Le musicien n'était pas là quand le critique d'art c'est pointé avec sa
belle cravate jaune. On nous avait prévenu de sa visite car c'était une
pointure, les officiels était tous là, tout allait bien. Il a fait le tour
de l'expo et arrivé au bout s'est extasié devant "L'Installation". Ah ça
c'était de l'Art, ces cubes si intelligemment placés, mais qui donc est
l'auteur de ce miracle ?
J'ai d'abord cru qu'il se foutait de notre poire, qu'il n'avait pas aimé
l'expo et que même ces cubes disposés n'importe comment c'était mieux que
notre travail. Et ben non, à le voir discuter avec le directeur du lieu, il
était parfaitement sérieux.
Le musicien n'était pas là quand le critique d'art c'est pointé avec sa
belle cravate jaune. On nous avait prévenu de sa visite car c'était une
pointure, les officiels était tous là, tout allait bien. Il a fait le tour
de l'expo et arrivé au bout s'est extasié devant "L'Installation". Ah ça
c'était de l'Art, ces cubes si intelligemment placés, mais qui donc est
l'auteur de ce miracle ?
J'ai d'abord cru qu'il se foutait de notre poire, qu'il n'avait pas aimé
l'expo et que même ces cubes disposés n'importe comment c'était mieux que
notre travail. Et ben non, à le voir discuter avec le directeur du lieu, il
était parfaitement sérieux.
Le musicien n'était pas là quand le critique d'art c'est pointé avec sa
belle cravate jaune. On nous avait prévenu de sa visite car c'était une
pointure, les officiels était tous là, tout allait bien. Il a fait le tour
de l'expo et arrivé au bout s'est extasié devant "L'Installation". Ah ça
c'était de l'Art, ces cubes si intelligemment placés, mais qui donc est
l'auteur de ce miracle ?
J'ai d'abord cru qu'il se foutait de notre poire, qu'il n'avait pas aimé
l'expo et que même ces cubes disposés n'importe comment c'était mieux que
notre travail. Et ben non, à le voir discuter avec le directeur du lieu, il
était parfaitement sérieux.
....J'ai d'abord cru qu'il se foutait de notre poire, qu'il n'avait pas
aimé
l'expo et que même ces cubes disposés n'importe comment c'était mieux que
notre travail. Et ben non, à le voir discuter avec le directeur du lieu,
il
était parfaitement sérieux.
....J'ai d'abord cru qu'il se foutait de notre poire, qu'il n'avait pas
aimé
l'expo et que même ces cubes disposés n'importe comment c'était mieux que
notre travail. Et ben non, à le voir discuter avec le directeur du lieu,
il
était parfaitement sérieux.
....J'ai d'abord cru qu'il se foutait de notre poire, qu'il n'avait pas
aimé
l'expo et que même ces cubes disposés n'importe comment c'était mieux que
notre travail. Et ben non, à le voir discuter avec le directeur du lieu,
il
était parfaitement sérieux.
Besoin d'initiation pour écouter Mozart ? Non.
Oui.
Non. Tu as besoin de quelqu'un pour t'apprendre à écouter la musique
classique ? Quelle énormité !
Je ne vois pas en quoi c'est "énorme".
Si tu penses être capable de comprendre de manière profane une oeuvre
de Mozart ou de Bach, euh, tu es méga-fort, quand même.
C'est /un poil/ plus complexe qu'une chanson de Lorie, hein...
Pour apprécier une oeuvre d'art, *quelle qu'elle soit*, on peut soit
s'appuyer sur l'affect, soit sur ce que tu appelles une "initiation".
Et c'est aussi vrai pour Raphaël que pour Mirò.
Dans ce cas pourquoi affirmes-tu qu'une initiation est nécessaire pour
Mozart, Raphaël, la poésie ou la chorégraphie ?
Lis bien ma proposition, juste au dessus :
On peut *SOIT* s'appuyer sur l'affect *SOIT* sur ce que tu appelles
une "initiation"
Deux approches différentes (et eventuellement complémentaires) d'une
oeuvre, et qui restent valables que l'on parle de Malevich ou de
David, de NTM ou de Bach ...
