On Wed, 26 Aug 2009 15:42:33 +0200, "Zeldus" wrote:Et si l'avenir de la radio passait plutot par là que par la RNT ?
Le problème c'est une question d'argent.
Combien coûte l'utilisation (après achat) d'un récepteur analogique ou RNT
en
terme d'abonnement, forfait, etc... Et bien rien.
On Wed, 26 Aug 2009 15:42:33 +0200, "Zeldus" <no@email.com> wrote:
Et si l'avenir de la radio passait plutot par là que par la RNT ?
Le problème c'est une question d'argent.
Combien coûte l'utilisation (après achat) d'un récepteur analogique ou RNT
en
terme d'abonnement, forfait, etc... Et bien rien.
On Wed, 26 Aug 2009 15:42:33 +0200, "Zeldus" wrote:Et si l'avenir de la radio passait plutot par là que par la RNT ?
Le problème c'est une question d'argent.
Combien coûte l'utilisation (après achat) d'un récepteur analogique ou RNT
en
terme d'abonnement, forfait, etc... Et bien rien.
Pourquoi vouloir opposer RNT et Smartphones/PDA ?
Les gens n'ont pas tous les mêmes usages de la technologie, et pour
une même personne, les usages peuvent varier en fonction de l'heure ou
du lieu où elle se trouve.
Les jeunes qui ont un budget limité préfèrent avoir un appareil qui en
fait le maximum, même si au final c'est un mauvais téléphone, un
mauvais appareil photo, une mauvaise caméra vidéo et un mauvais
lecteur multimédia. Un automobiliste ne trouvera pas forcément
pratique d'avoir le GPS intégré dans son téléphone. Quelqu'un qui
écoute la radio dans sa cuisine n'a pas forcément envie d'avoir un
casque relié à un téléphone portable. A l'inverse, quelqu'un qui veut
"voyager léger" appréciera d'avoir tout dans un petit appareil
compact.
- Aucune radio ne souhaite devenir dépendante des caprices (et
ententes) des 3 opérateurs de téléphonie mobile en matière de filtrage
des contenus ou de coûts de bande passante. L'existence de plusieurs
supports de diffusion constitue une sécurité contre les éventuelles
volontés de ces opérateurs de favoriser certains éditeurs de
contenus.
- Le modèle "broadcast" permet de s'affranchir du nombre d'auditeurs.
Ce n'est pas le cas du streaming. Le multicast permettrait de résoudre
en grande partie ce problème, mais il n'est pas forcément dans
l'intérêt des FAI ou des grossistes de rendre ce genre de chose
possible (ou plus exactement, il n'est pas de leur intérêt que leurs
clients - coté serveurs de stream - puissent en profiter).
Aujourd'hui, le streaming coûte cher aux radios.
- Le modèle économique d'un marché illimité est pour le moins
incertain. Le broadcast hertzien, de part la limitation de l'offre,
permet pour l'instant à de nombreuses radios de conserver des parts de
marchés significatives. Un morcellement à l'extrême de l'offre, tel
que l'on peut l'observer chez les webradios, rend celles-ci fragiles
par manque de modèle économique pérenne, et les empêche de disposer de
ressources permettant la création de contenus (autre que des robinets
à musique) sur du long terme (le service publique serait alors le seul
modèle envisageable).
Pourquoi vouloir opposer RNT et Smartphones/PDA ?
Les gens n'ont pas tous les mêmes usages de la technologie, et pour
une même personne, les usages peuvent varier en fonction de l'heure ou
du lieu où elle se trouve.
Les jeunes qui ont un budget limité préfèrent avoir un appareil qui en
fait le maximum, même si au final c'est un mauvais téléphone, un
mauvais appareil photo, une mauvaise caméra vidéo et un mauvais
lecteur multimédia. Un automobiliste ne trouvera pas forcément
pratique d'avoir le GPS intégré dans son téléphone. Quelqu'un qui
écoute la radio dans sa cuisine n'a pas forcément envie d'avoir un
casque relié à un téléphone portable. A l'inverse, quelqu'un qui veut
"voyager léger" appréciera d'avoir tout dans un petit appareil
compact.
- Aucune radio ne souhaite devenir dépendante des caprices (et
ententes) des 3 opérateurs de téléphonie mobile en matière de filtrage
des contenus ou de coûts de bande passante. L'existence de plusieurs
supports de diffusion constitue une sécurité contre les éventuelles
volontés de ces opérateurs de favoriser certains éditeurs de
contenus.
- Le modèle "broadcast" permet de s'affranchir du nombre d'auditeurs.
Ce n'est pas le cas du streaming. Le multicast permettrait de résoudre
en grande partie ce problème, mais il n'est pas forcément dans
l'intérêt des FAI ou des grossistes de rendre ce genre de chose
possible (ou plus exactement, il n'est pas de leur intérêt que leurs
clients - coté serveurs de stream - puissent en profiter).
Aujourd'hui, le streaming coûte cher aux radios.
- Le modèle économique d'un marché illimité est pour le moins
incertain. Le broadcast hertzien, de part la limitation de l'offre,
permet pour l'instant à de nombreuses radios de conserver des parts de
marchés significatives. Un morcellement à l'extrême de l'offre, tel
que l'on peut l'observer chez les webradios, rend celles-ci fragiles
par manque de modèle économique pérenne, et les empêche de disposer de
ressources permettant la création de contenus (autre que des robinets
à musique) sur du long terme (le service publique serait alors le seul
modèle envisageable).
Pourquoi vouloir opposer RNT et Smartphones/PDA ?
Les gens n'ont pas tous les mêmes usages de la technologie, et pour
une même personne, les usages peuvent varier en fonction de l'heure ou
du lieu où elle se trouve.
Les jeunes qui ont un budget limité préfèrent avoir un appareil qui en
fait le maximum, même si au final c'est un mauvais téléphone, un
mauvais appareil photo, une mauvaise caméra vidéo et un mauvais
lecteur multimédia. Un automobiliste ne trouvera pas forcément
pratique d'avoir le GPS intégré dans son téléphone. Quelqu'un qui
écoute la radio dans sa cuisine n'a pas forcément envie d'avoir un
casque relié à un téléphone portable. A l'inverse, quelqu'un qui veut
"voyager léger" appréciera d'avoir tout dans un petit appareil
compact.
- Aucune radio ne souhaite devenir dépendante des caprices (et
ententes) des 3 opérateurs de téléphonie mobile en matière de filtrage
des contenus ou de coûts de bande passante. L'existence de plusieurs
supports de diffusion constitue une sécurité contre les éventuelles
volontés de ces opérateurs de favoriser certains éditeurs de
contenus.
- Le modèle "broadcast" permet de s'affranchir du nombre d'auditeurs.
Ce n'est pas le cas du streaming. Le multicast permettrait de résoudre
en grande partie ce problème, mais il n'est pas forcément dans
l'intérêt des FAI ou des grossistes de rendre ce genre de chose
possible (ou plus exactement, il n'est pas de leur intérêt que leurs
clients - coté serveurs de stream - puissent en profiter).
Aujourd'hui, le streaming coûte cher aux radios.
