Qu'est-ce qui est plus con qu'un bac B faisant du droit ? On se le demande !
"Le fait d'assimiler une personne humaine, quelle qu'elle soit, à un
animal, constitue une injure faite à l'humanité entière", selon les
attendus des juges, consultés par l'AFP.
> La police de la pensée (et donc de l'expression) est le début de la > servitude et de l'acceptation d'un jugement intellectuel imposé.
"Gerald" a écrit dans le message de groupe de discussion : 1loziwq.qnm0mcqekx7qN%
Car on a aussi le DEVOIR de protéger les personnes vulnérables de notre société. Ça peut entraîner certaines conséquences, certaines limitations. À manier prudemment mais à ne pas oublier quand même.
Vous avez tous les deux raison, il faut la loi, mais il faut aussi l'éducation. La loi seule serait l'asservissement de la pensée. L'éducation seule ne peut pas dissuader les personnes mal intentionnées et ne s'appuierait sur rien. Les deux doivent fonctionner en synergie. D'ailleurs un principe du droit est qu'on ne peut condamner quelqu'un qui n'est pas en mesure de comprendre sa condamnation.
Malheureusement, on assiste à une dérive totalitariste vers des méthodes qu'il faut bien qualifier de staliniennes, visant à créer un conditionnement. L'insulte a remplacé le débat, et des sentences exorbitantes sont justifiées par des hyperboles hallucinantes.
-- ~~~~ clmasse chez libre Hexagone Liberté, Egalité, Sale assisté.
Solanar <solanar@free.fr> wrote:
> La police de la pensée (et donc de l'expression) est le début de la
> servitude et de l'acceptation d'un jugement intellectuel imposé.
"Gerald" a écrit dans le message de groupe de discussion :
1loziwq.qnm0mcqekx7qN%voir_le_reply-to@car_cette_adresse_est_invalide.com...
Car on a aussi le DEVOIR de protéger les personnes vulnérables de notre
société. Ça peut entraîner certaines conséquences, certaines limitations. À
manier prudemment mais à ne pas oublier quand même.
Vous avez tous les deux raison, il faut la loi, mais il faut aussi l'éducation.
La loi seule serait l'asservissement de la pensée. L'éducation seule ne peut
pas dissuader les personnes mal intentionnées et ne s'appuierait sur rien. Les
deux doivent fonctionner en synergie. D'ailleurs un principe du droit est qu'on
ne peut condamner quelqu'un qui n'est pas en mesure de comprendre sa
condamnation.
Malheureusement, on assiste à une dérive totalitariste vers des méthodes qu'il
faut bien qualifier de staliniennes, visant à créer un conditionnement.
L'insulte a remplacé le débat, et des sentences exorbitantes sont justifiées par
des hyperboles hallucinantes.
-- ~~~~ clmasse chez libre Hexagone
Liberté, Egalité, Sale assisté.
> La police de la pensée (et donc de l'expression) est le début de la > servitude et de l'acceptation d'un jugement intellectuel imposé.
"Gerald" a écrit dans le message de groupe de discussion : 1loziwq.qnm0mcqekx7qN%
Car on a aussi le DEVOIR de protéger les personnes vulnérables de notre société. Ça peut entraîner certaines conséquences, certaines limitations. À manier prudemment mais à ne pas oublier quand même.
Vous avez tous les deux raison, il faut la loi, mais il faut aussi l'éducation. La loi seule serait l'asservissement de la pensée. L'éducation seule ne peut pas dissuader les personnes mal intentionnées et ne s'appuierait sur rien. Les deux doivent fonctionner en synergie. D'ailleurs un principe du droit est qu'on ne peut condamner quelqu'un qui n'est pas en mesure de comprendre sa condamnation.
Malheureusement, on assiste à une dérive totalitariste vers des méthodes qu'il faut bien qualifier de staliniennes, visant à créer un conditionnement. L'insulte a remplacé le débat, et des sentences exorbitantes sont justifiées par des hyperboles hallucinantes.
-- ~~~~ clmasse chez libre Hexagone Liberté, Egalité, Sale assisté.
Jack Sparrow
Oh, on ne peut plus traiter sa chérie de "petit chaton" ?
Oh, on ne peut plus traiter sa chérie de "petit chaton" ?
Oh, on ne peut plus traiter sa chérie de "petit chaton" ?
Solanar
Gerald avait écrit le 18/07/2014 :
Solanar wrote:
La police de la pensée (et donc de l'expression) est le début de la servitude et de l'acceptation d'un jugement intellectuel imposé.