Ce que je conteste, justement, c'est que tu distingues entre les deux
Raphaël, "facile", Mirò, "difficile".
Je ne comprends pas très bien ce qui te permet de distinguer entre les
deux, de trouver que coire qu'il faut une initiation pour apprécier la
musique de Bach est une "énormité" tandis que ce serait indispensable
pour appréhender du Reich.
Une représentation d'une femme sereine tenant en ses bras un enfant
a-t-elle besoin d'initiés pour être apprécié ?
Oui. Autant qu'une calligraphie.
Si l'on enlève la dimension kitsch de la chose, une Pietà me paraît
même un sujet eminemment plus complexe qu'un motif géométrique.
Un motif géométrique, c'est un truc tellement simple, demandant
tellement peu d'initiation que même mon chat peut être fasciné.
A contrario, résumer la Pietà de Michel-Ange à "une femme sereine
tenant en ses bras un enfant" c'est passer à côté de 98 % de l'oeuvre,
lui enlever sa dimension artistique pour la réduire à son kitsch.
A-t-on
besoin d'être initié pour apprécier les photographies de HCB ou
Doisnaud?
Carrément oui. D'ailleurs j'attends encore l'initiation qui me
permettra de les apprécier :)
1) Il y a plusieurs manières d'appréhender une oeuvre d'art, dont
certaines ne demandent absolument aucune initiation de quelque sorte
que ce soit.
2) Cela est vrai tout autant pour une oeuvre contemporaine que pour
une oeuvre classique.
J'ajouterais même que
3) C'est *précisément* le fait que nous soyons par acculturation
"initié" aux oeuvres classiques qui crée ce sentiment de plus grande
accessibilité
Pour quelqu'un élevé dans cette culture, l'art pictural
contemporain
serait beaucoup plus "évident" à appréhender qu'un tableau de
Rubens
Un Picasso ou un Dali
Je pensais à la peinture abstraite cela me paraissait aller de soi
Apparement tu conceptualises un art qui ne repose pas sur une base
culturelle mais sur une base commune à l'ensemble de l'humanité. Les
hommes ne sont pas si différents que ce que tu prétends et leur culture
ne les rends pas réfractaires à tous les arts étrangers.
Justement, c'est là que je dois mal m'exprimer puisque tu fais un
contresens là.
*Précisément* l'art "classique" (en gros, on va dire, hein, pré-XXè,
je sais c'est à la louche, y'a l'orientalisme etc etc...) est
fortement ancré dans *une* culture.
Comme tu prends la musique en argument, c'est précisement le meilleur
exemple de mon point de vue qui unie le maximum de cultures.
Je n'ai, fourbement, pas choisi la musique au hasard. Mais
précisément, parce que c'est un art codifié, structuré, ou il est très
facile justement de mettre en évidence les spécificités culturelles et
leur influence sur la perception des oeuvres.
Une mélodie
et des sonorités agréables n'ont pas de barrière de langue ou de
culture.
C'est faux, on n'utilise pas les mêmes gammes selon les cultures et il
s'ensuit que ce qui constitue d'atroces canards chez nous est
mélodieux chez les chinois.
Je ne parle pas ni ne comprends l'allemand pourtant je peux
écouter Mozart dans la langue de Goethe et y prendre plaisir.
Parce que pour toi l'allemagne et la france ce sont des cultures, des
civilisations différentes ?
- Brian Eno travaillerait-il le son sur une théorie seulement valable
pour ses seules oreilles ?
- La musique de Ligeti pourrait-elle seulement être appréciée des
initiés ?
Ben, là tu nous cite des artistes "hermétiques et incompréhensibles",
pourtant.
Tant que l'Art ne devient pas conceptuel, il peut être apprécié par tous
sans besoin d'initiation.
Ben non. Ou alors tu te contredis, parce que Eno, par exemple, est
quand même à la frange du conceptuel...
Difficilement abordable car il est trop conceptuel.
Ben je sais pas, Buren, c'est abordable, c'est même à la limite du
"purement décoratif", et pourtant c'est carrément conceptuel...
