"Albert ARIBAUD" a écrit dans le message de
news:49bfabe9$0$31692$Amusant : notre conclusion est identique mais notre raisonnement
diffère. Pour ma part, je dis que le téléchargeur sait lire pour un
fichier donne s'il a les droits et, dans le cas où il ne trouve pas
l'information, considère qu'il ne les a pas, alors que pour vous il
part du principe que si le fichier est offert au téléchargement gratuit
c'est qu'il a les droits.
Ce n'est pas ce que j'ai dit. L'intention existe peut-être, mais il est
impossible de la prouver. Il peut très bien avoir l'intention de
télécharger un fichier légal, mais n'ayant pas l'information, télécharge
quand-même, même s'il sait qu'il peut être illégal. On peut lui
reprocher sa négligence, mais pas son intention.
En tout état de cause, nous concluons tous les deux à l'absence de
faute en cas de téléchargement se révélant finalement illicite à l'insu
du téléchargeur ; mais pour moi, il lui faut tout de même une raison
légitime d'avoir cru à la gratuité.
Il y a des raisons à la croyance maintenant?
Comme la grande majorité des fichiers musicaux sur Internet sont légaux,
je ne vois aucune raison à la présomption d'illégalité.
C'est du bourrage de crâne servant à justifier l'injustifiable. Ça
serait comme la présomption de culpabilité parce qu'il existe des
coupables. S'il y a une faute, c'est de ne pas avoir vérifié la
gratuité, mais c'est techniquement impossible puisque les sites pirate
peuvent donner des informations erronées.
Alors c'est que j'aurai mal compris votre cas d'hypothèse, qui semblait
être un téléchargeur à la recherche d'un contenu libre de droits, donc
informé de cette notion de contenu libre de droits, et sachant par
conséquent que cette liberté ne se présume pas mais s'énonce
explicitement.
Ces sont deux choses différentes, il y a d'un côté une information
générale, et de l'autre côté une expertise du droit.
"Albert ARIBAUD" <albert.aribaud@free.fr> a écrit dans le message de
news:49bfabe9$0$31692$426a74cc@news.free.fr...
Amusant : notre conclusion est identique mais notre raisonnement
diffère. Pour ma part, je dis que le téléchargeur sait lire pour un
fichier donne s'il a les droits et, dans le cas où il ne trouve pas
l'information, considère qu'il ne les a pas, alors que pour vous il
part du principe que si le fichier est offert au téléchargement gratuit
c'est qu'il a les droits.
Ce n'est pas ce que j'ai dit. L'intention existe peut-être, mais il est
impossible de la prouver. Il peut très bien avoir l'intention de
télécharger un fichier légal, mais n'ayant pas l'information, télécharge
quand-même, même s'il sait qu'il peut être illégal. On peut lui
reprocher sa négligence, mais pas son intention.
En tout état de cause, nous concluons tous les deux à l'absence de
faute en cas de téléchargement se révélant finalement illicite à l'insu
du téléchargeur ; mais pour moi, il lui faut tout de même une raison
légitime d'avoir cru à la gratuité.
Il y a des raisons à la croyance maintenant?
Comme la grande majorité des fichiers musicaux sur Internet sont légaux,
je ne vois aucune raison à la présomption d'illégalité.
C'est du bourrage de crâne servant à justifier l'injustifiable. Ça
serait comme la présomption de culpabilité parce qu'il existe des
coupables. S'il y a une faute, c'est de ne pas avoir vérifié la
gratuité, mais c'est techniquement impossible puisque les sites pirate
peuvent donner des informations erronées.
Alors c'est que j'aurai mal compris votre cas d'hypothèse, qui semblait
être un téléchargeur à la recherche d'un contenu libre de droits, donc
informé de cette notion de contenu libre de droits, et sachant par
conséquent que cette liberté ne se présume pas mais s'énonce
explicitement.
Ces sont deux choses différentes, il y a d'un côté une information
générale, et de l'autre côté une expertise du droit.
"Albert ARIBAUD" a écrit dans le message de
news:49bfabe9$0$31692$Amusant : notre conclusion est identique mais notre raisonnement
diffère. Pour ma part, je dis que le téléchargeur sait lire pour un
fichier donne s'il a les droits et, dans le cas où il ne trouve pas
l'information, considère qu'il ne les a pas, alors que pour vous il
part du principe que si le fichier est offert au téléchargement gratuit
c'est qu'il a les droits.
Ce n'est pas ce que j'ai dit. L'intention existe peut-être, mais il est
impossible de la prouver. Il peut très bien avoir l'intention de
télécharger un fichier légal, mais n'ayant pas l'information, télécharge
quand-même, même s'il sait qu'il peut être illégal. On peut lui
reprocher sa négligence, mais pas son intention.
En tout état de cause, nous concluons tous les deux à l'absence de
faute en cas de téléchargement se révélant finalement illicite à l'insu
du téléchargeur ; mais pour moi, il lui faut tout de même une raison
légitime d'avoir cru à la gratuité.
Il y a des raisons à la croyance maintenant?
Comme la grande majorité des fichiers musicaux sur Internet sont légaux,
je ne vois aucune raison à la présomption d'illégalité.
C'est du bourrage de crâne servant à justifier l'injustifiable. Ça
serait comme la présomption de culpabilité parce qu'il existe des
coupables. S'il y a une faute, c'est de ne pas avoir vérifié la
gratuité, mais c'est techniquement impossible puisque les sites pirate
peuvent donner des informations erronées.
Alors c'est que j'aurai mal compris votre cas d'hypothèse, qui semblait
être un téléchargeur à la recherche d'un contenu libre de droits, donc
informé de cette notion de contenu libre de droits, et sachant par
conséquent que cette liberté ne se présume pas mais s'énonce
explicitement.
Ces sont deux choses différentes, il y a d'un côté une information
générale, et de l'autre côté une expertise du droit.
Exactement, et ça ne veut pas dire que les oeuvres sont réellement
légales, et c'est justement ça le problème, qu'on ne rencontre pas
dans le cas contraire.Euh... C'est quoi "le cas contraire" ?
Le contraire d'une oeuvre "illégale" étiquetée "légale", c'est une
oeuvre "légale" étiquetée "illégale". Il n'y a pas de problème si on la
télécharge bien qu'elle soit étiquetée "illégale."
