Sur qu'une certaine faune de bobos trotskystes ont verrouillé l'éducnat
de telle façon que quiconque n'est pas issue de la secte IUFM ne peut pas
faire tâche éducative. Je me souviens d'une brave prof de piano issue de la
"société civile" racontait qu'elle était aussi mal vue des profs "certifiés"
que son collègue informaticien, lui aussi issu du monde extra-éducnat.
Mais nous pardonnerons volontiers à Vincent le fait de parler sans savoir
(après tout il est prof :-) ) en particulier d'ignorer que le mouvement de
68, LUI AUSSI, a été récupéré et cadenassé par les trotskystes alors qu'il
s'agissait, au départ, de réactions spontanées contre des actions de
répression inacceptables. Et dans les tentatives plus poussées qui s'en sont
ensuivies, pendant que certains recherchaient des formes de vies
alternatives et communautaires, les trotskystes se préoccupaient - déjà -
des élections.
Et je ne vois nullement dans ses assertions que la faune issue de mai 68
ait préconisée ce gnangnantisme de permissivité et de nivellement par le
bas. Rappelons que le grand tenant de cette catastrophe éducative est Lionel
Jospin, un ancien trotskyste appartenant à la sous chapelle la pire : la
FER-OCI (surnommé "courant lambertiste"). Les libertaires, dont je suis, ont
toujours associé la rigueur et la discussion dans la démarche éducative. Ce
n'est pas pour rien que le dernier syndicat anarchiste fut celui des
correcteurs.
Et pour finir il est bon de se poser la question de la causalité : A qui
le crime profite. Conditionner la jeunesse à la passivité soumise et ne
manipulant qu'un langage rudimentaire où aucun jeu de mot, aucune
distanciation, n'est possible, tant le discours n'est que du code, permet le
maintien de l'ordre (comme je le disais précédemment la capacité de révolte
de cette tranche d'âge tend vers zéro). On n'est pas loin de la "novlangue"
de 1984. Comme ils avaient bien raison, nos bons maîtres situationnistes, à
appeler "extrême gauche du Capital" ces groupuscules révolutionaristes et
qui n'aspiraient, en fait, qu'à finir dans les bureaucraties du
conditionnement des esprits quand ce n'est pas, carrément, sous les ors du
Sénat comme un certain Weber.
Un peu loin de notre propos d'origine, me direz-vous, mais en apparence
seulement. Au départ il s'agissait de remettre quelque peu en perspective
ces "économies d'énergie" dont on nous bassine (surtout pour faire monter
les taxes). Voulons nous d'un monde, pas trop peuplé, où chacun disposera de
toutes sortes d'objet, utiles ou non, qu'il estimera nécessaire à son
bien-être, ou de masses paupérisées où seules quelques castes disposeront
des biens matériels ? Nul doute que les trotskystes préfèrent le deuxième
cas, eux qui se considèrent toujours comme l'élite ou l'avant-garde. Ce sont
eux qui nous expliqueront que nous devons être "écologistes" avoir "le geste
vert" et autres formes modernes de l'antienne de la résignation des pauvres
même s'ils ne peuvent plus nous vendre la Jérusalem céleste.
--
Sur qu'une certaine faune de bobos trotskystes ont verrouillé l'éducnat
de telle façon que quiconque n'est pas issue de la secte IUFM ne peut pas
faire tâche éducative. Je me souviens d'une brave prof de piano issue de la
"société civile" racontait qu'elle était aussi mal vue des profs "certifiés"
que son collègue informaticien, lui aussi issu du monde extra-éducnat.
Mais nous pardonnerons volontiers à Vincent le fait de parler sans savoir
(après tout il est prof :-) ) en particulier d'ignorer que le mouvement de
68, LUI AUSSI, a été récupéré et cadenassé par les trotskystes alors qu'il
s'agissait, au départ, de réactions spontanées contre des actions de
répression inacceptables. Et dans les tentatives plus poussées qui s'en sont
ensuivies, pendant que certains recherchaient des formes de vies
alternatives et communautaires, les trotskystes se préoccupaient - déjà -
des élections.
Et je ne vois nullement dans ses assertions que la faune issue de mai 68
ait préconisée ce gnangnantisme de permissivité et de nivellement par le
bas. Rappelons que le grand tenant de cette catastrophe éducative est Lionel
Jospin, un ancien trotskyste appartenant à la sous chapelle la pire : la
FER-OCI (surnommé "courant lambertiste"). Les libertaires, dont je suis, ont
toujours associé la rigueur et la discussion dans la démarche éducative. Ce
n'est pas pour rien que le dernier syndicat anarchiste fut celui des
correcteurs.
Et pour finir il est bon de se poser la question de la causalité : A qui
le crime profite. Conditionner la jeunesse à la passivité soumise et ne
manipulant qu'un langage rudimentaire où aucun jeu de mot, aucune
distanciation, n'est possible, tant le discours n'est que du code, permet le
maintien de l'ordre (comme je le disais précédemment la capacité de révolte
de cette tranche d'âge tend vers zéro). On n'est pas loin de la "novlangue"
de 1984. Comme ils avaient bien raison, nos bons maîtres situationnistes, à
appeler "extrême gauche du Capital" ces groupuscules révolutionaristes et
qui n'aspiraient, en fait, qu'à finir dans les bureaucraties du
conditionnement des esprits quand ce n'est pas, carrément, sous les ors du
Sénat comme un certain Weber.
