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four trees in the wind

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Ricco
Salut,
une fois n'est pas coutume, une image,
http://cjoint.com/?DGnlgGpyxZP

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ricco
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Ce courrier électronique ne contient aucun virus ou logiciel malveillant parce que la protection avast! Antivirus est active.
http://www.avast.com

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jdanield
Le 15/07/2014 09:55, Ricco a écrit :

c'est normal, quand on a à gérer des boites de petits pois et qu'on veut faire
de la photo, forcément...



j'ai un peu de mal à comprendre tes raisonnements, parfois.

j'ai connu trois genres de photographes (en magasin):

* celui qui fait essentiellement des photos. Il vendait aussi des films mais
ne faisait pas les développements, il les transmettait à un labo. En fait
c'était souvent un apprenti ou la secrétaire qui faisait ca, à la va comme je
te pousse, avec des films perdus... ceux qui ouvraient les pochettes avant de
les donner au client étaient rares, mais avec ceux là je n'ai jamais eu de
problème. Malheureusement les meilleurs faisaient souvent faillite, même bien
avant le numérique, faute surement de pouvoir faire payer la qualité du service.

* les labos pros avec comptoir de dépôt. Jamais de problème et service au top.
Pas si chers... mais souvent à des kilomètres de chez toi, ou en centre ville
dans des coins ou stationner est une gageüre, jamais de problème avec eux non
plus. j'ai l'impression que tu as surtout connu ca.

* les labos avec leur propre tireuse, pas que Kiss (qui n'était pas le pire).
C'était la loterie. Tirage rapide souvent pas mal car le client pouvait raler
facilement (il reprenait les photos à celui qui l'avait recu au départ), mais
souvent photos délavées, employés qui changent toutes les semaines...

Le plus désagréable, ca a été au début du numérique, il y a une dizaine
d'années, le photographe du coin qui ne comprenait rien à sa tireuse
numérique. Incapable de te donner sur cd les scans parce qu'il ne savait pas
ce que c'était qu'un fichier... heureusement la tireuse travaillait bien
(j'étais à coté de lui pendant le tirage). C'était désagréable car il était
gentil et serviable, juste pas formé aux nouvelles technologies.

jdd
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Ricco
jdanield avait énoncé :
Le 15/07/2014 09:55, Ricco a écrit :

c'est normal, quand on a à gérer des boites de petits pois et qu'on veut
faire
de la photo, forcément...



j'ai un peu de mal à comprendre tes raisonnements, parfois.



c'est pourtant clair ?

j'ai connu trois genres de photographes (en magasin):

* celui qui fait essentiellement des photos. Il vendait aussi des films mais
ne faisait pas les développements, il les transmettait à un labo. En fait
c'était souvent un apprenti ou la secrétaire qui faisait ca, à la va comme je
te pousse, avec des films perdus... ceux qui ouvraient les pochettes avant de
les donner au client étaient rares, mais avec ceux là je n'ai jamais eu de
problème. Malheureusement les meilleurs faisaient souvent faillite, même bien
avant le numérique, faute surement de pouvoir faire payer la qualité du
service.



on appellait ça des " boites à lettres "

* les labos pros avec comptoir de dépôt. Jamais de problème et service au
top. Pas si chers... mais souvent à des kilomètres de chez toi, ou en centre
ville dans des coins ou stationner est une gageüre, jamais de problème avec
eux non plus. j'ai l'impression que tu as surtout connu ca.



j'ai connu la labo pro, le labo de façonnage, peu de temps, mais c'est
intéressant, et le labo perso, avec un mini lab, mais un agran couleur
4 x 5 "une développeuse Jobo AT 3 une grosse avec laquelle je faisais
l'E6 et ne N&B

* les labos avec leur propre tireuse, pas que Kiss (qui n'était pas le pire).
C'était la loterie. Tirage rapide souvent pas mal car le client pouvait raler
facilement (il reprenait les photos à celui qui l'avait recu au départ), mais
souvent photos délavées, employés qui changent toutes les semaines...



oui, j'ai connu ça autour de moi

Le plus désagréable, ca a été au début du numérique, il y a une dizaine
d'années, le photographe du coin qui ne comprenait rien à sa tireuse
numérique. Incapable de te donner sur cd les scans parce qu'il ne savait pas
ce que c'était qu'un fichier... heureusement la tireuse travaillait bien
(j'étais à coté de lui pendant le tirage). C'était désagréable car il était
gentil et serviable, juste pas formé aux nouvelles technologies.



ce n'était pourtant pas bien difficile avec les Frontier, mais passer
d'épicier à tirage numérique, c'est pas facile
ensuite, moi, je ne recevais plus le clients, je travaillais en sous
traitance N&B E6, agrandissement, et développement N&B manuel à 20 °
mais ici j'en parlais à l'époque, je me prenais des histoires de Fnac
et de labo de façonnage, j'ai coulé avec tous mes clients, forcément

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ricco
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