Le Prozac, c'est la béquille des déprimés qui feraient mieux de courir des marathons.
c'est débile puisque si tu as le moral pour courir un marathon, t'es pas déprimé.
GhostRaider
Le 04/09/2018 à 13:31, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 04/09/2018 11:37, GhostRaider a écrit :
Le Prozac, c'est la béquille des déprimés qui feraient mieux de courir des marathons.
c'est débile puisque si tu as le moral pour courir un marathon, t'es pas déprimé.
Ça ne vient pas tout seul. Il faut prendre en main le déprimé et le pousser à courir petit à petit. Après 30 à 45 minutes, il commence à ressentir l'action des endorphines et il court de plus en plus volontiers. Au bout de quelques semaines, il se came aux endorphines et la vie devient plus belle. J'ai un exemple. Un gars qui avait le moral dans les chaussettes, plus de boulot, femme partie, etc... Prozac. Son psy lui a dit de courir. Ça a marché. Plus de Prozac, il a retrouvé boulot et femme. Il court des marathons.
Le 04/09/2018 à 13:31, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 04/09/2018 11:37, GhostRaider a écrit :
Le Prozac, c'est la béquille des déprimés qui feraient mieux de courir
des marathons.
c'est débile puisque si tu as le moral pour courir un marathon, t'es pas
déprimé.
Ça ne vient pas tout seul.
Il faut prendre en main le déprimé et le pousser à courir petit à petit.
Après 30 à 45 minutes, il commence à ressentir l'action des endorphines
et il court de plus en plus volontiers.
Au bout de quelques semaines, il se came aux endorphines et la vie
devient plus belle.
J'ai un exemple. Un gars qui avait le moral dans les chaussettes, plus
de boulot, femme partie, etc...
Prozac.
Son psy lui a dit de courir. Ça a marché. Plus de Prozac, il a retrouvé
boulot et femme.
Il court des marathons.
Le 04/09/2018 à 13:31, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 04/09/2018 11:37, GhostRaider a écrit :
Le Prozac, c'est la béquille des déprimés qui feraient mieux de courir des marathons.
c'est débile puisque si tu as le moral pour courir un marathon, t'es pas déprimé.
Ça ne vient pas tout seul. Il faut prendre en main le déprimé et le pousser à courir petit à petit. Après 30 à 45 minutes, il commence à ressentir l'action des endorphines et il court de plus en plus volontiers. Au bout de quelques semaines, il se came aux endorphines et la vie devient plus belle. J'ai un exemple. Un gars qui avait le moral dans les chaussettes, plus de boulot, femme partie, etc... Prozac. Son psy lui a dit de courir. Ça a marché. Plus de Prozac, il a retrouvé boulot et femme. Il court des marathons.
Alf92
GhostRaider :
Le 04/09/2018 à 13:31, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 04/09/2018 11:37, GhostRaider a écrit :
Le Prozac, c'est la béquille des déprimés qui feraient mieux de courir des marathons.
c'est débile puisque si tu as le moral pour courir un marathon, t'es pas déprimé.
Ça ne vient pas tout seul. Il faut prendre en main le déprimé et le pousser à courir petit à petit. Après 30 à 45 minutes, il commence à ressentir l'action des endorphines et il court de plus en plus volontiers. Au bout de quelques semaines, il se came aux endorphines et la vie devient plus belle. J'ai un exemple. Un gars qui avait le moral dans les chaussettes, plus de boulot, femme partie, etc... Prozac. Son psy lui a dit de courir. Ça a marché. Plus de Prozac, il a retrouvé boulot et femme. Il court des marathons.
à te lire tout est si simple
GhostRaider :
Le 04/09/2018 à 13:31, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 04/09/2018 11:37, GhostRaider a écrit :
Le Prozac, c'est la béquille des déprimés qui feraient mieux de courir
des marathons.
c'est débile puisque si tu as le moral pour courir un marathon, t'es pas
déprimé.
Ça ne vient pas tout seul.
Il faut prendre en main le déprimé et le pousser à courir petit à petit.
Après 30 à 45 minutes, il commence à ressentir l'action des endorphines
et il court de plus en plus volontiers.
