Je voyais une grande satisfaction un taureau qui franchissant tous les
obstacles a pénétré dans les gradins, le public en a eu pour son argent,
parfait, je n'avais jamais vu ça, j'aime quand le cheval désarçonne son
cavalier et que le lion bouffe le dresseur, je sais, c'est HS, mais bon, ça
me tient à coeur.
C'est la dure loi de la nature qui veut que seuls les plus forts aient le droit de transmettre leurs gènes, condition sine qua none pour que l'évolution fonctionne.
Pas les plus forts, les plus aptes. Et les plus aptes à quoi? A retransmettre leur gènes... C'est Dawkins qui dit que nous ne sommes que des machines utilisées par les gènes pour se reproduire?
Tu oublies une bonne part de l'idée de Darwin, qui est la prise en compte de la pression du milieu ; l'aptitude à avoir beaucoup de petits mais aussi celle a survivre avec les ressources disponibles, de coloniser de nouveaux milieux etc.
Le darwinisme pur et dur à d'ailleurs depuis subi de nombreuses retouches depuis. Une vraie nouveauté c'est que l'évolution adaptative se produit bien plus rapidement que l'on croyait. Par exemple les tibétains ont plus de globules rouges dans le sang alors qu'il vivent dans les hautes altitudes où l'oxygène est raréfié, et cette adaptation s'est faite en un temps record, quelques millénaires au plus.
Noëlle Adam
Le 25/08/10 16:34, Ofnuts a écrit :
On 25/08/2010 11:00, Questsch wrote:
C'est la dure loi de la nature qui veut que seuls les plus forts aient
le droit de transmettre leurs gènes, condition sine qua none pour que
l'évolution fonctionne.
Pas les plus forts, les plus aptes. Et les plus aptes à quoi? A
retransmettre leur gènes... C'est Dawkins qui dit que nous ne sommes que
des machines utilisées par les gènes pour se reproduire?
Tu oublies une bonne part de l'idée de Darwin, qui est la prise en
compte de la pression du milieu ; l'aptitude à avoir beaucoup de petits
mais aussi celle a survivre avec les ressources disponibles, de
coloniser de nouveaux milieux etc.
Le darwinisme pur et dur à d'ailleurs depuis subi de nombreuses
retouches depuis.
Une vraie nouveauté c'est que l'évolution adaptative se produit bien
plus rapidement que l'on croyait. Par exemple les tibétains ont plus de
globules rouges dans le sang alors qu'il vivent dans les hautes
altitudes où l'oxygène est raréfié, et cette adaptation s'est faite en
un temps record, quelques millénaires au plus.
C'est la dure loi de la nature qui veut que seuls les plus forts aient le droit de transmettre leurs gènes, condition sine qua none pour que l'évolution fonctionne.
Pas les plus forts, les plus aptes. Et les plus aptes à quoi? A retransmettre leur gènes... C'est Dawkins qui dit que nous ne sommes que des machines utilisées par les gènes pour se reproduire?
Tu oublies une bonne part de l'idée de Darwin, qui est la prise en compte de la pression du milieu ; l'aptitude à avoir beaucoup de petits mais aussi celle a survivre avec les ressources disponibles, de coloniser de nouveaux milieux etc.
Le darwinisme pur et dur à d'ailleurs depuis subi de nombreuses retouches depuis. Une vraie nouveauté c'est que l'évolution adaptative se produit bien plus rapidement que l'on croyait. Par exemple les tibétains ont plus de globules rouges dans le sang alors qu'il vivent dans les hautes altitudes où l'oxygène est raréfié, et cette adaptation s'est faite en un temps record, quelques millénaires au plus.
Noëlle Adam
Dominique
Le 25/08/2010 08:22, Hic a écrit :
Dominique a formulé la demande :
Si le sentiment de souffrance de l'autre n'existe pas alors il n'y a pas de cruauté.
ça n'as rien à voir , c'est de la Psychiatrie
Qu'est-ce qui relève de la psychiatrie ? Je comprends mal.
