Je viens d'avoir une information que l'état nationnal Français avait nommé
des fonctionnaires inutiles et assermentés par l'état qui ont pour rôle de
traquer sur le NET tous de forme de téléchargement de DivX normaux et MP3
dites "illégal" par les majors .
Explication :
"Le fonctionnaire télécharge un titre sur Kazaa sur une machine, reléve à
coté de la machine l'@IP du client qui posséde ce titre, il trace cette @IP
, et saisie justice et voilà le piége qui se referme à l'internaute qui à
partagé le titre car le provider à, sur décision de justice ,fournit l'@IP."
Fin de l'explication.
De plus au yeux de la société les fonctionnaires ne produisent pas, mais
n'en parlons pour
ces fonctionnaires qui font basculer la vie de quelques internautes qui
téléchargent de la musique et DivX et logiciels en les traquants.
Les fonctionnaires policiers c'est utile pour la société mais certainement
pas les fonctionnaires traqueurs de MP3 et DIVX qui ne sont ni et ne servant
rien et qui coute de l'argent à l'Etat que lui promettait de ne pas dépenser
1 euro de plus.
Mon opinion : C'est abonimable et dégoutant.
De plus on préferait que ces fonctionnaires traquent les contenues racistes
et pédophiles,nécrophilies au lieu de DivX et musique , là OK il se serait
beaucoup plus utile au yeux de la société !
Télécharger des contenues pédophile racisme ,nécrophilie c'est trés trés
grave et doit être réprimer.
Télécharger des contenus DIVX et musicaux ,logiciels ,pffffffff, c'est
tabou, cé pagrave du tout mais c'est illégal comme même car c'est les majors
l'ont demandé !.
En tout cas je suis fiers qu'il y aie en Frabce au moin 23 millions
d'internautes qui téléchargent des DivX,Mp3,logiciels car ce ne sont pas des
cybercriminel ! et n'ont aucun lien avec
Ai Kaïda.
Il faudrait qu'il y en aie plus de téléchargeur de MP3 Divx logiciel en
France et aussi au Etats-Unis et encore aussi ailleurs !
NOTE : On n'est pas tellement polie de déterminer l'@IP d'un client sur
Kazaa.
Il faut que ces internautes considérent que ces procés contre le piratage du
NET est en sorte un genre de cancer qui se soigne mal, comme on à du mal à
s'en tirer d'un procés pareille.
Solveur si la perte d'argent des majors serait du au piratage :
_Augmenter de 10 à 20 Euros les prix mensuels d'abonnement providers
Solution au sujet de l'information abominable et dégoutant : Subir "rien à
faire" et que les internautes qui téléchargent espérent qu'ils ne seront pas
dans la prochaine liste des poursuites pénales !.
FIN.
Merci d'avoir lut l'info qui va s'empirer d'avantage.
Le CPI accorde aux associations d'auteurs le droit d'avoir des agents assermenté
Article L331-2 Outre les procès-verbaux des officiers ou agents de police judiciaire, la preuve de la matérialité de toute infraction aux dispositions des livres Ier, II et III du présent code et de l'article 52 de la loi nº 85-660 du 3 juillet 1985 relative aux droits d'auteur et aux droits des artistes interprètes, des producteurs de phonogrammes et de vidéogrammes et des entreprises de communication audiovisuelle peut résulter des constatations d'agents assermentés désignés selon les cas par le Centre national de la cinématographie, par les organismes professionnels d'auteurs et par les sociétés mentionnées au titre II du présent livre. Ces agents sont agréés par le ministre chargé de la culture dans les conditions prévues par un décret en Conseil d'Etat
> qui bossent pour les majors et qui vont demander au > gentil FAI de leur donner le nom du mec qui "se cache" derrière l'IP > fautive
À la requête de quel juge ?
Le constat fait par l'agent assermenté apportera la preuve nécessaire pour qu'un juge prenne une décision. Tout cela n'est pas une nouveauté.
Dans l'article <40a1b94a.15624186@news.neottia.net>, Michel Guillou
<mg@neottia.net> a promptement déclamé ...
