sur un forum, un internaute "attend" avant d'acheter un téléviseur 4HD
parceque... il aurait entendu parler de la 8HD qui pourrait sortir...
???
mais MEME s'il avait un écran géant et qu'il se collait le nez dessus
pôur arriver a percevoir tous ces pixels...
quelle est la définition du cinema aujourd'hui numérique ?
(ou projeté numériquement)
je regarde : les masters natifs des dessins animés disney sont en 2K...
et à piocher, je vois aussi des masters de films en 2K (même le dernier
ridley scott exodus; avec des transferts en 5K et la 3D travaillée en 4
K)
alors ça rime à quoi cette course à l'échalotte chez le pequin moyen ?
et ces blu ray remplis à raz bord de Go, bientôt de To alors que les
codecs font des progres exponentiels (le H265 parait qu'il compresse
presque du double)
pour moi ça rejoins ma reflexion sur le DTS : on s'avance vers des
techniques de reproduction que nos sens sont incapables de percevoir,
mais que psychologiquement beaucoup sont persuadés que c'est "meilleur"
Je ne veuxx pas faire de l'anti progrès, mais la resolution oculaire
est de 1' d'arc et puis c'est tout
et on n'a pas des écrans IMax chez nous que de toute façon nous ne
regarderions pas avec une loupe
non ?
ou est ce que je deviendrais un vieux con ?
(je sais, je le suis surement déjà)
--
Thierry
Parapente à la Réunion
http://www.lvlr.re
---
Ce courrier électronique ne contient aucun virus ou logiciel malveillant parce que la protection avast! Antivirus est active.
http://www.avast.com
si vous ne le savez pas, pourquoi avez vous avancé que la conversion 16-->24 etait forcément destructrice ?
c'est une loi générale que toute modification entraîne une perte, vous dites que non, à ma connaissance ce n'est possible que dans des cas particuliers, donc je vous demande comment *vous* faites cette transformation pour pouvoir affirmer qu'il n'y en a pas!
par exemple on peut tourner un jpg sans perte, juste en réorganisant le fichier, mais pas dans tous les cas.
là l'auteur considère qu'il ajoute juste les bits de poids faible, ce que je trouve curieux, mais alors que dans ce cas le signal numérique n'est pas du tout modifié, il semble que ça introduit de la distorsion?
je trouve ça curieux, car si au départ on a un signal analogique, si on le numérise en 16 bits, le niveau du signal est divisé en 16, si on le numérise en 24 bits, il est divisé en 24, la transformation reviendrait alors à retransformer le 16 bits en analogique puis à renumériser en 24 bits.
il ne fau pas non plus exagérer la perte, si le matériel est bon, elle devrait être très faible, sans doute inaudible.
en gros, la vérification est simple: l'opération est-elle réversible?
prends un petit fichier, convertis-le de 16 en 24, puis immédiatement, reconvertis-le en 16, les deux fichiers 16 sont ils identiques bits à bits? si oui il n'y a pas de perte.
si tu ajoute des zéros de poids faible, et qu'ensuite tu les enlève, tu n'as rien perdu. si tu fais l'opération indiquée dans la page, ca e marchera pas
jdd
Le 16/04/2015 10:53, Olivier B. a écrit :
vous faites comment, la conversion?
si vous ne le savez pas, pourquoi avez vous avancé que la conversion
16-->24 etait forcément destructrice ?
c'est une loi générale que toute modification entraîne une perte, vous
dites que non, à ma connaissance ce n'est possible que dans des cas
particuliers, donc je vous demande comment *vous* faites cette
transformation pour pouvoir affirmer qu'il n'y en a pas!
par exemple on peut tourner un jpg sans perte, juste en réorganisant le
fichier, mais pas dans tous les cas.
là l'auteur considère qu'il ajoute juste les bits de poids faible, ce
que je trouve curieux, mais alors que dans ce cas le signal numérique
n'est pas du tout modifié, il semble que ça introduit de la distorsion?
je trouve ça curieux, car si au départ on a un signal analogique, si on
le numérise en 16 bits, le niveau du signal est divisé en 16, si on le
numérise en 24 bits, il est divisé en 24, la transformation reviendrait
alors à retransformer le 16 bits en analogique puis à renumériser en 24
bits.
il ne fau pas non plus exagérer la perte, si le matériel est bon, elle
devrait être très faible, sans doute inaudible.
en gros, la vérification est simple: l'opération est-elle réversible?
prends un petit fichier, convertis-le de 16 en 24, puis immédiatement,
reconvertis-le en 16, les deux fichiers 16 sont ils identiques bits à
bits? si oui il n'y a pas de perte.
si tu ajoute des zéros de poids faible, et qu'ensuite tu les enlève, tu
n'as rien perdu. si tu fais l'opération indiquée dans la page, ca e
marchera pas
si vous ne le savez pas, pourquoi avez vous avancé que la conversion 16-->24 etait forcément destructrice ?
