Un process couleur qui passe 12 IL alors qu'un Ekta passe 5 IL un Ds II 6 IL un néga couleur passe 7 IL
Donc un procédé qui fait 5 IL de plus que le meilleur des procédés, c'est nouveau.
Cette tolérance hors norme fait que ce procédé n'est pas sensible au variation de T°C, zéro basule qq soit la T°C, et ça c'est nouveau.
Ensuite un procédé dont le rendu est dépendant du delta L (pour Luminance) du sujet, ça c'est aussi nouveau.
Donc c'est nouveau.
Que le procédé soit lourd, technique, moche, irrationnel, archaique, je vous laisse juge, mais il est incontestablement nouveau.
Et les recherche sur le sujet sont loin d'être terminées.
Je vous laisse
Jean-Claude Ghislain
Jean Calude, je serai éventuellement intéressé par ton CPP-2 Peux-tu m'indiquer à quelles conditions tu t'en séparerais?
Je suis prêt à m'en séparer, mais il faudrait d'abord que je vérifie qu'il fonctionne encore, cela fait des années que je n'ai pas mis le courant dessus.
Le voici, poussiéreux dans un coin du grenier : http://cjoint.com/?cqvFAlCMWW
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
Jean Calude, je serai éventuellement intéressé par ton CPP-2
Peux-tu m'indiquer à quelles conditions tu t'en séparerais?
Je suis prêt à m'en séparer, mais il faudrait d'abord que je vérifie
qu'il fonctionne encore, cela fait des années que je n'ai pas mis le
courant dessus.
Le voici, poussiéreux dans un coin du grenier :
http://cjoint.com/?cqvFAlCMWW
Jean Calude, je serai éventuellement intéressé par ton CPP-2 Peux-tu m'indiquer à quelles conditions tu t'en séparerais?
Je suis prêt à m'en séparer, mais il faudrait d'abord que je vérifie qu'il fonctionne encore, cela fait des années que je n'ai pas mis le courant dessus.
Le voici, poussiéreux dans un coin du grenier : http://cjoint.com/?cqvFAlCMWW
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
Bour-Brown
Hypergone a écrit ( )
Donc un procédé qui fait 5 IL de plus que le meilleur des procédés, c'est nouveau.
Ton procédé consiste à faire trois prises de vue pour obtenir une amplitude de 12 IL. Désolé, mais ce qu'on appelle actuellement HDR consiste à faire exactement la même chose, et en multipliant les clichés à des expositions différentes on peut sans problème avoir des écarts encore plus importants.
Je vous laisse
Jette quand même un oeil là-dessus, en particulier le chronochrome, tu verras que l'idée de constituer des négatifs noir et blanc à travers des filtres pour reconstituer la couleur ne date pas d'aujourd'hui, ... http://www.cineclubdecaen.com/analyse/technique/couleurhistoire.htm
Hypergone a écrit
( 1171654679.061164.5730@v33g2000cwv.googlegroups.com )
Donc un procédé qui fait 5 IL de plus que le meilleur des procédés, c'est
nouveau.
Ton procédé consiste à faire trois prises de vue pour obtenir une amplitude
de 12 IL. Désolé, mais ce qu'on appelle actuellement HDR consiste à faire
exactement la même chose, et en multipliant les clichés à des expositions
différentes on peut sans problème avoir des écarts encore plus importants.
Je vous laisse
Jette quand même un oeil là-dessus, en particulier le chronochrome, tu
verras que l'idée de constituer des négatifs noir et blanc à travers des
filtres pour reconstituer la couleur ne date pas d'aujourd'hui, ...
http://www.cineclubdecaen.com/analyse/technique/couleurhistoire.htm
Donc un procédé qui fait 5 IL de plus que le meilleur des procédés, c'est nouveau.
Ton procédé consiste à faire trois prises de vue pour obtenir une amplitude de 12 IL. Désolé, mais ce qu'on appelle actuellement HDR consiste à faire exactement la même chose, et en multipliant les clichés à des expositions différentes on peut sans problème avoir des écarts encore plus importants.
Je vous laisse
Jette quand même un oeil là-dessus, en particulier le chronochrome, tu verras que l'idée de constituer des négatifs noir et blanc à travers des filtres pour reconstituer la couleur ne date pas d'aujourd'hui, ... http://www.cineclubdecaen.com/analyse/technique/couleurhistoire.htm
Bour-Brown
Vincent Becker a écrit ( 45d381a4$0$31483$ )
Quelqu'un en sait-il plus sur le procédé interférentiel dont il est question?