- Le modèle économique d'un marché illimité est pour le moins
incertain. Le broadcast hertzien, de part la limitation de l'offre,
permet pour l'instant à de nombreuses radios de conserver des parts de
marchés significatives. Un morcellement à l'extrême de l'offre, tel
que l'on peut l'observer chez les webradios, rend celles-ci fragiles
par manque de modèle économique pérenne, et les empêche de disposer de
ressources permettant la création de contenus (autre que des robinets
à musique) sur du long terme (le service publique serait alors le seul
modèle envisageable).
J'ai comme l'impression que les décideurs ne savent pas comment les gens
écoutent la radio !
Les auditeurs qui écoutent la radio en prenant leur douche, ceux qui se
rasent ou se lavent les dents en écoutants les nouvelles matinales...
auront du mal avec le casque de leur téléphone sur la tête !
Les ouvriers qui écoutent la radio à leur poste de travail... si leur
maîtrise tolère le transistor en sourdine ne sera peut être pas prête a
accepter un salarié travaillant avec le casque du téléphone sur la tête...
Le café, le salon de coiffure qui met la radio en fond sonore... va mettre
des écouteurs à disposition des clients ?
A mon humble avis, la radio (sans écran !) n'est pas prête de disparaître
et une grande part de l'auditoire se fout complètement des plus apporter
par la TNT... conduire, travailler, se raser, prendre une douche; ont peut
le faire en écoutant la radio... pas en regardant un écran. Je me demande
qu'elle intérêt peut avoir la T-DMB sur un autoradio ?
Daniel
J'ai comme l'impression que les décideurs ne savent pas comment les gens
écoutent la radio !
Les auditeurs qui écoutent la radio en prenant leur douche, ceux qui se
rasent ou se lavent les dents en écoutants les nouvelles matinales...
auront du mal avec le casque de leur téléphone sur la tête !
Les ouvriers qui écoutent la radio à leur poste de travail... si leur
maîtrise tolère le transistor en sourdine ne sera peut être pas prête a
accepter un salarié travaillant avec le casque du téléphone sur la tête...
Le café, le salon de coiffure qui met la radio en fond sonore... va mettre
des écouteurs à disposition des clients ?
A mon humble avis, la radio (sans écran !) n'est pas prête de disparaître
et une grande part de l'auditoire se fout complètement des plus apporter
par la TNT... conduire, travailler, se raser, prendre une douche; ont peut
le faire en écoutant la radio... pas en regardant un écran. Je me demande
qu'elle intérêt peut avoir la T-DMB sur un autoradio ?
Daniel
J'ai comme l'impression que les décideurs ne savent pas comment les gens
écoutent la radio !
Les auditeurs qui écoutent la radio en prenant leur douche, ceux qui se
rasent ou se lavent les dents en écoutants les nouvelles matinales...
auront du mal avec le casque de leur téléphone sur la tête !
Les ouvriers qui écoutent la radio à leur poste de travail... si leur
maîtrise tolère le transistor en sourdine ne sera peut être pas prête a
accepter un salarié travaillant avec le casque du téléphone sur la tête...
Le café, le salon de coiffure qui met la radio en fond sonore... va mettre
des écouteurs à disposition des clients ?
A mon humble avis, la radio (sans écran !) n'est pas prête de disparaître
et une grande part de l'auditoire se fout complètement des plus apporter
par la TNT... conduire, travailler, se raser, prendre une douche; ont peut
le faire en écoutant la radio... pas en regardant un écran. Je me demande
qu'elle intérêt peut avoir la T-DMB sur un autoradio ?
Daniel
On Wed, 26 Aug 2009 19:48:28 +0200, F1TAY
wrote:J'ai comme l'impression que les décideurs ne savent pas comment les
gens écoutent la radio !
Une intéressante enquête Médiamétrie publiée dans la lettre du CSA de juin
(voir pages 2 à 4) donnent de bons enseignements sur une base de 6 années
:
qui écoute la radio, combien de temps, sur quel type d'appareils, où,
etc...
On y apprend que le jeune auditoire (notamment 13/24 ans) est le plus
"faible"
auditeur en durée d'écoute, que les radios généralistes montent tandis que
les
musicales baissent, que 50,2 % de l'écoute de la radio se fait à la
maison,
26,2 % en voiture, 19,5 % au travail, et 4,1 % dans d'autres endroits non
définis.
On Wed, 26 Aug 2009 19:48:28 +0200, F1TAY
<antispamF1TAYenleveravantleFetapresleY@wanadoo.fr> wrote:
J'ai comme l'impression que les décideurs ne savent pas comment les
gens écoutent la radio !
Une intéressante enquête Médiamétrie publiée dans la lettre du CSA de juin
(voir pages 2 à 4) donnent de bons enseignements sur une base de 6 années
:
qui écoute la radio, combien de temps, sur quel type d'appareils, où,
etc...
On y apprend que le jeune auditoire (notamment 13/24 ans) est le plus
"faible"
auditeur en durée d'écoute, que les radios généralistes montent tandis que
les
musicales baissent, que 50,2 % de l'écoute de la radio se fait à la
maison,
26,2 % en voiture, 19,5 % au travail, et 4,1 % dans d'autres endroits non
définis.
On Wed, 26 Aug 2009 19:48:28 +0200, F1TAY
wrote:J'ai comme l'impression que les décideurs ne savent pas comment les
gens écoutent la radio !
Une intéressante enquête Médiamétrie publiée dans la lettre du CSA de juin
(voir pages 2 à 4) donnent de bons enseignements sur une base de 6 années
:
qui écoute la radio, combien de temps, sur quel type d'appareils, où,
etc...
On y apprend que le jeune auditoire (notamment 13/24 ans) est le plus
"faible"
auditeur en durée d'écoute, que les radios généralistes montent tandis que
les
musicales baissent, que 50,2 % de l'écoute de la radio se fait à la
maison,
26,2 % en voiture, 19,5 % au travail, et 4,1 % dans d'autres endroits non
définis.
"F1TAY" a écrit dans le
message de news:J'ai comme l'impression que les décideurs ne savent pas comment les gens
écoutent la radio !
Les auditeurs qui écoutent la radio en prenant leur douche, ceux qui se
rasent ou se lavent les dents en écoutants les nouvelles matinales...
auront du mal avec le casque de leur téléphone sur la tête !
Les ouvriers qui écoutent la radio à leur poste de travail... si leur
maîtrise tolère le transistor en sourdine ne sera peut être pas prête a
accepter un salarié travaillant avec le casque du téléphone sur la tête...
Le café, le salon de coiffure qui met la radio en fond sonore... va mettre
des écouteurs à disposition des clients ?
A mon humble avis, la radio (sans écran !) n'est pas prête de disparaître
et une grande part de l'auditoire se fout complètement des plus apporter
par la TNT... conduire, travailler, se raser, prendre une douche; ont peut
le faire en écoutant la radio... pas en regardant un écran. Je me demande
qu'elle intérêt peut avoir la T-DMB sur un autoradio ?
Daniel
En même temps, dans les transports en commun ou dans la rue, le nombre de
gens qui écoutaient la radio / musique il y a 30 ans n'avaient rien à voir
avec celui d'aujourd'hui. Les transports en commun et les gens dans la rue.