Je vois pas trop ou, comment, et au nom de quoi, tu situes cette
frontière ?
Besoin d'initiation pour écouter Mozart ? Non.
Oui.
Non. Tu as besoin de quelqu'un pour t'apprendre à écouter la musique
classique ? Quelle énormité !
Je ne vois pas en quoi c'est "énorme".
Si tu penses être capable de comprendre de manière profane une oeuvre
de Mozart ou de Bach, euh, tu es méga-fort, quand même.
C'est /un poil/ plus complexe qu'une chanson de Lorie, hein...
Pour apprécier une oeuvre d'art, *quelle qu'elle soit*, on peut soit
s'appuyer sur l'affect, soit sur ce que tu appelles une "initiation".
Et c'est aussi vrai pour Raphaël que pour Mirò.
Dans ce cas pourquoi affirmes-tu qu'une initiation est nécessaire pour
Mozart, Raphaël, la poésie ou la chorégraphie ?
Lis bien ma proposition, juste au dessus :
On peut *SOIT* s'appuyer sur l'affect *SOIT* sur ce que tu appelles
une "initiation"
Deux approches différentes (et eventuellement complémentaires) d'une
oeuvre, et qui restent valables que l'on parle de Malevich ou de
David, de NTM ou de Bach ...
Ce que je conteste, justement, c'est que tu distingues entre les deux
Raphaël, "facile", Mirò, "difficile".
Je ne comprends pas très bien ce qui te permet de distinguer entre les
deux, de trouver que coire qu'il faut une initiation pour apprécier la
musique de Bach est une "énormité" tandis que ce serait indispensable
pour appréhender du Reich.
Une représentation d'une femme sereine tenant en ses bras un enfant
a-t-elle besoin d'initiés pour être apprécié ?
Oui. Autant qu'une calligraphie.
Si l'on enlève la dimension kitsch de la chose, une Pietà me paraît
même un sujet eminemment plus complexe qu'un motif géométrique.
Un motif géométrique, c'est un truc tellement simple, demandant
tellement peu d'initiation que même mon chat peut être fasciné.
A contrario, résumer la Pietà de Michel-Ange à "une femme sereine
tenant en ses bras un enfant" c'est passer à côté de 98 % de l'oeuvre,
lui enlever sa dimension artistique pour la réduire à son kitsch.
A-t-on
besoin d'être initié pour apprécier les photographies de HCB ou
Doisnaud?
Carrément oui. D'ailleurs j'attends encore l'initiation qui me
permettra de les apprécier :)
1) Il y a plusieurs manières d'appréhender une oeuvre d'art, dont
certaines ne demandent absolument aucune initiation de quelque sorte
que ce soit.
2) Cela est vrai tout autant pour une oeuvre contemporaine que pour
une oeuvre classique.
J'ajouterais même que
3) C'est *précisément* le fait que nous soyons par acculturation
"initié" aux oeuvres classiques qui crée ce sentiment de plus grande
accessibilité
Pour quelqu'un élevé dans cette culture, l'art pictural
contemporain
serait beaucoup plus "évident" à appréhender qu'un tableau de
Rubens
Un Picasso ou un Dali
Je pensais à la peinture abstraite cela me paraissait aller de soi
Apparement tu conceptualises un art qui ne repose pas sur une base
culturelle mais sur une base commune à l'ensemble de l'humanité. Les
hommes ne sont pas si différents que ce que tu prétends et leur culture
ne les rends pas réfractaires à tous les arts étrangers.
Justement, c'est là que je dois mal m'exprimer puisque tu fais un
contresens là.
*Précisément* l'art "classique" (en gros, on va dire, hein, pré-XXè,
je sais c'est à la louche, y'a l'orientalisme etc etc...) est
fortement ancré dans *une* culture.
Comme tu prends la musique en argument, c'est précisement le meilleur
exemple de mon point de vue qui unie le maximum de cultures.
