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Il est où le petit frère de macsoup ?

106 réponses
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michele
Il me semble que Manfred avait parlé l'an dernier d'une création de news
reader 64 bit qui serait dans l'esprit de macsoup (avec fil représenté)
par quelqu'un d'ici.

C'en est où ?

10 réponses

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benoit
Korben Dallas wrote:
Benoît wrote:
Korben Dallas wrote:
> Benoît wrote:
>
> > 2. Si Apple bloque tout et oblige tous les éditeurs de logiciels
> > d'entreprise de passer sous leur fourches caudines : terminer le monde
> > des étudiant et des marchés pointus dont les éditeurs, hors de prix,
> > font des màj très, très régulières pour corriger UN petit problème
> > trouvé par UN utilisateur qui ne peut plus bosser en attendant qu'Apple
> > bénisse la nouvelle version.
>
> comment font ceux qui dévelope leur propre application sous Xojo par
> exemple ?
??? Je ne connais pas cet environnement de développement et je ne
comprends pas trop ta question.

si je dévelope un eapplication sur Xojo logiciel de dévelopement de
logiciel, si je compile elle n'est pas signé chez apple donc comment
cela va ce passer ? il ne voudra pas que je lence l'app ?

Tu n'es pas obligé d'utiliser les outils Apple, autant que je sache.
Pour être signé par Apple, ce n'est pas ton code mais ton appli
compilée. Ils doivent certainement avoir une plateforme qui fait tourner
le code, regarde quelles sont les opérations lancées, leurs noms, est-ce
qu'il y a des opérations qui sont flinguées, où il écrit des infos lors
de l'installation, si c'est du code on le fait tourner dans son coin, et
on regarde ce qui se passe sur le réseau, sur les ports utilisés ou
écoutés par les différentes opérations que fait tourner l'appli...
Bref on flique pour détecter le plus d'« erreurs de programmation »
possible. Le but d'abord est de tout faire pour qu'une appli ne plante
pas le système malgré les protections comme le fait qu'une appli tourne
dans son espace mémoire (et voir si elle n'a pas tendance à gonfler
non-stop). De nos jours, quand une appli plante et emmène l'OS avec elle
c'est la faute de l'OS si la machine est plantée. Il m'est arrivé
d'avoir des applis qui plantent souvent (tous les mois ?) et elles sont
vite mises à jour, je subodore qu'Apple doit donner un délai aux
développeurs avant de supprimer l'appli du store et qu'une màj système
fasse qu'elle ne peut plus être lancée.
Je continue avec mes idées si j'étais Apple :
- Je regarde de très, très près la première appli d'un « petit »
développeur ;
- Je regarde de près l'appli d'un gros truc comme Adobe ou celui qui a
payé pour avoir des conseils sur son code, ses erreurs, des tonnes de
betas distribuées pour des tests « internes » ;
- Je regarde plus vite une mise-à-jour X.00Y.
Question : peut-on faire passer des pré-tests à ses applis chez Apple
avant de demander une validation ?
--
Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible
Benoit chez lui à leraillez.com
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benoit
Matt wrote:
On sam. 08 juin 2019 (12:30),
Manfred La Cassagnère wrote:
C'est si gentiment demandé ;-)

<https://www.youtube.com/watch?v=2zfqw8nhUwA>

;)
bien ironique tout ça, n'est-il pas?

Oui. On voit bien que le discours de Timmy sur l'héritage de Jobs est
une grosse hypocrisie.
Faire passer les clients avant l'actionnariat n'a jamais empêché Apple
de devenir ce qu'elle était lorsque Steve Jobs est revenu chez Apple et
c'est bien dommage que ce ne soit plus le cas.

Tout faux de chez Toufeau. La seule et vraie différence est que Jobs n'a
jamais distribué de dividendes (sauf les toutes dernières années que je
sache). Si tu veux devenir actionnaire Apple alors t'es dans une
start-up : tu gagnes de l'argent en misant sur nous et pas en attendant
du cash tous les trimestres. Tu augmentes ton capital et pas tes
revenus ; et là il y a un risque. Un peu comme si tu achètes une
deuxième maison pour ne pas la louer mais attendre qu'elle vaille plus
cher le jour où tu veux la vendre.
--
Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible
Benoit chez lui à leraillez.com
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Le Moustique
Le 08/06/2019 à 19:04, Matt a écrit :
Le « moi j'ai » implique de façon implicite l'appartenance à un
groupe...

