Une institutrice gifle un élève

>Pi² avait prétendu :

Maintenant effectivement l'enfant est roi...

Je me demande ce que cela donnera cela plus tard lorsque cela va arriver sur
le marché de l'emploi...

???
Le marché de l'emploi ? Mais ils ne travailleront jamais, puisque tou
leur est dû. Et s'ils ne l'ont pas de la manière douce, ils le
prendront de la manière forte? Pourquoi se priveraient-ils ?
De toute façon, pour vivre en société, il faut savoir parler lire et
écrire, ce qu'ils ne sauront jamais.

Enfin qu'en est-il de cette réunion ?
Si l'instit a une sanction lourde, attendez-vous à voir des pétitions et du
remue ménage sur cette affaire.

Ce qui me désole, c'est que ce ne sera sans doute pas le cas.
Dans mes cours d'hygiène et de sécurité, on m'a parlé de l'arbre des
causes, qu'il faudrait évoquer pendant ce genre de réunion :
On part du résultat et on se pause la question "pourquoi" :
L'élève à été giflé ----> Parce qu'il a insulté sa maitresse ---->
Parce qu'il est mal élevé ----> Parce que ses parents l'on mal élevé
----> Parce que ses paretns ne savent pas élever un enfant.

Dans la mesure du possible je contre-attaquerai en appelallant la DDASS
et en leur faisant ocmprendre qu'un môme qui parle comme ça à cet âge
ne doit pas vivre dans un environnemenbt très sain et qu'il faudrai le
placer en famille d'accueil.

Le 19/04/2007, Pi² a supposé :

Le Plouc a écrit :

Jeffbie <kitussÈ@wana-doudounes.fr> wrote:

Je lui ai rendu sa gifle et j'en ressens aujourd'hui encore un énorme
contentement.

Ne lui reste plus à lui que de te rendre ce que tu lui avait laissé
contre le mur de la classe...

Ne lui reste plus qu'à porter plainte contre toi pour coups et blessures et
là vous aurez l'air bien con...
En plus devant témoins.
J'espère qu'il le fera

Cette réaction est d'unne connerie. Je me demande comment seront vos enfants
?

Coups et blessures, c'est à partir de 8 jours d'ITT. En dessous, c'est
voie de faits.

eric7622000 avait écrit le 24/04/2007 :

On 7 avr, 19:39, "Hellmer" <hellmer> wrote:

Bonjour
Peu avant les vacances de paques l'institutrice de CE2 de mon fils a giflé
celui-ci en classe devant tous ces camarades.

A ma demande un reunion aura lieu pour en discuter avec le directeur de
l'écolé et l'institutrice en question.

Je me demande quels sont les sanctions que risque cette institutrice.

Je précise que je ne cherche pas forcement a porter plainte d'une manière ou
d'une autre mais je souhaite juste etre informé avant cette reunion.
Merci pour vos réponses.

PS : Merci de m'épargner le classique si elle l'a giflé c'est qu'il le
méritait. Ce n'est pas le problème.

bonjour hellmer
je ne suis pas du tout d'accord avec certain colistier en notamment le
fameux"si il y avait plus de gifle il y aurait moins de
délinquance" ,Je crois même fermement que c'est exactement le
contraire,

Typique des bienpensant, qui naïvement, rèvent toujours d'un monde sans
brutalité, dans lequel "tout le monde il est beau, tout le monde il est
gentil".

En effet les concepts "educatif" de ce pays sont basés sur la
contrainte voire la cohercion et la violence ce qui fait le lit de la
pire délinquance.

Vous partez d'une base erronné.
La situation est exactement le contraire de ce que vous prenez pour une
réalité.
Pendant des années, des décennies même, la punition physique a eu des
effets. La civilisation progressait et la délinquance restait
marginale.
Depuis la fin des années 60, on est tombé dans le
guimauvement-correcte. C'est à dire qu'on a peur de tout, des mots, des
pensées, mais des gestes aussi.
Tout doit être lissé dans une guimauve informe.
Pas le droit d'utiliser des mots chocants comme : nain, aveugle,
caissière , etc... Est-ce que vraiment, les appeller autrement va leur
rendre leur taille, la vue, un autre poste ?
Le type qui pense que les immigrés clandestins n'ont pas vocation à
rester ici est considéré comme un facho, pas comme quelqu'un qui aime
le respect du droit. Bizarre, non ? Parce que le j'm'en foutisme dasn
ce cas, est une solution de facilité. Et que cette solution de
facilité, s'étend à tout le système comme une lèpre. Pourquoi élever
son enfant, c'est tellement plus facile de le foutre devant la télé.
Pourquoi perdre son temps à travailler, c'est tellemnt plus facile de
piquer son fric à une petite vieille. POurquoi écouter en classe, c'est
tellement plus facile de traiter sa prof de pute (inspiré par le métier
de sa mère?).

Il me parait anormal qu'un enseignant gifle un élève (sauf légitime
défense).

C'est normal, vous faites parti des gens dont je parle : les
guimauvesque. C'est à cause de gens comme vous que bientôt, la fessée
et la gifle seront sanctionnables pénalement.
Moi je ferai des gosse, lorsque la loi établira clairement que j'ai le
droit d'élever mon gamin comme bon me semble et que sauf violence
gratuite, personne n'a d'ordre à me donner sur le sujet, et qu'enfin,
la parôle de l'enfant a moins de valeur que celle d'un adulte devant un
tribunal (pour éviter que leurs mensonges ne détruisent des vies).