Bonne journée,
-- Dominique Courriel : dominique point sextant ate orange en France Esto quod es
Le 25/08/2010 08:22, Hic a écrit :
Dominique a formulé la demande :
Si le sentiment de souffrance de l'autre n'existe pas alors il n'y a
pas de cruauté.
ça n'as rien à voir , c'est de la Psychiatrie
Qu'est-ce qui relève de la psychiatrie ? Je comprends mal.
Bonne journée,
--
Dominique
Courriel : dominique point sextant ate orange en France
Esto quod es
Si le sentiment de souffrance de l'autre n'existe pas alors il n'y a pas de cruauté.
ça n'as rien à voir , c'est de la Psychiatrie
Qu'est-ce qui relève de la psychiatrie ? Je comprends mal.
Bonne journée,
-- Dominique Courriel : dominique point sextant ate orange en France Esto quod es
Dominique
Le 25/08/2010 08:35, Hosto-Rider a écrit :
Le 25/08/2010 06:27, Dominique a écrit :
Là, on est plus dans le champs de la Co...rie qu'autre chose. Pas de sentiment, pas de réflexion. Pas d'utilité dans le geste, contrairement au chat ou au requin qui agit nécessairement avec un but.
On est dans le champs de l'imitation, du conformisme social, du besoin de se faire valoir, d'exister aussi en tant qu'individu, de maîtriser le monde.
Ce qui est, il me semble, une forme de co...rie que de ne même pas essayer de mettre ses actes ou sa passivité en accord avec ses convictions. Encore faut-il avoir des convictions, certes...
L'électroencéphalogramme de la moule portugaise ne doit pas aider. À la décharge de cette pauvre bête, sauf une petite intoxication alimentaire occasionnelle, elle ne fait de mal à personne.
Je crois que, sur ce type de discussion que nous avons, nous sommes en déphasage avec des personnes qui s'amusent de la souffrance d'un autre être vivant (homme ou animal) et qui n'ont même pas la jugeote de se projeter quelques minutes après un geste. Je repense à ces crétins qui ont fichu le feu au bus à Marseille. Ils avaient tout prévu, tout calculé sauf l'essentiel : ce qui se passera après avoir mis le feu, a fortiori si une personne restait dans le bus...
Bonne journée,
-- Dominique Courriel : dominique point sextant ate orange en France Esto quod es
Le 25/08/2010 08:35, Hosto-Rider a écrit :
Le 25/08/2010 06:27, Dominique a écrit :
Là, on est plus dans le champs de la Co...rie qu'autre chose. Pas de
sentiment, pas de réflexion. Pas d'utilité dans le geste, contrairement
au chat ou au requin qui agit nécessairement avec un but.
On est dans le champs de l'imitation, du conformisme social, du besoin
de se faire valoir, d'exister aussi en tant qu'individu, de maîtriser le
monde.
Ce qui est, il me semble, une forme de co...rie que de ne même pas
essayer de mettre ses actes ou sa passivité en accord avec ses
convictions. Encore faut-il avoir des convictions, certes...
L'électroencéphalogramme de la moule portugaise ne doit pas aider. À la
décharge de cette pauvre bête, sauf une petite intoxication alimentaire
occasionnelle, elle ne fait de mal à personne.
Je crois que, sur ce type de discussion que nous avons, nous sommes en
déphasage avec des personnes qui s'amusent de la souffrance d'un autre
être vivant (homme ou animal) et qui n'ont même pas la jugeote de se
projeter quelques minutes après un geste. Je repense à ces crétins qui
ont fichu le feu au bus à Marseille. Ils avaient tout prévu, tout
calculé sauf l'essentiel : ce qui se passera après avoir mis le feu, a
fortiori si une personne restait dans le bus...
Bonne journée,
--
Dominique
Courriel : dominique point sextant ate orange en France
Esto quod es
Là, on est plus dans le champs de la Co...rie qu'autre chose. Pas de sentiment, pas de réflexion. Pas d'utilité dans le geste, contrairement au chat ou au requin qui agit nécessairement avec un but.
On est dans le champs de l'imitation, du conformisme social, du besoin de se faire valoir, d'exister aussi en tant qu'individu, de maîtriser le monde.
