In article <1k95n7j.1y9gr6cgw7z0bN%, (Philippe Manet) wrote:
> Rosetta était un émulateur PPC pour les Mac à processeur Intel, donc il > est _apparu_ avec ces machines... S'il a existé sur trois versions > majeures de Mac OS X (Tiger, Leopard et Snow Leopard),
-- Jacques PERROCHEAU CNRS UMR 6226 Université de Rennes 1, Campus de Beaulieu, 35042 RENNES Cedex, France
In article <1k95n7j.1y9gr6cgw7z0bN%yapu@invivo.edu>,
yapu@invivo.edu (Philippe Manet) wrote:
> Rosetta était un émulateur PPC pour les Mac à processeur Intel, donc il
> est _apparu_ avec ces machines... S'il a existé sur trois versions
> majeures de Mac OS X (Tiger, Leopard et Snow Leopard),
In article <1k95n7j.1y9gr6cgw7z0bN%, (Philippe Manet) wrote:
> Rosetta était un émulateur PPC pour les Mac à processeur Intel, donc il > est _apparu_ avec ces machines... S'il a existé sur trois versions > majeures de Mac OS X (Tiger, Leopard et Snow Leopard),
-- Jacques PERROCHEAU CNRS UMR 6226 Université de Rennes 1, Campus de Beaulieu, 35042 RENNES Cedex, France
La Bete des Vosges (Francis Chartier)
Le Tue, 18 Oct 2011 14:18:05 +0200, Paul Gaborit a écrit :
Mais mieux vaut une chaîne partiellement calibrée que pas calibrée du tout ! ;-)
Ca dépend du type de travaux traités. Je bosse à 80% pour du packaging et de l'étiquette adhésive pour le viticole. Papiers spécifiques, impression Pantone en typo ou offset semi- rotative + groupes flexo. Beaucoup d'impression à chaud, de gaufrage/ foulage et découpes.
Je vois passer régulièrement des graphistes qui m'amènent des travaux d'exé pour impression. Beaucoup ont du matos calibré, sont apparemment incollables en photo, ont de grandes exigences sur le rendu de leurs travaux... totalement irréalistes vu leur méconnaissance des contraintes techniques de ce type d'impression.
C'est bien de connaître les principes de la calibration de la chaîne graphique, mais il faut aussi savoir dans quelle mesure il est rentable de pinailler là dessus par rapport aux autres facteurs techniques.
Se prendre le chou sur un réglage qui va jouer sur 3% dans les 3/4 de tons d'une vue, alors qu'on va devoir taper dedans pour ne pas boucher la gravure du cylindre, c'est du temps perdu. Par contre, celui qui saura retravailler ses visuels pour tenir compte de l'engraissement ou la perte de point inhérent au procédé d'impression aura de toute façon un meilleur rendu, même si en théorie, c'est censé être inutile si la chaîne est calibré pour la machine à imprimer et le papier choisi. Sauf que ce n'est jamais fait, par exemple pour l'impression à chaud parce que le graveur du cliché magnesium ne sait pas sur quoi ça va être tiré, ni le réglage de pression, la chauffe ou même le papier de tirage. Déjà la plupart du temps il s'agit de gravure à l'acide donc avec un bain plus ou moins fatigué suivant son âge et un résultat pas forcément reproductible s'il avait été gravé avec un bain neuf. Ca c'est la réalité de l'imprimerie, et on a pas encore le profil ICC pour Maurice Michu qui fait la copie plaque ou le gravage des clichés, le lendemain du jour ou l'OM s'est fait planter 3-0 par le LOSC. :)
-- La Bête des Vosges
Le Tue, 18 Oct 2011 14:18:05 +0200, Paul Gaborit a écrit :
Mais mieux vaut une chaîne partiellement calibrée que pas calibrée du
tout ! ;-)
Ca dépend du type de travaux traités.
Je bosse à 80% pour du packaging et de l'étiquette adhésive pour le
viticole. Papiers spécifiques, impression Pantone en typo ou offset semi-
rotative + groupes flexo. Beaucoup d'impression à chaud, de gaufrage/
foulage et découpes.
Je vois passer régulièrement des graphistes qui m'amènent des travaux
d'exé pour impression.
