Qu'est-ce qui est plus con qu'un bac B faisant du droit ? On se le demande !
"Le fait d'assimiler une personne humaine, quelle qu'elle soit, à un
animal, constitue une injure faite à l'humanité entière", selon les
attendus des juges, consultés par l'AFP.
Nous gouttons ici ma perversité de toute nos lois "d'opinion", "mémorielles", toutes ces lois qui répriment le fait d'exprimer des opinions prédéfinies comme abominables.
Mais n'empêchent en réalité rien : nous savons tous que des révisionnistes rodent en permanence sur nos forums, que des blogs ouvertement "nazilllons" sont facilement accessibles, etc.
On est très tenté de vous donner raison sur toute la ligne.
Reste peut-être la question du niveau de diffusion (et parallèlement des moyens). Dont je ne sais pas bien de quelle manière vous proposez de le résoudre.
Aux USA, où la liberté d'opinion est un principe théoriquement premier (jusqu'à un certain point en fait : voir le sort fait aux communistes !) on en vient au paradoxe de renvoyer tout le monde dos à dos DONC de donner du crédit aux pires mensonges et de créer le doute là où il n'a pas raison d'être. Avec non seulement l'impact de moyens illimités (lobbies) mais encore intrusion au sein de l'enseignement officiel.
Le travestissement de la réalité, de la connaissance vérifiable, pour des motifs au final *toujours* crapuleux, ne mérite-t-il pas d'être dénoncé ou entravé avec des moyens au moins équivalents à ceux accordés à sa propagation ?
-- Gérald
Colonel Kilgore <colonelkilgore@neuf.fr> wrote:
Nous gouttons ici ma perversité de toute nos lois "d'opinion",
"mémorielles", toutes ces lois qui répriment le fait d'exprimer des
opinions prédéfinies comme abominables.
Mais n'empêchent en réalité rien : nous savons tous que des
révisionnistes rodent en permanence sur nos forums, que des blogs
ouvertement "nazilllons" sont facilement accessibles, etc.
On est très tenté de vous donner raison sur toute la ligne.
Reste peut-être la question du niveau de diffusion (et parallèlement des
moyens). Dont je ne sais pas bien de quelle manière vous proposez de le
résoudre.
Aux USA, où la liberté d'opinion est un principe théoriquement premier
(jusqu'à un certain point en fait : voir le sort fait aux communistes !)
on en vient au paradoxe de renvoyer tout le monde dos à dos DONC de
donner du crédit aux pires mensonges et de créer le doute là où il n'a
pas raison d'être. Avec non seulement l'impact de moyens illimités
(lobbies) mais encore intrusion au sein de l'enseignement officiel.
Le travestissement de la réalité, de la connaissance vérifiable, pour
des motifs au final *toujours* crapuleux, ne mérite-t-il pas d'être
dénoncé ou entravé avec des moyens au moins équivalents à ceux accordés
à sa propagation ?
Nous gouttons ici ma perversité de toute nos lois "d'opinion", "mémorielles", toutes ces lois qui répriment le fait d'exprimer des opinions prédéfinies comme abominables.
Mais n'empêchent en réalité rien : nous savons tous que des révisionnistes rodent en permanence sur nos forums, que des blogs ouvertement "nazilllons" sont facilement accessibles, etc.
On est très tenté de vous donner raison sur toute la ligne.
Reste peut-être la question du niveau de diffusion (et parallèlement des moyens). Dont je ne sais pas bien de quelle manière vous proposez de le résoudre.
Aux USA, où la liberté d'opinion est un principe théoriquement premier (jusqu'à un certain point en fait : voir le sort fait aux communistes !) on en vient au paradoxe de renvoyer tout le monde dos à dos DONC de donner du crédit aux pires mensonges et de créer le doute là où il n'a pas raison d'être. Avec non seulement l'impact de moyens illimités (lobbies) mais encore intrusion au sein de l'enseignement officiel.
Le travestissement de la réalité, de la connaissance vérifiable, pour des motifs au final *toujours* crapuleux, ne mérite-t-il pas d'être dénoncé ou entravé avec des moyens au moins équivalents à ceux accordés à sa propagation ?