Ce qui est, il me semble, une forme de co...rie que de ne même pas essayer de mettre ses actes ou sa passivité en accord avec ses convictions. Encore faut-il avoir des convictions, certes...
L'électroencéphalogramme de la moule portugaise ne doit pas aider. À la décharge de cette pauvre bête, sauf une petite intoxication alimentaire occasionnelle, elle ne fait de mal à personne.
Je crois que, sur ce type de discussion que nous avons, nous sommes en déphasage avec des personnes qui s'amusent de la souffrance d'un autre être vivant (homme ou animal) et qui n'ont même pas la jugeote de se projeter quelques minutes après un geste. Je repense à ces crétins qui ont fichu le feu au bus à Marseille. Ils avaient tout prévu, tout calculé sauf l'essentiel : ce qui se passera après avoir mis le feu, a fortiori si une personne restait dans le bus...
Bonne journée,
-- Dominique Courriel : dominique point sextant ate orange en France Esto quod es
Dominique
Le 25/08/2010 11:00, Questsch a écrit :
Ce sont les sociopathes et les psychopathes. Leurs structures mentales ne leur permettent pas de faire preuve d'empathie, ce sentiment est purement absent, ils sont malades ...
Je ne sais pas s'il faut obligatoirement poser un diagnostique psychiatrique qui expliquerait qu'on assiste avec plaisir à la souffrance de l'autre, homme ou animal.
Je crois plutôt que nous avons un naturel morbide qui n'a pas besoin de grand-chose pour trouver à s'assouvir. Il suffit d'observer le comportement des automobilistes, dont je fais partie, lorsqu'ils passent à la hauteur d'un accident de la circulation. Qu'est-ce qui explique cette curiosité qui m'anime aussi, bien que je cherche à m'en défendre ?
Quelle est cette curiosité qui agglutine les spectateurs autours des pompiers dans la rue ? Quelle est cette fascination devant les images de mort, de souffrance, de pleurs dont la TV nous abreuve ad nauseam ?
À mon petit niveau, je règle la question en ne me laissant pas hypnotiser par les images de la TV et en changeant de trottoir lorsque les pompiers interviennent. Je ne vais pas au cirque ni au zoo ni aux courses de vachettes, ne parlons pas des corridas. Ça veut dire que « je me prive volontairement d'un spectacle ».
Ai-je dés lors une pathologique psychiatrique en me reconnaissant une curiosité malsaine vers la souffrance de l'autre ? Je crois plutôt être bêtement comme beaucoup d'entre nous. Le vrai progrès consiste justement à fuir cette tendance naturelle vers la morbidité. Nous ne sommes pas des animaux, il me semble. Et un poil de réflexion ne nuit pas. Malheureusement, ceux qui laissent la morbidité les envahir voire qui l'attise en assistant passivement à des spectacles de souffrances n'ont pas cette réflexion.
Bonne journée,
-- Dominique Courriel : dominique point sextant ate orange en France Esto quod es
Le 25/08/2010 11:00, Questsch a écrit :
Ce sont les sociopathes et les psychopathes. Leurs structures mentales
ne leur permettent pas de faire preuve d'empathie, ce sentiment est
purement absent, ils sont malades ...
Je ne sais pas s'il faut obligatoirement poser un diagnostique
psychiatrique qui expliquerait qu'on assiste avec plaisir à la
souffrance de l'autre, homme ou animal.
Je crois plutôt que nous avons un naturel morbide qui n'a pas besoin de
grand-chose pour trouver à s'assouvir. Il suffit d'observer le
comportement des automobilistes, dont je fais partie, lorsqu'ils passent
à la hauteur d'un accident de la circulation. Qu'est-ce qui explique
cette curiosité qui m'anime aussi, bien que je cherche à m'en défendre ?
Quelle est cette curiosité qui agglutine les spectateurs autours des
pompiers dans la rue ? Quelle est cette fascination devant les images de
mort, de souffrance, de pleurs dont la TV nous abreuve ad nauseam ?
