Y compris quand il n'y a aucune preuve, seulement parce-que ç'est
plausible ?
(propos tenus par la direction du site accusateur)
Y compris quand il n'y a aucune preuve, seulement parce-que ç'est
plausible ?
(propos tenus par la direction du site accusateur)
Y compris quand il n'y a aucune preuve, seulement parce-que ç'est
plausible ?
(propos tenus par la direction du site accusateur)
Y compris quand il n'y a aucune preuve,
seulement parce-que ç'est plausible ?
(propos tenus par la direction du site accusateur)
On parlera de preuves et de présomption d'innocence
quand il y aura un juge indépendant sur l'affaire.
Pour le moment, il y a une quantité industrielle de conflits
d'intérêts avérés, y compris au niveau de la Justice.
Peut-être le hasard après tout...
Y compris quand il n'y a aucune preuve,
seulement parce-que ç'est plausible ?
(propos tenus par la direction du site accusateur)
On parlera de preuves et de présomption d'innocence
quand il y aura un juge indépendant sur l'affaire.
Pour le moment, il y a une quantité industrielle de conflits
d'intérêts avérés, y compris au niveau de la Justice.
Peut-être le hasard après tout...
Y compris quand il n'y a aucune preuve,
seulement parce-que ç'est plausible ?
(propos tenus par la direction du site accusateur)
On parlera de preuves et de présomption d'innocence
quand il y aura un juge indépendant sur l'affaire.
Pour le moment, il y a une quantité industrielle de conflits
d'intérêts avérés, y compris au niveau de la Justice.
Peut-être le hasard après tout...
S'il ne semble pas y avoir de définition juridique pour le
concept de "haute trahison", son champs couvre toutefois
deux domaines principaux, à savoir l'attentat à la sûreté de
l'État et l'intelligence avec l'ennemi.
Lorsqu'un général met sciemment en péril la sûreté de ses
troupes, donc de son pays, dans le seul et unique but de
complaire à l'ennemis il y a incontestablement haute trahison.
Que dire lorsqu'un ministre des finances met en pleine crise
économique la trésorerie de son pays en danger dans le seul
et unique but de complaire à au moins une multinationale?...
Dans les deux cas il y a participation à une guerre contre
son propre pays et collusion avec une puissance étrangère.
Si vous avez connaissance de faits mettant en danger la
sûreté de l'état (et l'état c'est nous) il faut impérativement
les dénoncer, surtout si une guerre menace.
Je me suis laissé dire que nous étions en guerre économique
mais ce ne sont qu'allégations de farceurs bien entendu...
Donc si guerre il y a, c'est une guerre mondiale, me semble
t-il, et par la faute d'un ministre ?
Le but de votre intervention, qui en l'occurrence n'a aucun
sens, consiste à éliminer fr.soc.politique de ce fil. Coquin va !
Tout simplement parce que je n'y suis pas abonné, est-il
obligatoire de répondre sur tous les forums "sollicités" à
l'origine ?
Mais soit je laisserais donc la réponse apparaître sur les deux.
Puisque *votre* intervention a un sens, j'aimerais donc
comprendre quel est le rapport entre les "méfaits" supposés
d'un ministre, présumé "comploter" contre son pays et une
guerre économique que vous semblez d'ailleurs confondre
avec crise économique.
S'il ne semble pas y avoir de définition juridique pour le
concept de "haute trahison", son champs couvre toutefois
deux domaines principaux, à savoir l'attentat à la sûreté de
l'État et l'intelligence avec l'ennemi.
Lorsqu'un général met sciemment en péril la sûreté de ses
troupes, donc de son pays, dans le seul et unique but de
complaire à l'ennemis il y a incontestablement haute trahison.
Que dire lorsqu'un ministre des finances met en pleine crise
économique la trésorerie de son pays en danger dans le seul
et unique but de complaire à au moins une multinationale?...
Dans les deux cas il y a participation à une guerre contre
son propre pays et collusion avec une puissance étrangère.