Je mets de guillemets car une oeuvre n'est pas en soi "légale" ou
"illégale", c'est son téléchargement qui l'est, et encore sous certaines
conditions.Ce ne sont pas les maisons de disque qui feront ça,
Donc qui étiquetteront "légale" une oeuvre "illégale."-- et noter au passage que la liberté de droits n'est pas synonyme
nécessairement de gratuité. :)Pas nécessairement, mais dans presque tous les cas. Pas besoin de
refaire la propagande mensongères de l'industrie du disque.Je ne crois pas que les promoteurs du libre de droit soient des
promoteurs de la gratuité ; et pour ce que j'en ai vu, il existe nombre
d'offres musicales libres mais non gratuites, ce qui me fait douter du
"presque tous les cas".
Je n'en ai pas encore vu, tous les grands sites de musique légale,
gratuite, libre et légale offrent de la musique gratuite, et ça en fait
un paquet, immensément plus que le catalogue des maisons de disque. Je
crois plutôt que c'est de la musique gratuite mais non libre de droits.
Si, ça a à voir. L'absence de licence est un cas tout à fait pertinent
à considérer en matière de droits, puisque cette absence implique
l'absence de droits pour le téléchargeur.
Absolument pas. Les musiques dans le domaine public par exemple n'ont
pas de licence, comme celles à proprement parler "libres de droit."
Exactement, et ça ne veut pas dire que les oeuvres sont réellement
légales, et c'est justement ça le problème, qu'on ne rencontre pas
dans le cas contraire.
Euh... C'est quoi "le cas contraire" ?
Le contraire d'une oeuvre "illégale" étiquetée "légale", c'est une
oeuvre "légale" étiquetée "illégale". Il n'y a pas de problème si on la
télécharge bien qu'elle soit étiquetée "illégale."
Je mets de guillemets car une oeuvre n'est pas en soi "légale" ou
"illégale", c'est son téléchargement qui l'est, et encore sous certaines
conditions.
Ce ne sont pas les maisons de disque qui feront ça,
Donc qui étiquetteront "légale" une oeuvre "illégale."
-- et noter au passage que la liberté de droits n'est pas synonyme
nécessairement de gratuité. :)
Pas nécessairement, mais dans presque tous les cas. Pas besoin de
refaire la propagande mensongères de l'industrie du disque.
Je ne crois pas que les promoteurs du libre de droit soient des
promoteurs de la gratuité ; et pour ce que j'en ai vu, il existe nombre
d'offres musicales libres mais non gratuites, ce qui me fait douter du
"presque tous les cas".
Je n'en ai pas encore vu, tous les grands sites de musique légale,
gratuite, libre et légale offrent de la musique gratuite, et ça en fait
un paquet, immensément plus que le catalogue des maisons de disque. Je
crois plutôt que c'est de la musique gratuite mais non libre de droits.
Si, ça a à voir. L'absence de licence est un cas tout à fait pertinent
à considérer en matière de droits, puisque cette absence implique
l'absence de droits pour le téléchargeur.
Absolument pas. Les musiques dans le domaine public par exemple n'ont
pas de licence, comme celles à proprement parler "libres de droit."
Exactement, et ça ne veut pas dire que les oeuvres sont réellement
légales, et c'est justement ça le problème, qu'on ne rencontre pas
dans le cas contraire.Euh... C'est quoi "le cas contraire" ?
Le contraire d'une oeuvre "illégale" étiquetée "légale", c'est une
oeuvre "légale" étiquetée "illégale". Il n'y a pas de problème si on la
télécharge bien qu'elle soit étiquetée "illégale."
Je mets de guillemets car une oeuvre n'est pas en soi "légale" ou
"illégale", c'est son téléchargement qui l'est, et encore sous certaines
conditions.Ce ne sont pas les maisons de disque qui feront ça,
Donc qui étiquetteront "légale" une oeuvre "illégale."-- et noter au passage que la liberté de droits n'est pas synonyme
nécessairement de gratuité. :)Pas nécessairement, mais dans presque tous les cas. Pas besoin de
refaire la propagande mensongères de l'industrie du disque.Je ne crois pas que les promoteurs du libre de droit soient des
promoteurs de la gratuité ; et pour ce que j'en ai vu, il existe nombre
d'offres musicales libres mais non gratuites, ce qui me fait douter du
"presque tous les cas".
Je n'en ai pas encore vu, tous les grands sites de musique légale,
gratuite, libre et légale offrent de la musique gratuite, et ça en fait
un paquet, immensément plus que le catalogue des maisons de disque. Je
crois plutôt que c'est de la musique gratuite mais non libre de droits.
Si, ça a à voir. L'absence de licence est un cas tout à fait pertinent
à considérer en matière de droits, puisque cette absence implique
l'absence de droits pour le téléchargeur.
Absolument pas. Les musiques dans le domaine public par exemple n'ont
pas de licence, comme celles à proprement parler "libres de droit."
Le contraire d'une oeuvre "illégale" étiquetée "légale", c'est une
oeuvre "légale" étiquetée "illégale". Il n'y a pas de problème si on
la télécharge bien qu'elle soit étiquetée "illégale."
"Albert ARIBAUD" a écrit dans le message de
news:49c168f1$0$27524$Euh, je ne vois pas l'intérêt d'évoquer cette situation.
C'est pour montrer qu'on ne peut se méprendre que dans un sens.Je n'en ai pas encore vu, tous les grands sites de musique légale,
gratuite, libre et légale offrent de la musique gratuite, et ça en
fait un paquet, immensément plus que le catalogue des maisons de
disque. Je crois plutôt que c'est de la musique gratuite mais non
libre de droits.Curieux : ma propre recherche (avec les mots "musique", "libre" et
"droits" sur Google) m'a ramené une très forte majorité de sites où les
musiques sont explicitement libres de droits SACEM/SDRM/SESAM mais pas
gratuites.
C'est une autre tendance, mais minoritaire. La tendance majoritaire,
c'est le gratuit non libre de droit, mais libre au téléchargement. Voir
plus bas.