À mon petit niveau, je règle la question en ne me laissant pas
hypnotiser par les images de la TV et en changeant de trottoir lorsque
les pompiers interviennent. Je ne vais pas au cirque ni au zoo ni aux
courses de vachettes, ne parlons pas des corridas. Ça veut dire que « je
me prive volontairement d'un spectacle ».
Ai-je dés lors une pathologique psychiatrique en me reconnaissant une
curiosité malsaine vers la souffrance de l'autre ? Je crois plutôt être
bêtement comme beaucoup d'entre nous. Le vrai progrès consiste justement
à fuir cette tendance naturelle vers la morbidité. Nous ne sommes pas
des animaux, il me semble. Et un poil de réflexion ne nuit pas.
Malheureusement, ceux qui laissent la morbidité les envahir voire qui
l'attise en assistant passivement à des spectacles de souffrances n'ont
pas cette réflexion.
Bonne journée,
--
Dominique
Courriel : dominique point sextant ate orange en France
Esto quod es
Ce sont les sociopathes et les psychopathes. Leurs structures mentales ne leur permettent pas de faire preuve d'empathie, ce sentiment est purement absent, ils sont malades ...
Je ne sais pas s'il faut obligatoirement poser un diagnostique psychiatrique qui expliquerait qu'on assiste avec plaisir à la souffrance de l'autre, homme ou animal.
Je crois plutôt que nous avons un naturel morbide qui n'a pas besoin de grand-chose pour trouver à s'assouvir. Il suffit d'observer le comportement des automobilistes, dont je fais partie, lorsqu'ils passent à la hauteur d'un accident de la circulation. Qu'est-ce qui explique cette curiosité qui m'anime aussi, bien que je cherche à m'en défendre ?
Quelle est cette curiosité qui agglutine les spectateurs autours des pompiers dans la rue ? Quelle est cette fascination devant les images de mort, de souffrance, de pleurs dont la TV nous abreuve ad nauseam ?
À mon petit niveau, je règle la question en ne me laissant pas hypnotiser par les images de la TV et en changeant de trottoir lorsque les pompiers interviennent. Je ne vais pas au cirque ni au zoo ni aux courses de vachettes, ne parlons pas des corridas. Ça veut dire que « je me prive volontairement d'un spectacle ».
Ai-je dés lors une pathologique psychiatrique en me reconnaissant une curiosité malsaine vers la souffrance de l'autre ? Je crois plutôt être bêtement comme beaucoup d'entre nous. Le vrai progrès consiste justement à fuir cette tendance naturelle vers la morbidité. Nous ne sommes pas des animaux, il me semble. Et un poil de réflexion ne nuit pas. Malheureusement, ceux qui laissent la morbidité les envahir voire qui l'attise en assistant passivement à des spectacles de souffrances n'ont pas cette réflexion.
Bonne journée,
-- Dominique Courriel : dominique point sextant ate orange en France Esto quod es
Dominique
Le 24/08/2010 10:41, Ghost-Rider a écrit :
Et les grands singes, comme l'homme, ne sont-ils pas capables de comportements qu'on croirait réservés à l'homme ?
Cette remarque est très intéressante. En effet, remontons au XVIIIe siècle. Voltaire était très en avance sur son temps avec ses idées humanistes décalées.
Pourtant, ils ne reconnaissait pas aux esclaves, aux « nègres », le vrai statut d'êtres humains. Il les situait en un point indéterminé entre l'homme blanc civilisé et la bête abrutie.
Aujourd'hui, les mentalités ont changé, et à part quelques imbéciles indécrottables, personne ne mettrait plus en doute le statut d'humain à un noir.
Qui sait si, un jour, les grands singes n'intégreront pas le statut d'êtres humains, en tant que cousins éloignés de l'homo sapiens sapiens que nous sommes. Ce à quoi, les tuer deviendra un crime alors que, aujourd'hui, il ne s'agit que de braconnage... un peu comme ce qui se passait avec les esclaves.
Quand on observe le comportement de ces grands primates, lorsqu'on prend la peine de regarder leurs yeux et ce qu'ils expriment, il me semble que l'humanité n'est vraiment pas très loin.