c'est une loi générale que toute modification entraîne une perte, vous dites que non, à ma connaissance ce n'est possible que dans des cas particuliers, donc je vous demande comment *vous* faites cette transformation pour pouvoir affirmer qu'il n'y en a pas!
par exemple on peut tourner un jpg sans perte, juste en réorganisant le fichier, mais pas dans tous les cas.
là l'auteur considère qu'il ajoute juste les bits de poids faible, ce que je trouve curieux, mais alors que dans ce cas le signal numérique n'est pas du tout modifié, il semble que ça introduit de la distorsion?
je trouve ça curieux, car si au départ on a un signal analogique, si on le numérise en 16 bits, le niveau du signal est divisé en 16, si on le numérise en 24 bits, il est divisé en 24, la transformation reviendrait alors à retransformer le 16 bits en analogique puis à renumériser en 24 bits.
il ne fau pas non plus exagérer la perte, si le matériel est bon, elle devrait être très faible, sans doute inaudible.
en gros, la vérification est simple: l'opération est-elle réversible?
prends un petit fichier, convertis-le de 16 en 24, puis immédiatement, reconvertis-le en 16, les deux fichiers 16 sont ils identiques bits à bits? si oui il n'y a pas de perte.
si tu ajoute des zéros de poids faible, et qu'ensuite tu les enlève, tu n'as rien perdu. si tu fais l'opération indiquée dans la page, ca e marchera pas
jdd
jdd
Le 16/04/2015 11:24, Olivier B. a écrit :
Mais outre l'observation, ça reste de la lumiere qui traverse des lentilles, pourquoi les lois de l'optique seraient-elle différente selon qu'on fasse de la photo ou de la vidéoprojection, étant donné que les deux sont similaires au sens de la lumière près ?
les objectifs sont calculés pour que les défauts soient répartis dans le champ, certains sont même meilleurs à quelque distance du centre. C'est rare car en général on regarde plus le centre et c'est donc pour ce centre qu'on fait les calculs, mais ca n'a rien d'obligatoire
c'est juste une question que je pose, en effet en projection on connaît parfaitement la source et la cible (l'écran),
ha bon, donc il suffit de vous dire qu'on est équipé d'un vidéoprojecteur et vous nous donnez la taille de l'écran et la distance de projection ?
ce qui compte c'est le fait que les deux soient plans et parallèles, il y a homothétie parfaite
il devrait donc être possible de calculer des optiques homogènes - mais je ne sais pas si c'est fait en pratique, ni même si c'est utile
c'est quoi une optique homogène ? vous vouliez peut être dire "optimale" (mais pas parfaite pour autant) comme on peut le faire avec une focale fixe ?
rien à voir avec la focale, fixe ou non. Homogène je veux dire avec défauts à peu près uniformément répartie (aberration chromatique, distorsion, vignettage). Avec des lentilles asphériques on peut faire beaucoup de choses.
juste une note: on trouve normal de regarder une image en projection avec un projeteur qui ne coûte même pas le prix d'un objectif de prise de vue... ça n'a l'air de gêner personne...
jdd
Le 16/04/2015 11:24, Olivier B. a écrit :
Mais outre l'observation, ça reste de la lumiere qui traverse des
lentilles, pourquoi les lois de l'optique seraient-elle différente
selon qu'on fasse de la photo ou de la vidéoprojection, étant donné
que les deux sont similaires au sens de la lumière près ?
les objectifs sont calculés pour que les défauts soient répartis dans le
champ, certains sont même meilleurs à quelque distance du centre. C'est
rare car en général on regarde plus le centre et c'est donc pour ce
centre qu'on fait les calculs, mais ca n'a rien d'obligatoire
c'est juste une question que je pose, en effet en projection on connaît
parfaitement la source et la cible (l'écran),
ha bon, donc il suffit de vous dire qu'on est équipé d'un
vidéoprojecteur et vous nous donnez la taille de l'écran et la
distance de projection ?
ce qui compte c'est le fait que les deux soient plans et parallèles, il
y a homothétie parfaite
il devrait donc être
possible de calculer des optiques homogènes - mais je ne sais pas si
c'est fait en pratique, ni même si c'est utile
c'est quoi une optique homogène ? vous vouliez peut être dire
"optimale" (mais pas parfaite pour autant) comme on peut le faire avec
une focale fixe ?
rien à voir avec la focale, fixe ou non. Homogène je veux dire avec
défauts à peu près uniformément répartie (aberration chromatique,
distorsion, vignettage). Avec des lentilles asphériques on peut faire
beaucoup de choses.
juste une note: on trouve normal de regarder une image en projection
avec un projeteur qui ne coûte même pas le prix d'un objectif de prise
de vue... ça n'a l'air de gêner personne...