Absolument pas. Les musiques dans le domaine public par exemple n'ont
pas de licence, comme celles à proprement parler "libres de droit."Les musiques en domaine public n'ont plus de licence, certes, mais les
libres de droit, au contraire, ont une licence, par nécessité : sans
elle on n'aurait aucun droit, en particulier pas celui de les
télécharger. Regarder
http://www.musique-libre-de-droit.fr/licences.html (clairement indiqué
sur toutes les pages du site, par exemple.
L'expression "libre de droit" n'étant pas déposée, on peut l'utiliser
pour n'importe quoi.
En l'occurence, il faut comprendre "libre de droit SACEM/SDRM/SCPA", ce
qui m'a été confirmé par l'éditeur du site lui-même.
Sur la page en anglais, il y a l'expression plus exacte:
"royalty free." C'est le site d'une entreprise commerciale, qui a donc
choisi un nom de domaine dans la liste des recherches les plus
fréquentes.
Ce qui est libre de droit à proprement parler n'a pas besoin de licence.
Il y a une désinformation à ce sujet pour raison d'intérêts financiers.
Le contraire d'une oeuvre "illégale" étiquetée "légale", c'est une
oeuvre "légale" étiquetée "illégale". Il n'y a pas de problème si on
la télécharge bien qu'elle soit étiquetée "illégale."
"Albert ARIBAUD" <albert.aribaud@free.fr> a écrit dans le message de
news:49c168f1$0$27524$426a74cc@news.free.fr...
Euh, je ne vois pas l'intérêt d'évoquer cette situation.
C'est pour montrer qu'on ne peut se méprendre que dans un sens.
Je n'en ai pas encore vu, tous les grands sites de musique légale,
gratuite, libre et légale offrent de la musique gratuite, et ça en
fait un paquet, immensément plus que le catalogue des maisons de
disque. Je crois plutôt que c'est de la musique gratuite mais non
libre de droits.
Curieux : ma propre recherche (avec les mots "musique", "libre" et
"droits" sur Google) m'a ramené une très forte majorité de sites où les
musiques sont explicitement libres de droits SACEM/SDRM/SESAM mais pas
gratuites.
C'est une autre tendance, mais minoritaire. La tendance majoritaire,
c'est le gratuit non libre de droit, mais libre au téléchargement. Voir
plus bas.
Absolument pas. Les musiques dans le domaine public par exemple n'ont
pas de licence, comme celles à proprement parler "libres de droit."
Les musiques en domaine public n'ont plus de licence, certes, mais les
libres de droit, au contraire, ont une licence, par nécessité : sans
elle on n'aurait aucun droit, en particulier pas celui de les
télécharger. Regarder
http://www.musique-libre-de-droit.fr/licences.html (clairement indiqué
sur toutes les pages du site, par exemple.
L'expression "libre de droit" n'étant pas déposée, on peut l'utiliser
pour n'importe quoi.
En l'occurence, il faut comprendre "libre de droit SACEM/SDRM/SCPA", ce
qui m'a été confirmé par l'éditeur du site lui-même.
Sur la page en anglais, il y a l'expression plus exacte:
"royalty free." C'est le site d'une entreprise commerciale, qui a donc
choisi un nom de domaine dans la liste des recherches les plus
fréquentes.
Ce qui est libre de droit à proprement parler n'a pas besoin de licence.
Il y a une désinformation à ce sujet pour raison d'intérêts financiers.
Le contraire d'une oeuvre "illégale" étiquetée "légale", c'est une
oeuvre "légale" étiquetée "illégale". Il n'y a pas de problème si on
la télécharge bien qu'elle soit étiquetée "illégale."
"Albert ARIBAUD" a écrit dans le message de
news:49c168f1$0$27524$Euh, je ne vois pas l'intérêt d'évoquer cette situation.
C'est pour montrer qu'on ne peut se méprendre que dans un sens.Je n'en ai pas encore vu, tous les grands sites de musique légale,
gratuite, libre et légale offrent de la musique gratuite, et ça en
fait un paquet, immensément plus que le catalogue des maisons de
disque. Je crois plutôt que c'est de la musique gratuite mais non
libre de droits.Curieux : ma propre recherche (avec les mots "musique", "libre" et
"droits" sur Google) m'a ramené une très forte majorité de sites où les
musiques sont explicitement libres de droits SACEM/SDRM/SESAM mais pas
gratuites.
C'est une autre tendance, mais minoritaire. La tendance majoritaire,
c'est le gratuit non libre de droit, mais libre au téléchargement. Voir
plus bas.
Absolument pas. Les musiques dans le domaine public par exemple n'ont
pas de licence, comme celles à proprement parler "libres de droit."Les musiques en domaine public n'ont plus de licence, certes, mais les
libres de droit, au contraire, ont une licence, par nécessité : sans
elle on n'aurait aucun droit, en particulier pas celui de les
télécharger. Regarder
http://www.musique-libre-de-droit.fr/licences.html (clairement indiqué
sur toutes les pages du site, par exemple.
L'expression "libre de droit" n'étant pas déposée, on peut l'utiliser
pour n'importe quoi.
En l'occurence, il faut comprendre "libre de droit SACEM/SDRM/SCPA", ce
qui m'a été confirmé par l'éditeur du site lui-même.
Sur la page en anglais, il y a l'expression plus exacte:
"royalty free." C'est le site d'une entreprise commerciale, qui a donc
choisi un nom de domaine dans la liste des recherches les plus
fréquentes.
Ce qui est libre de droit à proprement parler n'a pas besoin de licence.
Il y a une désinformation à ce sujet pour raison d'intérêts financiers.
Il y a des raisons à la croyance maintenant?
"Albert ARIBAUD" a écrit dans le message de
news:49c102c6$0$13473$Oui. C'est ce qui sous-tend essentiellement la notion de bonne foi : on
a mal agi mais on croyait être en règle.
Oui mais, quand on croit, c'est justement qu'il n'y a pas de raison.
Par contre, il peut y avoir une raison de ne pas croire, quand on a été
informé. Mais c'est pas si simple étant données les contre-vérités
énoncées régulièrement.
Comme la grande majorité des fichiers musicaux sur Internet sont
légaux, je ne vois aucune raison à la présomption d'illégalité.Je ne vois pas ce qui peut laisser penser que "la grande majorité des
fichiers musicaux sur Internet sont légaux".
