faux !
Clairement : c'est le maillon faible, mais il *peut* se faire que ce soit le maillon du début ou le maillon de fin :-) -- Gérald
olivier B.
Le 12/04/2018 à 01:05, Gerald a écrit :
julien wrote:
D'ailleurs l'ampli n'est pas important dans une chaïne, ce qui compte c'est le début et la fin.
C'est faux !
Clairement : c'est le maillon faible, mais il *peut* se faire que ce soit le maillon du début ou le maillon de fin :-)
Tout dépend ce que l'on entend pas "important" ou "faible", ce qui est certain c'est qu'il est bien moins coûteux de réaliser un amplificateur dont toute amélioration ne serait plus perçue par l'oreille, que d'obtenir la même transparence pour des enceintes, raison pour laquelle dans une installation équilibrée la bonne majorité du budget part dans les transducteurs.
Le 12/04/2018 à 01:05, Gerald a écrit :
julien <trentaytresorientales@wanadoo.fr> wrote:
> D'ailleurs l'ampli n'est pas important dans une chaïne, ce qui compte
> c'est le début et la fin.
C'est faux !
Clairement : c'est le maillon faible, mais il *peut* se faire que ce
soit le maillon du début ou le maillon de fin :-)
Tout dépend ce que l'on entend pas "important" ou "faible", ce qui est
certain c'est qu'il est bien moins coûteux de réaliser un amplificateur
dont toute amélioration ne serait plus perçue par l'oreille, que
d'obtenir la même transparence pour des enceintes, raison pour laquelle
dans une installation équilibrée la bonne majorité du budget part dans
les transducteurs.
D'ailleurs l'ampli n'est pas important dans une chaïne, ce qui compte c'est le début et la fin.
C'est faux !
Clairement : c'est le maillon faible, mais il *peut* se faire que ce soit le maillon du début ou le maillon de fin :-)
Tout dépend ce que l'on entend pas "important" ou "faible", ce qui est certain c'est qu'il est bien moins coûteux de réaliser un amplificateur dont toute amélioration ne serait plus perçue par l'oreille, que d'obtenir la même transparence pour des enceintes, raison pour laquelle dans une installation équilibrée la bonne majorité du budget part dans les transducteurs.
Tigerfr
julien a pensé très fort :
Le vendredi 23 mars 2018 20:01:06 UTC+1, Tigerfr a écrit :
D'ailleurs l'ampli n'est pas important dans une chaïne, ce qui compte c'est le début et la fin.
C'est faux !
Merci pour cette réponse bien argumentée.
julien a pensé très fort :
Le vendredi 23 mars 2018 20:01:06 UTC+1, Tigerfr a écrit :
D'ailleurs l'ampli n'est pas important dans une chaïne, ce qui compte
c'est le début et la fin.
D'ailleurs l'ampli n'est pas important dans une chaïne, ce qui compte c'est le début et la fin.
C'est faux !
Clairement : c'est le maillon faible, mais il *peut* se faire que ce soit le maillon du début ou le maillon de fin :-)
Si l'ampli est le maillon faible, il y a du souci à se faire.
julien
Le dimanche 15 avril 2018 17:28:56 UTC+2, Tigerfr a écrit :
julien a pensé très fort :
Le vendredi 23 mars 2018 20:01:06 UTC+1, Tigerfr a écrit :
D'ailleurs l'ampli n'est pas important dans une chaïne, ce qui co mpte c'est le début et la fin.
C'est faux !
Merci pour cette réponse bien argumentée.
ah! ah ! c'est comme pour le Titanic...prouve moi qu'il a coulé .. Dir e qu'un élément d'une chaîne n'est pas important procèd e d'une radicalité de pensée qui elle, devrait se justifier par u ne argumentation , et non pas le contraire . La qualité d'un ensemble audio , vaut primo par la cohérence de ses éléments , segund o/ l'espace endroit ou il agit / tertio / et à la valeur de son plus f aible élément qu'il soit source, amplificateur , transducteur.... .... D'autres que moi, ajouterait Oreilles/ perceptions ..
