j'ai l'impression, mais dites-moi si je me trompe, qu'il manque sur
fr.* un groupe d=E9di=E9 au traitement audio (num=E9rique ou analogique).
Par exemple sur les outils pour cr=E9er des MP3, comment enregistrer une
source analogique sur un PC, etc...
fr.comp.musique pourrait =EAtre celui-l=E0, mais le mot "musique" est un
peu restrictif, de m=EAme que "comp".
fr.rec.son-image.hifi, ben c'est la hifi, quoi, un sujet tr=E8s
particulier.
Sur hardware.fr, il existe un forum "traitement audio" plut=F4t actif.
Est-ce qu'un nouveau groupe fr.rec.son-image.audio ne serait pas
justif=E9 ?
Gérald, tu as encore oublié de citer ce qui aide à la compréhension. Il est impossible, de savoir de quoi parle Jean-Yves ici.
C'est une question de point de vue. On le prend par un bout ou on le prend par l'autre. Ça m'a tout l'air d'être une question de précédence: qu'est-ce qui vient en premier? (qu'est-ce qui est le plus important?)
La durée !
Tu veux dire : le fait que c'est comme ça depuis longtemps ?
Et à ce titre (et faute d'une raison vraiment majeure, il faut bien le dire) mieux vaut laisser les choses en l'état, dont tout le monde *ou presque* parmi les *participants* du groupe savait s'accomoder.
Je te rappelle que tu m'as repproché mon orthographe.
Par ailleurs, "il vaut mieux" est un argument bien insuffisant.
On aurait d'ailleurs déjà dû changer plusieurs fois depuis la création du groupe et je veux bien prendre le pari qu'il faudrait à nouveau remettre le couvert dans moins de trois ans si on devait maintenir ce niveau d'exigence.
Pas si on ne limite pas le groupe à certains outils. Si on ne parle que du but, ça durera jusqu'à ce que ce but n'intéresse plus personne.
C'est pourquoi ma proposition récurrente est de laisser ce groupe exister et continuer d'évoluer sur les bases (et l'ambiguïté, je l'admets) qui sont les siennes, et libre à ceux qui pensent (peut-être à juste titre) qu'un groupe mieux nommé et à charte mieux définie serait nécessaire -en particulier pour drainer des gens qui ne savent pas où chercher - libre à eux, dis-je, de créer ce groupe et de le faire vivre.
Si on fait comme tu dis, il y aura - fr.comp.musique - fr.truc où tout, ou presque, ce qui concerne fr.comp.musique est en charte plus d'autres choses.
Ça ne te parait pas absurde ?
S'il y a 2 groupes, ça signifie forcément de restreindre fr.comp.musique à sa charte (telle qu'elle est écrite, pas telle qu'elle est pratiquée), c'est à dire ce qui est purement informatique, c'est à dire que tout ce qui est matériel et tout ce qui est l'usage de logiciels comme Samplitude ou Absynth est HC.
Si c'est ce que tu désires, je comprend cette logique et je veux bien que la discussion aille dans ce sens. Sinon, pour qu'on puisse comprendre, il faudrait que tu définises les limites de chaque groupe, au moins celles de fr.comp.musique.
-- siger
Gerald a écrit :
Jean-Yves Bernier <grokub@pescadoo.net> wrote:
Gérald, tu as encore oublié de citer ce qui aide à la compréhension. Il
est impossible, de savoir de quoi parle Jean-Yves ici.
C'est une question de point de vue. On le prend par un bout ou on
le prend par l'autre. Ça m'a tout l'air d'être une question de
précédence: qu'est-ce qui vient en premier? (qu'est-ce qui est le
plus important?)
La durée !
Tu veux dire : le fait que c'est comme ça depuis longtemps ?
Et à ce titre (et faute d'une raison vraiment majeure, il faut
bien le dire) mieux vaut laisser les choses en l'état, dont tout
le monde *ou presque* parmi les *participants* du groupe savait
s'accomoder.
Je te rappelle que tu m'as repproché mon orthographe.
Par ailleurs, "il vaut mieux" est un argument bien insuffisant.
On aurait d'ailleurs déjà dû changer plusieurs
fois depuis la création du groupe et je veux bien prendre le pari
qu'il faudrait à nouveau remettre le couvert dans moins de trois
ans si on devait maintenir ce niveau d'exigence.
