Le 11/11/2012 17:42, "Cogitator, la conscience née de la masse critique
des interconnexions" a écrit :jr a écrit:Le 11/11/2012 17:05, "Cogitator, la conscience née de la masse
critique des interconnexions" a écrit :Bla. Je suis désolé de vous ramener à la réalité des faits: la France
extrade ses ressortissants dans le cadre européen sur la base de
mandats émis dans le cadre
D'un traité sans valeur puisque touchant à la souveraineté qui
appartient au peuple (article 3) alors que le traité n'a été voté que
par des représentants qui ne peuvent que l'exercer (article 3) ;
Pipo. Le peuple exerce sa souveraineté par ses représentants et la
voie du référendum (article 3). Voyez la définition de "et".
Non, le joueur de pipeau c'est vous, quand on saborde la souveraineté,
on ne peut disposer que de ce qui vous appartient.
C'est ce que fait le peuple par ses représentants, conformément à la
constitution. Quand je vends un bien immobilier, je donne toujours
procuration au notaire.
Par parenthèse, ce que vous appelez des abandons de souveraineté sont en
fait des abandons /d'exercice/ de souveraineté.
Le 11/11/2012 17:42, "Cogitator, la conscience née de la masse critique
des interconnexions" a écrit :
jr a écrit:
Le 11/11/2012 17:05, "Cogitator, la conscience née de la masse
critique des interconnexions" a écrit :
Bla. Je suis désolé de vous ramener à la réalité des faits: la France
extrade ses ressortissants dans le cadre européen sur la base de
mandats émis dans le cadre
D'un traité sans valeur puisque touchant à la souveraineté qui
appartient au peuple (article 3) alors que le traité n'a été voté que
par des représentants qui ne peuvent que l'exercer (article 3) ;
Pipo. Le peuple exerce sa souveraineté par ses représentants et la
voie du référendum (article 3). Voyez la définition de "et".
Non, le joueur de pipeau c'est vous, quand on saborde la souveraineté,
on ne peut disposer que de ce qui vous appartient.
C'est ce que fait le peuple par ses représentants, conformément à la
constitution. Quand je vends un bien immobilier, je donne toujours
procuration au notaire.
Par parenthèse, ce que vous appelez des abandons de souveraineté sont en
fait des abandons /d'exercice/ de souveraineté.
Le 11/11/2012 17:42, "Cogitator, la conscience née de la masse critique
des interconnexions" a écrit :jr a écrit:Le 11/11/2012 17:05, "Cogitator, la conscience née de la masse
critique des interconnexions" a écrit :Bla. Je suis désolé de vous ramener à la réalité des faits: la France
extrade ses ressortissants dans le cadre européen sur la base de
mandats émis dans le cadre
D'un traité sans valeur puisque touchant à la souveraineté qui
appartient au peuple (article 3) alors que le traité n'a été voté que
par des représentants qui ne peuvent que l'exercer (article 3) ;
Pipo. Le peuple exerce sa souveraineté par ses représentants et la
voie du référendum (article 3). Voyez la définition de "et".
Non, le joueur de pipeau c'est vous, quand on saborde la souveraineté,
on ne peut disposer que de ce qui vous appartient.
C'est ce que fait le peuple par ses représentants, conformément à la
constitution. Quand je vends un bien immobilier, je donne toujours
procuration au notaire.
Par parenthèse, ce que vous appelez des abandons de souveraineté sont en
fait des abandons /d'exercice/ de souveraineté.
jr a écrit:Le 11/11/2012 17:39, "Cogitator, la conscience née de la masse
critique des interconnexions" a écrit :Traités anticonstitutionnels.
Parlez-en au Conseil constitutionnel.
Vous parlez du truc présidé par le demeuré qui, faute de bac, a passé la
capa, qui est peuplé de gens qui ne représentent qu'eux-mêmes et qui
violent la constitution
Le détail c'est qu'il est difficile d'invoquer la constitution pour
conchier le Conseil constitutionnel, qui en est directement issu.