-- Gérald
Cl.Massé
"RVG" a écrit dans le message de groupe de discussion : lq9qf7$gti$
Vous votez fn, c'est ça ?
Attention, tu insultes toute l'humanité.
-- ~~~~ clmasse chez libre Hexagone Liberté, Egalité, Sale assisté.
"RVG" a écrit dans le message de groupe de discussion :
lq9qf7$gti$1@blueduskconspiracy.eternal-september.org...
Vous votez fn, c'est ça ?
Attention, tu insultes toute l'humanité.
-- ~~~~ clmasse chez libre Hexagone
Liberté, Egalité, Sale assisté.
"RVG" a écrit dans le message de groupe de discussion : lq9qf7$gti$
Vous votez fn, c'est ça ?
Attention, tu insultes toute l'humanité.
-- ~~~~ clmasse chez libre Hexagone Liberté, Egalité, Sale assisté.
Solanar
Gerald avait prétendu :
Colonel Kilgore wrote:
Nous gouttons ici ma perversité de toute nos lois "d'opinion", "mémorielles", toutes ces lois qui répriment le fait d'exprimer des opinions prédéfinies comme abominables.
Mais n'empêchent en réalité rien : nous savons tous que des révisionnistes rodent en permanence sur nos forums, que des blogs ouvertement "nazilllons" sont facilement accessibles, etc.
On est très tenté de vous donner raison sur toute la ligne.
Reste peut-être la question du niveau de diffusion (et parallèlement des moyens). Dont je ne sais pas bien de quelle manière vous proposez de le résoudre.
Aux USA, où la liberté d'opinion est un principe théoriquement premier (jusqu'à un certain point en fait : voir le sort fait aux communistes !) on en vient au paradoxe de renvoyer tout le monde dos à dos DONC de donner du crédit aux pires mensonges et de créer le doute là où il n'a pas raison d'être. Avec non seulement l'impact de moyens illimités (lobbies) mais encore intrusion au sein de l'enseignement officiel.
Le travestissement de la réalité, de la connaissance vérifiable, pour des motifs au final *toujours* crapuleux, ne mérite-t-il pas d'être dénoncé ou entravé avec des moyens au moins équivalents à ceux accordés à sa propagation ?
Je lui donne raison sur toute la ligne au colonel (c'est pas toujours le cas c'est pour ça que j'insiste) La liberté d'expression doit toujours être totale: on a le droit de tout dire. La police de la pensée (et donc de l'expression) est le début de la servitude et de l'acceptation d'un jugement intellectuel imposé. Il y a toujours, caché derriere des pretentions de morale, un désir de conditionner un troupeau par nature idiot pour suivre les directives d'une elite qui sait ce qui est bon pour les autres On repond a des paroles par des paroles, a des mensonges par des démonstrations, a des insultes par la ringardisation des insultes Pas par la loi, pas par des sanctions Pourquoi y a t'il des gens qui pensent encore qu'en empechant de s'exprimer on empeche de penser? Tu crois vraiment qu'en empechant de faire des plaisanteries sur les races ou les ancetres tu supprimes le racisme et le sectarisme? Les politiques se traitent souvent de nom d'oiseau ou de mamifère et c'est même pris pour de l'humour fin. "Traiter" quelqu'un de singe, de porc, d'ane, de lion, de hyene ou de chacal..... ca va dependre de l'origine de celui qui est comparé a cet animal? Ca c'est une forme de racisme encore plus pernicieuse à mon avis On doit pouvoir tout dire....même si on n'a pas le droit de tout faire.
--
Etre libre c'est n'avoir rien à perdre
Gerald avait prétendu :
Colonel Kilgore <colonelkilgore@neuf.fr> wrote:
Nous gouttons ici ma perversité de toute nos lois "d'opinion",
"mémorielles", toutes ces lois qui répriment le fait d'exprimer des
opinions prédéfinies comme abominables.
Mais n'empêchent en réalité rien : nous savons tous que des
révisionnistes rodent en permanence sur nos forums, que des blogs
ouvertement "nazilllons" sont facilement accessibles, etc.
On est très tenté de vous donner raison sur toute la ligne.