La réalité peut-être?
Et sans cette prémisse, la conclusion ne peut plus être émise, en tout
cas pas sur cette base-là.
C'est pourquoi la propagande veut faire croire le contraire de la
réalité. Mais les faits sont têtus, il y a des sites qui répertorient
tous les sites gratuits et légaux.
Ces sont deux choses différentes, il y a d'un côté une information
générale, et de l'autre côté une expertise du droit.Pas de différence à mon sens, et il n'est nul besoin d'être expert du
droit dans cette affaire.
Le droit demande toujours une expertise. Il a été fait par et pour des
juristes, pas le citoyen lambda qui est incité à faire appel à un
avocat.
Il y a des raisons à la croyance maintenant?
"Albert ARIBAUD" <albert.aribaud@free.fr> a écrit dans le message de
news:49c102c6$0$13473$426a74cc@news.free.fr...
Oui. C'est ce qui sous-tend essentiellement la notion de bonne foi : on
a mal agi mais on croyait être en règle.
Oui mais, quand on croit, c'est justement qu'il n'y a pas de raison.
Par contre, il peut y avoir une raison de ne pas croire, quand on a été
informé. Mais c'est pas si simple étant données les contre-vérités
énoncées régulièrement.
Comme la grande majorité des fichiers musicaux sur Internet sont
légaux, je ne vois aucune raison à la présomption d'illégalité.
Je ne vois pas ce qui peut laisser penser que "la grande majorité des
fichiers musicaux sur Internet sont légaux".
La réalité peut-être?
Et sans cette prémisse, la conclusion ne peut plus être émise, en tout
cas pas sur cette base-là.
C'est pourquoi la propagande veut faire croire le contraire de la
réalité. Mais les faits sont têtus, il y a des sites qui répertorient
tous les sites gratuits et légaux.
Ces sont deux choses différentes, il y a d'un côté une information
générale, et de l'autre côté une expertise du droit.
Pas de différence à mon sens, et il n'est nul besoin d'être expert du
droit dans cette affaire.
Le droit demande toujours une expertise. Il a été fait par et pour des
juristes, pas le citoyen lambda qui est incité à faire appel à un
avocat.
Il y a des raisons à la croyance maintenant?
"Albert ARIBAUD" a écrit dans le message de
news:49c102c6$0$13473$Oui. C'est ce qui sous-tend essentiellement la notion de bonne foi : on
a mal agi mais on croyait être en règle.
Oui mais, quand on croit, c'est justement qu'il n'y a pas de raison.
Par contre, il peut y avoir une raison de ne pas croire, quand on a été
informé. Mais c'est pas si simple étant données les contre-vérités
énoncées régulièrement.
Comme la grande majorité des fichiers musicaux sur Internet sont
légaux, je ne vois aucune raison à la présomption d'illégalité.Je ne vois pas ce qui peut laisser penser que "la grande majorité des
fichiers musicaux sur Internet sont légaux".
La réalité peut-être?
Et sans cette prémisse, la conclusion ne peut plus être émise, en tout
cas pas sur cette base-là.
C'est pourquoi la propagande veut faire croire le contraire de la
réalité. Mais les faits sont têtus, il y a des sites qui répertorient
tous les sites gratuits et légaux.
Ces sont deux choses différentes, il y a d'un côté une information
générale, et de l'autre côté une expertise du droit.Pas de différence à mon sens, et il n'est nul besoin d'être expert du
droit dans cette affaire.
Le droit demande toujours une expertise. Il a été fait par et pour des
juristes, pas le citoyen lambda qui est incité à faire appel à un
avocat.
"Albert ARIBAUD" a écrit dans le message de
news:49c2318e$0$6702$L'expression "libre de droit" n'étant pas déposée, on peut l'utiliser
pour n'importe quoi.Tout à fait -- ce qui rend quelque peu difficile l'idée de parler de
"[libre de droit] à proprement parler", non ? :)
Non. Libre de droit veut dire libre de droit.
On peut insister en disant libre de tous droits, mais en langue
française, si on ne précise pas de quel droit il s'agit, ce sont tous
les droits.
En l'occurence, il faut comprendre "libre de droit SACEM/SDRM/SCPA",
ce qui m'a été confirmé par l'éditeur du site lui-même.Etait-ce bien la peine de le lui demander confirmation quand c'est déjà
explicité sur le site ?
La preuve, tu croyais que c'était libre de droit, alors que ça ne
l'était pas, même explicité sur le site. Ce qui montre que l'internaute
doit bien être un expert en droit.
Ma question était:> J'aimerais savoir si vos musiques sont vraiment libres de droit, ou
seulement "libre de droit SACEM...", ce qui est tout à fait différent.
La réponse précise à cette question n'est pas dans la FAQ. J'ai bien vu
la page "licences d'exploitation", mais justement je m'étonne de
l'existence d'une licence alors que vous prétendez qu'elle est libre de
droit. < <
La réponse:> les musiques sont *seulement libres de droits SACEM...*
Toutes sont déposées chez un Huissier de justice. < <
Sur la page en anglais, il y a l'expression plus exacte: "royalty
free." C'est le site d'une entreprise commerciale, qui a donc choisi
un nom de domaine dans la liste des recherches les plus fréquentes.Cela n'ôte rien au caractère libre de droits de la musique proposée.
Non, mais comme de toute façon elle n'est pas libre de droit.
Ce qui est libre de droit à proprement parler n'a pas besoin de
licence.Si, ça en a besoin, parce que s'il n'y a pas de licence, alors la loi
ne donne aucun droit à personne sauf à l'auteur. Celui-ci *doit*
exprimer par une licence les droits qu'il entend conférer.
Absolument pas.
Licence veut dire accorder un droit,
ce qui est impossible quand il n'y en a pas,
c'est-à-dire quand c'est libre de droit.
Il y a une désinformation à ce sujet pour raison d'intérêts
financiers.Il n'y a pas de désinformation sur ce point. Quand les ayant-droit font
de la désinformation sur ce sujet, au contraire ils prétendent que
quiconque ne suit pas leur modèle fermé en veut nécessairement au
principe du copyright, alors que précisément, toute personne qui
soutient des licences libre commence par rappeler qu'elles s'appuient
sur le droit d'auteur.
