La Bete des Vosges (Francis Chartier)
wrote:
> C'était peut-être moins facile, il fallait bricoler par moment mais ça
> fonctionnait, et on pouvait tout à fait produire, et pour moins cher que
> sur Mac.
Cette phrase est éloquente : dans "moins facile" et dans "bricoler par
moment" je comprends des pertes de temps. Naturellement si tu n'englobes
pas le temps de travail dans le coût final tout un tas de choses
deviennent "moins cher", mais le travail considéré comme gratuit ça
s'appelle l'esclavage :-(
La Bete des Vosges (Francis Chartier) <francis@bete-des-vosges.org>
wrote:
> C'était peut-être moins facile, il fallait bricoler par moment mais ça
> fonctionnait, et on pouvait tout à fait produire, et pour moins cher que
> sur Mac.
Cette phrase est éloquente : dans "moins facile" et dans "bricoler par
moment" je comprends des pertes de temps. Naturellement si tu n'englobes
pas le temps de travail dans le coût final tout un tas de choses
deviennent "moins cher", mais le travail considéré comme gratuit ça
s'appelle l'esclavage :-(
La Bete des Vosges (Francis Chartier)
wrote:
> C'était peut-être moins facile, il fallait bricoler par moment mais ça
> fonctionnait, et on pouvait tout à fait produire, et pour moins cher que
> sur Mac.
Cette phrase est éloquente : dans "moins facile" et dans "bricoler par
moment" je comprends des pertes de temps. Naturellement si tu n'englobes
pas le temps de travail dans le coût final tout un tas de choses
deviennent "moins cher", mais le travail considéré comme gratuit ça
s'appelle l'esclavage :-(
J.P wrote:
> Pour avoir fréquenté quelque peu l'industrie, la rentabilité de
> l'informatique dans ce contexte m'a souvent paru discutable.
> "Rentabilité" pour les "vrais" informaticiens" qui "travaillaient" pour
> faire marcher le bouzin, c'est sûr. Pour l'entreprise, beaucoup moins.
En d'autres temps on avait proposé une explication de cette agressivité
finalement disproportionnée du monde wintel face au monde mac qui, avec
ses petits 5 % de parts de marché, n'aurait dû provoquer que du mépris
ou de l'ignorance.
Au lieu de quoi on avait des volées de bois vert (et de pub gratuite,
paradoxe !) à chaque sortie de nouveauté, et le mac était partout
utilisé comme comparaison/repoussoir comme s'il fallait à tout prix
éviter à l'utilisateur ou au lecteur un éventuel contact "contaminant".
À base essentiellement de mensonges et désinformations ("Apple" est mort
et en dépôt de bilan etc.) Et alors même que le risque était nul pour
des tonnes de raisons économiques, de niveau d'utilisation et
d'autonomie recherché, de piratage moins facile, et j'en passe et des
meilleures.
Bois vert administré par : 1/ les journalistes (spécialisés ou pas), 2/
les vendeurs d'informatique, 3/ les techniciens de SAV, 4/ les
formateurs, 5/ les éditeurs, 6/ surtout les "spécialistes" informatiques
autodéclarés ou pas, considérant leur modèle d'utilisation en entreprise
(compta/BDD) comme universel.
Le POINT COMMUN entre eux tous était simplement le manque à gagner
qu'ils avaient à ce que les utilisateurs passent sur mac. Simple. Dans
l'ordre : moins de budget pub, moins de marges, moins de SAV (et de
bidouillage !), temps de formation divisé par deux pour un même
logiciel, obligation de faire du code "propre" au lieu des bouses
adressant directement le hardware que généraient les éditeurs de jeux
sur PC, *et surtout*, pour les services informatiques, le risque que
l'utilisateur se rende compte que dans un certain nombre de domaines il
pouvait être autonome et se passer d'eux !
Je me souviens de la tronche que tiraient les gars du service
informatique de la boîte où je travaillais quand ils m'ont vu monter
(sur mon SE) ma première base 4D pour traiter des publipostages
marketing... et faire mes premières présentations sur écran LCD
rétroprojeté avec HyperCard (interactif via HyperMIDI, en plus !).
