> > C'est le premier Windows qui a réellement commencé à être utilisable.
Et c'était en ?
Ailleurs, sur un forum, quelqu'un a parlé de Windows 2.0 comme étant tout à fait fonctionnel, enfin, son interface graphique.
A la même époque, j'utilisais un ][gs, et si les choix de formats étaient discutables, l'affichage était tout ce qu'il ya de graphique.
J'ai encore un II gs, dont je ne séparé jamais ;-)
Il était livré avec GS Paint et GS Write. -- Stephane MARTIN
xavier
Florian wrote:
Un jour Bill Atkinson à écrit sur sa fiche (-2000), parce qu'il avait optimisé du code Quickdraw qui lui avait permis de réduire globalement le code :-).
Mouais, Atkinson... Des intuitions géniales, mais un programmeur au mieux médiocre. L'échec de Copland est largement dû à la tentative de réutiliser son code merdique, et non documenté.
-- XAv In your pomp and all your glory you're a poorer man than me, as you lick the boots of death born out of fear. (Jethro Tull)
Florian <usenet@nachon.net> wrote:
Un jour Bill Atkinson à écrit sur sa fiche (-2000), parce qu'il avait
optimisé du code Quickdraw qui lui avait permis de réduire globalement
le code :-).
Mouais, Atkinson... Des intuitions géniales, mais un programmeur au
mieux médiocre. L'échec de Copland est largement dû à la tentative de
réutiliser son code merdique, et non documenté.
--
XAv
In your pomp and all your glory you're a poorer man than me,
as you lick the boots of death born out of fear.
(Jethro Tull)
Un jour Bill Atkinson à écrit sur sa fiche (-2000), parce qu'il avait optimisé du code Quickdraw qui lui avait permis de réduire globalement le code :-).
Mouais, Atkinson... Des intuitions géniales, mais un programmeur au mieux médiocre. L'échec de Copland est largement dû à la tentative de réutiliser son code merdique, et non documenté.
-- XAv In your pomp and all your glory you're a poorer man than me, as you lick the boots of death born out of fear. (Jethro Tull)
Patrick Stadelmann
In article <1k8vrjr.k8ctad1514feqN%, (Xavier) wrote:
Mouais, Atkinson... Des intuitions géniales, mais un programmeur au mieux médiocre. L'échec de Copland est largement dû à la tentative de réutiliser son code merdique, et non documenté.
C'est fou le nombre de conneries qu'on peut lire ici depuis quelques temps.
Patrick -- Patrick Stadelmann
In article <1k8vrjr.k8ctad1514feqN%xavier@groumpf.org>,
xavier@groumpf.org (Xavier) wrote:
Mouais, Atkinson... Des intuitions géniales, mais un programmeur au
mieux médiocre. L'échec de Copland est largement dû à la tentative de
réutiliser son code merdique, et non documenté.
C'est fou le nombre de conneries qu'on peut lire ici depuis quelques
temps.
Patrick
--
Patrick Stadelmann <Patrick.Stadelmann@unine.ch>
In article <1k8vrjr.k8ctad1514feqN%, (Xavier) wrote:
Mouais, Atkinson... Des intuitions géniales, mais un programmeur au mieux médiocre. L'échec de Copland est largement dû à la tentative de réutiliser son code merdique, et non documenté.
C'est fou le nombre de conneries qu'on peut lire ici depuis quelques temps.
Patrick -- Patrick Stadelmann
xavier
Patrick Stadelmann wrote:
C'est fou le nombre de conneries qu'on peut lire ici depuis quelques temps.
Ah diantre, il faut donc croire que les ingénieurs du support dév. d'Apple France (et US quand ils venaient) racontaient des conneries....
Et ce n'est pas "depuis quelques temps", si tu fouilles un peu, mon opinion sur la qualité du code de BA doit avoir plus de 20 ans, quand j'ai voulu sans succès -parce que c'était impossible- prolonger les travaux de Matthias Neeracher sur la POSIXification de MacOS Prehistoric.
Et je le tiens pour principal responsable du fait qu'on ait attendu 2000 pour avoir un système d'exploitation. Juste un système d'exploitation, parce que MacOS<=9 n'en était pas un, alors que MS avait sorti NT dés le début des années 90.
S'il n'y avait pas eu les iTrucs, je pense que malgré MacOSX, ce retard de 10 ans serait resté rhédibitoire, et que Apple aurait gardé sa part de marché confidentielle des années 90.
