Extrait de la décision du Conseil constitutionnel : "les articles 5
et 11 de la loi déférée confiaient à la commission de protection des
droits de l'HADOPI des pouvoirs de sanction l'habilitant à
restreindre ou à empêcher l'accès à Internet à des titulaires
d'abonnement. Ces pouvoirs pouvaient donc conduire à restreindre
l'exercice, par toute personne, de son droit de s'exprimer et de
communiquer librement. Dans ces conditions, le législateur ne
pouvait, quelles que soient les garanties encadrant le
prononcé des sanctions, confier de tels pouvoirs à une autorité
administrative dans le but de protéger les titulaires du droit
d'auteur. Ces pouvoirs ne peuvent incomber qu'au juge".
Extrait de la décision du Conseil constitutionnel : "les articles 5
et 11 de la loi déférée confiaient à la commission de protection des
droits de l'HADOPI des pouvoirs de sanction l'habilitant à
restreindre ou à empêcher l'accès à Internet à des titulaires
d'abonnement. Ces pouvoirs pouvaient donc conduire à restreindre
l'exercice, par toute personne, de son droit de s'exprimer et de
communiquer librement. Dans ces conditions, le législateur ne
pouvait, quelles que soient les garanties encadrant le
prononcé des sanctions, confier de tels pouvoirs à une autorité
administrative dans le but de protéger les titulaires du droit
d'auteur. Ces pouvoirs ne peuvent incomber qu'au juge".
Extrait de la décision du Conseil constitutionnel : "les articles 5
et 11 de la loi déférée confiaient à la commission de protection des
droits de l'HADOPI des pouvoirs de sanction l'habilitant à
restreindre ou à empêcher l'accès à Internet à des titulaires
d'abonnement. Ces pouvoirs pouvaient donc conduire à restreindre
l'exercice, par toute personne, de son droit de s'exprimer et de
communiquer librement. Dans ces conditions, le législateur ne
pouvait, quelles que soient les garanties encadrant le
prononcé des sanctions, confier de tels pouvoirs à une autorité
administrative dans le but de protéger les titulaires du droit
d'auteur. Ces pouvoirs ne peuvent incomber qu'au juge".
ben ... on attend encore le nom d'un pauvre
artiste ruiné par le téléchargement...
ben ... on attend encore le nom d'un pauvre
artiste ruiné par le téléchargement...
ben ... on attend encore le nom d'un pauvre
artiste ruiné par le téléchargement...
Il y a une réflexion à mener sur le statut de l'artiste qui n'est pas
simple. Il est dommage de l'évacuer d'une pirouette.
Il y a une réflexion à mener sur le statut de l'artiste qui n'est pas
simple. Il est dommage de l'évacuer d'une pirouette.
Il y a une réflexion à mener sur le statut de l'artiste qui n'est pas
simple. Il est dommage de l'évacuer d'une pirouette.
Et puis sur le fond, un artiste, comme un footballeur ou un pdg a t il
besoin de devenir immensement riche ?
C'ets un modele de societe qu'il faut repenser.
Et puis sur le fond, un artiste, comme un footballeur ou un pdg a t il
besoin de devenir immensement riche ?
C'ets un modele de societe qu'il faut repenser.
Et puis sur le fond, un artiste, comme un footballeur ou un pdg a t il
besoin de devenir immensement riche ?
C'ets un modele de societe qu'il faut repenser.
Je transmettrai à mes copains rmistes. Je peux leur transmettre aussi
d'où tu parles et comment tu vis pour qu'ils se fassent une idée de la
valeur d'exemple que cela représente ? :-) Chiche ?
J'ai longtemps défendu, comme toi (et je persiste en un sens) que si on
faisait des voeux, tout le monde voudrait être artiste et personne
égoutier. Que la musique ne devrait donc être qu'un loisir en plus d'un
travail.
D'un autre côté, la création musicale est *aussi* un métier, qui
nécessite de nombreuses années d'études spécifiques qui dépassent le
loisir, et on ne voit pas au nom de quoi un musicien devrait travailler
plus gratuitement qu'un boulanger, si son travail est utile à d'autres.