Francoise Marre-Fournier écrivait :
> JT de F3, mais ce ne sont pas des fonctionnaires, juste des types
> "assermentés" (sic)
Le CPI accorde aux associations d'auteurs le droit d'avoir des agents
assermenté
Article L331-2
Outre les procès-verbaux des officiers ou agents de police
judiciaire, la preuve de la matérialité de toute infraction aux
dispositions des livres Ier, II et III du présent code et de l'article
52 de la loi nº 85-660 du 3 juillet 1985 relative aux droits d'auteur et
aux droits des artistes interprètes, des producteurs de phonogrammes et
de vidéogrammes et des entreprises de communication audiovisuelle peut
résulter des constatations d'agents assermentés désignés selon les cas
par le Centre national de la cinématographie, par les organismes
professionnels d'auteurs et par les sociétés mentionnées au titre II du
présent livre. Ces agents sont agréés par le ministre chargé de la
culture dans les conditions prévues par un décret en Conseil d'Etat
> qui bossent pour les majors et qui vont demander au
> gentil FAI de leur donner le nom du mec qui "se cache" derrière l'IP
> fautive
À la requête de quel juge ?
Le constat fait par l'agent assermenté apportera la preuve nécessaire
pour qu'un juge prenne une décision.
Tout cela n'est pas une nouveauté.
Le CPI accorde aux associations d'auteurs le droit d'avoir des agents assermenté
Article L331-2 Outre les procès-verbaux des officiers ou agents de police judiciaire, la preuve de la matérialité de toute infraction aux dispositions des livres Ier, II et III du présent code et de l'article 52 de la loi nº 85-660 du 3 juillet 1985 relative aux droits d'auteur et aux droits des artistes interprètes, des producteurs de phonogrammes et de vidéogrammes et des entreprises de communication audiovisuelle peut résulter des constatations d'agents assermentés désignés selon les cas par le Centre national de la cinématographie, par les organismes professionnels d'auteurs et par les sociétés mentionnées au titre II du présent livre. Ces agents sont agréés par le ministre chargé de la culture dans les conditions prévues par un décret en Conseil d'Etat
> qui bossent pour les majors et qui vont demander au > gentil FAI de leur donner le nom du mec qui "se cache" derrière l'IP > fautive
À la requête de quel juge ?
Le constat fait par l'agent assermenté apportera la preuve nécessaire pour qu'un juge prenne une décision. Tout cela n'est pas une nouveauté.
Thierry Schollier
Spyou nous disait ici-même:
Ce n'est pas "dit illégal", *C'EST* illégal.
Non.
Le jour où un juge dira que c'est illégal, vous pourrez affirmer ça, pas avant.
Sauf si le juge le fait à la canadienne. Là, les majors se boufferont les doigts d'avoir opté pour la mauvaise stratégie. -- Thierry.
Spyou nous disait ici-même:
Ce n'est pas "dit illégal", *C'EST* illégal.
Non.
Le jour où un juge dira que c'est illégal, vous pourrez affirmer ça,
pas avant.
Sauf si le juge le fait à la canadienne. Là, les majors se boufferont
les doigts d'avoir opté pour la mauvaise stratégie.
--
Thierry.
Le jour où un juge dira que c'est illégal, vous pourrez affirmer ça, pas avant.
Sauf si le juge le fait à la canadienne. Là, les majors se boufferont les doigts d'avoir opté pour la mauvaise stratégie. -- Thierry.
manu
PAP wrote:
En attendant, et que tu le veuilles ou non, et que ça te plaise ou non, il est *illégal* de télécharger tout fichier (pas seulement DivX ou MP3...) non libre de droits, et il est illégal également de les proposer aux autres internautes. même gratuitement. Point barre. C'est la loi, et comme ici c'est un forum de droit, la loi, on l'analyse, mais on la refait pas.
Faux: on peut télécharger et echanger gratuitement du logiciel libre, et il n'est pourtant pas dans le domaine public.