Le dimanche 15 avril 2018 17:28:56 UTC+2, Tigerfr a écrit :
julien a pensé très fort :
> Le vendredi 23 mars 2018 20:01:06 UTC+1, Tigerfr a écrit :
>
>
>> D'ailleurs l'ampli n'est pas important dans une chaïne, ce qui co mpte
>> c'est le début et la fin.
>
> C'est faux !
Merci pour cette réponse bien argumentée.
ah! ah ! c'est comme pour le Titanic...prouve moi qu'il a coulé .. Dir e qu'un élément d'une chaîne n'est pas important procèd e d'une radicalité de pensée qui elle, devrait se justifier par u ne argumentation , et non pas le contraire . La qualité d'un ensemble audio , vaut primo par la cohérence de ses éléments , segund o/ l'espace endroit ou il agit / tertio / et à la valeur de son plus f aible élément qu'il soit source, amplificateur , transducteur.... .... D'autres que moi, ajouterait Oreilles/ perceptions ..
Le dimanche 15 avril 2018 17:28:56 UTC+2, Tigerfr a écrit :
julien a pensé très fort :
Le vendredi 23 mars 2018 20:01:06 UTC+1, Tigerfr a écrit :
D'ailleurs l'ampli n'est pas important dans une chaïne, ce qui co mpte c'est le début et la fin.
C'est faux !
Merci pour cette réponse bien argumentée.
ah! ah ! c'est comme pour le Titanic...prouve moi qu'il a coulé .. Dir e qu'un élément d'une chaîne n'est pas important procèd e d'une radicalité de pensée qui elle, devrait se justifier par u ne argumentation , et non pas le contraire . La qualité d'un ensemble audio , vaut primo par la cohérence de ses éléments , segund o/ l'espace endroit ou il agit / tertio / et à la valeur de son plus f aible élément qu'il soit source, amplificateur , transducteur.... .... D'autres que moi, ajouterait Oreilles/ perceptions ..
voir_le_reply-to
Tigerfr wrote:
Clairement : c'est le maillon faible, mais il *peut* se faire que ce soit le maillon du début ou le maillon de fin :-)
Si l'ampli est le maillon faible, il y a du souci à se faire.
Ma remarque concernait la solidité d'une chaîne en général, pas d'une chaîne hifi et encore moins d'un éventuel ampli. Contrairement à ce que disait le posteur antérieur, je maintiens que "ce qui compte dans une chaîne" (en général) ce n'est pas son début ou sa fin mais le maillon le plus faible, quel qu'il soit. Sur vos histoires d'ampli, j'ai déjà donné mon point de vue, je n'y reviens pas. -- Gérald
Tigerfr <tigerfr_NOSPAM@free.fr> wrote:
> Clairement : c'est le maillon faible, mais il *peut* se faire que ce
> soit le maillon du début ou le maillon de fin :-)
Si l'ampli est le maillon faible, il y a du souci à se faire.
Ma remarque concernait la solidité d'une chaîne en général, pas d'une
chaîne hifi et encore moins d'un éventuel ampli.
Contrairement à ce que disait le posteur antérieur, je maintiens que "ce
qui compte dans une chaîne" (en général) ce n'est pas son début ou sa
fin mais le maillon le plus faible, quel qu'il soit.
Sur vos histoires d'ampli, j'ai déjà donné mon point de vue, je n'y
reviens pas.
Clairement : c'est le maillon faible, mais il *peut* se faire que ce soit le maillon du début ou le maillon de fin :-)
Si l'ampli est le maillon faible, il y a du souci à se faire.
Ma remarque concernait la solidité d'une chaîne en général, pas d'une chaîne hifi et encore moins d'un éventuel ampli. Contrairement à ce que disait le posteur antérieur, je maintiens que "ce qui compte dans une chaîne" (en général) ce n'est pas son début ou sa fin mais le maillon le plus faible, quel qu'il soit. Sur vos histoires d'ampli, j'ai déjà donné mon point de vue, je n'y reviens pas. -- Gérald
les renardeaux
(Gerald) Wrote in message:
Tigerfr wrote:
Clairement : c'est le maillon faible, mais il *peut* se faire que ce soit le maillon du début ou le maillon de fin :-)
Si l'ampli est le maillon faible, il y a du souci à se faire.