Bonne journée,
-- Dominique Courriel : dominique point sextant ate orange en France Esto quod es
Le 24/08/2010 10:41, Ghost-Rider a écrit :
Et les grands singes, comme l'homme, ne sont-ils pas capables de
comportements qu'on croirait réservés à l'homme ?
Cette remarque est très intéressante. En effet, remontons au XVIIIe
siècle. Voltaire était très en avance sur son temps avec ses idées
humanistes décalées.
Pourtant, ils ne reconnaissait pas aux esclaves, aux « nègres », le vrai
statut d'êtres humains. Il les situait en un point indéterminé entre
l'homme blanc civilisé et la bête abrutie.
Aujourd'hui, les mentalités ont changé, et à part quelques imbéciles
indécrottables, personne ne mettrait plus en doute le statut d'humain à
un noir.
Qui sait si, un jour, les grands singes n'intégreront pas le statut
d'êtres humains, en tant que cousins éloignés de l'homo sapiens sapiens
que nous sommes. Ce à quoi, les tuer deviendra un crime alors que,
aujourd'hui, il ne s'agit que de braconnage... un peu comme ce qui se
passait avec les esclaves.
Quand on observe le comportement de ces grands primates, lorsqu'on prend
la peine de regarder leurs yeux et ce qu'ils expriment, il me semble que
l'humanité n'est vraiment pas très loin.
Bonne journée,
--
Dominique
Courriel : dominique point sextant ate orange en France
Esto quod es
Et les grands singes, comme l'homme, ne sont-ils pas capables de comportements qu'on croirait réservés à l'homme ?
Cette remarque est très intéressante. En effet, remontons au XVIIIe siècle. Voltaire était très en avance sur son temps avec ses idées humanistes décalées.
Pourtant, ils ne reconnaissait pas aux esclaves, aux « nègres », le vrai statut d'êtres humains. Il les situait en un point indéterminé entre l'homme blanc civilisé et la bête abrutie.
Aujourd'hui, les mentalités ont changé, et à part quelques imbéciles indécrottables, personne ne mettrait plus en doute le statut d'humain à un noir.
Qui sait si, un jour, les grands singes n'intégreront pas le statut d'êtres humains, en tant que cousins éloignés de l'homo sapiens sapiens que nous sommes. Ce à quoi, les tuer deviendra un crime alors que, aujourd'hui, il ne s'agit que de braconnage... un peu comme ce qui se passait avec les esclaves.
Quand on observe le comportement de ces grands primates, lorsqu'on prend la peine de regarder leurs yeux et ce qu'ils expriment, il me semble que l'humanité n'est vraiment pas très loin.
Bonne journée,
-- Dominique Courriel : dominique point sextant ate orange en France Esto quod es
Dominique
Le 24/08/2010 06:45, Hic a écrit :
lE cannibalisme EST UN RITE QUE L'ON RETROUVE DE NOS JOURS dans la communion des chretiens qui consomment symboliquement le corp du christe
Cette remarque prend le rite au pied de la lettre sans y chercher la symbolique. Or, un rite expurgé de son message ésotérique est vidé de son sens.
Je précise, pour éviter tout malentendu, que 5 années de pensionnat chez les jésuites ont fait de moi un mécréant de la pire espèce :-)
Bonne journée,
-- Dominique Courriel : dominique point sextant ate orange en France Esto quod es
Le 24/08/2010 06:45, Hic a écrit :
lE cannibalisme EST UN RITE QUE L'ON RETROUVE DE NOS JOURS
dans la communion des chretiens qui consomment symboliquement le corp du
christe
Cette remarque prend le rite au pied de la lettre sans y chercher la
symbolique. Or, un rite expurgé de son message ésotérique est vidé de
son sens.
Je précise, pour éviter tout malentendu, que 5 années de pensionnat chez
les jésuites ont fait de moi un mécréant de la pire espèce :-)
Bonne journée,
--
Dominique
Courriel : dominique point sextant ate orange en France
Esto quod es
lE cannibalisme EST UN RITE QUE L'ON RETROUVE DE NOS JOURS dans la communion des chretiens qui consomment symboliquement le corp du christe
Cette remarque prend le rite au pied de la lettre sans y chercher la symbolique. Or, un rite expurgé de son message ésotérique est vidé de son sens.
