Florent Pessaud wrote:
Et alors ? Celà ne signifie pas que la musique de Mozart nécessite une
initiation à l'écoute.
La musique classique me fait plus spontanément "remuer la tête" que la
pop. Je dois être anormal peut-être.
Les oeuvres de Raphaël sont plus figuratives et celles de Mirò plus
conceptuelle.
Abstraites, pas conceptuelles.
Oui, Mirò n'est pas un très bon exemple pour illustrer nos propos.
Raphaël est, /à priori/ beaucoup plus conceptuel que Mirò.
Par analyse.
Encore que je me demande si le "fond" philosophique d'une
vierge à l'enfant est plus étranger à un spectateur lambda qu'une
oeuvre de Mirò.
C'est l'analyse de l'oeuvre qui impose celà. Une oeuvre d'art n'est
pas créée pour être analysée.
Réponse 2 : Le but de l'art n'est pas "d'éveiller un plaisir
spontané".
L'art n'a pas de but.
Le sens n'intervient pas dans la calligraphie. Ce n'est pas une jolie
mise en forme de poème c'est un travail sur la forme.
Pas seulement. Une calligraphie n'existe que par le besoin de
communiquer.
Evidemment le signe et le verbe c'est mon métier. La calligraphie est
le travail de certains graphiste comme la typographie et l'histoire
des signes et du langage écrit.
Je connais un peu ce sujet.
Comme je connais un peu le sujet de l'image et de son sens confronté à
un large public ou à un public plus ciblé. C'est mon travail quotidien
de graphiste.
Alors
1) déjà là c'est de la pure tarte à la crème, c'est du pompier dans
toute sa splendeur, de réduire l'art à cela
Chacun est libre d'appréhender l'art comme il le veux.
Chacun est libre d'avoir *sa* définition de l'art àmha.
Mais je reste convaincu qu'une vision étriquée par la vérité de
l'analyse de l'oeuvre et toutes tentatives de définir l'art sont
vaines. Ainsi que très réductrices.
2) En plus, les liens mère-enfant, ça n'est pas du tout une notion
universelle dans l'humanité.
Ah ? Pourtant dans le règne animal ça l'est majoritairement.
Tu sais bien la perpétuation de l'espèce, etc.
Je crois que le choix de l'exemple d'une Pieta prend un sacrée coup
par cette comparaison. :)
3) Alors qu'il y a aussi plein de civilisations qui vont admirer
l'ordre et la perfection de la nature et qui seront par conséquence
fascinés, par exemple, par des oeuvres fractales.
Oui et ?
(j'ai du mal à suivre. Insinuerais-tu qu'une oeuvre "fractales" est
plus facilement abordable qu'une oeuvre figurative ?)
Un motif géométrique, pas une *forme*
Un animal n'a aucune conscience de ce qu'est un motif.
Mais pour être fasciné il faut déjà avoir une conscience.
Pour le coup du chat c'est raté. Par contre tu aurais choisi l'exemple du
primate...
Je t'assure que tu mets une moquette façon Tomasello avec un
éclairage rasant, mon chat va la kiffer grave.
Aucune fascination là-dedans. Juste une réaction par stimulus visuel
qui déclenche un comportement.
Il faut faire un effort d'interprétation car la forme
géométrique est une simplification de la réalité.
C'est tellement beau que je le laisse...
La forme n'est géométrique que par l'interprétation de l'homme.
La géométrie n'existe pas dans la nature.
C'est une simplification donc c'est plus compliqué, ça méritait
d'être dit
Si l'on conceptuelise oui.
Dès que l'on conceptualise tout est plus compliqué.
Sans parler de la notion de "forme géométrique simplification de la
réalité" qui est mignon aussi
Tu préfères interprétation par simplification visuelle (et
mathématique si tu cherches la petite bête).
Avoir une démarche artistique ce n'est *pas* d'empiler les clichés
vendeurs, il y a même une tendance assez forte (chez les "classiques"
comme chez les "modernes") à définir la démarche artistique comme
étant le contraire de cela
Stop. C'est quoi la "démarche artistique" ?
Et elle est loin d'être unique dans le monde, en plus. Y'a aussi
Claude Berri. Ca en fait déjà deux.
Mais ta "wife" et Claude Berri ont des connaissances en arts.
(Au fait, que vient faire Claude Berri dans cet échange ?)
Je n'ai jamais rien vu comme 99,99% de l'humanité mon grand.
Tout le monde n'a pas la chance d'être frappé de béatitude comme toi
au point de pouvoir précisement définir ce qu'est l'Art.
Enfin, avec "petit" tu passes pour un con. Je suppose que tu le sais,
"mon grand".
Mais je n'ai jamais signifié que celà n'existait pas. Seulement que
notre art contemporain est plus difficile à appréhender par une
personne lambda car souvent plus potentiellement conceptuel qu'une
oeuvre d'art classique.
Oui, et si on s'en tient là, c'est de la merde.