Si vous avez connaissance de faits mettant en danger la
sûreté de l'état (et l'état c'est nous) il faut impérativement
les dénoncer, surtout si une guerre menace.
Je me suis laissé dire que nous étions en guerre économique
mais ce ne sont qu'allégations de farceurs bien entendu...
Donc si guerre il y a, c'est une guerre mondiale, me semble
t-il, et par la faute d'un ministre ?
Le but de votre intervention, qui en l'occurrence n'a aucun
sens, consiste à éliminer fr.soc.politique de ce fil. Coquin va !
Tout simplement parce que je n'y suis pas abonné, est-il
obligatoire de répondre sur tous les forums "sollicités" à
l'origine ?
Mais soit je laisserais donc la réponse apparaître sur les deux.
Puisque *votre* intervention a un sens, j'aimerais donc
comprendre quel est le rapport entre les "méfaits" supposés
d'un ministre, présumé "comploter" contre son pays et une
guerre économique que vous semblez d'ailleurs confondre
avec crise économique.
S'il ne semble pas y avoir de définition juridique pour le
concept de "haute trahison", son champs couvre toutefois
deux domaines principaux, à savoir l'attentat à la sûreté de
l'État et l'intelligence avec l'ennemi.
Lorsqu'un général met sciemment en péril la sûreté de ses
troupes, donc de son pays, dans le seul et unique but de
complaire à l'ennemis il y a incontestablement haute trahison.
Que dire lorsqu'un ministre des finances met en pleine crise
économique la trésorerie de son pays en danger dans le seul
et unique but de complaire à au moins une multinationale?...
Dans les deux cas il y a participation à une guerre contre
son propre pays et collusion avec une puissance étrangère.
Si vous avez connaissance de faits mettant en danger la
sûreté de l'état (et l'état c'est nous) il faut impérativement
les dénoncer, surtout si une guerre menace.
Je me suis laissé dire que nous étions en guerre économique
mais ce ne sont qu'allégations de farceurs bien entendu...
Donc si guerre il y a, c'est une guerre mondiale, me semble
t-il, et par la faute d'un ministre ?
Le but de votre intervention, qui en l'occurrence n'a aucun
sens, consiste à éliminer fr.soc.politique de ce fil. Coquin va !
Tout simplement parce que je n'y suis pas abonné, est-il
obligatoire de répondre sur tous les forums "sollicités" à
l'origine ?
Mais soit je laisserais donc la réponse apparaître sur les deux.
Puisque *votre* intervention a un sens, j'aimerais donc
comprendre quel est le rapport entre les "méfaits" supposés
d'un ministre, présumé "comploter" contre son pays et une
guerre économique que vous semblez d'ailleurs confondre
avec crise économique.
Comme vous le dites les conflits d'intérêt sont a-vé-rés.
Disons que la plausibilité est pour le moins... aggravée ! ;-))
Comme vous le dites les conflits d'intérêt sont a-vé-rés.
Disons que la plausibilité est pour le moins... aggravée ! ;-))
Comme vous le dites les conflits d'intérêt sont a-vé-rés.
Disons que la plausibilité est pour le moins... aggravée ! ;-))
Puisque *votre* intervention a un sens, j'aimerais donc
comprendre quel est le rapport entre les "méfaits" supposés
d'un ministre, présumé "comploter" contre son pays et une
guerre économique que vous semblez d'ailleurs confondre
avec crise économique.
Libre à vous effectivement d'estimer qu'il n'existe aucune
rivalité 'profonde' dans la haute finance. Nous sommes en
démocratie que diable! Permettez-moi donc de considérer
pour ma part qu'il y en a bien une, comme de tout temps
d'ailleurs, et que celle-ci revêt une gravité bien supérieur
à tout conflit armé puisqu'elle transcende la plupart de
ceux-ci.
Puisque *votre* intervention a un sens, j'aimerais donc
comprendre quel est le rapport entre les "méfaits" supposés
d'un ministre, présumé "comploter" contre son pays et une
guerre économique que vous semblez d'ailleurs confondre
avec crise économique.
