Dis-location du local et du focal: dans le système géocentrique (première
globalité totalitaire), rien ne fait fonction, tout est dogme et mythe: les
planètes sont forcément commandées par un ou des dieux qui en font ce qu'ils
veulent et devant qui l'homme doit s'aplatir. Changement de référentiel:
héliocentrique. Soudain, *immédiatement*, tous les dieux sont morts, tués par
la *fonction* elliptique ! Il suffisait de voir les planètes *du point de vue*
du soleil. Et nul besoin d'aller sur le soleil: le changement de point de vue
s'opère par des instruments optiques qui modifient la localité de
l'observateur par la distance focale des lentilles, càd un jeu sur les
propriétés de convergence et de divergence de la lumière.
Dis-location du local et du focal: dans le système géocentrique (première
globalité totalitaire), rien ne fait fonction, tout est dogme et mythe: les
planètes sont forcément commandées par un ou des dieux qui en font ce qu'ils
veulent et devant qui l'homme doit s'aplatir. Changement de référentiel:
héliocentrique. Soudain, *immédiatement*, tous les dieux sont morts, tués par
la *fonction* elliptique ! Il suffisait de voir les planètes *du point de vue*
du soleil. Et nul besoin d'aller sur le soleil: le changement de point de vue
s'opère par des instruments optiques qui modifient la localité de
l'observateur par la distance focale des lentilles, càd un jeu sur les
propriétés de convergence et de divergence de la lumière.
Dis-location du local et du focal: dans le système géocentrique (première
globalité totalitaire), rien ne fait fonction, tout est dogme et mythe: les
planètes sont forcément commandées par un ou des dieux qui en font ce qu'ils
veulent et devant qui l'homme doit s'aplatir. Changement de référentiel:
héliocentrique. Soudain, *immédiatement*, tous les dieux sont morts, tués par
la *fonction* elliptique ! Il suffisait de voir les planètes *du point de vue*
du soleil. Et nul besoin d'aller sur le soleil: le changement de point de vue
s'opère par des instruments optiques qui modifient la localité de
l'observateur par la distance focale des lentilles, càd un jeu sur les
propriétés de convergence et de divergence de la lumière.
Le 19/07/2014 11:24, luciole135 a écrit :Le 19/07/2014 11:11, RVG a écrit :Le 19/07/2014 10:09, luciole135 a écrit :Le 19/07/2014 09:55, RVG a écrit :Le 19/07/2014 09:45, luciole135 a écrit :Le 19/07/2014 09:27, RVG a écrit :
Pas l'ordre qui met en évidence des fonctions, c'est ça le
savoir vrai. De Ghérasim Luca à Galilée et Leibniz la même
question: Comment s'en sortir sans sortir ?
Se sortir de quoi ?
De l'erreur, de la superstition. Que l'ordre préexistant dans
lequel on s'inscrit par défaut, par soumission jamais
questionnée, a la moindre validité et la moindre vérité.
Vous croyez que la vérité existe ?
Elle est à faire.
Vous croyez donc en son existence.
Le vrai c'est ce qui ne demande pas à être cru.
La vérité morale, ou vraie religion, est toute simple et universelle:
aimer Dieu (la cause de tout et la source de ma vie telle qu'elle se
crée maintenant) de tout son être et tout autrui comme un autre moi-même.
La vérité philosophique: il n'y a qu'une réalité et elle est absolument
et parfaitement accomplie à chaque instant dans le fait de l'être au
monde. Dieu se connait parfaitement et infiniment dans toutes les âmes,
indépendamment de l'accomplissement moral de chacun. Dieu est autant
glorifié dans l'âme du juste que dans celle du criminel, mais chacun en
tire plus ou moins de fruit selon l'exercice de la vertu.
Le 19/07/2014 11:24, luciole135 a écrit :
Le 19/07/2014 11:11, RVG a écrit :
Le 19/07/2014 10:09, luciole135 a écrit :
Le 19/07/2014 09:55, RVG a écrit :
Le 19/07/2014 09:45, luciole135 a écrit :
Le 19/07/2014 09:27, RVG a écrit :
Pas l'ordre qui met en évidence des fonctions, c'est ça le
savoir vrai. De Ghérasim Luca à Galilée et Leibniz la même
question: Comment s'en sortir sans sortir ?
Se sortir de quoi ?
De l'erreur, de la superstition. Que l'ordre préexistant dans
lequel on s'inscrit par défaut, par soumission jamais
questionnée, a la moindre validité et la moindre vérité.
Vous croyez que la vérité existe ?
Elle est à faire.
Vous croyez donc en son existence.