Et dans les voitures, il est possible de brancher le système audio du
véhicule avec le téléphone, donc, là encore, le nombre d'utilisateurs
potentiels me semblent largement plus élevés que celui qui écoute dans la
radio dans sa cuisine ou sous sa douche. C'est simplement une évolution des
usages... Par ailleurs, la présence d'un écran sur un appareil n'oblige pas
à le regarder en permancence, ce n'est pas une télévision... Tout évolue
dans une société, avec le temps rien n'est figé, et je crains que la radio
n'échappe pas à la règle...
"F1TAY" <antispamF1TAYenleveravantleFetapresleY@wanadoo.fr> a écrit dans le
message de news:mn.d4a47d98bf406fed.50167@wanadoo.fr...
J'ai comme l'impression que les décideurs ne savent pas comment les gens
écoutent la radio !
Les auditeurs qui écoutent la radio en prenant leur douche, ceux qui se
rasent ou se lavent les dents en écoutants les nouvelles matinales...
auront du mal avec le casque de leur téléphone sur la tête !
Les ouvriers qui écoutent la radio à leur poste de travail... si leur
maîtrise tolère le transistor en sourdine ne sera peut être pas prête a
accepter un salarié travaillant avec le casque du téléphone sur la tête...
Le café, le salon de coiffure qui met la radio en fond sonore... va mettre
des écouteurs à disposition des clients ?
A mon humble avis, la radio (sans écran !) n'est pas prête de disparaître
et une grande part de l'auditoire se fout complètement des plus apporter
par la TNT... conduire, travailler, se raser, prendre une douche; ont peut
le faire en écoutant la radio... pas en regardant un écran. Je me demande
qu'elle intérêt peut avoir la T-DMB sur un autoradio ?
Daniel
En même temps, dans les transports en commun ou dans la rue, le nombre de
gens qui écoutaient la radio / musique il y a 30 ans n'avaient rien à voir
avec celui d'aujourd'hui. Les transports en commun et les gens dans la rue.
Et dans les voitures, il est possible de brancher le système audio du
véhicule avec le téléphone, donc, là encore, le nombre d'utilisateurs
potentiels me semblent largement plus élevés que celui qui écoute dans la
radio dans sa cuisine ou sous sa douche. C'est simplement une évolution des
usages... Par ailleurs, la présence d'un écran sur un appareil n'oblige pas
à le regarder en permancence, ce n'est pas une télévision... Tout évolue
dans une société, avec le temps rien n'est figé, et je crains que la radio
n'échappe pas à la règle...
"F1TAY" a écrit dans le
message de news:J'ai comme l'impression que les décideurs ne savent pas comment les gens
écoutent la radio !
Les auditeurs qui écoutent la radio en prenant leur douche, ceux qui se
rasent ou se lavent les dents en écoutants les nouvelles matinales...
auront du mal avec le casque de leur téléphone sur la tête !
Les ouvriers qui écoutent la radio à leur poste de travail... si leur
maîtrise tolère le transistor en sourdine ne sera peut être pas prête a
accepter un salarié travaillant avec le casque du téléphone sur la tête...
Le café, le salon de coiffure qui met la radio en fond sonore... va mettre
des écouteurs à disposition des clients ?
A mon humble avis, la radio (sans écran !) n'est pas prête de disparaître
et une grande part de l'auditoire se fout complètement des plus apporter
par la TNT... conduire, travailler, se raser, prendre une douche; ont peut
le faire en écoutant la radio... pas en regardant un écran. Je me demande
qu'elle intérêt peut avoir la T-DMB sur un autoradio ?
Daniel
En même temps, dans les transports en commun ou dans la rue, le nombre de
gens qui écoutaient la radio / musique il y a 30 ans n'avaient rien à voir
avec celui d'aujourd'hui. Les transports en commun et les gens dans la rue.
Et dans les voitures, il est possible de brancher le système audio du
véhicule avec le téléphone, donc, là encore, le nombre d'utilisateurs
potentiels me semblent largement plus élevés que celui qui écoute dans la
radio dans sa cuisine ou sous sa douche. C'est simplement une évolution des
usages... Par ailleurs, la présence d'un écran sur un appareil n'oblige pas
à le regarder en permancence, ce n'est pas une télévision... Tout évolue
dans une société, avec le temps rien n'est figé, et je crains que la radio
n'échappe pas à la règle...
- Aucune radio ne souhaite devenir dépendante des caprices (et
ententes) des 3 opérateurs de téléphonie mobile en matière de filtrage
des contenus ou de coûts de bande passante. L'existence de plusieurs
supports de diffusion constitue une sécurité contre les éventuelles
volontés de ces opérateurs de favoriser certains éditeurs de
contenus.
Il y a le même problème avec les chaînes de télévision présentes sur l'ADSL
et le câble. Les opérateurs ADSL n'ont pas intérêt à faire fuir les
fournisseur de contenu car ce sont eux, en partie, qui motivent leurs
abonnés à venir chez eux. Chacun y gagne, les chaines de télévision et les
opérateurs télécoms. Par ailleurs, l'ADSL et le câble permettent à de
nombreuses chaînes d'être diffusées massivement alors qu'elles sont absentes
de la TNT, ce sera la même chose pour la radio.
- Le modèle "broadcast" permet de s'affranchir du nombre d'auditeurs.
Ce n'est pas le cas du streaming. Le multicast permettrait de résoudre
en grande partie ce problème, mais il n'est pas forcément dans
l'intérêt des FAI ou des grossistes de rendre ce genre de chose
possible (ou plus exactement, il n'est pas de leur intérêt que leurs
clients - coté serveurs de stream - puissent en profiter).
Aujourd'hui, le streaming coûte cher aux radios.
L'IPv6 et le multicast permettent de resoudre tous ces problèmes et sont
inéluctables pour les opérateurs. Tous les coeurs de réseaux IP des
opérateurs mobile en Europe sont en train d'être migrés progressivement en
IPv6 et intègrent donc le multicast. La plupart des smartphones récents sont
déjà compatibles ou le seront avec une MAJ de firmware. Avec l'explosion du
traffic IP et du nombre d'adresses nécessaires, plus personne n'aura le
choix dans les années qui suivent. Donc, le problème que tu évoques n'est
que très temporaire, sans parler de l'augmentation des débits inéluctables,
comme la puissance de calcul des processeurs, ça fait 30 ans que ça dure et
y a pas de raison que ça s'arrête... Par ailleurs, tu sembles oublier que la
totalité des nouveaux appareils sont compatibles wifi b/g et que le problème
de ressource 3G à domicile ou en centre urbain sera largement compensé par
la présence de très nombreux hotspots wifi. (SFR, Free et Orange ouvrent
tous à leurs abonnés des accès wifi sécurisés situés chez d'autres abonnés
du même opérateur)
- Le modèle économique d'un marché illimité est pour le moins
incertain. Le broadcast hertzien, de part la limitation de l'offre,
permet pour l'instant à de nombreuses radios de conserver des parts de
marchés significatives. Un morcellement à l'extrême de l'offre, tel
que l'on peut l'observer chez les webradios, rend celles-ci fragiles
par manque de modèle économique pérenne, et les empêche de disposer de
ressources permettant la création de contenus (autre que des robinets
à musique) sur du long terme (le service publique serait alors le seul
modèle envisageable).