Ce qui est insupportable dès qu'on s'éloigne d'une protection du genre
"droit d'auteur" (à la française), c'est d'une part que les vrais
créateurs sont souvent restés pauvres et qu'on ne peut guère leur
reprocher d'avoir vécu sur le dos de leur prochain, et d'autre part
qu'il ne manque pas de "malins" en embuscade pour leur piquer ensuite
leurs idées originales et en faire du fric. C'est déjà beaucoup le cas,
ce le serait encore plus sans règlementation.
Et ne peut-on, toi et moi, mettre hors du champ d'action de cette
discussion les bouffons du music-business qui sont à l'art ce qu'une
bicyclette est à un poisson rouge ?
Tout simple : taxer (vraiment ! Fort !) les revenus du capital. Point.
Tout de suite tu verrais comme tout irait mieux :-)
Je transmettrai à mes copains rmistes. Je peux leur transmettre aussi
d'où tu parles et comment tu vis pour qu'ils se fassent une idée de la
valeur d'exemple que cela représente ? :-) Chiche ?
J'ai longtemps défendu, comme toi (et je persiste en un sens) que si on
faisait des voeux, tout le monde voudrait être artiste et personne
égoutier. Que la musique ne devrait donc être qu'un loisir en plus d'un
travail.
D'un autre côté, la création musicale est *aussi* un métier, qui
nécessite de nombreuses années d'études spécifiques qui dépassent le
loisir, et on ne voit pas au nom de quoi un musicien devrait travailler
plus gratuitement qu'un boulanger, si son travail est utile à d'autres.
Ce qui est insupportable dès qu'on s'éloigne d'une protection du genre
"droit d'auteur" (à la française), c'est d'une part que les vrais
créateurs sont souvent restés pauvres et qu'on ne peut guère leur
reprocher d'avoir vécu sur le dos de leur prochain, et d'autre part
qu'il ne manque pas de "malins" en embuscade pour leur piquer ensuite
leurs idées originales et en faire du fric. C'est déjà beaucoup le cas,
ce le serait encore plus sans règlementation.
Et ne peut-on, toi et moi, mettre hors du champ d'action de cette
discussion les bouffons du music-business qui sont à l'art ce qu'une
bicyclette est à un poisson rouge ?
Tout simple : taxer (vraiment ! Fort !) les revenus du capital. Point.
Tout de suite tu verrais comme tout irait mieux :-)
Je transmettrai à mes copains rmistes. Je peux leur transmettre aussi
d'où tu parles et comment tu vis pour qu'ils se fassent une idée de la
valeur d'exemple que cela représente ? :-) Chiche ?
J'ai longtemps défendu, comme toi (et je persiste en un sens) que si on
faisait des voeux, tout le monde voudrait être artiste et personne
égoutier. Que la musique ne devrait donc être qu'un loisir en plus d'un
travail.
D'un autre côté, la création musicale est *aussi* un métier, qui
nécessite de nombreuses années d'études spécifiques qui dépassent le
loisir, et on ne voit pas au nom de quoi un musicien devrait travailler
plus gratuitement qu'un boulanger, si son travail est utile à d'autres.
Ce qui est insupportable dès qu'on s'éloigne d'une protection du genre
"droit d'auteur" (à la française), c'est d'une part que les vrais
créateurs sont souvent restés pauvres et qu'on ne peut guère leur
reprocher d'avoir vécu sur le dos de leur prochain, et d'autre part
qu'il ne manque pas de "malins" en embuscade pour leur piquer ensuite
leurs idées originales et en faire du fric. C'est déjà beaucoup le cas,
ce le serait encore plus sans règlementation.
Et ne peut-on, toi et moi, mettre hors du champ d'action de cette
discussion les bouffons du music-business qui sont à l'art ce qu'une
bicyclette est à un poisson rouge ?
Tout simple : taxer (vraiment ! Fort !) les revenus du capital. Point.
Tout de suite tu verrais comme tout irait mieux :-)
Etre artiste c'est une ame, une vie.
Un chanteur de rock, c'est sur la scene qu'il est artiste, pas dans
studio.