Le vrai c'est ce qui ne demande pas à être cru.
La vérité morale, ou vraie religion, est toute simple et universelle:
aimer Dieu (la cause de tout et la source de ma vie telle qu'elle se
crée maintenant) de tout son être et tout autrui comme un autre moi-même.
La vérité philosophique: il n'y a qu'une réalité et elle est absolument
et parfaitement accomplie à chaque instant dans le fait de l'être au
monde. Dieu se connait parfaitement et infiniment dans toutes les âmes,
indépendamment de l'accomplissement moral de chacun. Dieu est autant
glorifié dans l'âme du juste que dans celle du criminel, mais chacun en
tire plus ou moins de fruit selon l'exercice de la vertu.
Le 19/07/2014 11:24, luciole135 a écrit :Le 19/07/2014 11:11, RVG a écrit :Le 19/07/2014 10:09, luciole135 a écrit :Le 19/07/2014 09:55, RVG a écrit :Le 19/07/2014 09:45, luciole135 a écrit :Le 19/07/2014 09:27, RVG a écrit :
Pas l'ordre qui met en évidence des fonctions, c'est ça le
savoir vrai. De Ghérasim Luca à Galilée et Leibniz la même
question: Comment s'en sortir sans sortir ?
Se sortir de quoi ?
De l'erreur, de la superstition. Que l'ordre préexistant dans
lequel on s'inscrit par défaut, par soumission jamais
questionnée, a la moindre validité et la moindre vérité.
Vous croyez que la vérité existe ?
Elle est à faire.
Vous croyez donc en son existence.
Le vrai c'est ce qui ne demande pas à être cru.
La vérité morale, ou vraie religion, est toute simple et universelle:
aimer Dieu (la cause de tout et la source de ma vie telle qu'elle se
crée maintenant) de tout son être et tout autrui comme un autre moi-même.
La vérité philosophique: il n'y a qu'une réalité et elle est absolument
et parfaitement accomplie à chaque instant dans le fait de l'être au
monde. Dieu se connait parfaitement et infiniment dans toutes les âmes,
indépendamment de l'accomplissement moral de chacun. Dieu est autant
glorifié dans l'âme du juste que dans celle du criminel, mais chacun en
tire plus ou moins de fruit selon l'exercice de la vertu.
Le 19/07/2014 11:40, RVG a écrit :Le 19/07/2014 11:24, luciole135 a écrit :Le 19/07/2014 11:11, RVG a écrit :Le 19/07/2014 10:09, luciole135 a écrit :Le 19/07/2014 09:55, RVG a écrit :Le 19/07/2014 09:45, luciole135 a écrit :Le 19/07/2014 09:27, RVG a écrit :
Pas l'ordre qui met en évidence des fonctions, c'est
ça le savoir vrai. De Ghérasim Luca à Galilée et
Leibniz la même question: Comment s'en sortir sans
sortir ?
Se sortir de quoi ?
De l'erreur, de la superstition. Que l'ordre préexistant
dans lequel on s'inscrit par défaut, par soumission jamais
questionnée, a la moindre validité et la moindre vérité.
Vous croyez que la vérité existe ?
Elle est à faire.
Vous croyez donc en son existence.
Le vrai c'est ce qui ne demande pas à être cru.
Ce ne serait pas la réalité plutôt ?La vérité morale, ou vraie religion, est toute simple et
universelle: aimer Dieu (la cause de tout et la source de ma vie
telle qu'elle se crée maintenant) de tout son être et tout autrui
comme un autre moi-même.
La vérité philosophique: il n'y a qu'une réalité et elle est
absolument et parfaitement accomplie à chaque instant dans le fait
de l'être au monde. Dieu se connait parfaitement et infiniment dans
toutes les âmes, indépendamment de l'accomplissement moral de
chacun. Dieu est autant glorifié dans l'âme du juste que dans celle
du criminel, mais chacun en tire plus ou moins de fruit selon
l'exercice de la vertu.
Dieu, Dieu et encore Dieu, sans Dieu pas de vérité ?
Le 19/07/2014 11:40, RVG a écrit :
Le 19/07/2014 11:24, luciole135 a écrit :
Le 19/07/2014 11:11, RVG a écrit :
Le 19/07/2014 10:09, luciole135 a écrit :
Le 19/07/2014 09:55, RVG a écrit :
Le 19/07/2014 09:45, luciole135 a écrit :
Le 19/07/2014 09:27, RVG a écrit :
Pas l'ordre qui met en évidence des fonctions, c'est
ça le savoir vrai. De Ghérasim Luca à Galilée et
Leibniz la même question: Comment s'en sortir sans
sortir ?