Reste peut-être la question du niveau de diffusion (et parallèlement des
moyens). Dont je ne sais pas bien de quelle manière vous proposez de le
résoudre.
Aux USA, où la liberté d'opinion est un principe théoriquement premier
(jusqu'à un certain point en fait : voir le sort fait aux communistes !)
on en vient au paradoxe de renvoyer tout le monde dos à dos DONC de
donner du crédit aux pires mensonges et de créer le doute là où il n'a
pas raison d'être. Avec non seulement l'impact de moyens illimités
(lobbies) mais encore intrusion au sein de l'enseignement officiel.
Le travestissement de la réalité, de la connaissance vérifiable, pour
des motifs au final *toujours* crapuleux, ne mérite-t-il pas d'être
dénoncé ou entravé avec des moyens au moins équivalents à ceux accordés
à sa propagation ?
Je lui donne raison sur toute la ligne au colonel (c'est pas toujours
le cas c'est pour ça que j'insiste)
La liberté d'expression doit toujours être totale: on a le droit de
tout dire.
La police de la pensée (et donc de l'expression) est le début de la
servitude et de l'acceptation d'un jugement intellectuel imposé.
Il y a toujours, caché derriere des pretentions de morale, un désir de
conditionner un troupeau par nature idiot pour suivre les directives
d'une elite qui sait ce qui est bon pour les autres
On repond a des paroles par des paroles, a des mensonges par des
démonstrations, a des insultes par la ringardisation des insultes
Pas par la loi, pas par des sanctions
Pourquoi y a t'il des gens qui pensent encore qu'en empechant de
s'exprimer on empeche de penser?
Tu crois vraiment qu'en empechant de faire des plaisanteries sur les
races ou les ancetres tu supprimes le racisme et le sectarisme?
Les politiques se traitent souvent de nom d'oiseau ou de mamifère et
c'est même pris pour de l'humour fin.
"Traiter" quelqu'un de singe, de porc, d'ane, de lion, de hyene ou de
chacal..... ca va dependre de l'origine de celui qui est comparé a cet
animal?
Ca c'est une forme de racisme encore plus pernicieuse à mon avis
On doit pouvoir tout dire....même si on n'a pas le droit de tout faire.
Nous gouttons ici ma perversité de toute nos lois "d'opinion", "mémorielles", toutes ces lois qui répriment le fait d'exprimer des opinions prédéfinies comme abominables.
Mais n'empêchent en réalité rien : nous savons tous que des révisionnistes rodent en permanence sur nos forums, que des blogs ouvertement "nazilllons" sont facilement accessibles, etc.
On est très tenté de vous donner raison sur toute la ligne.
Reste peut-être la question du niveau de diffusion (et parallèlement des moyens). Dont je ne sais pas bien de quelle manière vous proposez de le résoudre.
Aux USA, où la liberté d'opinion est un principe théoriquement premier (jusqu'à un certain point en fait : voir le sort fait aux communistes !) on en vient au paradoxe de renvoyer tout le monde dos à dos DONC de donner du crédit aux pires mensonges et de créer le doute là où il n'a pas raison d'être. Avec non seulement l'impact de moyens illimités (lobbies) mais encore intrusion au sein de l'enseignement officiel.
Le travestissement de la réalité, de la connaissance vérifiable, pour des motifs au final *toujours* crapuleux, ne mérite-t-il pas d'être dénoncé ou entravé avec des moyens au moins équivalents à ceux accordés à sa propagation ?
Je lui donne raison sur toute la ligne au colonel (c'est pas toujours le cas c'est pour ça que j'insiste) La liberté d'expression doit toujours être totale: on a le droit de tout dire. La police de la pensée (et donc de l'expression) est le début de la servitude et de l'acceptation d'un jugement intellectuel imposé. Il y a toujours, caché derriere des pretentions de morale, un désir de conditionner un troupeau par nature idiot pour suivre les directives d'une elite qui sait ce qui est bon pour les autres On repond a des paroles par des paroles, a des mensonges par des démonstrations, a des insultes par la ringardisation des insultes Pas par la loi, pas par des sanctions Pourquoi y a t'il des gens qui pensent encore qu'en empechant de s'exprimer on empeche de penser? Tu crois vraiment qu'en empechant de faire des plaisanteries sur les races ou les ancetres tu supprimes le racisme et le sectarisme? Les politiques se traitent souvent de nom d'oiseau ou de mamifère et c'est même pris pour de l'humour fin. "Traiter" quelqu'un de singe, de porc, d'ane, de lion, de hyene ou de chacal..... ca va dependre de l'origine de celui qui est comparé a cet animal? Ca c'est une forme de racisme encore plus pernicieuse à mon avis On doit pouvoir tout dire....même si on n'a pas le droit de tout faire.