Au bout de quelques semaines, il se came aux endorphines et la vie
devient plus belle.
J'ai un exemple. Un gars qui avait le moral dans les chaussettes, plus
de boulot, femme partie, etc...
Prozac.
Son psy lui a dit de courir. Ça a marché. Plus de Prozac, il a retrouvé
boulot et femme.
Il court des marathons.
Le 04/09/2018 à 13:31, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 04/09/2018 11:37, GhostRaider a écrit :
Le Prozac, c'est la béquille des déprimés qui feraient mieux de courir des marathons.
c'est débile puisque si tu as le moral pour courir un marathon, t'es pas déprimé.
Ça ne vient pas tout seul. Il faut prendre en main le déprimé et le pousser à courir petit à petit. Après 30 à 45 minutes, il commence à ressentir l'action des endorphines et il court de plus en plus volontiers. Au bout de quelques semaines, il se came aux endorphines et la vie devient plus belle. J'ai un exemple. Un gars qui avait le moral dans les chaussettes, plus de boulot, femme partie, etc... Prozac. Son psy lui a dit de courir. Ça a marché. Plus de Prozac, il a retrouvé boulot et femme. Il court des marathons.
à te lire tout est si simple
benoit
GhostRaider wrote:
Comment veux-tu que des mecs qui ont choisi de telles responsabilités n'aient pas un salaire proche de ceux qui dans le public gèrent une telle équipe ? Comment veux-tu que des gros bras du privé viennent, sauf s'ils sont avocats, médecins, enseignants... bref profession libérale, ou fonctionnaires.
Gérer une ville, c'est un travail de professionnel, qui nécessite des professionnels, payés comme des professionnels. Dans les petites villes, les problèmes ne sont pas moindres que dans les grandes.
Justement, ils ne sont pas payé comme des professionels. -- Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible Benoit chez lui à leraillez.com
GhostRaider <ghost-raider@compuserve.com> wrote:
> Comment veux-tu que des mecs qui ont choisi de telles responsabilités
> n'aient pas un salaire proche de ceux qui dans le public gèrent une
> telle équipe ? Comment veux-tu que des gros bras du privé viennent, sauf
> s'ils sont avocats, médecins, enseignants... bref profession libérale,
> ou fonctionnaires.
Gérer une ville, c'est un travail de professionnel, qui nécessite des
professionnels, payés comme des professionnels.
Dans les petites villes, les problèmes ne sont pas moindres que dans les
grandes.
Justement, ils ne sont pas payé comme des professionels.
--
Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible
Benoit chez lui à leraillez.com
Comment veux-tu que des mecs qui ont choisi de telles responsabilités n'aient pas un salaire proche de ceux qui dans le public gèrent une telle équipe ? Comment veux-tu que des gros bras du privé viennent, sauf s'ils sont avocats, médecins, enseignants... bref profession libérale, ou fonctionnaires.
Gérer une ville, c'est un travail de professionnel, qui nécessite des professionnels, payés comme des professionnels. Dans les petites villes, les problèmes ne sont pas moindres que dans les grandes.
Justement, ils ne sont pas payé comme des professionels. -- Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible Benoit chez lui à leraillez.com
benoit
GhostRaider wrote:
Le 04/09/2018 à 01:43, Benoit a écrit :
Alf92 wrote:
GhostRaider :
Balkany
Oui, c'était un excellent maire, et un truandeur de première.
pas d'accord. dans la fonction publique on se doit d'être irréprochable si on veut mériter le qualificatif d'excellent.
Si on veut éviter les pbs, il suffit de rémunérer les maires correctement. Et là, d'un seul coup, tu verras débouler des gens du privé. Tiens, une piste : <https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2016/12/30/quels-pays-euro peens-remunerent-le-mieux-leurs-elus_5055895_4355770.html> ou <https://www.nouvelobs.com/rue89/rue89-monde/20130416.RUE5605/le-depute- allemand-modeste-et-plus-vertueux-une-legende.html> Directeur commercial à 120 000 quand la boîte est grosse <https://www.glassdoor.fr/Salaires/paris-directeur-commercial-salaire-SR CH_IL.0,5_IM1080_KO6,26.htm> DG à 100 000 DC à 100 000 Comment veux-tu que des mecs qui ont choisi de telles responsabilités n'aient pas un salaire proche de ceux qui dans le public gèrent une telle équipe ? Comment veux-tu que des gros bras du privé viennent, sauf s'ils sont avocats, médecins, enseignants... bref profession libérale, ou fonctionnaires.