Se sortir de quoi ?
De l'erreur, de la superstition. Que l'ordre préexistant
dans lequel on s'inscrit par défaut, par soumission jamais
questionnée, a la moindre validité et la moindre vérité.
Vous croyez que la vérité existe ?
Elle est à faire.
Vous croyez donc en son existence.
Le vrai c'est ce qui ne demande pas à être cru.
Ce ne serait pas la réalité plutôt ?
La vérité morale, ou vraie religion, est toute simple et
universelle: aimer Dieu (la cause de tout et la source de ma vie
telle qu'elle se crée maintenant) de tout son être et tout autrui
comme un autre moi-même.
La vérité philosophique: il n'y a qu'une réalité et elle est
absolument et parfaitement accomplie à chaque instant dans le fait
de l'être au monde. Dieu se connait parfaitement et infiniment dans
toutes les âmes, indépendamment de l'accomplissement moral de
chacun. Dieu est autant glorifié dans l'âme du juste que dans celle
du criminel, mais chacun en tire plus ou moins de fruit selon
l'exercice de la vertu.
Dieu, Dieu et encore Dieu, sans Dieu pas de vérité ?
Le 19/07/2014 11:40, RVG a écrit :Le 19/07/2014 11:24, luciole135 a écrit :Le 19/07/2014 11:11, RVG a écrit :Le 19/07/2014 10:09, luciole135 a écrit :Le 19/07/2014 09:55, RVG a écrit :Le 19/07/2014 09:45, luciole135 a écrit :Le 19/07/2014 09:27, RVG a écrit :
Pas l'ordre qui met en évidence des fonctions, c'est
ça le savoir vrai. De Ghérasim Luca à Galilée et
Leibniz la même question: Comment s'en sortir sans
sortir ?
Se sortir de quoi ?
De l'erreur, de la superstition. Que l'ordre préexistant
dans lequel on s'inscrit par défaut, par soumission jamais
questionnée, a la moindre validité et la moindre vérité.
Vous croyez que la vérité existe ?
Elle est à faire.
Vous croyez donc en son existence.
Le vrai c'est ce qui ne demande pas à être cru.
Ce ne serait pas la réalité plutôt ?La vérité morale, ou vraie religion, est toute simple et
universelle: aimer Dieu (la cause de tout et la source de ma vie
telle qu'elle se crée maintenant) de tout son être et tout autrui
comme un autre moi-même.
La vérité philosophique: il n'y a qu'une réalité et elle est
absolument et parfaitement accomplie à chaque instant dans le fait
de l'être au monde. Dieu se connait parfaitement et infiniment dans
toutes les âmes, indépendamment de l'accomplissement moral de
chacun. Dieu est autant glorifié dans l'âme du juste que dans celle
du criminel, mais chacun en tire plus ou moins de fruit selon
l'exercice de la vertu.
Dieu, Dieu et encore Dieu, sans Dieu pas de vérité ?
Le 19/07/2014 13:39, luciole135 a écrit :
Dieu, Dieu et encore Dieu, sans Dieu pas de vérité ?
Il faut bien trouver une cause commune au monde et à la conscience, l'un
ne se déduisant pas de l'autre (ou: l'un n'est pas cause de l'autre).
Je pourrais utiliser des mots sanskrits, mais il faudrait 500 lignes
d'explication.
Pour chaque. :)
Les langues occidentales sont de fait constituées par la théologie
chrétienne, et sauf à la dérailler sévèrement ou à employer des mots
étrangers tels quels (ou, pire, des métaphores), il est pratiquement
impossible de ne pas sombrer dans l'absolutisation d'un des termes au
détriment de l'autre. Matérialisme vs idéalisme par exemple.
On a vu l'extrême difficulté de Husserl à arracher la conscience du
psychologisme et celle de ne pas la réduire à l'ego. Le cogito n'est
qu'une image mentale au même titre que le monde. L'univers et la
conscience sont un, non par une transcendance de l'un sur l'autre ni une
relation causale, mais par l'unité substantielle.
Le problème c'est que même en latin Spinoza n'a pas réussi en 300 pages
à exprimer ce que l'Inde désigne par "advaita", le non-deux ou l'adualité.
On peut faire comme Deleuze et "cogner" les philosophies l'une sur
l'autre pour essayer de leur faire un enfant dans le dos. Mais, encore à
la différence de l'Inde, "le peuple manque" (Gustav Klimt), et il ne lui
est resté que le suicide.
Le crise d'expression est inhérente aux langues européennes, nées du
platonisme et de la seule traduction grecque de l’Évangile, engoncées
dans le substantialisme statique.