Ma remarque concernait la solidité d'une chaîne en général, pas d'une chaîne hifi et encore moins d'un éventuel ampli. Contrairement à ce que disait le posteur antérieur, je maintiens que "ce qui compte dans une chaîne" (en général) ce n'est pas son début ou sa fin mais le maillon le plus faible, quel qu'il soit. Sur vos histoires d'ampli, j'ai déjà donné mon point de vue, je n'y reviens pas.
Oui mais n'est-ce pas le début et la fin qui risquent d'être les maillons les plus faibles ? -- Bisous à ta souris. ... & Michel les petits renardeaux dans la clairière du CTV
voir_le_reply-to@car_cette_adresse_est_invalide.com (Gerald) Wrote
in message:
Tigerfr <tigerfr_NOSPAM@free.fr> wrote:
> Clairement : c'est le maillon faible, mais il *peut* se faire que ce
> soit le maillon du début ou le maillon de fin :-)
Si l'ampli est le maillon faible, il y a du souci à se faire.
Ma remarque concernait la solidité d'une chaîne en général, pas d'une
chaîne hifi et encore moins d'un éventuel ampli.
Contrairement à ce que disait le posteur antérieur, je maintiens que "ce
qui compte dans une chaîne" (en général) ce n'est pas son début ou sa
fin mais le maillon le plus faible, quel qu'il soit.
Sur vos histoires d'ampli, j'ai déjà donné mon point de vue, je n'y
reviens pas.
Oui mais n'est-ce pas le début et la fin qui risquent d'être les
maillons les plus faibles ?
--
Bisous à ta souris.
... & Michel
les petits renardeaux dans la clairière du CTV
Clairement : c'est le maillon faible, mais il *peut* se faire que ce soit le maillon du début ou le maillon de fin :-)
Si l'ampli est le maillon faible, il y a du souci à se faire.
Ma remarque concernait la solidité d'une chaîne en général, pas d'une chaîne hifi et encore moins d'un éventuel ampli. Contrairement à ce que disait le posteur antérieur, je maintiens que "ce qui compte dans une chaîne" (en général) ce n'est pas son début ou sa fin mais le maillon le plus faible, quel qu'il soit. Sur vos histoires d'ampli, j'ai déjà donné mon point de vue, je n'y reviens pas.
Oui mais n'est-ce pas le début et la fin qui risquent d'être les maillons les plus faibles ? -- Bisous à ta souris. ... & Michel les petits renardeaux dans la clairière du CTV
voir_le_reply-to
les renardeaux wrote:
Oui mais n'est-ce pas le début et la fin qui risquent d'être les maillons les plus faibles ?
Tu ne définis pas ce que sont pour toi le début et la fin. Pourquoi ? Si la fin est représentée par les transducteurs, étant donné leurs limites actuelles par rapport au reste du matériel : peut-être. Pour ce qui est du début, quel est-il quand on remonte vers l'amont ? Préampli ? DAC ? Nature du fichier audio ? Prise de son et mixage ? Artiste ou interprète entendu "live" au moment de l'enregistrement ? J'excluerais les derniers par principe, puisque vous refusez opiniâtrement (ici) de donner une quelconque suite à quelque ligne que ce soit évoquant le mot (tabou) de "musique(1)" (tentatives réitérées sur de nombreuses années et échec dont j'ai pris acte puisque je ne vous fais vraiment plus ch... avec !). J'y ajoute la notion de nuances en musique et de dynamique en audio. Pour le fichier audio, il semble acquis que vous ne considérez que le 16/44 stéréo des supports audio commerciaux à l'exclusion de tout autre (ou quasi), puisque là encore toute tentative de ma part d'évoquer des sources meilleures (par exemple des enregistrements *personnels* de concerts ou prestations, voire d'ambiances sonores) n'a jamais reçu aucun écho. [et pourtant c'est bien là qu'une installation visant la restitution la plus "fidèle" possible aurait un vrai sens !] Idem pour les enregistrements multicanals, comme le DVD de la Matthaüs-Passion par le Thomanerchor sous la direction de Biller, absolument sublime à tous points