As-tu remarqué que je n'ai en aucun cas évoqué ce concept ? Juste invité à réfléchir sur les moyens à donner pour ne pas être submergé par le désinformation, pour permettre un vrai choix éclairé, à partir d'informations ACCESSIBLES ! (à tous)
Un vrai choix ne se fait pas quand on masque des infos. Il est tout a fait edifiant d'entendre des propos racistes ce qui demontre que ca existe
On pourrait aussi évoquer le principe "pas de liberté pour les ennemis de la liberté". On se trouve en effet avec toujours un métro de retard face aux malins toujours en embuscade pour *abuser* des libertés qui leur sont concédées (et pas pour des nèfles).
Reste a savoir qui sont les bons et les mechants Par definition on est toujours, au depart chez les bons
Car on a aussi le DEVOIR de protéger les personnes vulnérables de notre société. Ça peut entraîner certaines conséquences, certaines limitations. À manier prudemment mais à ne pas oublier quand même.
Et si je decidais moi Solanar que tous les gens qui ne pensent pas comme moi sont des naifs vulnérables? Je vais alors les defendre malgré eux et interdire qu'ils pensent differement puisque c'est mal
Un des moyens favoris des "malins" est l'entrisme. S'insérer dans les failles pour pervertir, saccager le système d'échanges, la construction positive... Ça va du simple troll pourri sur usenet (nombreux exemples locaux à disposition ici !) à l'entrisme dans les syndicats, dans les structures d'enseignement, et récemment jusqu'au parlement européen où la marinade vient juste d'échouer dans son projet de création d'un groupe visant à détruire ledit parlement.
Non que j'aie une affection immodérée pour ce parlement, mais c'est l'idée de destruction, en général, qui me chagrine. Encore plus si c'est pour y substituer le vide abyssal de la rhétorique frontiste !
On doit lutter contre des parioles par des paroles, pas par des bombes lacrymogènes ou des mitrailleuses C'est en comprenant qu'on se libere et qu'on libere, pas en cachant ce qu'on ne veut pas voir
Au fait, face au vide abyssal de la rhétorique frontiste, tu vois la plénitude des autres partis foisonnant d'idées saines et claires?
Le danger n'est pas le FN mais bien l'absence totale de projet collectif. la politique est devenue une affaire commerciale, une industrie qui malaxe des vies pour en tirer du jus. De ce coté, ca fonctionne parfaitement
--
Etre libre c'est n'avoir rien à perdre
Gerald avait écrit le 18/07/2014 :
Solanar <solanar@free.fr> wrote:
La police de la pensée (et donc de l'expression) est le début de la
servitude et de l'acceptation d'un jugement intellectuel imposé.
As-tu remarqué que je n'ai en aucun cas évoqué ce concept ? Juste invité
à réfléchir sur les moyens à donner pour ne pas être submergé par le
désinformation, pour permettre un vrai choix éclairé, à partir
d'informations ACCESSIBLES ! (à tous)
Un vrai choix ne se fait pas quand on masque des infos. Il est tout a
fait edifiant d'entendre des propos racistes ce qui demontre que ca
existe
On pourrait aussi évoquer le principe "pas de liberté pour les ennemis
de la liberté". On se trouve en effet avec toujours un métro de retard
face aux malins toujours en embuscade pour *abuser* des libertés qui
leur sont concédées (et pas pour des nèfles).
Reste a savoir qui sont les bons et les mechants
Par definition on est toujours, au depart chez les bons
Car on a aussi le DEVOIR de protéger les personnes vulnérables de notre
société. Ça peut entraîner certaines conséquences, certaines
limitations. À manier prudemment mais à ne pas oublier quand même.
Et si je decidais moi Solanar que tous les gens qui ne pensent pas
comme moi sont des naifs vulnérables?
Je vais alors les defendre malgré eux et interdire qu'ils pensent
differement puisque c'est mal
Un des moyens favoris des "malins" est l'entrisme. S'insérer dans les
failles pour pervertir, saccager le système d'échanges, la construction
positive... Ça va du simple troll pourri sur usenet (nombreux exemples
locaux à disposition ici !) à l'entrisme dans les syndicats, dans les
structures d'enseignement, et récemment jusqu'au parlement européen où
la marinade vient juste d'échouer dans son projet de création d'un
groupe visant à détruire ledit parlement.
