On Wed, 8 Apr 2009 12:08:01 +0200, Tartiflette wrote:
> "Peio" a écrit dans le message de groupe
> de discussion : 49dc6f24$0$30097$
>
>> "Contrairement à ce qui a été voté, il y a quelques jours par les députés,
>> la CMP a décidé que l'internaute continuera à payer sa connexion en cas de
>> coupure de son accès à Internet."
>>
>> Si ça passe à l'Assemblée, je pense qu'on peut déjà prévoir un imbroglio
>> juridique majeur.
>
> Pourquoi donc ?
Imaginez que France Télécom vous coupe le téléphone alors que vous avez
toujours payé votre facture et qu'en plus on vous oblige à continuer à
payer un abonnement ...
Dans ces condition et avec l'avocat qui va bien vous pouvez assigner FT.
L'autre problème d'Hadopi c'est que c'est un texte qui n'est pas de nature
pénale mais qui prévoit des sanctions pour des délits qui sont déjà
sanctionnés par le droit pénal, essentiellement ici la contrefaçon.
Or dans ce cas seul un tribunal a le pouvoir d'infliger une sanction et il
n'est pas de sanctions hors celles prévues par le code.
On Wed, 8 Apr 2009 12:08:01 +0200, Tartiflette wrote:
> "Peio" <pierre.aubineau_RETIRER@free.fr> a écrit dans le message de groupe
> de discussion : 49dc6f24$0$30097$426a74cc@news.free.fr...
>
>> "Contrairement à ce qui a été voté, il y a quelques jours par les députés,
>> la CMP a décidé que l'internaute continuera à payer sa connexion en cas de
>> coupure de son accès à Internet."
>>
>> Si ça passe à l'Assemblée, je pense qu'on peut déjà prévoir un imbroglio
>> juridique majeur.
>
> Pourquoi donc ?
Imaginez que France Télécom vous coupe le téléphone alors que vous avez
toujours payé votre facture et qu'en plus on vous oblige à continuer à
payer un abonnement ...
Dans ces condition et avec l'avocat qui va bien vous pouvez assigner FT.
L'autre problème d'Hadopi c'est que c'est un texte qui n'est pas de nature
pénale mais qui prévoit des sanctions pour des délits qui sont déjà
sanctionnés par le droit pénal, essentiellement ici la contrefaçon.
Or dans ce cas seul un tribunal a le pouvoir d'infliger une sanction et il
n'est pas de sanctions hors celles prévues par le code.
On Wed, 8 Apr 2009 12:08:01 +0200, Tartiflette wrote:
> "Peio" a écrit dans le message de groupe
> de discussion : 49dc6f24$0$30097$
>
>> "Contrairement à ce qui a été voté, il y a quelques jours par les députés,
>> la CMP a décidé que l'internaute continuera à payer sa connexion en cas de
>> coupure de son accès à Internet."
>>
>> Si ça passe à l'Assemblée, je pense qu'on peut déjà prévoir un imbroglio
>> juridique majeur.
>
> Pourquoi donc ?
Imaginez que France Télécom vous coupe le téléphone alors que vous avez
toujours payé votre facture et qu'en plus on vous oblige à continuer à
payer un abonnement ...
Dans ces condition et avec l'avocat qui va bien vous pouvez assigner FT.
L'autre problème d'Hadopi c'est que c'est un texte qui n'est pas de nature
pénale mais qui prévoit des sanctions pour des délits qui sont déjà
sanctionnés par le droit pénal, essentiellement ici la contrefaçon.
Or dans ce cas seul un tribunal a le pouvoir d'infliger une sanction et il
n'est pas de sanctions hors celles prévues par le code.
Bref, cette coupure "payante" s'apparente de plus en plus à une amende
mensualisée sans en être une (puisque c'est le FAI et non l'Etat qui
encaisse). Ca ne me semble pas tenable mais je peux me tromper.
Bref, cette coupure "payante" s'apparente de plus en plus à une amende
mensualisée sans en être une (puisque c'est le FAI et non l'Etat qui
encaisse). Ca ne me semble pas tenable mais je peux me tromper.
Bref, cette coupure "payante" s'apparente de plus en plus à une amende
mensualisée sans en être une (puisque c'est le FAI et non l'Etat qui
encaisse). Ca ne me semble pas tenable mais je peux me tromper.
