Twitter iPhone pliant OnePlus 11 PS5 Disney+ Orange Livebox Windows 11

Freeze

93 réponses
Avatar
Stephane Legras-Decussy
Avranchin au matin ...

http://www.cjoint.com/doc/17_02/GBkj6vq5wap_DSCN4626.JPG

qui veut une bonne tasse de café bien chaud ?

(écran bien réglé nécessaire)

10 réponses

Avatar
René S
"GhostRaider" a écrit dans le message de groupe de discussion :
o7s71n$p20$
Le 13/02/2017 à 12:40, René S a écrit :
Je pense :
https://www.amazon.fr/gp/offer-listing/0440189993/ref=tmm_pap_used_olp_sr?ie=UTF8&condition=used&qid=&sr >C'est un des rares livres que j'emmènerais avec moi sur une île déserte.

Merci
Avatar
Nul
Le vendredi 10 février 2017 11:35:15 UTC+1, Nul a écrit :
Le vendredi 10 février 2017 11:10:15 UTC+1, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Avranchin au matin ...
http://www.cjoint.com/doc/17_02/GBkj6vq5wap_DSCN4626.JPG
qui veut une bonne tasse de café bien chaud ?
(écran bien réglé nécessaire)

;-)
http://www.cjoint.com/data3/GBkkILajxEw_-11-15-11-103915b.jpg

ou, sans jeu de mot ;-) :
http://www.cjoint.com/data3/GBnpzVWC8gw_Freezeb.jpg
Avatar
albert
"Charles Vassallo" a écrit :
Il ne s'agit pas de tout rendre parfait, mais de maîtriser ses images.
L'émotion qu'elles suscitent doit naitre du contenu objectif de l'image et
non pas de l'idée qu'on s'en fait. Dans ton image initiale, je ne vois pas
l'éblouissement d'un contrejour avec le soleil plein pot, je ne vois qu'un
ciel blanc et un flare qui amoche tout le premier plan.

Bonjour Charles,
Je vois à peu près ce que tu veux dire mais permets moi de raisonner
autrement. Maîtriser une image une fois qu'elle est faite, d'accord. On doit
faire ressortir le contenu objectif de l'image. Mais on peut aussi maîtriser
l'image que l'on veut faire, dès la prise de vue. La prise de vue est
absolument essentielle. Tout le travail se fait en amont, à la prise de vue.
Pour un chasseur d'image il y a le hasard, pour un photographe il y a le
métier. Un chasseur d'image peut être un très bon photographe si il avantage
le métier sur le hasard. Le hasard ensuite peut faire partie de l'image,
mais c'est d'abord l'idée qu'on se fait de l'image qui est importante, quand
on crèe cette idée. Je redonne encore l'exemple de ce chasseur d'image
qu'est Jean Luc Mylène. Lui, il a transcendé le hasard grâce à son idée, et
quand il photographie l'oiseau, c'est vraiment l'oiseau qu'il photographie.
Voir les liens sur ce grand photographe :
Un texte qui raconte un peu son histoire avec les oiseaux. Il choisit le
cadre et parfois attend un mois avant de déclencher quand l'oiseau a décidé
de venir prendre la pose :
http://www.telerama.fr/scenes/saisi-au-vol,44140.php
Un autre lien qui montre les photographies :
http://www.gladstonegallery.com/artist/jean-luc-mylayne/work/fullscreen#&panel1-1
Amitiés,
albert
Avatar
albert
Excuse moi Charles, j'avais mal compris, il faut maîtriser l'image dès
la prise de vue, c'est ce que tu dis en fait. Donc cela rejoint ce que je
dis aussi. Quand tu as un gros flare au résultat c'est loupé, point. En
amont, finalement chacun fait ce qu'il veut, avec sa personnalité, du moment
qu'il sait qu'il faut éviter le flare, ou se donner les moyens de le
maîtriser, à la prise de vue. Pour ma part, le seul moyen que je connais,
c'est de faire plusieurs prises de vue de la zone (celles avec le soleil
dans la gueule, on s'est bien compris), légèrement décalées, pour déplacer
le flare et les polygones violets ou verts, afin de ne garder dans la
synthèse que le bon. Mais bon, ca s'est de la photographie par assemblage,
je ne saurais vous dire à quel point c'est riche de possibilités. Pour une
photographie unique, il vaut mieux penser à faire autre chose. Quand il
reste des traces de flare dans mes assemblages, je galère à la retouche,
c'est compliqué, je m'en passerais volontiers.
albert
Avatar
Alf92
albert a formulé :
Je vois à peu près ce que tu veux dire mais permets moi de raisonner
autrement. Maîtriser une image une fois qu'elle est faite, d'accord. On doit
faire ressortir le contenu objectif de l'image. Mais on peut aussi maîtriser
l'image que l'on veut faire, dès la prise de vue. La prise de vue est
absolument essentielle. Tout le travail se fait en amont, à la prise de vue.
Pour un chasseur d'image il y a le hasard, pour un photographe il y a le
métier. Un chasseur d'image peut être un très bon photographe si il avantage
le métier sur le hasard. Le hasard ensuite peut faire partie de l'image,
mais c'est d'abord l'idée qu'on se fait de l'image qui est importante, quand
on crèe cette idée. Je redonne encore l'exemple de ce chasseur d'image
qu'est Jean Luc Mylène. Lui, il a transcendé le hasard grâce à son idée, et
quand il photographie l'oiseau, c'est vraiment l'oiseau qu'il photographie.
Voir les liens sur ce grand photographe :
(...)

