Dans la pratique, la possibilité de la motion de censure empêche le
Président de nommer n'importe qui.
part, le pouvoir de la commission est moindre par rapport au
gouvernement chez nous (il n'y a pas l'équivalent du 49-3, par
exemple).
Et la possibilité d'inscription à l'ordre du jour sans discussion
avant vote, c'est mieux ?
Le gros reproche, c'est que le Parlement ne peut pas proposer de lois
:
C'est pas franchement démocratique, hein ?
bref, le vrai problème, ce n'est pas que la commission a trop de
pouvoir, c'est que le Parlement n'en a pas assez
Là, tu joues sur les mots.
Si la commission est l'équivalent du gouvernement, le conseil des
ministrs sert à quoi ?
Dans la pratique, la possibilité de la motion de censure empêche le
Président de nommer n'importe qui.
part, le pouvoir de la commission est moindre par rapport au
gouvernement chez nous (il n'y a pas l'équivalent du 49-3, par
exemple).
Et la possibilité d'inscription à l'ordre du jour sans discussion
avant vote, c'est mieux ?
Le gros reproche, c'est que le Parlement ne peut pas proposer de lois
:
C'est pas franchement démocratique, hein ?
bref, le vrai problème, ce n'est pas que la commission a trop de
pouvoir, c'est que le Parlement n'en a pas assez
Là, tu joues sur les mots.
Si la commission est l'équivalent du gouvernement, le conseil des
ministrs sert à quoi ?
Dans la pratique, la possibilité de la motion de censure empêche le
Président de nommer n'importe qui.
part, le pouvoir de la commission est moindre par rapport au
gouvernement chez nous (il n'y a pas l'équivalent du 49-3, par
exemple).
Et la possibilité d'inscription à l'ordre du jour sans discussion
avant vote, c'est mieux ?
Le gros reproche, c'est que le Parlement ne peut pas proposer de lois
:
C'est pas franchement démocratique, hein ?
bref, le vrai problème, ce n'est pas que la commission a trop de
pouvoir, c'est que le Parlement n'en a pas assez
Là, tu joues sur les mots.
Si la commission est l'équivalent du gouvernement, le conseil des
ministrs sert à quoi ?
Arnaud wrote:Dans la pratique, la possibilité de la motion de censure empêche le
Président de nommer n'importe qui.
Oui, mais un vote à la majorité, c'est tout de même plus simple qu'une
motion de censure, non ?part, le pouvoir de la commission est moindre par rapport au
gouvernement chez nous (il n'y a pas l'équivalent du 49-3, par
exemple).
Et la possibilité d'inscription à l'ordre du jour sans discussion
avant vote, c'est mieux ?
Un peu.Le gros reproche, c'est que le Parlement ne peut pas proposer de lois
:
C'est pas franchement démocratique, hein ?
Ça je suis assez d'accord. Mais par contre, les citoyens peuvent
proposer des lois (à coup de pétitions d'un million de signatures) ce
qui est une _réelle_ innovation démocratique.bref, le vrai problème, ce n'est pas que la commission a trop de
pouvoir, c'est que le Parlement n'en a pas assez
Là, tu joues sur les mots.
Si la commission est l'équivalent du gouvernement, le conseil des
ministrs sert à quoi ?
Le Conseil des ministres (ou Conseil pour les intimes) est le dual
législatif du Parlement, comme le conseil européen est le dual exécutif
de la commission. En gros, c'est une verrue qui permet aux États de
conserver un pouvoir important au niveau des décisions européennes. À
terme, ils devraient perdre petit-à-petit de leur pouvoir, quand les
États commenceront à faire confiance au Parlement (mais c'est pas demain
la veille).
Arnaud wrote:
Dans la pratique, la possibilité de la motion de censure empêche le
Président de nommer n'importe qui.
Oui, mais un vote à la majorité, c'est tout de même plus simple qu'une
motion de censure, non ?
part, le pouvoir de la commission est moindre par rapport au
gouvernement chez nous (il n'y a pas l'équivalent du 49-3, par
exemple).
Et la possibilité d'inscription à l'ordre du jour sans discussion
avant vote, c'est mieux ?
Un peu.
Le gros reproche, c'est que le Parlement ne peut pas proposer de lois
:
C'est pas franchement démocratique, hein ?
Ça je suis assez d'accord. Mais par contre, les citoyens peuvent
proposer des lois (à coup de pétitions d'un million de signatures) ce
qui est une _réelle_ innovation démocratique.
bref, le vrai problème, ce n'est pas que la commission a trop de
pouvoir, c'est que le Parlement n'en a pas assez
Là, tu joues sur les mots.
Si la commission est l'équivalent du gouvernement, le conseil des
ministrs sert à quoi ?