Licence libre n'est pas libre de droit.
Tu as bien été désinformé.
Mais après tout c'est ton seul problème, ça ne m'empêchera pas
d'utiliser des musiques libres de droit sans me soumettre à une licence
et sans être inquiété.
"Albert ARIBAUD" <albert.aribaud@free.fr> a écrit dans le message de
news:49c2318e$0$6702$426a34cc@news.free.fr...
L'expression "libre de droit" n'étant pas déposée, on peut l'utiliser
pour n'importe quoi.
Tout à fait -- ce qui rend quelque peu difficile l'idée de parler de
"[libre de droit] à proprement parler", non ? :)
Non. Libre de droit veut dire libre de droit.
On peut insister en disant libre de tous droits, mais en langue
française, si on ne précise pas de quel droit il s'agit, ce sont tous
les droits.
En l'occurence, il faut comprendre "libre de droit SACEM/SDRM/SCPA",
ce qui m'a été confirmé par l'éditeur du site lui-même.
Etait-ce bien la peine de le lui demander confirmation quand c'est déjà
explicité sur le site ?
La preuve, tu croyais que c'était libre de droit, alors que ça ne
l'était pas, même explicité sur le site. Ce qui montre que l'internaute
doit bien être un expert en droit.
Ma question était:
> J'aimerais savoir si vos musiques sont vraiment libres de droit, ou
seulement "libre de droit SACEM...", ce qui est tout à fait différent.
La réponse précise à cette question n'est pas dans la FAQ. J'ai bien vu
la page "licences d'exploitation", mais justement je m'étonne de
l'existence d'une licence alors que vous prétendez qu'elle est libre de
droit. < <
La réponse:
> les musiques sont *seulement libres de droits SACEM...*
Toutes sont déposées chez un Huissier de justice. < <
Sur la page en anglais, il y a l'expression plus exacte: "royalty
free." C'est le site d'une entreprise commerciale, qui a donc choisi
un nom de domaine dans la liste des recherches les plus fréquentes.
Cela n'ôte rien au caractère libre de droits de la musique proposée.
Non, mais comme de toute façon elle n'est pas libre de droit.
Ce qui est libre de droit à proprement parler n'a pas besoin de
licence.
Si, ça en a besoin, parce que s'il n'y a pas de licence, alors la loi
ne donne aucun droit à personne sauf à l'auteur. Celui-ci *doit*
exprimer par une licence les droits qu'il entend conférer.
Absolument pas.
Licence veut dire accorder un droit,
ce qui est impossible quand il n'y en a pas,
c'est-à-dire quand c'est libre de droit.
Il y a une désinformation à ce sujet pour raison d'intérêts
financiers.
Il n'y a pas de désinformation sur ce point. Quand les ayant-droit font
de la désinformation sur ce sujet, au contraire ils prétendent que
quiconque ne suit pas leur modèle fermé en veut nécessairement au
principe du copyright, alors que précisément, toute personne qui
soutient des licences libre commence par rappeler qu'elles s'appuient
sur le droit d'auteur.
Licence libre n'est pas libre de droit.
Tu as bien été désinformé.
Mais après tout c'est ton seul problème, ça ne m'empêchera pas
d'utiliser des musiques libres de droit sans me soumettre à une licence
et sans être inquiété.
"Albert ARIBAUD" a écrit dans le message de
news:49c2318e$0$6702$L'expression "libre de droit" n'étant pas déposée, on peut l'utiliser
pour n'importe quoi.Tout à fait -- ce qui rend quelque peu difficile l'idée de parler de
"[libre de droit] à proprement parler", non ? :)
Non. Libre de droit veut dire libre de droit.
On peut insister en disant libre de tous droits, mais en langue
française, si on ne précise pas de quel droit il s'agit, ce sont tous
les droits.
En l'occurence, il faut comprendre "libre de droit SACEM/SDRM/SCPA",
ce qui m'a été confirmé par l'éditeur du site lui-même.Etait-ce bien la peine de le lui demander confirmation quand c'est déjà
explicité sur le site ?
La preuve, tu croyais que c'était libre de droit, alors que ça ne
l'était pas, même explicité sur le site. Ce qui montre que l'internaute
doit bien être un expert en droit.
Ma question était:> J'aimerais savoir si vos musiques sont vraiment libres de droit, ou
seulement "libre de droit SACEM...", ce qui est tout à fait différent.
La réponse précise à cette question n'est pas dans la FAQ. J'ai bien vu
la page "licences d'exploitation", mais justement je m'étonne de
l'existence d'une licence alors que vous prétendez qu'elle est libre de
droit. < <
La réponse:> les musiques sont *seulement libres de droits SACEM...*
Toutes sont déposées chez un Huissier de justice. < <
Sur la page en anglais, il y a l'expression plus exacte: "royalty
free." C'est le site d'une entreprise commerciale, qui a donc choisi
un nom de domaine dans la liste des recherches les plus fréquentes.Cela n'ôte rien au caractère libre de droits de la musique proposée.
Non, mais comme de toute façon elle n'est pas libre de droit.
Ce qui est libre de droit à proprement parler n'a pas besoin de
licence.Si, ça en a besoin, parce que s'il n'y a pas de licence, alors la loi
ne donne aucun droit à personne sauf à l'auteur. Celui-ci *doit*
exprimer par une licence les droits qu'il entend conférer.
Absolument pas.
Licence veut dire accorder un droit,
ce qui est impossible quand il n'y en a pas,
c'est-à-dire quand c'est libre de droit.
Il y a une désinformation à ce sujet pour raison d'intérêts
financiers.Il n'y a pas de désinformation sur ce point. Quand les ayant-droit font
de la désinformation sur ce sujet, au contraire ils prétendent que
quiconque ne suit pas leur modèle fermé en veut nécessairement au
principe du copyright, alors que précisément, toute personne qui
soutient des licences libre commence par rappeler qu'elles s'appuient
sur le droit d'auteur.
Licence libre n'est pas libre de droit.
Tu as bien été désinformé.
Mais après tout c'est ton seul problème, ça ne m'empêchera pas
d'utiliser des musiques libres de droit sans me soumettre à une licence
et sans être inquiété.