-- XAv In your pomp and all your glory you're a poorer man than me, as you lick the boots of death born out of fear. (Jethro Tull)
Patrick Stadelmann <Patrick.Stadelmann@unine.ch> wrote:
C'est fou le nombre de conneries qu'on peut lire ici depuis quelques
temps.
Ah diantre, il faut donc croire que les ingénieurs du support dév. d'Apple
France (et US quand ils venaient) racontaient des conneries....
Et ce n'est pas "depuis quelques temps", si tu fouilles un peu, mon
opinion sur la qualité du code de BA doit avoir plus de 20 ans, quand j'ai
voulu sans succès -parce que c'était impossible- prolonger les travaux de
Matthias Neeracher sur la POSIXification de MacOS Prehistoric.
Et je le tiens pour principal responsable du fait qu'on ait attendu 2000
pour avoir un système d'exploitation. Juste un système d'exploitation,
parce que MacOS<=9 n'en était pas un, alors que MS avait sorti NT dés le
début des années 90.
S'il n'y avait pas eu les iTrucs, je pense que malgré MacOSX, ce retard de
10 ans serait resté rhédibitoire, et que Apple aurait gardé sa part de
marché confidentielle des années 90.
--
XAv
In your pomp and all your glory you're a poorer man than me,
as you lick the boots of death born out of fear.
(Jethro Tull)
C'est fou le nombre de conneries qu'on peut lire ici depuis quelques temps.
Ah diantre, il faut donc croire que les ingénieurs du support dév. d'Apple France (et US quand ils venaient) racontaient des conneries....
Et ce n'est pas "depuis quelques temps", si tu fouilles un peu, mon opinion sur la qualité du code de BA doit avoir plus de 20 ans, quand j'ai voulu sans succès -parce que c'était impossible- prolonger les travaux de Matthias Neeracher sur la POSIXification de MacOS Prehistoric.
Et je le tiens pour principal responsable du fait qu'on ait attendu 2000 pour avoir un système d'exploitation. Juste un système d'exploitation, parce que MacOS<=9 n'en était pas un, alors que MS avait sorti NT dés le début des années 90.
S'il n'y avait pas eu les iTrucs, je pense que malgré MacOSX, ce retard de 10 ans serait resté rhédibitoire, et que Apple aurait gardé sa part de marché confidentielle des années 90.
-- XAv In your pomp and all your glory you're a poorer man than me, as you lick the boots of death born out of fear. (Jethro Tull)
patrick.1200RTcazaux
Anne G wrote:
En 1990, on branchait un écran couleur sur le Mac Classic si on en avait besoin (ce qui était rare).
J'ai commencé la PAO en 87 avec un SE/30 boosté à 50 MHZ (remplacement du processeur, un 68000, qu'il falllait dessouder, par un processeur sur carte), une carte vidéo 256 couleurs et un écran radius Pivot 256 couleurs format A4, Pagemaker puis XPress, Illustrator 3 puis 88, et Photoshop en 1990. Il y avait ausssi Ready Set Go, Ragtime, des polices de caractères en abondance, Postscript mais sans ATM pour les visualiser correctement à l'écran si on demandait une taille n'existant pas en bit-map (8, 10, 12, 14, 18 et 24 au maximum)
Dans le monde d'en face, il y avait à la même époque Windows 2, que l'on lançait depuis le DOS en tapant "win". Et là en général ça plantait la machine. Si ça marchait, ça ne servait qu'à lancer des logiciels sous DOS, sauf quelques rares trucs comme Word ou Excel (développés en version graphique sur Mac puis transposés sur PC - Microsoft avait sollicité Apple pour pouvoir développer ces programmes afin d'acqurir de l'expérience en interface graphique). Sinon, qu'est-ce qu'on pouvait bien pouvoir faire avec ? Formater une disquette, gérer ses fichiers sans passer par les commandes DOS comme copy, move et delete. Et jouer au solitaire...
-- Tardigradus e^iπ=-1 c'est magnifique
Anne G <ann.guille@gmail-pasdespam-.com.invalid> wrote:
En 1990, on branchait un écran couleur sur le Mac Classic si on en avait
besoin (ce qui était rare).