Le "moi j'ai" implique plutôt (à mon avis) la non-appartenance au groupe
de l'interlocuteur (qu'on veut donc rabaisser).
--
/)
-:oo= Guillaume
)
Je nettoyais mon clavier, et le coup est parti tout seul.
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pehache
Le 08/06/2019 à 21:36, Le Moustique a écrit :
Le 08/06/2019 à 19:04, Matt a écrit :
Le « moi j'ai » implique de façon implicite l'appartenance à un
groupe...

Le "moi j'ai" implique plutôt (à mon avis) la non-appartenance au groupe
de l'interlocuteur (qu'on veut donc rabaisser).

Chuis d'accord avec Serge.
--
"...sois ouvert aux idées des autres pour peu qu'elles aillent dans le
même sens que les tiennes.", ST sur fr.bio.medecine
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benoit
Le Moustique wrote:
Le 08/06/2019 à 19:04, Matt a écrit :
Le « moi j'ai » implique de façon implicite l'appartenance à un
groupe...

Le "moi j'ai" implique plutôt (à mon avis) la non-appartenance au groupe
de l'interlocuteur (qu'on veut donc rabaisser).

+1
--
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Benoit chez lui à leraillez.com
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JPP
In article <qdgpqn$4s5$, Matt
wrote:
Pas exatement ça mais plutôt "moi, je fais partie de ..."

Le « moi j'ai » implique de façon implicite l'appartenance à un
groupe...

Bien sûr ! le reste, la distanciation de la "masse" est implicite,
Encore que, quand ils (surtout "elles" ) se balladent dans Sanhattan (
le Manhattan de Santiago) avec le iPhone X à bout de bras, c'est moins
implicite y compris la garde-robe attenante :-)
C'est pareil en France ?
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pehache
Le 08/06/2019 à 19:50, Benoît a écrit :
Matt wrote:
On sam. 08 juin 2019 (12:30),
Manfred La Cassagnère wrote:
C'est si gentiment demandé ;-)

<https://www.youtube.com/watch?v=2zfqw8nhUwA>

;)
bien ironique tout ça, n'est-il pas?

Oui. On voit bien que le discours de Timmy sur l'héritage de Jobs est
une grosse hypocrisie.
Faire passer les clients avant l'actionnariat n'a jamais empêché Apple
de devenir ce qu'elle était lorsque Steve Jobs est revenu chez Apple et
c'est bien dommage que ce ne soit plus le cas.

Tout faux de chez Toufeau. La seule et vraie différence est que Jobs n'a
jamais distribué de dividendes (sauf les toutes dernières années que je
sache). Si tu veux devenir actionnaire Apple alors t'es dans une
start-up : tu gagnes de l'argent en misant sur nous et pas en attendant
du cash tous les trimestres. Tu augmentes ton capital et pas tes
revenus ; et là il y a un risque. Un peu comme si tu achètes une
deuxième maison pour ne pas la louer mais attendre qu'elle vaille plus
cher le jour où tu veux la vendre.

C'est toi qui a tout faux. Distribuer ou pas des dividendes ne change
rien au risque pris par l'actionnaire. Pour avoir un revenu régulier
avec des actions d'une société qui ne distribue pas de dividendes il
suffit de vendre chaque année une fraction d'actions.
Le fait de ne pas distribuer de dividendes c'est surtout une stratégie
de développement : la société réinvestit le cash qu'elle génère au lieu
de le distribuer.
Quand Matt dit que SJ faisait passer les clients avant l'actionnariat
c'est je suppose pour une autre raison bien plus simple : SJ imposait
ses vues aux actionnaires au lieu de se les faire imposer par les
actionnaires. Il avait l'aura suffisante pour ça, après avoir redressé
Apple à la fin des années 90, lancé l'iPod et iTunes, lancé l'iPhone...
il était intouchable. Tim Cook n'a pas du tout la même légitimité pour
s'imposer face aux actionnaires, et ça se voit.
--
"...sois ouvert aux idées des autres pour peu qu'elles aillent dans le
même sens que les tiennes.", ST sur fr.bio.medecine
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JPP
In article ,
pehache wrote:
Le 08/06/2019 à 21:36, Le Moustique a écrit :
Le 08/06/2019 à 19:04, Matt a écrit :
Le « moi j'ai » implique de façon implicite l'appartenance à un
groupe...

Le "moi j'ai" implique plutôt (à mon avis) la non-appartenance au groupe
de l'interlocuteur (qu'on veut donc rabaisser).

Chuis d'accord avec Serge.

Désolé, mais je ne vais pas jusque là, je conserve
"moi j'ai"
= j'appartiens à ce groupe
plutôt que
- je n'appartiens pas à ce groupe ( = la masse, le peuple, la plèbe)
au premier item, on peut ajouter "le reste, je l'ignore".
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benoit
pehache wrote:
Le 08/06/2019 à 19:50, Benoît a écrit :
Matt wrote:
On sam. 08 juin 2019 (12:30),
Manfred La Cassagnère wrote:
C'est si gentiment demandé ;-)

<https://www.youtube.com/watch?v=2zfqw8nhUwA>

;)
bien ironique tout ça, n'est-il pas?