Pas si on ne limite pas le groupe à certains outils. Si on ne parle que
du but, ça durera jusqu'à ce que ce but n'intéresse plus personne.
C'est pourquoi ma proposition récurrente est de laisser ce groupe
exister et continuer d'évoluer sur les bases (et l'ambiguïté, je
l'admets) qui sont les siennes, et libre à ceux qui pensent
(peut-être à juste titre) qu'un groupe mieux nommé et à charte
mieux définie serait nécessaire -en particulier pour drainer des
gens qui ne savent pas où chercher - libre à eux, dis-je, de créer
ce groupe et de le faire vivre.
Si on fait comme tu dis, il y aura
- fr.comp.musique
- fr.truc où tout, ou presque, ce qui concerne fr.comp.musique est en
charte plus d'autres choses.
Ça ne te parait pas absurde ?
S'il y a 2 groupes, ça signifie forcément de restreindre
fr.comp.musique à sa charte (telle qu'elle est écrite, pas telle
qu'elle est pratiquée), c'est à dire ce qui est purement informatique,
c'est à dire que tout ce qui est matériel et tout ce qui est l'usage de
logiciels comme Samplitude ou Absynth est HC.
Si c'est ce que tu désires, je comprend cette logique et je veux bien
que la discussion aille dans ce sens. Sinon, pour qu'on puisse
comprendre, il faudrait que tu définises les limites de chaque groupe,
au moins celles de fr.comp.musique.
Gérald, tu as encore oublié de citer ce qui aide à la compréhension. Il est impossible, de savoir de quoi parle Jean-Yves ici.
C'est une question de point de vue. On le prend par un bout ou on le prend par l'autre. Ça m'a tout l'air d'être une question de précédence: qu'est-ce qui vient en premier? (qu'est-ce qui est le plus important?)
La durée !
Tu veux dire : le fait que c'est comme ça depuis longtemps ?
Et à ce titre (et faute d'une raison vraiment majeure, il faut bien le dire) mieux vaut laisser les choses en l'état, dont tout le monde *ou presque* parmi les *participants* du groupe savait s'accomoder.
Je te rappelle que tu m'as repproché mon orthographe.
Par ailleurs, "il vaut mieux" est un argument bien insuffisant.
On aurait d'ailleurs déjà dû changer plusieurs fois depuis la création du groupe et je veux bien prendre le pari qu'il faudrait à nouveau remettre le couvert dans moins de trois ans si on devait maintenir ce niveau d'exigence.
Pas si on ne limite pas le groupe à certains outils. Si on ne parle que du but, ça durera jusqu'à ce que ce but n'intéresse plus personne.
C'est pourquoi ma proposition récurrente est de laisser ce groupe exister et continuer d'évoluer sur les bases (et l'ambiguïté, je l'admets) qui sont les siennes, et libre à ceux qui pensent (peut-être à juste titre) qu'un groupe mieux nommé et à charte mieux définie serait nécessaire -en particulier pour drainer des gens qui ne savent pas où chercher - libre à eux, dis-je, de créer ce groupe et de le faire vivre.
Si on fait comme tu dis, il y aura - fr.comp.musique - fr.truc où tout, ou presque, ce qui concerne fr.comp.musique est en charte plus d'autres choses.
Ça ne te parait pas absurde ?
S'il y a 2 groupes, ça signifie forcément de restreindre fr.comp.musique à sa charte (telle qu'elle est écrite, pas telle qu'elle est pratiquée), c'est à dire ce qui est purement informatique, c'est à dire que tout ce qui est matériel et tout ce qui est l'usage de logiciels comme Samplitude ou Absynth est HC.
Si c'est ce que tu désires, je comprend cette logique et je veux bien que la discussion aille dans ce sens. Sinon, pour qu'on puisse comprendre, il faudrait que tu définises les limites de chaque groupe, au moins celles de fr.comp.musique.
-- siger
redgiantstarNO$PAM
Alex Marandon wrote:
Oui dans un sens, ça permet d'éxécuter un programme existant de manière interactive, mais ce n'est pas comme ce que proposent Ruby, CLisp, etc. qui permettent d'éxécuter des instructions entrées au fur et à mesure, comme dans un shell.
T'as essayé perl tout court ? De mémoire cela fonctionne car c'est un interpréteur de commandes comme un bourne shell.