-- Emmanuel Dreyfus Un bouquin en français sur BSD: http://www.eyrolles.com/php.informatique/Ouvrages/9782212112443.php3
PAP <papjustepap@9online.fr> wrote:
En attendant, et que tu le veuilles ou non, et que ça te plaise ou non, il
est *illégal* de télécharger tout fichier (pas seulement DivX ou MP3...) non
libre de droits, et il est illégal également de les proposer aux autres
internautes. même gratuitement. Point barre. C'est la loi, et comme ici
c'est un forum de droit, la loi, on l'analyse, mais on la refait pas.
Faux: on peut télécharger et echanger gratuitement du logiciel libre, et
il n'est pourtant pas dans le domaine public.
--
Emmanuel Dreyfus
Un bouquin en français sur BSD:
http://www.eyrolles.com/php.informatique/Ouvrages/9782212112443.php3
manu@netbsd.org
En attendant, et que tu le veuilles ou non, et que ça te plaise ou non, il est *illégal* de télécharger tout fichier (pas seulement DivX ou MP3...) non libre de droits, et il est illégal également de les proposer aux autres internautes. même gratuitement. Point barre. C'est la loi, et comme ici c'est un forum de droit, la loi, on l'analyse, mais on la refait pas.
Faux: on peut télécharger et echanger gratuitement du logiciel libre, et il n'est pourtant pas dans le domaine public.
-- Emmanuel Dreyfus Un bouquin en français sur BSD: http://www.eyrolles.com/php.informatique/Ouvrages/9782212112443.php3
Michel Guillou
Brina écrivait :
Le constat fait par l'agent assermenté apportera la preuve nécessaire pour qu'un juge prenne une décision.
Sauf erreur, un tel éventuel constat n'est pas une preuve mais un élément permettant à un juge d'instruire. Faut pas tout mélanger.
-- ~ Michel Guillou
Brina écrivait :
Le constat fait par l'agent assermenté apportera la preuve nécessaire
pour qu'un juge prenne une décision.
Sauf erreur, un tel éventuel constat n'est pas une preuve mais un élément
permettant à un juge d'instruire. Faut pas tout mélanger.
Le constat fait par l'agent assermenté apportera la preuve nécessaire pour qu'un juge prenne une décision.
Sauf erreur, un tel éventuel constat n'est pas une preuve mais un élément permettant à un juge d'instruire. Faut pas tout mélanger.
-- ~ Michel Guillou
Eric B
Nicolas Ballerde wrote:
Information,abominable et dégoutant !
(snip)
Bon, j'ai pas bien compris... qu'est ce qu'il y a de si abominable et dégoutant dans le fait que des éditeurs se donnent les moyens de poursuivre ceux qui les volent (je dirai plutôt ceux qui mettent à disposition les oeuvres qu'ils commercialisent, l'utilisateur de Kazaa moyen n'est pas visé par ce système directement). Explique-toi, je ne comprends pas ton indignation...
EB
Nicolas Ballerde wrote:
Information,abominable et dégoutant !
(snip)
Bon, j'ai pas bien compris... qu'est ce qu'il y a de si abominable et
dégoutant dans le fait que des éditeurs se donnent les moyens de poursuivre
ceux qui les volent (je dirai plutôt ceux qui mettent à disposition les
oeuvres qu'ils commercialisent, l'utilisateur de Kazaa moyen n'est pas visé
par ce système directement).
Explique-toi, je ne comprends pas ton indignation...
Bon, j'ai pas bien compris... qu'est ce qu'il y a de si abominable et dégoutant dans le fait que des éditeurs se donnent les moyens de poursuivre ceux qui les volent (je dirai plutôt ceux qui mettent à disposition les oeuvres qu'ils commercialisent, l'utilisateur de Kazaa moyen n'est pas visé par ce système directement). Explique-toi, je ne comprends pas ton indignation...
EB
JmG
gl wrote:
> Solveur si la perte d'argent des majors serait du au piratage : > _Augmenter de 10 à 20 Euros les prix mensuels d'abonnement providers >
Pourquoi devrions nous payer plus cher notre abonnement internet pour que d'autres puissent pirater (et donc se mettre dans l'illegalite) en paix ?
Pur l'exacte même raison qui te fait payer plus cher les CD vierges que tu achètes par exemple. Alors que bien sûr, tu n'y graves que les sauvegardes de tes fichiers perso.