Non, le conseil constitutionnel doit par la constitution juger de la
conformité à la constitution.
jr a écrit:
Le 11/11/2012 17:39, "Cogitator, la conscience née de la masse
critique des interconnexions" a écrit :
Traités anticonstitutionnels.
Parlez-en au Conseil constitutionnel.
Vous parlez du truc présidé par le demeuré qui, faute de bac, a passé la
capa, qui est peuplé de gens qui ne représentent qu'eux-mêmes et qui
violent la constitution
Le détail c'est qu'il est difficile d'invoquer la constitution pour
conchier le Conseil constitutionnel, qui en est directement issu.
Non, le conseil constitutionnel doit par la constitution juger de la
conformité à la constitution.
jr a écrit:Le 11/11/2012 17:39, "Cogitator, la conscience née de la masse
critique des interconnexions" a écrit :Traités anticonstitutionnels.
Parlez-en au Conseil constitutionnel.
Vous parlez du truc présidé par le demeuré qui, faute de bac, a passé la
capa, qui est peuplé de gens qui ne représentent qu'eux-mêmes et qui
violent la constitution
Le détail c'est qu'il est difficile d'invoquer la constitution pour
conchier le Conseil constitutionnel, qui en est directement issu.
Non, le conseil constitutionnel doit par la constitution juger de la
conformité à la constitution.
jr a écrit:Le 11/11/2012 17:42, "Cogitator, la conscience née de la masse
critique des interconnexions" a écrit :jr a écrit:Le 11/11/2012 17:05, "Cogitator, la conscience née de la masse
critique des interconnexions" a écrit :Bla. Je suis désolé de vous ramener à la réalité des faits: la France
extrade ses ressortissants dans le cadre européen sur la base de
mandats émis dans le cadre
D'un traité sans valeur puisque touchant à la souveraineté qui
appartient au peuple (article 3) alors que le traité n'a été voté que
par des représentants qui ne peuvent que l'exercer (article 3) ;
Pipo. Le peuple exerce sa souveraineté par ses représentants et la
voie du référendum (article 3). Voyez la définition de "et".
Non, le joueur de pipeau c'est vous, quand on saborde la souveraineté,
on ne peut disposer que de ce qui vous appartient.
C'est ce que fait le peuple par ses représentants, conformément à la
constitution. Quand je vends un bien immobilier, je donne toujours
procuration au notaire.
Je vous retourne l'argument habituel : quand bien même il aurait été
écrit dans les professions de foi électorales de 2007 "je ferai repasser
le TCE à trois virgules près", il n'y-a-pas-de-mandat-impératif.
Par parenthèse, ce que vous appelez des abandons de souveraineté sont
en fait des abandons /d'exercice/ de souveraineté.
Pas du tout.
jr a écrit:
Le 11/11/2012 17:42, "Cogitator, la conscience née de la masse
critique des interconnexions" a écrit :
jr a écrit:
Le 11/11/2012 17:05, "Cogitator, la conscience née de la masse
critique des interconnexions" a écrit :
Bla. Je suis désolé de vous ramener à la réalité des faits: la France
extrade ses ressortissants dans le cadre européen sur la base de
mandats émis dans le cadre
D'un traité sans valeur puisque touchant à la souveraineté qui
appartient au peuple (article 3) alors que le traité n'a été voté que
par des représentants qui ne peuvent que l'exercer (article 3) ;
Pipo. Le peuple exerce sa souveraineté par ses représentants et la
voie du référendum (article 3). Voyez la définition de "et".
Non, le joueur de pipeau c'est vous, quand on saborde la souveraineté,
on ne peut disposer que de ce qui vous appartient.
C'est ce que fait le peuple par ses représentants, conformément à la
constitution. Quand je vends un bien immobilier, je donne toujours
procuration au notaire.
Je vous retourne l'argument habituel : quand bien même il aurait été
écrit dans les professions de foi électorales de 2007 "je ferai repasser
le TCE à trois virgules près", il n'y-a-pas-de-mandat-impératif.