Alex Marandon wrote:
Oui dans un sens, ça permet d'éxécuter un programme existant de manière
interactive, mais ce n'est pas comme ce que proposent Ruby, CLisp, etc.
qui permettent d'éxécuter des instructions entrées au fur et à mesure,
comme dans un shell.
T'as essayé perl tout court ? De mémoire cela fonctionne car c'est un
interpréteur de commandes comme un bourne shell.
Oui dans un sens, ça permet d'éxécuter un programme existant de manière interactive, mais ce n'est pas comme ce que proposent Ruby, CLisp, etc. qui permettent d'éxécuter des instructions entrées au fur et à mesure, comme dans un shell.
T'as essayé perl tout court ? De mémoire cela fonctionne car c'est un interpréteur de commandes comme un bourne shell.
pehache
Gerald wrote:
Et à ce titre (et faute d'une raison vraiment majeure, il faut bien le dire) mieux vaut laisser les choses en l'état, dont tout le monde *ou presque* parmi les *participants* du groupe savait s'accomoder.
Drôle de raisonnement, non ?
Par définition, les participants du groupe s'en accomodent, sinon ils ne seraient pas participants.
-- pehache
Gerald wrote:
Et à ce titre (et faute d'une raison vraiment majeure, il faut bien le
dire) mieux vaut laisser les choses en l'état, dont tout le monde *ou
presque* parmi les *participants* du groupe savait s'accomoder.
Drôle de raisonnement, non ?
Par définition, les participants du groupe s'en accomodent, sinon ils
ne seraient pas participants.
Et à ce titre (et faute d'une raison vraiment majeure, il faut bien le dire) mieux vaut laisser les choses en l'état, dont tout le monde *ou presque* parmi les *participants* du groupe savait s'accomoder.
Drôle de raisonnement, non ?
Par définition, les participants du groupe s'en accomodent, sinon ils ne seraient pas participants.
-- pehache
siger
Jean-Yves Bernier a écrit :
siger wrote:
il faudrait que tu définises les limites de chaque groupe, au moins celles de fr.comp.musique.
Vous êtes du genre enclosures, hein?
Ben non puisque ce n'est pas moi qui veut plusieurs groupes. Vous avez des déductions étonnantes.
J'aimerai que celui qui propose plus de 1 groupe explique les limites de la charte de chacun, sinon il est impossible d'en discuter.
-- siger
Jean-Yves Bernier a écrit :
siger <guinness@hic.invalid> wrote:
il faudrait que tu définises les limites de chaque groupe,
au moins celles de fr.comp.musique.
Vous êtes du genre enclosures, hein?
Ben non puisque ce n'est pas moi qui veut plusieurs groupes.
Vous avez des déductions étonnantes.
J'aimerai que celui qui propose plus de 1 groupe explique les limites
de la charte de chacun, sinon il est impossible d'en discuter.
Le Thu, 17 Nov 2005 12:09:40 +0100, redgiantstarNO$PAM a écrit :
T'as essayé perl tout court ? De mémoire cela fonctionne car c'est un interpréteur de commandes comme un bourne shell.
Non. Mais perl -d, oui.
-- Toutes les organisations ont leur règles, et les Femmes Algériennes doivent avoir aussi leurs règles. Aït Ahmed.
pehache
Jean-Yves Bernier wrote:
Détrompez-vous. Je suis informaticien, avec il est vrai une bonne couche de ts/acoustique par-dessus, et j'ai travaillé en étroite collaborati on avec des musiciens. L'intérêt est que l'un sait ce qu'il veut mais ne sait pas comment l'obtenir, l'autre ne sait pas ce qu'il veut mais sait comment l'obtenir.
Et le langage commun entre vous, c'est quoi ? L'informatique ou la musique ?
Dans mon travail, je fais également énormément de programmation. On peut même dire qu'en pratique ma profession ne peut aujourd'hui s'exercer sans cet aspect programmation omniprésent. Et pourtant je ne me suis jamais considéré comme informaticien, même si j'en ai certaines compétences (et parfois d'assez haut niveau sur certains points je pense). L'informatique reste pour moi un outil, rien de plus, même si il est fondamental. Pas confondre buts et moyens, à nouveau.
Par ailleurs ton cas est AMA peu représentatif des contributeurs potentiels. Si je te comprends bien, tu conçois/développes des outils informatiques pour la musique. La grande majorité est constituée d'utilisateurs d'outils.