Amha, ça ne passera pas au niveau du Conseil Constitutionnel, s'il est
saisi.
Sans compter les avocats spécialisés en droit des contrats puisque le
contrat sera rompu en cas de déconnexion et que le FAI aura du mal à
justifier sa créance envers le déconnecté.
Je ne crois pas que les gros FAI vont se laisser faire...
Amha, ça ne passera pas au niveau du Conseil Constitutionnel, s'il est
saisi.
Sans compter les avocats spécialisés en droit des contrats puisque le
contrat sera rompu en cas de déconnexion et que le FAI aura du mal à
justifier sa créance envers le déconnecté.
Je ne crois pas que les gros FAI vont se laisser faire...
Amha, ça ne passera pas au niveau du Conseil Constitutionnel, s'il est
saisi.
Sans compter les avocats spécialisés en droit des contrats puisque le
contrat sera rompu en cas de déconnexion et que le FAI aura du mal à
justifier sa créance envers le déconnecté.
Je ne crois pas que les gros FAI vont se laisser faire...
"X.Martin-Dupont" a écrit dans le message de groupe de
discussion : 15qj6a6g4p3sw$On Wed, 8 Apr 2009 12:08:01 +0200, Tartiflette wrote:"Peio" a écrit dans le message de
groupe
de discussion : 49dc6f24$0$30097$"Contrairement à ce qui a été voté, il y a quelques jours par les
députés,
la CMP a décidé que l’internaute continuera à payer sa connexion en cas
de
coupure de son accès à Internet."
Si ça passe à l'Assemblée, je pense qu'on peut déjà prévoir un imbroglio
juridique majeur.
Pourquoi donc ?
Imaginez que France Télécom vous coupe le téléphone alors que vous avez
toujours payé votre facture et qu'en plus on vous oblige à continuer à
payer un abonnement ...
Dans ces condition et avec l'avocat qui va bien vous pouvez assigner FT.
Même si FT coupe le téléphone sur réquisition judiciaire ou administrative ?
L'autre problème d'Hadopi c'est que c'est un texte qui n'est pas de nature
pénale mais qui prévoit des sanctions pour des délits qui sont déjà
sanctionnés par le droit pénal, essentiellement ici la contrefaçon.
Non, le délit n'est pas sanctionné par le droit pénal.
Il ne s'agit pas du
délit de contrefaçon mais de défaut de sécurisation de l'accès, introduit
par la loi DADVSI et réécrit dans le cadre de la loi HADOPI.
"X.Martin-Dupont" <xmd@zelohim.org> a écrit dans le message de groupe de
discussion : 15qj6a6g4p3sw$.18zpcdwz8u2uo.dlg@40tude.net...
On Wed, 8 Apr 2009 12:08:01 +0200, Tartiflette wrote:
"Peio" <pierre.aubineau_RETIRER@free.fr> a écrit dans le message de
groupe
de discussion : 49dc6f24$0$30097$426a74cc@news.free.fr...
"Contrairement à ce qui a été voté, il y a quelques jours par les
députés,
la CMP a décidé que l’internaute continuera à payer sa connexion en cas
de
coupure de son accès à Internet."
Si ça passe à l'Assemblée, je pense qu'on peut déjà prévoir un imbroglio
juridique majeur.
Pourquoi donc ?
Imaginez que France Télécom vous coupe le téléphone alors que vous avez
toujours payé votre facture et qu'en plus on vous oblige à continuer à
payer un abonnement ...
Dans ces condition et avec l'avocat qui va bien vous pouvez assigner FT.
Même si FT coupe le téléphone sur réquisition judiciaire ou administrative ?
L'autre problème d'Hadopi c'est que c'est un texte qui n'est pas de nature
pénale mais qui prévoit des sanctions pour des délits qui sont déjà
sanctionnés par le droit pénal, essentiellement ici la contrefaçon.
Non, le délit n'est pas sanctionné par le droit pénal.
Il ne s'agit pas du
délit de contrefaçon mais de défaut de sécurisation de l'accès, introduit
par la loi DADVSI et réécrit dans le cadre de la loi HADOPI.