Mais outre l'observation, ça reste de la lumiere qui traverse des lentilles, pourquoi les lois de l'optique seraient-elle différente selon qu'on fasse de la photo ou de la vidéoprojection, étant donné que les deux sont similaires au sens de la lumière près ?
les objectifs sont calculés pour que les défauts soient répartis dans le champ, certains sont même meilleurs à quelque distance du centre. C'est rare car en général on regarde plus le centre et c'est donc pour ce centre qu'on fait les calculs, mais ca n'a rien d'obligatoire
c'est juste une question que je pose, en effet en projection on connaît parfaitement la source et la cible (l'écran),
ha bon, donc il suffit de vous dire qu'on est équipé d'un vidéoprojecteur et vous nous donnez la taille de l'écran et la distance de projection ?
ce qui compte c'est le fait que les deux soient plans et parallèles, il y a homothétie parfaite
il devrait donc être possible de calculer des optiques homogènes - mais je ne sais pas si c'est fait en pratique, ni même si c'est utile
c'est quoi une optique homogène ? vous vouliez peut être dire "optimale" (mais pas parfaite pour autant) comme on peut le faire avec une focale fixe ?
rien à voir avec la focale, fixe ou non. Homogène je veux dire avec défauts à peu près uniformément répartie (aberration chromatique, distorsion, vignettage). Avec des lentilles asphériques on peut faire beaucoup de choses.
juste une note: on trouve normal de regarder une image en projection avec un projeteur qui ne coûte même pas le prix d'un objectif de prise de vue... ça n'a l'air de gêner personne...
jdd
Olivier B.
On Thu, 16 Apr 2015 11:35:04 +0200, jdd wrote:
Le 16/04/2015 10:53, Olivier B. a écrit :
vous faites comment, la conversion?
si vous ne le savez pas, pourquoi avez vous avancé que la conversion 16-->24 etait forcément destructrice ?
c'est une loi générale que toute modification entraîne une perte,
ha bon, qui a voté cette loi ?
vous dites que non, à ma connaissance ce n'est possible que dans des cas particuliers, donc je vous demande comment *vous* faites cette transformation pour pouvoir affirmer qu'il n'y en a pas!
je vous ai répondu
par exemple on peut tourner un jpg sans perte, juste en réorganisant le fichier, mais pas dans tous les cas.
là l'auteur considère qu'il ajoute juste les bits de poids faible, ce que je trouve curieux, mais alors que dans ce cas le signal numérique n'est pas du tout modifié, il semble que ça introduit de la distorsion?
je trouve ça curieux, car si au départ on a un signal analogique, si on le numérise en 16 bits, le niveau du signal est divisé en 16, si on le numérise en 24 bits, il est divisé en 24, la transformation reviendrait alors à retransformer le 16 bits en analogique puis à renumériser en 24 bits.
non, parce que là vous passez par une étape analogique, alors qu'il suffit de rester dans le domaine numérique
il ne fau pas non plus exagérer la perte, si le matériel est bon, elle devrait être très faible, sans doute inaudible.
Si la question etait de savoir si un traitement est perçeptible ou pas, je pense qu'on aurait pu rester en analogique depuis longtemps. Pour moi la question des de savoir si une chaine de traitement est perçeptible ou pas, c'est à dire depuis l'acquisition du signal jusqu'à sa diffusion à l'oeil/oreille, et là il y a de nombreux traitement, si vous passez par de l'analogique à chaque fois cela entraine obligatoirement un défaut lié au nombre de génération.
en gros, la vérification est simple: l'opération est-elle réversible?
prends un petit fichier, convertis-le de 16 en 24, puis immédiatement, reconvertis-le en 16, les deux fichiers 16 sont ils identiques bits à bits? si oui il n'y a pas de perte.
juste faites le
si tu ajoute des zéros de poids faible, et qu'ensuite tu les enlève, tu n'as rien perdu. si tu fais l'opération indiquée dans la page, ca e marchera pas
voir ci-dessus.