J'ai commencé la PAO en 87 avec un SE/30 boosté à 50 MHZ (remplacement
du processeur, un 68000, qu'il falllait dessouder, par un processeur sur
carte), une carte vidéo 256 couleurs et un écran radius Pivot 256
couleurs format A4, Pagemaker puis XPress, Illustrator 3 puis 88, et
Photoshop en 1990. Il y avait ausssi Ready Set Go, Ragtime, des polices
de caractères en abondance, Postscript mais sans ATM pour les visualiser
correctement à l'écran si on demandait une taille n'existant pas en
bit-map (8, 10, 12, 14, 18 et 24 au maximum)
Dans le monde d'en face, il y avait à la même époque Windows 2, que l'on
lançait depuis le DOS en tapant "win". Et là en général ça plantait la
machine. Si ça marchait, ça ne servait qu'à lancer des logiciels sous
DOS, sauf quelques rares trucs comme Word ou Excel (développés en
version graphique sur Mac puis transposés sur PC - Microsoft avait
sollicité Apple pour pouvoir développer ces programmes afin d'acqurir de
l'expérience en interface graphique). Sinon, qu'est-ce qu'on pouvait
bien pouvoir faire avec ? Formater une disquette, gérer ses fichiers
sans passer par les commandes DOS comme copy, move et delete. Et jouer
au solitaire...
En 1990, on branchait un écran couleur sur le Mac Classic si on en avait besoin (ce qui était rare).
J'ai commencé la PAO en 87 avec un SE/30 boosté à 50 MHZ (remplacement du processeur, un 68000, qu'il falllait dessouder, par un processeur sur carte), une carte vidéo 256 couleurs et un écran radius Pivot 256 couleurs format A4, Pagemaker puis XPress, Illustrator 3 puis 88, et Photoshop en 1990. Il y avait ausssi Ready Set Go, Ragtime, des polices de caractères en abondance, Postscript mais sans ATM pour les visualiser correctement à l'écran si on demandait une taille n'existant pas en bit-map (8, 10, 12, 14, 18 et 24 au maximum)
Dans le monde d'en face, il y avait à la même époque Windows 2, que l'on lançait depuis le DOS en tapant "win". Et là en général ça plantait la machine. Si ça marchait, ça ne servait qu'à lancer des logiciels sous DOS, sauf quelques rares trucs comme Word ou Excel (développés en version graphique sur Mac puis transposés sur PC - Microsoft avait sollicité Apple pour pouvoir développer ces programmes afin d'acqurir de l'expérience en interface graphique). Sinon, qu'est-ce qu'on pouvait bien pouvoir faire avec ? Formater une disquette, gérer ses fichiers sans passer par les commandes DOS comme copy, move et delete. Et jouer au solitaire...
-- Tardigradus e^iπ=-1 c'est magnifique
Anne G
Le 09/10/11 11:38, Tardigradus a écrit :
Anne G wrote:
En 1990, on branchait un écran couleur sur le Mac Classic si on en a vait besoin (ce qui était rare).
J'ai commencé la PAO en 87 avec un SE/30 boosté à 50 MHZ (remplac ement du processeur, un 68000, qu'il falllait dessouder, par un processeur su r carte), une carte vidéo 256 couleurs et un écran radius Pivot 256 couleurs format A4,
J'avais un noir et blanc, de Radius. Il a bien vécu 15 ans...
Et pendant longtemps, je n'ai pas eu l'usage d'un écran couleur. On faisait les présentation en couleur à l'aide d'un Omnicron.
Pagemaker puis XPress, Illustrator 3 puis 88,
Freehand.
J'avais trouvé délirant qu'Illustrator oblige l'ouverture d'une deuxi ème fenêtre pour voir le résultat de ce qu'on dessinait dans la premièr e.
et Photoshop en 1990.
En fouillant mes archives, je trouverais le nom du logiciel de retouche livré avec mon scanner Abaton 16 tons de gris.
Il y avait ausssi Ready Set Go, Ragtime, des polices de caractères en abondance, Postscript mais sans ATM pour les visuali ser correctement à l'écran si on demandait une taille n'existant pas en bit-map (8, 10, 12, 14, 18 et 24 au maximum)
Dans le monde d'en face, il y avait à la même époque Windows 2, q ue l'on lançait depuis le DOS en tapant "win". Et là en général ça pl antait la machine. Si ça marchait, ça ne servait qu'à lancer des logiciels sous DOS, sauf quelques rares trucs comme Word ou Excel (développés en version graphique sur Mac puis transposés sur PC - Microsoft avait sollicité Apple pour pouvoir développer ces programmes afin d'acqur ir de l'expérience en interface graphique). Sinon, qu'est-ce qu'on pouvait bien pouvoir faire avec ? Formater une disquette, gérer ses fichiers sans passer par les commandes DOS comme copy, move et delete. Et jouer au solitaire...
Le 09/10/11 11:38, Tardigradus a écrit :
Anne G<ann.guille@gmail-pasdespam-.com.invalid> wrote:
En 1990, on branchait un écran couleur sur le Mac Classic si on en a vait
besoin (ce qui était rare).