Par parenthèse, ce que vous appelez des abandons de souveraineté sont
en fait des abandons /d'exercice/ de souveraineté.
Pas du tout.
jr a écrit:Le 11/11/2012 17:42, "Cogitator, la conscience née de la masse
critique des interconnexions" a écrit :jr a écrit:Le 11/11/2012 17:05, "Cogitator, la conscience née de la masse
critique des interconnexions" a écrit :Bla. Je suis désolé de vous ramener à la réalité des faits: la France
extrade ses ressortissants dans le cadre européen sur la base de
mandats émis dans le cadre
D'un traité sans valeur puisque touchant à la souveraineté qui
appartient au peuple (article 3) alors que le traité n'a été voté que
par des représentants qui ne peuvent que l'exercer (article 3) ;
Pipo. Le peuple exerce sa souveraineté par ses représentants et la
voie du référendum (article 3). Voyez la définition de "et".
Non, le joueur de pipeau c'est vous, quand on saborde la souveraineté,
on ne peut disposer que de ce qui vous appartient.
C'est ce que fait le peuple par ses représentants, conformément à la
constitution. Quand je vends un bien immobilier, je donne toujours
procuration au notaire.
Je vous retourne l'argument habituel : quand bien même il aurait été
écrit dans les professions de foi électorales de 2007 "je ferai repasser
le TCE à trois virgules près", il n'y-a-pas-de-mandat-impératif.
Par parenthèse, ce que vous appelez des abandons de souveraineté sont
en fait des abandons /d'exercice/ de souveraineté.
Pas du tout.
Le 11/11/2012 18:23, "Cogitator, la conscience née de la masse critique
des interconnexions" a écrit :jr a écrit:Le 11/11/2012 17:39, "Cogitator, la conscience née de la masse
critique des interconnexions" a écrit :Traités anticonstitutionnels.
Parlez-en au Conseil constitutionnel.
Vous parlez du truc présidé par le demeuré qui, faute de bac, a
passé la
capa, qui est peuplé de gens qui ne représentent qu'eux-mêmes et qui
violent la constitution
Le détail c'est qu'il est difficile d'invoquer la constitution pour
conchier le Conseil constitutionnel, qui en est directement issu.
Non, le conseil constitutionnel doit par la constitution juger de la
conformité à la constitution.
Il le fait de façon souveraine (Art 62).
Il est prévu /par la
constitution/ que Lapinou fabriqué en France n'a aucun moyen d'appel de
ses décisions.
Le 11/11/2012 18:23, "Cogitator, la conscience née de la masse critique
des interconnexions" a écrit :
jr a écrit:
Le 11/11/2012 17:39, "Cogitator, la conscience née de la masse
critique des interconnexions" a écrit :
Traités anticonstitutionnels.
Parlez-en au Conseil constitutionnel.
Vous parlez du truc présidé par le demeuré qui, faute de bac, a
passé la
capa, qui est peuplé de gens qui ne représentent qu'eux-mêmes et qui
violent la constitution
Le détail c'est qu'il est difficile d'invoquer la constitution pour
conchier le Conseil constitutionnel, qui en est directement issu.
Non, le conseil constitutionnel doit par la constitution juger de la
conformité à la constitution.
Il le fait de façon souveraine (Art 62).
Il est prévu /par la
constitution/ que Lapinou fabriqué en France n'a aucun moyen d'appel de
ses décisions.
Le 11/11/2012 18:23, "Cogitator, la conscience née de la masse critique
des interconnexions" a écrit :jr a écrit:Le 11/11/2012 17:39, "Cogitator, la conscience née de la masse
critique des interconnexions" a écrit :Traités anticonstitutionnels.
Parlez-en au Conseil constitutionnel.