HCB s'en tenait à celà lorsqu'il photographiait.
C'est lui-même qui le
disait. Remarque il avait des mots concernant ses photos qui pourrait
faire penser à une légère méprise...
Tu es libre de mépriser qui ne te plait. Mais celà ne signifie pas que
l'on doit se rallier à ta cause ou l'ériger en vérité .
Quand une oeuvre ne *représente* rien d'autre que des formes et des
couleurs, ce qui te reste pour l'apprécier c'est _précisément_ tes
seuls sens, sans le soutien de béquilles culturelles comme dans une
oeuvre figurative.
C'est juste mis ce n'est pas une constance en art contemporain.
La disparition du figuratif, c'est précisément un appel à
l'universalité par opposition à une peinture figée dans une culture.
C'est juste mis ce n'est pas une constance en art contemporain.
La fonction de la musique varie beaucoup selon les cultures.
Dans toutes celles ou elle est à la base de phénomènes de transes, je
t'assures qu'elle ne s'adresse pas aux oreilles.
Certes mais si elle est capable de d'amener à un phénomène de transe
c'est qu'elle touche plus la fibre humaine qui est universelle
(n'est-ce pas ?) qu'un comportement soumis par une culture.
Sinon, la musique ne serait qu'un prétexte plutôt qu'un moyen.
Des "dissonances" chez certains pourront être appréciées pourvu
qu'il y ait une logique dans leur organisation et leur émission.
Non, parce que c'est "faux", et que justement c'est faux parce que
c'est une organisation qui n'entre pas dans *notre* logique.
Dans ce cas il s'agit d'une exception quasi-unique.
Va discuter de tes expériences personnelles avec des
ethnomusicologues, tu vas révolutionner leur profession.
Mince, je n'ai aucune culture indienne pourtant j'aime la musique de
Ravi Shankar. Tiens, d'ailleurs que penser de "Mozart l'egyptien" de
Gilles de Courson
me semble-t-il et El Maghrebi qui allie des oeuvres
de Mozart et des oeuvres musicales typiquement maghrebines ?
Faut-il
avoir une double culture pour apprécier cette oeuvre ? Pour
l'analyser certes mais pour l'écouter et y prendre un plaisir auditif
?
Par contre la civilisation est la même si c'est ce qui pouvait te
choquer dans ma divergence de point de vue.
Pourtant leur musique s'écoute aussi facilement que Lorie & consort.
Euh, "Music For Airports" et "C'est le weekend", c'est pas vraiment
le même niveau d'accessibilité.
Bah un peu si.
un coup
pour la musique tu ne perçois pas en quoi des morceaux monotonaux de
20 minutes peuvent être difficiles à écouter.
Celui n'est pas dû essentiellement à un écueil culturel.
L'art est conceptuel. Par essence.
Tout dépend de ta conception du conceptuel. :)
Oui, Buren, dont la postérité retiendra probablement plus son contrat
de cession d'une oeuvre que son oeuvre même, quelques rigolos dans
les années 60, et basta.
Si tu veux.
Je ne cherche pas à te mettre dans un tel état mais à t'exposer mon
point de vue.
Après, des types comme Vinci ou Bach, pour en prendre deux au génie
reconnu, ont poussé la conceptualisation très très loin... Vinci, par
moments, c'est l'Oulipo appliquée à la peinture, quand à Bach, le
nombre d'oeuvre écrites uniquement pour voir si quelqu'un arriverait
à les jouer est quand même important.. Et ce sont ses oeuvres
majeures
Quelqu'un a signifié que le conceptuel a été inventé au XXe siècle.
Je suis d'accord avec ce point de vue mais celà ne doit occulter que
les oeuvres de ces deux artistes son également abordables par un
autre point de vue que celui de l'analyse et de l'histoire.
Florent Pessaud <florentpessaud@hotmail.com> wrote:
Et alors ? Celà ne signifie pas que la musique de Mozart nécessite une
initiation à l'écoute.
La musique classique me fait plus spontanément "remuer la tête" que la
pop. Je dois être anormal peut-être.
Les oeuvres de Raphaël sont plus figuratives et celles de Mirò plus
conceptuelle.
Abstraites, pas conceptuelles.
Oui, Mirò n'est pas un très bon exemple pour illustrer nos propos.
Raphaël est, /à priori/ beaucoup plus conceptuel que Mirò.
Par analyse.
Encore que je me demande si le "fond" philosophique d'une
vierge à l'enfant est plus étranger à un spectateur lambda qu'une
oeuvre de Mirò.
C'est l'analyse de l'oeuvre qui impose celà. Une oeuvre d'art n'est
pas créée pour être analysée.
Réponse 2 : Le but de l'art n'est pas "d'éveiller un plaisir
spontané".
L'art n'a pas de but.
Le sens n'intervient pas dans la calligraphie. Ce n'est pas une jolie
mise en forme de poème c'est un travail sur la forme.
Pas seulement. Une calligraphie n'existe que par le besoin de
communiquer.