Oui. On voit bien que le discours de Timmy sur l'héritage de Jobs est
une grosse hypocrisie.
Faire passer les clients avant l'actionnariat n'a jamais empêché Apple
de devenir ce qu'elle était lorsque Steve Jobs est revenu chez Apple et
c'est bien dommage que ce ne soit plus le cas.

Tout faux de chez Toufeau. La seule et vraie différence est que Jobs n'a
jamais distribué de dividendes (sauf les toutes dernières années que je
sache). Si tu veux devenir actionnaire Apple alors t'es dans une
start-up : tu gagnes de l'argent en misant sur nous et pas en attendant
du cash tous les trimestres. Tu augmentes ton capital et pas tes
revenus ; et là il y a un risque. Un peu comme si tu achètes une
deuxième maison pour ne pas la louer mais attendre qu'elle vaille plus
cher le jour où tu veux la vendre.

C'est toi qui a tout faux. Distribuer ou pas des dividendes ne change
rien au risque pris par l'actionnaire. Pour avoir un revenu régulier
avec des actions d'une société qui ne distribue pas de dividendes il
suffit de vendre chaque année une fraction d'actions.

Pas du tout. Les parts dans une société génèrent deux types de revenus.
Celui généré par :
- Une vente plus élevée que l'achat ;
- Des dividendes réguliers.
Soit tu mises à la minute près et tu gagnes, ou perds, sur les
mouvements possibles dans une journée et qui peuvent faire +-10%, soit
tu joues sur du plus long terme et tu sélectionnes des actions presque
des obligations et d'autres plus « joueuses ».
Tu as des sociétés côtées dont la valeur change moins que les autres,
mais qui distribue de façon plus continue et à un même % par rapport aux
bénéfices. Alors parler
Le fait de ne pas distribuer de dividendes c'est surtout une stratégie
de développement : la société réinvestit le cash qu'elle génère au lieu
de le distribuer.

Oui, mais si elle veut que d'autres investissent elle a souvent intérêt
à distribuer. N'oublie pas que les gros investisseurs en Bourse sont des
caisses de retraites privées qui ont besoin de cash régulier ; donc de
dividendes.
Quand Matt dit que SJ faisait passer les clients avant l'actionnariat
c'est je suppose pour une autre raison bien plus simple : SJ imposait
ses vues aux actionnaires au lieu de se les faire imposer par les
actionnaires. Il avait l'aura suffisante pour ça, après avoir redressé
Apple à la fin des années 90, lancé l'iPod et iTunes, lancé l'iPhone...
il était intouchable. Tim Cook n'a pas du tout la même légitimité pour
s'imposer face aux actionnaires, et ça se voit.

+1 Il n'est pas un des fondateurs. Et il y avait tellement de cash de
côté (quelques années de salaire des employés sans faire une vente) que
le principe de SJ était allé trop loin.
J'ai bossé 20 ans dans une boîte dont les patrons/ fondateurs/
propriétaires (majoritaires) ne versaient pas de dividendes tant qu'il
n'y avait pas au moins 6 mois de salaire et charges en « stock ». Les
autres actionnaires dont des salariés étaient 100% d'accord. La valeur
de actions était basée sur le CA et le résultat de l'an dernier, cette
année et l'année prochaine.
SJ S'était gardé une très grosse marge de sécurité, qui, il ne faut pas
oublié, était une sorte d'assurance pour ceux qui achètent des parts. Si
ils ferment j'ai du cash assuré.
--
Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible
Benoit chez lui à leraillez.com
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Matt
On sam. 08 juin 2019 (22:53),
pehache wrote:
Quand Matt dit que SJ faisait passer les clients avant l'actionnariat
c'est je suppose pour une autre raison bien plus simple : SJ imposait
ses vues aux actionnaires au lieu de se les faire imposer par les
actionnaires. Il avait l'aura suffisante pour ça, après avoir redressé
Apple à la fin des années 90, lancé l'iPod et iTunes, lancé l'iPhone...
il était intouchable. Tim Cook n'a pas du tout la même légitimité pour
s'imposer face aux actionnaires, et ça se voit.

Tout à fait.
D'aucuns diront que Timmy a libéré Apple, d'autres qu'il la mène (tout
doucement certes) à sa perte.
--
“Daddy, how is software made?” “Well, when a programmer loves an idea very
much they stay up all night and then push to github the next day.”
– Sam Kottler