Un peu loin de notre propos d'origine, me direz-vous, mais en apparence
seulement. Au départ il s'agissait de remettre quelque peu en perspective
ces "économies d'énergie" dont on nous bassine (surtout pour faire monter
les taxes). Voulons nous d'un monde, pas trop peuplé, où chacun disposera de
toutes sortes d'objet, utiles ou non, qu'il estimera nécessaire à son
bien-être, ou de masses paupérisées où seules quelques castes disposeront
des biens matériels ? Nul doute que les trotskystes préfèrent le deuxième
cas, eux qui se considèrent toujours comme l'élite ou l'avant-garde. Ce sont
eux qui nous expliqueront que nous devons être "écologistes" avoir "le geste
vert" et autres formes modernes de l'antienne de la résignation des pauvres
même s'ils ne peuvent plus nous vendre la Jérusalem céleste.
--
Sur qu'une certaine faune de bobos trotskystes ont verrouillé l'éducnat
de telle façon que quiconque n'est pas issue de la secte IUFM ne peut pas
faire tâche éducative. Je me souviens d'une brave prof de piano issue de la
"société civile" racontait qu'elle était aussi mal vue des profs "certifiés"
que son collègue informaticien, lui aussi issu du monde extra-éducnat.
Mais nous pardonnerons volontiers à Vincent le fait de parler sans savoir
(après tout il est prof :-) ) en particulier d'ignorer que le mouvement de
68, LUI AUSSI, a été récupéré et cadenassé par les trotskystes alors qu'il
s'agissait, au départ, de réactions spontanées contre des actions de
répression inacceptables. Et dans les tentatives plus poussées qui s'en sont
ensuivies, pendant que certains recherchaient des formes de vies
alternatives et communautaires, les trotskystes se préoccupaient - déjà -
des élections.
Et je ne vois nullement dans ses assertions que la faune issue de mai 68
ait préconisée ce gnangnantisme de permissivité et de nivellement par le
bas. Rappelons que le grand tenant de cette catastrophe éducative est Lionel
Jospin, un ancien trotskyste appartenant à la sous chapelle la pire : la
FER-OCI (surnommé "courant lambertiste"). Les libertaires, dont je suis, ont
toujours associé la rigueur et la discussion dans la démarche éducative. Ce
n'est pas pour rien que le dernier syndicat anarchiste fut celui des
correcteurs.
Et pour finir il est bon de se poser la question de la causalité : A qui
le crime profite. Conditionner la jeunesse à la passivité soumise et ne
manipulant qu'un langage rudimentaire où aucun jeu de mot, aucune
distanciation, n'est possible, tant le discours n'est que du code, permet le
maintien de l'ordre (comme je le disais précédemment la capacité de révolte
de cette tranche d'âge tend vers zéro). On n'est pas loin de la "novlangue"
de 1984. Comme ils avaient bien raison, nos bons maîtres situationnistes, à
appeler "extrême gauche du Capital" ces groupuscules révolutionaristes et
qui n'aspiraient, en fait, qu'à finir dans les bureaucraties du
conditionnement des esprits quand ce n'est pas, carrément, sous les ors du
Sénat comme un certain Weber.
Un peu loin de notre propos d'origine, me direz-vous, mais en apparence
seulement. Au départ il s'agissait de remettre quelque peu en perspective
ces "économies d'énergie" dont on nous bassine (surtout pour faire monter
les taxes). Voulons nous d'un monde, pas trop peuplé, où chacun disposera de
toutes sortes d'objet, utiles ou non, qu'il estimera nécessaire à son
bien-être, ou de masses paupérisées où seules quelques castes disposeront
des biens matériels ? Nul doute que les trotskystes préfèrent le deuxième
cas, eux qui se considèrent toujours comme l'élite ou l'avant-garde. Ce sont
eux qui nous expliqueront que nous devons être "écologistes" avoir "le geste
vert" et autres formes modernes de l'antienne de la résignation des pauvres
même s'ils ne peuvent plus nous vendre la Jérusalem céleste.
--
Les élèves et étudiants sont face à des adultes en principe
compétents. S'ils ne savent pas s'adapter au public qu'ils ont en face
d'eux, et qui évolue, faut revoir les critères de sélection.
Les élèves et étudiants sont face à des adultes en principe
compétents. S'ils ne savent pas s'adapter au public qu'ils ont en face
d'eux, et qui évolue, faut revoir les critères de sélection.
Les élèves et étudiants sont face à des adultes en principe
compétents. S'ils ne savent pas s'adapter au public qu'ils ont en face
d'eux, et qui évolue, faut revoir les critères de sélection.
Je ne voudrais pas paraître impertinent, mais vous ne pourriez pas
alimenter ce fil dans un forum destiné à cet usage ?
Je ne voudrais pas paraître impertinent, mais vous ne pourriez pas
alimenter ce fil dans un forum destiné à cet usage ?
Je ne voudrais pas paraître impertinent, mais vous ne pourriez pas
alimenter ce fil dans un forum destiné à cet usage ?
Vincent Verdon wrote:Et avant les années 80 seuls quelques uns allaient longtemps à l'école.
Depuis, des éminences ont annoncées que 80 % d'une classe d'age devait
aller au bac...Démago.