Vous parlez du truc présidé par le demeuré qui, faute de bac, a
passé la
capa, qui est peuplé de gens qui ne représentent qu'eux-mêmes et qui
violent la constitution
Le détail c'est qu'il est difficile d'invoquer la constitution pour
conchier le Conseil constitutionnel, qui en est directement issu.
Non, le conseil constitutionnel doit par la constitution juger de la
conformité à la constitution.
Il le fait de façon souveraine (Art 62).
Il est prévu /par la
constitution/ que Lapinou fabriqué en France n'a aucun moyen d'appel de
ses décisions.
Non, le conseil constitutionnel doit par la constitution juger de la
conformité à la constitution. Depuis 40 ans, il invoque le Manuel des Castors
juniors, Je sais cuisiner de Ginette Mathieu, l'encyclopédie des papillons du
Professeur Glabu, et parfois, ce fut le cas pour censurer une loi d'Aubry, il
n'a aucun texte à invoquer, même pas l'annuaire du Lot-et-Garonne ou la doc
technique de la Dyane Citroën ou du grille-tout-pain Seb, et invente pour le
coup un "droit d'entreprendre" écrit nulle part, même pas dans le récit des
amours d'Alain Madelin et Milton Friedman écrit pour la collection Harlequin
par Jean-Pierre Gaillard à la Bourse de Paris.
C'est de la forfaiture permanente. Et j'en profite pour rappeler ce que peu
de personnes savent : c'est que les mêmes aux Ztaznis ont fait pareil, mais
en 1802. Il n'existe absolument rien dans la Constitution de 1787 donnant des
pouvoir exorbitants aux zozos qui prennent "Justice" comme premier prénom,
pour faire héros du journal de Pif le chien. Il ont inventé ça avec l'arrêt
Marbury.
Dans les deux cas, Jefferson et Pompidou auraient dû réagir. Oui, si l'un
n'avait pas été franc-mac esclavagiste haut-gradé et l'autre garçon de
courses d'usuriers allemands. Et dans les deux cas, les assemblées diverses
étaient déjà peuplées de godillots ne souhaitant qu'une chose : avoir
l'investiture de leur parti la prochaine fois, parce que finalement, c'est
confortable pour des types qui auraient gagné beaucoup moins comme clerc de
notaire ou second sous-conseiller culturel d'ambassade à Oulan-Bator ou
Windhoek.
La pseudo-démocratie qui donne raison tout au bout du bout du bout à des gens
placés par les élus et politiquement irresponsables, qui ont "raison"
parce qu'on croit que c'est écrit que personne ne peut contester quoi que ce
soit, et que c'est leur bon plaisir, avec des élus nommant ces gus qui
sont élus parce que les médias les ont invités plus souvent, ça fait
passer tous les autocrates du passé pour des rigolos.
Non, le conseil constitutionnel doit par la constitution juger de la
conformité à la constitution. Depuis 40 ans, il invoque le Manuel des Castors
juniors, Je sais cuisiner de Ginette Mathieu, l'encyclopédie des papillons du
Professeur Glabu, et parfois, ce fut le cas pour censurer une loi d'Aubry, il
n'a aucun texte à invoquer, même pas l'annuaire du Lot-et-Garonne ou la doc
technique de la Dyane Citroën ou du grille-tout-pain Seb, et invente pour le
coup un "droit d'entreprendre" écrit nulle part, même pas dans le récit des
amours d'Alain Madelin et Milton Friedman écrit pour la collection Harlequin
par Jean-Pierre Gaillard à la Bourse de Paris.
C'est de la forfaiture permanente. Et j'en profite pour rappeler ce que peu
de personnes savent : c'est que les mêmes aux Ztaznis ont fait pareil, mais
en 1802. Il n'existe absolument rien dans la Constitution de 1787 donnant des
pouvoir exorbitants aux zozos qui prennent "Justice" comme premier prénom,
pour faire héros du journal de Pif le chien. Il ont inventé ça avec l'arrêt
Marbury.