"Albert ARIBAUD" a écrit dans le message de
news:49c232d9$0$6702$Je ne sais pas d'où sort cette surprenante affirmation que "quand on
croit c'est qu'il n'y a pas de raison", ni ce qui la soutient.
Peut-être la définition du dictionnaire?
Ce n'est pas la même chose que présumer ou supposer.
Comme la grande majorité des fichiers musicaux sur Internet sont
légaux, je ne vois aucune raison à la présomption d'illégalité.Je ne vois pas ce qui peut laisser penser que "la grande majorité des
fichiers musicaux sur Internet sont légaux".La réalité peut-être?J'en attends des éléments de démonstration, alors, facile à fournir si
c'est réel : des relevés assez complets, des panoramas, qui montrent la
prééminence de l'offre libre gratuite par rapport à une offre libre
payante.
Non, par rapport à l'offre non libre payante, la seule qui est
pertinente à ce propos.
Ceux qui font de la propagande n'ont pas non plus d'éléments de
démonstration.
Et comme en fait ils font croire que toutes les musiques
sont non libres et payantes, il y en a contre leur assertion.
L'étendue du catalogue des majors est assez connu. Il suffit d'aller
sur les sites gratuits les plus importants pour voir que ça va bien au
delà.
Ça regroupe des centaines de milliers d'artistes et des millions
de musique (par exemple http://www.soundclick.com/music.cfm)
"Albert ARIBAUD" <albert.aribaud@free.fr> a écrit dans le message de
news:49c232d9$0$6702$426a34cc@news.free.fr...
Je ne sais pas d'où sort cette surprenante affirmation que "quand on
croit c'est qu'il n'y a pas de raison", ni ce qui la soutient.
Peut-être la définition du dictionnaire?
Ce n'est pas la même chose que présumer ou supposer.
Comme la grande majorité des fichiers musicaux sur Internet sont
légaux, je ne vois aucune raison à la présomption d'illégalité.
Je ne vois pas ce qui peut laisser penser que "la grande majorité des
fichiers musicaux sur Internet sont légaux".
La réalité peut-être?
J'en attends des éléments de démonstration, alors, facile à fournir si
c'est réel : des relevés assez complets, des panoramas, qui montrent la
prééminence de l'offre libre gratuite par rapport à une offre libre
payante.
Non, par rapport à l'offre non libre payante, la seule qui est
pertinente à ce propos.
Ceux qui font de la propagande n'ont pas non plus d'éléments de
démonstration.
Et comme en fait ils font croire que toutes les musiques
sont non libres et payantes, il y en a contre leur assertion.
L'étendue du catalogue des majors est assez connu. Il suffit d'aller
sur les sites gratuits les plus importants pour voir que ça va bien au
delà.
Ça regroupe des centaines de milliers d'artistes et des millions
de musique (par exemple http://www.soundclick.com/music.cfm)
"Albert ARIBAUD" a écrit dans le message de
news:49c232d9$0$6702$Je ne sais pas d'où sort cette surprenante affirmation que "quand on
croit c'est qu'il n'y a pas de raison", ni ce qui la soutient.
Peut-être la définition du dictionnaire?
Ce n'est pas la même chose que présumer ou supposer.
Comme la grande majorité des fichiers musicaux sur Internet sont
légaux, je ne vois aucune raison à la présomption d'illégalité.Je ne vois pas ce qui peut laisser penser que "la grande majorité des
fichiers musicaux sur Internet sont légaux".La réalité peut-être?J'en attends des éléments de démonstration, alors, facile à fournir si
c'est réel : des relevés assez complets, des panoramas, qui montrent la
prééminence de l'offre libre gratuite par rapport à une offre libre
payante.
Non, par rapport à l'offre non libre payante, la seule qui est
pertinente à ce propos.
Ceux qui font de la propagande n'ont pas non plus d'éléments de
démonstration.
Et comme en fait ils font croire que toutes les musiques
sont non libres et payantes, il y en a contre leur assertion.
L'étendue du catalogue des majors est assez connu. Il suffit d'aller
sur les sites gratuits les plus importants pour voir que ça va bien au
delà.
Ça regroupe des centaines de milliers d'artistes et des millions
de musique (par exemple http://www.soundclick.com/music.cfm)
"Albert ARIBAUD" a écrit dans le message de
news:49c40e09$0$21365$Je reprends sérieusement : la notion de "libre de droits" recouvre
plusieurs définition mais aucune n'est "la bonne" ni "la seule".
Si le terme n'est pas un terme juridique défini précisément, je ne vois
pas l'intérêt de discuter de son sens, et aussi de l'utiliser
d'ailleurs.
Double erreur : c'est bien libre de droits, et ce que t'a dit l'éditeur
est exactement ce qui est sur le site.
Mais comme libre de droit ça ne veut rien dire, l'internaute n'est pas
plus informé.
"Albert ARIBAUD" <albert.aribaud@free.fr> a écrit dans le message de
news:49c40e09$0$21365$426a74cc@news.free.fr...
Je reprends sérieusement : la notion de "libre de droits" recouvre
plusieurs définition mais aucune n'est "la bonne" ni "la seule".
Si le terme n'est pas un terme juridique défini précisément, je ne vois
pas l'intérêt de discuter de son sens, et aussi de l'utiliser
d'ailleurs.
Double erreur : c'est bien libre de droits, et ce que t'a dit l'éditeur
est exactement ce qui est sur le site.
Mais comme libre de droit ça ne veut rien dire, l'internaute n'est pas
plus informé.
"Albert ARIBAUD" a écrit dans le message de
news:49c40e09$0$21365$Je reprends sérieusement : la notion de "libre de droits" recouvre
plusieurs définition mais aucune n'est "la bonne" ni "la seule".
Si le terme n'est pas un terme juridique défini précisément, je ne vois
pas l'intérêt de discuter de son sens, et aussi de l'utiliser
d'ailleurs.
Double erreur : c'est bien libre de droits, et ce que t'a dit l'éditeur
est exactement ce qui est sur le site.
Mais comme libre de droit ça ne veut rien dire, l'internaute n'est pas
plus informé.
"Albert ARIBAUD" a écrit dans le message de
news:49c4218f$0$5077$L'importance aura été, au moins, de demonter une idée fausse qui
voulait que "libre de droit" fût "sans aucune contrainte".
