Un morceau de choix par le grand chantre des théories économiques
libérales au Monde, Eric Le Boucher:
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0%402-3232,36-639934,0.html
Evidemment le palmarés de ce brave journaliste ne s'est pas construit
dans les "luttes sociales":
http://www.idate.fr/bio/leboucher.htm
"Hub" a écrit dans le message de news:42679092$0$2084$
Mauvais exemple. Dans un "marché intérieur où la concurrence est libre et non faussée" (sic), les projets industriels lourdement subventionnés
comme Airbus vont disparaitre.
erreur la concurrence est libre et non faussée sauf si les etas le décide
voir service public et chaque etat fais ce qu'il veux
Article III-25 1. La présente sous-section et les mesures adoptées en vertu de celle-ci ne préjugent pas l'applicabilité des dispositions législatives, réglementaires et administratives des États membres prévoyant un régime spécial pour les ressortissants étrangers, et justifiées par des raisons d'ordre public, de sécurité publique et de santé publique.
L'article la, il dit que les domaines publique, c'est soit l'ordre (les flics), soit la sécutité (les militaires) soit la santé (les hopitaux et la sécu). Je vois pas trop où on peut mettre airbus la dedans... et un peut d'argent en plus
1. L'Union vise à renforcer les bases scientifiques et technologiques de l'industrie de l'Union et à favoriser le développement de sa compétitivité internationale, ainsi qu'à promouvoir les actions de recherche jugées nécessaires au titre d'autres chapitres de la Constitution.
« On transforme sa main en la mettant dans une autre. » -- Paul Éluard
() Campagne du ruban ascii -- contre les mails en html / Contre les pièces jointes Microsoft
"TeXitoi" <texitoiNO@SPAMtexitoi.homelinux.org.invalid> a écrit dans le
message de news:awcwtqwjosv.fsf@vega.utc.fr...
"test" <essai@test.fr> writes:
"Hub" <hub@nospam.com> a écrit dans le message de
news:42679092$0$2084$626a14ce@news.free.fr...
Mauvais exemple. Dans un "marché intérieur où la concurrence est libre
et non faussée" (sic), les projets industriels lourdement
subventionnés
comme Airbus vont disparaitre.
erreur la concurrence est libre et non faussée sauf si les etas le
décide
voir service public et chaque etat fais ce qu'il veux
Article III-25
1. La présente sous-section et les mesures adoptées en vertu de
celle-ci ne préjugent pas l'applicabilité des dispositions
législatives, réglementaires et administratives des États membres
prévoyant un régime spécial pour les ressortissants étrangers, et
justifiées par des raisons d'ordre public, de sécurité publique et
de santé publique.
L'article la, il dit que les domaines publique, c'est soit l'ordre
(les flics), soit la sécutité (les militaires) soit la santé (les
hopitaux et la sécu). Je vois pas trop où on peut mettre airbus la
dedans...
et un peut d'argent en plus
1. L'Union vise à renforcer les bases scientifiques et technologiques de
l'industrie de l'Union et à favoriser le développement de sa compétitivité
internationale, ainsi qu'à promouvoir les actions de recherche jugées
nécessaires au titre d'autres chapitres de la Constitution.
"Hub" a écrit dans le message de news:42679092$0$2084$
Mauvais exemple. Dans un "marché intérieur où la concurrence est libre et non faussée" (sic), les projets industriels lourdement subventionnés
comme Airbus vont disparaitre.
erreur la concurrence est libre et non faussée sauf si les etas le décide
voir service public et chaque etat fais ce qu'il veux
Article III-25 1. La présente sous-section et les mesures adoptées en vertu de celle-ci ne préjugent pas l'applicabilité des dispositions législatives, réglementaires et administratives des États membres prévoyant un régime spécial pour les ressortissants étrangers, et justifiées par des raisons d'ordre public, de sécurité publique et de santé publique.
L'article la, il dit que les domaines publique, c'est soit l'ordre (les flics), soit la sécutité (les militaires) soit la santé (les hopitaux et la sécu). Je vois pas trop où on peut mettre airbus la dedans... et un peut d'argent en plus
1. L'Union vise à renforcer les bases scientifiques et technologiques de l'industrie de l'Union et à favoriser le développement de sa compétitivité internationale, ainsi qu'à promouvoir les actions de recherche jugées nécessaires au titre d'autres chapitres de la Constitution.