Les grandes radios ont réagit de la même manière avec l'apaprition de la
bande FM qui semblait une menace... Ou les télés avec le satellite. La
différence ici vient que les radios touchent ici un marché mondial avec un
coût sans commune mesure avec une diffusion satellite ou OM. La différence
viendra par la valeur ajoutée, les USA dans les années 70 et 80 ont été un
exemple pour nombre de radios FM francaises avec les libres antennes, les
dédicaces, les talks avec spécialistes, etc, etc Les radios qui ont le mieux
réussi sont celles qui ont su innover au bon moment en proposant des choses
différentes à leurs auditeurs. Aujourd'hui, l'offre à la demande,
l'interactivité et le software (les applis dédiées) semblent être bien les
évolutions majeurs des médias numériques. Or, je constate juste qu'elles
sont absentes de la RNT.
- Aucune radio ne souhaite devenir dépendante des caprices (et
ententes) des 3 opérateurs de téléphonie mobile en matière de filtrage
des contenus ou de coûts de bande passante. L'existence de plusieurs
supports de diffusion constitue une sécurité contre les éventuelles
volontés de ces opérateurs de favoriser certains éditeurs de
contenus.
Il y a le même problème avec les chaînes de télévision présentes sur l'ADSL
et le câble. Les opérateurs ADSL n'ont pas intérêt à faire fuir les
fournisseur de contenu car ce sont eux, en partie, qui motivent leurs
abonnés à venir chez eux. Chacun y gagne, les chaines de télévision et les
opérateurs télécoms. Par ailleurs, l'ADSL et le câble permettent à de
nombreuses chaînes d'être diffusées massivement alors qu'elles sont absentes
de la TNT, ce sera la même chose pour la radio.
- Le modèle "broadcast" permet de s'affranchir du nombre d'auditeurs.
Ce n'est pas le cas du streaming. Le multicast permettrait de résoudre
en grande partie ce problème, mais il n'est pas forcément dans
l'intérêt des FAI ou des grossistes de rendre ce genre de chose
possible (ou plus exactement, il n'est pas de leur intérêt que leurs
clients - coté serveurs de stream - puissent en profiter).
Aujourd'hui, le streaming coûte cher aux radios.
L'IPv6 et le multicast permettent de resoudre tous ces problèmes et sont
inéluctables pour les opérateurs. Tous les coeurs de réseaux IP des
opérateurs mobile en Europe sont en train d'être migrés progressivement en
IPv6 et intègrent donc le multicast. La plupart des smartphones récents sont
déjà compatibles ou le seront avec une MAJ de firmware. Avec l'explosion du
traffic IP et du nombre d'adresses nécessaires, plus personne n'aura le
choix dans les années qui suivent. Donc, le problème que tu évoques n'est
que très temporaire, sans parler de l'augmentation des débits inéluctables,
comme la puissance de calcul des processeurs, ça fait 30 ans que ça dure et
y a pas de raison que ça s'arrête... Par ailleurs, tu sembles oublier que la
totalité des nouveaux appareils sont compatibles wifi b/g et que le problème
de ressource 3G à domicile ou en centre urbain sera largement compensé par
la présence de très nombreux hotspots wifi. (SFR, Free et Orange ouvrent
tous à leurs abonnés des accès wifi sécurisés situés chez d'autres abonnés
du même opérateur)
- Le modèle économique d'un marché illimité est pour le moins
incertain. Le broadcast hertzien, de part la limitation de l'offre,
permet pour l'instant à de nombreuses radios de conserver des parts de
marchés significatives. Un morcellement à l'extrême de l'offre, tel
que l'on peut l'observer chez les webradios, rend celles-ci fragiles
par manque de modèle économique pérenne, et les empêche de disposer de
ressources permettant la création de contenus (autre que des robinets
à musique) sur du long terme (le service publique serait alors le seul
modèle envisageable).
Les grandes radios ont réagit de la même manière avec l'apaprition de la
bande FM qui semblait une menace... Ou les télés avec le satellite. La
différence ici vient que les radios touchent ici un marché mondial avec un
coût sans commune mesure avec une diffusion satellite ou OM. La différence
viendra par la valeur ajoutée, les USA dans les années 70 et 80 ont été un
exemple pour nombre de radios FM francaises avec les libres antennes, les
dédicaces, les talks avec spécialistes, etc, etc Les radios qui ont le mieux
réussi sont celles qui ont su innover au bon moment en proposant des choses
différentes à leurs auditeurs. Aujourd'hui, l'offre à la demande,
l'interactivité et le software (les applis dédiées) semblent être bien les
évolutions majeurs des médias numériques. Or, je constate juste qu'elles
sont absentes de la RNT.
- Aucune radio ne souhaite devenir dépendante des caprices (et
ententes) des 3 opérateurs de téléphonie mobile en matière de filtrage
des contenus ou de coûts de bande passante. L'existence de plusieurs
supports de diffusion constitue une sécurité contre les éventuelles
volontés de ces opérateurs de favoriser certains éditeurs de
contenus.
Il y a le même problème avec les chaînes de télévision présentes sur l'ADSL
et le câble. Les opérateurs ADSL n'ont pas intérêt à faire fuir les
fournisseur de contenu car ce sont eux, en partie, qui motivent leurs
abonnés à venir chez eux. Chacun y gagne, les chaines de télévision et les
opérateurs télécoms. Par ailleurs, l'ADSL et le câble permettent à de
nombreuses chaînes d'être diffusées massivement alors qu'elles sont absentes
de la TNT, ce sera la même chose pour la radio.
- Le modèle "broadcast" permet de s'affranchir du nombre d'auditeurs.
Ce n'est pas le cas du streaming. Le multicast permettrait de résoudre
en grande partie ce problème, mais il n'est pas forcément dans
l'intérêt des FAI ou des grossistes de rendre ce genre de chose
possible (ou plus exactement, il n'est pas de leur intérêt que leurs
clients - coté serveurs de stream - puissent en profiter).
Aujourd'hui, le streaming coûte cher aux radios.
L'IPv6 et le multicast permettent de resoudre tous ces problèmes et sont
inéluctables pour les opérateurs. Tous les coeurs de réseaux IP des
opérateurs mobile en Europe sont en train d'être migrés progressivement en
IPv6 et intègrent donc le multicast. La plupart des smartphones récents sont
déjà compatibles ou le seront avec une MAJ de firmware. Avec l'explosion du
traffic IP et du nombre d'adresses nécessaires, plus personne n'aura le
choix dans les années qui suivent. Donc, le problème que tu évoques n'est
que très temporaire, sans parler de l'augmentation des débits inéluctables,
comme la puissance de calcul des processeurs, ça fait 30 ans que ça dure et
y a pas de raison que ça s'arrête... Par ailleurs, tu sembles oublier que la
totalité des nouveaux appareils sont compatibles wifi b/g et que le problème
de ressource 3G à domicile ou en centre urbain sera largement compensé par
la présence de très nombreux hotspots wifi. (SFR, Free et Orange ouvrent
tous à leurs abonnés des accès wifi sécurisés situés chez d'autres abonnés
du même opérateur)
- Le modèle économique d'un marché illimité est pour le moins
incertain. Le broadcast hertzien, de part la limitation de l'offre,
permet pour l'instant à de nombreuses radios de conserver des parts de
marchés significatives. Un morcellement à l'extrême de l'offre, tel
que l'on peut l'observer chez les webradios, rend celles-ci fragiles
par manque de modèle économique pérenne, et les empêche de disposer de
ressources permettant la création de contenus (autre que des robinets
à musique) sur du long terme (le service publique serait alors le seul
modèle envisageable).