Et j'ai mis du temps à comprendre pourquoi ils faisaient la tronche !
J.P <jpp@gmail.com> wrote:
> Pour avoir fréquenté quelque peu l'industrie, la rentabilité de
> l'informatique dans ce contexte m'a souvent paru discutable.
> "Rentabilité" pour les "vrais" informaticiens" qui "travaillaient" pour
> faire marcher le bouzin, c'est sûr. Pour l'entreprise, beaucoup moins.
En d'autres temps on avait proposé une explication de cette agressivité
finalement disproportionnée du monde wintel face au monde mac qui, avec
ses petits 5 % de parts de marché, n'aurait dû provoquer que du mépris
ou de l'ignorance.
Au lieu de quoi on avait des volées de bois vert (et de pub gratuite,
paradoxe !) à chaque sortie de nouveauté, et le mac était partout
utilisé comme comparaison/repoussoir comme s'il fallait à tout prix
éviter à l'utilisateur ou au lecteur un éventuel contact "contaminant".
À base essentiellement de mensonges et désinformations ("Apple" est mort
et en dépôt de bilan etc.) Et alors même que le risque était nul pour
des tonnes de raisons économiques, de niveau d'utilisation et
d'autonomie recherché, de piratage moins facile, et j'en passe et des
meilleures.
Bois vert administré par : 1/ les journalistes (spécialisés ou pas), 2/
les vendeurs d'informatique, 3/ les techniciens de SAV, 4/ les
formateurs, 5/ les éditeurs, 6/ surtout les "spécialistes" informatiques
autodéclarés ou pas, considérant leur modèle d'utilisation en entreprise
(compta/BDD) comme universel.
Le POINT COMMUN entre eux tous était simplement le manque à gagner
qu'ils avaient à ce que les utilisateurs passent sur mac. Simple. Dans
l'ordre : moins de budget pub, moins de marges, moins de SAV (et de
bidouillage !), temps de formation divisé par deux pour un même
logiciel, obligation de faire du code "propre" au lieu des bouses
adressant directement le hardware que généraient les éditeurs de jeux
sur PC, *et surtout*, pour les services informatiques, le risque que
l'utilisateur se rende compte que dans un certain nombre de domaines il
pouvait être autonome et se passer d'eux !
Je me souviens de la tronche que tiraient les gars du service
informatique de la boîte où je travaillais quand ils m'ont vu monter
(sur mon SE) ma première base 4D pour traiter des publipostages
marketing... et faire mes premières présentations sur écran LCD
rétroprojeté avec HyperCard (interactif via HyperMIDI, en plus !).
Et j'ai mis du temps à comprendre pourquoi ils faisaient la tronche !
J.P wrote:
> Pour avoir fréquenté quelque peu l'industrie, la rentabilité de
> l'informatique dans ce contexte m'a souvent paru discutable.
> "Rentabilité" pour les "vrais" informaticiens" qui "travaillaient" pour
> faire marcher le bouzin, c'est sûr. Pour l'entreprise, beaucoup moins.
En d'autres temps on avait proposé une explication de cette agressivité
finalement disproportionnée du monde wintel face au monde mac qui, avec
ses petits 5 % de parts de marché, n'aurait dû provoquer que du mépris
ou de l'ignorance.
Au lieu de quoi on avait des volées de bois vert (et de pub gratuite,
paradoxe !) à chaque sortie de nouveauté, et le mac était partout
utilisé comme comparaison/repoussoir comme s'il fallait à tout prix
éviter à l'utilisateur ou au lecteur un éventuel contact "contaminant".
À base essentiellement de mensonges et désinformations ("Apple" est mort
et en dépôt de bilan etc.) Et alors même que le risque était nul pour
des tonnes de raisons économiques, de niveau d'utilisation et
d'autonomie recherché, de piratage moins facile, et j'en passe et des
meilleures.
Bois vert administré par : 1/ les journalistes (spécialisés ou pas), 2/
les vendeurs d'informatique, 3/ les techniciens de SAV, 4/ les
formateurs, 5/ les éditeurs, 6/ surtout les "spécialistes" informatiques
autodéclarés ou pas, considérant leur modèle d'utilisation en entreprise
(compta/BDD) comme universel.