Non, que libre de droit ne veut rien dire et que c'est un attrape-nigaud
commercial.
Pour la plupart des gens, les fichiers mp3 c'est pour
copier sur un disque dur ou un balladeur et l'écouter personnellement.
Il y en a qu'on a le droit de télécharger gratuitement (pour cet usage,)
et d'autres non.
Appellons les légaux et illégaux,
et nous voyons que les fichiers légaux sont l'écrasante majorité.
Conclusion, l'industrie musicale nous bourre le mou et essaye de nous
dissuader de télécharger la musique légale.
Je n'ai jamais écrit que "libre de droit" ne voulait rien dire. J'ai en
revanche expliqué que ça n'avait pas qu'un seul sens,
Voilà, donc sans valeur informative.
Dans Google, il faut donc chercher "domaine public."
Quant à l'internaute, pour s'informer, il lui suffit de lire les
licences. :)
Et on revient au point de départ, rien ne prouve que ces licences soient
exactes,
et ce n'est pas parce qu'un internaute recherche des musiques
"libre de droit" qu'il connait toutes les licences possibles et
imaginables.
"Albert ARIBAUD" <albert.aribaud@free.fr> a écrit dans le message de
news:49c4218f$0$5077$426a74cc@news.free.fr...
L'importance aura été, au moins, de demonter une idée fausse qui
voulait que "libre de droit" fût "sans aucune contrainte".
Non, que libre de droit ne veut rien dire et que c'est un attrape-nigaud
commercial.
Pour la plupart des gens, les fichiers mp3 c'est pour
copier sur un disque dur ou un balladeur et l'écouter personnellement.
Il y en a qu'on a le droit de télécharger gratuitement (pour cet usage,)
et d'autres non.
Appellons les légaux et illégaux,
et nous voyons que les fichiers légaux sont l'écrasante majorité.
Conclusion, l'industrie musicale nous bourre le mou et essaye de nous
dissuader de télécharger la musique légale.
Je n'ai jamais écrit que "libre de droit" ne voulait rien dire. J'ai en
revanche expliqué que ça n'avait pas qu'un seul sens,
Voilà, donc sans valeur informative.
Dans Google, il faut donc chercher "domaine public."
Quant à l'internaute, pour s'informer, il lui suffit de lire les
licences. :)
Et on revient au point de départ, rien ne prouve que ces licences soient
exactes,
et ce n'est pas parce qu'un internaute recherche des musiques
"libre de droit" qu'il connait toutes les licences possibles et
imaginables.
"Albert ARIBAUD" a écrit dans le message de
news:49c4218f$0$5077$L'importance aura été, au moins, de demonter une idée fausse qui
voulait que "libre de droit" fût "sans aucune contrainte".
Non, que libre de droit ne veut rien dire et que c'est un attrape-nigaud
commercial.
Pour la plupart des gens, les fichiers mp3 c'est pour
copier sur un disque dur ou un balladeur et l'écouter personnellement.
Il y en a qu'on a le droit de télécharger gratuitement (pour cet usage,)
et d'autres non.
Appellons les légaux et illégaux,
et nous voyons que les fichiers légaux sont l'écrasante majorité.
Conclusion, l'industrie musicale nous bourre le mou et essaye de nous
dissuader de télécharger la musique légale.
Je n'ai jamais écrit que "libre de droit" ne voulait rien dire. J'ai en
revanche expliqué que ça n'avait pas qu'un seul sens,
Voilà, donc sans valeur informative.
Dans Google, il faut donc chercher "domaine public."
Quant à l'internaute, pour s'informer, il lui suffit de lire les
licences. :)
Et on revient au point de départ, rien ne prouve que ces licences soient
exactes,
et ce n'est pas parce qu'un internaute recherche des musiques
"libre de droit" qu'il connait toutes les licences possibles et
imaginables.
Ça regroupe des centaines de milliers d'artistes et des millions de
musique (par exemple http://www.soundclick.com/music.cfm)
Je n'ai pas trouvé d'indication de la taille du catalogue, mais en
revanche j'ai trouvé dans la FAQ deux ou trois choses intéressantes,
comme :
Q: do I keep the rights to my music?
A: Absolutely! You keep at all times all rights to your music.
Au temps pour une définition extensive de "libre de droits".
D'ailleurs, cette même réponse pointe sur leur "legal agreement" :
<http://www.soundclick.com/docs/legal.cfm>
Lequel indique, quant aux conditions d'usage, que le contenu est
protégé par le droit d'auteur, que l'on n'a le droit d'exploiter le
contenu que pour un usage personnel ou éducatif, mais qu'il est
interdit de reproduire, distribuer, exécuter en public, afficher en
public ni modifier le contenu, ni créer une oeuvre dérivée du contenu
; que l'impression du contenu doit impérativement s'accompagner des
notices de copyright originales ; qu'il est aussi interdit de faire des
liens directs vers des serveurs de Soundclick.
La musique est légale, au sens que j'ai défini.
Les chiffres sont sur la page que j'ai donnée:
"3,190,942 songs
"413,260 accepted bands
Il faut multiplier par un facteur allant de 2 à 10 pour tenir compte des
autres sites (le même groupe pouvant être sur plusieurs sites.)
Je ne pense pas que les majors aient un catalogue comprennant plus de
dix millions de titres.
Ça regroupe des centaines de milliers d'artistes et des millions de
musique (par exemple http://www.soundclick.com/music.cfm)
Je n'ai pas trouvé d'indication de la taille du catalogue, mais en
revanche j'ai trouvé dans la FAQ deux ou trois choses intéressantes,
comme :
Q: do I keep the rights to my music?
A: Absolutely! You keep at all times all rights to your music.
Au temps pour une définition extensive de "libre de droits".
D'ailleurs, cette même réponse pointe sur leur "legal agreement" :
<http://www.soundclick.com/docs/legal.cfm>
Lequel indique, quant aux conditions d'usage, que le contenu est
protégé par le droit d'auteur, que l'on n'a le droit d'exploiter le
contenu que pour un usage personnel ou éducatif, mais qu'il est
interdit de reproduire, distribuer, exécuter en public, afficher en
public ni modifier le contenu, ni créer une oeuvre dérivée du contenu
; que l'impression du contenu doit impérativement s'accompagner des
notices de copyright originales ; qu'il est aussi interdit de faire des
liens directs vers des serveurs de Soundclick.