de vue, enregistré en 2014 avec des moyens modernes et que je suis en train de déguster finement. On y trouve *une* faute de goût, mais qui n'est que très temporaire dans la durée de l'½uvre : la présence d'une soprano féminine (mais peut-être le cru actuel manquait-il de soliste ? Ils se renouvellent par force tous les quatre ans, quand même ! et depuis 800 ans !). Alors il reste quoi ? Un dispositif archaïque - platine (CD voire vinyle) - préampli - ampli - enceintes, maillons *dépareillés* à l'heure des enceintes amplifiées (coordonnées et homogènes) avec entrées numériques directes ? Le maillon faible : peut-être à rechercher quelque part dans le cerveau, parce que, in fine, c'est bien ce plaisir extatique d'une écoute d'on-ne-sait-quoi qui s'attacherait au son plutôt qu'à la musique (qui n'en serait que le prétexte ou le support), ...qui constitue pour moi la vraie curiosité... je dirais presque de nature "ethnographique" ;-) et justifie ma présence en ces lieux (et donc mes questions puisque tu sembles les solliciter). Vraies questions d'ailleurs, avec réel intérêt pour de vraies réponses honnêtes, mais sans obligation : je veux bien retourner dans mon monde sous-marin et ne plus déranger... (1) je parle de musique au sens que lui donnent les *musiciens*, héritière d'une histoire et d'une géographie, langue autonome possédant sa lecture, son écriture, sa grammaire, sa syntaxe, son analyse de textes, ses formes, ses genres, ses instruments... sur l'ensemble de la planète et plus de 5000 ans voire au-delà <https://fr.wikipedia.org/wiki/Lithophone> -- Gérald
les renardeaux <les.renardeaux@wanadur.grr.invalid> wrote:
Oui mais n'est-ce pas le début et la fin qui risquent d'être les
maillons les plus faibles ?
Tu ne définis pas ce que sont pour toi le début et la fin. Pourquoi ?
Si la fin est représentée par les transducteurs, étant donné leurs
limites actuelles par rapport au reste du matériel : peut-être.
Pour ce qui est du début, quel est-il quand on remonte vers l'amont ?
Préampli ? DAC ? Nature du fichier audio ? Prise de son et mixage ?
Artiste ou interprète entendu "live" au moment de l'enregistrement ?
J'excluerais les derniers par principe, puisque vous refusez
opiniâtrement (ici) de donner une quelconque suite à quelque ligne que
ce soit évoquant le mot (tabou) de "musique(1)" (tentatives réitérées
sur de nombreuses années et échec dont j'ai pris acte puisque je ne vous
fais vraiment plus ch... avec !). J'y ajoute la notion de nuances en
musique et de dynamique en audio.
Pour le fichier audio, il semble acquis que vous ne considérez que le
16/44 stéréo des supports audio commerciaux à l'exclusion de tout autre
(ou quasi), puisque là encore toute tentative de ma part d'évoquer des
sources meilleures (par exemple des enregistrements *personnels* de
concerts ou prestations, voire d'ambiances sonores) n'a jamais reçu
aucun écho. [et pourtant c'est bien là qu'une installation visant la
restitution la plus "fidèle" possible aurait un vrai sens !]
Idem pour les enregistrements multicanals, comme le DVD de la
Matthaüs-Passion par le Thomanerchor sous la direction de Biller,
absolument sublime à tous points de vue, enregistré en 2014 avec des
moyens modernes et que je suis en train de déguster finement. On y
trouve *une* faute de goût, mais qui n'est que très temporaire dans la
durée de l'½uvre : la présence d'une soprano féminine (mais peut-être le
cru actuel manquait-il de soliste ? Ils se renouvellent par force tous
les quatre ans, quand même ! et depuis 800 ans !).
Alors il reste quoi ? Un dispositif archaïque - platine (CD voire
vinyle) - préampli - ampli - enceintes, maillons *dépareillés* à l'heure
des enceintes amplifiées (coordonnées et homogènes) avec entrées
numériques directes ?