Les grandes radios ont réagit de la même manière avec l'apaprition de la
bande FM qui semblait une menace... Ou les télés avec le satellite. La
différence ici vient que les radios touchent ici un marché mondial avec un
coût sans commune mesure avec une diffusion satellite ou OM. La différence
viendra par la valeur ajoutée, les USA dans les années 70 et 80 ont été un
exemple pour nombre de radios FM francaises avec les libres antennes, les
dédicaces, les talks avec spécialistes, etc, etc Les radios qui ont le mieux
réussi sont celles qui ont su innover au bon moment en proposant des choses
différentes à leurs auditeurs. Aujourd'hui, l'offre à la demande,
l'interactivité et le software (les applis dédiées) semblent être bien les
évolutions majeurs des médias numériques. Or, je constate juste qu'elles
sont absentes de la RNT.
"mpx958" a écrit dans le message denews:1c63d472-a
>Pourquoi vouloir opposer RNT et Smartphones/PDA ?
>Les gens n'ont pas tous les mêmes usages de la technologie, et pour
>une même personne, les usages peuvent varier en fonction de l'heure ou
>du lieu où elle se trouve.
>Les jeunes qui ont un budget limité préfèrent avoir un appareil qu i en
>fait le maximum, même si au final c'est un mauvais téléphone, un
>mauvais appareil photo, une mauvaise caméra vidéo et un mauvais
>lecteur multimédia. Un automobiliste ne trouvera pas forcément
>pratique d'avoir le GPS intégré dans son téléphone. Quelqu'un qu i
>écoute la radio dans sa cuisine n'a pas forcément envie d'avoir un
>casque relié à un téléphone portable. A l'inverse, quelqu'un qui veut
>"voyager léger" appréciera d'avoir tout dans un petit appareil
>compact.
Et pourtant, les fabricants d'appareil photo grand public voient leur par t
de marché baisser au profit des photophones. Je parle des appareils bas de
gamme, aisément remplacé par n'importe quel photophone de 2 ou 3 Mpix els...
Le marché des appareils amateurs bridge et reflex n'est bien entendu pa r
concerné par ce phénomène. Le problème, c'est que la partie grand public est
un très gros marché pour le fabricants... Idem pour les GPS de voitur es
jugés pas assez polyvalents par rapport à un téléphone qu'on peut emporter
partout avec soi, en randonnée, en balade à pied, etc. Bien sur le ro utier
ou chauffeur de taxi - livreur preferera avoir un appareil dédié mais c'est
loin d'être une majorité du marché, ce serait même une grande min orité. Le
marché va clairement vers des appareils multifonctions pour le grand pu blic
et des appareils dédidiés pour les plus exigeants (pros, amateurs). L a radio
étant un service grand public avant tout, elle semble bien suivre le
mouvement en cours...
>- Aucune radio ne souhaite devenir dépendante des caprices (et
>ententes) des 3 opérateurs de téléphonie mobile en matière de fi ltrage
>des contenus ou de coûts de bande passante. L'existence de plusieurs
>supports de diffusion constitue une sécurité contre les éventuelle s
>volontés de ces opérateurs de favoriser certains éditeurs de
>contenus.
Il y a le même problème avec les chaînes de télévision présen tes sur l'ADSL
et le câble. Les opérateurs ADSL n'ont pas intérêt à faire fuir les
fournisseur de contenu car ce sont eux, en partie, qui motivent leurs
abonnés à venir chez eux. Chacun y gagne, les chaines de télévisi on et les
opérateurs télécoms. Par ailleurs, l'ADSL et le câble permettent à de
nombreuses chaînes d'être diffusées massivement alors qu'elles sont absentes
de la TNT, ce sera la même chose pour la radio.
>- Le modèle "broadcast" permet de s'affranchir du nombre d'auditeurs.
>Ce n'est pas le cas du streaming. Le multicast permettrait de résoudre
>en grande partie ce problème, mais il n'est pas forcément dans
>l'intérêt des FAI ou des grossistes de rendre ce genre de chose
>possible (ou plus exactement, il n'est pas de leur intérêt que leurs
>clients - coté serveurs de stream - puissent en profiter).
>Aujourd'hui, le streaming coûte cher aux radios.
L'IPv6 et le multicast permettent de resoudre tous ces problèmes et son t
inéluctables pour les opérateurs. Tous les coeurs de réseaux IP des
opérateurs mobile en Europe sont en train d'être migrés progressive ment en
IPv6 et intègrent donc le multicast. La plupart des smartphones récen ts sont
déjà compatibles ou le seront avec une MAJ de firmware. Avec l'explos ion du
traffic IP et du nombre d'adresses nécessaires, plus personne n'aura le
choix dans les années qui suivent. Donc, le problème que tu évoques n'est
que très temporaire, sans parler de l'augmentation des débits inélu ctables,
comme la puissance de calcul des processeurs, ça fait 30 ans que ça d ure et
y a pas de raison que ça s'arrête... Par ailleurs, tu sembles oublier que la
totalité des nouveaux appareils sont compatibles wifi b/g et que le pro blème
de ressource 3G à domicile ou en centre urbain sera largement compens é par
la présence de très nombreux hotspots wifi. (SFR, Free et Orange ouvr ent
tous à leurs abonnés des accès wifi sécurisés situés chez d'a utres abonnés
du même opérateur)
>- Le modèle économique d'un marché illimité est pour le moins
>incertain. Le broadcast hertzien, de part la limitation de l'offre,
>permet pour l'instant à de nombreuses radios de conserver des parts de
>marchés significatives. Un morcellement à l'extrême de l'offre, te l
>que l'on peut l'observer chez les webradios, rend celles-ci fragiles
>par manque de modèle économique pérenne, et les empêche de dispo ser de
>ressources permettant la création de contenus (autre que des robinets
>à musique) sur du long terme (le service publique serait alors le seul
>modèle envisageable).
Les grandes radios ont réagit de la même manière avec l'apaprition de la
bande FM qui semblait une menace... Ou les télés avec le satellite. L a
différence ici vient que les radios touchent ici un marché mondial av ec un
coût sans commune mesure avec une diffusion satellite ou OM. La diffé rence
viendra par la valeur ajoutée, les USA dans les années 70 et 80 ont été un
exemple pour nombre de radios FM francaises avec les libres antennes, les
dédicaces, les talks avec spécialistes, etc, etc Les radios qui ont l e mieux
réussi sont celles qui ont su innover au bon moment en proposant des ch oses
différentes à leurs auditeurs. Aujourd'hui, l'offre à la demande ,
l'interactivité et le software (les applis dédiées) semblent être bien les
évolutions majeurs des médias numériques. Or, je constate juste qu' elles
sont absentes de la RNT.
"mpx958" <mpx...@hotmail.com> a écrit dans le message denews:1c63d472-a 959-4aef-acba-0972b8e03f1c@s13g2000yql.googlegroups.com...
>Pourquoi vouloir opposer RNT et Smartphones/PDA ?
>Les gens n'ont pas tous les mêmes usages de la technologie, et pour
>une même personne, les usages peuvent varier en fonction de l'heure ou
>du lieu où elle se trouve.