J'ai commencé la PAO en 87 avec un SE/30 boosté à 50 MHZ (remplac ement
du processeur, un 68000, qu'il falllait dessouder, par un processeur su r
carte), une carte vidéo 256 couleurs et un écran radius Pivot 256
couleurs format A4,
J'avais un noir et blanc, de Radius. Il a bien vécu 15 ans...
Et pendant longtemps, je n'ai pas eu l'usage d'un écran couleur.
On faisait les présentation en couleur à l'aide d'un Omnicron.
Pagemaker puis XPress, Illustrator 3 puis 88,
Freehand.
J'avais trouvé délirant qu'Illustrator oblige l'ouverture d'une deuxi ème
fenêtre pour voir le résultat de ce qu'on dessinait dans la premièr e.
et
Photoshop en 1990.
En fouillant mes archives, je trouverais le nom du logiciel de retouche
livré avec mon scanner Abaton 16 tons de gris.
Il y avait ausssi Ready Set Go, Ragtime, des polices
de caractères en abondance, Postscript mais sans ATM pour les visuali ser
correctement à l'écran si on demandait une taille n'existant pas en
bit-map (8, 10, 12, 14, 18 et 24 au maximum)
Dans le monde d'en face, il y avait à la même époque Windows 2, q ue l'on
lançait depuis le DOS en tapant "win". Et là en général ça pl antait la
machine. Si ça marchait, ça ne servait qu'à lancer des logiciels sous
DOS, sauf quelques rares trucs comme Word ou Excel (développés en
version graphique sur Mac puis transposés sur PC - Microsoft avait
sollicité Apple pour pouvoir développer ces programmes afin d'acqur ir de
l'expérience en interface graphique). Sinon, qu'est-ce qu'on pouvait
bien pouvoir faire avec ? Formater une disquette, gérer ses fichiers
sans passer par les commandes DOS comme copy, move et delete. Et jouer
au solitaire...
En 1990, on branchait un écran couleur sur le Mac Classic si on en a vait besoin (ce qui était rare).
J'ai commencé la PAO en 87 avec un SE/30 boosté à 50 MHZ (remplac ement du processeur, un 68000, qu'il falllait dessouder, par un processeur su r carte), une carte vidéo 256 couleurs et un écran radius Pivot 256 couleurs format A4,
J'avais un noir et blanc, de Radius. Il a bien vécu 15 ans...
Et pendant longtemps, je n'ai pas eu l'usage d'un écran couleur. On faisait les présentation en couleur à l'aide d'un Omnicron.
Pagemaker puis XPress, Illustrator 3 puis 88,
Freehand.
J'avais trouvé délirant qu'Illustrator oblige l'ouverture d'une deuxi ème fenêtre pour voir le résultat de ce qu'on dessinait dans la premièr e.
et Photoshop en 1990.
En fouillant mes archives, je trouverais le nom du logiciel de retouche livré avec mon scanner Abaton 16 tons de gris.
Il y avait ausssi Ready Set Go, Ragtime, des polices de caractères en abondance, Postscript mais sans ATM pour les visuali ser correctement à l'écran si on demandait une taille n'existant pas en bit-map (8, 10, 12, 14, 18 et 24 au maximum)
Dans le monde d'en face, il y avait à la même époque Windows 2, q ue l'on lançait depuis le DOS en tapant "win". Et là en général ça pl antait la machine. Si ça marchait, ça ne servait qu'à lancer des logiciels sous DOS, sauf quelques rares trucs comme Word ou Excel (développés en version graphique sur Mac puis transposés sur PC - Microsoft avait sollicité Apple pour pouvoir développer ces programmes afin d'acqur ir de l'expérience en interface graphique). Sinon, qu'est-ce qu'on pouvait bien pouvoir faire avec ? Formater une disquette, gérer ses fichiers sans passer par les commandes DOS comme copy, move et delete. Et jouer au solitaire...
patrick.1200RTcazaux
La Bete des Vosges (Francis Chartier) wrote:
J'ai commencé dans les années 80 sur un Amstrad CPC 464, avec le lecteur de bande qu'on pouvait accélérer evec quelques lignes de code pour charger les programmes plus vite... quand ça ne plantait pas. :) Puis un 6128 toujours chez Amstrad, avec ses disquettes 3 pouces.