-- pas de turlututu. apres l'@robase
On Thu, 16 Apr 2015 11:35:04 +0200, jdd <jdd@dodin.org> wrote:
Le 16/04/2015 10:53, Olivier B. a écrit :
vous faites comment, la conversion?
si vous ne le savez pas, pourquoi avez vous avancé que la conversion
16-->24 etait forcément destructrice ?
c'est une loi générale que toute modification entraîne une perte,
ha bon, qui a voté cette loi ?
vous dites que non, à ma connaissance ce n'est possible que dans
des cas particuliers, donc je vous demande comment *vous* faites cette
transformation pour pouvoir affirmer qu'il n'y en a pas!
je vous ai répondu
par exemple on peut tourner un jpg sans perte, juste en réorganisant le
fichier, mais pas dans tous les cas.
là l'auteur considère qu'il ajoute juste les bits de poids faible, ce
que je trouve curieux, mais alors que dans ce cas le signal numérique
n'est pas du tout modifié, il semble que ça introduit de la distorsion?
je trouve ça curieux, car si au départ on a un signal analogique, si on
le numérise en 16 bits, le niveau du signal est divisé en 16, si on le
numérise en 24 bits, il est divisé en 24, la transformation reviendrait
alors à retransformer le 16 bits en analogique puis à renumériser en 24
bits.
non, parce que là vous passez par une étape analogique, alors qu'il
suffit de rester dans le domaine numérique
il ne fau pas non plus exagérer la perte, si le matériel est bon, elle
devrait être très faible, sans doute inaudible.
Si la question etait de savoir si un traitement est perçeptible ou
pas, je pense qu'on aurait pu rester en analogique depuis longtemps.
Pour moi la question des de savoir si une chaine de traitement est
perçeptible ou pas, c'est à dire depuis l'acquisition du signal
jusqu'à sa diffusion à l'oeil/oreille, et là il y a de nombreux
traitement, si vous passez par de l'analogique à chaque fois cela
entraine obligatoirement un défaut lié au nombre de génération.
en gros, la vérification est simple: l'opération est-elle réversible?
prends un petit fichier, convertis-le de 16 en 24, puis immédiatement,
reconvertis-le en 16, les deux fichiers 16 sont ils identiques bits à
bits? si oui il n'y a pas de perte.
juste faites le
si tu ajoute des zéros de poids faible, et qu'ensuite tu les enlève, tu
n'as rien perdu. si tu fais l'opération indiquée dans la page, ca e
marchera pas
si vous ne le savez pas, pourquoi avez vous avancé que la conversion 16-->24 etait forcément destructrice ?
c'est une loi générale que toute modification entraîne une perte,
ha bon, qui a voté cette loi ?
vous dites que non, à ma connaissance ce n'est possible que dans des cas particuliers, donc je vous demande comment *vous* faites cette transformation pour pouvoir affirmer qu'il n'y en a pas!
je vous ai répondu
par exemple on peut tourner un jpg sans perte, juste en réorganisant le fichier, mais pas dans tous les cas.
là l'auteur considère qu'il ajoute juste les bits de poids faible, ce que je trouve curieux, mais alors que dans ce cas le signal numérique n'est pas du tout modifié, il semble que ça introduit de la distorsion?
je trouve ça curieux, car si au départ on a un signal analogique, si on le numérise en 16 bits, le niveau du signal est divisé en 16, si on le numérise en 24 bits, il est divisé en 24, la transformation reviendrait alors à retransformer le 16 bits en analogique puis à renumériser en 24 bits.
non, parce que là vous passez par une étape analogique, alors qu'il suffit de rester dans le domaine numérique
il ne fau pas non plus exagérer la perte, si le matériel est bon, elle devrait être très faible, sans doute inaudible.
Si la question etait de savoir si un traitement est perçeptible ou pas, je pense qu'on aurait pu rester en analogique depuis longtemps. Pour moi la question des de savoir si une chaine de traitement est perçeptible ou pas, c'est à dire depuis l'acquisition du signal jusqu'à sa diffusion à l'oeil/oreille, et là il y a de nombreux traitement, si vous passez par de l'analogique à chaque fois cela entraine obligatoirement un défaut lié au nombre de génération.
en gros, la vérification est simple: l'opération est-elle réversible?
prends un petit fichier, convertis-le de 16 en 24, puis immédiatement, reconvertis-le en 16, les deux fichiers 16 sont ils identiques bits à bits? si oui il n'y a pas de perte.
juste faites le
si tu ajoute des zéros de poids faible, et qu'ensuite tu les enlève, tu n'as rien perdu. si tu fais l'opération indiquée dans la page, ca e marchera pas
voir ci-dessus.
-- pas de turlututu. apres l'@robase
Olivier B.
On Thu, 16 Apr 2015 11:42:26 +0200, jdd wrote:
Le 16/04/2015 11:24, Olivier B. a écrit :
Mais outre l'observation, ça reste de la lumiere qui traverse des lentilles, pourquoi les lois de l'optique seraient-elle différente selon qu'on fasse de la photo ou de la vidéoprojection, étant donné que les deux sont similaires au sens de la lumière près ?
les objectifs sont calculés pour que les défauts soient répartis dans le champ, certains sont même meilleurs à quelque distance du centre. C'est rare car en général on regarde plus le centre et c'est donc pour ce centre qu'on fait les calculs, mais ca n'a rien d'obligatoire
vous ne répondez pas à la question, en quoi les loi serait-elle différentes en photo qu'en vidéoprojection
c'est juste une question que je pose, en effet en projection on connaît parfaitement la source et la cible (l'écran),
ha bon, donc il suffit de vous dire qu'on est équipé d'un vidéoprojecteur et vous nous donnez la taille de l'écran et la distance de projection ?