Beaucoup ont du matos calibré, sont apparemment incollables en photo, ont
de grandes exigences sur le rendu de leurs travaux... totalement
irréalistes vu leur méconnaissance des contraintes techniques de ce type
d'impression.
C'est bien de connaître les principes de la calibration de la chaîne
graphique, mais il faut aussi savoir dans quelle mesure il est rentable
de pinailler là dessus par rapport aux autres facteurs techniques.
Se prendre le chou sur un réglage qui va jouer sur 3% dans les 3/4 de
tons d'une vue, alors qu'on va devoir taper dedans pour ne pas boucher la
gravure du cylindre, c'est du temps perdu.
Par contre, celui qui saura retravailler ses visuels pour tenir compte de
l'engraissement ou la perte de point inhérent au procédé d'impression
aura de toute façon un meilleur rendu, même si en théorie, c'est censé
être inutile si la chaîne est calibré pour la machine à imprimer et le
papier choisi.
Sauf que ce n'est jamais fait, par exemple pour l'impression à chaud
parce que le graveur du cliché magnesium ne sait pas sur quoi ça va être
tiré, ni le réglage de pression, la chauffe ou même le papier de tirage.
Déjà la plupart du temps il s'agit de gravure à l'acide donc avec un bain
plus ou moins fatigué suivant son âge et un résultat pas forcément
reproductible s'il avait été gravé avec un bain neuf.
Ca c'est la réalité de l'imprimerie, et on a pas encore le profil ICC
pour Maurice Michu qui fait la copie plaque ou le gravage des clichés, le
lendemain du jour ou l'OM s'est fait planter 3-0 par le LOSC. :)
Le Tue, 18 Oct 2011 14:18:05 +0200, Paul Gaborit a écrit :
Mais mieux vaut une chaîne partiellement calibrée que pas calibrée du tout ! ;-)
Ca dépend du type de travaux traités. Je bosse à 80% pour du packaging et de l'étiquette adhésive pour le viticole. Papiers spécifiques, impression Pantone en typo ou offset semi- rotative + groupes flexo. Beaucoup d'impression à chaud, de gaufrage/ foulage et découpes.
Je vois passer régulièrement des graphistes qui m'amènent des travaux d'exé pour impression. Beaucoup ont du matos calibré, sont apparemment incollables en photo, ont de grandes exigences sur le rendu de leurs travaux... totalement irréalistes vu leur méconnaissance des contraintes techniques de ce type d'impression.
C'est bien de connaître les principes de la calibration de la chaîne graphique, mais il faut aussi savoir dans quelle mesure il est rentable de pinailler là dessus par rapport aux autres facteurs techniques.
Se prendre le chou sur un réglage qui va jouer sur 3% dans les 3/4 de tons d'une vue, alors qu'on va devoir taper dedans pour ne pas boucher la gravure du cylindre, c'est du temps perdu. Par contre, celui qui saura retravailler ses visuels pour tenir compte de l'engraissement ou la perte de point inhérent au procédé d'impression aura de toute façon un meilleur rendu, même si en théorie, c'est censé être inutile si la chaîne est calibré pour la machine à imprimer et le papier choisi. Sauf que ce n'est jamais fait, par exemple pour l'impression à chaud parce que le graveur du cliché magnesium ne sait pas sur quoi ça va être tiré, ni le réglage de pression, la chauffe ou même le papier de tirage. Déjà la plupart du temps il s'agit de gravure à l'acide donc avec un bain plus ou moins fatigué suivant son âge et un résultat pas forcément reproductible s'il avait été gravé avec un bain neuf. Ca c'est la réalité de l'imprimerie, et on a pas encore le profil ICC pour Maurice Michu qui fait la copie plaque ou le gravage des clichés, le lendemain du jour ou l'OM s'est fait planter 3-0 par le LOSC. :)
-- La Bête des Vosges
Anne G
Le 18/10/11 11:13, La Bete des Vosges (Francis Chartier) a écrit :
et on a pas encore le profil ICC pour Maurice Michu
Momo ! Comment il va ?