Je n'ai, fourbement, pas choisi la musique au hasard. Mais
précisément, parce que c'est un art codifié, structuré, ou il est très
facile justement de mettre en évidence les spécificités culturelles et
leur influence sur la perception des oeuvres.
Une mélodie
et des sonorités agréables n'ont pas de barrière de langue ou de
culture.
C'est faux, on n'utilise pas les mêmes gammes selon les cultures et il
s'ensuit que ce qui constitue d'atroces canards chez nous est
mélodieux chez les chinois.
Je ne parle pas ni ne comprends l'allemand pourtant je peux
écouter Mozart dans la langue de Goethe et y prendre plaisir.
Parce que pour toi l'allemagne et la france ce sont des cultures, des
civilisations différentes ?
- Brian Eno travaillerait-il le son sur une théorie seulement valable
pour ses seules oreilles ?
- La musique de Ligeti pourrait-elle seulement être appréciée des
initiés ?
Ben, là tu nous cite des artistes "hermétiques et incompréhensibles",
pourtant.
Tant que l'Art ne devient pas conceptuel, il peut être apprécié par tous
sans besoin d'initiation.
Ben non. Ou alors tu te contredis, parce que Eno, par exemple, est
quand même à la frange du conceptuel...
Difficilement abordable car il est trop conceptuel.
Ben je sais pas, Buren, c'est abordable, c'est même à la limite du
"purement décoratif", et pourtant c'est carrément conceptuel...
Je vois pas trop ou, comment, et au nom de quoi, tu situes cette
frontière ?
Besoin d'initiation pour écouter Mozart ? Non.
Oui.
Non. Tu as besoin de quelqu'un pour t'apprendre à écouter la musique
classique ? Quelle énormité !
Je ne vois pas en quoi c'est "énorme".
Si tu penses être capable de comprendre de manière profane une oeuvre
de Mozart ou de Bach, euh, tu es méga-fort, quand même.
C'est /un poil/ plus complexe qu'une chanson de Lorie, hein...
Pour apprécier une oeuvre d'art, *quelle qu'elle soit*, on peut soit
s'appuyer sur l'affect, soit sur ce que tu appelles une "initiation".
Et c'est aussi vrai pour Raphaël que pour Mirò.
Dans ce cas pourquoi affirmes-tu qu'une initiation est nécessaire pour
Mozart, Raphaël, la poésie ou la chorégraphie ?
Lis bien ma proposition, juste au dessus :
On peut *SOIT* s'appuyer sur l'affect *SOIT* sur ce que tu appelles
une "initiation"
Deux approches différentes (et eventuellement complémentaires) d'une
oeuvre, et qui restent valables que l'on parle de Malevich ou de
David, de NTM ou de Bach ...
Ce que je conteste, justement, c'est que tu distingues entre les deux
Raphaël, "facile", Mirò, "difficile".
Je ne comprends pas très bien ce qui te permet de distinguer entre les
deux, de trouver que coire qu'il faut une initiation pour apprécier la
musique de Bach est une "énormité" tandis que ce serait indispensable
pour appréhender du Reich.
Une représentation d'une femme sereine tenant en ses bras un enfant
a-t-elle besoin d'initiés pour être apprécié ?
Oui. Autant qu'une calligraphie.
Si l'on enlève la dimension kitsch de la chose, une Pietà me paraît
même un sujet eminemment plus complexe qu'un motif géométrique.
Un motif géométrique, c'est un truc tellement simple, demandant
tellement peu d'initiation que même mon chat peut être fasciné.
A contrario, résumer la Pietà de Michel-Ange à "une femme sereine
tenant en ses bras un enfant" c'est passer à côté de 98 % de l'oeuvre,
lui enlever sa dimension artistique pour la réduire à son kitsch.
A-t-on
besoin d'être initié pour apprécier les photographies de HCB ou
Doisnaud?
Carrément oui. D'ailleurs j'attends encore l'initiation qui me
permettra de les apprécier :)
1) Il y a plusieurs manières d'appréhender une oeuvre d'art, dont
certaines ne demandent absolument aucune initiation de quelque sorte
que ce soit.