>Les jeunes qui ont un budget limité préfèrent avoir un appareil qu i en
>fait le maximum, même si au final c'est un mauvais téléphone, un
>mauvais appareil photo, une mauvaise caméra vidéo et un mauvais
>lecteur multimédia. Un automobiliste ne trouvera pas forcément
>pratique d'avoir le GPS intégré dans son téléphone. Quelqu'un qu i
>écoute la radio dans sa cuisine n'a pas forcément envie d'avoir un
>casque relié à un téléphone portable. A l'inverse, quelqu'un qui veut
>"voyager léger" appréciera d'avoir tout dans un petit appareil
>compact.
Et pourtant, les fabricants d'appareil photo grand public voient leur par t
de marché baisser au profit des photophones. Je parle des appareils bas de
gamme, aisément remplacé par n'importe quel photophone de 2 ou 3 Mpix els...
Le marché des appareils amateurs bridge et reflex n'est bien entendu pa r
concerné par ce phénomène. Le problème, c'est que la partie grand public est
un très gros marché pour le fabricants... Idem pour les GPS de voitur es
jugés pas assez polyvalents par rapport à un téléphone qu'on peut emporter
partout avec soi, en randonnée, en balade à pied, etc. Bien sur le ro utier
ou chauffeur de taxi - livreur preferera avoir un appareil dédié mais c'est
loin d'être une majorité du marché, ce serait même une grande min orité. Le
marché va clairement vers des appareils multifonctions pour le grand pu blic
et des appareils dédidiés pour les plus exigeants (pros, amateurs). L a radio
étant un service grand public avant tout, elle semble bien suivre le
mouvement en cours...
>- Aucune radio ne souhaite devenir dépendante des caprices (et
>ententes) des 3 opérateurs de téléphonie mobile en matière de fi ltrage
>des contenus ou de coûts de bande passante. L'existence de plusieurs
>supports de diffusion constitue une sécurité contre les éventuelle s
>volontés de ces opérateurs de favoriser certains éditeurs de
>contenus.
Il y a le même problème avec les chaînes de télévision présen tes sur l'ADSL
et le câble. Les opérateurs ADSL n'ont pas intérêt à faire fuir les
fournisseur de contenu car ce sont eux, en partie, qui motivent leurs
abonnés à venir chez eux. Chacun y gagne, les chaines de télévisi on et les
opérateurs télécoms. Par ailleurs, l'ADSL et le câble permettent à de
nombreuses chaînes d'être diffusées massivement alors qu'elles sont absentes
de la TNT, ce sera la même chose pour la radio.
>- Le modèle "broadcast" permet de s'affranchir du nombre d'auditeurs.
>Ce n'est pas le cas du streaming. Le multicast permettrait de résoudre
>en grande partie ce problème, mais il n'est pas forcément dans
>l'intérêt des FAI ou des grossistes de rendre ce genre de chose
>possible (ou plus exactement, il n'est pas de leur intérêt que leurs
>clients - coté serveurs de stream - puissent en profiter).
>Aujourd'hui, le streaming coûte cher aux radios.
L'IPv6 et le multicast permettent de resoudre tous ces problèmes et son t
inéluctables pour les opérateurs. Tous les coeurs de réseaux IP des
opérateurs mobile en Europe sont en train d'être migrés progressive ment en
IPv6 et intègrent donc le multicast. La plupart des smartphones récen ts sont
déjà compatibles ou le seront avec une MAJ de firmware. Avec l'explos ion du
traffic IP et du nombre d'adresses nécessaires, plus personne n'aura le
choix dans les années qui suivent. Donc, le problème que tu évoques n'est
que très temporaire, sans parler de l'augmentation des débits inélu ctables,
comme la puissance de calcul des processeurs, ça fait 30 ans que ça d ure et
y a pas de raison que ça s'arrête... Par ailleurs, tu sembles oublier que la
totalité des nouveaux appareils sont compatibles wifi b/g et que le pro blème
de ressource 3G à domicile ou en centre urbain sera largement compens é par
la présence de très nombreux hotspots wifi. (SFR, Free et Orange ouvr ent
tous à leurs abonnés des accès wifi sécurisés situés chez d'a utres abonnés
du même opérateur)
>- Le modèle économique d'un marché illimité est pour le moins
>incertain. Le broadcast hertzien, de part la limitation de l'offre,
>permet pour l'instant à de nombreuses radios de conserver des parts de
>marchés significatives. Un morcellement à l'extrême de l'offre, te l
>que l'on peut l'observer chez les webradios, rend celles-ci fragiles
>par manque de modèle économique pérenne, et les empêche de dispo ser de
>ressources permettant la création de contenus (autre que des robinets
>à musique) sur du long terme (le service publique serait alors le seul
>modèle envisageable).
Les grandes radios ont réagit de la même manière avec l'apaprition de la
bande FM qui semblait une menace... Ou les télés avec le satellite. L a
différence ici vient que les radios touchent ici un marché mondial av ec un
coût sans commune mesure avec une diffusion satellite ou OM. La diffé rence
viendra par la valeur ajoutée, les USA dans les années 70 et 80 ont été un
exemple pour nombre de radios FM francaises avec les libres antennes, les
dédicaces, les talks avec spécialistes, etc, etc Les radios qui ont l e mieux
réussi sont celles qui ont su innover au bon moment en proposant des ch oses
différentes à leurs auditeurs. Aujourd'hui, l'offre à la demande ,
l'interactivité et le software (les applis dédiées) semblent être bien les
évolutions majeurs des médias numériques. Or, je constate juste qu' elles
sont absentes de la RNT.
"mpx958" a écrit dans le message denews:1c63d472-a
>Pourquoi vouloir opposer RNT et Smartphones/PDA ?
>Les gens n'ont pas tous les mêmes usages de la technologie, et pour
>une même personne, les usages peuvent varier en fonction de l'heure ou
>du lieu où elle se trouve.
>Les jeunes qui ont un budget limité préfèrent avoir un appareil qu i en
>fait le maximum, même si au final c'est un mauvais téléphone, un
>mauvais appareil photo, une mauvaise caméra vidéo et un mauvais
>lecteur multimédia. Un automobiliste ne trouvera pas forcément
>pratique d'avoir le GPS intégré dans son téléphone. Quelqu'un qu i
>écoute la radio dans sa cuisine n'a pas forcément envie d'avoir un
>casque relié à un téléphone portable. A l'inverse, quelqu'un qui veut
>"voyager léger" appréciera d'avoir tout dans un petit appareil
>compact.
Et pourtant, les fabricants d'appareil photo grand public voient leur par t
de marché baisser au profit des photophones. Je parle des appareils bas de
gamme, aisément remplacé par n'importe quel photophone de 2 ou 3 Mpix els...
Le marché des appareils amateurs bridge et reflex n'est bien entendu pa r
concerné par ce phénomène. Le problème, c'est que la partie grand public est
un très gros marché pour le fabricants... Idem pour les GPS de voitur es
jugés pas assez polyvalents par rapport à un téléphone qu'on peut emporter
partout avec soi, en randonnée, en balade à pied, etc. Bien sur le ro utier
ou chauffeur de taxi - livreur preferera avoir un appareil dédié mais c'est
loin d'être une majorité du marché, ce serait même une grande min orité. Le
marché va clairement vers des appareils multifonctions pour le grand pu blic
et des appareils dédidiés pour les plus exigeants (pros, amateurs). L a radio
étant un service grand public avant tout, elle semble bien suivre le
mouvement en cours...