La musique est légale, au sens que j'ai défini.
Les chiffres sont sur la page que j'ai donnée:
"3,190,942 songs
"413,260 accepted bands
Il faut multiplier par un facteur allant de 2 à 10 pour tenir compte des
autres sites (le même groupe pouvant être sur plusieurs sites.)
Je ne pense pas que les majors aient un catalogue comprennant plus de
dix millions de titres.
Ça regroupe des centaines de milliers d'artistes et des millions de
musique (par exemple http://www.soundclick.com/music.cfm)
Je n'ai pas trouvé d'indication de la taille du catalogue, mais en
revanche j'ai trouvé dans la FAQ deux ou trois choses intéressantes,
comme :
Q: do I keep the rights to my music?
A: Absolutely! You keep at all times all rights to your music.
Au temps pour une définition extensive de "libre de droits".
D'ailleurs, cette même réponse pointe sur leur "legal agreement" :
<http://www.soundclick.com/docs/legal.cfm>
Lequel indique, quant aux conditions d'usage, que le contenu est
protégé par le droit d'auteur, que l'on n'a le droit d'exploiter le
contenu que pour un usage personnel ou éducatif, mais qu'il est
interdit de reproduire, distribuer, exécuter en public, afficher en
public ni modifier le contenu, ni créer une oeuvre dérivée du contenu
; que l'impression du contenu doit impérativement s'accompagner des
notices de copyright originales ; qu'il est aussi interdit de faire des
liens directs vers des serveurs de Soundclick.
La musique est légale, au sens que j'ai défini.
Les chiffres sont sur la page que j'ai donnée:
"3,190,942 songs
"413,260 accepted bands
Il faut multiplier par un facteur allant de 2 à 10 pour tenir compte des
autres sites (le même groupe pouvant être sur plusieurs sites.)
Je ne pense pas que les majors aient un catalogue comprennant plus de
dix millions de titres.
"Albert ARIBAUD" a écrit dans le message de
news:49c42d6f$0$2678$Vous devriez vous méfier de votre conviction. Après tout, il y a
quelques messages vous donniez vous-même des définitions de
l'expression "libre de droit" ; vous trompiez-vous donc ?
Oui
Pour la plupart des gens, les fichiers mp3 c'est pour copier sur un
disque dur ou un balladeur et l'écouter personnellement.Certes, mais il n'est nul besoin d'invoquer la notion de "libre de
droits" pour ça : la copie privée, article L.122-5 du CPI, est bien
suffisante.
La copie privée ne dispense pas de l'acheter, c'est un autre problème.
Et de toute façon elle est largement payées avec les taxes diverse.
Conclusion, l'industrie musicale nous bourre le mou et essaye de nous
dissuader de télécharger la musique légale.L'industrie musicale parle pour les oeuvres dont elle a les droits,
Non justement. Elle parle de: "musique sur Internet", or il se trouve
que la musique sur Internet est légale (en général.)
Dans Google, il faut donc chercher "domaine public."Si l'on veut n'être redevable de rien à personne, oui. Mais si l'on
n'est pas absolutiste, on cherche simplement ce que l'on souhaite
trouver, on s'informe sur ce qui est proposé, et on se décide ensuite.
Donc faire le travail du moteur de recherche, je ne vois pas l'intérêt.
"Albert ARIBAUD" <albert.aribaud@free.fr> a écrit dans le message de
news:49c42d6f$0$2678$426a74cc@news.free.fr...
Vous devriez vous méfier de votre conviction. Après tout, il y a
quelques messages vous donniez vous-même des définitions de
l'expression "libre de droit" ; vous trompiez-vous donc ?
Oui
Pour la plupart des gens, les fichiers mp3 c'est pour copier sur un
disque dur ou un balladeur et l'écouter personnellement.
Certes, mais il n'est nul besoin d'invoquer la notion de "libre de
droits" pour ça : la copie privée, article L.122-5 du CPI, est bien
suffisante.
La copie privée ne dispense pas de l'acheter, c'est un autre problème.
Et de toute façon elle est largement payées avec les taxes diverse.
Conclusion, l'industrie musicale nous bourre le mou et essaye de nous
dissuader de télécharger la musique légale.
L'industrie musicale parle pour les oeuvres dont elle a les droits,
Non justement. Elle parle de: "musique sur Internet", or il se trouve
que la musique sur Internet est légale (en général.)
Dans Google, il faut donc chercher "domaine public."
Si l'on veut n'être redevable de rien à personne, oui. Mais si l'on
n'est pas absolutiste, on cherche simplement ce que l'on souhaite
trouver, on s'informe sur ce qui est proposé, et on se décide ensuite.
Donc faire le travail du moteur de recherche, je ne vois pas l'intérêt.
"Albert ARIBAUD" a écrit dans le message de
news:49c42d6f$0$2678$Vous devriez vous méfier de votre conviction. Après tout, il y a
quelques messages vous donniez vous-même des définitions de
l'expression "libre de droit" ; vous trompiez-vous donc ?
Oui
Pour la plupart des gens, les fichiers mp3 c'est pour copier sur un
disque dur ou un balladeur et l'écouter personnellement.Certes, mais il n'est nul besoin d'invoquer la notion de "libre de
droits" pour ça : la copie privée, article L.122-5 du CPI, est bien
suffisante.
La copie privée ne dispense pas de l'acheter, c'est un autre problème.
Et de toute façon elle est largement payées avec les taxes diverse.
Conclusion, l'industrie musicale nous bourre le mou et essaye de nous
dissuader de télécharger la musique légale.L'industrie musicale parle pour les oeuvres dont elle a les droits,
Non justement. Elle parle de: "musique sur Internet", or il se trouve
que la musique sur Internet est légale (en général.)
Dans Google, il faut donc chercher "domaine public."Si l'on veut n'être redevable de rien à personne, oui. Mais si l'on
n'est pas absolutiste, on cherche simplement ce que l'on souhaite
trouver, on s'informe sur ce qui est proposé, et on se décide ensuite.
Donc faire le travail du moteur de recherche, je ne vois pas l'intérêt.