Gérer une ville, c'est un travail de professionnel, qui nécessite des professionnels, payés comme des professionnels. Dans les petites villes, les problèmes ne sont pas moindres que dans les grandes.
Bin voilà et ils ont quel salaire les maires ? -- Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible Benoit chez lui à leraillez.com
GhostRaider <ghost-raider@compuserve.com> wrote:
Le 04/09/2018 à 01:43, Benoit a écrit :
> Alf92 <alf921@gmail.com> wrote:
>
>> GhostRaider :
>>>> Balkany
>>>>
>>> Oui, c'était un excellent maire, et un truandeur de première.
>>
>> pas d'accord.
>> dans la fonction publique on se doit d'être irréprochable si on veut
>> mériter le qualificatif d'excellent.
>
> Si on veut éviter les pbs, il suffit de rémunérer les maires
> correctement. Et là, d'un seul coup, tu verras débouler des gens du
> privé. Tiens, une piste :
> <https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2016/12/30/quels-pays-euro
> peens-remunerent-le-mieux-leurs-elus_5055895_4355770.html>
>
> ou
> <https://www.nouvelobs.com/rue89/rue89-monde/20130416.RUE5605/le-depute-
> allemand-modeste-et-plus-vertueux-une-legende.html>
>
> Directeur commercial à 120 000 quand la boîte est grosse
> <https://www.glassdoor.fr/Salaires/paris-directeur-commercial-salaire-SR
> CH_IL.0,5_IM1080_KO6,26.htm>
>
> DG à 100 000
> DC à 100 000
>
> Comment veux-tu que des mecs qui ont choisi de telles responsabilités
> n'aient pas un salaire proche de ceux qui dans le public gèrent une
> telle équipe ? Comment veux-tu que des gros bras du privé viennent, sauf
> s'ils sont avocats, médecins, enseignants... bref profession libérale,
> ou fonctionnaires.
Gérer une ville, c'est un travail de professionnel, qui nécessite des
professionnels, payés comme des professionnels.
Dans les petites villes, les problèmes ne sont pas moindres que dans les
grandes.
Bin voilà et ils ont quel salaire les maires ?
--
Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible
Benoit chez lui à leraillez.com
Oui, c'était un excellent maire, et un truandeur de première.
pas d'accord. dans la fonction publique on se doit d'être irréprochable si on veut mériter le qualificatif d'excellent.
Si on veut éviter les pbs, il suffit de rémunérer les maires correctement. Et là, d'un seul coup, tu verras débouler des gens du privé. Tiens, une piste : <https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2016/12/30/quels-pays-euro peens-remunerent-le-mieux-leurs-elus_5055895_4355770.html> ou <https://www.nouvelobs.com/rue89/rue89-monde/20130416.RUE5605/le-depute- allemand-modeste-et-plus-vertueux-une-legende.html> Directeur commercial à 120 000 quand la boîte est grosse <https://www.glassdoor.fr/Salaires/paris-directeur-commercial-salaire-SR CH_IL.0,5_IM1080_KO6,26.htm> DG à 100 000 DC à 100 000 Comment veux-tu que des mecs qui ont choisi de telles responsabilités n'aient pas un salaire proche de ceux qui dans le public gèrent une telle équipe ? Comment veux-tu que des gros bras du privé viennent, sauf s'ils sont avocats, médecins, enseignants... bref profession libérale, ou fonctionnaires.
Gérer une ville, c'est un travail de professionnel, qui nécessite des professionnels, payés comme des professionnels. Dans les petites villes, les problèmes ne sont pas moindres que dans les grandes.
Bin voilà et ils ont quel salaire les maires ? -- Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible Benoit chez lui à leraillez.com
GhostRaider
Le 04/09/2018 à 14:18, Alf92 a écrit :
GhostRaider :
Le 04/09/2018 à 13:31, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 04/09/2018 11:37, GhostRaider a écrit :
Le Prozac, c'est la béquille des déprimés qui feraient mieux de courir des marathons.
c'est débile puisque si tu as le moral pour courir un marathon, t'es pas déprimé.