Libre à vous effectivement d'estimer qu'il n'existe aucune
rivalité 'profonde' dans la haute finance. Nous sommes en
démocratie que diable! Permettez-moi donc de considérer
pour ma part qu'il y en a bien une, comme de tout temps
d'ailleurs, et que celle-ci revêt une gravité bien supérieur
à tout conflit armé puisqu'elle transcende la plupart de
ceux-ci.
Puisque *votre* intervention a un sens, j'aimerais donc
comprendre quel est le rapport entre les "méfaits" supposés
d'un ministre, présumé "comploter" contre son pays et une
guerre économique que vous semblez d'ailleurs confondre
avec crise économique.
Libre à vous effectivement d'estimer qu'il n'existe aucune
rivalité 'profonde' dans la haute finance. Nous sommes en
démocratie que diable! Permettez-moi donc de considérer
pour ma part qu'il y en a bien une, comme de tout temps
d'ailleurs, et que celle-ci revêt une gravité bien supérieur
à tout conflit armé puisqu'elle transcende la plupart de
ceux-ci.
Puisque *votre* intervention a un sens, j'aimerais donc
comprendre quel est le rapport entre les "méfaits" supposés
d'un ministre, présumé "comploter" contre son pays et une
guerre économique que vous semblez d'ailleurs confondre
avec crise économique.
Libre à vous effectivement d'estimer qu'il n'existe aucune
rivalité 'profonde' dans la haute finance. Nous sommes en
démocratie que diable! Permettez-moi donc de considérer
pour ma part qu'il y en a bien une, comme de tout temps
d'ailleurs, et que celle-ci revêt une gravité bien supérieur
à tout conflit armé puisqu'elle transcende la plupart de
ceux-ci.
Ce dont vous faite part s'appelle en effet guerre économique,
concurrence internationale, voir même espionnage industriel,
il s'agit donc, comme vous le préciser d'ailleurs justement,
d'un conflit qui existe de tout temps.
Alors que la crise économique est une dégradation de la
situation (ralentissement ou récession) économique, en
principe limitée dans la durée, qui peut toucher un ou
plusieurs pays, et là aussi je serais d'accord avec vous quant
à sa gravité bien supérieure. La nuance, qui me semble à
moi évidente, mérite d'être signalée.
Mais ma question reste toujours sans réponse : Qu'elle est
la responsabilité du ministre dans tel ou tel agissement, un
conflit d'intérêt *s'il est avéré* peut-il à ce point mettre en
danger la situation économique de notre pays, peut-on
parler d'intelligence avec l'ennemi, d'atteinte à la sécurité
de l'état, guerre contre son propre pays, collusion avec une
puissance étrangère... ?
Puisque *votre* intervention a un sens, j'aimerais donc
comprendre quel est le rapport entre les "méfaits" supposés
d'un ministre, présumé "comploter" contre son pays et une
guerre économique que vous semblez d'ailleurs confondre
avec crise économique.
Libre à vous effectivement d'estimer qu'il n'existe aucune
rivalité 'profonde' dans la haute finance. Nous sommes en
démocratie que diable! Permettez-moi donc de considérer
pour ma part qu'il y en a bien une, comme de tout temps
d'ailleurs, et que celle-ci revêt une gravité bien supérieur
à tout conflit armé puisqu'elle transcende la plupart de
ceux-ci.
Ce dont vous faite part s'appelle en effet guerre économique,
concurrence internationale, voir même espionnage industriel,
il s'agit donc, comme vous le préciser d'ailleurs justement,
d'un conflit qui existe de tout temps.
Alors que la crise économique est une dégradation de la
situation (ralentissement ou récession) économique, en
principe limitée dans la durée, qui peut toucher un ou
plusieurs pays, et là aussi je serais d'accord avec vous quant
à sa gravité bien supérieure. La nuance, qui me semble à
moi évidente, mérite d'être signalée.