De mon expérience, les réformes sociales de ce niveau accompagnent une
évolution sociale, elles ne la précèdent pas : quand De Gaulle prolonge
la scolarité obligatoire jusqu'à 16 ans, la réalité scolaire est une
fréquentation à 16 ans de pas loin de 90%. Donc, on se contente de
prolonger la gratuité de certains équipements deux ans de plus et
d'organiser l'accueil des 10% qui restent.
Par chez nous, 95% des jeunes sont en circuit scolaire et assimilés
(apprentissages) l'année de leurs 18 ans. Après, ça chûte très vite,
trop vite, même.
La démagogie, ça n'est pas de vouloir amener 80% d'une classe d'âge,
c'est de le faire sans rien faire pour le 20% qui reste. Et vu la
pression ambiante, chaque gamin ou presque, peut vivre avec cette épée
de Damoclès sur la tête, et surtout être persuadé que sans bac, on n'a
aucun avenir.
Vincent Verdon <vincent.verdon@laposte.net> wrote:
Et avant les années 80 seuls quelques uns allaient longtemps à l'école.
Depuis, des éminences ont annoncées que 80 % d'une classe d'age devait
aller au bac...Démago.
De mon expérience, les réformes sociales de ce niveau accompagnent une
évolution sociale, elles ne la précèdent pas : quand De Gaulle prolonge
la scolarité obligatoire jusqu'à 16 ans, la réalité scolaire est une
fréquentation à 16 ans de pas loin de 90%. Donc, on se contente de
prolonger la gratuité de certains équipements deux ans de plus et
d'organiser l'accueil des 10% qui restent.
Par chez nous, 95% des jeunes sont en circuit scolaire et assimilés
(apprentissages) l'année de leurs 18 ans. Après, ça chûte très vite,
trop vite, même.
La démagogie, ça n'est pas de vouloir amener 80% d'une classe d'âge,
c'est de le faire sans rien faire pour le 20% qui reste. Et vu la
pression ambiante, chaque gamin ou presque, peut vivre avec cette épée
de Damoclès sur la tête, et surtout être persuadé que sans bac, on n'a
aucun avenir.
Vincent Verdon wrote:Et avant les années 80 seuls quelques uns allaient longtemps à l'école.
Depuis, des éminences ont annoncées que 80 % d'une classe d'age devait
aller au bac...Démago.
De mon expérience, les réformes sociales de ce niveau accompagnent une
évolution sociale, elles ne la précèdent pas : quand De Gaulle prolonge
la scolarité obligatoire jusqu'à 16 ans, la réalité scolaire est une
fréquentation à 16 ans de pas loin de 90%. Donc, on se contente de
prolonger la gratuité de certains équipements deux ans de plus et
d'organiser l'accueil des 10% qui restent.
Par chez nous, 95% des jeunes sont en circuit scolaire et assimilés
(apprentissages) l'année de leurs 18 ans. Après, ça chûte très vite,
trop vite, même.
La démagogie, ça n'est pas de vouloir amener 80% d'une classe d'âge,
c'est de le faire sans rien faire pour le 20% qui reste. Et vu la
pression ambiante, chaque gamin ou presque, peut vivre avec cette épée
de Damoclès sur la tête, et surtout être persuadé que sans bac, on n'a
aucun avenir.
Vincent Verdon a écrit :Enseignant dans le domaine industriel, je ne me sens pas concerné par
cette remarque, qui est certainement vrai dans bien des cas.
Hélas... Si les dégâts se limitaient aux matières non scientifiques.
me souviens que la fille de mon voisin était venue pour que je l'aide à
faire un exercice de maths : l'énoncé du problème était une horreur
mathématique. Je lui ai fait son exercice non pas en cherchant en
résoudre le problème (puisque basé sur des prémisses fausses...) mais en
cherchant ce que l'enseignant attendait comme réponse !!! Et en lui
recommandant de faire remarquer à la personne en question que son
exercice n'avait aucun sens. Réponse : oui c'est vrai mais c'est pour
que les élèves apprennent !
Apprendre un raisonnement mathématique juste avec des exercices dont les
fondement sont faux, faut pas s'étonner que les élèves en question aient
du mal...
Vincent Verdon a écrit :
Enseignant dans le domaine industriel, je ne me sens pas concerné par
cette remarque, qui est certainement vrai dans bien des cas.
Hélas... Si les dégâts se limitaient aux matières non scientifiques.
me souviens que la fille de mon voisin était venue pour que je l'aide à
faire un exercice de maths : l'énoncé du problème était une horreur
mathématique. Je lui ai fait son exercice non pas en cherchant en
résoudre le problème (puisque basé sur des prémisses fausses...) mais en
cherchant ce que l'enseignant attendait comme réponse !!! Et en lui
recommandant de faire remarquer à la personne en question que son
exercice n'avait aucun sens. Réponse : oui c'est vrai mais c'est pour
que les élèves apprennent !
Apprendre un raisonnement mathématique juste avec des exercices dont les
fondement sont faux, faut pas s'étonner que les élèves en question aient
du mal...
Vincent Verdon a écrit :Enseignant dans le domaine industriel, je ne me sens pas concerné par
cette remarque, qui est certainement vrai dans bien des cas.