Ça ne vient pas tout seul. Il faut prendre en main le déprimé et le pousser à courir petit à petit. Après 30 à 45 minutes, il commence à ressentir l'action des endorphines et il court de plus en plus volontiers. Au bout de quelques semaines, il se came aux endorphines et la vie devient plus belle. J'ai un exemple. Un gars qui avait le moral dans les chaussettes, plus de boulot, femme partie, etc... Prozac. Son psy lui a dit de courir. Ça a marché. Plus de Prozac, il a retrouvé boulot et femme. Il court des marathons.
à te lire tout est si simple
Les choses sont souvent plus simples quand on ne veut pas les compliquer. Chaque cas est unique, mais la dépression est une maladie, une pathologie, traitable par des anti-dépresseurs dont les mécanismes physico-chimiques sont connus. Les endorphines sont secrétées dans des conditions connues. Déjà, appliquons les traitements dont les processus sont maîtrisés. On voit ensuite, s'il y a encore quelque chose à voir. Le plus dur, c'est de botter le derrière du déprimé et d'imposer sa propre volonté à la sienne. Forcer quelqu'un à sortir de son lit pour courir, ça demande du dévouement. Bien peu l'ont. Mais le sport, ça marche toujours. Et une photo pour rester en charrette : https://www.cjoint.com/doc/18_09/HIentvcBDxY_P3166756-001.JPG
Le 04/09/2018 à 14:18, Alf92 a écrit :
GhostRaider :
Le 04/09/2018 à 13:31, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 04/09/2018 11:37, GhostRaider a écrit :
Le Prozac, c'est la béquille des déprimés qui feraient mieux de courir
des marathons.
c'est débile puisque si tu as le moral pour courir un marathon, t'es pas
déprimé.
Ça ne vient pas tout seul.
Il faut prendre en main le déprimé et le pousser à courir petit à petit.
Après 30 à 45 minutes, il commence à ressentir l'action des endorphines
et il court de plus en plus volontiers.
Au bout de quelques semaines, il se came aux endorphines et la vie
devient plus belle.
J'ai un exemple. Un gars qui avait le moral dans les chaussettes, plus
de boulot, femme partie, etc...
Prozac.
Son psy lui a dit de courir. Ça a marché. Plus de Prozac, il a retrouvé
boulot et femme.
Il court des marathons.
à te lire tout est si simple
Les choses sont souvent plus simples quand on ne veut pas les compliquer.
Chaque cas est unique, mais la dépression est une maladie, une
pathologie, traitable par des anti-dépresseurs dont les mécanismes
physico-chimiques sont connus.
Les endorphines sont secrétées dans des conditions connues.
Déjà, appliquons les traitements dont les processus sont maîtrisés.
On voit ensuite, s'il y a encore quelque chose à voir.
Le plus dur, c'est de botter le derrière du déprimé et d'imposer sa
propre volonté à la sienne. Forcer quelqu'un à sortir de son lit pour
courir, ça demande du dévouement.
Bien peu l'ont.
Mais le sport, ça marche toujours.
Et une photo pour rester en charrette :
https://www.cjoint.com/doc/18_09/HIentvcBDxY_P3166756-001.JPG
Le 04/09/2018 à 13:31, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 04/09/2018 11:37, GhostRaider a écrit :
Le Prozac, c'est la béquille des déprimés qui feraient mieux de courir des marathons.
c'est débile puisque si tu as le moral pour courir un marathon, t'es pas déprimé.
Ça ne vient pas tout seul. Il faut prendre en main le déprimé et le pousser à courir petit à petit. Après 30 à 45 minutes, il commence à ressentir l'action des endorphines et il court de plus en plus volontiers. Au bout de quelques semaines, il se came aux endorphines et la vie devient plus belle. J'ai un exemple. Un gars qui avait le moral dans les chaussettes, plus de boulot, femme partie, etc... Prozac. Son psy lui a dit de courir. Ça a marché. Plus de Prozac, il a retrouvé boulot et femme. Il court des marathons.