"X.Martin-Dupont" a écrit dans le message de groupe de
discussion : 15qj6a6g4p3sw$On Wed, 8 Apr 2009 12:08:01 +0200, Tartiflette wrote:"Peio" a écrit dans le message de
groupe
de discussion : 49dc6f24$0$30097$"Contrairement à ce qui a été voté, il y a quelques jours par les
députés,
la CMP a décidé que l’internaute continuera à payer sa connexion en cas
de
coupure de son accès à Internet."
Si ça passe à l'Assemblée, je pense qu'on peut déjà prévoir un imbroglio
juridique majeur.
Pourquoi donc ?
Imaginez que France Télécom vous coupe le téléphone alors que vous avez
toujours payé votre facture et qu'en plus on vous oblige à continuer à
payer un abonnement ...
Dans ces condition et avec l'avocat qui va bien vous pouvez assigner FT.
Même si FT coupe le téléphone sur réquisition judiciaire ou administrative ?
L'autre problème d'Hadopi c'est que c'est un texte qui n'est pas de nature
pénale mais qui prévoit des sanctions pour des délits qui sont déjà
sanctionnés par le droit pénal, essentiellement ici la contrefaçon.
Non, le délit n'est pas sanctionné par le droit pénal.
Il ne s'agit pas du
délit de contrefaçon mais de défaut de sécurisation de l'accès, introduit
par la loi DADVSI et réécrit dans le cadre de la loi HADOPI.
Et de toute manière, au mieux, vous attaquez, et vous gagnez le droit de
ne pas payer. Génial. Mais vous restez sur la liste noire des FAI, qui
est gérée par la fameuse (fumeuse ?) commission hadopi.
Vous tentez alors de vous inscrire chez un autre fournisseur parce que
vous en avez besoin (au hasard, parce que c'est vital pour votre
travail, ou pour trouver un emploi, ou pourquoi pas payer vos impôts),
et là on vous dit "désolé, vous êtes sur liste noire".
Vous faites quoi ? Vous tentez de contester, et restez coupé pendant la
durée de la procédure ?
Et de toute manière, au mieux, vous attaquez, et vous gagnez le droit de
ne pas payer. Génial. Mais vous restez sur la liste noire des FAI, qui
est gérée par la fameuse (fumeuse ?) commission hadopi.
Vous tentez alors de vous inscrire chez un autre fournisseur parce que
vous en avez besoin (au hasard, parce que c'est vital pour votre
travail, ou pour trouver un emploi, ou pourquoi pas payer vos impôts),
et là on vous dit "désolé, vous êtes sur liste noire".
Vous faites quoi ? Vous tentez de contester, et restez coupé pendant la
durée de la procédure ?
Et de toute manière, au mieux, vous attaquez, et vous gagnez le droit de
ne pas payer. Génial. Mais vous restez sur la liste noire des FAI, qui
est gérée par la fameuse (fumeuse ?) commission hadopi.
Vous tentez alors de vous inscrire chez un autre fournisseur parce que
vous en avez besoin (au hasard, parce que c'est vital pour votre
travail, ou pour trouver un emploi, ou pourquoi pas payer vos impôts),
et là on vous dit "désolé, vous êtes sur liste noire".
Vous faites quoi ? Vous tentez de contester, et restez coupé pendant la
durée de la procédure ?
Et les réquisition de l'administration peuvent être l'objet d'un contrôle
par un tribunal administratif ou autre ce qui n'est pas le cas de la haute
autorité machin.
Enfin on ne voit pas en quoi la haute autorité machin pourrait s'immiscer
dans des relations contractuelles entre des personnes privées ...
L'autre problème d'Hadopi c'est que c'est un texte qui n'est pas de
nature
pénale mais qui prévoit des sanctions pour des délits qui sont déjà
sanctionnés par le droit pénal, essentiellement ici la contrefaçon.
Non, le délit n'est pas sanctionné par le droit pénal.
Ce n'est pas le fait de télécharger qui est l'objet de la sanction mais
en
se faisant se rendre coupable du délit de contrefaçon d'une oeuvre
protégée
Il ne s'agit pas du
délit de contrefaçon mais de défaut de sécurisation de l'accès, introduit
par la loi DADVSI et réécrit dans le cadre de la loi HADOPI.