2) Cela est vrai tout autant pour une oeuvre contemporaine que pour
une oeuvre classique.
J'ajouterais même que
3) C'est *précisément* le fait que nous soyons par acculturation
"initié" aux oeuvres classiques qui crée ce sentiment de plus grande
accessibilité
Pour quelqu'un élevé dans cette culture, l'art pictural
contemporain
serait beaucoup plus "évident" à appréhender qu'un tableau de
Rubens
Un Picasso ou un Dali
Je pensais à la peinture abstraite cela me paraissait aller de soi
Apparement tu conceptualises un art qui ne repose pas sur une base
culturelle mais sur une base commune à l'ensemble de l'humanité. Les
hommes ne sont pas si différents que ce que tu prétends et leur culture
ne les rends pas réfractaires à tous les arts étrangers.
Justement, c'est là que je dois mal m'exprimer puisque tu fais un
contresens là.
*Précisément* l'art "classique" (en gros, on va dire, hein, pré-XXè,
je sais c'est à la louche, y'a l'orientalisme etc etc...) est
fortement ancré dans *une* culture.
Comme tu prends la musique en argument, c'est précisement le meilleur
exemple de mon point de vue qui unie le maximum de cultures.
Je n'ai, fourbement, pas choisi la musique au hasard. Mais
précisément, parce que c'est un art codifié, structuré, ou il est très
facile justement de mettre en évidence les spécificités culturelles et
leur influence sur la perception des oeuvres.
Une mélodie
et des sonorités agréables n'ont pas de barrière de langue ou de
culture.
C'est faux, on n'utilise pas les mêmes gammes selon les cultures et il
s'ensuit que ce qui constitue d'atroces canards chez nous est
mélodieux chez les chinois.
Je ne parle pas ni ne comprends l'allemand pourtant je peux
écouter Mozart dans la langue de Goethe et y prendre plaisir.
Parce que pour toi l'allemagne et la france ce sont des cultures, des
civilisations différentes ?
- Brian Eno travaillerait-il le son sur une théorie seulement valable
pour ses seules oreilles ?
- La musique de Ligeti pourrait-elle seulement être appréciée des
initiés ?
Ben, là tu nous cite des artistes "hermétiques et incompréhensibles",
pourtant.
Tant que l'Art ne devient pas conceptuel, il peut être apprécié par tous
sans besoin d'initiation.
Ben non. Ou alors tu te contredis, parce que Eno, par exemple, est
quand même à la frange du conceptuel...
Difficilement abordable car il est trop conceptuel.
Ben je sais pas, Buren, c'est abordable, c'est même à la limite du
"purement décoratif", et pourtant c'est carrément conceptuel...
Je vois pas trop ou, comment, et au nom de quoi, tu situes cette
frontière ?
Florent Pessaud wrote:
artistes ne s'appréhendent pas de la même façon. Celles de Mirò sont
tout de même moins adaptées pour éveiller un quelconque plaisir
spontané.
Florent Pessaud <florentpessaud@hotmail.com> wrote:
artistes ne s'appréhendent pas de la même façon. Celles de Mirò sont
tout de même moins adaptées pour éveiller un quelconque plaisir
spontané.
Florent Pessaud wrote:
artistes ne s'appréhendent pas de la même façon. Celles de Mirò sont
tout de même moins adaptées pour éveiller un quelconque plaisir
spontané.
Moi de ce que je constate de mes arpentages de Musées et d'autre c'est
que je vois beaucoup de gens ne pas non plus s'émouvoir devant des
oeuvres plus anciennes.
Enfin j'attend toujours mon initiation à la danse classique.
Mauvais foi tu dis un peu plus loin ? Le souvent est de trop ici désolé.
Non. Tout le monde ne s'appelle pas Goya.
Surtout depuis qu'il peut faire des photos.
Moi de ce que je constate de mes arpentages de Musées et d'autre c'est
que je vois beaucoup de gens ne pas non plus s'émouvoir devant des
oeuvres plus anciennes.
Enfin j'attend toujours mon initiation à la danse classique.
Mauvais foi tu dis un peu plus loin ? Le souvent est de trop ici désolé.