Evidemment le signe et le verbe c'est mon métier. La calligraphie est
le travail de certains graphiste comme la typographie et l'histoire
des signes et du langage écrit.
Je connais un peu ce sujet.
Comme je connais un peu le sujet de l'image et de son sens confronté à
un large public ou à un public plus ciblé. C'est mon travail quotidien
de graphiste.
Alors
1) déjà là c'est de la pure tarte à la crème, c'est du pompier dans
toute sa splendeur, de réduire l'art à cela
Chacun est libre d'appréhender l'art comme il le veux.
Chacun est libre d'avoir *sa* définition de l'art àmha.
Mais je reste convaincu qu'une vision étriquée par la vérité de
l'analyse de l'oeuvre et toutes tentatives de définir l'art sont
vaines. Ainsi que très réductrices.
2) En plus, les liens mère-enfant, ça n'est pas du tout une notion
universelle dans l'humanité.
Ah ? Pourtant dans le règne animal ça l'est majoritairement.
Tu sais bien la perpétuation de l'espèce, etc.
Je crois que le choix de l'exemple d'une Pieta prend un sacrée coup
par cette comparaison. :)
3) Alors qu'il y a aussi plein de civilisations qui vont admirer
l'ordre et la perfection de la nature et qui seront par conséquence
fascinés, par exemple, par des oeuvres fractales.
Oui et ?
(j'ai du mal à suivre. Insinuerais-tu qu'une oeuvre "fractales" est
plus facilement abordable qu'une oeuvre figurative ?)
Un motif géométrique, pas une *forme*
Un animal n'a aucune conscience de ce qu'est un motif.
Mais pour être fasciné il faut déjà avoir une conscience.
Pour le coup du chat c'est raté. Par contre tu aurais choisi l'exemple du
primate...
Je t'assure que tu mets une moquette façon Tomasello avec un
éclairage rasant, mon chat va la kiffer grave.
Aucune fascination là-dedans. Juste une réaction par stimulus visuel
qui déclenche un comportement.
Il faut faire un effort d'interprétation car la forme
géométrique est une simplification de la réalité.
C'est tellement beau que je le laisse...
La forme n'est géométrique que par l'interprétation de l'homme.
La géométrie n'existe pas dans la nature.
C'est une simplification donc c'est plus compliqué, ça méritait
d'être dit
Si l'on conceptuelise oui.
Dès que l'on conceptualise tout est plus compliqué.
Sans parler de la notion de "forme géométrique simplification de la
réalité" qui est mignon aussi
Tu préfères interprétation par simplification visuelle (et
mathématique si tu cherches la petite bête).
Avoir une démarche artistique ce n'est *pas* d'empiler les clichés
vendeurs, il y a même une tendance assez forte (chez les "classiques"
comme chez les "modernes") à définir la démarche artistique comme
étant le contraire de cela
Stop. C'est quoi la "démarche artistique" ?
Et elle est loin d'être unique dans le monde, en plus. Y'a aussi
Claude Berri. Ca en fait déjà deux.
Mais ta "wife" et Claude Berri ont des connaissances en arts.
(Au fait, que vient faire Claude Berri dans cet échange ?)
Je n'ai jamais rien vu comme 99,99% de l'humanité mon grand.
Tout le monde n'a pas la chance d'être frappé de béatitude comme toi
au point de pouvoir précisement définir ce qu'est l'Art.
Enfin, avec "petit" tu passes pour un con. Je suppose que tu le sais,
"mon grand".
Mais je n'ai jamais signifié que celà n'existait pas. Seulement que
notre art contemporain est plus difficile à appréhender par une
personne lambda car souvent plus potentiellement conceptuel qu'une
oeuvre d'art classique.
Oui, et si on s'en tient là, c'est de la merde.
HCB s'en tenait à celà lorsqu'il photographiait.
C'est lui-même qui le
disait. Remarque il avait des mots concernant ses photos qui pourrait
faire penser à une légère méprise...
Tu es libre de mépriser qui ne te plait. Mais celà ne signifie pas que
l'on doit se rallier à ta cause ou l'ériger en vérité .
Quand une oeuvre ne *représente* rien d'autre que des formes et des
couleurs, ce qui te reste pour l'apprécier c'est _précisément_ tes
seuls sens, sans le soutien de béquilles culturelles comme dans une
oeuvre figurative.
C'est juste mis ce n'est pas une constance en art contemporain.
La disparition du figuratif, c'est précisément un appel à
l'universalité par opposition à une peinture figée dans une culture.
C'est juste mis ce n'est pas une constance en art contemporain.
La fonction de la musique varie beaucoup selon les cultures.
Dans toutes celles ou elle est à la base de phénomènes de transes, je
t'assures qu'elle ne s'adresse pas aux oreilles.
Certes mais si elle est capable de d'amener à un phénomène de transe
c'est qu'elle touche plus la fibre humaine qui est universelle
(n'est-ce pas ?) qu'un comportement soumis par une culture.