Le POINT COMMUN entre eux tous était simplement le manque à gagner
qu'ils avaient à ce que les utilisateurs passent sur mac. Simple. Dans
l'ordre : moins de budget pub, moins de marges, moins de SAV (et de
bidouillage !), temps de formation divisé par deux pour un même
logiciel, obligation de faire du code "propre" au lieu des bouses
adressant directement le hardware que généraient les éditeurs de jeux
sur PC, *et surtout*, pour les services informatiques, le risque que
l'utilisateur se rende compte que dans un certain nombre de domaines il
pouvait être autonome et se passer d'eux !
Je me souviens de la tronche que tiraient les gars du service
informatique de la boîte où je travaillais quand ils m'ont vu monter
(sur mon SE) ma première base 4D pour traiter des publipostages
marketing... et faire mes premières présentations sur écran LCD
rétroprojeté avec HyperCard (interactif via HyperMIDI, en plus !).
Et j'ai mis du temps à comprendre pourquoi ils faisaient la tronche !
Mouais, enfin rapporté aux salaires de l'époque (SMIC à un peu plus de
4000 FRF), on ne peut pas vraiment dire que le Mac à 25000 FRF c'était
de l'entrée de gamme (comparé par exemple à un Mini de 2010, à 599
euros, avec un SMIC à un peu plus de 1000 euros net).
Mouais, enfin rapporté aux salaires de l'époque (SMIC à un peu plus de
4000 FRF), on ne peut pas vraiment dire que le Mac à 25000 FRF c'était
de l'entrée de gamme (comparé par exemple à un Mini de 2010, à 599
euros, avec un SMIC à un peu plus de 1000 euros net).
Mouais, enfin rapporté aux salaires de l'époque (SMIC à un peu plus de
4000 FRF), on ne peut pas vraiment dire que le Mac à 25000 FRF c'était
de l'entrée de gamme (comparé par exemple à un Mini de 2010, à 599
euros, avec un SMIC à un peu plus de 1000 euros net).
Ca demandait certainement plus de boulot de mise en place au départ, mais
pas à l'utilisation.
> Naturellement si tu n'englobes
> pas le temps de travail dans le coût final tout un tas de choses
> deviennent "moins cher", mais le travail considéré comme gratuit ça
> s'appelle l'esclavage :-(
Voilà, l'exemple type des discours qu'on entendait dans le milieu des
arts graphiques à l'époque, tout droit issu de la pub Apple de 1984.
Ca demandait certainement plus de boulot de mise en place au départ, mais
pas à l'utilisation.
> Naturellement si tu n'englobes
> pas le temps de travail dans le coût final tout un tas de choses
> deviennent "moins cher", mais le travail considéré comme gratuit ça
> s'appelle l'esclavage :-(
Voilà, l'exemple type des discours qu'on entendait dans le milieu des
arts graphiques à l'époque, tout droit issu de la pub Apple de 1984.
Ca demandait certainement plus de boulot de mise en place au départ, mais
pas à l'utilisation.
> Naturellement si tu n'englobes
> pas le temps de travail dans le coût final tout un tas de choses
> deviennent "moins cher", mais le travail considéré comme gratuit ça
> s'appelle l'esclavage :-(
Voilà, l'exemple type des discours qu'on entendait dans le milieu des
arts graphiques à l'époque, tout droit issu de la pub Apple de 1984.
Dans
mon exemple (issu du tien), il serait matériel, lié au fait de ne pas
compter le temps de travail comme économiquement significatif.
Du coup au niveau discussion tu te tires une balle dans le pied ! (pour
utilisation de faux arguments :-))
Dans
mon exemple (issu du tien), il serait matériel, lié au fait de ne pas
compter le temps de travail comme économiquement significatif.
Du coup au niveau discussion tu te tires une balle dans le pied ! (pour
utilisation de faux arguments :-))
Dans
mon exemple (issu du tien), il serait matériel, lié au fait de ne pas
compter le temps de travail comme économiquement significatif.
Du coup au niveau discussion tu te tires une balle dans le pied ! (pour
utilisation de faux arguments :-))
L'un des avantages de Windows est d'avoir permis à une foultitude de
bricoleurs de gagner leur vie en faisant marcher un truc qui marchait
mal (je ne parle pas des versions serveurs et des ingénieurs compétents
qui s'en occupaient).