Hélas... Si les dégâts se limitaient aux matières non scientifiques.
me souviens que la fille de mon voisin était venue pour que je l'aide à
faire un exercice de maths : l'énoncé du problème était une horreur
mathématique. Je lui ai fait son exercice non pas en cherchant en
résoudre le problème (puisque basé sur des prémisses fausses...) mais en
cherchant ce que l'enseignant attendait comme réponse !!! Et en lui
recommandant de faire remarquer à la personne en question que son
exercice n'avait aucun sens. Réponse : oui c'est vrai mais c'est pour
que les élèves apprennent !
Apprendre un raisonnement mathématique juste avec des exercices dont les
fondement sont faux, faut pas s'étonner que les élèves en question aient
du mal...
Mais nous pardonnerons volontiers à Vincent le fait de parler sans savoir
(après tout il est prof :-) ) en particulier d'ignorer que le mouvement de
68, LUI AUSSI, a été récupéré et cadenassé par les trotskystes alors qu'il
s'agissait, au départ, de réactions spontanées contre des actions de
répression inacceptables. Et dans les tentatives plus poussées qui s'en sont
ensuivies, pendant que certains recherchaient des formes de vies
alternatives et communautaires, les trotskystes se préoccupaient - déjà -
des élections.
Et je ne vois nullement dans ses assertions que la faune issue de mai 68
ait préconisée ce gnangnantisme de permissivité et de nivellement par le
bas.
Jospin,
Un peu loin de notre propos d'origine, me direz-vous, mais en apparence
seulement. Au départ il s'agissait de remettre quelque peu en perspective
ces "économies d'énergie" dont on nous bassine (surtout pour faire monter
les taxes). Voulons nous d'un monde, pas trop peuplé, où chacun disposera de
toutes sortes d'objet, utiles ou non, qu'il estimera nécessaire à son
bien-être, ou de masses paupérisées où seules quelques castes disposeront
des biens matériels ? Nul doute que les trotskystes préfèrent le deuxième
cas, eux qui se considèrent toujours comme l'élite ou l'avant-garde. Ce sont
Mais nous pardonnerons volontiers à Vincent le fait de parler sans savoir
(après tout il est prof :-) ) en particulier d'ignorer que le mouvement de
68, LUI AUSSI, a été récupéré et cadenassé par les trotskystes alors qu'il
s'agissait, au départ, de réactions spontanées contre des actions de
répression inacceptables. Et dans les tentatives plus poussées qui s'en sont
ensuivies, pendant que certains recherchaient des formes de vies
alternatives et communautaires, les trotskystes se préoccupaient - déjà -
des élections.
Et je ne vois nullement dans ses assertions que la faune issue de mai 68
ait préconisée ce gnangnantisme de permissivité et de nivellement par le
bas.
Jospin,
Un peu loin de notre propos d'origine, me direz-vous, mais en apparence
seulement. Au départ il s'agissait de remettre quelque peu en perspective
ces "économies d'énergie" dont on nous bassine (surtout pour faire monter
les taxes). Voulons nous d'un monde, pas trop peuplé, où chacun disposera de
toutes sortes d'objet, utiles ou non, qu'il estimera nécessaire à son
bien-être, ou de masses paupérisées où seules quelques castes disposeront
des biens matériels ? Nul doute que les trotskystes préfèrent le deuxième
cas, eux qui se considèrent toujours comme l'élite ou l'avant-garde. Ce sont
Mais nous pardonnerons volontiers à Vincent le fait de parler sans savoir
(après tout il est prof :-) ) en particulier d'ignorer que le mouvement de
68, LUI AUSSI, a été récupéré et cadenassé par les trotskystes alors qu'il
s'agissait, au départ, de réactions spontanées contre des actions de
répression inacceptables. Et dans les tentatives plus poussées qui s'en sont
ensuivies, pendant que certains recherchaient des formes de vies
alternatives et communautaires, les trotskystes se préoccupaient - déjà -
des élections.
Et je ne vois nullement dans ses assertions que la faune issue de mai 68
ait préconisée ce gnangnantisme de permissivité et de nivellement par le
bas.
Jospin,
Un peu loin de notre propos d'origine, me direz-vous, mais en apparence
seulement. Au départ il s'agissait de remettre quelque peu en perspective
ces "économies d'énergie" dont on nous bassine (surtout pour faire monter
les taxes). Voulons nous d'un monde, pas trop peuplé, où chacun disposera de
toutes sortes d'objet, utiles ou non, qu'il estimera nécessaire à son
bien-être, ou de masses paupérisées où seules quelques castes disposeront
des biens matériels ? Nul doute que les trotskystes préfèrent le deuxième
cas, eux qui se considèrent toujours comme l'élite ou l'avant-garde. Ce sont
"Michel Giacomazzi" a écrit dans le message de news:
45f85ea1$0$25919$
| > |
| > Ah bon ? Donc tu ne te soucies plus d'anticiper d'anticiper leur
recyclage,
| > et la pollution qui en découle ? Ouf! on va pouvoir replonger dans notre
| > petit confort "égoïste"
| Ais-je dit cela ?
| Je ne suis pas ravi qu'on soit amené à utiliser des accus (pour
| l'électricité seulement) avec les saloperies qui vont avec, mais je
| considère que c'est un moindre mal : on peut sans trop de difficulté
| faire en sorte que ce ne soit pas nocif à l'utilisation et le recyclage
| est possible.
|
D'accord sur le papier. Mais alors une autre question doit t'être posée
:"quelle part d'utopie t'autorises-tu ?" Si tu n'es pas trop malhonnête avec
toi-même, tu sais parfaitement que la belle nature humaine que tu
affectionnes tant (moi aussi, ne me fais pas dire..) conduira à des
tricheries, abus, et autres entassements ou enfouissements sauvages de
batteries. Tu crois vraiment que les sites industriels abandonnés, avec fûts
exposés aux intempéries sont actuellement légaux ?
|
| Mais j'insiste (lourdement, d'accord) : réduire notre consommation est
| pour moi prioritaire.
| Et je suis persuadé que notre confort n'en serait pas détérioré.
|
Là je ne suis plus d'accord (tu m'excuses, hein ?)