-- Le génie fait ce qu'il doit. Le talent fait ce qu'il peut.
gl <gregory.lerbret@wanadoo.frNOSPAM> wrote:
> Solveur si la perte d'argent des majors serait du au piratage :
> _Augmenter de 10 à 20 Euros les prix mensuels d'abonnement providers
>
Pourquoi devrions nous payer plus cher notre abonnement internet pour
que d'autres puissent pirater (et donc se mettre dans l'illegalite) en
paix ?
Pur l'exacte même raison qui te fait payer plus cher les CD vierges que
tu achètes par exemple.
Alors que bien sûr, tu n'y graves que les sauvegardes de tes fichiers
perso.
--
Le génie fait ce qu'il doit.
Le talent fait ce qu'il peut.
> Solveur si la perte d'argent des majors serait du au piratage : > _Augmenter de 10 à 20 Euros les prix mensuels d'abonnement providers >
Pourquoi devrions nous payer plus cher notre abonnement internet pour que d'autres puissent pirater (et donc se mettre dans l'illegalite) en paix ?
Pur l'exacte même raison qui te fait payer plus cher les CD vierges que tu achètes par exemple. Alors que bien sûr, tu n'y graves que les sauvegardes de tes fichiers perso.
-- Le génie fait ce qu'il doit. Le talent fait ce qu'il peut.
grokub
Michel Guillou wrote:
Ah ! Et les journalistes n'ont rien dit ? Pas de commentaires ?
Non, mais ils ont donné la parole aux représentants des maisons de disque qui ont dit que les FAI encourageaient la contrefaçon en en faisant un argument de vente, que c'était injuste qu'ils se fassent du blé sur le dos des pov' maisons de disque qui, elles, avaient investi.
Puis il y a eu un petit rappel sur la méchante cassette audio qui allait tuer le disque en 1970, que l'industrie du disque avait déjà geint (geindre) à cette époque. Puis ils ont montré les chaînes de fabrication des CD pour rappeler, de façon subliminale, que c'est l'industrie du disque qui a elle même décrété la dissémination massive les oeuvres sous forme numérique (pour doubler les prix), ouvrant ainsi la voie à la copie.
Ils ont omis de poser sérieusement la question de la chute des ventes. Parcequ'une industrie du disque qui en est réduite à écumer la province pour nous livrer des poulets gonflés à l'hélium de la Star Academie et autres usines à baudruches, faut pas chercher bien loin pourquoi les galettes lui restent sur les bras.
Il y eut aussi une séquence sur un type qui avait une discothèque hallucinante, qui expliquait qu'il se servait d'internet pour découvrir des oeuvres et qu'il les achetait "pour avoir une meilleure qualité et parce qu'il respectait le droit des auteurs". Des fois, le bon sens passe à la télé.
[Supprimer le fu2 si retour en thème]
-- Jean-Yves Bernier http://www.pescadoo.net/
Michel Guillou <mg@neottia.net> wrote:
Ah ! Et les journalistes n'ont rien dit ? Pas de commentaires ?
Non, mais ils ont donné la parole aux représentants des maisons de
disque qui ont dit que les FAI encourageaient la contrefaçon en en
faisant un argument de vente, que c'était injuste qu'ils se fassent du
blé sur le dos des pov' maisons de disque qui, elles, avaient investi.
Puis il y a eu un petit rappel sur la méchante cassette audio qui allait
tuer le disque en 1970, que l'industrie du disque avait déjà geint
(geindre) à cette époque. Puis ils ont montré les chaînes de fabrication
des CD pour rappeler, de façon subliminale, que c'est l'industrie du
disque qui a elle même décrété la dissémination massive les oeuvres
sous forme numérique (pour doubler les prix), ouvrant ainsi la voie à la
copie.
Ils ont omis de poser sérieusement la question de la chute des ventes.
Parcequ'une industrie du disque qui en est réduite à écumer la province
pour nous livrer des poulets gonflés à l'hélium de la Star Academie et
autres usines à baudruches, faut pas chercher bien loin pourquoi les
galettes lui restent sur les bras.