à te lire tout est si simple
Les choses sont souvent plus simples quand on ne veut pas les compliquer. Chaque cas est unique, mais la dépression est une maladie, une pathologie, traitable par des anti-dépresseurs dont les mécanismes physico-chimiques sont connus. Les endorphines sont secrétées dans des conditions connues. Déjà, appliquons les traitements dont les processus sont maîtrisés. On voit ensuite, s'il y a encore quelque chose à voir. Le plus dur, c'est de botter le derrière du déprimé et d'imposer sa propre volonté à la sienne. Forcer quelqu'un à sortir de son lit pour courir, ça demande du dévouement. Bien peu l'ont. Mais le sport, ça marche toujours. Et une photo pour rester en charrette : https://www.cjoint.com/doc/18_09/HIentvcBDxY_P3166756-001.JPG
Jacques L'helgoualc'h
Le 04-09-2018, jdd a écrit :
même population que Paris mais sur une surface 9 fois plus grande. le bonheur !
comme en France, la taxe d'habitation étant maintenant quasi proportionnelle aux revenus
la question que je voulais évoquer n'est pas celle-là, mais une évidence: les charges, en particulier transports (y compris les routes, le nettoyage, relever le courrier ou les poubelles) sont proportionnelles à la surface occupée, du coup une ville étendue comme Toulouse (et parait-il Berlin) coûte cher à ses habitants
Bah non : avec le même plan, une surface neuf fois plus étendue a un réseau seulement trois fois plus long. Par ailleurs, la disposition compte aussi : avec de très longs jardins type lotissement ancien, le nombre de maisons par mètre de trottoir peut rester le même dans une rue (sauf aux angles)...
Le 04-09-2018, jdd a écrit :
même population que Paris mais sur une surface 9 fois plus grande.
le bonheur !
comme en France, la taxe d'habitation étant maintenant quasi
proportionnelle aux revenus
la question que je voulais évoquer n'est pas celle-là, mais une
évidence: les charges, en particulier transports (y compris les routes,
le nettoyage, relever le courrier ou les poubelles) sont
proportionnelles à la surface occupée, du coup une ville étendue comme
Toulouse (et parait-il Berlin) coûte cher à ses habitants
Bah non : avec le même plan, une surface neuf fois plus étendue a un
réseau seulement trois fois plus long. Par ailleurs, la disposition
compte aussi : avec de très longs jardins type lotissement ancien, le
nombre de maisons par mètre de trottoir peut rester le même dans une
rue (sauf aux angles)...
même population que Paris mais sur une surface 9 fois plus grande. le bonheur !
comme en France, la taxe d'habitation étant maintenant quasi proportionnelle aux revenus
la question que je voulais évoquer n'est pas celle-là, mais une évidence: les charges, en particulier transports (y compris les routes, le nettoyage, relever le courrier ou les poubelles) sont proportionnelles à la surface occupée, du coup une ville étendue comme Toulouse (et parait-il Berlin) coûte cher à ses habitants
Bah non : avec le même plan, une surface neuf fois plus étendue a un réseau seulement trois fois plus long. Par ailleurs, la disposition compte aussi : avec de très longs jardins type lotissement ancien, le nombre de maisons par mètre de trottoir peut rester le même dans une rue (sauf aux angles)...
Alf92
GhostRaider :
Le 04/09/2018 à 14:18, Alf92 a écrit :
GhostRaider :
Le 04/09/2018 à 13:31, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 04/09/2018 11:37, GhostRaider a écrit :
Le Prozac, c'est la béquille des déprimés qui feraient mieux de courir des marathons.
c'est débile puisque si tu as le moral pour courir un marathon, t'es pas déprimé.
Ça ne vient pas tout seul. Il faut prendre en main le déprimé et le pousser à courir petit à petit. Après 30 à 45 minutes, il commence à ressentir l'action des endorphines et il court de plus en plus volontiers. Au bout de quelques semaines, il se came aux endorphines et la vie devient plus belle. J'ai un exemple. Un gars qui avait le moral dans les chaussettes, plus de boulot, femme partie, etc... Prozac. Son psy lui a dit de courir. Ça a marché. Plus de Prozac, il a retrouvé boulot et femme. Il court des marathons.