Sinon, la musique ne serait qu'un prétexte plutôt qu'un moyen.
Des "dissonances" chez certains pourront être appréciées pourvu
qu'il y ait une logique dans leur organisation et leur émission.
Non, parce que c'est "faux", et que justement c'est faux parce que
c'est une organisation qui n'entre pas dans *notre* logique.
Dans ce cas il s'agit d'une exception quasi-unique.
Va discuter de tes expériences personnelles avec des
ethnomusicologues, tu vas révolutionner leur profession.
Mince, je n'ai aucune culture indienne pourtant j'aime la musique de
Ravi Shankar. Tiens, d'ailleurs que penser de "Mozart l'egyptien" de
Gilles de Courson
me semble-t-il et El Maghrebi qui allie des oeuvres
de Mozart et des oeuvres musicales typiquement maghrebines ?
Faut-il
avoir une double culture pour apprécier cette oeuvre ? Pour
l'analyser certes mais pour l'écouter et y prendre un plaisir auditif
?
Par contre la civilisation est la même si c'est ce qui pouvait te
choquer dans ma divergence de point de vue.
Pourtant leur musique s'écoute aussi facilement que Lorie & consort.
Euh, "Music For Airports" et "C'est le weekend", c'est pas vraiment
le même niveau d'accessibilité.
Bah un peu si.
un coup
pour la musique tu ne perçois pas en quoi des morceaux monotonaux de
20 minutes peuvent être difficiles à écouter.
Celui n'est pas dû essentiellement à un écueil culturel.
L'art est conceptuel. Par essence.
Tout dépend de ta conception du conceptuel. :)
Oui, Buren, dont la postérité retiendra probablement plus son contrat
de cession d'une oeuvre que son oeuvre même, quelques rigolos dans
les années 60, et basta.
Si tu veux.
Je ne cherche pas à te mettre dans un tel état mais à t'exposer mon
point de vue.
Après, des types comme Vinci ou Bach, pour en prendre deux au génie
reconnu, ont poussé la conceptualisation très très loin... Vinci, par
moments, c'est l'Oulipo appliquée à la peinture, quand à Bach, le
nombre d'oeuvre écrites uniquement pour voir si quelqu'un arriverait
à les jouer est quand même important.. Et ce sont ses oeuvres
majeures
Quelqu'un a signifié que le conceptuel a été inventé au XXe siècle.
Je suis d'accord avec ce point de vue mais celà ne doit occulter que
les oeuvres de ces deux artistes son également abordables par un
autre point de vue que celui de l'analyse et de l'histoire.
Florent Pessaud wrote:
Et alors ? Celà ne signifie pas que la musique de Mozart nécessite une
initiation à l'écoute.
La musique classique me fait plus spontanément "remuer la tête" que la
pop. Je dois être anormal peut-être.
Les oeuvres de Raphaël sont plus figuratives et celles de Mirò plus
conceptuelle.
Abstraites, pas conceptuelles.
Oui, Mirò n'est pas un très bon exemple pour illustrer nos propos.
Raphaël est, /à priori/ beaucoup plus conceptuel que Mirò.
Par analyse.
Encore que je me demande si le "fond" philosophique d'une
vierge à l'enfant est plus étranger à un spectateur lambda qu'une
oeuvre de Mirò.
C'est l'analyse de l'oeuvre qui impose celà. Une oeuvre d'art n'est
pas créée pour être analysée.
Réponse 2 : Le but de l'art n'est pas "d'éveiller un plaisir
spontané".
L'art n'a pas de but.
Le sens n'intervient pas dans la calligraphie. Ce n'est pas une jolie
mise en forme de poème c'est un travail sur la forme.
Pas seulement. Une calligraphie n'existe que par le besoin de
communiquer.
Evidemment le signe et le verbe c'est mon métier. La calligraphie est
le travail de certains graphiste comme la typographie et l'histoire
des signes et du langage écrit.
Je connais un peu ce sujet.
Comme je connais un peu le sujet de l'image et de son sens confronté à
un large public ou à un public plus ciblé. C'est mon travail quotidien
de graphiste.
Alors
1) déjà là c'est de la pure tarte à la crème, c'est du pompier dans
toute sa splendeur, de réduire l'art à cela
Chacun est libre d'appréhender l'art comme il le veux.
Chacun est libre d'avoir *sa* définition de l'art àmha.
Mais je reste convaincu qu'une vision étriquée par la vérité de
l'analyse de l'oeuvre et toutes tentatives de définir l'art sont
vaines. Ainsi que très réductrices.
2) En plus, les liens mère-enfant, ça n'est pas du tout une notion
universelle dans l'humanité.
Ah ? Pourtant dans le règne animal ça l'est majoritairement.
Tu sais bien la perpétuation de l'espèce, etc.
Je crois que le choix de l'exemple d'une Pieta prend un sacrée coup
par cette comparaison. :)
3) Alors qu'il y a aussi plein de civilisations qui vont admirer
l'ordre et la perfection de la nature et qui seront par conséquence
fascinés, par exemple, par des oeuvres fractales.