Toutes les actions de l'Homme, progrès comme abus, découlent de sa
perpétuelle recherche de son Eden terrestre. Je regrette, vieux, mais les
appareils en veille, par exemple, qui me permettent de tout contrôler sans
lever mon cul de mon fauteuil participent de mon petit confort *absolument
indispensable*.
pour me faciliter la vie, je n'ai pratiquement plus besoin de l'inventer, il
me suffit de faire le chèque kivabien.
que l'objectif principal de l'Humanité est proche de l'aboutissement que
notre existence même n'a plus de raison d'être... le débat n'est même plus
écologique, mais philosophique. Ce n'est définitivement pas le lieu.
| > |
| > Mais justement, si je soulignais, ce point, c'est que l'économie de
| > ressources est négligeable... et l'implication écologique de ceux qui
| > pratiquent la chose, douteuse : combien, après avoir profité des
| > subventions, investiront les économies réalisées dans un plus fort
| Mais si, c'est l'économie énergétique qui est intéressante ici !
| Sur le comportement individuel, on ne peut évidemment pas savoir.
| A mon avis on peut croire ou non au sens civique des "bénéficiaires".
| Si on y croit, la question est réglée.
| Si on n'y croit pas, les mesures incitatives ou coercitives existent :
| les taxes ou la loi.
| > |
Où l'on revient à la tyrannie de l'écologie ;-(
| > |
| > Bon, on est au moins d'accord sur les progrès en matière d'isolation :-D
| Et comment !
| L'énergie la moins côuteuse est celle qu'on ne consomme pas.
|
C'est pour cela que j'envoie toujours ma femme chercher mes pantoufles... tu
vois bien que je fais des économies d'énergie :-))
| > |
| > J'en reviens à mon échelle : oui, l'Homme va sans doute devoir
disparaître,
| > au même titre que d'autres espèces avant lui, et sans doute bien
d'autres
| > après lui. Quel est donc cet orgueil démesuré qui te fait penser que
l'Homme
| > mériterait un meilleur sort que les dinosaures et les autres ?
| Peut-être un instinct collectif de survie de l'espèce, mais aussi un
| sentiment de "ratage" de notre passage.
|
Heu... tu permets que je double tes guillemets sur ratage ?
|
| Dans les conditions actuelles de notre planète, l'espèce humaine
| pourrait probablement exister, sauf accident cosmique, encore quelques
| millions d'années.
| Beaucoup d'observations me disent que l'espèce humaine va peut-être
| disparaître dans les années qui viennent, et surtout avec des règles de
| vie qui me dégoûtent.
|
Pour ceux qui auraient encore le courage de nous lire, sans connaître
l'échelle de comparaison apparue depuis quelques posts, je précise que si
l'on ramène l'existence de l'Univers à l'échelle de l'année humaine, il est
donc apparu le 1er janvier ; le Soleil est apparu, lui, le 1er avril
(marrant : c'était avant le calendrier julien la date du nouvel an), la
Terre fait son entrée en scène en novembre, les dinosaures vivent du 24 au
28 décembre, et l'Homme apparait le 31 décembre à 23h 59m 59s. Nous sommes
au petit matin du 1er janvier... le Soleil explosera exactement un an après
sa naissance.
Notre technologie nous permettra-t-elle de vivre plus longtemps que les
quatre jours des dinosaures, ou au contraire nos faiblesses corporelles nous
feront-elles tenir moins longtemps ? Qu'importe ! à la date fatidique, ni
nous, ni nos enfants, ni même nos petits-enfants ne serons plus là. Pas
évident de se sentir concerné, même en deux mots !
Quant à nos règles de vie, je t'accorde que l'on n'est pas loin de la
déchéance de l'Empire romain ! Mais justement, comme c'est déja arrivé par
le passé, pourquoi n'y aurait-il pas une nouvelle ère, toujours avec
l'Homme, mais une nouvelle évolution de l'Homme ; si cela peut te rassurer,
je veux bien même imaginer que tes lointains descendants fassent partie de
ceux qui passeront le cap et seront à l'origine de cette nouvelle Humanité.
Quant à moi, je m'aime bien, je me trouve plutôt pas inintéressant, comme
type, je suis absolument fou de ma merveilleuse épouse (si tu lui répètes,
t'es mort :
pour préserver mon honneur viril), et tu ne peux même pas imaginer à quel
point je suis fier de mes gosses. Mais je sais que je suis condamné à mourir
un jour du fait même de ma naissance, ma femme et mes enfants aussi, hélas !