D'un autre côté, la création musicale est *aussi* un métier, qui
nécessite de nombreuses années d'études spécifiques qui dépassent le
loisir, et on ne voit pas au nom de quoi un musicien devrait travailler
plus gratuitement qu'un boulanger, si son travail est utile à d'autres.
tu parles des musiciens de studio ? ce ne sont pas des artistes, se sont
des techniciens.
pliutot qu'une loi Hadopi, votons une loi anti trust
Etre artiste c'est une ame, une vie.
Un chanteur de rock, c'est sur la scene qu'il est artiste, pas dans
studio.
D'un autre côté, la création musicale est *aussi* un métier, qui
nécessite de nombreuses années d'études spécifiques qui dépassent le
loisir, et on ne voit pas au nom de quoi un musicien devrait travailler
plus gratuitement qu'un boulanger, si son travail est utile à d'autres.
tu parles des musiciens de studio ? ce ne sont pas des artistes, se sont
des techniciens.
pliutot qu'une loi Hadopi, votons une loi anti trust
Etre artiste c'est une ame, une vie.
Un chanteur de rock, c'est sur la scene qu'il est artiste, pas dans
studio.
D'un autre côté, la création musicale est *aussi* un métier, qui
nécessite de nombreuses années d'études spécifiques qui dépassent le
loisir, et on ne voit pas au nom de quoi un musicien devrait travailler
plus gratuitement qu'un boulanger, si son travail est utile à d'autres.
tu parles des musiciens de studio ? ce ne sont pas des artistes, se sont
des techniciens.
pliutot qu'une loi Hadopi, votons une loi anti trust
doumé a écrit :david a émis l'idée suivante :Extrait de la décision du Conseil constitutionnel : "les articles 5 et
11 de la loi déférée confiaient à la commission de protection des
droits de l'HADOPI des pouvoirs de sanction l'habilitant à restreindre
ou à empêcher l'accès à Internet à des titulaires d'abonnement. Ces
pouvoirs pouvaient donc conduire à restreindre l'exercice, par toute
personne, de son droit de s'exprimer et de communiquer librement. Dans
ces conditions, le législateur ne pouvait, quelles que soient les
garanties encadrant le
prononcé des sanctions, confier de tels pouvoirs à une autorité
administrative dans le but de protéger les titulaires du droit
d'auteur. Ces pouvoirs ne peuvent incomber qu'au juge".
fu2frif
Mort et renaissance d'une loi stupide : Albanel va représenter un texte
conforme avec l'avis des Sages avant l'automne . Une loi réprimant le
téléchargement illégal verra danc bien le jour . Elle ne résoudra rien
mais ce gouvernement a l'habitude de nous montrer ses capacités à
brasser de l'air en nous faisant croire qu'il travaiile !
La présomption de culpabilité est également condamnée par le CC, ce qui
veut dire que l'accusé doit pouvoir se défendre à tous les niveaux de la
procédure. :-)
doumé a écrit :
david a émis l'idée suivante :
Extrait de la décision du Conseil constitutionnel : "les articles 5 et
11 de la loi déférée confiaient à la commission de protection des
droits de l'HADOPI des pouvoirs de sanction l'habilitant à restreindre
ou à empêcher l'accès à Internet à des titulaires d'abonnement. Ces
pouvoirs pouvaient donc conduire à restreindre l'exercice, par toute
personne, de son droit de s'exprimer et de communiquer librement. Dans
ces conditions, le législateur ne pouvait, quelles que soient les
garanties encadrant le
prononcé des sanctions, confier de tels pouvoirs à une autorité
administrative dans le but de protéger les titulaires du droit
d'auteur. Ces pouvoirs ne peuvent incomber qu'au juge".
fu2frif
Mort et renaissance d'une loi stupide : Albanel va représenter un texte
conforme avec l'avis des Sages avant l'automne . Une loi réprimant le
téléchargement illégal verra danc bien le jour . Elle ne résoudra rien
mais ce gouvernement a l'habitude de nous montrer ses capacités à
brasser de l'air en nous faisant croire qu'il travaiile !