Mais ma question reste toujours sans réponse : Qu'elle est
la responsabilité du ministre dans tel ou tel agissement, un
conflit d'intérêt *s'il est avéré* peut-il à ce point mettre en
danger la situation économique de notre pays, peut-on
parler d'intelligence avec l'ennemi, d'atteinte à la sécurité
de l'état, guerre contre son propre pays, collusion avec une
puissance étrangère... ?
Puisque *votre* intervention a un sens, j'aimerais donc
comprendre quel est le rapport entre les "méfaits" supposés
d'un ministre, présumé "comploter" contre son pays et une
guerre économique que vous semblez d'ailleurs confondre
avec crise économique.
Libre à vous effectivement d'estimer qu'il n'existe aucune
rivalité 'profonde' dans la haute finance. Nous sommes en
démocratie que diable! Permettez-moi donc de considérer
pour ma part qu'il y en a bien une, comme de tout temps
d'ailleurs, et que celle-ci revêt une gravité bien supérieur
à tout conflit armé puisqu'elle transcende la plupart de
ceux-ci.
Ce dont vous faite part s'appelle en effet guerre économique,
concurrence internationale, voir même espionnage industriel,
il s'agit donc, comme vous le préciser d'ailleurs justement,
d'un conflit qui existe de tout temps.
Alors que la crise économique est une dégradation de la
situation (ralentissement ou récession) économique, en
principe limitée dans la durée, qui peut toucher un ou
plusieurs pays, et là aussi je serais d'accord avec vous quant
à sa gravité bien supérieure. La nuance, qui me semble à
moi évidente, mérite d'être signalée.
Mais ma question reste toujours sans réponse : Qu'elle est
la responsabilité du ministre dans tel ou tel agissement, un
conflit d'intérêt *s'il est avéré* peut-il à ce point mettre en
danger la situation économique de notre pays, peut-on
parler d'intelligence avec l'ennemi, d'atteinte à la sécurité
de l'état, guerre contre son propre pays, collusion avec une
puissance étrangère... ?
Concernant tout d'abord le "conflit d'intérêts" nous n'en
sommes plus à chercher à savoir s'il est avéré ou non,
madame Woerth l'a elle même reconnu dès fin juin:
- "Je reconnais que j'avais sous-estimé ce conflit d'intérêts",
déclare Florence Woerth dans un entretien au Monde.
La nuance relative à la durée que vous soulignez entre "crise"
et "guerre" économique ne me semble ici guère opportune.
Si la crise, bien que gravée dans les gènes du libéralisme, n'a
qu'un effet limité dans le temps elle s'inscrit forcément dans
le plus large contexte de la guerre économique et déforce
certains antagonistes dont la France. Dans ces circonstances
déforcer davantage encore la trésorerie nationale, nerf de la
guerre dont on est constitutionnellement le garant relève
indubitablement de la trahison et, vu les circonstances, de la
haute trahison.
Oui ces actes, parmi d'autres, peuvent mettre réellement en
danger l'économie de notre pays parce que l'Etat est déjà en
faillite (dixit Fillon) et que de très fortes sommes sont en
jeu si l'on considère que ces pratiques risquent fort d'être
généralisées. On ne peut accuser de tous les maux la
corruption en Grèce en fermant les yeux sur la nôtre, le
sort de ce pays peut très bien nous être réservé dans un
avenir relativement proche...
Ne croyons pas que nous sommes à l'abri de tout, il se peut
très bien que l'euro vacille sous peu*, si elles y trouvent profit
les multinationales n'hésiteront pas à jouer sa chute comme
elles ont toujours joué sur la faiblesse des Etats. En ce sens
nous ne pouvons les considérer comme des entités amicales
mais bien plutôt comme des ennemis potentiels.
Concernant tout d'abord le "conflit d'intérêts" nous n'en
sommes plus à chercher à savoir s'il est avéré ou non,
madame Woerth l'a elle même reconnu dès fin juin:
- "Je reconnais que j'avais sous-estimé ce conflit d'intérêts",
déclare Florence Woerth dans un entretien au Monde.