Je précise, pour éviter tout malentendu, que 5 années de pensionnat chez les jésuites ont fait de moi un mécréant de la pire espèce :-)
Bonne journée,
-- Dominique Courriel : dominique point sextant ate orange en France Esto quod es
Ghost-Rider
Le 26/08/2010 05:15, Dominique a écrit :
Je crois que, sur ce type de discussion que nous avons, nous sommes en déphasage avec des personnes qui s'amusent de la souffrance d'un autre être vivant (homme ou animal) et qui n'ont même pas la jugeote de se projeter quelques minutes après un geste. Je repense à ces crétins qui ont fichu le feu au bus à Marseille. Ils avaient tout prévu, tout calculé sauf l'essentiel : ce qui se passera après avoir mis le feu, a fortiori si une personne restait dans le bus...
Parce que ce sont des personnes dénuées d'intelligence, c'est-à-dire de la capacité à anticiper.
-- Ghost Rider
"Aimez-vous les uns les autres". Jésus-Christ
Le 26/08/2010 05:15, Dominique a écrit :
Je crois que, sur ce type de discussion que nous avons, nous sommes en
déphasage avec des personnes qui s'amusent de la souffrance d'un autre
être vivant (homme ou animal) et qui n'ont même pas la jugeote de se
projeter quelques minutes après un geste. Je repense à ces crétins qui
ont fichu le feu au bus à Marseille. Ils avaient tout prévu, tout
calculé sauf l'essentiel : ce qui se passera après avoir mis le feu, a
fortiori si une personne restait dans le bus...
Parce que ce sont des personnes dénuées d'intelligence, c'est-à-dire de
la capacité à anticiper.
Je crois que, sur ce type de discussion que nous avons, nous sommes en déphasage avec des personnes qui s'amusent de la souffrance d'un autre être vivant (homme ou animal) et qui n'ont même pas la jugeote de se projeter quelques minutes après un geste. Je repense à ces crétins qui ont fichu le feu au bus à Marseille. Ils avaient tout prévu, tout calculé sauf l'essentiel : ce qui se passera après avoir mis le feu, a fortiori si une personne restait dans le bus...
Parce que ce sont des personnes dénuées d'intelligence, c'est-à-dire de la capacité à anticiper.
-- Ghost Rider
"Aimez-vous les uns les autres". Jésus-Christ
jpw
"Dominique" a écrit dans le message de news: 4c75e2cf$0$10187$
Le 24/08/2010 10:41, Ghost-Rider a écrit :
Quand on observe le comportement de ces grands primates, lorsqu'on prend la peine de regarder leurs yeux et ce qu'ils expriment, il me semble que l'humanité n'est vraiment pas très loin.
"Dominique" <zzz@aol.com> a écrit dans le message de news:
4c75e2cf$0$10187$ba4acef3@reader.news.orange.fr...
Le 24/08/2010 10:41, Ghost-Rider a écrit :
Quand on observe le comportement de ces grands primates, lorsqu'on prend
la peine de regarder leurs yeux et ce qu'ils expriment, il me semble que
l'humanité n'est vraiment pas très loin.
"Dominique" a écrit dans le message de news: 4c75e2cf$0$10187$
Le 24/08/2010 10:41, Ghost-Rider a écrit :
Quand on observe le comportement de ces grands primates, lorsqu'on prend la peine de regarder leurs yeux et ce qu'ils expriment, il me semble que l'humanité n'est vraiment pas très loin.
Quand on observe le comportement de ces grands primates, lorsqu'on prend la peine de regarder leurs yeux et ce qu'ils expriment, il me semble que l'humanité n'est vraiment pas très loin.
Bonne journée,
http://cjoint.com/?iAjQZlRsG1
-- Andre
Dominique vient de nous annoncer
Quand on observe le comportement de ces grands primates, lorsqu'on
prend la peine de regarder leurs yeux et ce qu'ils expriment, il me
semble que l'humanité n'est vraiment pas très loin.