Le Conseil des ministres (ou Conseil pour les intimes) est le dual
législatif du Parlement, comme le conseil européen est le dual exécutif
de la commission. En gros, c'est une verrue qui permet aux États de
conserver un pouvoir important au niveau des décisions européennes. À
terme, ils devraient perdre petit-à-petit de leur pouvoir, quand les
États commenceront à faire confiance au Parlement (mais c'est pas demain
la veille).
Arnaud wrote:Dans la pratique, la possibilité de la motion de censure empêche le
Président de nommer n'importe qui.
Oui, mais un vote à la majorité, c'est tout de même plus simple qu'une
motion de censure, non ?part, le pouvoir de la commission est moindre par rapport au
gouvernement chez nous (il n'y a pas l'équivalent du 49-3, par
exemple).
Et la possibilité d'inscription à l'ordre du jour sans discussion
avant vote, c'est mieux ?
Un peu.Le gros reproche, c'est que le Parlement ne peut pas proposer de lois
:
C'est pas franchement démocratique, hein ?
Ça je suis assez d'accord. Mais par contre, les citoyens peuvent
proposer des lois (à coup de pétitions d'un million de signatures) ce
qui est une _réelle_ innovation démocratique.bref, le vrai problème, ce n'est pas que la commission a trop de
pouvoir, c'est que le Parlement n'en a pas assez
Là, tu joues sur les mots.
Si la commission est l'équivalent du gouvernement, le conseil des
ministrs sert à quoi ?
Le Conseil des ministres (ou Conseil pour les intimes) est le dual
législatif du Parlement, comme le conseil européen est le dual exécutif
de la commission. En gros, c'est une verrue qui permet aux États de
conserver un pouvoir important au niveau des décisions européennes. À
terme, ils devraient perdre petit-à-petit de leur pouvoir, quand les
États commenceront à faire confiance au Parlement (mais c'est pas demain
la veille).
Arnaud wrote:part, le pouvoir de la commission est moindre par rapport au
gouvernement chez nous (il n'y a pas l'équivalent du 49-3, par
exemple).
Et la possibilité d'inscription à l'ordre du jour sans discussion
avant vote, c'est mieux ?
Un peu.
Ça je suis assez d'accord. Mais par contre, les citoyens peuvent
proposer des lois (à coup de pétitions d'un million de signatures) ce
qui est une _réelle_ innovation démocratique.
bref, le vrai problème, ce n'est pas que la commission a trop de
pouvoir, c'est que le Parlement n'en a pas assez
Là, tu joues sur les mots.
Si la commission est l'équivalent du gouvernement, le conseil des
ministrs sert à quoi ?
Le Conseil des ministres (ou Conseil pour les intimes) est le dual
législatif du Parlement, comme le conseil européen est le dual exécutif
de la commission. En gros, c'est une verrue qui permet aux États de
conserver un pouvoir important au niveau des décisions européennes. À
terme, ils devraient perdre petit-à-petit de leur pouvoir, quand les
États commenceront à faire confiance au Parlement (mais c'est pas demain
la veille).
Arnaud wrote:
part, le pouvoir de la commission est moindre par rapport au
gouvernement chez nous (il n'y a pas l'équivalent du 49-3, par
exemple).
Et la possibilité d'inscription à l'ordre du jour sans discussion
avant vote, c'est mieux ?
Un peu.
Ça je suis assez d'accord. Mais par contre, les citoyens peuvent
proposer des lois (à coup de pétitions d'un million de signatures) ce
qui est une _réelle_ innovation démocratique.
bref, le vrai problème, ce n'est pas que la commission a trop de
pouvoir, c'est que le Parlement n'en a pas assez
Là, tu joues sur les mots.
Si la commission est l'équivalent du gouvernement, le conseil des
ministrs sert à quoi ?
Le Conseil des ministres (ou Conseil pour les intimes) est le dual
législatif du Parlement, comme le conseil européen est le dual exécutif
de la commission. En gros, c'est une verrue qui permet aux États de
conserver un pouvoir important au niveau des décisions européennes. À
terme, ils devraient perdre petit-à-petit de leur pouvoir, quand les
États commenceront à faire confiance au Parlement (mais c'est pas demain
la veille).
Arnaud wrote:part, le pouvoir de la commission est moindre par rapport au
gouvernement chez nous (il n'y a pas l'équivalent du 49-3, par
exemple).
Et la possibilité d'inscription à l'ordre du jour sans discussion
avant vote, c'est mieux ?
Un peu.
Ça je suis assez d'accord. Mais par contre, les citoyens peuvent
proposer des lois (à coup de pétitions d'un million de signatures) ce
qui est une _réelle_ innovation démocratique.
bref, le vrai problème, ce n'est pas que la commission a trop de
pouvoir, c'est que le Parlement n'en a pas assez
Là, tu joues sur les mots.