Il y eut aussi une séquence sur un type qui avait une discothèque
hallucinante, qui expliquait qu'il se servait d'internet pour découvrir
des oeuvres et qu'il les achetait "pour avoir une meilleure qualité et
parce qu'il respectait le droit des auteurs". Des fois, le bon sens
passe à la télé.
Ah ! Et les journalistes n'ont rien dit ? Pas de commentaires ?
Non, mais ils ont donné la parole aux représentants des maisons de disque qui ont dit que les FAI encourageaient la contrefaçon en en faisant un argument de vente, que c'était injuste qu'ils se fassent du blé sur le dos des pov' maisons de disque qui, elles, avaient investi.
Puis il y a eu un petit rappel sur la méchante cassette audio qui allait tuer le disque en 1970, que l'industrie du disque avait déjà geint (geindre) à cette époque. Puis ils ont montré les chaînes de fabrication des CD pour rappeler, de façon subliminale, que c'est l'industrie du disque qui a elle même décrété la dissémination massive les oeuvres sous forme numérique (pour doubler les prix), ouvrant ainsi la voie à la copie.
Ils ont omis de poser sérieusement la question de la chute des ventes. Parcequ'une industrie du disque qui en est réduite à écumer la province pour nous livrer des poulets gonflés à l'hélium de la Star Academie et autres usines à baudruches, faut pas chercher bien loin pourquoi les galettes lui restent sur les bras.
Il y eut aussi une séquence sur un type qui avait une discothèque hallucinante, qui expliquait qu'il se servait d'internet pour découvrir des oeuvres et qu'il les achetait "pour avoir une meilleure qualité et parce qu'il respectait le droit des auteurs". Des fois, le bon sens passe à la télé.
[Supprimer le fu2 si retour en thème]
-- Jean-Yves Bernier http://www.pescadoo.net/
Francoise Marre-Fournier
Michel Guillou nous disait, ici :
Ah ! Et les journalistes n'ont rien dit ? Pas de commentaires ?
Dans mon souvenir, ça c'est fini par l'entretien avec un avocat à charge contre les délinquants du téléchargement.
-- 2F - Le fonctionnement des news : http://www.usenet-fr.net/ FAQ fctt : http://www.grappa.univ-lille3.fr/FAQ-LaTeX/
Michel Guillou nous disait, ici <40a1b94a.15624186@news.neottia.net> :
Ah ! Et les journalistes n'ont rien dit ? Pas de commentaires ?
Dans mon souvenir, ça c'est fini par l'entretien avec un avocat à charge
contre les délinquants du téléchargement.
--
2F -
Le fonctionnement des news : http://www.usenet-fr.net/
FAQ fctt : http://www.grappa.univ-lille3.fr/FAQ-LaTeX/
Ah ! Et les journalistes n'ont rien dit ? Pas de commentaires ?
Dans mon souvenir, ça c'est fini par l'entretien avec un avocat à charge contre les délinquants du téléchargement.
-- 2F - Le fonctionnement des news : http://www.usenet-fr.net/ FAQ fctt : http://www.grappa.univ-lille3.fr/FAQ-LaTeX/
gl
JmG wrote:
gl wrote:
Solveur si la perte d'argent des majors serait du au piratage : _Augmenter de 10 à 20 Euros les prix mensuels d'abonnement providers
Pourquoi devrions nous payer plus cher notre abonnement internet pour que d'autres puissent pirater (et donc se mettre dans l'illegalite) en paix ?
Pur l'exacte même raison qui te fait payer plus cher les CD vierges que tu achètes par exemple. Alors que bien sûr, tu n'y graves que les sauvegardes de tes fichiers perso.
Certes, mais il n'empeche que je trouve la taxe sur les supports vierges totalement absurde. Ceci etant vu le nombre de CDs que j'utilise ca ne me gene pas vraiment.
JmG wrote:
gl <gregory.lerbret@wanadoo.frNOSPAM> wrote:
Solveur si la perte d'argent des majors serait du au piratage :
_Augmenter de 10 à 20 Euros les prix mensuels d'abonnement providers
Pourquoi devrions nous payer plus cher notre abonnement internet pour
que d'autres puissent pirater (et donc se mettre dans l'illegalite) en
paix ?