Et leurs enfants, à leur tour, mourront. Tous ensemble ? bon... s'ils sont
au courant, ce sera en faisant la fête !
--
IOBA
"Michel Giacomazzi" <migia@wanadoo.fr> a écrit dans le message de news:
45f85ea1$0$25919$ba4acef3@news.orange.fr...
| > |
| > Ah bon ? Donc tu ne te soucies plus d'anticiper d'anticiper leur
recyclage,
| > et la pollution qui en découle ? Ouf! on va pouvoir replonger dans notre
| > petit confort "égoïste"
| Ais-je dit cela ?
| Je ne suis pas ravi qu'on soit amené à utiliser des accus (pour
| l'électricité seulement) avec les saloperies qui vont avec, mais je
| considère que c'est un moindre mal : on peut sans trop de difficulté
| faire en sorte que ce ne soit pas nocif à l'utilisation et le recyclage
| est possible.
|
D'accord sur le papier. Mais alors une autre question doit t'être posée
:"quelle part d'utopie t'autorises-tu ?" Si tu n'es pas trop malhonnête avec
toi-même, tu sais parfaitement que la belle nature humaine que tu
affectionnes tant (moi aussi, ne me fais pas dire..) conduira à des
tricheries, abus, et autres entassements ou enfouissements sauvages de
batteries. Tu crois vraiment que les sites industriels abandonnés, avec fûts
exposés aux intempéries sont actuellement légaux ?
|
| Mais j'insiste (lourdement, d'accord) : réduire notre consommation est
| pour moi prioritaire.
| Et je suis persuadé que notre confort n'en serait pas détérioré.
|
Là je ne suis plus d'accord (tu m'excuses, hein ?)
Toutes les actions de l'Homme, progrès comme abus, découlent de sa
perpétuelle recherche de son Eden terrestre. Je regrette, vieux, mais les
appareils en veille, par exemple, qui me permettent de tout contrôler sans
lever mon cul de mon fauteuil participent de mon petit confort *absolument
indispensable*.
pour me faciliter la vie, je n'ai pratiquement plus besoin de l'inventer, il
me suffit de faire le chèque kivabien.
que l'objectif principal de l'Humanité est proche de l'aboutissement que
notre existence même n'a plus de raison d'être... le débat n'est même plus
écologique, mais philosophique. Ce n'est définitivement pas le lieu.
| > |
| > Mais justement, si je soulignais, ce point, c'est que l'économie de
| > ressources est négligeable... et l'implication écologique de ceux qui
| > pratiquent la chose, douteuse : combien, après avoir profité des
| > subventions, investiront les économies réalisées dans un plus fort
| Mais si, c'est l'économie énergétique qui est intéressante ici !
| Sur le comportement individuel, on ne peut évidemment pas savoir.
| A mon avis on peut croire ou non au sens civique des "bénéficiaires".
| Si on y croit, la question est réglée.
| Si on n'y croit pas, les mesures incitatives ou coercitives existent :
| les taxes ou la loi.
| > |
Où l'on revient à la tyrannie de l'écologie ;-(
| > |
| > Bon, on est au moins d'accord sur les progrès en matière d'isolation :-D
| Et comment !
| L'énergie la moins côuteuse est celle qu'on ne consomme pas.
|
C'est pour cela que j'envoie toujours ma femme chercher mes pantoufles... tu
vois bien que je fais des économies d'énergie :-))
| > |
| > J'en reviens à mon échelle : oui, l'Homme va sans doute devoir
disparaître,
| > au même titre que d'autres espèces avant lui, et sans doute bien
d'autres
| > après lui. Quel est donc cet orgueil démesuré qui te fait penser que
l'Homme
| > mériterait un meilleur sort que les dinosaures et les autres ?
| Peut-être un instinct collectif de survie de l'espèce, mais aussi un
| sentiment de "ratage" de notre passage.
|
Heu... tu permets que je double tes guillemets sur ratage ?
|
| Dans les conditions actuelles de notre planète, l'espèce humaine
| pourrait probablement exister, sauf accident cosmique, encore quelques
| millions d'années.
| Beaucoup d'observations me disent que l'espèce humaine va peut-être
| disparaître dans les années qui viennent, et surtout avec des règles de
| vie qui me dégoûtent.
|
Pour ceux qui auraient encore le courage de nous lire, sans connaître
l'échelle de comparaison apparue depuis quelques posts, je précise que si
l'on ramène l'existence de l'Univers à l'échelle de l'année humaine, il est
donc apparu le 1er janvier ; le Soleil est apparu, lui, le 1er avril
(marrant : c'était avant le calendrier julien la date du nouvel an), la
Terre fait son entrée en scène en novembre, les dinosaures vivent du 24 au
28 décembre, et l'Homme apparait le 31 décembre à 23h 59m 59s. Nous sommes
au petit matin du 1er janvier... le Soleil explosera exactement un an après
sa naissance.
Notre technologie nous permettra-t-elle de vivre plus longtemps que les
quatre jours des dinosaures, ou au contraire nos faiblesses corporelles nous
feront-elles tenir moins longtemps ? Qu'importe ! à la date fatidique, ni
nous, ni nos enfants, ni même nos petits-enfants ne serons plus là. Pas
évident de se sentir concerné, même en deux mots !