Le maillon faible : peut-être à rechercher quelque part dans le cerveau,
parce que, in fine, c'est bien ce plaisir extatique d'une écoute
d'on-ne-sait-quoi qui s'attacherait au son plutôt qu'à la musique (qui
n'en serait que le prétexte ou le support), ...qui constitue pour moi la
vraie curiosité... je dirais presque de nature "ethnographique" ;-) et
justifie ma présence en ces lieux (et donc mes questions puisque tu
sembles les solliciter).
Vraies questions d'ailleurs, avec réel intérêt pour de vraies réponses
honnêtes, mais sans obligation : je veux bien retourner dans mon monde
sous-marin et ne plus déranger...
(1) je parle de musique au sens que lui donnent les *musiciens*,
héritière d'une histoire et d'une géographie, langue autonome possédant
sa lecture, son écriture, sa grammaire, sa syntaxe, son analyse de
textes, ses formes, ses genres, ses instruments... sur l'ensemble de la
planète et plus de 5000 ans voire au-delà
<https://fr.wikipedia.org/wiki/Lithophone>
Oui mais n'est-ce pas le début et la fin qui risquent d'être les maillons les plus faibles ?
Tu ne définis pas ce que sont pour toi le début et la fin. Pourquoi ? Si la fin est représentée par les transducteurs, étant donné leurs limites actuelles par rapport au reste du matériel : peut-être. Pour ce qui est du début, quel est-il quand on remonte vers l'amont ? Préampli ? DAC ? Nature du fichier audio ? Prise de son et mixage ? Artiste ou interprète entendu "live" au moment de l'enregistrement ? J'excluerais les derniers par principe, puisque vous refusez opiniâtrement (ici) de donner une quelconque suite à quelque ligne que ce soit évoquant le mot (tabou) de "musique(1)" (tentatives réitérées sur de nombreuses années et échec dont j'ai pris acte puisque je ne vous fais vraiment plus ch... avec !). J'y ajoute la notion de nuances en musique et de dynamique en audio. Pour le fichier audio, il semble acquis que vous ne considérez que le 16/44 stéréo des supports audio commerciaux à l'exclusion de tout autre (ou quasi), puisque là encore toute tentative de ma part d'évoquer des sources meilleures (par exemple des enregistrements *personnels* de concerts ou prestations, voire d'ambiances sonores) n'a jamais reçu aucun écho. [et pourtant c'est bien là qu'une installation visant la restitution la plus "fidèle" possible aurait un vrai sens !] Idem pour les enregistrements multicanals, comme le DVD de la Matthaüs-Passion par le Thomanerchor sous la direction de Biller, absolument sublime à tous points de vue, enregistré en 2014 avec des moyens modernes et que je suis en train de déguster finement. On y trouve *une* faute de goût, mais qui n'est que très temporaire dans la durée de l'½uvre : la présence d'une soprano féminine (mais peut-être le cru actuel manquait-il de soliste ? Ils se renouvellent par force tous les quatre ans, quand même ! et depuis 800 ans !). Alors il reste quoi ? Un dispositif archaïque - platine (CD voire vinyle) - préampli - ampli - enceintes, maillons *dépareillés* à l'heure des enceintes amplifiées (coordonnées et homogènes) avec entrées numériques directes ? Le maillon faible : peut-être à rechercher quelque part dans le cerveau, parce que, in fine, c'est bien ce plaisir extatique d'une écoute d'on-ne-sait-quoi qui s'attacherait au son plutôt qu'à la musique (qui n'en serait que le prétexte ou le support), ...qui constitue pour moi la vraie curiosité... je dirais presque de nature "ethnographique" ;-) et justifie ma présence en ces lieux (et donc mes questions puisque tu sembles les solliciter). Vraies questions d'ailleurs, avec réel intérêt pour de vraies réponses honnêtes, mais sans obligation : je veux bien retourner dans mon monde sous-marin et ne plus déranger... (1) je parle de musique au sens que lui donnent les *musiciens*, héritière d'une histoire et d'une géographie, langue autonome possédant sa lecture, son écriture, sa grammaire, sa syntaxe, son analyse de textes, ses formes, ses genres, ses instruments... sur l'ensemble de la planète et plus de 5000 ans voire au-delà <https://fr.wikipedia.org/wiki/Lithophone> -- Gérald