Moi aussi ! en 83 ou 84, si je me souviens bien. Mon fils était né mais pas ma fille... Et après je suis passé sur Mac, tout en continuant à avoir des PC (portables) par-ci par là pour le boulot (formations bureautiques et PAO). -- Tardigradus e^iπ=-1 c'est magnifique
La Bete des Vosges (Francis Chartier) <francis@bete-des-vosges.org>
wrote:
J'ai commencé dans les années 80 sur un Amstrad CPC 464, avec le lecteur
de bande qu'on pouvait accélérer evec quelques lignes de code pour
charger les programmes plus vite... quand ça ne plantait pas. :)
Puis un 6128 toujours chez Amstrad, avec ses disquettes 3 pouces.
Moi aussi ! en 83 ou 84, si je me souviens bien. Mon fils était né mais
pas ma fille...
Et après je suis passé sur Mac, tout en continuant à avoir des PC
(portables) par-ci par là pour le boulot (formations bureautiques et
PAO).
--
Tardigradus
e^iπ=-1 c'est magnifique
J'ai commencé dans les années 80 sur un Amstrad CPC 464, avec le lecteur de bande qu'on pouvait accélérer evec quelques lignes de code pour charger les programmes plus vite... quand ça ne plantait pas. :) Puis un 6128 toujours chez Amstrad, avec ses disquettes 3 pouces.
Moi aussi ! en 83 ou 84, si je me souviens bien. Mon fils était né mais pas ma fille... Et après je suis passé sur Mac, tout en continuant à avoir des PC (portables) par-ci par là pour le boulot (formations bureautiques et PAO). -- Tardigradus e^iπ=-1 c'est magnifique
patrick.1200RTcazaux
Anne wrote:
Et c'était en ?
1992, Windows 3.1. Et oui, ce fut la première version qui marchait, avec pour la première fois des polices TrueType et des versions efficaces des logiciels de bureautique. Pour la première fois, on pouvait faire une comparaison avec le Mac, et pas entièrement au détriment de Windows.
-- Tardigradus e^iπ=-1 c'est magnifique
Anne <anneleguennec@free.fr> wrote:
Et c'était en ?
1992, Windows 3.1. Et oui, ce fut la première version qui marchait, avec
pour la première fois des polices TrueType et des versions efficaces des
logiciels de bureautique.
Pour la première fois, on pouvait faire une comparaison avec le Mac, et
pas entièrement au détriment de Windows.
1992, Windows 3.1. Et oui, ce fut la première version qui marchait, avec pour la première fois des polices TrueType et des versions efficaces des logiciels de bureautique. Pour la première fois, on pouvait faire une comparaison avec le Mac, et pas entièrement au détriment de Windows.
-- Tardigradus e^iπ=-1 c'est magnifique
patrick.1200RTcazaux
J.P wrote:
L'un des avantages de Windows est d'avoir permis à une foultitude de bricoleurs de gagner leur vie en faisant marcher un truc qui marchait mal
Oui, et du reste c'ést une des raisons pour lesquelles les services informatiques des entreprises ont toujours été si favorables à Windows : ça justifie leur existence. D'accord, je suis de mauvaise foi, mais à peine.
-- Tardigradus e^iπ=-1 c'est magnifique
J.P <jpp@gmail.com> wrote:
L'un des avantages de Windows est d'avoir permis à une foultitude de
bricoleurs de gagner leur vie en faisant marcher un truc qui marchait
mal
Oui, et du reste c'ést une des raisons pour lesquelles les services
informatiques des entreprises ont toujours été si favorables à Windows :
ça justifie leur existence. D'accord, je suis de mauvaise foi, mais à
peine.
L'un des avantages de Windows est d'avoir permis à une foultitude de bricoleurs de gagner leur vie en faisant marcher un truc qui marchait mal
Oui, et du reste c'ést une des raisons pour lesquelles les services informatiques des entreprises ont toujours été si favorables à Windows : ça justifie leur existence. D'accord, je suis de mauvaise foi, mais à peine.
-- Tardigradus e^iπ=-1 c'est magnifique
geeks
La Rouille wrote:
Mon seul regret, c'est qu'il ai sabordé le Newton.
Bon en Franc-Euro constant un iPad est moins cher qu'un Newton 2100, je vous l'accorde.
D'un autre côté les frais de tailleur pour adapter ses poches à l'iPad sont bien plus importants que pour le Newton.
-- F
La Rouille <news@NONffspeleo.com> wrote:
Mon seul regret, c'est qu'il ai sabordé le Newton.
Bon en Franc-Euro constant un iPad est moins cher qu'un Newton 2100, je
vous l'accorde.
D'un autre côté les frais de tailleur pour adapter ses poches à l'iPad
sont bien plus importants que pour le Newton.