« On transforme sa main en la mettant dans une autre. » -- Paul Éluard
() Campagne du ruban ascii -- contre les mails en html / Contre les pièces jointes Microsoft
Hub
Euh, je pense que personne (peut-être à tors ) ne contestera le retart manifeste en terme de micro-informatique (matèriel ou logiciel ) pour l'Europe, et que la seul manière que sa ne ce reproduise pas dans d'autre domaine, et la signature du traité de constitution européenne, je ne dis pas que ce traité ferat tous, mais il est un pas en avant ... L'exemple d'Airbus, me fais dire que l'"union" (Européenne) fait la force !
Mauvais exemple. Dans un "marché intérieur où la concurrence est libre et non faussée" (sic), les projets industriels lourdement subventionnés comme Airbus vont disparaitre.
C'est pas dit. La concurrence doit être libre et non faussée entre les États membres. Airbus concurrence Boeing surtout (d'ailleurs c'est le fruit de la collaboration de plusieurs États).
Il existe sûrement une filiale Boeing installée Europe qui portera plainte pour concurrence faussée.
À mon avis il y aura toujours moyen de passer outre dans le cas d'un "super ambassadeur" de la technologie Européenne (EADS au pif).
Pour les grands et les puissants, il y a toujours un moyen de passer outre...
Euh, je pense que personne (peut-être à tors ) ne contestera le
retart manifeste en terme de micro-informatique (matèriel ou logiciel
) pour l'Europe, et que la seul manière que sa ne ce reproduise pas
dans d'autre domaine, et la signature du traité de constitution
européenne, je ne dis pas que ce traité ferat tous, mais il est un
pas en avant ...
L'exemple d'Airbus, me fais dire que l'"union" (Européenne) fait la
force !
Mauvais exemple. Dans un "marché intérieur où la concurrence est libre
et non faussée" (sic), les projets industriels lourdement subventionnés
comme Airbus vont disparaitre.
C'est pas dit. La concurrence doit être libre et non faussée entre les
États membres. Airbus concurrence Boeing surtout (d'ailleurs c'est le
fruit de la collaboration de plusieurs États).
Il existe sûrement une filiale Boeing installée Europe qui portera
plainte pour concurrence faussée.
À mon avis il y aura
toujours moyen de passer outre dans le cas d'un "super ambassadeur" de
la technologie Européenne (EADS au pif).
Pour les grands et les puissants, il y a toujours un moyen de passer
outre...
Euh, je pense que personne (peut-être à tors ) ne contestera le retart manifeste en terme de micro-informatique (matèriel ou logiciel ) pour l'Europe, et que la seul manière que sa ne ce reproduise pas dans d'autre domaine, et la signature du traité de constitution européenne, je ne dis pas que ce traité ferat tous, mais il est un pas en avant ... L'exemple d'Airbus, me fais dire que l'"union" (Européenne) fait la force !
Mauvais exemple. Dans un "marché intérieur où la concurrence est libre et non faussée" (sic), les projets industriels lourdement subventionnés comme Airbus vont disparaitre.
C'est pas dit. La concurrence doit être libre et non faussée entre les États membres. Airbus concurrence Boeing surtout (d'ailleurs c'est le fruit de la collaboration de plusieurs États).
Il existe sûrement une filiale Boeing installée Europe qui portera plainte pour concurrence faussée.
À mon avis il y aura toujours moyen de passer outre dans le cas d'un "super ambassadeur" de la technologie Européenne (EADS au pif).
Pour les grands et les puissants, il y a toujours un moyen de passer outre...
Hub
On Thu, 21 Apr 2005 11:40:36 +0200, Hub wrote:
Euh, je pense que personne (peut-être à tors ) ne contestera le retart manifeste en terme de micro-informatique (matèriel ou logiciel ) pour l'Europe, et que la seul manière que sa ne ce reproduise pas dans d'autre domaine, et la signature du traité de constitution européenne, je ne dis pas que ce traité ferat tous, mais il est un pas en avant ... L'exemple d'Airbus, me fais dire que l'"union" (Européenne) fait la force !