L'Europe n'a pas de langue pour dire le feu.
Le 19/07/2014 13:39, luciole135 a écrit :
Dieu, Dieu et encore Dieu, sans Dieu pas de vérité ?
Il faut bien trouver une cause commune au monde et à la conscience, l'un
ne se déduisant pas de l'autre (ou: l'un n'est pas cause de l'autre).
Je pourrais utiliser des mots sanskrits, mais il faudrait 500 lignes
d'explication.
Pour chaque. :)
Les langues occidentales sont de fait constituées par la théologie
chrétienne, et sauf à la dérailler sévèrement ou à employer des mots
étrangers tels quels (ou, pire, des métaphores), il est pratiquement
impossible de ne pas sombrer dans l'absolutisation d'un des termes au
détriment de l'autre. Matérialisme vs idéalisme par exemple.
On a vu l'extrême difficulté de Husserl à arracher la conscience du
psychologisme et celle de ne pas la réduire à l'ego. Le cogito n'est
qu'une image mentale au même titre que le monde. L'univers et la
conscience sont un, non par une transcendance de l'un sur l'autre ni une
relation causale, mais par l'unité substantielle.
Le problème c'est que même en latin Spinoza n'a pas réussi en 300 pages
à exprimer ce que l'Inde désigne par "advaita", le non-deux ou l'adualité.
On peut faire comme Deleuze et "cogner" les philosophies l'une sur
l'autre pour essayer de leur faire un enfant dans le dos. Mais, encore à
la différence de l'Inde, "le peuple manque" (Gustav Klimt), et il ne lui
est resté que le suicide.
Le crise d'expression est inhérente aux langues européennes, nées du
platonisme et de la seule traduction grecque de l’Évangile, engoncées
dans le substantialisme statique.
L'Europe n'a pas de langue pour dire le feu.
Le 19/07/2014 13:39, luciole135 a écrit :
Dieu, Dieu et encore Dieu, sans Dieu pas de vérité ?
Il faut bien trouver une cause commune au monde et à la conscience, l'un
ne se déduisant pas de l'autre (ou: l'un n'est pas cause de l'autre).
Je pourrais utiliser des mots sanskrits, mais il faudrait 500 lignes
d'explication.
Pour chaque. :)
Les langues occidentales sont de fait constituées par la théologie
chrétienne, et sauf à la dérailler sévèrement ou à employer des mots
étrangers tels quels (ou, pire, des métaphores), il est pratiquement
impossible de ne pas sombrer dans l'absolutisation d'un des termes au
détriment de l'autre. Matérialisme vs idéalisme par exemple.
On a vu l'extrême difficulté de Husserl à arracher la conscience du
psychologisme et celle de ne pas la réduire à l'ego. Le cogito n'est
qu'une image mentale au même titre que le monde. L'univers et la
conscience sont un, non par une transcendance de l'un sur l'autre ni une
relation causale, mais par l'unité substantielle.
Le problème c'est que même en latin Spinoza n'a pas réussi en 300 pages
à exprimer ce que l'Inde désigne par "advaita", le non-deux ou l'adualité.
On peut faire comme Deleuze et "cogner" les philosophies l'une sur
l'autre pour essayer de leur faire un enfant dans le dos. Mais, encore à
la différence de l'Inde, "le peuple manque" (Gustav Klimt), et il ne lui
est resté que le suicide.
Le crise d'expression est inhérente aux langues européennes, nées du
platonisme et de la seule traduction grecque de l’Évangile, engoncées
dans le substantialisme statique.
L'Europe n'a pas de langue pour dire le feu.
Le 19/07/2014 14:15, RVG a écrit :Le 19/07/2014 13:39, luciole135 a écrit :
Dieu, Dieu et encore Dieu, sans Dieu pas de vérité ?
Il faut bien trouver une cause commune au monde et à la conscience, l'un
ne se déduisant pas de l'autre (ou: l'un n'est pas cause de l'autre).
Je pourrais utiliser des mots sanskrits, mais il faudrait 500 lignes
d'explication.
Pour chaque. :)
Les langues occidentales sont de fait constituées par la théologie
chrétienne, et sauf à la dérailler sévèrement ou à employer des mots
étrangers tels quels (ou, pire, des métaphores), il est pratiquement
impossible de ne pas sombrer dans l'absolutisation d'un des termes au
détriment de l'autre. Matérialisme vs idéalisme par exemple.