Non que j'aie une affection immodérée pour ce parlement, mais c'est
l'idée de destruction, en général, qui me chagrine. Encore plus si c'est
pour y substituer le vide abyssal de la rhétorique frontiste !
On doit lutter contre des parioles par des paroles, pas par des bombes
lacrymogènes ou des mitrailleuses
C'est en comprenant qu'on se libere et qu'on libere, pas en cachant ce
qu'on ne veut pas voir
Au fait, face au vide abyssal de la rhétorique frontiste, tu vois la
plénitude des autres partis foisonnant d'idées saines et claires?
Le danger n'est pas le FN mais bien l'absence totale de projet
collectif.
la politique est devenue une affaire commerciale, une industrie qui
malaxe des vies pour en tirer du jus.
De ce coté, ca fonctionne parfaitement
La police de la pensée (et donc de l'expression) est le début de la servitude et de l'acceptation d'un jugement intellectuel imposé.
As-tu remarqué que je n'ai en aucun cas évoqué ce concept ? Juste invité à réfléchir sur les moyens à donner pour ne pas être submergé par le désinformation, pour permettre un vrai choix éclairé, à partir d'informations ACCESSIBLES ! (à tous)
Un vrai choix ne se fait pas quand on masque des infos. Il est tout a fait edifiant d'entendre des propos racistes ce qui demontre que ca existe
On pourrait aussi évoquer le principe "pas de liberté pour les ennemis de la liberté". On se trouve en effet avec toujours un métro de retard face aux malins toujours en embuscade pour *abuser* des libertés qui leur sont concédées (et pas pour des nèfles).
Reste a savoir qui sont les bons et les mechants Par definition on est toujours, au depart chez les bons
Car on a aussi le DEVOIR de protéger les personnes vulnérables de notre société. Ça peut entraîner certaines conséquences, certaines limitations. À manier prudemment mais à ne pas oublier quand même.
Et si je decidais moi Solanar que tous les gens qui ne pensent pas comme moi sont des naifs vulnérables? Je vais alors les defendre malgré eux et interdire qu'ils pensent differement puisque c'est mal
Un des moyens favoris des "malins" est l'entrisme. S'insérer dans les failles pour pervertir, saccager le système d'échanges, la construction positive... Ça va du simple troll pourri sur usenet (nombreux exemples locaux à disposition ici !) à l'entrisme dans les syndicats, dans les structures d'enseignement, et récemment jusqu'au parlement européen où la marinade vient juste d'échouer dans son projet de création d'un groupe visant à détruire ledit parlement.
Non que j'aie une affection immodérée pour ce parlement, mais c'est l'idée de destruction, en général, qui me chagrine. Encore plus si c'est pour y substituer le vide abyssal de la rhétorique frontiste !
On doit lutter contre des parioles par des paroles, pas par des bombes lacrymogènes ou des mitrailleuses C'est en comprenant qu'on se libere et qu'on libere, pas en cachant ce qu'on ne veut pas voir
Au fait, face au vide abyssal de la rhétorique frontiste, tu vois la plénitude des autres partis foisonnant d'idées saines et claires?
Le danger n'est pas le FN mais bien l'absence totale de projet collectif. la politique est devenue une affaire commerciale, une industrie qui malaxe des vies pour en tirer du jus. De ce coté, ca fonctionne parfaitement
--
Etre libre c'est n'avoir rien à perdre
Pr VX
On Fri, 18 Jul 2014 16:06:39 +0200 "Cl.Massé" wrote:
> Solanar wrote: > > > La police de la pensée (et donc de l'expression) est le début de la > > servitude et de l'acceptation d'un jugement intellectuel imposé. > "Gerald" a écrit dans le message de groupe de discussion : 1loziwq.qnm0mcqekx7qN% ... > > Car on a aussi le DEVOIR de protéger les personnes vulnérables de n otre > société. Ça peut entraîner certaines conséquences, certaines limitations. À > manier prudemment mais à ne pas oublier quand même.
Vous avez tous les deux raison, il faut la loi, mais il faut aussi l'éd ucation. La loi seule serait l'asservissement de la pensée. L'éducation seule ne peut pas dissuader les personnes mal intentionnées et ne s'appuierait sur ri en. Les deux doivent fonctionner en synergie. D'ailleurs un principe du droit es t qu'on ne peut condamner quelqu'un qui n'est pas en mesure de comprendre sa condamnation.