à te lire tout est si simple
Les choses sont souvent plus simples quand on ne veut pas les compliquer. Chaque cas est unique, mais la dépression est une maladie, une pathologie, traitable par des anti-dépresseurs dont les mécanismes physico-chimiques sont connus. Les endorphines sont secrétées dans des conditions connues. Déjà, appliquons les traitements dont les processus sont maîtrisés. On voit ensuite, s'il y a encore quelque chose à voir. Le plus dur, c'est de botter le derrière du déprimé et d'imposer sa propre volonté à la sienne. Forcer quelqu'un à sortir de son lit pour courir, ça demande du dévouement. Bien peu l'ont. Mais le sport, ça marche toujours.
mieux vaut que je m'abstienne de répondre
GhostRaider :
Le 04/09/2018 à 14:18, Alf92 a écrit :
GhostRaider :
Le 04/09/2018 à 13:31, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 04/09/2018 11:37, GhostRaider a écrit :
Le Prozac, c'est la béquille des déprimés qui feraient mieux de courir
des marathons.
c'est débile puisque si tu as le moral pour courir un marathon, t'es pas
déprimé.
Ça ne vient pas tout seul.
Il faut prendre en main le déprimé et le pousser à courir petit à petit.
Après 30 à 45 minutes, il commence à ressentir l'action des endorphines
et il court de plus en plus volontiers.
Au bout de quelques semaines, il se came aux endorphines et la vie
devient plus belle.
J'ai un exemple. Un gars qui avait le moral dans les chaussettes, plus
de boulot, femme partie, etc...
Prozac.
Son psy lui a dit de courir. Ça a marché. Plus de Prozac, il a retrouvé
boulot et femme.
Il court des marathons.
à te lire tout est si simple
Les choses sont souvent plus simples quand on ne veut pas les compliquer.
Chaque cas est unique, mais la dépression est une maladie, une
pathologie, traitable par des anti-dépresseurs dont les mécanismes
physico-chimiques sont connus.
Les endorphines sont secrétées dans des conditions connues.
Déjà, appliquons les traitements dont les processus sont maîtrisés.
On voit ensuite, s'il y a encore quelque chose à voir.
Le plus dur, c'est de botter le derrière du déprimé et d'imposer sa
propre volonté à la sienne. Forcer quelqu'un à sortir de son lit pour
courir, ça demande du dévouement.
Bien peu l'ont.
Mais le sport, ça marche toujours.
Le 04/09/2018 à 13:31, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 04/09/2018 11:37, GhostRaider a écrit :
Le Prozac, c'est la béquille des déprimés qui feraient mieux de courir des marathons.
c'est débile puisque si tu as le moral pour courir un marathon, t'es pas déprimé.
Ça ne vient pas tout seul. Il faut prendre en main le déprimé et le pousser à courir petit à petit. Après 30 à 45 minutes, il commence à ressentir l'action des endorphines et il court de plus en plus volontiers. Au bout de quelques semaines, il se came aux endorphines et la vie devient plus belle. J'ai un exemple. Un gars qui avait le moral dans les chaussettes, plus de boulot, femme partie, etc... Prozac. Son psy lui a dit de courir. Ça a marché. Plus de Prozac, il a retrouvé boulot et femme. Il court des marathons.
à te lire tout est si simple
Les choses sont souvent plus simples quand on ne veut pas les compliquer. Chaque cas est unique, mais la dépression est une maladie, une pathologie, traitable par des anti-dépresseurs dont les mécanismes physico-chimiques sont connus. Les endorphines sont secrétées dans des conditions connues. Déjà, appliquons les traitements dont les processus sont maîtrisés. On voit ensuite, s'il y a encore quelque chose à voir. Le plus dur, c'est de botter le derrière du déprimé et d'imposer sa propre volonté à la sienne. Forcer quelqu'un à sortir de son lit pour courir, ça demande du dévouement. Bien peu l'ont. Mais le sport, ça marche toujours.
mieux vaut que je m'abstienne de répondre
GhostRaider
Le 04/09/2018 à 16:03, Alf92 a écrit :
GhostRaider :
Le 04/09/2018 à 14:18, Alf92 a écrit :
GhostRaider :
Le 04/09/2018 à 13:31, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 04/09/2018 11:37, GhostRaider a écrit :
Le Prozac, c'est la béquille des déprimés qui feraient mieux de courir des marathons.
c'est débile puisque si tu as le moral pour courir un marathon, t'es pas déprimé.