Dans les deux cas, Jefferson et Pompidou auraient dû réagir. Oui, si l'un
n'avait pas été franc-mac esclavagiste haut-gradé et l'autre garçon de
courses d'usuriers allemands. Et dans les deux cas, les assemblées diverses
étaient déjà peuplées de godillots ne souhaitant qu'une chose : avoir
l'investiture de leur parti la prochaine fois, parce que finalement, c'est
confortable pour des types qui auraient gagné beaucoup moins comme clerc de
notaire ou second sous-conseiller culturel d'ambassade à Oulan-Bator ou
Windhoek.
La pseudo-démocratie qui donne raison tout au bout du bout du bout à des gens
placés par les élus et politiquement irresponsables, qui ont "raison"
parce qu'on croit que c'est écrit que personne ne peut contester quoi que ce
soit, et que c'est leur bon plaisir, avec des élus nommant ces gus qui
sont élus parce que les médias les ont invités plus souvent, ça fait
passer tous les autocrates du passé pour des rigolos.
Non, le conseil constitutionnel doit par la constitution juger de la
conformité à la constitution. Depuis 40 ans, il invoque le Manuel des Castors
juniors, Je sais cuisiner de Ginette Mathieu, l'encyclopédie des papillons du
Professeur Glabu, et parfois, ce fut le cas pour censurer une loi d'Aubry, il
n'a aucun texte à invoquer, même pas l'annuaire du Lot-et-Garonne ou la doc
technique de la Dyane Citroën ou du grille-tout-pain Seb, et invente pour le
coup un "droit d'entreprendre" écrit nulle part, même pas dans le récit des
amours d'Alain Madelin et Milton Friedman écrit pour la collection Harlequin
par Jean-Pierre Gaillard à la Bourse de Paris.
C'est de la forfaiture permanente. Et j'en profite pour rappeler ce que peu
de personnes savent : c'est que les mêmes aux Ztaznis ont fait pareil, mais
en 1802. Il n'existe absolument rien dans la Constitution de 1787 donnant des
pouvoir exorbitants aux zozos qui prennent "Justice" comme premier prénom,
pour faire héros du journal de Pif le chien. Il ont inventé ça avec l'arrêt
Marbury.
Dans les deux cas, Jefferson et Pompidou auraient dû réagir. Oui, si l'un
n'avait pas été franc-mac esclavagiste haut-gradé et l'autre garçon de
courses d'usuriers allemands. Et dans les deux cas, les assemblées diverses
étaient déjà peuplées de godillots ne souhaitant qu'une chose : avoir
l'investiture de leur parti la prochaine fois, parce que finalement, c'est
confortable pour des types qui auraient gagné beaucoup moins comme clerc de
notaire ou second sous-conseiller culturel d'ambassade à Oulan-Bator ou
Windhoek.
La pseudo-démocratie qui donne raison tout au bout du bout du bout à des gens
placés par les élus et politiquement irresponsables, qui ont "raison"
parce qu'on croit que c'est écrit que personne ne peut contester quoi que ce
soit, et que c'est leur bon plaisir, avec des élus nommant ces gus qui
sont élus parce que les médias les ont invités plus souvent, ça fait
passer tous les autocrates du passé pour des rigolos.
Le 11/11/2012 18:34, "Cogitator, la conscience née de la masse critique
des interconnexions" a écrit :jr a écrit:Le 11/11/2012 17:42, "Cogitator, la conscience née de la masse
critique des interconnexions" a écrit :jr a écrit:Le 11/11/2012 17:05, "Cogitator, la conscience née de la masse
critique des interconnexions" a écrit :Bla. Je suis désolé de vous ramener à la réalité des faits: la
France
extrade ses ressortissants dans le cadre européen sur la base de
mandats émis dans le cadre
D'un traité sans valeur puisque touchant à la souveraineté qui
appartient au peuple (article 3) alors que le traité n'a été voté que
par des représentants qui ne peuvent que l'exercer (article 3) ;
Pipo. Le peuple exerce sa souveraineté par ses représentants et la
voie du référendum (article 3). Voyez la définition de "et".