Vous expliquer comment une mise sous tutelle ou curatelle qui est une mesure de protection à quelqu'un qui est dans l'incapacité de comprendre ce qui lui est *reproché*. L'éducation c'est bien gentil mais on ne reçoit pas tous la même non plus et ça peut devenir assez épuisant de tenter de suivre des règles complètement absurdes, voire dangereux. Notez qu'en tant qu'enfant de l'Amour je suis peut être censé accomplir une mission ou avoir un quelconque rôle à jouer, mais n'ayant pas encore compris lequel et personne ne m'ayant réellement expliqué, il m'arrive de me poser des questions à la con.
Malheureusement, on assiste à une dérive totalitariste vers des mét hodes qu'il faut bien qualifier de staliniennes, visant à créer un conditionnemen t. L'insulte a remplacé le débat, et des sentences exorbitantes sont jus tifiées par des hyperboles hallucinantes.
-- ~~~~ clmasse chez libre Hexagone Liberté, Egalité, Sale assisté.
--
On Fri, 18 Jul 2014 16:06:39 +0200
"Cl.Massé" <contact@nospam.invalid> wrote:
> Solanar <solanar@free.fr> wrote:
>
> > La police de la pensée (et donc de l'expression) est le début de la
> > servitude et de l'acceptation d'un jugement intellectuel imposé.
>
"Gerald" a écrit dans le message de groupe de discussion :
1loziwq.qnm0mcqekx7qN%voir_le_reply-to@car_cette_adresse_est_invalide.com ...
>
> Car on a aussi le DEVOIR de protéger les personnes vulnérables de n otre
> société. Ça peut entraîner certaines conséquences, certaines limitations. À
> manier prudemment mais à ne pas oublier quand même.
Vous avez tous les deux raison, il faut la loi, mais il faut aussi l'éd ucation.
La loi seule serait l'asservissement de la pensée. L'éducation seule ne peut
pas dissuader les personnes mal intentionnées et ne s'appuierait sur ri en. Les
deux doivent fonctionner en synergie. D'ailleurs un principe du droit es t qu'on
ne peut condamner quelqu'un qui n'est pas en mesure de comprendre sa
condamnation.
Vous expliquer comment une mise sous tutelle ou curatelle qui est une
mesure de protection à quelqu'un qui est dans l'incapacité de
comprendre ce qui lui est *reproché*. L'éducation c'est bien gentil
mais on ne reçoit pas tous la même non plus et ça peut devenir
assez épuisant de tenter de suivre des règles complètement absurdes,
voire dangereux. Notez qu'en tant qu'enfant de l'Amour je suis
peut être censé accomplir une mission ou avoir un quelconque
rôle à jouer, mais n'ayant pas encore compris lequel et personne ne
m'ayant réellement expliqué, il m'arrive de me poser des questions à
la con.
Malheureusement, on assiste à une dérive totalitariste vers des mét hodes qu'il
faut bien qualifier de staliniennes, visant à créer un conditionnemen t.
L'insulte a remplacé le débat, et des sentences exorbitantes sont jus tifiées par
des hyperboles hallucinantes.
-- ~~~~ clmasse chez libre Hexagone
Liberté, Egalité, Sale assisté.
On Fri, 18 Jul 2014 16:06:39 +0200 "Cl.Massé" wrote:
> Solanar wrote: > > > La police de la pensée (et donc de l'expression) est le début de la > > servitude et de l'acceptation d'un jugement intellectuel imposé. > "Gerald" a écrit dans le message de groupe de discussion : 1loziwq.qnm0mcqekx7qN% ... > > Car on a aussi le DEVOIR de protéger les personnes vulnérables de n otre > société. Ça peut entraîner certaines conséquences, certaines limitations. À > manier prudemment mais à ne pas oublier quand même.
Vous avez tous les deux raison, il faut la loi, mais il faut aussi l'éd ucation. La loi seule serait l'asservissement de la pensée. L'éducation seule ne peut pas dissuader les personnes mal intentionnées et ne s'appuierait sur ri en. Les deux doivent fonctionner en synergie. D'ailleurs un principe du droit es t qu'on ne peut condamner quelqu'un qui n'est pas en mesure de comprendre sa condamnation.
Vous expliquer comment une mise sous tutelle ou curatelle qui est une mesure de protection à quelqu'un qui est dans l'incapacité de comprendre ce qui lui est *reproché*. L'éducation c'est bien gentil mais on ne reçoit pas tous la même non plus et ça peut devenir assez épuisant de tenter de suivre des règles complètement absurdes, voire dangereux. Notez qu'en tant qu'enfant de l'Amour je suis peut être censé accomplir une mission ou avoir un quelconque rôle à jouer, mais n'ayant pas encore compris lequel et personne ne m'ayant réellement expliqué, il m'arrive de me poser des questions à la con.