On a vu l'extrême difficulté de Husserl à arracher la conscience du
psychologisme et celle de ne pas la réduire à l'ego. Le cogito n'est
qu'une image mentale au même titre que le monde. L'univers et la
conscience sont un, non par une transcendance de l'un sur l'autre ni une
relation causale, mais par l'unité substantielle.
Le problème c'est que même en latin Spinoza n'a pas réussi en 300 pages
à exprimer ce que l'Inde désigne par "advaita", le non-deux ou
l'adualité.
On peut faire comme Deleuze et "cogner" les philosophies l'une sur
l'autre pour essayer de leur faire un enfant dans le dos. Mais, encore à
la différence de l'Inde, "le peuple manque" (Gustav Klimt), et il ne lui
est resté que le suicide.
Le crise d'expression est inhérente aux langues européennes, nées du
platonisme et de la seule traduction grecque de l’Évangile, engoncées
dans le substantialisme statique.
L'Europe n'a pas de langue pour dire le feu.
rien n'oblige à trouver une cause commune, êtes vous certain qu'il y en
ait une seule ?
Le 19/07/2014 14:15, RVG a écrit :
Le 19/07/2014 13:39, luciole135 a écrit :
Dieu, Dieu et encore Dieu, sans Dieu pas de vérité ?
Il faut bien trouver une cause commune au monde et à la conscience, l'un
ne se déduisant pas de l'autre (ou: l'un n'est pas cause de l'autre).
Je pourrais utiliser des mots sanskrits, mais il faudrait 500 lignes
d'explication.
Pour chaque. :)
Les langues occidentales sont de fait constituées par la théologie
chrétienne, et sauf à la dérailler sévèrement ou à employer des mots
étrangers tels quels (ou, pire, des métaphores), il est pratiquement
impossible de ne pas sombrer dans l'absolutisation d'un des termes au
détriment de l'autre. Matérialisme vs idéalisme par exemple.
On a vu l'extrême difficulté de Husserl à arracher la conscience du
psychologisme et celle de ne pas la réduire à l'ego. Le cogito n'est
qu'une image mentale au même titre que le monde. L'univers et la
conscience sont un, non par une transcendance de l'un sur l'autre ni une
relation causale, mais par l'unité substantielle.
Le problème c'est que même en latin Spinoza n'a pas réussi en 300 pages
à exprimer ce que l'Inde désigne par "advaita", le non-deux ou
l'adualité.
On peut faire comme Deleuze et "cogner" les philosophies l'une sur
l'autre pour essayer de leur faire un enfant dans le dos. Mais, encore à
la différence de l'Inde, "le peuple manque" (Gustav Klimt), et il ne lui
est resté que le suicide.
Le crise d'expression est inhérente aux langues européennes, nées du
platonisme et de la seule traduction grecque de l’Évangile, engoncées
dans le substantialisme statique.
L'Europe n'a pas de langue pour dire le feu.
rien n'oblige à trouver une cause commune, êtes vous certain qu'il y en
ait une seule ?
Le 19/07/2014 14:15, RVG a écrit :Le 19/07/2014 13:39, luciole135 a écrit :
Dieu, Dieu et encore Dieu, sans Dieu pas de vérité ?
Il faut bien trouver une cause commune au monde et à la conscience, l'un
ne se déduisant pas de l'autre (ou: l'un n'est pas cause de l'autre).
Je pourrais utiliser des mots sanskrits, mais il faudrait 500 lignes
d'explication.
Pour chaque. :)
Les langues occidentales sont de fait constituées par la théologie
chrétienne, et sauf à la dérailler sévèrement ou à employer des mots
étrangers tels quels (ou, pire, des métaphores), il est pratiquement
impossible de ne pas sombrer dans l'absolutisation d'un des termes au
détriment de l'autre. Matérialisme vs idéalisme par exemple.
On a vu l'extrême difficulté de Husserl à arracher la conscience du
psychologisme et celle de ne pas la réduire à l'ego. Le cogito n'est
qu'une image mentale au même titre que le monde. L'univers et la
conscience sont un, non par une transcendance de l'un sur l'autre ni une
relation causale, mais par l'unité substantielle.
Le problème c'est que même en latin Spinoza n'a pas réussi en 300 pages
à exprimer ce que l'Inde désigne par "advaita", le non-deux ou
l'adualité.
On peut faire comme Deleuze et "cogner" les philosophies l'une sur
l'autre pour essayer de leur faire un enfant dans le dos. Mais, encore à
la différence de l'Inde, "le peuple manque" (Gustav Klimt), et il ne lui
est resté que le suicide.
Le crise d'expression est inhérente aux langues européennes, nées du
platonisme et de la seule traduction grecque de l’Évangile, engoncées
dans le substantialisme statique.