ce qui compte c'est le fait que les deux soient plans et parallèles, il y a homothétie parfaite
Et ?
il devrait donc être possible de calculer des optiques homogènes - mais je ne sais pas si c'est fait en pratique, ni même si c'est utile
c'est quoi une optique homogène ? vous vouliez peut être dire "optimale" (mais pas parfaite pour autant) comme on peut le faire avec une focale fixe ?
rien à voir avec la focale, fixe ou non. Homogène je veux dire avec défauts à peu près uniformément répartie (aberration chromatique, distorsion, vignettage). Avec des lentilles asphériques on peut faire beaucoup de choses.
comme en photo en somme...
juste une note: on trouve normal de regarder une image en projection avec un projeteur qui ne coûte même pas le prix d'un objectif de prise de vue... ça n'a l'air de gêner personne...
Si vous le dites...
-- pas de turlututu. apres l'@robase
On Thu, 16 Apr 2015 11:42:26 +0200, jdd <jdd@dodin.org> wrote:
Le 16/04/2015 11:24, Olivier B. a écrit :
Mais outre l'observation, ça reste de la lumiere qui traverse des
lentilles, pourquoi les lois de l'optique seraient-elle différente
selon qu'on fasse de la photo ou de la vidéoprojection, étant donné
que les deux sont similaires au sens de la lumière près ?
les objectifs sont calculés pour que les défauts soient répartis dans le
champ, certains sont même meilleurs à quelque distance du centre. C'est
rare car en général on regarde plus le centre et c'est donc pour ce
centre qu'on fait les calculs, mais ca n'a rien d'obligatoire
vous ne répondez pas à la question, en quoi les loi serait-elle
différentes en photo qu'en vidéoprojection
c'est juste une question que je pose, en effet en projection on connaît
parfaitement la source et la cible (l'écran),
ha bon, donc il suffit de vous dire qu'on est équipé d'un
vidéoprojecteur et vous nous donnez la taille de l'écran et la
distance de projection ?
ce qui compte c'est le fait que les deux soient plans et parallèles, il
y a homothétie parfaite
Et ?
il devrait donc être
possible de calculer des optiques homogènes - mais je ne sais pas si
c'est fait en pratique, ni même si c'est utile
c'est quoi une optique homogène ? vous vouliez peut être dire
"optimale" (mais pas parfaite pour autant) comme on peut le faire avec
une focale fixe ?
rien à voir avec la focale, fixe ou non. Homogène je veux dire avec
défauts à peu près uniformément répartie (aberration chromatique,
distorsion, vignettage). Avec des lentilles asphériques on peut faire
beaucoup de choses.
comme en photo en somme...
juste une note: on trouve normal de regarder une image en projection
avec un projeteur qui ne coûte même pas le prix d'un objectif de prise
de vue... ça n'a l'air de gêner personne...
Mais outre l'observation, ça reste de la lumiere qui traverse des lentilles, pourquoi les lois de l'optique seraient-elle différente selon qu'on fasse de la photo ou de la vidéoprojection, étant donné que les deux sont similaires au sens de la lumière près ?
les objectifs sont calculés pour que les défauts soient répartis dans le champ, certains sont même meilleurs à quelque distance du centre. C'est rare car en général on regarde plus le centre et c'est donc pour ce centre qu'on fait les calculs, mais ca n'a rien d'obligatoire
vous ne répondez pas à la question, en quoi les loi serait-elle différentes en photo qu'en vidéoprojection
c'est juste une question que je pose, en effet en projection on connaît parfaitement la source et la cible (l'écran),
ha bon, donc il suffit de vous dire qu'on est équipé d'un vidéoprojecteur et vous nous donnez la taille de l'écran et la distance de projection ?
ce qui compte c'est le fait que les deux soient plans et parallèles, il y a homothétie parfaite
Et ?
il devrait donc être possible de calculer des optiques homogènes - mais je ne sais pas si c'est fait en pratique, ni même si c'est utile
c'est quoi une optique homogène ? vous vouliez peut être dire "optimale" (mais pas parfaite pour autant) comme on peut le faire avec une focale fixe ?
rien à voir avec la focale, fixe ou non. Homogène je veux dire avec défauts à peu près uniformément répartie (aberration chromatique, distorsion, vignettage). Avec des lentilles asphériques on peut faire beaucoup de choses.
comme en photo en somme...
juste une note: on trouve normal de regarder une image en projection avec un projeteur qui ne coûte même pas le prix d'un objectif de prise de vue... ça n'a l'air de gêner personne...