j'ai bcp de plaisir à te lire, mais j'en aurais en core plus si tu
cochais la case 80 carcatères de large :-)
Avatar
Charles Vassallo
albert a écrit :
Excuse moi Charles, j'avais mal compris, il faut maîtriser l'image
dès la prise de vue, c'est ce que tu dis en fait. Donc cela rejoint ce
que je dis aussi. Quand tu as un gros flare au résultat c'est loupé,
point. En amont, finalement chacun fait ce qu'il veut, avec sa
personnalité, du moment qu'il sait qu'il faut éviter le flare, ou se
donner les moyens de le maîtriser, à la prise de vue. Pour ma part, le
seul moyen que je connais, c'est de faire plusieurs prises de vue de
la zone (celles avec le soleil dans la gueule, on s'est bien compris),
légèrement décalées, pour déplacer le flare et les polygones violets
ou verts, afin de ne garder dans la synthèse que le bon. Mais bon,
ça s'est de la photographie par assemblage, je ne saurais vous dire
à quel point c'est riche de possibilités. Pour une photographie
unique, il vaut mieux penser à faire autre chose. Quand il reste des
traces de flare dans mes assemblages, je galère à la retouche, c'est
compliqué, je m'en passerais volontiers.

Nous sommes tout à fait d'accord.
Si j'ai bien compris, tes panos incluaient des superpositions (quasi)
complètes dans les zones délicates, à la grâce de autopano. Ça lève un
coin du mystère sur la qualité de lumière de tes assemblages -- je
redonne le lien pour le plaisir
http://photo.imaginaire.free.fr/panoramique/paysage-indifferent_04.htm
charles
Avatar
Charles Vassallo
albert a écrit :
....c'est d'abord l'idée qu'on se fait de
l'image qui est importante, quand on crée cette idée. Je redonne
encore l'exemple de ce chasseur d'image qu'est Jean Luc Mylène.
Lui, il a transcendé le hasard grâce à son idée, et quand il
photographie l'oiseau, c'est vraiment l'oiseau qu'il photographie.
Voir les liens sur ce grand photographe :
(i) Un texte qui raconte un peu son histoire avec les oiseaux: il
choisit le cadre et parfois attend un mois avant de déclencher
quand l'oiseau a décidé de venir prendre la pose :
http://www.telerama.fr/scenes/saisi-au-vol,44140.php
(ii) Un autre lien qui montre les photographies :
http://www.gladstonegallery.com/artist/jean-luc-mylayne/work/fullscreen#&panel1-1