Si la commission est l'équivalent du gouvernement, le conseil des
ministrs sert à quoi ?
Le Conseil des ministres (ou Conseil pour les intimes) est le dual
législatif du Parlement, comme le conseil européen est le dual exécutif
de la commission. En gros, c'est une verrue qui permet aux États de
conserver un pouvoir important au niveau des décisions européennes. À
terme, ils devraient perdre petit-à-petit de leur pouvoir, quand les
États commenceront à faire confiance au Parlement (mais c'est pas demain
la veille).
Blaise Potard writes:Arnaud wrote:part, le pouvoir de la commission est moindre par rapport au
gouvernement chez nous (il n'y a pas l'équivalent du 49-3, par
exemple).
Et la possibilité d'inscription à l'ordre du jour sans discussion
avant vote, c'est mieux ?
Un peu.
Mmm, j'ai besoin d'éclaircicements : La procédure utilisé par les
brevets logiciels est celle qui serait adopté pour beaucoup de chose
grâce au TCE. Mais les problèmes qu'on a sur cette procédure, je m'y
perds un peu :
- Quelles sont des problèmes posés par le pouvoir de la commission?
- La commission peut-elle faire passer la loi malgrés le "refut" du
parlement (a priori, non, mais alors d'ou vient l'idée que le
parlement n'a qu'un rôle consultatif?)
- Les textes du TCE donnent-ils « possibilité d'inscription à l'ordre
du jour sans discussion avant vote » ?Ça je suis assez d'accord. Mais par contre, les citoyens peuvent
proposer des lois (à coup de pétitions d'un million de signatures) ce
qui est une _réelle_ innovation démocratique.
Mmm, dans la réalité, cette chose est-elle utilisable/utile? (utile
dans le sens peu servir à quelque chose)bref, le vrai problème, ce n'est pas que la commission a trop de
pouvoir, c'est que le Parlement n'en a pas assez
Là, tu joues sur les mots.
Si la commission est l'équivalent du gouvernement, le conseil des
ministrs sert à quoi ?
Le Conseil des ministres (ou Conseil pour les intimes) est le dual
législatif du Parlement, comme le conseil européen est le dual exécutif
de la commission. En gros, c'est une verrue qui permet aux États de
conserver un pouvoir important au niveau des décisions européennes. À
terme, ils devraient perdre petit-à-petit de leur pouvoir, quand les
États commenceront à faire confiance au Parlement (mais c'est pas demain
la veille).
Mais quelles sont les vrais pouvoirs de ce conseil et de cette
commission? Ont-il « juste » un droit de veto (au même niveau que le
parlement en a un) sur tout ce qui est proposé, ou peuvent-ils
« forcer » le passage de certaines choses?
Sinon, j'ai une autre question : J'ai vu dans pas mal de discution que
si le TCE était refusé, il faudrait faire un nouveau traité car le
traité de Nice n'est valable que jusqu'en 2009 (ou autre date), alors
que le TCE est valable pour une durée indéterminé, ce qui expliquerait
que sont amendement soit plus compliqué que ce qu'on peut faire pour
le traité de Nice (vu qu'il ne serait pas valable ad vitam eternam).
Or, je viens de trouver ca : traité de Nice, article 11:
Le présent traité est conclu pour une durée illimitée.
source :
http://europa.eu.int/eur-lex/lex/fr/treaties/dat/12001C/htm/C_2001080FR.000101.html
d'ou viens cette "rumeur" sur la validité du traité de Nice? Est-elle
vraiment faussse? L'argument comme quoi le TCE est plus difficile à
amender que ce sur quoi on se base actuellement est-il vrai?
--
Guillaume Pinot http://wwwetu.utc.fr/~pinotgui/
« Aimer, c'est essentiellement vouloir être aimé. » -- Jacques Lacan
() Campagne du ruban ascii -- contre les mails en html
/ Contre les pièces jointes Microsoft
Blaise Potard <monnom@loria.fr> writes:
Arnaud wrote:
part, le pouvoir de la commission est moindre par rapport au
gouvernement chez nous (il n'y a pas l'équivalent du 49-3, par
exemple).
Et la possibilité d'inscription à l'ordre du jour sans discussion
avant vote, c'est mieux ?
Un peu.
Mmm, j'ai besoin d'éclaircicements : La procédure utilisé par les
brevets logiciels est celle qui serait adopté pour beaucoup de chose
grâce au TCE. Mais les problèmes qu'on a sur cette procédure, je m'y
perds un peu :
- Quelles sont des problèmes posés par le pouvoir de la commission?