Mauvais exemple. Dans un "marché intérieur où la concurrence est libre et non faussée" (sic), les projets industriels lourdement subventionnés comme Airbus vont disparaitre.
non , car il n'entre pas en concurrence avec un autre puisque tout le monde ou presque participe a airbus
Quoi ! Encore un monopole ! Mais qu'attend la commission pour dérèglementer le marché des aéronefs ;-)
On Thu, 21 Apr 2005 11:40:36 +0200, Hub wrote:
Euh, je pense que personne (peut-être à tors ) ne contestera le
retart manifeste en terme de micro-informatique (matèriel ou logiciel
) pour l'Europe, et que la seul manière que sa ne ce reproduise pas
dans d'autre domaine, et la signature du traité de constitution
européenne, je ne dis pas que ce traité ferat tous, mais il est un
pas en avant ...
L'exemple d'Airbus, me fais dire que l'"union" (Européenne) fait la
force !
Mauvais exemple. Dans un "marché intérieur où la concurrence est libre
et non faussée" (sic), les projets industriels lourdement subventionnés
comme Airbus vont disparaitre.
non , car il n'entre pas en concurrence avec un autre puisque tout le
monde ou presque participe a airbus
Quoi ! Encore un monopole ! Mais qu'attend la commission pour
dérèglementer le marché des aéronefs ;-)
Euh, je pense que personne (peut-être à tors ) ne contestera le retart manifeste en terme de micro-informatique (matèriel ou logiciel ) pour l'Europe, et que la seul manière que sa ne ce reproduise pas dans d'autre domaine, et la signature du traité de constitution européenne, je ne dis pas que ce traité ferat tous, mais il est un pas en avant ... L'exemple d'Airbus, me fais dire que l'"union" (Européenne) fait la force !
Mauvais exemple. Dans un "marché intérieur où la concurrence est libre et non faussée" (sic), les projets industriels lourdement subventionnés comme Airbus vont disparaitre.
non , car il n'entre pas en concurrence avec un autre puisque tout le monde ou presque participe a airbus
Quoi ! Encore un monopole ! Mais qu'attend la commission pour dérèglementer le marché des aéronefs ;-)
Thomas Alexandre
On Wed, 20 Apr 2005 13:03:49 +0200, Emmanuel Florac wrote:
Le Wed, 20 Apr 2005 10:25:59 +0000, Michel Talon a écrit :
il y aura forcément un plan B, et on gagnera peut être des décennies dans la construction européénne en ayant tapé un coup de poing sur la table.
Dans mes bras.
A propos du "plan B", je suis particulièrement agacé par la désinformation qui est pratiquée sur ce sujet :
"En visite à Paris, le président du Parlement européen, Josep Borrell, a averti: «Ni au Parlement, ni à la Commission, ni nulle part à Bruxelles on parle de ce fameux plan B, de cette sorte de fantôme qui a commencé à peupler l'imaginaire collectif français. On dit «oui» ou on dit «non» mais on ne taillera pas sur mesure une partie du traité constitutionnel pour faire plaisir à un pays ou à un autre», a insisté le socialiste espagnol devant ses pairs du PS français."
http://www.liberation.fr/page.php?Article)0732
Comment le président de Parlement européen peut-il oser déclarer cela alors qu'on sait *déjà* en quoi consiste le "plan B" ?
"Certes, le «plan B» au non français n'existe pas sur le papier, pas encore. Mais dans les esprits, il est déjà abouti. Il vient s'ajouter au plan secret concocté par Paris et Berlin en cas de non britannique. Plus récente, la version destinée au possible non français est le fruit d'un travail d'experts mené entre Bruxelles et les capitales depuis dix jours. Il s'appuie sur les compétences des juristes, des diplomates et des chercheurs des «think tanks» bruxellois.