Ça ne vient pas tout seul. Il faut prendre en main le déprimé et le pousser à courir petit à petit. Après 30 à 45 minutes, il commence à ressentir l'action des endorphines et il court de plus en plus volontiers. Au bout de quelques semaines, il se came aux endorphines et la vie devient plus belle. J'ai un exemple. Un gars qui avait le moral dans les chaussettes, plus de boulot, femme partie, etc... Prozac. Son psy lui a dit de courir. Ça a marché. Plus de Prozac, il a retrouvé boulot et femme. Il court des marathons.
à te lire tout est si simple
Les choses sont souvent plus simples quand on ne veut pas les compliquer. Chaque cas est unique, mais la dépression est une maladie, une pathologie, traitable par des anti-dépresseurs dont les mécanismes physico-chimiques sont connus. Les endorphines sont secrétées dans des conditions connues. Déjà, appliquons les traitements dont les processus sont maîtrisés. On voit ensuite, s'il y a encore quelque chose à voir. Le plus dur, c'est de botter le derrière du déprimé et d'imposer sa propre volonté à la sienne. Forcer quelqu'un à sortir de son lit pour courir, ça demande du dévouement. Bien peu l'ont. Mais le sport, ça marche toujours.
mieux vaut que je m'abstienne de répondre
Tu as oublié la photo.
Le 04/09/2018 à 16:03, Alf92 a écrit :
GhostRaider :
Le 04/09/2018 à 14:18, Alf92 a écrit :
GhostRaider :
Le 04/09/2018 à 13:31, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 04/09/2018 11:37, GhostRaider a écrit :
Le Prozac, c'est la béquille des déprimés qui feraient mieux de courir
des marathons.
c'est débile puisque si tu as le moral pour courir un marathon, t'es pas
déprimé.
Ça ne vient pas tout seul.
Il faut prendre en main le déprimé et le pousser à courir petit à petit.
Après 30 à 45 minutes, il commence à ressentir l'action des endorphines
et il court de plus en plus volontiers.
Au bout de quelques semaines, il se came aux endorphines et la vie
devient plus belle.
J'ai un exemple. Un gars qui avait le moral dans les chaussettes, plus
de boulot, femme partie, etc...
Prozac.
Son psy lui a dit de courir. Ça a marché. Plus de Prozac, il a retrouvé
boulot et femme.
Il court des marathons.
à te lire tout est si simple
Les choses sont souvent plus simples quand on ne veut pas les compliquer.
Chaque cas est unique, mais la dépression est une maladie, une
pathologie, traitable par des anti-dépresseurs dont les mécanismes
physico-chimiques sont connus.
Les endorphines sont secrétées dans des conditions connues.
Déjà, appliquons les traitements dont les processus sont maîtrisés.
On voit ensuite, s'il y a encore quelque chose à voir.
Le plus dur, c'est de botter le derrière du déprimé et d'imposer sa
propre volonté à la sienne. Forcer quelqu'un à sortir de son lit pour
courir, ça demande du dévouement.
Bien peu l'ont.
Mais le sport, ça marche toujours.
Le 04/09/2018 à 13:31, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 04/09/2018 11:37, GhostRaider a écrit :
Le Prozac, c'est la béquille des déprimés qui feraient mieux de courir des marathons.
c'est débile puisque si tu as le moral pour courir un marathon, t'es pas déprimé.
Ça ne vient pas tout seul. Il faut prendre en main le déprimé et le pousser à courir petit à petit. Après 30 à 45 minutes, il commence à ressentir l'action des endorphines et il court de plus en plus volontiers. Au bout de quelques semaines, il se came aux endorphines et la vie devient plus belle. J'ai un exemple. Un gars qui avait le moral dans les chaussettes, plus de boulot, femme partie, etc... Prozac. Son psy lui a dit de courir. Ça a marché. Plus de Prozac, il a retrouvé boulot et femme. Il court des marathons.