- La commission peut-elle faire passer la loi malgrés le "refut" du
parlement (a priori, non, mais alors d'ou vient l'idée que le
parlement n'a qu'un rôle consultatif?)
- Les textes du TCE donnent-ils « possibilité d'inscription à l'ordre
du jour sans discussion avant vote » ?
Ça je suis assez d'accord. Mais par contre, les citoyens peuvent
proposer des lois (à coup de pétitions d'un million de signatures) ce
qui est une _réelle_ innovation démocratique.
Mmm, dans la réalité, cette chose est-elle utilisable/utile? (utile
dans le sens peu servir à quelque chose)
bref, le vrai problème, ce n'est pas que la commission a trop de
pouvoir, c'est que le Parlement n'en a pas assez
Là, tu joues sur les mots.
Si la commission est l'équivalent du gouvernement, le conseil des
ministrs sert à quoi ?
Le Conseil des ministres (ou Conseil pour les intimes) est le dual
législatif du Parlement, comme le conseil européen est le dual exécutif
de la commission. En gros, c'est une verrue qui permet aux États de
conserver un pouvoir important au niveau des décisions européennes. À
terme, ils devraient perdre petit-à-petit de leur pouvoir, quand les
États commenceront à faire confiance au Parlement (mais c'est pas demain
la veille).
Mais quelles sont les vrais pouvoirs de ce conseil et de cette
commission? Ont-il « juste » un droit de veto (au même niveau que le
parlement en a un) sur tout ce qui est proposé, ou peuvent-ils
« forcer » le passage de certaines choses?
Sinon, j'ai une autre question : J'ai vu dans pas mal de discution que
si le TCE était refusé, il faudrait faire un nouveau traité car le
traité de Nice n'est valable que jusqu'en 2009 (ou autre date), alors
que le TCE est valable pour une durée indéterminé, ce qui expliquerait
que sont amendement soit plus compliqué que ce qu'on peut faire pour
le traité de Nice (vu qu'il ne serait pas valable ad vitam eternam).
Or, je viens de trouver ca : traité de Nice, article 11:
Le présent traité est conclu pour une durée illimitée.
source :
http://europa.eu.int/eur-lex/lex/fr/treaties/dat/12001C/htm/C_2001080FR.000101.html
d'ou viens cette "rumeur" sur la validité du traité de Nice? Est-elle
vraiment faussse? L'argument comme quoi le TCE est plus difficile à
amender que ce sur quoi on se base actuellement est-il vrai?
--
Guillaume Pinot http://wwwetu.utc.fr/~pinotgui/
« Aimer, c'est essentiellement vouloir être aimé. » -- Jacques Lacan
() Campagne du ruban ascii -- contre les mails en html
/ Contre les pièces jointes Microsoft
Blaise Potard writes:Arnaud wrote:part, le pouvoir de la commission est moindre par rapport au
gouvernement chez nous (il n'y a pas l'équivalent du 49-3, par
exemple).
Et la possibilité d'inscription à l'ordre du jour sans discussion
avant vote, c'est mieux ?
Un peu.
Mmm, j'ai besoin d'éclaircicements : La procédure utilisé par les
brevets logiciels est celle qui serait adopté pour beaucoup de chose
grâce au TCE. Mais les problèmes qu'on a sur cette procédure, je m'y
perds un peu :
- Quelles sont des problèmes posés par le pouvoir de la commission?
- La commission peut-elle faire passer la loi malgrés le "refut" du
parlement (a priori, non, mais alors d'ou vient l'idée que le
parlement n'a qu'un rôle consultatif?)
- Les textes du TCE donnent-ils « possibilité d'inscription à l'ordre
du jour sans discussion avant vote » ?Ça je suis assez d'accord. Mais par contre, les citoyens peuvent
proposer des lois (à coup de pétitions d'un million de signatures) ce
qui est une _réelle_ innovation démocratique.
Mmm, dans la réalité, cette chose est-elle utilisable/utile? (utile
dans le sens peu servir à quelque chose)bref, le vrai problème, ce n'est pas que la commission a trop de
pouvoir, c'est que le Parlement n'en a pas assez
Là, tu joues sur les mots.
Si la commission est l'équivalent du gouvernement, le conseil des
ministrs sert à quoi ?
Le Conseil des ministres (ou Conseil pour les intimes) est le dual
législatif du Parlement, comme le conseil européen est le dual exécutif
de la commission. En gros, c'est une verrue qui permet aux États de
conserver un pouvoir important au niveau des décisions européennes. À
terme, ils devraient perdre petit-à-petit de leur pouvoir, quand les
États commenceront à faire confiance au Parlement (mais c'est pas demain
la veille).