La nuance relative à la durée que vous soulignez entre "crise"
et "guerre" économique ne me semble ici guère opportune.
Si la crise, bien que gravée dans les gènes du libéralisme, n'a
qu'un effet limité dans le temps elle s'inscrit forcément dans
le plus large contexte de la guerre économique et déforce
certains antagonistes dont la France. Dans ces circonstances
déforcer davantage encore la trésorerie nationale, nerf de la
guerre dont on est constitutionnellement le garant relève
indubitablement de la trahison et, vu les circonstances, de la
haute trahison.
Oui ces actes, parmi d'autres, peuvent mettre réellement en
danger l'économie de notre pays parce que l'Etat est déjà en
faillite (dixit Fillon) et que de très fortes sommes sont en
jeu si l'on considère que ces pratiques risquent fort d'être
généralisées. On ne peut accuser de tous les maux la
corruption en Grèce en fermant les yeux sur la nôtre, le
sort de ce pays peut très bien nous être réservé dans un
avenir relativement proche...
Ne croyons pas que nous sommes à l'abri de tout, il se peut
très bien que l'euro vacille sous peu*, si elles y trouvent profit
les multinationales n'hésiteront pas à jouer sa chute comme
elles ont toujours joué sur la faiblesse des Etats. En ce sens
nous ne pouvons les considérer comme des entités amicales
mais bien plutôt comme des ennemis potentiels.
Concernant tout d'abord le "conflit d'intérêts" nous n'en
sommes plus à chercher à savoir s'il est avéré ou non,
madame Woerth l'a elle même reconnu dès fin juin:
- "Je reconnais que j'avais sous-estimé ce conflit d'intérêts",
déclare Florence Woerth dans un entretien au Monde.
La nuance relative à la durée que vous soulignez entre "crise"
et "guerre" économique ne me semble ici guère opportune.
Si la crise, bien que gravée dans les gènes du libéralisme, n'a
qu'un effet limité dans le temps elle s'inscrit forcément dans
le plus large contexte de la guerre économique et déforce
certains antagonistes dont la France. Dans ces circonstances
déforcer davantage encore la trésorerie nationale, nerf de la
guerre dont on est constitutionnellement le garant relève
indubitablement de la trahison et, vu les circonstances, de la
haute trahison.
Oui ces actes, parmi d'autres, peuvent mettre réellement en
danger l'économie de notre pays parce que l'Etat est déjà en
faillite (dixit Fillon) et que de très fortes sommes sont en
jeu si l'on considère que ces pratiques risquent fort d'être
généralisées. On ne peut accuser de tous les maux la
corruption en Grèce en fermant les yeux sur la nôtre, le
sort de ce pays peut très bien nous être réservé dans un
avenir relativement proche...
Ne croyons pas que nous sommes à l'abri de tout, il se peut
très bien que l'euro vacille sous peu*, si elles y trouvent profit
les multinationales n'hésiteront pas à jouer sa chute comme
elles ont toujours joué sur la faiblesse des Etats. En ce sens
nous ne pouvons les considérer comme des entités amicales
mais bien plutôt comme des ennemis potentiels.
Concernant tout d'abord le "conflit d'intérêts" nous n'en
sommes plus à chercher à savoir s'il est avéré ou non,
madame Woerth l'a elle même reconnu dès fin juin:
- "Je reconnais que j'avais sous-estimé ce conflit d'intérêts",
déclare Florence Woerth dans un entretien au Monde.
C'est son épouse qui parle, pas le ministre, même si la situation peut
laisser penser qu'il *pourrait* y avoir conflit d'intérêts cela n'a pas
encore été prouvé. Restons dans le contexte juridique.
Tout ce qui suit est de la propagande antilibéralisme fait pour noyer le
poisson...La nuance relative à la durée que vous soulignez entre "crise"
et "guerre" économique ne me semble ici guère opportune.