Dans ses grandes lignes, il s'agit d'un scénario technique, en plusieurs étapes, misant sur le temps et les évolutions politiques dans les capitales. «Les solutions légales pour sauver le traité d'un non ne manquent pas, concède un chercheur du Centre européen de sciences politiques (Ceps), mais peu nombreuses sont celles qui s'adaptent politiquement au cas français.» Un exemple : si Bruxelles est passé maître dans l'art de faire revoter les peuples malentendants - elle l'a fait avec les Danois en 1992 et les Irlandais en 2001 -, une telle option, toujours possible en théorie, paraît impensable politiquement avec les Français. «Ils râleraient tellement fort !, confie un haut fonctionnaire de la Commission, et ils auraient raison : ce qu'on a fait avec le Danemark et l'Irlande était limite...»(1)
Première étape : après le 29 mai, les ratifications continuent. (...) Deuxième étape : le Conseil européen fait le bilan politique, (...) Troisième étape : le traité est dépecé. Il entre en vigueur par morceaux. Suivant le nombre de non enregistrés en fin de course, la Constitution est soit enterrée, soit renégociée en partie. Dans les deux cas, une nouvelle négociation politique s'engage. Mais sur des bases entièrement nouvelles. (2) Si le rejet n'est pas trop massif, il est possible d'établir un «traité bis», allégé de la partie III, par exemple, concentré uniquement sur les institutions. Si plusieurs grands pays votent non, la France, la Pologne et la Grande-Bretagne, par exemple, le traité est mort politiquement mais il peut être ressuscité en partie. Il suffira de sélectionner ses innovations les plus consensuelles et de les introduire par accord intergouvernemental ou interinstitutionnel (Conseil, Commission, Parlement), ou encore par un petit traité d'une page ratifié par les parlements. "
(1) savoureux euphémisme. (2) qu'on arrête de nous faire croire le contraire.
-- "Ce qu'il faut au fond pour obtenir une espèce de paix avec les hommes, (...) c'est leur permettre en toutes circonstances, de s'étaler, de se vautrer parmi les vantardises niaises. Il n'y a pas de vanité intelligente. C'est un instinct." - Céline
On Wed, 20 Apr 2005 13:03:49 +0200, Emmanuel Florac wrote:
Le Wed, 20 Apr 2005 10:25:59 +0000, Michel Talon a écrit :
il y aura forcément un plan B, et on gagnera peut être des décennies
dans la construction européénne en ayant tapé un coup de poing sur
la table.
Dans mes bras.
A propos du "plan B", je suis particulièrement agacé par la
désinformation qui est pratiquée sur ce sujet :
"En visite à Paris, le président du Parlement européen, Josep Borrell,
a averti: «Ni au Parlement, ni à la Commission, ni nulle part à
Bruxelles on parle de ce fameux plan B, de cette sorte de fantôme qui a
commencé à peupler l'imaginaire collectif français. On dit «oui» ou
on dit «non» mais on ne taillera pas sur mesure une partie du traité
constitutionnel pour faire plaisir à un pays ou à un autre», a insisté
le socialiste espagnol devant ses pairs du PS français."
http://www.liberation.fr/page.php?Article)0732
Comment le président de Parlement européen peut-il oser déclarer
cela alors qu'on sait *déjà* en quoi consiste le "plan B" ?
"Certes, le «plan B» au non français n'existe pas sur le papier, pas
encore. Mais dans les esprits, il est déjà abouti. Il vient s'ajouter au
plan secret concocté par Paris et Berlin en cas de non britannique. Plus
récente, la version destinée au possible non français est le fruit d'un
travail d'experts mené entre Bruxelles et les capitales depuis dix jours.
Il s'appuie sur les compétences des juristes, des diplomates et des
chercheurs des «think tanks» bruxellois.
Dans ses grandes lignes, il s'agit d'un scénario technique, en plusieurs
étapes, misant sur le temps et les évolutions politiques dans les
capitales. «Les solutions légales pour sauver le traité d'un non ne
manquent pas, concède un chercheur du Centre européen de sciences
politiques (Ceps), mais peu nombreuses sont celles qui s'adaptent
politiquement au cas français.» Un exemple : si Bruxelles est passé
maître dans l'art de faire revoter les peuples malentendants - elle l'a
fait avec les Danois en 1992 et les Irlandais en 2001 -, une telle
option, toujours possible en théorie, paraît impensable politiquement
avec les Français. «Ils râleraient tellement fort !, confie un haut
fonctionnaire de la Commission, et ils auraient raison : ce qu'on a fait
avec le Danemark et l'Irlande était limite...»(1)
Première étape : après le 29 mai, les ratifications continuent.
(...)
Deuxième étape : le Conseil européen fait le bilan politique,
(...)
Troisième étape : le traité est dépecé. Il entre en vigueur par morceaux.