>- Aucune radio ne souhaite devenir dépendante des caprices (et
>ententes) des 3 opérateurs de téléphonie mobile en matière de fi ltrage
>des contenus ou de coûts de bande passante. L'existence de plusieurs
>supports de diffusion constitue une sécurité contre les éventuelle s
>volontés de ces opérateurs de favoriser certains éditeurs de
>contenus.
Il y a le même problème avec les chaînes de télévision présen tes sur l'ADSL
et le câble. Les opérateurs ADSL n'ont pas intérêt à faire fuir les
fournisseur de contenu car ce sont eux, en partie, qui motivent leurs
abonnés à venir chez eux. Chacun y gagne, les chaines de télévisi on et les
opérateurs télécoms. Par ailleurs, l'ADSL et le câble permettent à de
nombreuses chaînes d'être diffusées massivement alors qu'elles sont absentes
de la TNT, ce sera la même chose pour la radio.
>- Le modèle "broadcast" permet de s'affranchir du nombre d'auditeurs.
>Ce n'est pas le cas du streaming. Le multicast permettrait de résoudre
>en grande partie ce problème, mais il n'est pas forcément dans
>l'intérêt des FAI ou des grossistes de rendre ce genre de chose
>possible (ou plus exactement, il n'est pas de leur intérêt que leurs
>clients - coté serveurs de stream - puissent en profiter).
>Aujourd'hui, le streaming coûte cher aux radios.
L'IPv6 et le multicast permettent de resoudre tous ces problèmes et son t
inéluctables pour les opérateurs. Tous les coeurs de réseaux IP des
opérateurs mobile en Europe sont en train d'être migrés progressive ment en
IPv6 et intègrent donc le multicast. La plupart des smartphones récen ts sont
déjà compatibles ou le seront avec une MAJ de firmware. Avec l'explos ion du
traffic IP et du nombre d'adresses nécessaires, plus personne n'aura le
choix dans les années qui suivent. Donc, le problème que tu évoques n'est
que très temporaire, sans parler de l'augmentation des débits inélu ctables,
comme la puissance de calcul des processeurs, ça fait 30 ans que ça d ure et
y a pas de raison que ça s'arrête... Par ailleurs, tu sembles oublier que la
totalité des nouveaux appareils sont compatibles wifi b/g et que le pro blème
de ressource 3G à domicile ou en centre urbain sera largement compens é par
la présence de très nombreux hotspots wifi. (SFR, Free et Orange ouvr ent
tous à leurs abonnés des accès wifi sécurisés situés chez d'a utres abonnés
du même opérateur)
>- Le modèle économique d'un marché illimité est pour le moins
>incertain. Le broadcast hertzien, de part la limitation de l'offre,
>permet pour l'instant à de nombreuses radios de conserver des parts de
>marchés significatives. Un morcellement à l'extrême de l'offre, te l
>que l'on peut l'observer chez les webradios, rend celles-ci fragiles
>par manque de modèle économique pérenne, et les empêche de dispo ser de
>ressources permettant la création de contenus (autre que des robinets
>à musique) sur du long terme (le service publique serait alors le seul
>modèle envisageable).
Les grandes radios ont réagit de la même manière avec l'apaprition de la
bande FM qui semblait une menace... Ou les télés avec le satellite. L a
différence ici vient que les radios touchent ici un marché mondial av ec un
coût sans commune mesure avec une diffusion satellite ou OM. La diffé rence
viendra par la valeur ajoutée, les USA dans les années 70 et 80 ont été un
exemple pour nombre de radios FM francaises avec les libres antennes, les
dédicaces, les talks avec spécialistes, etc, etc Les radios qui ont l e mieux
réussi sont celles qui ont su innover au bon moment en proposant des ch oses
différentes à leurs auditeurs. Aujourd'hui, l'offre à la demande ,
l'interactivité et le software (les applis dédiées) semblent être bien les
évolutions majeurs des médias numériques. Or, je constate juste qu' elles
sont absentes de la RNT.
Détrompes toi l'écoute de la radio se fait énormément dans la cui sine et
la salle de bain, les récepteurs sont répartis dans toutes les pièc es de
la maison et sont allumés ou éteint au gré des déplacements voir tous
allumés pour pouvoir suivre un même programme.
Le deuxième lieu d'écoute
c'est dans la voiture durant les déplacements domicile travail. chez mo i
le téléphone mobile ne fonctionne qu'à côté de la fenêtre alo rs que la
radio est reçue correctement dans l'ensemble des pièces. personnellem ent
il me serait impossible d'écouter la radio par ce mode chez moi.
Détrompes toi l'écoute de la radio se fait énormément dans la cui sine et
la salle de bain, les récepteurs sont répartis dans toutes les pièc es de
la maison et sont allumés ou éteint au gré des déplacements voir tous
allumés pour pouvoir suivre un même programme.
Le deuxième lieu d'écoute
c'est dans la voiture durant les déplacements domicile travail. chez mo i
le téléphone mobile ne fonctionne qu'à côté de la fenêtre alo rs que la
radio est reçue correctement dans l'ensemble des pièces. personnellem ent
il me serait impossible d'écouter la radio par ce mode chez moi.
Détrompes toi l'écoute de la radio se fait énormément dans la cui sine et
la salle de bain, les récepteurs sont répartis dans toutes les pièc es de
la maison et sont allumés ou éteint au gré des déplacements voir tous
allumés pour pouvoir suivre un même programme.
Le deuxième lieu d'écoute
c'est dans la voiture durant les déplacements domicile travail. chez mo i
le téléphone mobile ne fonctionne qu'à côté de la fenêtre alo rs que la
radio est reçue correctement dans l'ensemble des pièces. personnellem ent
il me serait impossible d'écouter la radio par ce mode chez moi.
Tout à fait normal, les jeunes se sont detournés de la radio pour télécharger
à la place... Mais pourtant, les ventes de disques (matériel ou immatériels)
sont réalisés en majorité auprès des jeunes. Les radios musicales ne se sont
jamais remises en cause et reposent sur leurs acquis des années 80, NRJ en
est le plus bel exemple... Une radio qui ne fait que reculer à mesure que son
auditoire vieillit, lequel change pour d'autres programmes. Les jeunes par
contre, vont plutot voir Skyrock qui a justement mis en place des systèmes
interractifs de skyblogs et de libre antenne avec une liaison sur Internet.
Ca montre bien que la radio est un média dont l'auditoire général vieillit et
dont les jeunes se détournent en partie.
D'ou les évolutions d'applications
mobiles susceptibles de faire bouger les choses.
Quant à écouter à la maison, il faut voir si c'est sur un ordinateur, un
téléphone mobile, une radio dans la salle de bain ou cuisine car les usages
ne sont pas du tout les mêmes ! Pour moi, maison est loin de vouloir dire
vieille radio posée sur une étagère poussiéreuse de la cuisine, bien au
contraire...