Oui et ?
(j'ai du mal à suivre. Insinuerais-tu qu'une oeuvre "fractales" est
plus facilement abordable qu'une oeuvre figurative ?)
Un motif géométrique, pas une *forme*
Un animal n'a aucune conscience de ce qu'est un motif.
Mais pour être fasciné il faut déjà avoir une conscience.
Pour le coup du chat c'est raté. Par contre tu aurais choisi l'exemple du
primate...
Je t'assure que tu mets une moquette façon Tomasello avec un
éclairage rasant, mon chat va la kiffer grave.
Aucune fascination là-dedans. Juste une réaction par stimulus visuel
qui déclenche un comportement.
Il faut faire un effort d'interprétation car la forme
géométrique est une simplification de la réalité.
C'est tellement beau que je le laisse...
La forme n'est géométrique que par l'interprétation de l'homme.
La géométrie n'existe pas dans la nature.
C'est une simplification donc c'est plus compliqué, ça méritait
d'être dit
Si l'on conceptuelise oui.
Dès que l'on conceptualise tout est plus compliqué.
Sans parler de la notion de "forme géométrique simplification de la
réalité" qui est mignon aussi
Tu préfères interprétation par simplification visuelle (et
mathématique si tu cherches la petite bête).
Avoir une démarche artistique ce n'est *pas* d'empiler les clichés
vendeurs, il y a même une tendance assez forte (chez les "classiques"
comme chez les "modernes") à définir la démarche artistique comme
étant le contraire de cela
Stop. C'est quoi la "démarche artistique" ?
Et elle est loin d'être unique dans le monde, en plus. Y'a aussi
Claude Berri. Ca en fait déjà deux.
Mais ta "wife" et Claude Berri ont des connaissances en arts.
(Au fait, que vient faire Claude Berri dans cet échange ?)
Je n'ai jamais rien vu comme 99,99% de l'humanité mon grand.
Tout le monde n'a pas la chance d'être frappé de béatitude comme toi
au point de pouvoir précisement définir ce qu'est l'Art.
Enfin, avec "petit" tu passes pour un con. Je suppose que tu le sais,
"mon grand".
Mais je n'ai jamais signifié que celà n'existait pas. Seulement que
notre art contemporain est plus difficile à appréhender par une
personne lambda car souvent plus potentiellement conceptuel qu'une
oeuvre d'art classique.
Oui, et si on s'en tient là, c'est de la merde.
HCB s'en tenait à celà lorsqu'il photographiait.
C'est lui-même qui le
disait. Remarque il avait des mots concernant ses photos qui pourrait
faire penser à une légère méprise...
Tu es libre de mépriser qui ne te plait. Mais celà ne signifie pas que
l'on doit se rallier à ta cause ou l'ériger en vérité .
Quand une oeuvre ne *représente* rien d'autre que des formes et des
couleurs, ce qui te reste pour l'apprécier c'est _précisément_ tes
seuls sens, sans le soutien de béquilles culturelles comme dans une
oeuvre figurative.
C'est juste mis ce n'est pas une constance en art contemporain.
La disparition du figuratif, c'est précisément un appel à
l'universalité par opposition à une peinture figée dans une culture.
C'est juste mis ce n'est pas une constance en art contemporain.
La fonction de la musique varie beaucoup selon les cultures.
Dans toutes celles ou elle est à la base de phénomènes de transes, je
t'assures qu'elle ne s'adresse pas aux oreilles.
Certes mais si elle est capable de d'amener à un phénomène de transe
c'est qu'elle touche plus la fibre humaine qui est universelle
(n'est-ce pas ?) qu'un comportement soumis par une culture.
Sinon, la musique ne serait qu'un prétexte plutôt qu'un moyen.
Des "dissonances" chez certains pourront être appréciées pourvu
qu'il y ait une logique dans leur organisation et leur émission.
Non, parce que c'est "faux", et que justement c'est faux parce que
c'est une organisation qui n'entre pas dans *notre* logique.
Dans ce cas il s'agit d'une exception quasi-unique.
Va discuter de tes expériences personnelles avec des
ethnomusicologues, tu vas révolutionner leur profession.
Mince, je n'ai aucune culture indienne pourtant j'aime la musique de
Ravi Shankar. Tiens, d'ailleurs que penser de "Mozart l'egyptien" de
Gilles de Courson
me semble-t-il et El Maghrebi qui allie des oeuvres
de Mozart et des oeuvres musicales typiquement maghrebines ?
Faut-il
avoir une double culture pour apprécier cette oeuvre ? Pour
l'analyser certes mais pour l'écouter et y prendre un plaisir auditif
?
Par contre la civilisation est la même si c'est ce qui pouvait te
choquer dans ma divergence de point de vue.
Pourtant leur musique s'écoute aussi facilement que Lorie & consort.