Si vous le dites...
-- pas de turlututu. apres l'@robase
Alf92
jdd :
Le 16/04/2015 00:21, Olivier B. a écrit :
Et c'est aussi valable en projection.
savez-vous si c'est vraiment le cas?
c'est juste une question que je pose, en effet en projection on connaît parfaitement la source et la cible (l'écran), il devrait donc être possible de calculer des optiques homogènes - mais je ne sais pas si c'est fait en pratique, ni même si c'est utile
ça doit être faisable. mais la rentabilité...?
jdd :
Le 16/04/2015 00:21, Olivier B. a écrit :
Et c'est aussi valable en projection.
savez-vous si c'est vraiment le cas?
c'est juste une question que je pose, en effet en projection on connaît
parfaitement la source et la cible (l'écran), il devrait donc être possible
de calculer des optiques homogènes - mais je ne sais pas si c'est fait en
pratique, ni même si c'est utile
c'est juste une question que je pose, en effet en projection on connaît parfaitement la source et la cible (l'écran), il devrait donc être possible de calculer des optiques homogènes - mais je ne sais pas si c'est fait en pratique, ni même si c'est utile
ça doit être faisable. mais la rentabilité...?
pdorange
Olivier B. wrote:
>je me suis toujours demandé si c'était bien utile. Toute conversion est >forcément destructrice, > ha bon, si je converti un echantillon 16bits en 24bbits, je perd quoi exactement ?
Ca dépend de comment est faites la conversion et de c'est quoi la source.
Dans le cas présent il est indiqué qu'a priori le format c'est du FLAC donc un codec "sans perte", ça ne doit donc en effet poser aucun problème et aucun perte.
Si la source est compacté (codec avec perte), le passage de 16 à 24 bits peu occasionenr des pertes puisqu'avant de mapper 16 à 24 bits (ce qui se fait sans perte) il faut décompresser les données, puis les recompresser ensuite.
En gros un fichier audio brut (non encodé ou tpe FLAC) ne doit occasionner aucun perte lors d'un passage de 16 à 24 bits. Par contre avec un MP3 ou un AAC le passage de 16 à 24 bits occasionnera des pertes (decompression/compression).
Il faut aussi conserver la fréquence d'échantillonnage sinon y'a aussi pertes, bien sur.
Ce message est sous licence Creative Commons "by-nc-sa-2.0" <http://creativecommons.org/licenses/by-nc-sa/2.0/fr/>
Olivier B. <olivier.2a@free.fr> wrote:
>je me suis toujours demandé si c'était bien utile. Toute conversion est
>forcément destructrice,
>
ha bon, si je converti un echantillon 16bits en 24bbits, je perd quoi
exactement ?
Ca dépend de comment est faites la conversion et de c'est quoi la
source.
Dans le cas présent il est indiqué qu'a priori le format c'est du FLAC
donc un codec "sans perte", ça ne doit donc en effet poser aucun
problème et aucun perte.
Si la source est compacté (codec avec perte), le passage de 16 à 24 bits
peu occasionenr des pertes puisqu'avant de mapper 16 à 24 bits (ce qui
se fait sans perte) il faut décompresser les données, puis les
recompresser ensuite.
En gros un fichier audio brut (non encodé ou tpe FLAC) ne doit
occasionner aucun perte lors d'un passage de 16 à 24 bits. Par contre
avec un MP3 ou un AAC le passage de 16 à 24 bits occasionnera des pertes
(decompression/compression).
Il faut aussi conserver la fréquence d'échantillonnage sinon y'a aussi
pertes, bien sur.
>je me suis toujours demandé si c'était bien utile. Toute conversion est >forcément destructrice, > ha bon, si je converti un echantillon 16bits en 24bbits, je perd quoi exactement ?
Ca dépend de comment est faites la conversion et de c'est quoi la source.
Dans le cas présent il est indiqué qu'a priori le format c'est du FLAC donc un codec "sans perte", ça ne doit donc en effet poser aucun problème et aucun perte.
Si la source est compacté (codec avec perte), le passage de 16 à 24 bits peu occasionenr des pertes puisqu'avant de mapper 16 à 24 bits (ce qui se fait sans perte) il faut décompresser les données, puis les recompresser ensuite.
En gros un fichier audio brut (non encodé ou tpe FLAC) ne doit occasionner aucun perte lors d'un passage de 16 à 24 bits. Par contre avec un MP3 ou un AAC le passage de 16 à 24 bits occasionnera des pertes (decompression/compression).
Il faut aussi conserver la fréquence d'échantillonnage sinon y'a aussi pertes, bien sur.
Ce message est sous licence Creative Commons "by-nc-sa-2.0" <http://creativecommons.org/licenses/by-nc-sa/2.0/fr/>
Olivier B.