-- pehache
Jean-Yves Bernier wrote:
Détrompez-vous. Je suis informaticien, avec il est vrai une bonne couche
de ts/acoustique par-dessus, et j'ai travaillé en étroite collaborati on
avec des musiciens. L'intérêt est que l'un sait ce qu'il veut mais ne
sait pas comment l'obtenir, l'autre ne sait pas ce qu'il veut mais sait
comment l'obtenir.
Et le langage commun entre vous, c'est quoi ? L'informatique ou la
musique ?
Dans mon travail, je fais également énormément de programmation. On
peut même dire qu'en pratique ma profession ne peut aujourd'hui
s'exercer sans cet aspect programmation omniprésent. Et pourtant je ne
me suis jamais considéré comme informaticien, même si j'en ai
certaines compétences (et parfois d'assez haut niveau sur certains
points je pense). L'informatique reste pour moi un outil, rien de plus,
même si il est fondamental. Pas confondre buts et moyens, à nouveau.
Par ailleurs ton cas est AMA peu représentatif des contributeurs
potentiels. Si je te comprends bien, tu conçois/développes des outils
informatiques pour la musique. La grande majorité est constituée
d'utilisateurs d'outils.
Détrompez-vous. Je suis informaticien, avec il est vrai une bonne couche de ts/acoustique par-dessus, et j'ai travaillé en étroite collaborati on avec des musiciens. L'intérêt est que l'un sait ce qu'il veut mais ne sait pas comment l'obtenir, l'autre ne sait pas ce qu'il veut mais sait comment l'obtenir.
Et le langage commun entre vous, c'est quoi ? L'informatique ou la musique ?
Dans mon travail, je fais également énormément de programmation. On peut même dire qu'en pratique ma profession ne peut aujourd'hui s'exercer sans cet aspect programmation omniprésent. Et pourtant je ne me suis jamais considéré comme informaticien, même si j'en ai certaines compétences (et parfois d'assez haut niveau sur certains points je pense). L'informatique reste pour moi un outil, rien de plus, même si il est fondamental. Pas confondre buts et moyens, à nouveau.
Par ailleurs ton cas est AMA peu représentatif des contributeurs potentiels. Si je te comprends bien, tu conçois/développes des outils informatiques pour la musique. La grande majorité est constituée d'utilisateurs d'outils.
-- pehache
Alex Marandon
On 2005-11-17, Emmanuel Florac wrote:
Tu dis ça parce que tu n'as pas essayé :) En fait on peut très bien entrer des commandes directement, pendant l'éxécution ou avant.
Zut, je suis démasqué. Alors essayons.
$ perl -d
Loading DB routines from perl5db.pl version 1.28 Editor support available.
Enter h or `h h' for help, or `man perldebug' for more help.
Je suis curieux de voir la version Perl, j'aurais apris quelque chose.
Je ne reproche pas à Perl son manque de pureté conceptuelle sur ce point, mais son utilisabilié. On peut penser que ce n'est qu'une question de « syntactic sugar », mais à l'usage, c'est bien agréable un peu de douceur.
Il y a de très jolis modules pour offrir le sucre maintenant :)
Encore des paliatifs... Et voila Perl, des modules pour ci, des modules pour ça, et à l'arrivée on se retrouve avec des soucis de maintenance inhérents au fait de multiplier les dépendances (déploiements, problèmes de rétro-compatibilité entre versions). Mais je sais, il y a des modules pour ça aussi !-)
Que tout ce qui est réflexivité (découverte des fonctionalités, ajouts de comportements, etc.) me parait moins clair à utiliser. Je sais que certains font des choses "magiques" en allant trifouiller dans la table des symboles de Perl. Mais ça me parait moins simple qu'en Python, c'est pourquoi j'ai parlé d'ésotérisme plutot que de limitation car je pense qu'on doit pouvoir faire les même choses à l'arrivée.
Oui, bien sûr. D'un autre côté, la grande force de Perl c'est de n'obliger personne à rien. C'est plus difficile pour certains, mais le souffle de la liberté est irremplaçable (un peu comme utiliser Linux plutôt que Windows, quoi...)