Tout à fait normal, les jeunes se sont detournés de la radio pour télécharger
à la place... Mais pourtant, les ventes de disques (matériel ou immatériels)
sont réalisés en majorité auprès des jeunes. Les radios musicales ne se sont
jamais remises en cause et reposent sur leurs acquis des années 80, NRJ en
est le plus bel exemple... Une radio qui ne fait que reculer à mesure que son
auditoire vieillit, lequel change pour d'autres programmes. Les jeunes par
contre, vont plutot voir Skyrock qui a justement mis en place des systèmes
interractifs de skyblogs et de libre antenne avec une liaison sur Internet.
Ca montre bien que la radio est un média dont l'auditoire général vieillit et
dont les jeunes se détournent en partie.
D'ou les évolutions d'applications
mobiles susceptibles de faire bouger les choses.
Quant à écouter à la maison, il faut voir si c'est sur un ordinateur, un
téléphone mobile, une radio dans la salle de bain ou cuisine car les usages
ne sont pas du tout les mêmes ! Pour moi, maison est loin de vouloir dire
vieille radio posée sur une étagère poussiéreuse de la cuisine, bien au
contraire...
Tout à fait normal, les jeunes se sont detournés de la radio pour télécharger
à la place... Mais pourtant, les ventes de disques (matériel ou immatériels)
sont réalisés en majorité auprès des jeunes. Les radios musicales ne se sont
jamais remises en cause et reposent sur leurs acquis des années 80, NRJ en
est le plus bel exemple... Une radio qui ne fait que reculer à mesure que son
auditoire vieillit, lequel change pour d'autres programmes. Les jeunes par
contre, vont plutot voir Skyrock qui a justement mis en place des systèmes
interractifs de skyblogs et de libre antenne avec une liaison sur Internet.
Ca montre bien que la radio est un média dont l'auditoire général vieillit et
dont les jeunes se détournent en partie.
D'ou les évolutions d'applications
mobiles susceptibles de faire bouger les choses.
Quant à écouter à la maison, il faut voir si c'est sur un ordinateur, un
téléphone mobile, une radio dans la salle de bain ou cuisine car les usages
ne sont pas du tout les mêmes ! Pour moi, maison est loin de vouloir dire
vieille radio posée sur une étagère poussiéreuse de la cuisine, bien au
contraire...
"Thierry VIGNAUD" a écrit dans le
message de news:On Wed, 26 Aug 2009 19:48:28 +0200, F1TAY
wrote:J'ai comme l'impression que les décideurs ne savent pas comment les
gens écoutent la radio !
Une intéressante enquête Médiamétrie publiée dans la lettre du CSA de juin
(voir pages 2 à 4) donnent de bons enseignements sur une base de 6 années
:
qui écoute la radio, combien de temps, sur quel type d'appareils, où,
etc...
On y apprend que le jeune auditoire (notamment 13/24 ans) est le plus
"faible"
auditeur en durée d'écoute, que les radios généralistes montent tandis que
les
musicales baissent, que 50,2 % de l'écoute de la radio se fait à la
maison,
26,2 % en voiture, 19,5 % au travail, et 4,1 % dans d'autres endroits non
définis.
Tout à fait normal, les jeunes se sont detournés de la radio pour
télécharger à la place... Mais pourtant, les ventes de disques (matériel ou
immatériels) sont réalisés en majorité auprès des jeunes. Les radios
musicales ne se sont jamais remises en cause et reposent sur leurs acquis
des années 80, NRJ en est le plus bel exemple... Une radio qui ne fait que
reculer à mesure que son auditoire vieillit, lequel change pour d'autres
programmes. Les jeunes par contre, vont plutot voir Skyrock qui a justement
mis en place des systèmes interractifs de skyblogs et de libre antenne avec
une liaison sur Internet. Ca montre bien que la radio est un média dont
l'auditoire général vieillit et dont les jeunes se détournent en partie.
D'ou les évolutions d'applications mobiles susceptibles de faire bouger les
choses.
"Thierry VIGNAUD" <thierry.vignaud@no-spam_laposte.net> a écrit dans le
message de news:6eua95t0sbhnu81ofilldp38clp3gh6js6@4ax.com...
On Wed, 26 Aug 2009 19:48:28 +0200, F1TAY
<antispamF1TAYenleveravantleFetapresleY@wanadoo.fr> wrote:
J'ai comme l'impression que les décideurs ne savent pas comment les
gens écoutent la radio !
Une intéressante enquête Médiamétrie publiée dans la lettre du CSA de juin
(voir pages 2 à 4) donnent de bons enseignements sur une base de 6 années
:
qui écoute la radio, combien de temps, sur quel type d'appareils, où,
etc...
On y apprend que le jeune auditoire (notamment 13/24 ans) est le plus
"faible"
auditeur en durée d'écoute, que les radios généralistes montent tandis que
les
musicales baissent, que 50,2 % de l'écoute de la radio se fait à la
maison,
26,2 % en voiture, 19,5 % au travail, et 4,1 % dans d'autres endroits non
définis.
Tout à fait normal, les jeunes se sont detournés de la radio pour
télécharger à la place... Mais pourtant, les ventes de disques (matériel ou
immatériels) sont réalisés en majorité auprès des jeunes. Les radios
musicales ne se sont jamais remises en cause et reposent sur leurs acquis
des années 80, NRJ en est le plus bel exemple... Une radio qui ne fait que
reculer à mesure que son auditoire vieillit, lequel change pour d'autres
programmes. Les jeunes par contre, vont plutot voir Skyrock qui a justement
mis en place des systèmes interractifs de skyblogs et de libre antenne avec
une liaison sur Internet. Ca montre bien que la radio est un média dont
l'auditoire général vieillit et dont les jeunes se détournent en partie.
D'ou les évolutions d'applications mobiles susceptibles de faire bouger les
choses.
"Thierry VIGNAUD" a écrit dans le
message de news:On Wed, 26 Aug 2009 19:48:28 +0200, F1TAY
wrote:J'ai comme l'impression que les décideurs ne savent pas comment les
gens écoutent la radio !
Une intéressante enquête Médiamétrie publiée dans la lettre du CSA de juin
(voir pages 2 à 4) donnent de bons enseignements sur une base de 6 années
:
qui écoute la radio, combien de temps, sur quel type d'appareils, où,
etc...
On y apprend que le jeune auditoire (notamment 13/24 ans) est le plus
"faible"
auditeur en durée d'écoute, que les radios généralistes montent tandis que
les
musicales baissent, que 50,2 % de l'écoute de la radio se fait à la
maison,
26,2 % en voiture, 19,5 % au travail, et 4,1 % dans d'autres endroits non
définis.
Tout à fait normal, les jeunes se sont detournés de la radio pour
télécharger à la place... Mais pourtant, les ventes de disques (matériel ou
immatériels) sont réalisés en majorité auprès des jeunes. Les radios
musicales ne se sont jamais remises en cause et reposent sur leurs acquis
des années 80, NRJ en est le plus bel exemple... Une radio qui ne fait que
reculer à mesure que son auditoire vieillit, lequel change pour d'autres
programmes. Les jeunes par contre, vont plutot voir Skyrock qui a justement
mis en place des systèmes interractifs de skyblogs et de libre antenne avec
une liaison sur Internet. Ca montre bien que la radio est un média dont
l'auditoire général vieillit et dont les jeunes se détournent en partie.
D'ou les évolutions d'applications mobiles susceptibles de faire bouger les
choses.