qui fait la copie plaque ou le gravage des clichés, le lendemain du jour ou l'OM s'est fait planter 3-0 par le LOSC. :)
Le 18/10/11 11:13, La Bete des Vosges (Francis Chartier) a écrit :
et on a pas encore le profil ICC
pour Maurice Michu
Momo ! Comment il va ?
qui fait la copie plaque ou le gravage des clichés, le
lendemain du jour ou l'OM s'est fait planter 3-0 par le LOSC. :)
Le 18/10/11 11:13, La Bete des Vosges (Francis Chartier) a écrit :
et on a pas encore le profil ICC pour Maurice Michu
Momo ! Comment il va ?
qui fait la copie plaque ou le gravage des clichés, le lendemain du jour ou l'OM s'est fait planter 3-0 par le LOSC. :)
yapu
J.P wrote:
Le contexte le plus strict que j'ai connu était probablement l'hôpital.
oui... en meme temps, plus c'est rigide, plus ça déconne.
Dans un établissement que je connais, la politique de sécurité était tellement ch... que les médecins venaient avec des portables et des clés 3G, ce qui fait que le réseau est rapidement devenu impossible à deverminer. Ce qui veut sans doute dire qu'en plus d'appliquer avec rigidité les régles les plus idiotes possibles, personne n'avait la moindre notion de ce que peut etre l'administration d'un switch et/ou l'authentification sur un réseau... mais là, je m'avance. -- Philippe Manet en fait, c'est manet avant @
J.P <jpp@gmail.com> wrote:
Le contexte le plus strict que j'ai connu était probablement l'hôpital.
oui...
en meme temps, plus c'est rigide, plus ça déconne.
Dans un établissement que je connais, la politique de sécurité était
tellement ch... que les médecins venaient avec des portables et des clés
3G, ce qui fait que le réseau est rapidement devenu impossible à
deverminer.
Ce qui veut sans doute dire qu'en plus d'appliquer avec rigidité les
régles les plus idiotes possibles, personne n'avait la moindre notion de
ce que peut etre l'administration d'un switch et/ou l'authentification
sur un réseau... mais là, je m'avance.
--
Philippe Manet
en fait, c'est manet avant @
Le contexte le plus strict que j'ai connu était probablement l'hôpital.
oui... en meme temps, plus c'est rigide, plus ça déconne.
Dans un établissement que je connais, la politique de sécurité était tellement ch... que les médecins venaient avec des portables et des clés 3G, ce qui fait que le réseau est rapidement devenu impossible à deverminer. Ce qui veut sans doute dire qu'en plus d'appliquer avec rigidité les régles les plus idiotes possibles, personne n'avait la moindre notion de ce que peut etre l'administration d'un switch et/ou l'authentification sur un réseau... mais là, je m'avance. -- Philippe Manet en fait, c'est manet avant @
yapu
JRP wrote:
m'est aussi utile pour faire tourner un logiciel de dynamique des systèmes appelés Stella
aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah !!!! j'ai trouvé un utilisateur de Stella !
un logiciel absolument génial !
comment se fait-il que des trucs comme ça disparaissent ?
par quoi le remplace-t-on de nos jours ? -- Philippe Manet en fait, c'est manet avant @
JRP <jp@agrume.fr> wrote:
m'est aussi utile pour faire tourner un logiciel de dynamique
des systèmes appelés Stella
aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah !!!!
j'ai trouvé un utilisateur de Stella !
un logiciel absolument génial !
comment se fait-il que des trucs comme ça disparaissent ?
par quoi le remplace-t-on de nos jours ?
--
Philippe Manet
en fait, c'est manet avant @
m'est aussi utile pour faire tourner un logiciel de dynamique des systèmes appelés Stella
aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah !!!! j'ai trouvé un utilisateur de Stella !
un logiciel absolument génial !
comment se fait-il que des trucs comme ça disparaissent ?
par quoi le remplace-t-on de nos jours ? -- Philippe Manet en fait, c'est manet avant @
J.P
In article <1k9cuzg.1dqij5sb7nqduN%, (Philippe Manet) wrote:
J.P wrote:
> Le contexte le plus strict que j'ai connu était probablement l'hôpital.
oui... en meme temps, plus c'est rigide, plus ça déconne.