La présomption de culpabilité est également condamnée par le CC, ce qui
veut dire que l'accusé doit pouvoir se défendre à tous les niveaux de la
procédure. :-)
doumé a écrit :david a émis l'idée suivante :Extrait de la décision du Conseil constitutionnel : "les articles 5 et
11 de la loi déférée confiaient à la commission de protection des
droits de l'HADOPI des pouvoirs de sanction l'habilitant à restreindre
ou à empêcher l'accès à Internet à des titulaires d'abonnement. Ces
pouvoirs pouvaient donc conduire à restreindre l'exercice, par toute
personne, de son droit de s'exprimer et de communiquer librement. Dans
ces conditions, le législateur ne pouvait, quelles que soient les
garanties encadrant le
prononcé des sanctions, confier de tels pouvoirs à une autorité
administrative dans le but de protéger les titulaires du droit
d'auteur. Ces pouvoirs ne peuvent incomber qu'au juge".
fu2frif
Mort et renaissance d'une loi stupide : Albanel va représenter un texte
conforme avec l'avis des Sages avant l'automne . Une loi réprimant le
téléchargement illégal verra danc bien le jour . Elle ne résoudra rien
mais ce gouvernement a l'habitude de nous montrer ses capacités à
brasser de l'air en nous faisant croire qu'il travaiile !
La présomption de culpabilité est également condamnée par le CC, ce qui
veut dire que l'accusé doit pouvoir se défendre à tous les niveaux de la
procédure. :-)
>
D'un autre côté, la création musicale est *aussi* un métier, qui
nécessite de nombreuses années d'études spécifiques qui dépassent le
loisir, et on ne voit pas au nom de quoi un musicien devrait travailler
plus gratuitement qu'un boulanger, si son travail est utile à d'autres.
>
D'un autre côté, la création musicale est *aussi* un métier, qui
nécessite de nombreuses années d'études spécifiques qui dépassent le
loisir, et on ne voit pas au nom de quoi un musicien devrait travailler
plus gratuitement qu'un boulanger, si son travail est utile à d'autres.
>
D'un autre côté, la création musicale est *aussi* un métier, qui
nécessite de nombreuses années d'études spécifiques qui dépassent le
loisir, et on ne voit pas au nom de quoi un musicien devrait travailler
plus gratuitement qu'un boulanger, si son travail est utile à d'autres.
"Albert ARIBAUD" a écrit dans le message de
news: 4a33ccf2$0$696$
D'une part, un musicien ou chanteur peut préférer travailler en studio
plutôt que faire des concerts sur scène, ça ne le rend pas moins
artiste.
ils peuvent rester dans leur salon oui. Ils sont artistes pour eux memes
et leur proches.
Pas de public. Ca peut etre un choix, qui ne regarde que l'auteur.
Mais surtout, d'autre part, chanteur et musiciens sont des interprètes,
concernés indirectement par les droits d'auteur. Le compositeur, le
parolier, l'arrangeur sont des auteurs, mais ne sont donc pas des
artistes ? Il leur est pourtant difficile d'être sur scène en tant que
tels.
Absolument, je parlais d'ailleurs des poetes pour qui il n'y a pas de
Hadopi... On la fait quand ?
Le parolier, le compositeur, il en fait ce qu'il veut de ses oeuvres.
Soit il les produit lui meme au public (vivant..), soit il les cedes.
Le
coup du "je te vends mais si tu revends tu me dois des sous" c'est entre
lui et son acheteur.
Et ca devient de l'art dont on fait commerce, donc de l'art commercial.
Donc c'est plus de l'art...
Et c'ets bien cela que protege Hadopi : le commerce, pas l'art.
Les intéressés vont apprécier, d'une part d'être étiquetés ("musicien
de studio OU musicien de scène, camarade choisis ton camp"), d'autre
part d'être appréciés à la valeur de leur travail par un jugement
objectif. :)
il y a de tres bons techniciens. Ca ne signifie pas qu'ils soient des
artistes.
"Albert ARIBAUD" <albert.aribaud@free.fr> a écrit dans le message de
news: 4a33ccf2$0$696$426a74cc@news.free.fr...