Mais les autres langages libres n'obligent à rien non plus. Je ne vois pas en quoi Perl offre plus de liberté, c'est plutôt lui qui prends des libertés envers ses utilisateurs avec ses mille et un cas particuliers. La liberté n'implique pas nécessairement le bordel (un peu comme utiliser un BSD plutot que Linux).
Mais en fait j'avoue que ce côté foufou ne me déplait pas complétement, il y a aspect ludique que j'ai d'ailleurs retrouvé quand je me mis au C++.
On 2005-11-17, Emmanuel Florac <eflorac@imaginet.fr> wrote:
Tu dis ça parce que tu n'as pas essayé :) En fait on peut très bien
entrer des commandes directement, pendant l'éxécution ou avant.
Zut, je suis démasqué. Alors essayons.
$ perl -d
Loading DB routines from perl5db.pl version 1.28
Editor support available.
Enter h or `h h' for help, or `man perldebug' for more help.
Je suis curieux de voir la version Perl, j'aurais apris quelque chose.
Je ne reproche pas à Perl son manque de pureté conceptuelle sur ce
point, mais son utilisabilié. On peut penser que ce n'est qu'une
question de « syntactic sugar », mais à l'usage, c'est bien agréable
un peu de douceur.
Il y a de très jolis modules pour offrir le sucre maintenant :)
Encore des paliatifs... Et voila Perl, des modules pour ci, des modules
pour ça, et à l'arrivée on se retrouve avec des soucis de maintenance
inhérents au fait de multiplier les dépendances (déploiements, problèmes
de rétro-compatibilité entre versions). Mais je sais, il y a des
modules pour ça aussi !-)
Que tout ce qui est réflexivité (découverte des fonctionalités,
ajouts de comportements, etc.) me parait moins clair à utiliser. Je
sais que certains font des choses "magiques" en allant trifouiller dans
la table des symboles de Perl. Mais ça me parait moins simple qu'en
Python, c'est pourquoi j'ai parlé d'ésotérisme plutot que de
limitation car je pense qu'on doit pouvoir faire les même choses à
l'arrivée.
Oui, bien sûr. D'un autre côté, la grande force de Perl c'est de
n'obliger personne à rien. C'est plus difficile pour certains, mais le
souffle de la liberté est irremplaçable (un peu comme utiliser Linux
plutôt que Windows, quoi...)
Mais les autres langages libres n'obligent à rien non plus. Je ne vois
pas en quoi Perl offre plus de liberté, c'est plutôt lui qui prends des
libertés envers ses utilisateurs avec ses mille et un cas particuliers.
La liberté n'implique pas nécessairement le bordel (un peu comme
utiliser un BSD plutot que Linux).
Mais en fait j'avoue que ce côté foufou ne me déplait pas complétement,
il y a aspect ludique que j'ai d'ailleurs retrouvé quand je me mis au
C++.
Je suis curieux de voir la version Perl, j'aurais apris quelque chose.
Je ne reproche pas à Perl son manque de pureté conceptuelle sur ce point, mais son utilisabilié. On peut penser que ce n'est qu'une question de « syntactic sugar », mais à l'usage, c'est bien agréable un peu de douceur.
Il y a de très jolis modules pour offrir le sucre maintenant :)
Encore des paliatifs... Et voila Perl, des modules pour ci, des modules pour ça, et à l'arrivée on se retrouve avec des soucis de maintenance inhérents au fait de multiplier les dépendances (déploiements, problèmes de rétro-compatibilité entre versions). Mais je sais, il y a des modules pour ça aussi !-)
Que tout ce qui est réflexivité (découverte des fonctionalités, ajouts de comportements, etc.) me parait moins clair à utiliser. Je sais que certains font des choses "magiques" en allant trifouiller dans la table des symboles de Perl. Mais ça me parait moins simple qu'en Python, c'est pourquoi j'ai parlé d'ésotérisme plutot que de limitation car je pense qu'on doit pouvoir faire les même choses à l'arrivée.
Oui, bien sûr. D'un autre côté, la grande force de Perl c'est de n'obliger personne à rien. C'est plus difficile pour certains, mais le souffle de la liberté est irremplaçable (un peu comme utiliser Linux plutôt que Windows, quoi...)
Mais les autres langages libres n'obligent à rien non plus. Je ne vois pas en quoi Perl offre plus de liberté, c'est plutôt lui qui prends des libertés envers ses utilisateurs avec ses mille et un cas particuliers. La liberté n'implique pas nécessairement le bordel (un peu comme utiliser un BSD plutot que Linux).