Suivant le nombre de non enregistrés en fin de course, la Constitution
est soit enterrée, soit renégociée en partie. Dans les deux cas, une
nouvelle négociation politique s'engage. Mais sur des bases
entièrement nouvelles. (2) Si le rejet n'est pas trop massif, il est
possible d'établir un «traité bis», allégé de la partie III, par
exemple, concentré uniquement sur les institutions. Si plusieurs grands
pays votent non, la France, la Pologne et la Grande-Bretagne, par exemple,
le traité est mort politiquement mais il peut être ressuscité en
partie. Il suffira de sélectionner ses innovations les plus consensuelles
et de les introduire par accord intergouvernemental ou interinstitutionnel
(Conseil, Commission, Parlement), ou encore par un petit traité d'une
page ratifié par les parlements.
"
(1) savoureux euphémisme.
(2) qu'on arrête de nous faire croire le contraire.
--
"Ce qu'il faut au fond pour obtenir une espèce de paix avec les hommes,
(...) c'est leur permettre en toutes circonstances, de s'étaler, de se
vautrer parmi les vantardises niaises. Il n'y a pas de vanité
intelligente. C'est un instinct." - Céline
On Wed, 20 Apr 2005 13:03:49 +0200, Emmanuel Florac wrote:
Le Wed, 20 Apr 2005 10:25:59 +0000, Michel Talon a écrit :
il y aura forcément un plan B, et on gagnera peut être des décennies dans la construction européénne en ayant tapé un coup de poing sur la table.
Dans mes bras.
A propos du "plan B", je suis particulièrement agacé par la désinformation qui est pratiquée sur ce sujet :
"En visite à Paris, le président du Parlement européen, Josep Borrell, a averti: «Ni au Parlement, ni à la Commission, ni nulle part à Bruxelles on parle de ce fameux plan B, de cette sorte de fantôme qui a commencé à peupler l'imaginaire collectif français. On dit «oui» ou on dit «non» mais on ne taillera pas sur mesure une partie du traité constitutionnel pour faire plaisir à un pays ou à un autre», a insisté le socialiste espagnol devant ses pairs du PS français."
http://www.liberation.fr/page.php?Article)0732
Comment le président de Parlement européen peut-il oser déclarer cela alors qu'on sait *déjà* en quoi consiste le "plan B" ?
"Certes, le «plan B» au non français n'existe pas sur le papier, pas encore. Mais dans les esprits, il est déjà abouti. Il vient s'ajouter au plan secret concocté par Paris et Berlin en cas de non britannique. Plus récente, la version destinée au possible non français est le fruit d'un travail d'experts mené entre Bruxelles et les capitales depuis dix jours. Il s'appuie sur les compétences des juristes, des diplomates et des chercheurs des «think tanks» bruxellois.
Dans ses grandes lignes, il s'agit d'un scénario technique, en plusieurs étapes, misant sur le temps et les évolutions politiques dans les capitales. «Les solutions légales pour sauver le traité d'un non ne manquent pas, concède un chercheur du Centre européen de sciences politiques (Ceps), mais peu nombreuses sont celles qui s'adaptent politiquement au cas français.» Un exemple : si Bruxelles est passé maître dans l'art de faire revoter les peuples malentendants - elle l'a fait avec les Danois en 1992 et les Irlandais en 2001 -, une telle option, toujours possible en théorie, paraît impensable politiquement avec les Français. «Ils râleraient tellement fort !, confie un haut fonctionnaire de la Commission, et ils auraient raison : ce qu'on a fait avec le Danemark et l'Irlande était limite...»(1)
Première étape : après le 29 mai, les ratifications continuent. (...) Deuxième étape : le Conseil européen fait le bilan politique, (...) Troisième étape : le traité est dépecé. Il entre en vigueur par morceaux. Suivant le nombre de non enregistrés en fin de course, la Constitution est soit enterrée, soit renégociée en partie. Dans les deux cas, une nouvelle négociation politique s'engage. Mais sur des bases entièrement nouvelles. (2) Si le rejet n'est pas trop massif, il est possible d'établir un «traité bis», allégé de la partie III, par exemple, concentré uniquement sur les institutions. Si plusieurs grands pays votent non, la France, la Pologne et la Grande-Bretagne, par exemple, le traité est mort politiquement mais il peut être ressuscité en partie. Il suffira de sélectionner ses innovations les plus consensuelles et de les introduire par accord intergouvernemental ou interinstitutionnel (Conseil, Commission, Parlement), ou encore par un petit traité d'une page ratifié par les parlements. "
(1) savoureux euphémisme. (2) qu'on arrête de nous faire croire le contraire.