Non, le joueur de pipeau c'est vous, quand on saborde la souveraineté,
on ne peut disposer que de ce qui vous appartient.
C'est ce que fait le peuple par ses représentants, conformément à la
constitution. Quand je vends un bien immobilier, je donne toujours
procuration au notaire.
Je vous retourne l'argument habituel : quand bien même il aurait été
écrit dans les professions de foi électorales de 2007 "je ferai repasser
le TCE à trois virgules près", il n'y-a-pas-de-mandat-impératif.
Oui. C'est beau, hein.Par parenthèse, ce que vous appelez des abandons de souveraineté sont
en fait des abandons /d'exercice/ de souveraineté.
Pas du tout.
Mais si.
D'ailleurs vous êtes le premier à dire qu'il faut les
récupérer. On ne peut pas récupérer une voiture vendue.
Le 11/11/2012 18:34, "Cogitator, la conscience née de la masse critique
des interconnexions" a écrit :
jr a écrit:
Le 11/11/2012 17:42, "Cogitator, la conscience née de la masse
critique des interconnexions" a écrit :
jr a écrit:
Le 11/11/2012 17:05, "Cogitator, la conscience née de la masse
critique des interconnexions" a écrit :
Bla. Je suis désolé de vous ramener à la réalité des faits: la
France
extrade ses ressortissants dans le cadre européen sur la base de
mandats émis dans le cadre
D'un traité sans valeur puisque touchant à la souveraineté qui
appartient au peuple (article 3) alors que le traité n'a été voté que
par des représentants qui ne peuvent que l'exercer (article 3) ;
Pipo. Le peuple exerce sa souveraineté par ses représentants et la
voie du référendum (article 3). Voyez la définition de "et".
Non, le joueur de pipeau c'est vous, quand on saborde la souveraineté,
on ne peut disposer que de ce qui vous appartient.
C'est ce que fait le peuple par ses représentants, conformément à la
constitution. Quand je vends un bien immobilier, je donne toujours
procuration au notaire.
Je vous retourne l'argument habituel : quand bien même il aurait été
écrit dans les professions de foi électorales de 2007 "je ferai repasser
le TCE à trois virgules près", il n'y-a-pas-de-mandat-impératif.
Oui. C'est beau, hein.
Par parenthèse, ce que vous appelez des abandons de souveraineté sont
en fait des abandons /d'exercice/ de souveraineté.
Pas du tout.
Mais si.
D'ailleurs vous êtes le premier à dire qu'il faut les
récupérer. On ne peut pas récupérer une voiture vendue.
Le 11/11/2012 18:34, "Cogitator, la conscience née de la masse critique
des interconnexions" a écrit :jr a écrit:Le 11/11/2012 17:42, "Cogitator, la conscience née de la masse
critique des interconnexions" a écrit :jr a écrit:Le 11/11/2012 17:05, "Cogitator, la conscience née de la masse
critique des interconnexions" a écrit :Bla. Je suis désolé de vous ramener à la réalité des faits: la
France
extrade ses ressortissants dans le cadre européen sur la base de
mandats émis dans le cadre
D'un traité sans valeur puisque touchant à la souveraineté qui
appartient au peuple (article 3) alors que le traité n'a été voté que
par des représentants qui ne peuvent que l'exercer (article 3) ;
Pipo. Le peuple exerce sa souveraineté par ses représentants et la
voie du référendum (article 3). Voyez la définition de "et".
Non, le joueur de pipeau c'est vous, quand on saborde la souveraineté,
on ne peut disposer que de ce qui vous appartient.
C'est ce que fait le peuple par ses représentants, conformément à la
constitution. Quand je vends un bien immobilier, je donne toujours
procuration au notaire.
Je vous retourne l'argument habituel : quand bien même il aurait été
écrit dans les professions de foi électorales de 2007 "je ferai repasser
le TCE à trois virgules près", il n'y-a-pas-de-mandat-impératif.