Quand on observe le comportement de ces grands primates, lorsqu'on prend la peine de regarder leurs yeux et ce qu'ils expriment, il me semble que l'humanité n'est vraiment pas très loin.
Bonne journée,
http://cjoint.com/?iAjQZlRsG1
-- Andre
Ofnuts
On 26/08/2010 05:43, Dominique wrote:
Le 24/08/2010 10:41, Ghost-Rider a écrit :
Et les grands singes, comme l'homme, ne sont-ils pas capables de comportements qu'on croirait réservés à l'homme ?
Cette remarque est très intéressante. En effet, remontons au XVIIIe siècle. Voltaire était très en avance sur son temps avec ses idées humanistes décalées.
Pourtant, ils ne reconnaissait pas aux esclaves, aux « nègres », le vrai statut d'êtres humains. Il les situait en un point indéterminé entre l'homme blanc civilisé et la bête abrutie.
Aujourd'hui, les mentalités ont changé, et à part quelques imbéciles indécrottables, personne ne mettrait plus en doute le statut d'humain à un noir.
Qui sait si, un jour, les grands singes n'intégreront pas le statut d'êtres humains, en tant que cousins éloignés de l'homo sapiens sapiens que nous sommes. Ce à quoi, les tuer deviendra un crime alors que, aujourd'hui, il ne s'agit que de braconnage... un peu comme ce qui se passait avec les esclaves.
Quand on observe le comportement de ces grands primates, lorsqu'on prend la peine de regarder leurs yeux et ce qu'ils expriment, il me semble que l'humanité n'est vraiment pas très loin.
Et les grands singes, comme l'homme, ne sont-ils pas capables de
comportements qu'on croirait réservés à l'homme ?
Cette remarque est très intéressante. En effet, remontons au XVIIIe
siècle. Voltaire était très en avance sur son temps avec ses idées
humanistes décalées.
Pourtant, ils ne reconnaissait pas aux esclaves, aux « nègres », le vrai
statut d'êtres humains. Il les situait en un point indéterminé entre
l'homme blanc civilisé et la bête abrutie.
Aujourd'hui, les mentalités ont changé, et à part quelques imbéciles
indécrottables, personne ne mettrait plus en doute le statut d'humain à
un noir.
Qui sait si, un jour, les grands singes n'intégreront pas le statut
d'êtres humains, en tant que cousins éloignés de l'homo sapiens sapiens
que nous sommes. Ce à quoi, les tuer deviendra un crime alors que,
aujourd'hui, il ne s'agit que de braconnage... un peu comme ce qui se
passait avec les esclaves.
Quand on observe le comportement de ces grands primates, lorsqu'on prend
la peine de regarder leurs yeux et ce qu'ils expriment, il me semble que
l'humanité n'est vraiment pas très loin.
Et les grands singes, comme l'homme, ne sont-ils pas capables de comportements qu'on croirait réservés à l'homme ?
Cette remarque est très intéressante. En effet, remontons au XVIIIe siècle. Voltaire était très en avance sur son temps avec ses idées humanistes décalées.
Pourtant, ils ne reconnaissait pas aux esclaves, aux « nègres », le vrai statut d'êtres humains. Il les situait en un point indéterminé entre l'homme blanc civilisé et la bête abrutie.
Aujourd'hui, les mentalités ont changé, et à part quelques imbéciles indécrottables, personne ne mettrait plus en doute le statut d'humain à un noir.
Qui sait si, un jour, les grands singes n'intégreront pas le statut d'êtres humains, en tant que cousins éloignés de l'homo sapiens sapiens que nous sommes. Ce à quoi, les tuer deviendra un crime alors que, aujourd'hui, il ne s'agit que de braconnage... un peu comme ce qui se passait avec les esclaves.
Quand on observe le comportement de ces grands primates, lorsqu'on prend la peine de regarder leurs yeux et ce qu'ils expriment, il me semble que l'humanité n'est vraiment pas très loin.