Dans un établissement que je connais, la politique de sécurité était tellement ch... que les médecins venaient avec des portables et des clés 3G, ce qui fait que le réseau est rapidement devenu impossible à deverminer. Ce qui veut sans doute dire qu'en plus d'appliquer avec rigidité les régles les plus idiotes possibles, personne n'avait la moindre notion de ce que peut etre l'administration d'un switch et/ou l'authentification sur un réseau... mais là, je m'avance.
Tu décris assez bien ce que j'ai vécu dans mes relations avec les informaticiens ET la direction de notre CHRU, y compris dans tes derniers mots :-) Permettre à des médecins faisant leur recherche en fac de sciences de comuniquer avec le CHU : on l'a fait, mais quelle galère !!! Ex.: notre CRI était parti sur un VLAN spécifique pour le CHU, sauf que, une fois tout en place, il s'est avéré que le CHU ne connaissait pas les VLANs ...
-- Jean-Pierre
In article <1k9cuzg.1dqij5sb7nqduN%yapu@invivo.edu>,
yapu@invivo.edu (Philippe Manet) wrote:
J.P <jpp@gmail.com> wrote:
> Le contexte le plus strict que j'ai connu était probablement l'hôpital.
oui...
en meme temps, plus c'est rigide, plus ça déconne.
Dans un établissement que je connais, la politique de sécurité était
tellement ch... que les médecins venaient avec des portables et des clés
3G, ce qui fait que le réseau est rapidement devenu impossible à
deverminer.
Ce qui veut sans doute dire qu'en plus d'appliquer avec rigidité les
régles les plus idiotes possibles, personne n'avait la moindre notion de
ce que peut etre l'administration d'un switch et/ou l'authentification
sur un réseau... mais là, je m'avance.
Tu décris assez bien ce que j'ai vécu dans mes relations avec les
informaticiens ET la direction de notre CHRU, y compris dans tes
derniers mots :-)
Permettre à des médecins faisant leur recherche en fac de sciences de
comuniquer avec le CHU : on l'a fait, mais quelle galère !!!
Ex.: notre CRI était parti sur un VLAN spécifique pour le CHU, sauf que,
une fois tout en place, il s'est avéré que le CHU ne connaissait pas les
VLANs ...
In article <1k9cuzg.1dqij5sb7nqduN%, (Philippe Manet) wrote:
J.P wrote:
> Le contexte le plus strict que j'ai connu était probablement l'hôpital.
oui... en meme temps, plus c'est rigide, plus ça déconne.
Dans un établissement que je connais, la politique de sécurité était tellement ch... que les médecins venaient avec des portables et des clés 3G, ce qui fait que le réseau est rapidement devenu impossible à deverminer. Ce qui veut sans doute dire qu'en plus d'appliquer avec rigidité les régles les plus idiotes possibles, personne n'avait la moindre notion de ce que peut etre l'administration d'un switch et/ou l'authentification sur un réseau... mais là, je m'avance.
Tu décris assez bien ce que j'ai vécu dans mes relations avec les informaticiens ET la direction de notre CHRU, y compris dans tes derniers mots :-) Permettre à des médecins faisant leur recherche en fac de sciences de comuniquer avec le CHU : on l'a fait, mais quelle galère !!! Ex.: notre CRI était parti sur un VLAN spécifique pour le CHU, sauf que, une fois tout en place, il s'est avéré que le CHU ne connaissait pas les VLANs ...
-- Jean-Pierre
J.P
In article <1k9cusw.amkfzkbr4jhuN%, (Philippe Manet) wrote:
comment se fait-il que des trucs comme ça disparaissent ?
la réponse a été donnée mille fois: "parce qu'ils ne sont pas OpenSource" :-)
-- Jean-Pierre
In article <1k9cusw.amkfzkbr4jhuN%yapu@invivo.edu>,
yapu@invivo.edu (Philippe Manet) wrote:
comment se fait-il que des trucs comme ça disparaissent ?
la réponse a été donnée mille fois:
"parce qu'ils ne sont pas OpenSource" :-)
In article <1k9cusw.amkfzkbr4jhuN%, (Philippe Manet) wrote:
comment se fait-il que des trucs comme ça disparaissent ?
la réponse a été donnée mille fois: "parce qu'ils ne sont pas OpenSource" :-)
-- Jean-Pierre
Le Moustique
Le 19/10/11 04:50, J.P a écrit :
Ex.: notre CRI était parti sur un VLAN spécifique pour le CHU, sauf que, une fois tout en place, il s'est avéré que le CHU ne connaissait pa s les VLANs ...