D'une part, un musicien ou chanteur peut préférer travailler en studio
plutôt que faire des concerts sur scène, ça ne le rend pas moins
artiste.
ils peuvent rester dans leur salon oui. Ils sont artistes pour eux memes
et leur proches.
Pas de public. Ca peut etre un choix, qui ne regarde que l'auteur.
Mais surtout, d'autre part, chanteur et musiciens sont des interprètes,
concernés indirectement par les droits d'auteur. Le compositeur, le
parolier, l'arrangeur sont des auteurs, mais ne sont donc pas des
artistes ? Il leur est pourtant difficile d'être sur scène en tant que
tels.
Absolument, je parlais d'ailleurs des poetes pour qui il n'y a pas de
Hadopi... On la fait quand ?
Le parolier, le compositeur, il en fait ce qu'il veut de ses oeuvres.
Soit il les produit lui meme au public (vivant..), soit il les cedes.
Le
coup du "je te vends mais si tu revends tu me dois des sous" c'est entre
lui et son acheteur.
Et ca devient de l'art dont on fait commerce, donc de l'art commercial.
Donc c'est plus de l'art...
Et c'ets bien cela que protege Hadopi : le commerce, pas l'art.
Les intéressés vont apprécier, d'une part d'être étiquetés ("musicien
de studio OU musicien de scène, camarade choisis ton camp"), d'autre
part d'être appréciés à la valeur de leur travail par un jugement
objectif. :)
il y a de tres bons techniciens. Ca ne signifie pas qu'ils soient des
artistes.
"Albert ARIBAUD" a écrit dans le message de
news: 4a33ccf2$0$696$
D'une part, un musicien ou chanteur peut préférer travailler en studio
plutôt que faire des concerts sur scène, ça ne le rend pas moins
artiste.
ils peuvent rester dans leur salon oui. Ils sont artistes pour eux memes
et leur proches.
Pas de public. Ca peut etre un choix, qui ne regarde que l'auteur.
Mais surtout, d'autre part, chanteur et musiciens sont des interprètes,
concernés indirectement par les droits d'auteur. Le compositeur, le
parolier, l'arrangeur sont des auteurs, mais ne sont donc pas des
artistes ? Il leur est pourtant difficile d'être sur scène en tant que
tels.
Absolument, je parlais d'ailleurs des poetes pour qui il n'y a pas de
Hadopi... On la fait quand ?
Le parolier, le compositeur, il en fait ce qu'il veut de ses oeuvres.
Soit il les produit lui meme au public (vivant..), soit il les cedes.
Le
coup du "je te vends mais si tu revends tu me dois des sous" c'est entre
lui et son acheteur.
Et ca devient de l'art dont on fait commerce, donc de l'art commercial.
Donc c'est plus de l'art...
Et c'ets bien cela que protege Hadopi : le commerce, pas l'art.
Les intéressés vont apprécier, d'une part d'être étiquetés ("musicien
de studio OU musicien de scène, camarade choisis ton camp"), d'autre
part d'être appréciés à la valeur de leur travail par un jugement
objectif. :)
il y a de tres bons techniciens. Ca ne signifie pas qu'ils soient des
artistes.
RVG wrote:doumé a écrit :david a émis l'idée suivante :Extrait de la décision du Conseil constitutionnel : "les articles 5
et 11 de la loi déférée confiaient à la commission de protection des
droits de l'HADOPI des pouvoirs de sanction l'habilitant à
restreindre ou à empêcher l'accès à Internet à des titulaires
d'abonnement. Ces pouvoirs pouvaient donc conduire à restreindre
l'exercice, par toute personne, de son droit de s'exprimer et de
communiquer librement. Dans ces conditions, le législateur ne
pouvait, quelles que soient les garanties encadrant le
prononcé des sanctions, confier de tels pouvoirs à une autorité
administrative dans le but de protéger les titulaires du droit
d'auteur. Ces pouvoirs ne peuvent incomber qu'au juge".