Mais en fait j'avoue que ce côté foufou ne me déplait pas complétement, il y a aspect ludique que j'ai d'ailleurs retrouvé quand je me mis au C++.
Emmanuel Florac
Le Thu, 17 Nov 2005 18:46:55 +0000, Alex Marandon a écrit :
Je suis curieux de voir la version Perl, j'aurais appris quelque chose.
Tu serais pas légèrement de mauvaise foi sur ce coup? :)
emmanuel[~]$ perl -d (appui sur <ctrl+d> pour avoir le prompt)
DB<1> $toto=1;
DB<2> print $toto; 1 DB<3> sub rere { return "youpi"}
DB<4> print rere(); youpi DB<5> sub rara { return $_[0]*3}
DB<6> print rara($toto); 3 DB<7> $toto+=2;
DB<8> print rara($toto); 9
Et il y a l'historique, mais pas la complétion. Voilà, tu as appris quelque chose de très pratique en perl :)
Encore des paliatifs... Et voila Perl, des modules pour ci, des modules pour ça, et à l'arrivée on se retrouve avec des soucis de maintenance inhérents au fait de multiplier les dépendances (déploiements, problèmes de rétro-compatibilité entre versions). Mais je sais, il y a des modules pour ça aussi !-)
En effet :)
Oui, bien sûr. D'un autre côté, la grande force de Perl c'est de n'obliger personne à rien. C'est plus difficile pour certains, mais le souffle de la liberté est irremplaçable (un peu comme utiliser Linux plutôt que Windows, quoi...)
Mais les autres langages libres n'obligent à rien non plus.
Mais si. Par exemple Python t'oblige à indenter comme prévu. Pas de "GNU style", "BSD style" ou "K&R style" ou "gros crado style" : tu es forcé de suivre le style prévu... Ruby te force quand même un peu à faire de l'objet, même si tu veux faire autre chose.
Mais en fait j'avoue que ce côté foufou ne me déplait pas complétement, il y a aspect ludique que j'ai d'ailleurs retrouvé quand je me mis au C++.
Heu, C++ c'est bien pire : tout ce que tu sais c'est que tu ne sais rien :)
-- A travers l'audimat, c'est la logique du commercial qui s'impose aux productions culturelles. Or, il est important de savoir que, historiquement, toutes les productions culturelles que je considère, - et je ne suis pas le seul, j'espère -, qu'un certain nombre de gens considèrent comme les productions les plus hautes de l'humanité, les mathématiques, la poésie, la littérature, la philosophie, toutes ces choses ont été produites contre l'équivalent de l'audimat, contre la logique du commerce. Pierre Bourdieu, "Sur la télévision". Raison d'Agir Editions, décembre 1996
Le Thu, 17 Nov 2005 18:46:55 +0000, Alex Marandon a écrit :
Je suis curieux de voir la version Perl, j'aurais appris quelque chose.
Tu serais pas légèrement de mauvaise foi sur ce coup? :)
emmanuel[~]$ perl -d
(appui sur <ctrl+d> pour avoir le prompt)
DB<1> $toto=1;
DB<2> print $toto;
1
DB<3> sub rere { return "youpi"}
DB<4> print rere();
youpi
DB<5> sub rara { return $_[0]*3}
DB<6> print rara($toto);
3
DB<7> $toto+=2;
DB<8> print rara($toto);
9
Et il y a l'historique, mais pas la complétion. Voilà, tu as appris
quelque chose de très pratique en perl :)
Encore des paliatifs... Et voila Perl, des modules pour ci, des modules
pour ça, et à l'arrivée on se retrouve avec des soucis de maintenance
inhérents au fait de multiplier les dépendances (déploiements,
problèmes de rétro-compatibilité entre versions). Mais je sais, il y
a des modules pour ça aussi !-)
En effet :)
Oui, bien sûr. D'un autre côté, la grande force de Perl c'est de
n'obliger personne à rien. C'est plus difficile pour certains, mais le
souffle de la liberté est irremplaçable (un peu comme utiliser Linux
plutôt que Windows, quoi...)
Mais les autres langages libres n'obligent à rien non plus.
Mais si. Par exemple Python t'oblige à indenter comme prévu. Pas de "GNU
style", "BSD style" ou "K&R style" ou "gros crado style" : tu es forcé de
suivre le style prévu...