Qaund je vois encore aujourd'hui comment la plupart utilise cet outil,
c'est effrayant !
L'un des avantages de Windows est d'avoir permis à une foultitude de
bricoleurs de gagner leur vie en faisant marcher un truc qui marchait
mal (je ne parle pas des versions serveurs et des ingénieurs compétents
qui s'en occupaient).
Qaund je vois encore aujourd'hui comment la plupart utilise cet outil,
c'est effrayant !
L'un des avantages de Windows est d'avoir permis à une foultitude de
bricoleurs de gagner leur vie en faisant marcher un truc qui marchait
mal (je ne parle pas des versions serveurs et des ingénieurs compétents
qui s'en occupaient).
Qaund je vois encore aujourd'hui comment la plupart utilise cet outil,
c'est effrayant !
In article,
pehache wrote:A partir de Windows 3.1 MS
merci IBM
et avec Windows NT
merci DEC
In article<9famjsFougU1@mid.individual.net>,
pehache<pehache.7@gmail.com> wrote:
A partir de Windows 3.1 MS
merci IBM
et avec Windows NT
merci DEC
In article,
pehache wrote:A partir de Windows 3.1 MS
merci IBM
et avec Windows NT
merci DEC
Plus personne, je
crois, n'achète aujourd'hui un ordi à visé professionnelle dans une
optique d'utilisation *principale* sur sept ans.
Forcément, à ce prix là tu avais intérêt à faire durer. Mais je note que
tu n'as pas utilisé le SE tel que pendant 7 ans.
Plus personne, je
crois, n'achète aujourd'hui un ordi à visé professionnelle dans une
optique d'utilisation *principale* sur sept ans.
Forcément, à ce prix là tu avais intérêt à faire durer. Mais je note que
tu n'as pas utilisé le SE tel que pendant 7 ans.
Plus personne, je
crois, n'achète aujourd'hui un ordi à visé professionnelle dans une
optique d'utilisation *principale* sur sept ans.
Forcément, à ce prix là tu avais intérêt à faire durer. Mais je note que
tu n'as pas utilisé le SE tel que pendant 7 ans.
Le 08/10/11 15:48, pehache a écrit :l'achat
d'un Mac SE (d'occasion) avec quelques accessoires (imprimante
matricielle, modem...) pour 20 000 F était un investissement réaliste si
ton métier (ou ton futur métier) devait en dépendre.Si c'est un usage professionnel c'est toujours pareil : ce qui compte
n'est pas tant le prix dans l'absolu, mais le prix par rapport à ce que
cela va rapporter.
Question PAO, il y avait Mac, et rien d'autre. Ou peut-être des choses
encore plus chères, utilisées dans les imprimeries.
Le 08/10/11 15:48, pehache a écrit :
l'achat
d'un Mac SE (d'occasion) avec quelques accessoires (imprimante
matricielle, modem...) pour 20 000 F était un investissement réaliste si
ton métier (ou ton futur métier) devait en dépendre.
Si c'est un usage professionnel c'est toujours pareil : ce qui compte
n'est pas tant le prix dans l'absolu, mais le prix par rapport à ce que
cela va rapporter.
Question PAO, il y avait Mac, et rien d'autre. Ou peut-être des choses
encore plus chères, utilisées dans les imprimeries.
Le 08/10/11 15:48, pehache a écrit :l'achat
d'un Mac SE (d'occasion) avec quelques accessoires (imprimante
matricielle, modem...) pour 20 000 F était un investissement réaliste si
ton métier (ou ton futur métier) devait en dépendre.Si c'est un usage professionnel c'est toujours pareil : ce qui compte
n'est pas tant le prix dans l'absolu, mais le prix par rapport à ce que
cela va rapporter.
Question PAO, il y avait Mac, et rien d'autre. Ou peut-être des choses
encore plus chères, utilisées dans les imprimeries.