Oui. C'est beau, hein.Par parenthèse, ce que vous appelez des abandons de souveraineté sont
en fait des abandons /d'exercice/ de souveraineté.
Pas du tout.
Mais si.
D'ailleurs vous êtes le premier à dire qu'il faut les
récupérer. On ne peut pas récupérer une voiture vendue.
"Cogitator, la conscience née de la masse critique des interconnexions"
avait prétendu :Non, le conseil constitutionnel doit par la constitution juger de la
conformité à la constitution. Depuis 40 ans, il invoque le Manuel des
Castors juniors, Je sais cuisiner de Ginette Mathieu, l'encyclopédie
des papillons du Professeur Glabu, et parfois, ce fut le cas pour
censurer une loi d'Aubry, il n'a aucun texte à invoquer, même pas
l'annuaire du Lot-et-Garonne ou la doc technique de la Dyane Citroën
ou du grille-tout-pain Seb, et invente pour le coup un "droit
d'entreprendre" écrit nulle part, même pas dans le récit des amours
d'Alain Madelin et Milton Friedman écrit pour la collection Harlequin
par Jean-Pierre Gaillard à la Bourse de Paris.
C'est de la forfaiture permanente. Et j'en profite pour rappeler ce
que peu de personnes savent : c'est que les mêmes aux Ztaznis ont fait
pareil, mais en 1802. Il n'existe absolument rien dans la Constitution
de 1787 donnant des pouvoir exorbitants aux zozos qui prennent
"Justice" comme premier prénom, pour faire héros du journal de Pif le
chien. Il ont inventé ça avec l'arrêt Marbury.
Dans les deux cas, Jefferson et Pompidou auraient dû réagir. Oui, si
l'un n'avait pas été franc-mac esclavagiste haut-gradé et l'autre
garçon de courses d'usuriers allemands. Et dans les deux cas, les
assemblées diverses étaient déjà peuplées de godillots ne souhaitant
qu'une chose : avoir l'investiture de leur parti la prochaine fois,
parce que finalement, c'est confortable pour des types qui auraient
gagné beaucoup moins comme clerc de notaire ou second sous-conseiller
culturel d'ambassade à Oulan-Bator ou Windhoek.
La pseudo-démocratie qui donne raison tout au bout du bout du bout à
des gens
placés par les élus et politiquement irresponsables, qui ont "raison"
parce qu'on croit que c'est écrit que personne ne peut contester quoi
que ce
soit, et que c'est leur bon plaisir, avec des élus nommant ces gus qui
sont élus parce que les médias les ont invités plus souvent, ça fait
passer tous les autocrates du passé pour des rigolos.
A 100 % d'accord !
Le servage moderne commence par la crainte révérencielle des
institutions et le respect immérité de ceux qui en abusent.
Me voilà redevenu anar, et rajeuni d'un demi-siècle grâce à vous ! :-Z
"Cogitator, la conscience née de la masse critique des interconnexions"
avait prétendu :
Non, le conseil constitutionnel doit par la constitution juger de la
conformité à la constitution. Depuis 40 ans, il invoque le Manuel des
Castors juniors, Je sais cuisiner de Ginette Mathieu, l'encyclopédie
des papillons du Professeur Glabu, et parfois, ce fut le cas pour
censurer une loi d'Aubry, il n'a aucun texte à invoquer, même pas
l'annuaire du Lot-et-Garonne ou la doc technique de la Dyane Citroën
ou du grille-tout-pain Seb, et invente pour le coup un "droit
d'entreprendre" écrit nulle part, même pas dans le récit des amours
d'Alain Madelin et Milton Friedman écrit pour la collection Harlequin
par Jean-Pierre Gaillard à la Bourse de Paris.
C'est de la forfaiture permanente. Et j'en profite pour rappeler ce
que peu de personnes savent : c'est que les mêmes aux Ztaznis ont fait
pareil, mais en 1802. Il n'existe absolument rien dans la Constitution
de 1787 donnant des pouvoir exorbitants aux zozos qui prennent
"Justice" comme premier prénom, pour faire héros du journal de Pif le
chien. Il ont inventé ça avec l'arrêt Marbury.