Euh, "Music For Airports" et "C'est le weekend", c'est pas vraiment
le même niveau d'accessibilité.
Bah un peu si.
un coup
pour la musique tu ne perçois pas en quoi des morceaux monotonaux de
20 minutes peuvent être difficiles à écouter.
Celui n'est pas dû essentiellement à un écueil culturel.
L'art est conceptuel. Par essence.
Tout dépend de ta conception du conceptuel. :)
Oui, Buren, dont la postérité retiendra probablement plus son contrat
de cession d'une oeuvre que son oeuvre même, quelques rigolos dans
les années 60, et basta.
Si tu veux.
Je ne cherche pas à te mettre dans un tel état mais à t'exposer mon
point de vue.
Après, des types comme Vinci ou Bach, pour en prendre deux au génie
reconnu, ont poussé la conceptualisation très très loin... Vinci, par
moments, c'est l'Oulipo appliquée à la peinture, quand à Bach, le
nombre d'oeuvre écrites uniquement pour voir si quelqu'un arriverait
à les jouer est quand même important.. Et ce sont ses oeuvres
majeures
Quelqu'un a signifié que le conceptuel a été inventé au XXe siècle.
Je suis d'accord avec ce point de vue mais celà ne doit occulter que
les oeuvres de ces deux artistes son également abordables par un
autre point de vue que celui de l'analyse et de l'histoire.
FiLH wrote:Il n'y a pas de frontières. Juste une constatation par comparaison
de mes références en art classique et en art contemporain.
D'ailleurs dans les analyses d'art, celles d'oeuvres classiques
m'épargnent bien souvent de sortir dictionnaire de français et
d'histoire de l'art.
Ce qui signifie essentiellement que tu es plus familier de l'un que
de l'autre.
À moins que tu ne te prennes comme la référence absolue de ce que
doit savoir quelqu'un ?
Tu confonds ton cas avec le mien.
Voilà plusieurs jours que j'essaie de te signifier qu'il n'y a ni
règles en art contemporain ni définition de l'Art qui convienne à
tout le monde.
FiLH <filh@filh.org> wrote:
Il n'y a pas de frontières. Juste une constatation par comparaison
de mes références en art classique et en art contemporain.
D'ailleurs dans les analyses d'art, celles d'oeuvres classiques
m'épargnent bien souvent de sortir dictionnaire de français et
d'histoire de l'art.
Ce qui signifie essentiellement que tu es plus familier de l'un que
de l'autre.
À moins que tu ne te prennes comme la référence absolue de ce que
doit savoir quelqu'un ?
Tu confonds ton cas avec le mien.
Voilà plusieurs jours que j'essaie de te signifier qu'il n'y a ni
règles en art contemporain ni définition de l'Art qui convienne à
tout le monde.
FiLH wrote:Il n'y a pas de frontières. Juste une constatation par comparaison
de mes références en art classique et en art contemporain.
D'ailleurs dans les analyses d'art, celles d'oeuvres classiques
m'épargnent bien souvent de sortir dictionnaire de français et
d'histoire de l'art.
Ce qui signifie essentiellement que tu es plus familier de l'un que
de l'autre.
À moins que tu ne te prennes comme la référence absolue de ce que
doit savoir quelqu'un ?
Tu confonds ton cas avec le mien.
Voilà plusieurs jours que j'essaie de te signifier qu'il n'y a ni
règles en art contemporain ni définition de l'Art qui convienne à
tout le monde.
Il peut y avoir une autre possibilité où finalement l'auteur a le
besoin d'expression sans finalement trop savoir ce qu'il veut dire.
J'imagine que l'on peut faire de la poésie, de la danse, de la
musique à partir de sensations, de sentiments...
Je crois aussi que même quand on a un message conscient, on est
souvent dépassé par son message (sinon c'est plus de l'art, mais de
la communication, quand le message est calibré, précis, univoque).
Je partage parfaitement cette analyse.
Mitouisons dans la joie :=
Il peut y avoir une autre possibilité où finalement l'auteur a le
besoin d'expression sans finalement trop savoir ce qu'il veut dire.
J'imagine que l'on peut faire de la poésie, de la danse, de la
musique à partir de sensations, de sentiments...
Je crois aussi que même quand on a un message conscient, on est
souvent dépassé par son message (sinon c'est plus de l'art, mais de
la communication, quand le message est calibré, précis, univoque).
Je partage parfaitement cette analyse.
Mitouisons dans la joie :=
Il peut y avoir une autre possibilité où finalement l'auteur a le
besoin d'expression sans finalement trop savoir ce qu'il veut dire.
J'imagine que l'on peut faire de la poésie, de la danse, de la
musique à partir de sensations, de sentiments...
Je crois aussi que même quand on a un message conscient, on est
souvent dépassé par son message (sinon c'est plus de l'art, mais de
la communication, quand le message est calibré, précis, univoque).
Je partage parfaitement cette analyse.
Mitouisons dans la joie :=
Ce qui n'a aucun rapport avec la question posée.