L'Europe n'a pas de langue pour dire le feu.
rien n'oblige à trouver une cause commune, êtes vous certain qu'il y en
ait une seule ?
Le 19/07/2014 16:03, luciole135 a écrit :Le 19/07/2014 14:15, RVG a écrit :Le 19/07/2014 13:39, luciole135 a écrit :
Dieu, Dieu et encore Dieu, sans Dieu pas de vérité ?
Il faut bien trouver une cause commune au monde et à la conscience, l'un
ne se déduisant pas de l'autre (ou: l'un n'est pas cause de l'autre).
Je pourrais utiliser des mots sanskrits, mais il faudrait 500 lignes
d'explication.
Pour chaque. :)
Les langues occidentales sont de fait constituées par la théologie
chrétienne, et sauf à la dérailler sévèrement ou à employer des mots
étrangers tels quels (ou, pire, des métaphores), il est pratiquement
impossible de ne pas sombrer dans l'absolutisation d'un des termes au
détriment de l'autre. Matérialisme vs idéalisme par exemple.
On a vu l'extrême difficulté de Husserl à arracher la conscience du
psychologisme et celle de ne pas la réduire à l'ego. Le cogito n'est
qu'une image mentale au même titre que le monde. L'univers et la
conscience sont un, non par une transcendance de l'un sur l'autre ni une
relation causale, mais par l'unité substantielle.
Le problème c'est que même en latin Spinoza n'a pas réussi en 300 pages
à exprimer ce que l'Inde désigne par "advaita", le non-deux ou
l'adualité.
On peut faire comme Deleuze et "cogner" les philosophies l'une sur
l'autre pour essayer de leur faire un enfant dans le dos. Mais, encore à
la différence de l'Inde, "le peuple manque" (Gustav Klimt), et il ne lui
est resté que le suicide.
Le crise d'expression est inhérente aux langues européennes, nées du
platonisme et de la seule traduction grecque de l’Évangile, engoncées
dans le substantialisme statique.
L'Europe n'a pas de langue pour dire le feu.
rien n'oblige à trouver une cause commune, êtes vous certain qu'il y en
ait une seule ?
Si c'est une communauté, on revient à Elohim.
Ou Wakan Tanka.
Le 19/07/2014 16:03, luciole135 a écrit :
Le 19/07/2014 14:15, RVG a écrit :
Le 19/07/2014 13:39, luciole135 a écrit :
Dieu, Dieu et encore Dieu, sans Dieu pas de vérité ?
Il faut bien trouver une cause commune au monde et à la conscience, l'un
ne se déduisant pas de l'autre (ou: l'un n'est pas cause de l'autre).
Je pourrais utiliser des mots sanskrits, mais il faudrait 500 lignes
d'explication.
Pour chaque. :)
Les langues occidentales sont de fait constituées par la théologie
chrétienne, et sauf à la dérailler sévèrement ou à employer des mots
étrangers tels quels (ou, pire, des métaphores), il est pratiquement
impossible de ne pas sombrer dans l'absolutisation d'un des termes au
détriment de l'autre. Matérialisme vs idéalisme par exemple.
On a vu l'extrême difficulté de Husserl à arracher la conscience du
psychologisme et celle de ne pas la réduire à l'ego. Le cogito n'est
qu'une image mentale au même titre que le monde. L'univers et la
conscience sont un, non par une transcendance de l'un sur l'autre ni une
relation causale, mais par l'unité substantielle.
Le problème c'est que même en latin Spinoza n'a pas réussi en 300 pages
à exprimer ce que l'Inde désigne par "advaita", le non-deux ou
l'adualité.
On peut faire comme Deleuze et "cogner" les philosophies l'une sur
l'autre pour essayer de leur faire un enfant dans le dos. Mais, encore à
la différence de l'Inde, "le peuple manque" (Gustav Klimt), et il ne lui
est resté que le suicide.
Le crise d'expression est inhérente aux langues européennes, nées du
platonisme et de la seule traduction grecque de l’Évangile, engoncées
dans le substantialisme statique.
L'Europe n'a pas de langue pour dire le feu.
rien n'oblige à trouver une cause commune, êtes vous certain qu'il y en
ait une seule ?
Si c'est une communauté, on revient à Elohim.
Ou Wakan Tanka.
Le 19/07/2014 16:03, luciole135 a écrit :Le 19/07/2014 14:15, RVG a écrit :Le 19/07/2014 13:39, luciole135 a écrit :
Dieu, Dieu et encore Dieu, sans Dieu pas de vérité ?