On Fri, 17 Apr 2015 10:50:16 +0200, (Pierre-Alain Dorange) wrote:
Si la source est compacté (codec avec perte), le passage de 16 à 24 bits peu occasionenr des pertes puisqu'avant de mapper 16 à 24 bits (ce qui se fait sans perte) il faut décompresser les données, puis les recompresser ensuite.
bien évidement, mais il était question de convertir des *échantillons* donc j'ai exclu d'entrée les sources compressées.
Si la source est compacté (codec avec perte), le passage de 16 à 24 bits
peu occasionenr des pertes puisqu'avant de mapper 16 à 24 bits (ce qui
se fait sans perte) il faut décompresser les données, puis les
recompresser ensuite.
bien évidement, mais il était question de convertir des *échantillons*
donc j'ai exclu d'entrée les sources compressées.
On Fri, 17 Apr 2015 10:50:16 +0200, (Pierre-Alain Dorange) wrote:
Si la source est compacté (codec avec perte), le passage de 16 à 24 bits peu occasionenr des pertes puisqu'avant de mapper 16 à 24 bits (ce qui se fait sans perte) il faut décompresser les données, puis les recompresser ensuite.
bien évidement, mais il était question de convertir des *échantillons* donc j'ai exclu d'entrée les sources compressées.
-- pas de turlututu. apres l'@robase
pdorange
Olivier B. wrote:
>Si la source est compacté (codec avec perte), le passage de 16 à 24 bits >peu occasionenr des pertes puisqu'avant de mapper 16 à 24 bits (ce qui >se fait sans perte) il faut décompresser les données, puis les >recompresser ensuite. > bien évidement, mais il était question de convertir des *échantillons* donc j'ai exclu d'entrée les sources compressées.
Oui, mais l'ambiguité des échanges venait peut être de ça, c'est pourquoi j'ai essayé de préciser.
Ce message est sous licence Creative Commons "by-nc-sa-2.0" <http://creativecommons.org/licenses/by-nc-sa/2.0/fr/>
Olivier B. <olivier.2a@free.fr> wrote:
>Si la source est compacté (codec avec perte), le passage de 16 à 24 bits
>peu occasionenr des pertes puisqu'avant de mapper 16 à 24 bits (ce qui
>se fait sans perte) il faut décompresser les données, puis les
>recompresser ensuite.
>
bien évidement, mais il était question de convertir des *échantillons*
donc j'ai exclu d'entrée les sources compressées.
Oui, mais l'ambiguité des échanges venait peut être de ça, c'est
pourquoi j'ai essayé de préciser.
>Si la source est compacté (codec avec perte), le passage de 16 à 24 bits >peu occasionenr des pertes puisqu'avant de mapper 16 à 24 bits (ce qui >se fait sans perte) il faut décompresser les données, puis les >recompresser ensuite. > bien évidement, mais il était question de convertir des *échantillons* donc j'ai exclu d'entrée les sources compressées.
Oui, mais l'ambiguité des échanges venait peut être de ça, c'est pourquoi j'ai essayé de préciser.
Ce message est sous licence Creative Commons "by-nc-sa-2.0" <http://creativecommons.org/licenses/by-nc-sa/2.0/fr/>
jdd
Le 17/04/2015 17:16, Pierre-Alain Dorange a écrit :
Oui, mais l'ambiguité des échanges venait peut être de ça, c'est pourquoi j'ai essayé de préciser.
je pense que c'est le terme "conversion" qui est ambigu. Si on ajoute juste des bits, on ne convertit pas, on se contente de décaler.
Si on numérise en 24 bits on a pas pas simplement un flux 16 bits avec 8 bits de poids faibles nuls, je supposais donc un *étalement* sur 24 bits, ce qui suppose soit une conversion en analogique soit une interpolation.
si on se contente d'ajouter 8 bits vides, il n'y a aucun calcul, donc évidemment pas de perte (encore que le lien que j'ai donné signale un problème que je n'ai pas approfondi)
jdd
Le 17/04/2015 17:16, Pierre-Alain Dorange a écrit :
Oui, mais l'ambiguité des échanges venait peut être de ça, c'est
pourquoi j'ai essayé de préciser.
je pense que c'est le terme "conversion" qui est ambigu. Si on ajoute
juste des bits, on ne convertit pas, on se contente de décaler.
Si on numérise en 24 bits on a pas pas simplement un flux 16 bits avec 8
bits de poids faibles nuls, je supposais donc un *étalement* sur 24
bits, ce qui suppose soit une conversion en analogique soit une
interpolation.
si on se contente d'ajouter 8 bits vides, il n'y a aucun calcul, donc
évidemment pas de perte (encore que le lien que j'ai donné signale un
problème que je n'ai pas approfondi)
Le 17/04/2015 17:16, Pierre-Alain Dorange a écrit :
Oui, mais l'ambiguité des échanges venait peut être de ça, c'est pourquoi j'ai essayé de préciser.
je pense que c'est le terme "conversion" qui est ambigu. Si on ajoute juste des bits, on ne convertit pas, on se contente de décaler.