Je ne partage pas ton enthousiasme. Ce n'est pas un chasseur d'images
d'oiseaux, mais un créateur d'images bâties autour d'un oiseau, et il
s'intéresse beaucoup moins à l'oiseau lui-même (généralement trop flou
ou trop petit) qu'à la relation entre cet oiseau et la scène, trop
souvent vue dans un prisme d'art conceptuel. Bref, un artiste
contemporain, pas un photographe, quoi qu'écrive le thuriféraire de
Télérama.
charles
Avatar
Stephane Legras-Decussy
Le 14/02/2017 10:34, Charles Vassallo a écrit :
Bref, un artiste
contemporain, pas un photographe,

joli
celle là je la garde pour le prochain vernissage où je vais, ça
va mettre un beau bordel... :-D
Avatar
GhostRaider
Le 13/02/2017 à 22:10, albert a écrit :
Je vois à peu près ce que tu veux dire mais permets moi de raisonner
autrement. Maîtriser une image une fois qu'elle est faite, d'accord. On
doit faire ressortir le contenu objectif de l'image. Mais on peut aussi
maîtriser l'image que l'on veut faire, dès la prise de vue. La prise de
vue est absolument essentielle. Tout le travail se fait en amont, à la
prise de vue. Pour un chasseur d'image il y a le hasard, pour un
photographe il y a le métier. Un chasseur d'image peut être un très bon
photographe si il avantage le métier sur le hasard. Le hasard ensuite
peut faire partie de l'image, mais c'est d'abord l'idée qu'on se fait de
l'image qui est importante, quand on crèe cette idée. Je redonne encore
l'exemple de ce chasseur d'image qu'est Jean Luc Mylène. Lui, il a
transcendé le hasard grâce à son idée, et quand il photographie
l'oiseau, c'est vraiment l'oiseau qu'il photographie. Voir les liens sur
ce grand photographe :
Un texte qui raconte un peu son histoire avec les oiseaux. Il choisit
le cadre et parfois attend un mois avant de déclencher quand l'oiseau a
décidé de venir prendre la pose :
http://www.telerama.fr/scenes/saisi-au-vol,44140.php
Un autre lien qui montre les photographies :
http://www.gladstonegallery.com/artist/jean-luc-mylayne/work/fullscreen#&panel1-1

Au risque de te décevoir, je vois dans cet article de Télérama tous les
poncifs dont ils sont coutumiers, faux intellectuels vaguement nourris
de post-modernisme.
L'artiste misanthrope n'utilise pas un téléobjectif, non, bien sûr, il
fabrique lui-même ses objectifs à flou pour sa "chambre" Hasselblad, il
attend des mois pour prendre UNE photo quand l'oiseau, dont il a repéré
la "forte personnalité" et avec lequel il a réussi, à force de patience,
à établir une étroite mais fragile relation de confiance
(anthropomorphisme, quand tu nous tiens !) lui accorde une seconde (mais
pas plus) la joie d'appuyer sur le déclencheur quand tous les éléments
du chef d'oeuvre se trouvent miraculeusement réunis.
Un jardinier hurlerait de rire, n'importe quel rouge-gorge vient manger
dans la main, n'importe quelle mésange charbonnière ou nonnette ou
moineau est approchable à moins d'un mètre sans y mettre des mois et je
ne parle pas des tourterelles des prestidigitateurs ni des pigeons des
squares.
Et le délire continue : au terme de trente ans de "travail acharné"
(pourtant il passe son temps à ne rien faire à part regarder les
oiseaux), il n'a réalisé que 400 "tableaux" devant lesquels il faut bien
sûr s'extasier.
Mais en petit format, on reste stupéfait : la plupart des photos
seraient jugées inacceptables techniquement parlant : floues, mal
cadrées, surexposées, sous-exposées, sujet minuscule (voire absent) posé
là par hasard et ne donnant d'ailleurs aucun indice de la supposée
confiance qu'il accorde au photographe, voire même coupé en deux par le
cadre.
http://www.gladstonegallery.com/artist/jean-luc-mylayne/work/fullscreen#&panel1-13
Avatar
Stephane Legras-Decussy
Le 14/02/2017 12:35, GhostRaider a écrit :
bon ok il y a le style télérama, le 'travail acharné' des artistes qui
branlent objectivement rien, c'est toujours rigolo.
mais ces photos ne sont pas documentaire ornitho, et si le monsieur ne
veut pas toucher à un ordi et veux une PDC minuscule, il faut une chambre.
j'ai vu tellement pire comme photo exposées dans des endroits
prestigieux...
tiens en ce moment chez moi :
http://www.muma-lehavre.fr/sites/default/files/thumbnails/image/bd_03_sans-cadre_panorama-du-port-du-havre-matin-carte-des-vents.jpg
une photo comme n'importe quel touriste en fait sur le port sur laquelle
elle a recopié des petites fléches d'une carte météo.
cette merde est exposée à côté des Monet, Dufy et Degas... sans déconner...