Malheureusement, on assiste à une dérive totalitariste vers des mét hodes qu'il faut bien qualifier de staliniennes, visant à créer un conditionnemen t. L'insulte a remplacé le débat, et des sentences exorbitantes sont jus tifiées par des hyperboles hallucinantes.
-- ~~~~ clmasse chez libre Hexagone Liberté, Egalité, Sale assisté.
--
Colonel Kilgore
Gerald a écrit :
On pourrait aussi évoquer le principe "pas de liberté pour les ennemis de la liberté". On se trouve en effet avec toujours un métro de retard face aux malins toujours en embuscade pour *abuser* des libertés qui leur sont concédées (et pas pour des nèfles).
En fait, si on pense aux gens qui ont inventé ce slogan, on comprend qu'ils pensaient :
"Pas de liberté pour les ennemis de l'égalité".
Ce qui n'est pas tout à fait la même chose. Et on voit où ça a conduit.
Gerald a écrit :
On pourrait aussi évoquer le principe "pas de liberté pour les ennemis
de la liberté". On se trouve en effet avec toujours un métro de retard
face aux malins toujours en embuscade pour *abuser* des libertés qui
leur sont concédées (et pas pour des nèfles).
En fait, si on pense aux gens qui ont inventé ce slogan, on comprend
qu'ils pensaient :
"Pas de liberté pour les ennemis de l'égalité".
Ce qui n'est pas tout à fait la même chose.
Et on voit où ça a conduit.
On pourrait aussi évoquer le principe "pas de liberté pour les ennemis de la liberté". On se trouve en effet avec toujours un métro de retard face aux malins toujours en embuscade pour *abuser* des libertés qui leur sont concédées (et pas pour des nèfles).
En fait, si on pense aux gens qui ont inventé ce slogan, on comprend qu'ils pensaient :
"Pas de liberté pour les ennemis de l'égalité".
Ce qui n'est pas tout à fait la même chose. Et on voit où ça a conduit.
Colonel Kilgore
RVG a formulé ce vendredi :
Le 18/07/2014 13:05, Colonel Kilgore a écrit :
Ceci étant acquis, à quoi bon une loi pour interdire aux raciste de défiler derrière des banderoles marquées "SALES NEGRES" ?
"Colonel Kilgore" a écrit dans le message de groupe de discussion : lqav23$r6h$
Le prof, qui connaissait bien sa classe, tourne le regard vers son "bon élève" (désolé, c'était moi), et le tohu bohu étant retombé, je dit que c'est de l'humour, du second degré. Qu'ils n'ont rien compris.
Apparemment, bon élève mais pas en orthographe...
-- ~~~~ clmasse chez libre Hexagone Liberté, Egalité, Sale assisté.
Au moins, ça prouve que tu as lu attentivement... ;o)
Après mûre réflexion, Cl.Massé a écrit :
"Colonel Kilgore" a écrit dans le message de groupe de discussion :
lqav23$r6h$1@dont-email.me...
Le prof, qui connaissait bien sa classe, tourne le regard vers son "bon
élève" (désolé, c'était moi), et le tohu bohu étant retombé, je dit que
c'est de l'humour, du second degré. Qu'ils n'ont rien compris.
Apparemment, bon élève mais pas en orthographe...
-- ~~~~ clmasse chez libre Hexagone
Liberté, Egalité, Sale assisté.
Au moins, ça prouve que tu as lu attentivement... ;o)
"Colonel Kilgore" a écrit dans le message de groupe de discussion : lqav23$r6h$
Le prof, qui connaissait bien sa classe, tourne le regard vers son "bon élève" (désolé, c'était moi), et le tohu bohu étant retombé, je dit que c'est de l'humour, du second degré. Qu'ils n'ont rien compris.
Apparemment, bon élève mais pas en orthographe...
-- ~~~~ clmasse chez libre Hexagone Liberté, Egalité, Sale assisté.
Au moins, ça prouve que tu as lu attentivement... ;o)
Colonel Kilgore
Jack Sparrow a formulé ce vendredi :
Oh, on ne peut plus traiter sa chérie de "petit chaton" ?
Ni de vieille vache ?
Jack Sparrow a formulé ce vendredi :
Oh, on ne peut plus traiter sa chérie de "petit chaton" ?