Je peux me tromper mais j'ai cru comprendre que tu étais prof, ou en
tous cas dans le monde de l'éducation. Donc ton salaire ne dépendait pas
du temps que tu pouvais gagner ou perdre dans ton boulot. Donc l'achat
d'un ordi sur tes derniers personnels ne peut pas être qualifié de
"rentable" : que tu dises que cet investissement t'a servi, que tu as
(peut-être) eu plus de temps libre grâce à lui, ou que tu as pu faire
plus de choses, c'est fort possible, mais en aucun cas ça ne peut
s'exprimer en un "rentabilité"
Tu me fais marrer avec ton discours "prof" "rentable".
Pour avoir fréquenté quelque peu l'industrie, la rentabilité de
l'informatique dans ce contexte m'a souvent paru discutable.
"Rentabilité" pour les "vrais" informaticiens" qui "travaillaient" pour
faire marcher le bouzin, c'est sûr. Pour l'entreprise, beaucoup moins.
En ce qui concerne les profs et le Mac, Mac+Hypercard étaient bien plus
"rentables" pédagogiquement que les bouzes Windows qu'on a vu fleurir de
partout quand les politiques ont succombé aux sirènes de Mr Bill, l'un
des plus grands prédateurs dans nos écoles.
Quant à " ... ton salaire ne dépendait pas du temps que tu pouvais
gagner ou perdre dans ton boulot" tu m'expliqueras où ce modèle de
rémunération existe.
Je peux me tromper mais j'ai cru comprendre que tu étais prof, ou en
tous cas dans le monde de l'éducation. Donc ton salaire ne dépendait pas
du temps que tu pouvais gagner ou perdre dans ton boulot. Donc l'achat
d'un ordi sur tes derniers personnels ne peut pas être qualifié de
"rentable" : que tu dises que cet investissement t'a servi, que tu as
(peut-être) eu plus de temps libre grâce à lui, ou que tu as pu faire
plus de choses, c'est fort possible, mais en aucun cas ça ne peut
s'exprimer en un "rentabilité"
Tu me fais marrer avec ton discours "prof" "rentable".
Pour avoir fréquenté quelque peu l'industrie, la rentabilité de
l'informatique dans ce contexte m'a souvent paru discutable.
"Rentabilité" pour les "vrais" informaticiens" qui "travaillaient" pour
faire marcher le bouzin, c'est sûr. Pour l'entreprise, beaucoup moins.
En ce qui concerne les profs et le Mac, Mac+Hypercard étaient bien plus
"rentables" pédagogiquement que les bouzes Windows qu'on a vu fleurir de
partout quand les politiques ont succombé aux sirènes de Mr Bill, l'un
des plus grands prédateurs dans nos écoles.
Quant à " ... ton salaire ne dépendait pas du temps que tu pouvais
gagner ou perdre dans ton boulot" tu m'expliqueras où ce modèle de
rémunération existe.
Je peux me tromper mais j'ai cru comprendre que tu étais prof, ou en
tous cas dans le monde de l'éducation. Donc ton salaire ne dépendait pas
du temps que tu pouvais gagner ou perdre dans ton boulot. Donc l'achat
d'un ordi sur tes derniers personnels ne peut pas être qualifié de
"rentable" : que tu dises que cet investissement t'a servi, que tu as
(peut-être) eu plus de temps libre grâce à lui, ou que tu as pu faire
plus de choses, c'est fort possible, mais en aucun cas ça ne peut
s'exprimer en un "rentabilité"
Tu me fais marrer avec ton discours "prof" "rentable".
Pour avoir fréquenté quelque peu l'industrie, la rentabilité de
l'informatique dans ce contexte m'a souvent paru discutable.
"Rentabilité" pour les "vrais" informaticiens" qui "travaillaient" pour
faire marcher le bouzin, c'est sûr. Pour l'entreprise, beaucoup moins.
En ce qui concerne les profs et le Mac, Mac+Hypercard étaient bien plus
"rentables" pédagogiquement que les bouzes Windows qu'on a vu fleurir de
partout quand les politiques ont succombé aux sirènes de Mr Bill, l'un
des plus grands prédateurs dans nos écoles.
Quant à " ... ton salaire ne dépendait pas du temps que tu pouvais
gagner ou perdre dans ton boulot" tu m'expliqueras où ce modèle de
rémunération existe.