Ruby te force quand même un peu à faire de l'objet, même si tu veux
faire autre chose.
Mais en fait j'avoue que ce côté foufou ne me déplait pas
complétement, il y a aspect ludique que j'ai d'ailleurs retrouvé quand
je me mis au C++.
Heu, C++ c'est bien pire : tout ce que tu sais c'est que tu ne sais rien :)
--
A travers l'audimat, c'est la logique du commercial qui s'impose aux
productions culturelles. Or, il est important de savoir que,
historiquement, toutes les productions culturelles que je considère, -
et je ne suis pas le seul, j'espère -, qu'un certain nombre de gens
considèrent comme les productions les plus hautes de l'humanité, les
mathématiques, la poésie, la littérature, la philosophie, toutes ces
choses ont été produites contre l'équivalent de l'audimat, contre la
logique du commerce.
Pierre Bourdieu, "Sur la télévision". Raison d'Agir Editions, décembre
1996
Le Thu, 17 Nov 2005 18:46:55 +0000, Alex Marandon a écrit :
Je suis curieux de voir la version Perl, j'aurais appris quelque chose.
Tu serais pas légèrement de mauvaise foi sur ce coup? :)
emmanuel[~]$ perl -d (appui sur <ctrl+d> pour avoir le prompt)
DB<1> $toto=1;
DB<2> print $toto; 1 DB<3> sub rere { return "youpi"}
DB<4> print rere(); youpi DB<5> sub rara { return $_[0]*3}
DB<6> print rara($toto); 3 DB<7> $toto+=2;
DB<8> print rara($toto); 9
Et il y a l'historique, mais pas la complétion. Voilà, tu as appris quelque chose de très pratique en perl :)
Encore des paliatifs... Et voila Perl, des modules pour ci, des modules pour ça, et à l'arrivée on se retrouve avec des soucis de maintenance inhérents au fait de multiplier les dépendances (déploiements, problèmes de rétro-compatibilité entre versions). Mais je sais, il y a des modules pour ça aussi !-)
En effet :)
Oui, bien sûr. D'un autre côté, la grande force de Perl c'est de n'obliger personne à rien. C'est plus difficile pour certains, mais le souffle de la liberté est irremplaçable (un peu comme utiliser Linux plutôt que Windows, quoi...)
Mais les autres langages libres n'obligent à rien non plus.
Mais si. Par exemple Python t'oblige à indenter comme prévu. Pas de "GNU style", "BSD style" ou "K&R style" ou "gros crado style" : tu es forcé de suivre le style prévu... Ruby te force quand même un peu à faire de l'objet, même si tu veux faire autre chose.
Mais en fait j'avoue que ce côté foufou ne me déplait pas complétement, il y a aspect ludique que j'ai d'ailleurs retrouvé quand je me mis au C++.
Heu, C++ c'est bien pire : tout ce que tu sais c'est que tu ne sais rien :)
-- A travers l'audimat, c'est la logique du commercial qui s'impose aux productions culturelles. Or, il est important de savoir que, historiquement, toutes les productions culturelles que je considère, - et je ne suis pas le seul, j'espère -, qu'un certain nombre de gens considèrent comme les productions les plus hautes de l'humanité, les mathématiques, la poésie, la littérature, la philosophie, toutes ces choses ont été produites contre l'équivalent de l'audimat, contre la logique du commerce. Pierre Bourdieu, "Sur la télévision". Raison d'Agir Editions, décembre 1996
Alain Naigeon
> A travers l'audimat, c'est la logique du commercial qui s'impose aux productions culturelles.
Excellente cause...
Or, il est important de savoir que, historiquement, toutes les productions culturelles que je considère, - et je ne suis pas le seul, j'espère -, qu'un certain nombre de gens considèrent comme les productions les plus hautes de l'humanité, les mathématiques, la poésie, la littérature, la philosophie, toutes ces choses ont été produites contre l'équivalent de l'audimat, contre la logique du commerce. Pierre Bourdieu, "Sur la télévision". Raison d'Agir Editions, décembre 1996
Mauvais argument, c'est faux , "toutes" est ridicule : de nombreux chefs d'oeuvres ont été des triomphes immédiats. Ou alors ce Monsieur est atteint d'un syndrome assez répandu, consistant à penser que tout ce qui plaît à d'autres que Lui ne peut être que de la merde. Quant à l'audimat à propos des maths, c'est soit de l'almanach Vermot, soit ce qu'on appelle un effet réthorique.