CRI, VLAN, CHU... Ca fait un peu bande dessinée, tu ne trouves pas? ;-)
-- /) Le Moustique -:oo= ) CC BY-NC-ND Je nettoyais mon clavier, et le coup est parti tout seul.
Le 19/10/11 04:50, J.P a écrit :
Ex.: notre CRI était parti sur un VLAN spécifique pour le CHU, sauf que,
une fois tout en place, il s'est avéré que le CHU ne connaissait pa s les
VLANs ...
CRI, VLAN, CHU... Ca fait un peu bande dessinée, tu ne trouves pas? ;-)
--
/) Le Moustique
-:oo=
) CC BY-NC-ND
Je nettoyais mon clavier, et le coup est parti tout seul.
Ex.: notre CRI était parti sur un VLAN spécifique pour le CHU, sauf que, une fois tout en place, il s'est avéré que le CHU ne connaissait pa s les VLANs ...
CRI, VLAN, CHU... Ca fait un peu bande dessinée, tu ne trouves pas? ;-)
-- /) Le Moustique -:oo= ) CC BY-NC-ND Je nettoyais mon clavier, et le coup est parti tout seul.
J.P
In article <4e9e64c9$0$30750$, Le Moustique wrote:
Le 19/10/11 04:50, J.P a écrit : > Ex.: notre CRI était parti sur un VLAN spécifique pour le CHU, sauf que, > une fois tout en place, il s'est avéré que le CHU ne connaissait pas les > VLANs ...
CRI, VLAN, CHU... Ca fait un peu bande dessinée, tu ne trouves pas? ;-)
Pardon, c'était un peu ciblé pour Philippe :-) CRI= Centre de Ressources Informatiques CHU: Centre Hospitalier Universitaire VLAN= Virtual Local Area Network
-- Jean-Pierre
In article <4e9e64c9$0$30750$ba4acef3@reader.news.orange.fr>,
Le Moustique <moustique@groumpf.org> wrote:
Le 19/10/11 04:50, J.P a écrit :
> Ex.: notre CRI était parti sur un VLAN spécifique pour le CHU, sauf que,
> une fois tout en place, il s'est avéré que le CHU ne connaissait pas les
> VLANs ...
CRI, VLAN, CHU... Ca fait un peu bande dessinée, tu ne trouves pas? ;-)
Pardon, c'était un peu ciblé pour Philippe :-)
CRI= Centre de Ressources Informatiques
CHU: Centre Hospitalier Universitaire
VLAN= Virtual Local Area Network
In article <4e9e64c9$0$30750$, Le Moustique wrote:
Le 19/10/11 04:50, J.P a écrit : > Ex.: notre CRI était parti sur un VLAN spécifique pour le CHU, sauf que, > une fois tout en place, il s'est avéré que le CHU ne connaissait pas les > VLANs ...
CRI, VLAN, CHU... Ca fait un peu bande dessinée, tu ne trouves pas? ;-)
Pardon, c'était un peu ciblé pour Philippe :-) CRI= Centre de Ressources Informatiques CHU: Centre Hospitalier Universitaire VLAN= Virtual Local Area Network
-- Jean-Pierre
Le Moustique
Le 19/10/11 22:44, J.P a écrit :
Pardon, c'était un peu ciblé pour Philippe:-) CRI= Centre de Ressources Informatiques
Je connaissais, mais je n'ai pas pu résister. :-D
-- /) Le Moustique -:oo= ) CC BY-NC-ND Je nettoyais mon clavier, et le coup est parti tout seul.
Le 19/10/11 22:44, J.P a écrit :
Pardon, c'était un peu ciblé pour Philippe:-)
CRI= Centre de Ressources Informatiques
Je connaissais, mais je n'ai pas pu résister. :-D
--
/) Le Moustique
-:oo=
) CC BY-NC-ND
Je nettoyais mon clavier, et le coup est parti tout seul.