Quant à nos règles de vie, je t'accorde que l'on n'est pas loin de la
déchéance de l'Empire romain ! Mais justement, comme c'est déja arrivé par
le passé, pourquoi n'y aurait-il pas une nouvelle ère, toujours avec
l'Homme, mais une nouvelle évolution de l'Homme ; si cela peut te rassurer,
je veux bien même imaginer que tes lointains descendants fassent partie de
ceux qui passeront le cap et seront à l'origine de cette nouvelle Humanité.
Quant à moi, je m'aime bien, je me trouve plutôt pas inintéressant, comme
type, je suis absolument fou de ma merveilleuse épouse (si tu lui répètes,
t'es mort :
pour préserver mon honneur viril), et tu ne peux même pas imaginer à quel
point je suis fier de mes gosses. Mais je sais que je suis condamné à mourir
un jour du fait même de ma naissance, ma femme et mes enfants aussi, hélas !
Et leurs enfants, à leur tour, mourront. Tous ensemble ? bon... s'ils sont
au courant, ce sera en faisant la fête !
--
IOBA
"Michel Giacomazzi" a écrit dans le message de news:
45f85ea1$0$25919$
| > |
| > Ah bon ? Donc tu ne te soucies plus d'anticiper d'anticiper leur
recyclage,
| > et la pollution qui en découle ? Ouf! on va pouvoir replonger dans notre
| > petit confort "égoïste"
| Ais-je dit cela ?
| Je ne suis pas ravi qu'on soit amené à utiliser des accus (pour
| l'électricité seulement) avec les saloperies qui vont avec, mais je
| considère que c'est un moindre mal : on peut sans trop de difficulté
| faire en sorte que ce ne soit pas nocif à l'utilisation et le recyclage
| est possible.
|
D'accord sur le papier. Mais alors une autre question doit t'être posée
:"quelle part d'utopie t'autorises-tu ?" Si tu n'es pas trop malhonnête avec
toi-même, tu sais parfaitement que la belle nature humaine que tu
affectionnes tant (moi aussi, ne me fais pas dire..) conduira à des
tricheries, abus, et autres entassements ou enfouissements sauvages de
batteries. Tu crois vraiment que les sites industriels abandonnés, avec fûts
exposés aux intempéries sont actuellement légaux ?
|
| Mais j'insiste (lourdement, d'accord) : réduire notre consommation est
| pour moi prioritaire.
| Et je suis persuadé que notre confort n'en serait pas détérioré.
|
Là je ne suis plus d'accord (tu m'excuses, hein ?)
Toutes les actions de l'Homme, progrès comme abus, découlent de sa
perpétuelle recherche de son Eden terrestre. Je regrette, vieux, mais les
appareils en veille, par exemple, qui me permettent de tout contrôler sans
lever mon cul de mon fauteuil participent de mon petit confort *absolument
indispensable*.
pour me faciliter la vie, je n'ai pratiquement plus besoin de l'inventer, il
me suffit de faire le chèque kivabien.
que l'objectif principal de l'Humanité est proche de l'aboutissement que
notre existence même n'a plus de raison d'être... le débat n'est même plus
écologique, mais philosophique. Ce n'est définitivement pas le lieu.
| > |
| > Mais justement, si je soulignais, ce point, c'est que l'économie de
| > ressources est négligeable... et l'implication écologique de ceux qui
| > pratiquent la chose, douteuse : combien, après avoir profité des
| > subventions, investiront les économies réalisées dans un plus fort
| Mais si, c'est l'économie énergétique qui est intéressante ici !
| Sur le comportement individuel, on ne peut évidemment pas savoir.
| A mon avis on peut croire ou non au sens civique des "bénéficiaires".
| Si on y croit, la question est réglée.
| Si on n'y croit pas, les mesures incitatives ou coercitives existent :
| les taxes ou la loi.
| > |
Où l'on revient à la tyrannie de l'écologie ;-(
| > |
| > Bon, on est au moins d'accord sur les progrès en matière d'isolation :-D
| Et comment !
| L'énergie la moins côuteuse est celle qu'on ne consomme pas.
|
C'est pour cela que j'envoie toujours ma femme chercher mes pantoufles... tu
vois bien que je fais des économies d'énergie :-))
| > |
| > J'en reviens à mon échelle : oui, l'Homme va sans doute devoir
disparaître,
| > au même titre que d'autres espèces avant lui, et sans doute bien
d'autres
| > après lui. Quel est donc cet orgueil démesuré qui te fait penser que
l'Homme
| > mériterait un meilleur sort que les dinosaures et les autres ?
| Peut-être un instinct collectif de survie de l'espèce, mais aussi un
| sentiment de "ratage" de notre passage.
|
Heu... tu permets que je double tes guillemets sur ratage ?
|
| Dans les conditions actuelles de notre planète, l'espèce humaine
| pourrait probablement exister, sauf accident cosmique, encore quelques
| millions d'années.
| Beaucoup d'observations me disent que l'espèce humaine va peut-être
| disparaître dans les années qui viennent, et surtout avec des règles de
| vie qui me dégoûtent.
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Pour ceux qui auraient encore le courage de nous lire, sans connaître
l'échelle de comparaison apparue depuis quelques posts, je précise que si
l'on ramène l'existence de l'Univers à l'échelle de l'année humaine, il est
donc apparu le 1er janvier ; le Soleil est apparu, lui, le 1er avril
(marrant : c'était avant le calendrier julien la date du nouvel an), la
Terre fait son entrée en scène en novembre, les dinosaures vivent du 24 au
28 décembre, et l'Homme apparait le 31 décembre à 23h 59m 59s. Nous sommes
au petit matin du 1er janvier... le Soleil explosera exactement un an après
sa naissance.