Je remarque une nette différence entre la France actuelle et une
démocratie.fu2frif
Mort et renaissance d'une loi stupide : Albanel va représenter un
texte conforme avec l'avis des Sages avant l'automne . Une loi
réprimant le téléchargement illégal verra danc bien le jour . Elle ne
résoudra rien mais ce gouvernement a l'habitude de nous montrer ses
capacités à brasser de l'air en nous faisant croire qu'il travaiile !
La présomption de culpabilité est également condamnée par le CC, ce qui
veut dire que l'accusé doit pouvoir se défendre à tous les niveaux de
la procédure. :-)
Je remarque une nette différence entre la France actuelle et une
démocratie.
Question à 2 sous:
quel rapport entre la loi Albanel et les droits d'auteurs? Y a-t'il une
seule mention des droits d'auteurs (ou des auteurs) dans son "oeuvre"?
J'ai pas vu.
RVG wrote:
doumé a écrit :
david a émis l'idée suivante :
Extrait de la décision du Conseil constitutionnel : "les articles 5
et 11 de la loi déférée confiaient à la commission de protection des
droits de l'HADOPI des pouvoirs de sanction l'habilitant à
restreindre ou à empêcher l'accès à Internet à des titulaires
d'abonnement. Ces pouvoirs pouvaient donc conduire à restreindre
l'exercice, par toute personne, de son droit de s'exprimer et de
communiquer librement. Dans ces conditions, le législateur ne
pouvait, quelles que soient les garanties encadrant le
prononcé des sanctions, confier de tels pouvoirs à une autorité
administrative dans le but de protéger les titulaires du droit
d'auteur. Ces pouvoirs ne peuvent incomber qu'au juge".
Je remarque une nette différence entre la France actuelle et une
démocratie.
fu2frif
Mort et renaissance d'une loi stupide : Albanel va représenter un
texte conforme avec l'avis des Sages avant l'automne . Une loi
réprimant le téléchargement illégal verra danc bien le jour . Elle ne
résoudra rien mais ce gouvernement a l'habitude de nous montrer ses
capacités à brasser de l'air en nous faisant croire qu'il travaiile !
La présomption de culpabilité est également condamnée par le CC, ce qui
veut dire que l'accusé doit pouvoir se défendre à tous les niveaux de
la procédure. :-)
Je remarque une nette différence entre la France actuelle et une
démocratie.
Question à 2 sous:
quel rapport entre la loi Albanel et les droits d'auteurs? Y a-t'il une
seule mention des droits d'auteurs (ou des auteurs) dans son "oeuvre"?
J'ai pas vu.
RVG wrote:doumé a écrit :david a émis l'idée suivante :Extrait de la décision du Conseil constitutionnel : "les articles 5
et 11 de la loi déférée confiaient à la commission de protection des
droits de l'HADOPI des pouvoirs de sanction l'habilitant à
restreindre ou à empêcher l'accès à Internet à des titulaires
d'abonnement. Ces pouvoirs pouvaient donc conduire à restreindre
l'exercice, par toute personne, de son droit de s'exprimer et de
communiquer librement. Dans ces conditions, le législateur ne
pouvait, quelles que soient les garanties encadrant le
prononcé des sanctions, confier de tels pouvoirs à une autorité
administrative dans le but de protéger les titulaires du droit
d'auteur. Ces pouvoirs ne peuvent incomber qu'au juge".
Je remarque une nette différence entre la France actuelle et une
démocratie.fu2frif
Mort et renaissance d'une loi stupide : Albanel va représenter un
texte conforme avec l'avis des Sages avant l'automne . Une loi
réprimant le téléchargement illégal verra danc bien le jour . Elle ne
résoudra rien mais ce gouvernement a l'habitude de nous montrer ses
capacités à brasser de l'air en nous faisant croire qu'il travaiile !
La présomption de culpabilité est également condamnée par le CC, ce qui
veut dire que l'accusé doit pouvoir se défendre à tous les niveaux de
la procédure. :-)
Je remarque une nette différence entre la France actuelle et une
démocratie.
Question à 2 sous:
quel rapport entre la loi Albanel et les droits d'auteurs? Y a-t'il une
seule mention des droits d'auteurs (ou des auteurs) dans son "oeuvre"?
J'ai pas vu.