Ni pute ni soumise, ni TF1 ni Bourdieu.
--
Français *==> "Musique renaissance" <==* English midi - facsimiles - ligatures - mensuration http://anaigeon.free.fr | http://www.medieval.org/emfaq/anaigeon/ Alain Naigeon - - Strasbourg, France
> A travers l'audimat, c'est la logique du commercial qui s'impose aux
productions culturelles.
Excellente cause...
Or, il est important de savoir que,
historiquement, toutes les productions culturelles que je considère, -
et je ne suis pas le seul, j'espère -, qu'un certain nombre de gens
considèrent comme les productions les plus hautes de l'humanité, les
mathématiques, la poésie, la littérature, la philosophie, toutes ces
choses ont été produites contre l'équivalent de l'audimat, contre la
logique du commerce.
Pierre Bourdieu, "Sur la télévision". Raison d'Agir Editions, décembre
1996
Mauvais argument, c'est faux , "toutes" est ridicule : de nombreux chefs
d'oeuvres ont été des triomphes immédiats. Ou alors ce Monsieur
est atteint d'un syndrome assez répandu, consistant à penser que tout
ce qui plaît à d'autres que Lui ne peut être que de la merde. Quant
à l'audimat à propos des maths, c'est soit de l'almanach Vermot, soit
ce qu'on appelle un effet réthorique.
Ni pute ni soumise, ni TF1 ni Bourdieu.
--
Français *==> "Musique renaissance" <==* English
midi - facsimiles - ligatures - mensuration
http://anaigeon.free.fr | http://www.medieval.org/emfaq/anaigeon/
Alain Naigeon - anaigeon@free.fr - Strasbourg, France
> A travers l'audimat, c'est la logique du commercial qui s'impose aux productions culturelles.
Excellente cause...
Or, il est important de savoir que, historiquement, toutes les productions culturelles que je considère, - et je ne suis pas le seul, j'espère -, qu'un certain nombre de gens considèrent comme les productions les plus hautes de l'humanité, les mathématiques, la poésie, la littérature, la philosophie, toutes ces choses ont été produites contre l'équivalent de l'audimat, contre la logique du commerce. Pierre Bourdieu, "Sur la télévision". Raison d'Agir Editions, décembre 1996
Mauvais argument, c'est faux , "toutes" est ridicule : de nombreux chefs d'oeuvres ont été des triomphes immédiats. Ou alors ce Monsieur est atteint d'un syndrome assez répandu, consistant à penser que tout ce qui plaît à d'autres que Lui ne peut être que de la merde. Quant à l'audimat à propos des maths, c'est soit de l'almanach Vermot, soit ce qu'on appelle un effet réthorique.
Ni pute ni soumise, ni TF1 ni Bourdieu.
--
Français *==> "Musique renaissance" <==* English midi - facsimiles - ligatures - mensuration http://anaigeon.free.fr | http://www.medieval.org/emfaq/anaigeon/ Alain Naigeon - - Strasbourg, France
Gerald
pehache wrote:
Drôle de raisonnement, non ?
Par définition, les participants du groupe s'en accomodent, sinon ils ne seraient pas participants.
Je faisais référence aux "lurkeurs" que je définis comme "non participants" et qui ne s'en accomodaient pas puisqu'ils demandaient une modification ! (ce que plusieurs ici trouvaient, au minimum, ambigu). -- Gérald
pehache <pehache_bidon@hotmail.com> wrote:
Drôle de raisonnement, non ?
Par définition, les participants du groupe s'en accomodent, sinon ils
ne seraient pas participants.
Je faisais référence aux "lurkeurs" que je définis comme "non
participants" et qui ne s'en accomodaient pas puisqu'ils demandaient une
modification ! (ce que plusieurs ici trouvaient, au minimum, ambigu).
--
Gérald
Par définition, les participants du groupe s'en accomodent, sinon ils ne seraient pas participants.
Je faisais référence aux "lurkeurs" que je définis comme "non participants" et qui ne s'en accomodaient pas puisqu'ils demandaient une modification ! (ce que plusieurs ici trouvaient, au minimum, ambigu). -- Gérald