Il faut bien trouver une cause commune au monde et à la conscience, l'un
ne se déduisant pas de l'autre (ou: l'un n'est pas cause de l'autre).
Je pourrais utiliser des mots sanskrits, mais il faudrait 500 lignes
d'explication.
Pour chaque. :)
Les langues occidentales sont de fait constituées par la théologie
chrétienne, et sauf à la dérailler sévèrement ou à employer des mots
étrangers tels quels (ou, pire, des métaphores), il est pratiquement
impossible de ne pas sombrer dans l'absolutisation d'un des termes au
détriment de l'autre. Matérialisme vs idéalisme par exemple.
On a vu l'extrême difficulté de Husserl à arracher la conscience du
psychologisme et celle de ne pas la réduire à l'ego. Le cogito n'est
qu'une image mentale au même titre que le monde. L'univers et la
conscience sont un, non par une transcendance de l'un sur l'autre ni une
relation causale, mais par l'unité substantielle.
Le problème c'est que même en latin Spinoza n'a pas réussi en 300 pages
à exprimer ce que l'Inde désigne par "advaita", le non-deux ou
l'adualité.
On peut faire comme Deleuze et "cogner" les philosophies l'une sur
l'autre pour essayer de leur faire un enfant dans le dos. Mais, encore à
la différence de l'Inde, "le peuple manque" (Gustav Klimt), et il ne lui
est resté que le suicide.
Le crise d'expression est inhérente aux langues européennes, nées du
platonisme et de la seule traduction grecque de l’Évangile, engoncées
dans le substantialisme statique.
L'Europe n'a pas de langue pour dire le feu.
rien n'oblige à trouver une cause commune, êtes vous certain qu'il y en
ait une seule ?
Si c'est une communauté, on revient à Elohim.
Ou Wakan Tanka.
Le 19/07/2014 16:46, RVG a écrit :Le 19/07/2014 16:03, luciole135 a écrit :Le 19/07/2014 14:15, RVG a écrit :Le 19/07/2014 13:39, luciole135 a écrit :
Dieu, Dieu et encore Dieu, sans Dieu pas de vérité ?
Il faut bien trouver une cause commune au monde et à la conscience,
l'un
ne se déduisant pas de l'autre (ou: l'un n'est pas cause de l'autre).
Je pourrais utiliser des mots sanskrits, mais il faudrait 500 lignes
d'explication.
Pour chaque. :)
Les langues occidentales sont de fait constituées par la théologie
chrétienne, et sauf à la dérailler sévèrement ou à employer des mots
étrangers tels quels (ou, pire, des métaphores), il est pratiquement
impossible de ne pas sombrer dans l'absolutisation d'un des termes au
détriment de l'autre. Matérialisme vs idéalisme par exemple.
On a vu l'extrême difficulté de Husserl à arracher la conscience du
psychologisme et celle de ne pas la réduire à l'ego. Le cogito n'est
qu'une image mentale au même titre que le monde. L'univers et la
conscience sont un, non par une transcendance de l'un sur l'autre ni
une
relation causale, mais par l'unité substantielle.
Le problème c'est que même en latin Spinoza n'a pas réussi en 300 pages
à exprimer ce que l'Inde désigne par "advaita", le non-deux ou
l'adualité.
On peut faire comme Deleuze et "cogner" les philosophies l'une sur
l'autre pour essayer de leur faire un enfant dans le dos. Mais,
encore à
la différence de l'Inde, "le peuple manque" (Gustav Klimt), et il ne
lui
est resté que le suicide.
Le crise d'expression est inhérente aux langues européennes, nées du
platonisme et de la seule traduction grecque de l’Évangile, engoncées
dans le substantialisme statique.
L'Europe n'a pas de langue pour dire le feu.
rien n'oblige à trouver une cause commune, êtes vous certain qu'il y en
ait une seule ?
Si c'est une communauté, on revient à Elohim.
Ou Wakan Tanka.
On n'a pas été présenté, alors je commence par les saluer
"bonjour Elohim, bonjour Wakan tanka".
Le 19/07/2014 16:46, RVG a écrit :
Le 19/07/2014 16:03, luciole135 a écrit :
Le 19/07/2014 14:15, RVG a écrit :
Le 19/07/2014 13:39, luciole135 a écrit :
Dieu, Dieu et encore Dieu, sans Dieu pas de vérité ?
Il faut bien trouver une cause commune au monde et à la conscience,
l'un
ne se déduisant pas de l'autre (ou: l'un n'est pas cause de l'autre).
Je pourrais utiliser des mots sanskrits, mais il faudrait 500 lignes
d'explication.