Ça c'est un point que je t'accorde.
Que je sache vous n'avez parlé que d'art attaché à un objet.
Il est advenu que l'art est comme ça.
Non tu pointes plein de choses en plus.
Non. L'art est, et ni toi ni moi n'y pouvons rien.
Il y a longtemps qu'on ne parle plus de cette citation.
Ben tu te lis pas !
Or sous prétexte que l'art contemporain serait propice à, il faudrait
détruire l'art contemporain ?
C'est pas la le sujet.
Ce qui n'a aucun rapport avec la question posée.
Ça c'est un point que je t'accorde.
Que je sache vous n'avez parlé que d'art attaché à un objet.
Il est advenu que l'art est comme ça.
Non tu pointes plein de choses en plus.
Non. L'art est, et ni toi ni moi n'y pouvons rien.
Il y a longtemps qu'on ne parle plus de cette citation.
Ben tu te lis pas !
Or sous prétexte que l'art contemporain serait propice à, il faudrait
détruire l'art contemporain ?
C'est pas la le sujet.
Ce qui n'a aucun rapport avec la question posée.
Ça c'est un point que je t'accorde.
Que je sache vous n'avez parlé que d'art attaché à un objet.
Il est advenu que l'art est comme ça.
Non tu pointes plein de choses en plus.
Non. L'art est, et ni toi ni moi n'y pouvons rien.
Il y a longtemps qu'on ne parle plus de cette citation.
Ben tu te lis pas !
Or sous prétexte que l'art contemporain serait propice à, il faudrait
détruire l'art contemporain ?
C'est pas la le sujet.
Quel joli glissement sémantique.
Du doute nous en arrivons à une
certitude, (avec au passage le petit poncif sur la prétention) et à la
réafirmation que tu veux bien qu'en art il n'y ait que des opinions.
Il y a en art une vérité, de la même nature que les autres vérités
c'est à dire qu'elle peut évoluer en fonction de notre connaissance du
monde.
Maintenant revenons au début :
- pourquoi n'y aurait-il pas de vérité en art ?
Ce serait intéressant de le démontrer. Non ?
Continuons sur la fin : « nous exposons nos opinions » : parle pour
toi :) Il me semble ici que Florent essaye de construire un
raisonnement basé sur des observations. Il n'est peut-être pas
parfait, mais ça en fait autre chose qu'une opinion.
Réduire tout discours à une opinion, c'est finalement nier la
possibilité d'une réflexion, la possibilité d'un raisonnement.
Finallement dans l'impossibilité de démontrer ta position, tu en
viens à nier la possibilité d'une démonstration. Curieuse régression.
Quel joli glissement sémantique.
Du doute nous en arrivons à une
certitude, (avec au passage le petit poncif sur la prétention) et à la
réafirmation que tu veux bien qu'en art il n'y ait que des opinions.
Il y a en art une vérité, de la même nature que les autres vérités
c'est à dire qu'elle peut évoluer en fonction de notre connaissance du
monde.
Maintenant revenons au début :
- pourquoi n'y aurait-il pas de vérité en art ?
Ce serait intéressant de le démontrer. Non ?
Continuons sur la fin : « nous exposons nos opinions » : parle pour
toi :) Il me semble ici que Florent essaye de construire un
raisonnement basé sur des observations. Il n'est peut-être pas
parfait, mais ça en fait autre chose qu'une opinion.
Réduire tout discours à une opinion, c'est finalement nier la
possibilité d'une réflexion, la possibilité d'un raisonnement.
Finallement dans l'impossibilité de démontrer ta position, tu en
viens à nier la possibilité d'une démonstration. Curieuse régression.
Quel joli glissement sémantique.
Du doute nous en arrivons à une
certitude, (avec au passage le petit poncif sur la prétention) et à la
réafirmation que tu veux bien qu'en art il n'y ait que des opinions.
Il y a en art une vérité, de la même nature que les autres vérités
c'est à dire qu'elle peut évoluer en fonction de notre connaissance du
monde.
Maintenant revenons au début :
- pourquoi n'y aurait-il pas de vérité en art ?
Ce serait intéressant de le démontrer. Non ?
Continuons sur la fin : « nous exposons nos opinions » : parle pour
toi :) Il me semble ici que Florent essaye de construire un
raisonnement basé sur des observations. Il n'est peut-être pas
parfait, mais ça en fait autre chose qu'une opinion.
Réduire tout discours à une opinion, c'est finalement nier la
possibilité d'une réflexion, la possibilité d'un raisonnement.
Finallement dans l'impossibilité de démontrer ta position, tu en
viens à nier la possibilité d'une démonstration. Curieuse régression.
Graphistecom wrote:La musique classique me fait plus spontanément "remuer la tête" que la
pop. Je dois être anormal peut-être.
Je confirme :)
Graphistecom wrote:
La musique classique me fait plus spontanément "remuer la tête" que la
pop. Je dois être anormal peut-être.