-- "Ce qu'il faut au fond pour obtenir une espèce de paix avec les hommes, (...) c'est leur permettre en toutes circonstances, de s'étaler, de se vautrer parmi les vantardises niaises. Il n'y a pas de vanité intelligente. C'est un instinct." - Céline
test
traduction un nouveaux traite sans economie n'y garentis social juste un mecanimes de fonctionnement
en gros rien ... que dalle mais pour cela il faut que la france ne soint pas seul a la refuser mal partie
sinon l'on va se faire foutre normal quoi
traduction
un nouveaux traite sans economie n'y garentis social
juste un mecanimes de fonctionnement
en gros rien ... que dalle
mais pour cela il faut que la france
ne soint pas seul a la refuser mal partie
traduction un nouveaux traite sans economie n'y garentis social juste un mecanimes de fonctionnement
en gros rien ... que dalle mais pour cela il faut que la france ne soint pas seul a la refuser mal partie
sinon l'on va se faire foutre normal quoi
Guillaume L.
traduction un nouveaux traite sans economie n'y garentis social juste un mecanimes de fonctionnement
en gros rien ... que dalle mais pour cela il faut que la france ne soint pas seul a la refuser mal partie
sinon l'on va se faire foutre normal quoi
"traduction : un nouveau traité sans économie ni garantie sociale, juste un mécanisme de fonctionnement. En gros, rien, que dalle. Mais pour celà il faut que la France ne soit pas seule à le refu- ser. Mal parti. Sinon on va se faire foutre, normal quoi."
Bien sûr je n'ai fait que corriger les fautes d'ortho/grammaire, pour le sens, je n'ai pas osé.
Est-ce qu'il est possible qu'à l'avenir tu soignes un peu ton francais ? Non parce que tu es vraiment pénible à lire hein. Et puis que tu arrêtes de poster sous 5 ou 6 adresses différentes.
Guillaume Leconte.
-- You're not a beautiful and unique snowflake.
traduction
un nouveaux traite sans economie n'y garentis social
juste un mecanimes de fonctionnement
en gros rien ... que dalle
mais pour cela il faut que la france
ne soint pas seul a la refuser mal partie
sinon l'on va se faire foutre normal quoi
"traduction : un nouveau traité sans économie ni garantie sociale,
juste un mécanisme de fonctionnement. En gros, rien, que dalle.
Mais pour celà il faut que la France ne soit pas seule à le refu-
ser. Mal parti.
Sinon on va se faire foutre, normal quoi."
Bien sûr je n'ai fait que corriger les fautes d'ortho/grammaire,
pour le sens, je n'ai pas osé.
Est-ce qu'il est possible qu'à l'avenir tu soignes un peu ton
francais ? Non parce que tu es vraiment pénible à lire hein.
Et puis que tu arrêtes de poster sous 5 ou 6 adresses différentes.
traduction un nouveaux traite sans economie n'y garentis social juste un mecanimes de fonctionnement
en gros rien ... que dalle mais pour cela il faut que la france ne soint pas seul a la refuser mal partie
sinon l'on va se faire foutre normal quoi
"traduction : un nouveau traité sans économie ni garantie sociale, juste un mécanisme de fonctionnement. En gros, rien, que dalle. Mais pour celà il faut que la France ne soit pas seule à le refu- ser. Mal parti. Sinon on va se faire foutre, normal quoi."
Bien sûr je n'ai fait que corriger les fautes d'ortho/grammaire, pour le sens, je n'ai pas osé.
Est-ce qu'il est possible qu'à l'avenir tu soignes un peu ton francais ? Non parce que tu es vraiment pénible à lire hein. Et puis que tu arrêtes de poster sous 5 ou 6 adresses différentes.
Guillaume Leconte.
-- You're not a beautiful and unique snowflake.
Benjamin FRANCOIS
Guillaume L. s'est exprimé en ces termes:
Bien sûr je n'ai fait que corriger les fautes d'ortho/grammaire, pour le sens, je n'ai pas osé.
C'est déjà un bel effort.
-- <goh`> in my system.ini i'll change 'Shell=Explorer.exe' to 'Shell=quake2.exe'
Guillaume L. s'est exprimé en ces termes:
Bien sûr je n'ai fait que corriger les fautes d'ortho/grammaire,
pour le sens, je n'ai pas osé.
C'est déjà un bel effort.