Non. Tout le monde ne s'appelle pas Goya.
Surtout depuis qu'il peut faire des photos.
Moi de ce que je constate de mes arpentages de Musées et d'autre c'est
que je vois beaucoup de gens ne pas non plus s'émouvoir devant des
oeuvres plus anciennes.
Enfin j'attend toujours mon initiation à la danse classique.
Mauvais foi tu dis un peu plus loin ? Le souvent est de trop ici désolé.
Non. Tout le monde ne s'appelle pas Goya.
Surtout depuis qu'il peut faire des photos.
Il y a bien longtemps, un critique d'art m'avait dit : "Je peux pondre
vingt pages à propos d'un point noir sur une toile blanche, mais que
voulez-vous que j'écrive à propos d'un Vermeer [...]
Il y a bien longtemps, un critique d'art m'avait dit : "Je peux pondre
vingt pages à propos d'un point noir sur une toile blanche, mais que
voulez-vous que j'écrive à propos d'un Vermeer [...]
Il y a bien longtemps, un critique d'art m'avait dit : "Je peux pondre
vingt pages à propos d'un point noir sur une toile blanche, mais que
voulez-vous que j'écrive à propos d'un Vermeer [...]
J'en ai donc terminé pour ce thread.
J'en ai donc terminé pour ce thread.
J'en ai donc terminé pour ce thread.
Moi de ce que je constate de mes arpentages de Musées et d'autre c'est
que je vois beaucoup de gens ne pas non plus s'émouvoir devant des
oeuvres plus anciennes.
C'est vrai. Mais il doit y avoir là un double phénomène de lassitude et
d'éloignement des références du passé
(les impressionnistes ont oeuvré il y a deux siècles !) ;
Non 150 ans. T'as la mémoire qui flanche
au même titre qu'un vieux film N&B qui n'intéresse plus
grand monde, pour établir un parallèle avec le cinoche. La colorisation des
"Tontons Flingueurs" notamment, est un signe des temps.
Enfin j'attend toujours mon initiation à la danse classique.
Comme je l'ai dit je me suis cantonné, dans l'intervention à laquelle tu
réponds, aux Arts Plastiques. Je n'ai aucune opinion sur la danse.Mauvais foi tu dis un peu plus loin ? Le souvent est de trop ici désolé.
Non, puisque j'essayais de parler d'autre chose que de l'art conceptuel (ou là
c'est effectivement systématique).
Non. Tout le monde ne s'appelle pas Goya.
Et pourtant, j'ai comme l'impression qu'il y en a beaucoup plus aujourd'hui
On se rend compte que ce qui fait qu'un objet est une oeuvre d'art ne repose
absolument pas sur ses caractéristiques physiques." ce type de point de vue
(dont je ne connais pas la portée dans les "milieux autorisés" (et que je
conteste)) associé aux vecteurs de communication bien plus ouverts qu'à
l'époque de l'artiste que tu cites, ouvre les portes à une myriades de petits
Goya, heureux de s'engouffrer dans une forme artistique versatile, aidés par
Probablement. Mais aussi depuis qu'il peut pondre une toile blanche, brut de
Moi de ce que je constate de mes arpentages de Musées et d'autre c'est
que je vois beaucoup de gens ne pas non plus s'émouvoir devant des
oeuvres plus anciennes.
C'est vrai. Mais il doit y avoir là un double phénomène de lassitude et
d'éloignement des références du passé
(les impressionnistes ont oeuvré il y a deux siècles !) ;
Non 150 ans. T'as la mémoire qui flanche
au même titre qu'un vieux film N&B qui n'intéresse plus
grand monde, pour établir un parallèle avec le cinoche. La colorisation des
"Tontons Flingueurs" notamment, est un signe des temps.
Enfin j'attend toujours mon initiation à la danse classique.
Comme je l'ai dit je me suis cantonné, dans l'intervention à laquelle tu
réponds, aux Arts Plastiques. Je n'ai aucune opinion sur la danse.
Mauvais foi tu dis un peu plus loin ? Le souvent est de trop ici désolé.