Notre technologie nous permettra-t-elle de vivre plus longtemps que les
quatre jours des dinosaures, ou au contraire nos faiblesses corporelles nous
feront-elles tenir moins longtemps ? Qu'importe ! à la date fatidique, ni
nous, ni nos enfants, ni même nos petits-enfants ne serons plus là. Pas
évident de se sentir concerné, même en deux mots !
Quant à nos règles de vie, je t'accorde que l'on n'est pas loin de la
déchéance de l'Empire romain ! Mais justement, comme c'est déja arrivé par
le passé, pourquoi n'y aurait-il pas une nouvelle ère, toujours avec
l'Homme, mais une nouvelle évolution de l'Homme ; si cela peut te rassurer,
je veux bien même imaginer que tes lointains descendants fassent partie de
ceux qui passeront le cap et seront à l'origine de cette nouvelle Humanité.
Quant à moi, je m'aime bien, je me trouve plutôt pas inintéressant, comme
type, je suis absolument fou de ma merveilleuse épouse (si tu lui répètes,
t'es mort :
pour préserver mon honneur viril), et tu ne peux même pas imaginer à quel
point je suis fier de mes gosses. Mais je sais que je suis condamné à mourir
un jour du fait même de ma naissance, ma femme et mes enfants aussi, hélas !
Et leurs enfants, à leur tour, mourront. Tous ensemble ? bon... s'ils sont
au courant, ce sera en faisant la fête !
--
IOBA
Apprendre à reconnaître que les prémisses sont faux, ça peut aider
aussi. Apprendre qu'il n'y a pas de réponse à un problème donné, c'est
aussi apprendre à distinguer la réponse attendue de la réponse "vraie".
Apprendre à reconnaître que les prémisses sont faux, ça peut aider
aussi. Apprendre qu'il n'y a pas de réponse à un problème donné, c'est
aussi apprendre à distinguer la réponse attendue de la réponse "vraie".
Apprendre à reconnaître que les prémisses sont faux, ça peut aider
aussi. Apprendre qu'il n'y a pas de réponse à un problème donné, c'est
aussi apprendre à distinguer la réponse attendue de la réponse "vraie".
"eric" a écrit dans le message de news:
ça se discute. Chez mon employeur, les pc rendent l'âme d'abord à cause
de la poussière, bien avant les problèmes purement électriques.
Surtout avec la mode stupide de poser les unités centrales par terre où
elles servent d'aspirateurs. Outre que ce n'est pas commode pour
introduire une disquette ou un CD (je suis un vieux rhumatisant), j'aime
bien voir la petite loupiote d'accès des disques durs pour voir si le
système est en train de gratter quelque part.
"eric" <eric.tresorier@freestopspam.fr> a écrit dans le message de news:
Xns98EFA1C555536erictresorierfreesto@127.0.0.1...
ça se discute. Chez mon employeur, les pc rendent l'âme d'abord à cause
de la poussière, bien avant les problèmes purement électriques.
Surtout avec la mode stupide de poser les unités centrales par terre où
elles servent d'aspirateurs. Outre que ce n'est pas commode pour
introduire une disquette ou un CD (je suis un vieux rhumatisant), j'aime
bien voir la petite loupiote d'accès des disques durs pour voir si le
système est en train de gratter quelque part.
"eric" a écrit dans le message de news:
ça se discute. Chez mon employeur, les pc rendent l'âme d'abord à cause
de la poussière, bien avant les problèmes purement électriques.
Surtout avec la mode stupide de poser les unités centrales par terre où
elles servent d'aspirateurs. Outre que ce n'est pas commode pour
introduire une disquette ou un CD (je suis un vieux rhumatisant), j'aime
bien voir la petite loupiote d'accès des disques durs pour voir si le
système est en train de gratter quelque part.
Surtout avec la mode stupide de poser les unités centrales par
terre où
elles servent d'aspirateurs. Outre que ce n'est pas commode pour
introduire une disquette ou un CD (je suis un vieux rhumatisant),
j'aime bien voir la petite loupiote d'accès des disques durs pour voir
si le système est en train de gratter quelque part.
J'ai déjà essayé de leur expliquer... peine perdue, je fais un très
mauvais prof. :,o)
Surtout avec la mode stupide de poser les unités centrales par
terre où
elles servent d'aspirateurs. Outre que ce n'est pas commode pour
introduire une disquette ou un CD (je suis un vieux rhumatisant),
j'aime bien voir la petite loupiote d'accès des disques durs pour voir
si le système est en train de gratter quelque part.
J'ai déjà essayé de leur expliquer... peine perdue, je fais un très
mauvais prof. :,o)
Surtout avec la mode stupide de poser les unités centrales par
terre où
elles servent d'aspirateurs. Outre que ce n'est pas commode pour
introduire une disquette ou un CD (je suis un vieux rhumatisant),
j'aime bien voir la petite loupiote d'accès des disques durs pour voir
si le système est en train de gratter quelque part.
J'ai déjà essayé de leur expliquer... peine perdue, je fais un très
mauvais prof. :,o)