--Si les élèves sont dissipés en classe et bien c'est peut être que le
type de cours ne convient pas

On leur demande pas leur avis. L'école n'est pas un "lieu de vie"
(qu'est-ce que c'est que cette connerie encore ?), c'est un
établissement scolaire. C'est-à-dire là ou on t'enseigne et tu es sensé
apprendre. Point barre.

ou bien qu'il n'y a pas assez d'éducation physique.

[Mode humour on]Dans le cas du début, il l'a eu son éducation physique :
il sait maintenant que le dégagement d'énergie provoqué par le choc de
deux masses dont l'un est en mouvement peut être douloureux. [Mode
humour off]

--il est normal de chercher à savoir: --soit il s'agit d'une instit
qui s'est emporté et qui le regrette et il n'y aura pas lieu de
poursuivre,

Est-ce que l'enfant regrette d'avoir désobéit en connaissance de cause
? Est-ce que la mère regrette de se défouler de son incompétence
éducative sur une pauvre enseignante ?

---soit il s'agit d'une institutrice terroriste comme il y en a parfois (et
ce n'est pas rare) et il est normal de poursuivre.

[Mode cynisme on]
Merde. D'ici qu'elle pose des armes des destruction massive dans les
écoles !
Merci de nous avoir ouvert les yeux ! J'appelle George Bush de suite
pour qu'ils prennent les mesures qui s'imposent ! [Mode cynisme off]

En tout cas dans le cas ou l'enfant n'aurait pas menacé
l'institutrice, il me parait normal d'exiger des excuses pour cette
violence qui n'aurait pas lieu d'être.

Certes, on peux exiger des excuses, mais il faut lier celle-ci à
l'expulsion définitive de l'enfant de l'école pour faire contrepoids.
D'une part pour emmerder les parents et leur apprendre à mieux élever
leur mioches, et d'autre part, ça évitera que leur fils se prenne pour
un caïd.

Enfin, j'ajouterai que pour redresser la situation, il faut modifier le
système éducatif en profondeur.
1. Rétablir les punition physiques.
2. Retour des cours de morale.
3. Refonte des programme afin qu'ils soient plus pragmatiques.
etc... mais ce n'est pas trop le sujet ici.

cordialement

Cordialement aussi.

eric

Soub.

Après mûre réflexion, Vachus Complex a écrit :

"Anna Engelhardt"

Oui il manque le pourquoi car pour le moment et en attendant cette reunio
je n'ai pas tous les détails
Je me posais la question juste pour savoir les sanctions possibles dans le
cas général

Les sanctions... envers votre fils ou l'institutrice ?

Du temps que j'étais petit, j'avais un frère qui pouvait être un tantinet
taquin. Il n'hésitait pas à dépenser une partie de son modeste revenu (son
argent de poche, en d'autres mots, et nos parents, sur ce plan, avaient toute
l'avarice d'un croisement d'Ecossais et de Juifs, avec, pour ornementer le
tout, de lointains ancètres Auvergnats) pour utiliser des farces et attrapes
d'usage toujours discutable dans les collèges.

Tout ça pour dire qu'un jour il a été attrapé la main dans le sac, si je puis
dire, alors qu'il plaçait un poisson rouge (vivant) dans le verre d'eau que
notre surveillant buvait pendant l'étude. C'est le RP qui dirigeait la
division des secondaires qui lui est inopinément tombé dessus et qui, fort
courroucé, lui a refilé une belle claque.

Eh bien, nos parents, dont je m'attendais à ce qu'ils appuient le RP en
question, ont agit d'une manière qui m'avait étonné. Disons, pour commencer,
que mon frère était rentré à la maison et avait tout uniment expliqué, sans
trop déformer la réalité, de toute évidence, ce qui lui était arrivé, et
pourquoi cela lui était arrivé. De ce fait, parce que mon frère avait fait
une belle sottise, ils lui ont fait la leçon et l'ont privé de sortie pendant
un mois, ou un truc du genre (outre le fait qu'ils ne nous noyaient pas sous
une pluie d'or avec laquelle on aurait fait Dieu sait quoi, ils n'étaient pas
rigolos). Ensuite, parceque, à leur opinion, un éducateur ne devrait jamais
se laisser aller à donner une gifle, ils ont été dire son fait au RP en
question.

Quand j'y pense aujourd'hui, je me dis qu'ils n'avaient pas tort.

Nan, il aurait mieux fait de l'ammener à son bureau en lui tirant
l'oreille.

Harpo a couché sur son écran :

Evidemment, si l'institutrice distribue des baffes à démonter la tête
tous les jours il y a un problème.

Dans cecas-là, c'est qu'elle a raté sa vocation de catcheuse ! lol

"Soubeuran" <Soub@ran.fr> a écrit dans le message de news:
mn.52d27d7854bd6215.78129@ran.fr...

Harpo a couché sur son écran :

> Evidemment, si l'institutrice distribue des baffes à démonter la tête
> tous les jours il y a un problème.

Dans ce cas-là, c'est qu'elle a raté sa vocation de catcheuse ! lol

[IRONIE] Je profite de ce rattrapage de réponses, plus de quatre mois après
le message, pour réparer mon oubli de répondre à un message d'un
sympathique étudiant de Louis-Le-Grand:
Oui mon petit Maximilien, le carosse royal s'arrêtera bien à ton école afin
que tu leur lise ton compliment au retour de leur sacre. Turgot l'a bien
confirmé!
[/IRONIE]