Mais quelles sont les vrais pouvoirs de ce conseil et de cette
commission? Ont-il « juste » un droit de veto (au même niveau que le
parlement en a un) sur tout ce qui est proposé, ou peuvent-ils
« forcer » le passage de certaines choses?
Sinon, j'ai une autre question : J'ai vu dans pas mal de discution que
si le TCE était refusé, il faudrait faire un nouveau traité car le
traité de Nice n'est valable que jusqu'en 2009 (ou autre date), alors
que le TCE est valable pour une durée indéterminé, ce qui expliquerait
que sont amendement soit plus compliqué que ce qu'on peut faire pour
le traité de Nice (vu qu'il ne serait pas valable ad vitam eternam).
Or, je viens de trouver ca : traité de Nice, article 11:
Le présent traité est conclu pour une durée illimitée.
source :
http://europa.eu.int/eur-lex/lex/fr/treaties/dat/12001C/htm/C_2001080FR.000101.html
d'ou viens cette "rumeur" sur la validité du traité de Nice? Est-elle
vraiment faussse? L'argument comme quoi le TCE est plus difficile à
amender que ce sur quoi on se base actuellement est-il vrai?
--
Guillaume Pinot http://wwwetu.utc.fr/~pinotgui/
« Aimer, c'est essentiellement vouloir être aimé. » -- Jacques Lacan
() Campagne du ruban ascii -- contre les mails en html
/ Contre les pièces jointes Microsoft
Mmm, j'ai besoin d'éclaircicements : La procédure utilisé par les
brevets logiciels est celle qui serait adopté pour beaucoup de chose
grâce au TCE. Mais les problèmes qu'on a sur cette procédure, je m'y
perds un peu :
- Quelles sont des problèmes posés par le pouvoir de la commission?
- La commission peut-elle faire passer la loi malgrés le "refut" du
parlement (a priori, non, mais alors d'ou vient l'idée que le
parlement n'a qu'un rôle consultatif?)
- Les textes du TCE donnent-ils « possibilité d'inscription à l'ordre
du jour sans discussion avant vote » ?
Ça je suis assez d'accord. Mais par contre, les citoyens peuvent
proposer des lois (à coup de pétitions d'un million de signatures) ce
qui est une _réelle_ innovation démocratique.
Mmm, dans la réalité, cette chose est-elle utilisable/utile? (utile
dans le sens peu servir à quelque chose)
bref, le vrai problème, ce n'est pas que la commission a trop de
pouvoir, c'est que le Parlement n'en a pas assez
Là, tu joues sur les mots.
Si la commission est l'équivalent du gouvernement, le conseil des
ministrs sert à quoi ?
Le Conseil des ministres (ou Conseil pour les intimes) est le dual
législatif du Parlement, comme le conseil européen est le dual exécutif
de la commission. En gros, c'est une verrue qui permet aux États de
conserver un pouvoir important au niveau des décisions européennes. À
terme, ils devraient perdre petit-à-petit de leur pouvoir, quand les
États commenceront à faire confiance au Parlement (mais c'est pas demain
la veille).
Mais quelles sont les vrais pouvoirs de ce conseil et de cette
commission? Ont-il « juste » un droit de veto (au même niveau que le
parlement en a un) sur tout ce qui est proposé, ou peuvent-ils
« forcer » le passage de certaines choses?
Sinon, j'ai une autre question : J'ai vu dans pas mal de discution que
si le TCE était refusé, il faudrait faire un nouveau traité car le
traité de Nice n'est valable que jusqu'en 2009 (ou autre date), alors
que le TCE est valable pour une durée indéterminé, ce qui expliquerait
que sont amendement soit plus compliqué que ce qu'on peut faire pour
le traité de Nice (vu qu'il ne serait pas valable ad vitam eternam).
Or, je viens de trouver ca : traité de Nice, article 11:
Le présent traité est conclu pour une durée illimitée.
source :
http://europa.eu.int/eur-lex/lex/fr/treaties/dat/12001C/htm/C_2001080FR.000101.html
d'ou viens cette "rumeur" sur la validité du traité de Nice? Est-elle
vraiment faussse? L'argument comme quoi le TCE est plus difficile à
amender que ce sur quoi on se base actuellement est-il vrai?
Mmm, j'ai besoin d'éclaircicements : La procédure utilisé par les
brevets logiciels est celle qui serait adopté pour beaucoup de chose
grâce au TCE. Mais les problèmes qu'on a sur cette procédure, je m'y
perds un peu :
- Quelles sont des problèmes posés par le pouvoir de la commission?
- La commission peut-elle faire passer la loi malgrés le "refut" du
parlement (a priori, non, mais alors d'ou vient l'idée que le
parlement n'a qu'un rôle consultatif?)