Non
Et les réquisition de l'administration peuvent être l'objet d'un contrôle
par un tribunal administratif ou autre ce qui n'est pas le cas de la haute
autorité machin.
Enfin on ne voit pas en quoi la haute autorité machin pourrait s'immiscer
dans des relations contractuelles entre des personnes privées ...
L'autre problème d'Hadopi c'est que c'est un texte qui n'est pas de
nature
pénale mais qui prévoit des sanctions pour des délits qui sont déjà
sanctionnés par le droit pénal, essentiellement ici la contrefaçon.
Non, le délit n'est pas sanctionné par le droit pénal.
Ce n'est pas le fait de télécharger qui est l'objet de la sanction mais
en
se faisant se rendre coupable du délit de contrefaçon d'une oeuvre
protégée
Il ne s'agit pas du
délit de contrefaçon mais de défaut de sécurisation de l'accès, introduit
par la loi DADVSI et réécrit dans le cadre de la loi HADOPI.
Non
Et les réquisition de l'administration peuvent être l'objet d'un contrôle
par un tribunal administratif ou autre ce qui n'est pas le cas de la haute
autorité machin.
Enfin on ne voit pas en quoi la haute autorité machin pourrait s'immiscer
dans des relations contractuelles entre des personnes privées ...
L'autre problème d'Hadopi c'est que c'est un texte qui n'est pas de
nature
pénale mais qui prévoit des sanctions pour des délits qui sont déjà
sanctionnés par le droit pénal, essentiellement ici la contrefaçon.
Non, le délit n'est pas sanctionné par le droit pénal.
Ce n'est pas le fait de télécharger qui est l'objet de la sanction mais
en
se faisant se rendre coupable du délit de contrefaçon d'une oeuvre
protégée
Il ne s'agit pas du
délit de contrefaçon mais de défaut de sécurisation de l'accès, introduit
par la loi DADVSI et réécrit dans le cadre de la loi HADOPI.
Non
X.Martin-Dupont wrote:L'autre problème d'Hadopi c'est que c'est un texte qui n'est pas de nature
pénale mais qui prévoit des sanctions pour des délits qui sont déjà
sanctionnés par le droit pénal, essentiellement ici la contrefaçon.
Et quid des "preuves" qui sont fournies (ou fabriquées) par un tiers
privé ?
X.Martin-Dupont wrote:
L'autre problème d'Hadopi c'est que c'est un texte qui n'est pas de nature
pénale mais qui prévoit des sanctions pour des délits qui sont déjà
sanctionnés par le droit pénal, essentiellement ici la contrefaçon.
Et quid des "preuves" qui sont fournies (ou fabriquées) par un tiers
privé ?
X.Martin-Dupont wrote:L'autre problème d'Hadopi c'est que c'est un texte qui n'est pas de nature
pénale mais qui prévoit des sanctions pour des délits qui sont déjà
sanctionnés par le droit pénal, essentiellement ici la contrefaçon.
Et quid des "preuves" qui sont fournies (ou fabriquées) par un tiers
privé ?
Je demande à quelqu'un des miens (domicilié chez moi) de s'inscrire à ma
place.
Je demande à quelqu'un des miens (domicilié chez moi) de s'inscrire à ma
place.
Je demande à quelqu'un des miens (domicilié chez moi) de s'inscrire à ma
place.
Qui plus est - et ça va devenir un sport répandu - il n'est pas compliqué
de leurrer les cybers cerbères robotisés sur laquelle se reposera HADOPI
pour ses soi disant investigations, il se pourrait même qu'un plaisantin
déclare sa machine dans des adresses du Bloc IP de la haute autorité comme
ça pour rire ...
Qui plus est - et ça va devenir un sport répandu - il n'est pas compliqué
de leurrer les cybers cerbères robotisés sur laquelle se reposera HADOPI
pour ses soi disant investigations, il se pourrait même qu'un plaisantin
déclare sa machine dans des adresses du Bloc IP de la haute autorité comme
ça pour rire ...
Qui plus est - et ça va devenir un sport répandu - il n'est pas compliqué
de leurrer les cybers cerbères robotisés sur laquelle se reposera HADOPI
pour ses soi disant investigations, il se pourrait même qu'un plaisantin
déclare sa machine dans des adresses du Bloc IP de la haute autorité comme
ça pour rire ...