Je confirme :)
Graphistecom wrote:La musique classique me fait plus spontanément "remuer la tête" que la
pop. Je dois être anormal peut-être.
Je confirme :)
Dire que la vérité en art est de la même nature que les autres vérités revient
à dire que l'art est scientifiquement démontrable, clairement défini.
- pourquoi n'y aurait-il pas de vérité en art ?
Parce que tout y est subjectif, ramené à l'appréciation et l'affect,
Ce serait intéressant de le démontrer. Non ?
Il m'a semblé constater que certains essayaient de le faire ici.
Ben non. Florent fait preuve d'érudition - peut-être plus que d'observation -
mais ses contradictions ne me semblent pas si claires que ça. Au même titre
que BBrown ou Graphiste, qui construisent également un raisonnement autrement
que sur des idées reçues.
Le tout donne des opinions, y compris la tienne.
Dire que la vérité en art est de la même nature que les autres vérités revient
à dire que l'art est scientifiquement démontrable, clairement défini.
- pourquoi n'y aurait-il pas de vérité en art ?
Parce que tout y est subjectif, ramené à l'appréciation et l'affect,
Ce serait intéressant de le démontrer. Non ?
Il m'a semblé constater que certains essayaient de le faire ici.
Ben non. Florent fait preuve d'érudition - peut-être plus que d'observation -
mais ses contradictions ne me semblent pas si claires que ça. Au même titre
que BBrown ou Graphiste, qui construisent également un raisonnement autrement
que sur des idées reçues.
Le tout donne des opinions, y compris la tienne.
Dire que la vérité en art est de la même nature que les autres vérités revient
à dire que l'art est scientifiquement démontrable, clairement défini.
- pourquoi n'y aurait-il pas de vérité en art ?
Parce que tout y est subjectif, ramené à l'appréciation et l'affect,
Ce serait intéressant de le démontrer. Non ?
Il m'a semblé constater que certains essayaient de le faire ici.
Ben non. Florent fait preuve d'érudition - peut-être plus que d'observation -
mais ses contradictions ne me semblent pas si claires que ça. Au même titre
que BBrown ou Graphiste, qui construisent également un raisonnement autrement
que sur des idées reçues.
Le tout donne des opinions, y compris la tienne.
Une "opinion", ça ne se discute pas.
Puisque tu discours un moment sur ce terme, sa valeur socratique est
péjorative, au sens où elle est ennemie de la vérité.
Y a-t-il une vérité en matière d'art ?
A la lecture du fil, notamment, j'en doute... et j'espère que
personne ici n'a la prétention de vouloir exprimer LA vérité ! Nous
exposons donc nos opinions, qu'elles soient étayées ou pas ;-)
Une "opinion", ça ne se discute pas.
Puisque tu discours un moment sur ce terme, sa valeur socratique est
péjorative, au sens où elle est ennemie de la vérité.
Y a-t-il une vérité en matière d'art ?
A la lecture du fil, notamment, j'en doute... et j'espère que
personne ici n'a la prétention de vouloir exprimer LA vérité ! Nous
exposons donc nos opinions, qu'elles soient étayées ou pas ;-)
Une "opinion", ça ne se discute pas.
Puisque tu discours un moment sur ce terme, sa valeur socratique est
péjorative, au sens où elle est ennemie de la vérité.
Y a-t-il une vérité en matière d'art ?
A la lecture du fil, notamment, j'en doute... et j'espère que
personne ici n'a la prétention de vouloir exprimer LA vérité ! Nous
exposons donc nos opinions, qu'elles soient étayées ou pas ;-)
Voilà plusieurs jours que j'essaie de te signifier qu'il n'y a ni règles
en art contemporain ni définition de l'Art qui convienne à tout le
monde.
Voilà plusieurs jours que j'essaie de te signifier qu'il n'y a ni règles
en art contemporain ni définition de l'Art qui convienne à tout le
monde.
Voilà plusieurs jours que j'essaie de te signifier qu'il n'y a ni règles
en art contemporain ni définition de l'Art qui convienne à tout le
monde.
Ma wife, aucune, non. Enfin pas plus que n'importe qui. Quand elle met le
nez dans un bouquin d'art elle ne fait *que* regarder les images et je ne
l'ai *jamais* vu lire une quelconque notice dans un musée.
Et sa théorie sur l'art se résume en gros à "il faut que ça me touche"
Ma wife, aucune, non. Enfin pas plus que n'importe qui. Quand elle met le
nez dans un bouquin d'art elle ne fait *que* regarder les images et je ne
l'ai *jamais* vu lire une quelconque notice dans un musée.
Et sa théorie sur l'art se résume en gros à "il faut que ça me touche"
Ma wife, aucune, non. Enfin pas plus que n'importe qui. Quand elle met le
nez dans un bouquin d'art elle ne fait *que* regarder les images et je ne
l'ai *jamais* vu lire une quelconque notice dans un musée.
Et sa théorie sur l'art se résume en gros à "il faut que ça me touche"