Si la crise, bien que gravée dans les gènes du libéralisme, n'a
qu'un effet limité dans le temps elle s'inscrit forcément dans
le plus large contexte de la guerre économique et déforce
certains antagonistes dont la France. Dans ces circonstances
déforcer davantage encore la trésorerie nationale, nerf de la
guerre dont on est constitutionnellement le garant relève
indubitablement de la trahison et, vu les circonstances, de la
haute trahison.
Oui ces actes, parmi d'autres, peuvent mettre réellement en
danger l'économie de notre pays parce que l'Etat est déjà en
faillite (dixit Fillon) et que de très fortes sommes sont en
jeu si l'on considère que ces pratiques risquent fort d'être
généralisées. On ne peut accuser de tous les maux la
corruption en Grèce en fermant les yeux sur la nôtre, le
sort de ce pays peut très bien nous être réservé dans un
avenir relativement proche...
Ne croyons pas que nous sommes à l'abri de tout, il se peut
très bien que l'euro vacille sous peu*, si elles y trouvent profit
les multinationales n'hésiteront pas à jouer sa chute comme
elles ont toujours joué sur la faiblesse des Etats. En ce sens
nous ne pouvons les considérer comme des entités amicales
mais bien plutôt comme des ennemis potentiels.
Et tous ces actes, présents et passés, par la faute d'un seul et même
homme. Les accusations ciblées, à l'origine du fil, me parassent plutôt
délirantes >:|
Concernant tout d'abord le "conflit d'intérêts" nous n'en
sommes plus à chercher à savoir s'il est avéré ou non,
madame Woerth l'a elle même reconnu dès fin juin:
- "Je reconnais que j'avais sous-estimé ce conflit d'intérêts",
déclare Florence Woerth dans un entretien au Monde.
C'est son épouse qui parle, pas le ministre, même si la situation peut
laisser penser qu'il *pourrait* y avoir conflit d'intérêts cela n'a pas
encore été prouvé. Restons dans le contexte juridique.
Tout ce qui suit est de la propagande antilibéralisme fait pour noyer le
poisson...
La nuance relative à la durée que vous soulignez entre "crise"
et "guerre" économique ne me semble ici guère opportune.
Si la crise, bien que gravée dans les gènes du libéralisme, n'a
qu'un effet limité dans le temps elle s'inscrit forcément dans
le plus large contexte de la guerre économique et déforce
certains antagonistes dont la France. Dans ces circonstances
déforcer davantage encore la trésorerie nationale, nerf de la
guerre dont on est constitutionnellement le garant relève
indubitablement de la trahison et, vu les circonstances, de la
haute trahison.
Oui ces actes, parmi d'autres, peuvent mettre réellement en
danger l'économie de notre pays parce que l'Etat est déjà en
faillite (dixit Fillon) et que de très fortes sommes sont en
jeu si l'on considère que ces pratiques risquent fort d'être
généralisées. On ne peut accuser de tous les maux la
corruption en Grèce en fermant les yeux sur la nôtre, le
sort de ce pays peut très bien nous être réservé dans un
avenir relativement proche...
Ne croyons pas que nous sommes à l'abri de tout, il se peut
très bien que l'euro vacille sous peu*, si elles y trouvent profit
les multinationales n'hésiteront pas à jouer sa chute comme
elles ont toujours joué sur la faiblesse des Etats. En ce sens
nous ne pouvons les considérer comme des entités amicales
mais bien plutôt comme des ennemis potentiels.
Et tous ces actes, présents et passés, par la faute d'un seul et même
homme. Les accusations ciblées, à l'origine du fil, me parassent plutôt
délirantes >:|
Concernant tout d'abord le "conflit d'intérêts" nous n'en
sommes plus à chercher à savoir s'il est avéré ou non,
madame Woerth l'a elle même reconnu dès fin juin:
- "Je reconnais que j'avais sous-estimé ce conflit d'intérêts",
déclare Florence Woerth dans un entretien au Monde.