Pour chaque. :)
Les langues occidentales sont de fait constituées par la théologie
chrétienne, et sauf à la dérailler sévèrement ou à employer des mots
étrangers tels quels (ou, pire, des métaphores), il est pratiquement
impossible de ne pas sombrer dans l'absolutisation d'un des termes au
détriment de l'autre. Matérialisme vs idéalisme par exemple.
On a vu l'extrême difficulté de Husserl à arracher la conscience du
psychologisme et celle de ne pas la réduire à l'ego. Le cogito n'est
qu'une image mentale au même titre que le monde. L'univers et la
conscience sont un, non par une transcendance de l'un sur l'autre ni
une
relation causale, mais par l'unité substantielle.
Le problème c'est que même en latin Spinoza n'a pas réussi en 300 pages
à exprimer ce que l'Inde désigne par "advaita", le non-deux ou
l'adualité.
On peut faire comme Deleuze et "cogner" les philosophies l'une sur
l'autre pour essayer de leur faire un enfant dans le dos. Mais,
encore à
la différence de l'Inde, "le peuple manque" (Gustav Klimt), et il ne
lui
est resté que le suicide.
Le crise d'expression est inhérente aux langues européennes, nées du
platonisme et de la seule traduction grecque de l’Évangile, engoncées
dans le substantialisme statique.
L'Europe n'a pas de langue pour dire le feu.
rien n'oblige à trouver une cause commune, êtes vous certain qu'il y en
ait une seule ?
Si c'est une communauté, on revient à Elohim.
Ou Wakan Tanka.
On n'a pas été présenté, alors je commence par les saluer
"bonjour Elohim, bonjour Wakan tanka".
Le 19/07/2014 16:46, RVG a écrit :Le 19/07/2014 16:03, luciole135 a écrit :Le 19/07/2014 14:15, RVG a écrit :Le 19/07/2014 13:39, luciole135 a écrit :
Dieu, Dieu et encore Dieu, sans Dieu pas de vérité ?
Il faut bien trouver une cause commune au monde et à la conscience,
l'un
ne se déduisant pas de l'autre (ou: l'un n'est pas cause de l'autre).
Je pourrais utiliser des mots sanskrits, mais il faudrait 500 lignes
d'explication.
Pour chaque. :)
Les langues occidentales sont de fait constituées par la théologie
chrétienne, et sauf à la dérailler sévèrement ou à employer des mots
étrangers tels quels (ou, pire, des métaphores), il est pratiquement
impossible de ne pas sombrer dans l'absolutisation d'un des termes au
détriment de l'autre. Matérialisme vs idéalisme par exemple.
On a vu l'extrême difficulté de Husserl à arracher la conscience du
psychologisme et celle de ne pas la réduire à l'ego. Le cogito n'est
qu'une image mentale au même titre que le monde. L'univers et la
conscience sont un, non par une transcendance de l'un sur l'autre ni
une
relation causale, mais par l'unité substantielle.
Le problème c'est que même en latin Spinoza n'a pas réussi en 300 pages
à exprimer ce que l'Inde désigne par "advaita", le non-deux ou
l'adualité.
On peut faire comme Deleuze et "cogner" les philosophies l'une sur
l'autre pour essayer de leur faire un enfant dans le dos. Mais,
encore à
la différence de l'Inde, "le peuple manque" (Gustav Klimt), et il ne
lui
est resté que le suicide.
Le crise d'expression est inhérente aux langues européennes, nées du
platonisme et de la seule traduction grecque de l’Évangile, engoncées
dans le substantialisme statique.
L'Europe n'a pas de langue pour dire le feu.
rien n'oblige à trouver une cause commune, êtes vous certain qu'il y en
ait une seule ?
Si c'est une communauté, on revient à Elohim.
Ou Wakan Tanka.
On n'a pas été présenté, alors je commence par les saluer
"bonjour Elohim, bonjour Wakan tanka".
Il est possible d'éduquer soi-même ses enfants, l'école n'est pas
obligatoire, l'éducation l'est.
Il est possible d'éduquer soi-même ses enfants, l'école n'est pas
obligatoire, l'éducation l'est.
Il est possible d'éduquer soi-même ses enfants, l'école n'est pas
obligatoire, l'éducation l'est.
En fait, c'est la "scolarisation" qui est obligatoire (le terme a
changé), mais tu es libre d'assumer cette scolarisation toi même.
En fait, c'est la "scolarisation" qui est obligatoire (le terme a
changé), mais tu es libre d'assumer cette scolarisation toi même.
En fait, c'est la "scolarisation" qui est obligatoire (le terme a
changé), mais tu es libre d'assumer cette scolarisation toi même.