Non, puisque j'essayais de parler d'autre chose que de l'art conceptuel (ou là
c'est effectivement systématique).
Non. Tout le monde ne s'appelle pas Goya.
Et pourtant, j'ai comme l'impression qu'il y en a beaucoup plus aujourd'hui
On se rend compte que ce qui fait qu'un objet est une oeuvre d'art ne repose
absolument pas sur ses caractéristiques physiques." ce type de point de vue
(dont je ne connais pas la portée dans les "milieux autorisés" (et que je
conteste)) associé aux vecteurs de communication bien plus ouverts qu'à
l'époque de l'artiste que tu cites, ouvre les portes à une myriades de petits
Goya, heureux de s'engouffrer dans une forme artistique versatile, aidés par
Probablement. Mais aussi depuis qu'il peut pondre une toile blanche, brut de
Moi de ce que je constate de mes arpentages de Musées et d'autre c'est
que je vois beaucoup de gens ne pas non plus s'émouvoir devant des
oeuvres plus anciennes.
C'est vrai. Mais il doit y avoir là un double phénomène de lassitude et
d'éloignement des références du passé
(les impressionnistes ont oeuvré il y a deux siècles !) ;
Non 150 ans. T'as la mémoire qui flanche
au même titre qu'un vieux film N&B qui n'intéresse plus
grand monde, pour établir un parallèle avec le cinoche. La colorisation des
"Tontons Flingueurs" notamment, est un signe des temps.
Enfin j'attend toujours mon initiation à la danse classique.
Comme je l'ai dit je me suis cantonné, dans l'intervention à laquelle tu
réponds, aux Arts Plastiques. Je n'ai aucune opinion sur la danse.Mauvais foi tu dis un peu plus loin ? Le souvent est de trop ici désolé.
Non, puisque j'essayais de parler d'autre chose que de l'art conceptuel (ou là
c'est effectivement systématique).
Non. Tout le monde ne s'appelle pas Goya.
Et pourtant, j'ai comme l'impression qu'il y en a beaucoup plus aujourd'hui
On se rend compte que ce qui fait qu'un objet est une oeuvre d'art ne repose
absolument pas sur ses caractéristiques physiques." ce type de point de vue
(dont je ne connais pas la portée dans les "milieux autorisés" (et que je
conteste)) associé aux vecteurs de communication bien plus ouverts qu'à
l'époque de l'artiste que tu cites, ouvre les portes à une myriades de petits
Goya, heureux de s'engouffrer dans une forme artistique versatile, aidés par
Probablement. Mais aussi depuis qu'il peut pondre une toile blanche, brut de
Il y a bien longtemps, un critique d'art m'avait dit : "Je peux pondre
vingt pages à propos d'un point noir sur une toile blanche, mais que
voulez-vous que j'écrive à propos d'un Vermeer [...]
Savoir maîtriser une rhétorique - et si possible pouvoir la pratiquer - pour
mystifier le lecteur, tel est le but de ce genre de zozo (je reste poli). Bon,
Il y a bien longtemps, un critique d'art m'avait dit : "Je peux pondre
vingt pages à propos d'un point noir sur une toile blanche, mais que
voulez-vous que j'écrive à propos d'un Vermeer [...]
Savoir maîtriser une rhétorique - et si possible pouvoir la pratiquer - pour
mystifier le lecteur, tel est le but de ce genre de zozo (je reste poli). Bon,
Il y a bien longtemps, un critique d'art m'avait dit : "Je peux pondre
vingt pages à propos d'un point noir sur une toile blanche, mais que
voulez-vous que j'écrive à propos d'un Vermeer [...]
Savoir maîtriser une rhétorique - et si possible pouvoir la pratiquer - pour
mystifier le lecteur, tel est le but de ce genre de zozo (je reste poli). Bon,
Probablement. Mais aussi depuis qu'il peut pondre une toile blanche, brut de
Probablement. Mais aussi depuis qu'il peut pondre une toile blanche, brut de
Probablement. Mais aussi depuis qu'il peut pondre une toile blanche, brut de