C'est son épouse qui parle, pas le ministre, même si la situation peut
laisser penser qu'il *pourrait* y avoir conflit d'intérêts cela n'a pas
encore été prouvé. Restons dans le contexte juridique.
Tout ce qui suit est de la propagande antilibéralisme fait pour noyer le
poisson...La nuance relative à la durée que vous soulignez entre "crise"
et "guerre" économique ne me semble ici guère opportune.
Si la crise, bien que gravée dans les gènes du libéralisme, n'a
qu'un effet limité dans le temps elle s'inscrit forcément dans
le plus large contexte de la guerre économique et déforce
certains antagonistes dont la France. Dans ces circonstances
déforcer davantage encore la trésorerie nationale, nerf de la
guerre dont on est constitutionnellement le garant relève
indubitablement de la trahison et, vu les circonstances, de la
haute trahison.
Oui ces actes, parmi d'autres, peuvent mettre réellement en
danger l'économie de notre pays parce que l'Etat est déjà en
faillite (dixit Fillon) et que de très fortes sommes sont en
jeu si l'on considère que ces pratiques risquent fort d'être
généralisées. On ne peut accuser de tous les maux la
corruption en Grèce en fermant les yeux sur la nôtre, le
sort de ce pays peut très bien nous être réservé dans un
avenir relativement proche...
Ne croyons pas que nous sommes à l'abri de tout, il se peut
très bien que l'euro vacille sous peu*, si elles y trouvent profit
les multinationales n'hésiteront pas à jouer sa chute comme
elles ont toujours joué sur la faiblesse des Etats. En ce sens
nous ne pouvons les considérer comme des entités amicales
mais bien plutôt comme des ennemis potentiels.
Et tous ces actes, présents et passés, par la faute d'un seul et même
homme. Les accusations ciblées, à l'origine du fil, me parassent plutôt
délirantes >:|
C'est son épouse qui parle, pas le ministre, même si la situation peut
laisser penser qu'il *pourrait* y avoir conflit d'intérêts cela n'a pas
encore été prouvé. Restons dans le contexte juridique.
C'est son épouse qui parle, pas le ministre, même si la situation peut
laisser penser qu'il *pourrait* y avoir conflit d'intérêts cela n'a pas
encore été prouvé. Restons dans le contexte juridique.
C'est son épouse qui parle, pas le ministre, même si la situation peut
laisser penser qu'il *pourrait* y avoir conflit d'intérêts cela n'a pas
encore été prouvé. Restons dans le contexte juridique.
Pardi! La faillite des Etats, les "indélicatesses" et l'arrogance
des gens du pouvoir, la fraude fiscale, la relative fragilité de
l'euro, les multinationales apatrides, tout cela relève du
délire n'est-ce pas ! Ce qui est réellement du délire c'est la
situation dans laquelle le libéralisme nous a conduit. Ce
système que vous défendez est en train de se déliter sous vos
yeux et vous ne parvenez pas encore à y croire. Le réveil
sera brutal pour les gens de votre espèce !
Pardi! La faillite des Etats, les "indélicatesses" et l'arrogance
des gens du pouvoir, la fraude fiscale, la relative fragilité de
l'euro, les multinationales apatrides, tout cela relève du
délire n'est-ce pas ! Ce qui est réellement du délire c'est la
situation dans laquelle le libéralisme nous a conduit. Ce
système que vous défendez est en train de se déliter sous vos
yeux et vous ne parvenez pas encore à y croire. Le réveil
sera brutal pour les gens de votre espèce !
Pardi! La faillite des Etats, les "indélicatesses" et l'arrogance
des gens du pouvoir, la fraude fiscale, la relative fragilité de
l'euro, les multinationales apatrides, tout cela relève du
délire n'est-ce pas ! Ce qui est réellement du délire c'est la
situation dans laquelle le libéralisme nous a conduit. Ce
système que vous défendez est en train de se déliter sous vos
yeux et vous ne parvenez pas encore à y croire. Le réveil
sera brutal pour les gens de votre espèce !