à te lire tout est si simple
Les choses sont souvent plus simples quand on ne veut pas les compliquer. Chaque cas est unique, mais la dépression est une maladie, une pathologie, traitable par des anti-dépresseurs dont les mécanismes physico-chimiques sont connus. Les endorphines sont secrétées dans des conditions connues. Déjà, appliquons les traitements dont les processus sont maîtrisés. On voit ensuite, s'il y a encore quelque chose à voir. Le plus dur, c'est de botter le derrière du déprimé et d'imposer sa propre volonté à la sienne. Forcer quelqu'un à sortir de son lit pour courir, ça demande du dévouement. Bien peu l'ont. Mais le sport, ça marche toujours.
mieux vaut que je m'abstienne de répondre
Tu as oublié la photo.
GhostRaider
Le 04/09/2018 à 15:28, Jacques L'helgoualc'h a écrit :
Le 04-09-2018, jdd a écrit :
même population que Paris mais sur une surface 9 fois plus grande. le bonheur !
comme en France, la taxe d'habitation étant maintenant quasi proportionnelle aux revenus
la question que je voulais évoquer n'est pas celle-là, mais une évidence: les charges, en particulier transports (y compris les routes, le nettoyage, relever le courrier ou les poubelles) sont proportionnelles à la surface occupée, du coup une ville étendue comme Toulouse (et parait-il Berlin) coûte cher à ses habitants
Bah non : avec le même plan, une surface neuf fois plus étendue a un réseau seulement trois fois plus long. Par ailleurs, la disposition compte aussi : avec de très longs jardins type lotissement ancien, le nombre de maisons par mètre de trottoir peut rester le même dans une rue (sauf aux angles)...
Ce qui suppose que toutes les dimensions soient effectivement dans ce rapport de trois. Que les jardins soient donc neuf fois plus grands par exemple. Est-ce bien raisonnable ?
Le 04/09/2018 à 15:28, Jacques L'helgoualc'h a écrit :
Le 04-09-2018, jdd a écrit :
même population que Paris mais sur une surface 9 fois plus grande.
le bonheur !
comme en France, la taxe d'habitation étant maintenant quasi
proportionnelle aux revenus
la question que je voulais évoquer n'est pas celle-là, mais une
évidence: les charges, en particulier transports (y compris les routes,
le nettoyage, relever le courrier ou les poubelles) sont
proportionnelles à la surface occupée, du coup une ville étendue comme
Toulouse (et parait-il Berlin) coûte cher à ses habitants
Bah non : avec le même plan, une surface neuf fois plus étendue a un
réseau seulement trois fois plus long. Par ailleurs, la disposition
compte aussi : avec de très longs jardins type lotissement ancien, le
nombre de maisons par mètre de trottoir peut rester le même dans une
rue (sauf aux angles)...
Ce qui suppose que toutes les dimensions soient effectivement dans ce
rapport de trois.
Que les jardins soient donc neuf fois plus grands par exemple.
Est-ce bien raisonnable ?
Le 04/09/2018 à 15:28, Jacques L'helgoualc'h a écrit :
Le 04-09-2018, jdd a écrit :
même population que Paris mais sur une surface 9 fois plus grande. le bonheur !
comme en France, la taxe d'habitation étant maintenant quasi proportionnelle aux revenus
la question que je voulais évoquer n'est pas celle-là, mais une évidence: les charges, en particulier transports (y compris les routes, le nettoyage, relever le courrier ou les poubelles) sont proportionnelles à la surface occupée, du coup une ville étendue comme Toulouse (et parait-il Berlin) coûte cher à ses habitants
Bah non : avec le même plan, une surface neuf fois plus étendue a un réseau seulement trois fois plus long. Par ailleurs, la disposition compte aussi : avec de très longs jardins type lotissement ancien, le nombre de maisons par mètre de trottoir peut rester le même dans une rue (sauf aux angles)...
Ce qui suppose que toutes les dimensions soient effectivement dans ce rapport de trois. Que les jardins soient donc neuf fois plus grands par exemple. Est-ce bien raisonnable ?