- Les textes du TCE donnent-ils « possibilité d'inscription à l'ordre
du jour sans discussion avant vote » ?
Ça je suis assez d'accord. Mais par contre, les citoyens peuvent
proposer des lois (à coup de pétitions d'un million de signatures) ce
qui est une _réelle_ innovation démocratique.
Mmm, dans la réalité, cette chose est-elle utilisable/utile? (utile
dans le sens peu servir à quelque chose)
bref, le vrai problème, ce n'est pas que la commission a trop de
pouvoir, c'est que le Parlement n'en a pas assez
Là, tu joues sur les mots.
Si la commission est l'équivalent du gouvernement, le conseil des
ministrs sert à quoi ?
Le Conseil des ministres (ou Conseil pour les intimes) est le dual
législatif du Parlement, comme le conseil européen est le dual exécutif
de la commission. En gros, c'est une verrue qui permet aux États de
conserver un pouvoir important au niveau des décisions européennes. À
terme, ils devraient perdre petit-à-petit de leur pouvoir, quand les
États commenceront à faire confiance au Parlement (mais c'est pas demain
la veille).
Mais quelles sont les vrais pouvoirs de ce conseil et de cette
commission? Ont-il « juste » un droit de veto (au même niveau que le
parlement en a un) sur tout ce qui est proposé, ou peuvent-ils
« forcer » le passage de certaines choses?
Sinon, j'ai une autre question : J'ai vu dans pas mal de discution que
si le TCE était refusé, il faudrait faire un nouveau traité car le
traité de Nice n'est valable que jusqu'en 2009 (ou autre date), alors
que le TCE est valable pour une durée indéterminé, ce qui expliquerait
que sont amendement soit plus compliqué que ce qu'on peut faire pour
le traité de Nice (vu qu'il ne serait pas valable ad vitam eternam).
Or, je viens de trouver ca : traité de Nice, article 11:
Le présent traité est conclu pour une durée illimitée.
source :
http://europa.eu.int/eur-lex/lex/fr/treaties/dat/12001C/htm/C_2001080FR.000101.html
d'ou viens cette "rumeur" sur la validité du traité de Nice? Est-elle
vraiment faussse? L'argument comme quoi le TCE est plus difficile à
amender que ce sur quoi on se base actuellement est-il vrai?
Mmm, j'ai besoin d'éclaircicements : La procédure utilisé par les
brevets logiciels est celle qui serait adopté pour beaucoup de chose
grâce au TCE. Mais les problèmes qu'on a sur cette procédure, je m'y
perds un peu :
- Quelles sont des problèmes posés par le pouvoir de la commission?
- La commission peut-elle faire passer la loi malgrés le "refut" du
parlement (a priori, non, mais alors d'ou vient l'idée que le
parlement n'a qu'un rôle consultatif?)
- Les textes du TCE donnent-ils « possibilité d'inscription à l'ordre
du jour sans discussion avant vote » ?
Ça je suis assez d'accord. Mais par contre, les citoyens peuvent
proposer des lois (à coup de pétitions d'un million de signatures) ce
qui est une _réelle_ innovation démocratique.
Mmm, dans la réalité, cette chose est-elle utilisable/utile? (utile
dans le sens peu servir à quelque chose)
bref, le vrai problème, ce n'est pas que la commission a trop de
pouvoir, c'est que le Parlement n'en a pas assez
Là, tu joues sur les mots.
Si la commission est l'équivalent du gouvernement, le conseil des
ministrs sert à quoi ?
Le Conseil des ministres (ou Conseil pour les intimes) est le dual
législatif du Parlement, comme le conseil européen est le dual exécutif
de la commission. En gros, c'est une verrue qui permet aux États de
conserver un pouvoir important au niveau des décisions européennes. À
terme, ils devraient perdre petit-à-petit de leur pouvoir, quand les
États commenceront à faire confiance au Parlement (mais c'est pas demain
la veille).
Mais quelles sont les vrais pouvoirs de ce conseil et de cette
commission? Ont-il « juste » un droit de veto (au même niveau que le
parlement en a un) sur tout ce qui est proposé, ou peuvent-ils
« forcer » le passage de certaines choses?
Sinon, j'ai une autre question : J'ai vu dans pas mal de discution que
si le TCE était refusé, il faudrait faire un nouveau traité car le
traité de Nice n'est valable que jusqu'en 2009 (ou autre date), alors
que le TCE est valable pour une durée indéterminé, ce qui expliquerait
que sont amendement soit plus compliqué que ce qu'on peut faire pour
le traité de Nice (vu qu'il ne serait pas valable ad vitam eternam).