Pur l'exacte même raison qui te fait payer plus cher les CD vierges que
tu achètes par exemple.
Alors que bien sûr, tu n'y graves que les sauvegardes de tes fichiers
perso.
Certes, mais il n'empeche que je trouve la taxe sur les supports vierges
totalement absurde. Ceci etant vu le nombre de CDs que j'utilise ca ne
me gene pas vraiment.
Solveur si la perte d'argent des majors serait du au piratage : _Augmenter de 10 à 20 Euros les prix mensuels d'abonnement providers
Pourquoi devrions nous payer plus cher notre abonnement internet pour que d'autres puissent pirater (et donc se mettre dans l'illegalite) en paix ?
Pur l'exacte même raison qui te fait payer plus cher les CD vierges que tu achètes par exemple. Alors que bien sûr, tu n'y graves que les sauvegardes de tes fichiers perso.
Certes, mais il n'empeche que je trouve la taxe sur les supports vierges totalement absurde. Ceci etant vu le nombre de CDs que j'utilise ca ne me gene pas vraiment.
grokub
Francoise Marre-Fournier wrote:
Dans mon souvenir, ça c'est fini par l'entretien avec un avocat à charge contre les délinquants du téléchargement.
Maître Itéanu.
Il ressort aussi ce discours pernicieux :
Nous ne poursuivons que les "vrais" pirates (ceux qui en font commerce), qui joue sur "c'est mal de poursuivre des ados ou des retraités" puisque tout le monde télécharge, de la ménagère à la grand-mère.
Discours faussement moralisant qui aboutit à une banalistion du fait et à le faire percevoir comme la première finalité d'internet.
Discours pernicieux car si c'est "normal" et "le premier usage d'internet", ça nous prépare la taxe.
La logique est la même que pour les suports d'enregistrement: X% des supports servent à copier des oeuvres protégées, X est grand, "donc" il est légitime de percevoir une taxe.
Extension: tout support reçoit des oeuvres contrefaites, tout tuyau transporte des oeuvres contrefaites, tout ordinateur manipule des oeuvres contrefaites.
Le créateur de Napster (dont j'ai oublié le nom, qu'il me pardonne) a eu des mots de bon sens: avec (?) millions d'utilisateurs de Napster dans la rue, on aurait pu mettre fin au paiement des oeuvres culturelles. Je me suis arrêté parceque (de mémoire : ça nétait pas souhaitable).
Il est maintenant chez EMI.
Le débat est là. Des millions de gens considérent que voler (selon les définitions d'aujourd'hui) est normal. Faut-il revoir la définition du vol?
Il se pourrait que certains, et pas seulement les zinzinternautes, aient intérêt à ce qu'elle le soit.
Car des millions de gens à poursuivre, ça pose problème. Que devient une loi si elle est enfreinte par un nombre de contrevenants qu'elle ne pourra jamais poursuivre, voir "tout le monde" ou "presque tout le monde"?
Faut-il institutionnaliser une tolérance pour le piratage artisanal, la grand-mère innocente (forcément innocente), la ménagère honnête, le chômeur démuni?
Non, même si c'est une position difficile à tenir. Grand-mère est coupable!
Il faut s'opposer à cette banalisation (comme ce groupe l'a toujours fait, semble-t-il) car elle ne pourra que se payer par une taxe, ce qui serait reconnaître que les produits de Disney sont de première nécessité pour le citoyen, et qu'internet n'est plus qu'un réseau de transport de Miquets.
Dans mon souvenir, ça c'est fini par l'entretien avec un avocat à charge
contre les délinquants du téléchargement.
Maître Itéanu.
Il ressort aussi ce discours pernicieux :
Nous ne poursuivons que les "vrais" pirates (ceux qui en font commerce),
qui joue sur "c'est mal de poursuivre des ados ou des retraités" puisque
tout le monde télécharge, de la ménagère à la grand-mère.
Discours faussement moralisant qui aboutit à une banalistion du fait et
à le faire percevoir comme la première finalité d'internet.
Discours pernicieux car si c'est "normal" et "le premier usage
d'internet", ça nous prépare la taxe.