"X.Martin-Dupont" a écrit dans le message de groupe de
discussion :Et les réquisition de l'administration peuvent être l'objet d'un contrôle
par un tribunal administratif ou autre ce qui n'est pas le cas de la haute
autorité machin.
Bah si, les recours se feront devant un tribunal, judiciaire ou
administratif.
Enfin on ne voit pas en quoi la haute autorité machin pourrait s'immiscer
dans des relations contractuelles entre des personnes privées ...
D'autres autorités administratives le font déjà, pourquoi pas celle-là ?L'autre problème d'Hadopi c'est que c'est un texte qui n'est pas de
nature pénale mais qui prévoit des sanctions pour des délits qui
sont déjà sanctionnés par le droit pénal, essentiellement ici la
contrefaçon.
Non, le délit n'est pas sanctionné par le droit pénal.
Ce n'est pas le fait de télécharger qui est l'objet de la sanction mais
en
se faisant se rendre coupable du délit de contrefaçon d'une oeuvre
protégée
Ce n'est pas ce délit qui est sanctionné par l'HADOPI.Il ne s'agit pas du
délit de contrefaçon mais de défaut de sécurisation de l'accès, introduit
par la loi DADVSI et réécrit dans le cadre de la loi HADOPI.
Non
Si. Lis le projet de loi, en particulier le futur article L. 336-3 du CPI.
"X.Martin-Dupont" <xmd@zelohim.org> a écrit dans le message de groupe de
discussion : hdvwkwaeo5rp.13cqmuzba11b9.dlg@40tude.net...
Et les réquisition de l'administration peuvent être l'objet d'un contrôle
par un tribunal administratif ou autre ce qui n'est pas le cas de la haute
autorité machin.
Bah si, les recours se feront devant un tribunal, judiciaire ou
administratif.
Enfin on ne voit pas en quoi la haute autorité machin pourrait s'immiscer
dans des relations contractuelles entre des personnes privées ...
D'autres autorités administratives le font déjà, pourquoi pas celle-là ?
L'autre problème d'Hadopi c'est que c'est un texte qui n'est pas de
nature pénale mais qui prévoit des sanctions pour des délits qui
sont déjà sanctionnés par le droit pénal, essentiellement ici la
contrefaçon.
Non, le délit n'est pas sanctionné par le droit pénal.
Ce n'est pas le fait de télécharger qui est l'objet de la sanction mais
en
se faisant se rendre coupable du délit de contrefaçon d'une oeuvre
protégée
Ce n'est pas ce délit qui est sanctionné par l'HADOPI.
Il ne s'agit pas du
délit de contrefaçon mais de défaut de sécurisation de l'accès, introduit
par la loi DADVSI et réécrit dans le cadre de la loi HADOPI.
Non
Si. Lis le projet de loi, en particulier le futur article L. 336-3 du CPI.
"X.Martin-Dupont" a écrit dans le message de groupe de
discussion :Et les réquisition de l'administration peuvent être l'objet d'un contrôle
par un tribunal administratif ou autre ce qui n'est pas le cas de la haute
autorité machin.
Bah si, les recours se feront devant un tribunal, judiciaire ou
administratif.
Enfin on ne voit pas en quoi la haute autorité machin pourrait s'immiscer
dans des relations contractuelles entre des personnes privées ...
D'autres autorités administratives le font déjà, pourquoi pas celle-là ?L'autre problème d'Hadopi c'est que c'est un texte qui n'est pas de
nature pénale mais qui prévoit des sanctions pour des délits qui
sont déjà sanctionnés par le droit pénal, essentiellement ici la
contrefaçon.
Non, le délit n'est pas sanctionné par le droit pénal.
Ce n'est pas le fait de télécharger qui est l'objet de la sanction mais
en
se faisant se rendre coupable du délit de contrefaçon d'une oeuvre
protégée
Ce n'est pas ce délit qui est sanctionné par l'HADOPI.Il ne s'agit pas du
délit de contrefaçon mais de défaut de sécurisation de l'accès, introduit
par la loi DADVSI et réécrit dans le cadre de la loi HADOPI.
Non
Si. Lis le projet de loi, en particulier le futur article L. 336-3 du CPI.