Or, je viens de trouver ca : traité de Nice, article 11:
Le présent traité est conclu pour une durée illimitée.
source :
http://europa.eu.int/eur-lex/lex/fr/treaties/dat/12001C/htm/C_2001080FR.000101.html
d'ou viens cette "rumeur" sur la validité du traité de Nice? Est-elle
vraiment faussse? L'argument comme quoi le TCE est plus difficile à
amender que ce sur quoi on se base actuellement est-il vrai?
Blaise Potard wrote:En France, le gouvernement est désigné comment ? Paf, c'est le
président qui nomme le premier ministre, puis le 1er ministre
nomme les autres.Dans la pratique, la possibilité de la motion de censure empêche le
Président de nommer n'importe qui.
Ca tombe bien, c'est aussi ce qui se passe au niveau Européen.
Blaise Potard wrote:
En France, le gouvernement est désigné comment ? Paf, c'est le
président qui nomme le premier ministre, puis le 1er ministre
nomme les autres.
Dans la pratique, la possibilité de la motion de censure empêche le
Président de nommer n'importe qui.
Ca tombe bien, c'est aussi ce qui se passe au niveau Européen.
Blaise Potard wrote:En France, le gouvernement est désigné comment ? Paf, c'est le
président qui nomme le premier ministre, puis le 1er ministre
nomme les autres.Dans la pratique, la possibilité de la motion de censure empêche le
Président de nommer n'importe qui.
Ca tombe bien, c'est aussi ce qui se passe au niveau Européen.
On Thu, 21 Apr 2005 11:40:36 +0200, Hub wrote:
Euh, je pense que personne (peut-être à tors ) ne contestera le
retart manifeste en terme de micro-informatique (matèriel ou logiciel
) pour l'Europe, et que la seul manière que sa ne ce reproduise pas
dans d'autre domaine, et la signature du traité de constitution
européenne, je ne dis pas que ce traité ferat tous, mais il est un
pas en avant ...
L'exemple d'Airbus, me fais dire que l'"union" (Européenne) fait la
force !
Mauvais exemple. Dans un "marché intérieur où la concurrence est libre
et non faussée" (sic), les projets industriels lourdement subventionnés
comme Airbus vont disparaitre.
non , car il n'entre pas en concurrence avec un autre puisque tout le
monde ou presque participe a airbus
Maintenant airbus comme simbole de l'europe ca prete a rire ,4 centre de
production pour l'A380 avec de long voyage entre les centres de
productions .
c'est comme bruxelles et strasbourg , deux lieux et pas moyen de laisser
une partie des députés dans l'un des deux avec comme moyen de
communication la visoconférence .
il est vrai que payer des billets d'avions a nos tros chèrs députés
entre bruxelles et strasourg ne coute pas grand choses .
*
Ce petit jeu des voyages B-L-S et retour qui a coûté une véritable fortune touche à sa fin. Dès juin prochain, le Parlement restera à Bruxelles <http://www.eurobru.com> d'où, évidemment, il peut mieux controler la Commission européenne !
*
On Thu, 21 Apr 2005 11:40:36 +0200, Hub wrote:
Euh, je pense que personne (peut-être à tors ) ne contestera le
retart manifeste en terme de micro-informatique (matèriel ou logiciel
) pour l'Europe, et que la seul manière que sa ne ce reproduise pas
dans d'autre domaine, et la signature du traité de constitution
européenne, je ne dis pas que ce traité ferat tous, mais il est un
pas en avant ...
L'exemple d'Airbus, me fais dire que l'"union" (Européenne) fait la
force !
Mauvais exemple. Dans un "marché intérieur où la concurrence est libre
et non faussée" (sic), les projets industriels lourdement subventionnés
comme Airbus vont disparaitre.
non , car il n'entre pas en concurrence avec un autre puisque tout le
monde ou presque participe a airbus
Maintenant airbus comme simbole de l'europe ca prete a rire ,4 centre de
production pour l'A380 avec de long voyage entre les centres de
productions .
c'est comme bruxelles et strasbourg , deux lieux et pas moyen de laisser
une partie des députés dans l'un des deux avec comme moyen de
communication la visoconférence .
il est vrai que payer des billets d'avions a nos tros chèrs députés
entre bruxelles et strasourg ne coute pas grand choses .
*
Ce petit jeu des voyages B-L-S et retour qui a coûté une véritable fortune touche à sa fin. Dès juin prochain, le Parlement restera à Bruxelles <http://www.eurobru.com> d'où, évidemment, il peut mieux controler la Commission européenne !
*
On Thu, 21 Apr 2005 11:40:36 +0200, Hub wrote:
Euh, je pense que personne (peut-être à tors ) ne contestera le
retart manifeste en terme de micro-informatique (matèriel ou logiciel
) pour l'Europe, et que la seul manière que sa ne ce reproduise pas
dans d'autre domaine, et la signature du traité de constitution
européenne, je ne dis pas que ce traité ferat tous, mais il est un
pas en avant ...