La logique est la même que pour les suports d'enregistrement: X% des
supports servent à copier des oeuvres protégées, X est grand, "donc" il
est légitime de percevoir une taxe.
Extension: tout support reçoit des oeuvres contrefaites, tout tuyau
transporte des oeuvres contrefaites, tout ordinateur manipule des
oeuvres contrefaites.
Le créateur de Napster (dont j'ai oublié le nom, qu'il me pardonne) a eu
des mots de bon sens: avec (?) millions d'utilisateurs de Napster dans
la rue, on aurait pu mettre fin au paiement des oeuvres culturelles. Je
me suis arrêté parceque (de mémoire : ça nétait pas souhaitable).
Il est maintenant chez EMI.
Le débat est là. Des millions de gens considérent que voler (selon les
définitions d'aujourd'hui) est normal. Faut-il revoir la définition du
vol?
Il se pourrait que certains, et pas seulement les zinzinternautes, aient
intérêt à ce qu'elle le soit.
Car des millions de gens à poursuivre, ça pose problème. Que devient
une loi si elle est enfreinte par un nombre de contrevenants qu'elle ne
pourra jamais poursuivre, voir "tout le monde" ou "presque tout le
monde"?
Faut-il institutionnaliser une tolérance pour le piratage artisanal, la
grand-mère innocente (forcément innocente), la ménagère honnête,
le chômeur démuni?
Non, même si c'est une position difficile à tenir.
Grand-mère est coupable!
Il faut s'opposer à cette banalisation (comme ce groupe l'a toujours
fait, semble-t-il) car elle ne pourra que se payer par une taxe, ce qui
serait reconnaître que les produits de Disney sont de première nécessité
pour le citoyen, et qu'internet n'est plus qu'un réseau de transport de
Miquets.
Dans mon souvenir, ça c'est fini par l'entretien avec un avocat à charge contre les délinquants du téléchargement.
Maître Itéanu.
Il ressort aussi ce discours pernicieux :
Nous ne poursuivons que les "vrais" pirates (ceux qui en font commerce), qui joue sur "c'est mal de poursuivre des ados ou des retraités" puisque tout le monde télécharge, de la ménagère à la grand-mère.
Discours faussement moralisant qui aboutit à une banalistion du fait et à le faire percevoir comme la première finalité d'internet.
Discours pernicieux car si c'est "normal" et "le premier usage d'internet", ça nous prépare la taxe.
La logique est la même que pour les suports d'enregistrement: X% des supports servent à copier des oeuvres protégées, X est grand, "donc" il est légitime de percevoir une taxe.
Extension: tout support reçoit des oeuvres contrefaites, tout tuyau transporte des oeuvres contrefaites, tout ordinateur manipule des oeuvres contrefaites.
Le créateur de Napster (dont j'ai oublié le nom, qu'il me pardonne) a eu des mots de bon sens: avec (?) millions d'utilisateurs de Napster dans la rue, on aurait pu mettre fin au paiement des oeuvres culturelles. Je me suis arrêté parceque (de mémoire : ça nétait pas souhaitable).
Il est maintenant chez EMI.
Le débat est là. Des millions de gens considérent que voler (selon les définitions d'aujourd'hui) est normal. Faut-il revoir la définition du vol?
Il se pourrait que certains, et pas seulement les zinzinternautes, aient intérêt à ce qu'elle le soit.
Car des millions de gens à poursuivre, ça pose problème. Que devient une loi si elle est enfreinte par un nombre de contrevenants qu'elle ne pourra jamais poursuivre, voir "tout le monde" ou "presque tout le monde"?
Faut-il institutionnaliser une tolérance pour le piratage artisanal, la grand-mère innocente (forcément innocente), la ménagère honnête, le chômeur démuni?
Non, même si c'est une position difficile à tenir. Grand-mère est coupable!
Il faut s'opposer à cette banalisation (comme ce groupe l'a toujours fait, semble-t-il) car elle ne pourra que se payer par une taxe, ce qui serait reconnaître que les produits de Disney sont de première nécessité pour le citoyen, et qu'internet n'est plus qu'un réseau de transport de Miquets.