--
<goh`> in my system.ini i'll change 'Shell=Explorer.exe' to 'Shell=quake2.exe'
Bien sûr je n'ai fait que corriger les fautes d'ortho/grammaire, pour le sens, je n'ai pas osé.
C'est déjà un bel effort.
-- <goh`> in my system.ini i'll change 'Shell=Explorer.exe' to 'Shell=quake2.exe'
Blaise Potard
Arnaud wrote:
Je lui reproche l'étendue de son pouvoir compte tenu de son mode de désignation (parler d'élection, c'est un peu abuser).
Ben t'as pas vu ce qui se passe chez nous, alors... (cf plus loin)
Il me semble d'ailleurs que la prétendue Constitution lui donne encore plus de pouvoirs.
Non. Elle donne un peu plus de pouvoir au parlement, mais vraiment pas grand chose.
Alors que, pour ce que j'en sais (je ne suis pas spécialiste), tous les pays européens désignent leur exécutif et leur législatif d'une façon similaire
En France, le gouvernement est désigné comment ? Paf, c'est le président qui nomme le premier ministre, puis le 1er ministre nomme les autres. Le mode de désignation est encore moins démocratique que celui de la commission, tu remarqueras, puisqu'au moins on demande au Parlement européen de voter pour le « premier ministre » (le président de la commission). Sinon, dans un cas comme dans l'autre, il y a toujours la possibilité d'une « motion de censure » (majorité des membres chez nous, 2/3 des voix + majorité des membres pour le parlement européen). D'autre part, le pouvoir de la commission est moindre par rapport au gouvernement chez nous (il n'y a pas l'équivalent du 49-3, par exemple). Le gros reproche, c'est que le Parlement ne peut pas proposer de lois : bref, le vrai problème, ce n'est pas que la commission a trop de pouvoir, c'est que le Parlement n'en a pas assez (et aussi qu'il y a pas mal de cons à la commission, mais notre gouvernement n'est pas tellement mieux, à mon avis).
Arnaud wrote:
Je lui reproche l'étendue de son pouvoir compte tenu de son mode de
désignation (parler d'élection, c'est un peu abuser).
Ben t'as pas vu ce qui se passe chez nous, alors... (cf plus loin)
Il me semble d'ailleurs que la prétendue Constitution lui donne encore
plus de pouvoirs.
Non. Elle donne un peu plus de pouvoir au parlement, mais vraiment pas
grand chose.
Alors que, pour ce que j'en sais (je ne suis pas spécialiste), tous
les pays européens désignent leur exécutif et leur législatif d'une
façon similaire
En France, le gouvernement est désigné comment ? Paf, c'est le président
qui nomme le premier ministre, puis le 1er ministre nomme les autres. Le
mode de désignation est encore moins démocratique que celui de la
commission, tu remarqueras, puisqu'au moins on demande au Parlement
européen de voter pour le « premier ministre » (le président de la
commission). Sinon, dans un cas comme dans l'autre, il y a toujours la
possibilité d'une « motion de censure » (majorité des membres chez nous,
2/3 des voix + majorité des membres pour le parlement européen). D'autre
part, le pouvoir de la commission est moindre par rapport au
gouvernement chez nous (il n'y a pas l'équivalent du 49-3, par exemple).
Le gros reproche, c'est que le Parlement ne peut pas proposer de lois :
bref, le vrai problème, ce n'est pas que la commission a trop de
pouvoir, c'est que le Parlement n'en a pas assez (et aussi qu'il y a pas
mal de cons à la commission, mais notre gouvernement n'est pas tellement
mieux, à mon avis).
Je lui reproche l'étendue de son pouvoir compte tenu de son mode de désignation (parler d'élection, c'est un peu abuser).
Ben t'as pas vu ce qui se passe chez nous, alors... (cf plus loin)
Il me semble d'ailleurs que la prétendue Constitution lui donne encore plus de pouvoirs.
Non. Elle donne un peu plus de pouvoir au parlement, mais vraiment pas grand chose.