L'exemple d'Airbus, me fais dire que l'"union" (Européenne) fait la
force !
Mauvais exemple. Dans un "marché intérieur où la concurrence est libre
et non faussée" (sic), les projets industriels lourdement subventionnés
comme Airbus vont disparaitre.
non , car il n'entre pas en concurrence avec un autre puisque tout le
monde ou presque participe a airbus
Maintenant airbus comme simbole de l'europe ca prete a rire ,4 centre de
production pour l'A380 avec de long voyage entre les centres de
productions .
c'est comme bruxelles et strasbourg , deux lieux et pas moyen de laisser
une partie des députés dans l'un des deux avec comme moyen de
communication la visoconférence .
il est vrai que payer des billets d'avions a nos tros chèrs députés
entre bruxelles et strasourg ne coute pas grand choses .
*
Ce petit jeu des voyages B-L-S et retour qui a coûté une véritable fortune touche à sa fin. Dès juin prochain, le Parlement restera à Bruxelles <http://www.eurobru.com> d'où, évidemment, il peut mieux controler la Commission européenne !
*
Entre un débat en charte qui dérive sur du hors-sujet, et un débat qui
démarre d'entrée sur du hors-sujet, il y a quand même une nuance. Merci
de ne pas faire ton Tougard et d'aller causer de ça ailleurs.
Entre un débat en charte qui dérive sur du hors-sujet, et un débat qui
démarre d'entrée sur du hors-sujet, il y a quand même une nuance. Merci
de ne pas faire ton Tougard et d'aller causer de ça ailleurs.
Entre un débat en charte qui dérive sur du hors-sujet, et un débat qui
démarre d'entrée sur du hors-sujet, il y a quand même une nuance. Merci
de ne pas faire ton Tougard et d'aller causer de ça ailleurs.
C'est pas dit. La concurrence doit être libre et non faussée entre
les
États membres. Airbus concurrence Boeing surtout (d'ailleurs c'est
le fruit de la collaboration de plusieurs États).
Il existe sûrement une filiale Boeing installée Europe qui portera
plainte pour concurrence faussée.
C'est pas dit. La concurrence doit être libre et non faussée entre
les
États membres. Airbus concurrence Boeing surtout (d'ailleurs c'est
le fruit de la collaboration de plusieurs États).
Il existe sûrement une filiale Boeing installée Europe qui portera
plainte pour concurrence faussée.
C'est pas dit. La concurrence doit être libre et non faussée entre
les
États membres. Airbus concurrence Boeing surtout (d'ailleurs c'est
le fruit de la collaboration de plusieurs États).
Il existe sûrement une filiale Boeing installée Europe qui portera
plainte pour concurrence faussée.
Bonjour,Avec ou sans constitution, le PB ne se pose pas pour l'informatique !
Il est bien vrai qu'il se pose ailleurs le problème. Vous
avez surement du apprendre la Marseillaise, [...] capacités
militaires". (Article I-41 point 3 deuxieme paragraphe)
J' AI HONTE DE LIRE CELA DANS UNE CONSTITUTION.
En 1789, nos ancêtres ont écrit une constitution,[...]. Il a
fallu attendre 2005 pour qu'un triste européen fasse un triste
couper/coller. Il devait utiliser Windows pour que cela soit aussi
facile. :-(
Bonjour,
Avec ou sans constitution, le PB ne se pose pas pour l'informatique !
Il est bien vrai qu'il se pose ailleurs le problème. Vous
avez surement du apprendre la Marseillaise, [...] capacités
militaires". (Article I-41 point 3 deuxieme paragraphe)
J' AI HONTE DE LIRE CELA DANS UNE CONSTITUTION.
En 1789, nos ancêtres ont écrit une constitution,[...]. Il a
fallu attendre 2005 pour qu'un triste européen fasse un triste
couper/coller. Il devait utiliser Windows pour que cela soit aussi
facile. :-(
Bonjour,Avec ou sans constitution, le PB ne se pose pas pour l'informatique !
Il est bien vrai qu'il se pose ailleurs le problème. Vous
avez surement du apprendre la Marseillaise, [...] capacités
militaires". (Article I-41 point 3 deuxieme paragraphe)
J' AI HONTE DE LIRE CELA DANS UNE CONSTITUTION.
En 1789, nos ancêtres ont écrit une constitution,[...]. Il a
fallu attendre 2005 pour qu'un triste européen fasse un triste
couper/coller. Il devait utiliser Windows pour que cela soit aussi
facile. :-(