Tiens, je viens de tomber là-dessus :
« Le procédé de Lippmann s'inspire du principe physique selon lequel l'interférence d'une onde lumineuse incidente avec une onde réfléchie donne un espace occupé par des ondes stationnaires avec des longueurs d'ondes correspondant chacune à une couleur. Il utilise une plaque de verre recouverte d'une émulsion transparente sans grain en contact avec un bac rempli de mercure faisant miroir. Lors de l'exposition de la plaque dans l'appareil photographique, le rayon lumineux incident traverse la couche de préparation sensible puis est réfléchi par le miroir de mercure. Ce rayon réfléchi ébranle à son tour la couche sensible, mais en ordre inverse de l'onde incidente. La collision de ces deux ondes va produire un phénomène d'interférence dans la couche sensible et y inscrire une image à l'état latent. L'épaisseur de la couche sensible est ainsi divisée en strates parallèles, alternativement exposées et non exposées. Le développement réduit la préparation sensible en argent métallique et elle se compose alors de couches transparentes, dans les régions correspondant aux maxima lumineux, et de couches obscures dans les zones non exposées. La production des couleurs résulte ainsi de la stratification extrêmement fine de la préparation en épaisseurs de lames minces : le dépôt d'argent formé au développement étant en quelque sorte le moule produit par chaque vibration lumineuse. Chaque épaisseur correspond à une couleur. En examinant l'image par réflexion et sous un angle approprié, les lames d'argent réfléchissent la lumière incidente et produisent la sensation de la couleur qui a imprimé sa structure lamellaire caractéristique liée à sa longueur d'onde dans le dépôt d'argent. Ces couleurs sont de nature analogue à celles de la nacre ou des bulles de savon. »
Vincent Becker a écrit
( 45d381a4$0$31483$426a74cc@news.free.fr )
Quelqu'un en sait-il plus sur le procédé interférentiel dont il est
question?
Tiens, je viens de tomber là-dessus :
« Le procédé de Lippmann s'inspire du principe physique selon lequel
l'interférence d'une onde lumineuse incidente avec une onde réfléchie donne
un espace occupé par des ondes stationnaires avec des longueurs d'ondes
correspondant chacune à une couleur. Il utilise une plaque de verre
recouverte d'une émulsion transparente sans grain en contact avec un bac
rempli de mercure faisant miroir. Lors de l'exposition de la plaque dans
l'appareil photographique, le rayon lumineux incident traverse la couche de
préparation sensible puis est réfléchi par le miroir de mercure. Ce rayon
réfléchi ébranle à son tour la couche sensible, mais en ordre inverse de
l'onde incidente. La collision de ces deux ondes va produire un phénomène
d'interférence dans la couche sensible et y inscrire une image à l'état
latent. L'épaisseur de la couche sensible est ainsi divisée en strates
parallèles, alternativement exposées et non exposées. Le développement
réduit la préparation sensible en argent métallique et elle se compose alors
de couches transparentes, dans les régions correspondant aux maxima
lumineux, et de couches obscures dans les zones non exposées. La production
des couleurs résulte ainsi de la stratification extrêmement fine de la
préparation en épaisseurs de lames minces : le dépôt d'argent formé au
développement étant en quelque sorte le moule produit par chaque vibration
lumineuse. Chaque épaisseur correspond à une couleur. En examinant l'image
par réflexion et sous un angle approprié, les lames d'argent réfléchissent
la lumière incidente et produisent la sensation de la couleur qui a imprimé
sa structure lamellaire caractéristique liée à sa longueur d'onde dans le
dépôt d'argent. Ces couleurs sont de nature analogue à celles de la nacre ou
des bulles de savon. »
Quelqu'un en sait-il plus sur le procédé interférentiel dont il est question?
Tiens, je viens de tomber là-dessus :
« Le procédé de Lippmann s'inspire du principe physique selon lequel l'interférence d'une onde lumineuse incidente avec une onde réfléchie donne un espace occupé par des ondes stationnaires avec des longueurs d'ondes correspondant chacune à une couleur. Il utilise une plaque de verre recouverte d'une émulsion transparente sans grain en contact avec un bac rempli de mercure faisant miroir. Lors de l'exposition de la plaque dans l'appareil photographique, le rayon lumineux incident traverse la couche de préparation sensible puis est réfléchi par le miroir de mercure. Ce rayon réfléchi ébranle à son tour la couche sensible, mais en ordre inverse de l'onde incidente. La collision de ces deux ondes va produire un phénomène d'interférence dans la couche sensible et y inscrire une image à l'état latent. L'épaisseur de la couche sensible est ainsi divisée en strates parallèles, alternativement exposées et non exposées. Le développement réduit la préparation sensible en argent métallique et elle se compose alors de couches transparentes, dans les régions correspondant aux maxima lumineux, et de couches obscures dans les zones non exposées. La production des couleurs résulte ainsi de la stratification extrêmement fine de la préparation en épaisseurs de lames minces : le dépôt d'argent formé au développement étant en quelque sorte le moule produit par chaque vibration lumineuse. Chaque épaisseur correspond à une couleur. En examinant l'image par réflexion et sous un angle approprié, les lames d'argent réfléchissent la lumière incidente et produisent la sensation de la couleur qui a imprimé sa structure lamellaire caractéristique liée à sa longueur d'onde dans le dépôt d'argent. Ces couleurs sont de nature analogue à celles de la nacre ou des bulles de savon. »