--
Etre libre c'est n'avoir rien à perdre
Cl.Massé
"Khat Tsang Khat Phe Zho" a écrit dans le message de groupe de discussion :
Qu'est-ce qui est plus con qu'un bac B faisant du droit ? On se le demande !
"Le fait d'assimiler une personne humaine, quelle qu'elle soit, à un animal, constitue une injure faite à l'humanité entière", selon les attendus des juges, consultés par l'AFP.
Si l'on implique toute l'humanité, alors il ne peut pas s'agir de racisme. On se demande alors sur quel texte se base cette décision, celle sur le crime contre l'humanité? Comment peut-on parler au nom de "l'humanité" qui elle n'a rien demandé, et qui n'est même pas au courant. Il y a clairement un disfonctionnement de la Justice, qui est plutôt du communautarisme dans ce cas. La question de l'indépendance de la Justice est donc posée.
-- ~~~~ clmasse chez libre Hexagone Liberté, Egalité, Sale assisté.
"Khat Tsang Khat Phe Zho" a écrit dans le message de groupe de discussion :
53C845E9.50309@pingouins.gouv...
Qu'est-ce qui est plus con qu'un bac B faisant du droit ? On se le demande !
"Le fait d'assimiler une personne humaine, quelle qu'elle soit, à un animal,
constitue une injure faite à l'humanité entière", selon les attendus des
juges, consultés par l'AFP.
Si l'on implique toute l'humanité, alors il ne peut pas s'agir de racisme. On
se demande alors sur quel texte se base cette décision, celle sur le crime
contre l'humanité? Comment peut-on parler au nom de "l'humanité" qui elle n'a
rien demandé, et qui n'est même pas au courant. Il y a clairement un
disfonctionnement de la Justice, qui est plutôt du communautarisme dans ce cas.
La question de l'indépendance de la Justice est donc posée.
-- ~~~~ clmasse chez libre Hexagone
Liberté, Egalité, Sale assisté.
"Khat Tsang Khat Phe Zho" a écrit dans le message de groupe de discussion :
Qu'est-ce qui est plus con qu'un bac B faisant du droit ? On se le demande !
"Le fait d'assimiler une personne humaine, quelle qu'elle soit, à un animal, constitue une injure faite à l'humanité entière", selon les attendus des juges, consultés par l'AFP.
Si l'on implique toute l'humanité, alors il ne peut pas s'agir de racisme. On se demande alors sur quel texte se base cette décision, celle sur le crime contre l'humanité? Comment peut-on parler au nom de "l'humanité" qui elle n'a rien demandé, et qui n'est même pas au courant. Il y a clairement un disfonctionnement de la Justice, qui est plutôt du communautarisme dans ce cas. La question de l'indépendance de la Justice est donc posée.
-- ~~~~ clmasse chez libre Hexagone Liberté, Egalité, Sale assisté.
RVG
Le 18/07/2014 10:25, Gerald a écrit :
Aux USA, où la liberté d'opinion est un principe théoriquement premier
La Constitution américaine a été faite par les Blancs pour les Blancs. Le droit constitutionnel n'y a jamais concerné ni les Autochtones ni, encore moins, les Noirs. Il a fallu aboutir à des amendements majeurs par la lutte sociale, meurtrière, pour que le droit civil soit étendu aux non-Blancs.
-- « Nous fûmes les guépards, les lions; ceux qui nous remplaceront seront les chacals et les hyènes.» Giuseppe Tomasi di Lampedusa
Aux USA, où la liberté d'opinion est un principe théoriquement
premier
La Constitution américaine a été faite par les Blancs pour les Blancs.