Alors que, pour ce que j'en sais (je ne suis pas spécialiste), tous les pays européens désignent leur exécutif et leur législatif d'une façon similaire
En France, le gouvernement est désigné comment ? Paf, c'est le président qui nomme le premier ministre, puis le 1er ministre nomme les autres. Le mode de désignation est encore moins démocratique que celui de la commission, tu remarqueras, puisqu'au moins on demande au Parlement européen de voter pour le « premier ministre » (le président de la commission). Sinon, dans un cas comme dans l'autre, il y a toujours la possibilité d'une « motion de censure » (majorité des membres chez nous, 2/3 des voix + majorité des membres pour le parlement européen). D'autre part, le pouvoir de la commission est moindre par rapport au gouvernement chez nous (il n'y a pas l'équivalent du 49-3, par exemple). Le gros reproche, c'est que le Parlement ne peut pas proposer de lois : bref, le vrai problème, ce n'est pas que la commission a trop de pouvoir, c'est que le Parlement n'en a pas assez (et aussi qu'il y a pas mal de cons à la commission, mais notre gouvernement n'est pas tellement mieux, à mon avis).
Doug713705
Le Mercredi 20 Avril 2005 00:25, Rakotomandimby (R12y) Mihamina s'est exprimé de la sorte sur fr.comp.os.linux.debats :
C'est de l'anti-raisonnement. "tm" "c" et tout le toutim...
PROUVE LE ! (c) (tm) (r)
:-D
Evidement que c'est extrème mais je pense qu'il vaut mieux réfléchir aux conséquences *avant* de prendre une décision que de les constater *après* et de s'apercevoir que ces conséquences sont néfastes (et qu'accessoirement on ne peut pas faire demi tour, un peu comme pour un rm -Rf, quoi.)
C'est mon avis. -- @+ Doug [Linux user #307925] - Slackware RuleZ ;-) [Pourquoi t'es qui, qu'est ce que tu fais par où ?] -- Pour me contacter enlever no-spam (2X) --
Le Mercredi 20 Avril 2005 00:25, Rakotomandimby (R12y) Mihamina s'est
exprimé de la sorte sur fr.comp.os.linux.debats :
C'est de l'anti-raisonnement. "tm" "c" et tout le toutim...
PROUVE LE ! (c) (tm) (r)
:-D
Evidement que c'est extrème mais je pense qu'il vaut mieux réfléchir aux
conséquences *avant* de prendre une décision que de les constater *après*
et de s'apercevoir que ces conséquences sont néfastes (et qu'accessoirement
on ne peut pas faire demi tour, un peu comme pour un rm -Rf, quoi.)
C'est mon avis.
--
@+
Doug [Linux user #307925] - Slackware RuleZ ;-)
[Pourquoi t'es qui, qu'est ce que tu fais par où ?]
-- Pour me contacter enlever no-spam (2X) --
Le Mercredi 20 Avril 2005 00:25, Rakotomandimby (R12y) Mihamina s'est exprimé de la sorte sur fr.comp.os.linux.debats :
C'est de l'anti-raisonnement. "tm" "c" et tout le toutim...
PROUVE LE ! (c) (tm) (r)
:-D
Evidement que c'est extrème mais je pense qu'il vaut mieux réfléchir aux conséquences *avant* de prendre une décision que de les constater *après* et de s'apercevoir que ces conséquences sont néfastes (et qu'accessoirement on ne peut pas faire demi tour, un peu comme pour un rm -Rf, quoi.)
C'est mon avis. -- @+ Doug [Linux user #307925] - Slackware RuleZ ;-) [Pourquoi t'es qui, qu'est ce que tu fais par où ?] -- Pour me contacter enlever no-spam (2X) --
du64
Doug713705 wrote:
Le Mercredi 20 Avril 2005 18:06, Benjamin FRANCOIS s'est exprimé de la sorte sur fr.comp.os.linux.debats :
Irvin Probst s'est exprimé en ces termes:
Faire sauter le 49.3 serait déjà un bon début.
Faire sauter ce gouvernement je ne suis pas contre non plus.
Faire sauter la planète, quelle paix dans l'univers.
Ok je.... --> []
oui mais des le debut c'est ca que je ressentais en tant qu'humain
Doug713705 wrote:
Le Mercredi 20 Avril 2005 18:06, Benjamin FRANCOIS s'est exprimé de la sorte
sur fr.comp.os.linux.debats :
Irvin Probst s'est exprimé en ces termes:
Faire sauter le 49.3 serait déjà un bon début.
Faire sauter ce gouvernement je ne suis pas contre non plus.
Faire sauter la planète, quelle paix dans l'univers.
Ok je.... --> []
oui mais des le debut c'est ca que je ressentais en tant qu'humain