Dans les deux cas, Jefferson et Pompidou auraient dû réagir. Oui, si
l'un n'avait pas été franc-mac esclavagiste haut-gradé et l'autre
garçon de courses d'usuriers allemands. Et dans les deux cas, les
assemblées diverses étaient déjà peuplées de godillots ne souhaitant
qu'une chose : avoir l'investiture de leur parti la prochaine fois,
parce que finalement, c'est confortable pour des types qui auraient
gagné beaucoup moins comme clerc de notaire ou second sous-conseiller
culturel d'ambassade à Oulan-Bator ou Windhoek.
La pseudo-démocratie qui donne raison tout au bout du bout du bout à
des gens
placés par les élus et politiquement irresponsables, qui ont "raison"
parce qu'on croit que c'est écrit que personne ne peut contester quoi
que ce
soit, et que c'est leur bon plaisir, avec des élus nommant ces gus qui
sont élus parce que les médias les ont invités plus souvent, ça fait
passer tous les autocrates du passé pour des rigolos.
A 100 % d'accord !
Le servage moderne commence par la crainte révérencielle des
institutions et le respect immérité de ceux qui en abusent.
Me voilà redevenu anar, et rajeuni d'un demi-siècle grâce à vous ! :-Z
"Cogitator, la conscience née de la masse critique des interconnexions"
avait prétendu :Non, le conseil constitutionnel doit par la constitution juger de la
conformité à la constitution. Depuis 40 ans, il invoque le Manuel des
Castors juniors, Je sais cuisiner de Ginette Mathieu, l'encyclopédie
des papillons du Professeur Glabu, et parfois, ce fut le cas pour
censurer une loi d'Aubry, il n'a aucun texte à invoquer, même pas
l'annuaire du Lot-et-Garonne ou la doc technique de la Dyane Citroën
ou du grille-tout-pain Seb, et invente pour le coup un "droit
d'entreprendre" écrit nulle part, même pas dans le récit des amours
d'Alain Madelin et Milton Friedman écrit pour la collection Harlequin
par Jean-Pierre Gaillard à la Bourse de Paris.
C'est de la forfaiture permanente. Et j'en profite pour rappeler ce
que peu de personnes savent : c'est que les mêmes aux Ztaznis ont fait
pareil, mais en 1802. Il n'existe absolument rien dans la Constitution
de 1787 donnant des pouvoir exorbitants aux zozos qui prennent
"Justice" comme premier prénom, pour faire héros du journal de Pif le
chien. Il ont inventé ça avec l'arrêt Marbury.
Dans les deux cas, Jefferson et Pompidou auraient dû réagir. Oui, si
l'un n'avait pas été franc-mac esclavagiste haut-gradé et l'autre
garçon de courses d'usuriers allemands. Et dans les deux cas, les
assemblées diverses étaient déjà peuplées de godillots ne souhaitant
qu'une chose : avoir l'investiture de leur parti la prochaine fois,
parce que finalement, c'est confortable pour des types qui auraient
gagné beaucoup moins comme clerc de notaire ou second sous-conseiller
culturel d'ambassade à Oulan-Bator ou Windhoek.
La pseudo-démocratie qui donne raison tout au bout du bout du bout à
des gens
placés par les élus et politiquement irresponsables, qui ont "raison"
parce qu'on croit que c'est écrit que personne ne peut contester quoi
que ce
soit, et que c'est leur bon plaisir, avec des élus nommant ces gus qui
sont élus parce que les médias les ont invités plus souvent, ça fait
passer tous les autocrates du passé pour des rigolos.
A 100 % d'accord !
Le servage moderne commence par la crainte révérencielle des
institutions et le respect immérité de ceux qui en abusent.
Me voilà redevenu anar, et rajeuni d'un demi-siècle grâce à vous ! :-Z