Le droit constitutionnel n'y a jamais concerné ni les Autochtones ni,
encore moins, les Noirs. Il a fallu aboutir à des amendements majeurs
par la lutte sociale, meurtrière, pour que le droit civil soit étendu
aux non-Blancs.
--
« Nous fûmes les guépards, les lions; ceux qui nous remplaceront seront
les chacals et les hyènes.»
Giuseppe Tomasi di Lampedusa
Aux USA, où la liberté d'opinion est un principe théoriquement premier
La Constitution américaine a été faite par les Blancs pour les Blancs. Le droit constitutionnel n'y a jamais concerné ni les Autochtones ni, encore moins, les Noirs. Il a fallu aboutir à des amendements majeurs par la lutte sociale, meurtrière, pour que le droit civil soit étendu aux non-Blancs.
-- « Nous fûmes les guépards, les lions; ceux qui nous remplaceront seront les chacals et les hyènes.» Giuseppe Tomasi di Lampedusa
La liberté d'expression doit toujours être totale: on a le droit de tout dire. La police de la pensée (et donc de l'expression) est le début de la servitude et de l'acceptation d'un jugement intellectuel imposé. Il y a toujours, caché derriere des pretentions de morale, un désir de conditionner un troupeau par nature idiot pour suivre les directives d'une elite qui sait ce qui est bon pour les autres
Sauf que ce conditionnement commencer avec l'apprentissage du langage, qui n'est qu'une transmission d'ordre(s). L'expression c'est d'abord faire n'importe quoi du langage, le droit de créolisation absolue, le droit de créer des langues dans la langue, de dérailler le langage, de le bégayer, de le réagencer n'importe comment et de voir ce qui en sort.
-- « Nous fûmes les guépards, les lions; ceux qui nous remplaceront seront les chacals et les hyènes.» Giuseppe Tomasi di Lampedusa
La liberté d'expression doit toujours être totale: on a le droit de
tout dire. La police de la pensée (et donc de l'expression) est le
début de la servitude et de l'acceptation d'un jugement intellectuel
imposé. Il y a toujours, caché derriere des pretentions de morale,
un désir de conditionner un troupeau par nature idiot pour suivre les
directives d'une elite qui sait ce qui est bon pour les autres
Sauf que ce conditionnement commencer avec l'apprentissage du langage,
qui n'est qu'une transmission d'ordre(s). L'expression c'est d'abord
faire n'importe quoi du langage, le droit de créolisation absolue, le
droit de créer des langues dans la langue, de dérailler le langage, de
le bégayer, de le réagencer n'importe comment et de voir ce qui en sort.
--
« Nous fûmes les guépards, les lions; ceux qui nous remplaceront seront
les chacals et les hyènes.»
Giuseppe Tomasi di Lampedusa
La liberté d'expression doit toujours être totale: on a le droit de tout dire. La police de la pensée (et donc de l'expression) est le début de la servitude et de l'acceptation d'un jugement intellectuel imposé. Il y a toujours, caché derriere des pretentions de morale, un désir de conditionner un troupeau par nature idiot pour suivre les directives d'une elite qui sait ce qui est bon pour les autres
Sauf que ce conditionnement commencer avec l'apprentissage du langage, qui n'est qu'une transmission d'ordre(s). L'expression c'est d'abord faire n'importe quoi du langage, le droit de créolisation absolue, le droit de créer des langues dans la langue, de dérailler le langage, de le bégayer, de le réagencer n'importe comment et de voir ce qui en sort.
-- « Nous fûmes les guépards, les lions; ceux qui nous remplaceront seront les chacals et les hyènes.» Giuseppe Tomasi di Lampedusa
Dans la fable c'est l'inverse. Les animaux hissés au rang de l'humanité caricaturent nos travers. Les fables d'Esope montrent que la tendance est ancienne. Remarquez que les Egyptiens déifiaient les animaux, ce qui les haussait un rang au-dessus de l'humanité.
J'en ai parlé à Nestor le pingouin et Saturnin le canard, ils sont d'accord.
-- À qui Rodriguez téléphonait-il lorsque le requin est entré dans la cabine ?
Caligula a écrit:
RVG a couché sur son écran :
La fable n'entre pas dans cette catégorie.