Si on numérise en 24 bits on a pas pas simplement un flux 16 bits avec 8 bits de poids faibles nuls, je supposais donc un *étalement* sur 24 bits, ce qui suppose soit une conversion en analogique soit une interpolation.
si on se contente d'ajouter 8 bits vides, il n'y a aucun calcul, donc évidemment pas de perte (encore que le lien que j'ai donné signale un problème que je n'ai pas approfondi)
jdd
Olivier B.
On Fri, 17 Apr 2015 17:25:54 +0200, jdd wrote:
Le 17/04/2015 17:16, Pierre-Alain Dorange a écrit :
Oui, mais l'ambiguité des échanges venait peut être de ça, c'est pourquoi j'ai essayé de préciser.
je pense que c'est le terme "conversion" qui est ambigu. Si on ajoute juste des bits, on ne convertit pas, on se contente de décaler.
Si on numérise en 24 bits on a pas pas simplement un flux 16 bits avec 8 bits de poids faibles nuls, je supposais donc un *étalement* sur 24 bits, ce qui suppose soit une conversion en analogique
je ne pense pas, ça ne va pas touche à la dynamique
soit une interpolation.
Interpoler entre quoi et quoi ?
Vouloir "étaler" sur 24 bits signifie modifier la dynamique, autrement dit il faut augmenter la différence entre les niveaux faibles et les forts et ça ne se travaille certainement pas au niveau de l'échantillon mais en appliquant un gain variable selon le niveau sonore, et il faut qu'il y ait une utilité à cela, vouloir utiliser toute la dynamique parcequ'on en dispose n'a pas de sens, et bonjour quand on doit revenir en 16 une fois le master pondu...
si on se contente d'ajouter 8 bits vides, il n'y a aucun calcul, donc évidemment pas de perte
exactement, et on conserve la même dynamique.
-- pas de turlututu. apres l'@robase
On Fri, 17 Apr 2015 17:25:54 +0200, jdd <jdd@dodin.org> wrote:
Le 17/04/2015 17:16, Pierre-Alain Dorange a écrit :
Oui, mais l'ambiguité des échanges venait peut être de ça, c'est
pourquoi j'ai essayé de préciser.
je pense que c'est le terme "conversion" qui est ambigu. Si on ajoute
juste des bits, on ne convertit pas, on se contente de décaler.
Si on numérise en 24 bits on a pas pas simplement un flux 16 bits avec 8
bits de poids faibles nuls, je supposais donc un *étalement* sur 24
bits, ce qui suppose soit une conversion en analogique
je ne pense pas, ça ne va pas touche à la dynamique
soit une interpolation.
Interpoler entre quoi et quoi ?
Vouloir "étaler" sur 24 bits signifie modifier la dynamique, autrement
dit il faut augmenter la différence entre les niveaux faibles et les
forts et ça ne se travaille certainement pas au niveau de
l'échantillon mais en appliquant un gain variable selon le niveau
sonore, et il faut qu'il y ait une utilité à cela, vouloir utiliser
toute la dynamique parcequ'on en dispose n'a pas de sens, et bonjour
quand on doit revenir en 16 une fois le master pondu...
si on se contente d'ajouter 8 bits vides, il n'y a aucun calcul, donc
évidemment pas de perte
Le 17/04/2015 17:16, Pierre-Alain Dorange a écrit :
Oui, mais l'ambiguité des échanges venait peut être de ça, c'est pourquoi j'ai essayé de préciser.
je pense que c'est le terme "conversion" qui est ambigu. Si on ajoute juste des bits, on ne convertit pas, on se contente de décaler.
Si on numérise en 24 bits on a pas pas simplement un flux 16 bits avec 8 bits de poids faibles nuls, je supposais donc un *étalement* sur 24 bits, ce qui suppose soit une conversion en analogique
je ne pense pas, ça ne va pas touche à la dynamique
soit une interpolation.
Interpoler entre quoi et quoi ?
Vouloir "étaler" sur 24 bits signifie modifier la dynamique, autrement dit il faut augmenter la différence entre les niveaux faibles et les forts et ça ne se travaille certainement pas au niveau de l'échantillon mais en appliquant un gain variable selon le niveau sonore, et il faut qu'il y ait une utilité à cela, vouloir utiliser toute la dynamique parcequ'on en dispose n'a pas de sens, et bonjour quand on doit revenir en 16 une fois le master pondu...
si on se contente d'ajouter 8 bits vides, il n'y a aucun calcul, donc évidemment pas de perte