Dans la fable c'est l'inverse. Les animaux hissés au rang de l'humanité
caricaturent nos travers. Les fables d'Esope montrent que la tendance
est ancienne. Remarquez que les Egyptiens déifiaient les animaux, ce qui
les haussait un rang au-dessus de l'humanité.
J'en ai parlé à Nestor le pingouin et Saturnin le canard, ils sont d'accord.
--
À qui Rodriguez téléphonait-il lorsque le requin est entré dans la cabine ?
Dans la fable c'est l'inverse. Les animaux hissés au rang de l'humanité caricaturent nos travers. Les fables d'Esope montrent que la tendance est ancienne. Remarquez que les Egyptiens déifiaient les animaux, ce qui les haussait un rang au-dessus de l'humanité.
J'en ai parlé à Nestor le pingouin et Saturnin le canard, ils sont d'accord.
-- À qui Rodriguez téléphonait-il lorsque le requin est entré dans la cabine ?
Colonel Kilgore
Gerald avait énoncé :
Le travestissement de la réalité, de la connaissance vérifiable, pour des motifs au final *toujours* crapuleux, ne mérite-t-il pas d'être dénoncé ou entravé avec des moyens au moins équivalents à ceux accordés à sa propagation ?
Oui, mais ça ne relève pas de la loi.
Gerald avait énoncé :
Le travestissement de la réalité, de la connaissance vérifiable, pour
des motifs au final *toujours* crapuleux, ne mérite-t-il pas d'être
dénoncé ou entravé avec des moyens au moins équivalents à ceux accordés
à sa propagation ?
Le travestissement de la réalité, de la connaissance vérifiable, pour des motifs au final *toujours* crapuleux, ne mérite-t-il pas d'être dénoncé ou entravé avec des moyens au moins équivalents à ceux accordés à sa propagation ?
Oui, mais ça ne relève pas de la loi.
Colonel Kilgore
RVG a présenté l'énoncé suivant :
Le 18/07/2014 10:25, Gerald a écrit :
Aux USA, où la liberté d'opinion est un principe théoriquement premier
La Constitution américaine a été faite par les Blancs pour les Blancs. Le droit constitutionnel n'y a jamais concerné ni les Autochtones ni, encore moins, les Noirs. Il a fallu aboutir à des amendements majeurs par la lutte sociale, meurtrière, pour que le droit civil soit étendu aux non-Blancs.
C'est exact, mais nous parlon bien de droits Constitutionnels : Egalité des droite, y compris droit de vote, etc.
Ceci étant acquis, à quoi bon une loi pour interdire aux raciste de défiler derrière des banderoles marquées "SALES NEGRES" ?
Grand bien leur fasse, nous les combattrons par l'éducation donnée à nos enfants, par le savoir. Et ils s'éteindront réellement, à petit feu.
Le problème, c'est qu'on veut mettre un voile sur tout ça. Du coup, plus de caricature, plus d'humour au Xème degré possible. Il faut faire le contraire, éduquer. LA répression est inutile, inefficace et même contreproductive.
Un de mes grands souvenirs d'ado au lycée, c'est mon prof de français faisant lire le célébrissime "de l'esclavage des nègres", de Montesqiueu.
Sitôt la lecture finie, il demande ce qu'on en pense. Ca a été fulgurant : "salaud de raciste, etc" ont lâché en coeur mes camarades (En fait, 3 ont parlé, les autres opinaizent du chef).
Le prof, qui connaissait bien sa classe, tourne le regard vers son "bon élève" (désolé, c'était moi), et le tohu bohu étant retombé, je dit que c'est de l'humour, du second degré. Qu'ils n'ont rien compris.
Pourtant, je découvrais ce texte, et naturellement dans la foulée j'ai lu à la maison tout "l'Esprit des Lois".
Tant qu'un candidat au bac, lisant ce texte, ne verra pas le second degré, nous aurons failli à l'initier à penser simplement, avec lucidité et autonomie.
C'est bien l'éducation qui est forte, pas la loi.
RVG a présenté l'énoncé suivant :
Le 18/07/2014 10:25, Gerald a écrit :
Aux USA, où la liberté d'opinion est un principe théoriquement
premier
La Constitution américaine a été faite par les Blancs pour les Blancs.
Le droit constitutionnel n'y a jamais concerné ni les Autochtones ni,
encore moins, les Noirs. Il a fallu aboutir à des amendements majeurs
par la lutte sociale, meurtrière, pour que le droit civil soit étendu
aux non-Blancs.
C'est exact, mais nous parlon bien de droits Constitutionnels :
Egalité des droite, y compris droit de vote, etc.
Ceci étant acquis, à quoi bon une loi pour interdire aux raciste de
défiler derrière des banderoles marquées "SALES NEGRES" ?
Grand bien leur fasse, nous les combattrons par l'éducation donnée à
nos enfants, par le savoir. Et ils s'éteindront réellement, à petit
feu.
Le problème, c'est qu'on veut mettre un voile sur tout ça. Du coup,
plus de caricature, plus d'humour au Xème degré possible. Il faut faire
le contraire, éduquer. LA répression est inutile, inefficace et même
contreproductive.
Un de mes grands souvenirs d'ado au lycée, c'est mon prof de français
faisant lire le célébrissime "de l'esclavage des nègres", de
Montesqiueu.
Sitôt la lecture finie, il demande ce qu'on en pense. Ca a été
fulgurant : "salaud de raciste, etc" ont lâché en coeur mes camarades
(En fait, 3 ont parlé, les autres opinaizent du chef).
Le prof, qui connaissait bien sa classe, tourne le regard vers son "bon
élève" (désolé, c'était moi), et le tohu bohu étant retombé, je dit que
c'est de l'humour, du second degré. Qu'ils n'ont rien compris.
Pourtant, je découvrais ce texte, et naturellement dans la foulée j'ai
lu à la maison tout "l'Esprit des Lois".
Tant qu'un candidat au bac, lisant ce texte, ne verra pas le second
degré, nous aurons failli à l'initier à penser simplement, avec
lucidité et autonomie.
Aux USA, où la liberté d'opinion est un principe théoriquement premier
La Constitution américaine a été faite par les Blancs pour les Blancs. Le droit constitutionnel n'y a jamais concerné ni les Autochtones ni, encore moins, les Noirs. Il a fallu aboutir à des amendements majeurs par la lutte sociale, meurtrière, pour que le droit civil soit étendu aux non-Blancs.
C'est exact, mais nous parlon bien de droits Constitutionnels : Egalité des droite, y compris droit de vote, etc.
Ceci étant acquis, à quoi bon une loi pour interdire aux raciste de défiler derrière des banderoles marquées "SALES NEGRES" ?
Grand bien leur fasse, nous les combattrons par l'éducation donnée à nos enfants, par le savoir. Et ils s'éteindront réellement, à petit feu.
Le problème, c'est qu'on veut mettre un voile sur tout ça. Du coup, plus de caricature, plus d'humour au Xème degré possible. Il faut faire le contraire, éduquer. LA répression est inutile, inefficace et même contreproductive.
Un de mes grands souvenirs d'ado au lycée, c'est mon prof de français faisant lire le célébrissime "de l'esclavage des nègres", de Montesqiueu.
Sitôt la lecture finie, il demande ce qu'on en pense. Ca a été fulgurant : "salaud de raciste, etc" ont lâché en coeur mes camarades (En fait, 3 ont parlé, les autres opinaizent du chef).
Le prof, qui connaissait bien sa classe, tourne le regard vers son "bon élève" (désolé, c'était moi), et le tohu bohu étant retombé, je dit que c'est de l'humour, du second degré. Qu'ils n'ont rien compris.
Pourtant, je découvrais ce texte, et naturellement dans la foulée j'ai lu à la maison tout "l'Esprit des Lois".
Tant qu'un candidat au bac, lisant ce texte, ne verra pas le second degré, nous aurons failli à l'initier à penser simplement, avec lucidité et autonomie.
C'est bien l'éducation qui est forte, pas la loi.
RVG
Le 18/07/2014 13:05, Colonel Kilgore a écrit :
Ceci étant acquis, à quoi bon une loi pour interdire aux raciste de défiler derrière des banderoles marquées "SALES NEGRES" ?